FR3116131A3

FR3116131A3 - Dispositif intermédiaire amovible entre des lunettes et le nez de leur porteur

Info

Publication number: FR3116131A3
Application number: FR2011497A
Authority: FR
Inventors: Raymond MOREL
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2020-11-09
Filing date: 2020-11-09
Publication date: 2022-05-13

Abstract

TITRE DE L’INVENTION : DISPOSITIF INTERMÉDIAIRE AMOVIBLE ENTRE DES LUNETTES ET LE NEZ DE LEUR PORTEUR Le dispositif (30) intermédiaire amovible entre des lunettes (26) comportant une monture (27) et des verres (28), et le nez (29) du porteur des lunettes, comporte une partie (21) d’appui sur le nez et une partie (32, 33) support des lunettes configurée pour, par rapport au port des lunettes sans le dispositif :- augmenter la distance entre les pupilles et les verres de lunettes,- sans modifier la hauteur pupillaire (52), distance entre le bas de la monture et l’axe de vision de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos. Figure pour l’abrégé : Figure 12.

Description

DISPOSITIF INTERMÉDIAIRE AMOVIBLE ENTRE DES LUNETTES ET LE NEZ DE LEUR PORTEUR

Domaine technique de l’invention

La présente invention vise un dispositif intermédiaire amovible entre des lunettes comportant une monture et des verres et le nez de leur porteur. Elle s’applique, notamment, à l’aération de lunettes d’un utilisateur portant un masque sanitaire facial. L’invention concerne particulièrement le domaine des accessoires de masques grand public à porter pendant les périodes de pandémie et le domaine des accessoires de lunetterie.

État de la technique

Les masques grand public, généralement en textile non tissé ou en tissu tendus sur le visage de l’utilisateur par des brins, élastiques ou non, provoquent de la buée sur les verres de lunettes de l’utilisateur et provoquent un inconfort important, notamment lorsque le port du masque doit être prolongé ou que la température ambiante est faible. Il résulte de cet inconfort un rejet de ces masques par les porteurs de lunettes ou, au moins, un port de ces masques limité dans le temps. Si bien que le but du port généralisé de ces masques contre la dissémination d’un agent pathogène transmis par voie aérienne, n’est pas complètement atteint.

Par ailleurs, dans certaines situations en ambiance froide, par exemple à l’extérieur ou dans des pièces climatisées voire réfrigérées, les verres de lunettes se couvrent de buée, empêchant une vision claire. La durée avant que cette buée disparaisse est souvent longue, ce qui oblige le porteur de lunettes à retirer ces lunettes.

De plus, dans certaines situations, par exemple lorsque l’utilisateur myope regarde un écran ou conduit, il arrive qu’il ait besoin de surveiller un objet proche, par exemple un téléphone mobile ou un afficheur. Il est alors obligé de relever ses lunettes pour ce faire, ce qui génère un inconfort répété.

Enfin, au cours de l’évolution de la vision, il arrive que la distance focale des verres ne soit plus parfaitement adaptée à la vision de leur porteur, sans que cela justifie le changement des lunettes. Dans ce cas, l’utilisateur a tendance à repousser l’appui de ses lunettes le long de son nez pour obtenir la correction optique la plus adaptée. Cependant, ce déplacement angulaire décale le centre optique des verres de l’axe de vision des yeux dans leur position de repos, ce qui provoque de la fatigue visuelle.

Présentation de l’invention

La présente invention vise à remédier à tout ou partie de ces inconvénients.

À cet effet, la présente invention vise un dispositif intermédiaire amovible entre des lunettes comportant une monture et des verres et le nez du porteur des lunettes, qui comporte une partie d’appui sur le nez et une partie support des lunettes configurée pour, par rapport au port des lunettes sans le dispositif :
- augmenter la distance entre les pupilles et les verres de lunettes,
- sans modifier la hauteur pupillaire, distance entre le bas de la monture et l’axe de vision de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos.

Le dispositif intermédiaire objet de l’invention permet ainsi le développement d’un flux d’air du côté intérieur des verres, ce qui élimine plus rapidement la buée. Le dispositif objet de l’invention permet particulièrement de régler le problème de la buée sans avoir à toucher au masque sanitaire facial.

Ce dispositif facilite aussi la vision rapide d’objet en dehors du champ optique couvert par les lunettes. Ce dispositif facilite aussi l’adaptation, par le porteur, de la position de ses lunettes à l’évolution lente de sa vision.

Ce dispositif facilite aussi la pratique sportive pour les porteurs de lunettes car les verres de leurs lunettes bénéficient d’un flux d’air plus important, ce qui permet l’évaporation de la buée provenant de la condensation de la sueur évaporée.

Dans des modes de réalisation, la partie d’appui sur le nez comporte une arche d’appui sur le nez et la partie support des lunettes comporte un support solidaire de la partie d’appui et une arche ou cylindre formant support de la partie des lunettes intermédiaire entre les verres.

Dans des modes de réalisation, lesdites arches ou ladite arche et ledit cylindre sont parallèles.

Dans des modes de réalisation, les arêtes desdites arches ou de ladite arche et dudit cylindre forment, entre elles, un angle compris entre 40° et 60°.

Ces angles correspondent aux angles formés avec l’horizontale par la majeure partie des arêtes de nez humaines.

Dans des modes de réalisation, lesdites arches sont reliées par une cloison verticale.

Cette cloison verticale a l’avantage de minimiser son impact sur le champ visuel tout en favorisant le flux d’air sur les verres de lunettes.

Dans des modes de réalisation, la liaison mécanique entre la partie support et les lunettes est un contact unilatéral.

On rappelle ici qu’une liaison entre deux corps est un contact unilatéral si ce contact interdit le rapprochement des corps mais ne s'oppose pas à leur écartement. Par exemple, ce contact est glissant.

Dans des modes de réalisation, la liaison mécanique entre la partie support et les comporte une partie formant crochet configurée pour entourer un pont des lunettes.

Dans des modes de réalisation, la liaison mécanique entre la partie support et les lunettes est une liaison de solidarisation manuellement amovible.

En d’autres termes, une fois cette liaison mécanique établie, le dispositif est solidaire des lunettes jusqu’à ce que l’utilisateur désolidarise, par une action manuelle, les lunettes du dispositif. Ces modes de réalisation sont particulièrement adaptés au port de longue durée du dispositif, par exemple pendant une séance sportive, la conduite sur une longue distance, pendant la durée d’un spectacle ou d’un film ou lorsque le dispositif sert à adapter la position des lunettes à l’évolution de la vision de leur porteur.

Les différentes caractéristiques particulières de la présente invention sont destinées à être combinées pour former différents dispositifs intermédiaires présentant tout ou partie des avantages exposés ci-dessus.

Brève description des figures

D’autres avantages, buts et caractéristiques particulières de l’invention ressortiront de la description non limitative qui suit d’au moins un mode de réalisation particulier du dispositif intermédiaire objet de l’invention, en regard des dessins annexés, dans lesquels :

représente, en vue de face, un premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de côté, le premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, dans une configuration à arcs superposés, sur le visage d’un utilisateur, le masque étant partiellement représenté,

représente, en vue de dessous, le premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en perspective supérieure, le premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de face, le premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, sur le visage d’un utilisateur, le masque n’étant pas représenté,

représente, en vue de côté, le premier mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, sur le visage d’un utilisateur, le masque étant partiellement représenté,

représente, en vue de face, un deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de côté, le deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, dans une configuration à arcs superposés, sur le visage d’un utilisateur, le masque étant partiellement représenté,

représente, en vue de dessous, le deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en perspective supérieure, le deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de face, le deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, sur le visage d’un utilisateur, le masque n’étant pas représenté

représente, en vue de côté, le deuxième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, sur le visage d’un utilisateur, le masque étant partiellement représenté,

représente, en vue de face, un troisième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de côté, le troisième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, dans une configuration à arcs superposés, sur le visage d’un utilisateur, le masque étant partiellement représenté,

représente, en vue de dessous, le troisième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en perspective supérieure, le troisième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention,

représente, en vue de face, le troisième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention, sur le visage d’un utilisateur, le masque n’étant pas représenté et

représente, en vue de dessus, un quatrième mode de réalisation du dispositif objet de l’invention.

La présente description est donnée à titre non limitatif, chaque caractéristique d’un mode de réalisation pouvant être combinée à toute autre caractéristique de tout autre mode de réalisation de manière avantageuse.

On note, dès à présent, que les figures sont, chacune, à l’échelle et que les échelles des différentes figures peuvent être différentes.

Dans toute la description, on appelle « supérieur » ou « haut » ce qui est en haut ou orienté vers le haut, sur les figures 1 2, 4 à 8 et 10 à 12, figures qui correspondent à la configuration d’utilisation normale du dispositif pour reporter en avant les lunettes. On appelle « inférieur » ou « bas », ce qui est en bas ou orienté vers le bas, dans ces figures. Les notions de verticale et horizontale découlent de ces définitions. On appelle « interne » ce qui proche de ou orienté vers un axe longitudinal vertical 25 du dispositif et, externe, ce qui est orienté à l’opposé de cet axe. Cet axe vertical 25 passe, lorsque l’utilisateur porte le dispositif sur le visage, dans le plan de symétrie de la tête, dans la partie centrale du nez de l’utilisateur.

On appelle « avant » ce qui est orienté dans la direction du regard de l’utilisateur, comme son visage, et « arrière », ce qui est orienté vers le crane de l’utilisateur.

Les dispositifs décrits ci-dessous, sous préférentiellement, constitués de pièces en matière plastique rigide.

Comme illustré en figures 5, 6, 11, 12 et 17, les lunettes 26 comportent une monture 27 et des verres 28. La forme, la structure et les matières constituant les lunettes 26 sont indifférentes pour réaliser les différentes modes de réalisation du dispositif objet de l’invention. En particulier, le terme de « verres » de lunettes ne préjuge pas du matériau effectivement utilisé pour réaliser ces lentilles optiques correctrices. En figures 5, 11 et 17, les branches des lunettes 26 ne sont pas représentées.

On observe, en figures 1 à 6, un dispositif 20 intermédiaire amovible entre des lunettes 26 et le nez 29 de leur porteur, pour écarter en avant du visage, ces lunettes des yeux du porteur.

Le dispositif 20 comporte une partie 21 d’appui sur le nez et une partie 22 et 23 support des lunettes 26. Cette partie 22 et 23 support est configurée pour, par rapport au port des lunettes 26 sans le dispositif 20 :
- augmenter, d’une distance 53 (voir ) la distance entre les pupilles et les verres 28 des lunettes 26,
- sans modifier la hauteur pupillaire 51 et 52, distance entre le bas de la monture 27 et l’axe de vision 50 de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos, comme en figures 5 et 6.

La partie support de lunettes est configurée pour que la distance 53 soit, préférentiellement, comprise entre 0,5 centimètre et 2,0 centimètres et, plus préférentiellement, entre 0,8 centimètre et 1,5 centimètre.

Préférentiellement, une cloison verticale 24 relie la partie 21 d’appui sur le nez et la partie 22 et 23 support des lunettes 26.

Dans le premier mode de réalisation, la partie 21 d’appui sur le nez comporte une arche d’appui sur le nez 29, dont la concavité est orientée vers là-bas, à l’opposé de la partie support 22 et 23. Dans ce premier mode de réalisation, la partie support 22 et 23 des lunettes 26 comporte un support 24 solidaire de la partie 21 d’appui et une arche formant support de la partie des lunettes intermédiaire entre les verres 28. Cette arche 23 présente, elle aussi, une concavité orientée vers là-bas, c’est-à-dire vers la partie 21 d’appui. Les arches peuvent prendre la forme de troncs de cylindre.

Dans le premier mode de réalisation, les arêtes de la partie d’appui 21 et de la partie support 22 et 23 forment, entre elles, un angle 54 compris entre 40° et 60°, comme illustré en . Une fois le dispositif 20 porté sur le nez 29 de l’utilisateur, l’arête 22 de la partie support est ainsi sensiblement horizontale lorsque le porteur est debout ou assis et a la tête dans la position de repos.

Dans le premier mode de réalisation illustré en figures 1 à 6, la liaison mécanique entre la partie 22 et 23 support et les lunettes 26 est un contact unilatéral, l’appui des lunettes 26 sur la partie support 22 et 23 pouvant glisser parallèlement à l’arête 22.

On observe, en figures 7 à 12, un dispositif 30 intermédiaire amovible entre des lunettes 26 et le nez 29 de leur porteur, pour écarter en avant du visage, ces lunettes des yeux du porteur.

Le dispositif 30 comporte une partie 21 d’appui sur le nez et une partie 32 et 33 support des lunettes 26. Cette partie 32 et 33 support est configurée pour, par rapport au port des lunettes 26 sans le dispositif 20 :
- augmenter, d’une distance 53 (voir ) la distance entre les pupilles et les verres 28 des lunettes 26,
- sans modifier la hauteur pupillaire 51 et 52, distance entre le bas de la monture 27 et l’axe de vision 50 de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos, comme en figures 11 et 12.

Dans ce deuxième mode de réalisation, la partie 21 d’appui sur le nez comporte une arche d’appui sur le nez 29, dont la concavité est orientée vers là-bas, à l’opposé de la partie support 32 et 33. Dans ce premier mode de réalisation, la partie support 32 et 33 des lunettes 26 est solidaire de la partie 21 d’appui et prend comporte un cylindre coupé perpendiculairement à sa génératrice et à directrice circulaire formant support de la partie des lunettes intermédiaire entre les verres 28.

Dans le deuxième mode de réalisation, les arêtes de la partie d’appui 21 et de la partie support 32 et 33 sont parallèles. Une fois le dispositif 30 porté sur le nez 29 de l’utilisateur, l’arête 32 de la partie support est ainsi sensiblement parallèle à l’arête du nez du porteur de lunettes.

Dans le deuxième mode de réalisation illustré en figures 7 à 12, la liaison mécanique entre la partie 32 et 33 support et les lunettes 26 est un contact unilatéral, l’appui des lunettes 26 sur la partie support 32 et 23 pouvant glisser parallèlement à l’arête 32.

Le dispositif 40 selon le troisième mode de réalisation, illustré en figures 13 à 17 est identique au dispositif 30, si ce n’est que le dispositif 40 comporte, de plus, un crochet supérieur 34 qui entoure le pont 35 supérieur des lunettes 26. Ce crochet supérieur 34 réduit les risques de séparation du dispositif 40, d’une part, des lunettes 26, d’autre part.

Le dispositif 60 selon le quatrième mode de réalisation comporte des tampons élastiques 62 intérieurs (côté visage des lunettes), des tampons élastiques 63 extérieurs, un ressort 64 et un pont inférieur 65. Le ressort est ici de forme hélicoïdale. Il peut, bien entendu, prendre toute forme adaptée à provoquer le pincement de la partie inférieure centrale des verres 28 par les tampons 62 et 63. Le pont inférieur 65 relie ainsi les verres 28 en dessous du pont supérieur 35 et prend appui sur le nez 29 du porteur des lunettes, ce qui permet à ce porteur de repousser les verres 28 en avant (c’est-à-dire en les éloignant du visage) en déplaçant l’ensemble des lunettes 26. Ce pont inférieur 65 forme ainsi une partie d’appui sur le nez 29. Une partie support des lunettes 26 comportant les tampons 62 et 63 est configurée pour, par rapport au port des lunettes sans le dispositif 60 :
- augmenter d’une distance 53 la distance entre les pupilles et les verres 28 de lunettes 26,
- sans modifier la hauteur pupillaire 51, 52, distance entre le bas de la monture 27 et l’axe de vision de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos.

Pour retirer le dispositif 60, l’utilisateur pince, avec deux doigts 61, les pièces supportant respectivement les tampons intérieurs 62 ou les tampons extérieurs 63, qui sont mobile en rotation l’une par rapport à l’autre autour de l’axe du ressort 64. Le ressort 64 exerce une force de rappel qui tend à mettre en contact les tampons 62 et 63. La liaison mécanique entre la partie support et les lunettes 26 est ainsi une liaison de solidarisation manuellement amovible.

Claims

Dispositif (20, 30, 40, 60) intermédiaire amovible entre des lunettes (26) comportant une monture (27) et des verres (28), caractérisé en ce qu’il comporte une partie (21, 65) d’appui sur le nez (29) du porteur des lunettes et une partie (22, 23, 32, 33, 42, 43, 62, 63) support des lunettes configurée pour, par rapport au port des lunettes sans le dispositif :
- augmenter la distance entre les pupilles et les verres de lunettes,
- sans modifier la hauteur pupillaire (51, 52), distance entre le bas de la monture et l’axe de vision de l’utilisateur lorsque ses yeux sont dans leur position de repos.
Dispositif (20, 30, 40) selon la revendication 1, dans lequel la partie d’appui sur le nez comporte une arche d’appui sur le nez et la partie support des lunettes comporte un support solidaire de la partie d’appui et une arche ou cylindre formant support de la partie des lunettes intermédiaire entre les verres.
Dispositif (30, 40) selon la revendication 2, dans lequel lesdites arches ou ladite arche et ledit cylindre sont parallèles.
Dispositif (20) selon la revendication 2, dans lequel les arêtes desdites arches ou de ladite arche et dudit cylindre forment, entre elles, un angle (54) compris entre 40° et 60°.
Dispositif (20) selon l’une des revendications 2 à 4, dans lequel lesdites arches sont reliées par une cloison (24) verticale.
Dispositif (20, 30) selon l’une des revendications 1 à 5, dans lequel la liaison mécanique entre la partie support et les lunettes (26) est un contact unilatéral.
Dispositif (40) selon l’une des revendications 1 à 5, dans lequel la liaison mécanique entre la partie support et les lunettes (26) comporte une partie formant crochet (34) configurée pour entourer un pont (35) des lunettes (26).
Dispositif (60), selon la revendication 1, dans lequel la liaison mécanique (62, 63) entre la partie support et les lunettes (26) est une liaison de solidarisation manuellement amovible.