FR3055514A1 - Structure de support de plantes grimpantes - Google Patents

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Abstract

L'invention concerne une structure (100) de support de plantes grimpantes, comprenant plusieurs tiges assemblées entre elles, au moins certaines (10) des tiges comprenant chacune, d'une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle et, d'autre part, des organes d'accrochage (12) qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d'accrochage étant configurés chacun pour accrocher des plantes à la tige et pour coopérer avec un organe d'accrochage de cette tige ou d'une autre tige, lesdites au moins certaines (10) des tiges étant des perches qui sont chacune aptes à être courbées sous l'action d'une sollicitation externe à la perche.

Description

® RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
INSTITUT NATIONAL DE LA PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE © N° de publication :
(à n’utiliser que pour les commandes de reproduction)
©) N° d’enregistrement national
055 514
58193
COURBEVOIE © Int Cl8 : A 01 G 9/12 (2017.01)
DEMANDE DE BREVET D'INVENTION
A1
®) Date de dépôt : 02.09.16. (© Priorité : © Demandeur(s) : JAVOY-PLANTES PEPINIERES — FR.
@ Inventeur(s) : RAULINE MARIE LAURE.
©) Date de mise à la disposition du public de la demande : 09.03.18 Bulletin 18/10.
©) Liste des documents cités dans le rapport de recherche préliminaire : Se reporter à la fin du présent fascicule
(© Références à d’autres documents nationaux apparentés : ® Titulaire(s) : JAVOY-PLANTES PEPINIERES.
©) Demande(s) d’extension : (© Mandataire(s) : IPSILON Société par actions simplifiée.
STRUCTURE DE SUPPORT DE PLANTES GRIMPANTES.
FR 3 055 514 - A1
L'invention concerne une structure (100) de support de plantes grimpantes, comprenant plusieurs tiges assemblées entre elles, au moins certaines (10) des tiges comprenant chacune, d'une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle et, d'autre part, des organes d'accrochage (12) qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d'accrochage étant configurés chacun pour accrocher des plantes à la tige et pour coopérer avec un organe d'accrochage de cette tige ou d'une autre tige, lesdites au moins certaines (10) des tiges étant des perches qui sont chacune aptes à être courbées sous l'action d'une sollicitation externe à la perche.
100
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22/
J-/ y
Figure FR3055514A1_D0001
STRUCTURE DE SUPPORT DE PLANTES GRI MPANTES
L’invention concerne une structure de support de plantes grimpantes.
Il est connu d’utiliser des tuteurs comme supports de plantes grimpantes.
La présente invention propose un nouveau type de structure de support de plantes grimpantes.
A cet effet, l’invention vise une structure de support de plantes grimpantes, caractérisée en ce que la structure comprend une pluralité de tiges assemblées entre elles, au moins une t1 des tiges comprenant, d’une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle et, d’autre part, des organes d’accrochage qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d’accrochage étant chacun élastiquement déformables manuellement ou avec un outil, les organes d’accrochage étant chacun configurés pour accrocher une ou des plantes à la tige et/ou pour coopérer avec un organe d’accrochage de cette tige ou d’une autre tige après, d’une part, déformation du ou des organes d’accrochage à partir d’une position initiale non déformée et, d’autre part, soit reprise de la position initiale soit adoption d’une position déformée, ladite au moins une tige t1 étant une perche qui est apte à être courbée sous l’action d’une sollicitation externe à la perche.
La ou les tiges t1 (premier type) assurent plusieurs fonctions grâce à leurs organes d’accrochage et à leur flexibilité, ce qui permet d’assembler entre elles plusieurs de ces tiges (ex : bout à bout) tout en y accrochant des plantes grimpantes, réalisant ainsi une structure végétalisée aux formes diverses. Les plantes, quant à elles, peuvent être mises en pot ou en terre.
Selon d’autres caractéristiques possibles :
-la structure comprend en outre au moins un connecteur pourvu de plusieurs embouts orientés dans différentes directions spatiales, chaque embout étant configuré pour coopérer avec une partie femelle d’une perche, au moins un embout dudit au moins un connecteur coopérant avec une partie femelle d’une perche dans la structure de tiges assemblées ; un ou plusieurs connecteurs dans la structure accroissent le nombre de possibilités d’architectures différentes ;
-ledit au moins un connecteur est pourvu de plusieurs organes d’accrochage configurés chacun pour accrocher des plantes à la tige, chaque organe d’accrochage étant élastiquement déformable manuellement ou avec un outil de manière à pouvoir s’écarter de sa position initiale pour insérer une branche de plante et reprendre sa position initiale non déformée pour emprisonner à l’intérieur de l’organe d’accrochage la branche de plante ; ledit au moins un connecteur possède ainsi une double fonction ; les organes d’accrochage peuvent prendre des formes multiples et leur nombre peut varier selon les connecteurs ;
-ledit au moins un connecteur est pourvu d’un nombre d’embouts compris entre trois et six, qui sont orientés l’un par rapport à l’autre suivant un angle de 30°, 45°, 90° ou de 120° ;
-la pluralité de tiges comprend au moins une tige t3 (troisième type) rectiligne rigide qui possède deux extrémités opposées comprenant chacune une partie femelle qui est configurée pour coopérer avec un embout dudit au moins un connecteur et avec une partie mâle d’une perche t1, au moins une des deux parties femelles coopérant avec un embout dudit au moins un connecteur ou avec une partie mâle d’une perche t1 dans la structure de tiges assemblées ; la tige t3 possède une section constante et est creuse ;
-la pluralité de tiges comprend au moins une tige t2 (deuxième type) comprenant, d’une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle, ladite au moins une tige t2 s’amincissant en direction de l’extrémité comprenant la partie mâle et, d’autre part, des organes d’accrochage qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d’accrochage étant chacun élastiquement déformables manuellement ou avec un outil, les organes d’accrochage étant chacun configurés pour accrocher une ou des plantes à la tige et/ou pour coopérer avec un organe d’accrochage d’une autre tige après, d’une part, déformation du ou des organes d’accrochage à partir d’une position initiale non déformée et, d’autre part, soit reprise de la position initiale soit adoption d’une position déformée, ladite au moins une tige t2 étant une perche qui est apte à être courbée sous l’action d’une sollicitation externe à la perche, la partie femelle de ladite au moins une perche t2 étant apte à coopérer avec une partie mâle d’une perche t1 ; la tige t2 est plus flexible que la tige t1 ;
-les organes d’accrochage de tige sont chacun configurés pour pouvoir : sous l’action de la déformation, insérer au moins une branche de plante entre l’organe d’accrochage et la tige et ensuite reprendre sa position initiale non déformée pour emprisonner la branche entre l’organe d’accrochage et la tige ; ou sous l’action de la déformation ou non, insérer au moins une branche de plante entre l’organe d’accrochage et la tige et, sous l’action de la déformation, s’accrocher avec un autre organe d’accrochage de la tige pour adopter une position déformée emprisonnant la branche entre les deux organes d’accrochage et la tige; ou sous l’action de la déformation, s’accrocher avec un autre organe d’accrochage d’une autre tige pour adopter une position déformée dans laquelle les deux tiges sont liées ;
-la partie femelle de ladite au moins une perche t2 étant configurée pour coopérer avec un embout dudit au moins un connecteur ;
-la structure est un aménagement de jardin tel qu’une pergola, une arche, une colonne, un claustra, une cabane, une alcôve, un kiosque, une structure d’ombrage ou un meuble...
L’invention a également pour objet un kit d’assemblage d’une structure telle que brièvement exposée ci-dessus. Le kit comprend une pluralité d’éléments individuels à assembler entre eux qui comprennent au moins une pluralité de tiges telles qu’exposées ci-dessus incluant au moins une tige t1 et, éventuellement, au moins un connecteur et/ou au moins une tige t3 et/ou au moins une tige t2.
D’autres caractéristiques et avantages apparaîtront au cours de la description qui va suivre, donnée uniquement à titre d’exemple non limitatif et faite en référence aux dessins annexés, sur lesquels :
-les figures 1 et 2 sont des vues schématiques d’une tige t1 selon un mode de réalisation de l’invention prises suivant sa longueur sur deux côtés différents ;
-la figure 3 est une vue en perspective par-dessous de l’extrémité de la tige t1 qui comprend la partie femelle ;
-les figures 4 et 5 sont des vues schématiques d’une tige t2 selon un mode de réalisation de l’invention prises suivant sa longueur sur deux côtés différents ;
-la figure 6 est une vue en perspective par-dessous de l’extrémité de la tige t2 qui comprend la partie femelle ;
-la figure 7 est une vue schématique comparative des différentes tiges t1 à t3 selon un mode de réalisation de l’invention ;
-les figures 8 et 9 sont des vues schématiques en perspective de deux modes de réalisation différents d’un connecteur selon l’invention ;
-les figures 10a à 10c illustrent différentes structures rectilignes verticales formées à partir de tiges différentes ;
-la figure 10d illustre la structure de la figure 10a végétalisée ;
-les figures 11a à 11c illustrent différentes structures formant des arches ;
-les figures 12a à 12c illustrent différentes structures de colonnes ;
-les figures 13a à 13c illustrent différentes structures complexes ;
-la figure 13d illustre la structure de la figure 13c végétalisée ;
-la figure 14 illustre une architecture de table ;
-les figures 15 et 16 illustrent deux configurations différentes d’accrochage de plante.
Comme représenté de manière très schématique aux figures 1 à 3 sous la référence notée 10, une tige rectiligne d’un premier type t1 est un élément allongé formant une perche. La tige t1 est flexible (à la manière d’un roseau), ce qui lui permet d’être courbée lorsqu’un effort externe de poussée ou de traction est exercé sur une partie de la tige, tandis que la partie restante qui comprend une extrémité est maintenue dans une position fixe.
La tige 10 comprend deux extrémités opposées 10a, 10b qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle pour permettre l’assemblage de la tige avec d’autres éléments, par exemple avec une autre tige t1.
La tige 10 présente une section transversale (perpendiculaire à la dimension longitudinale de la tige) identique dans sa forme d’une extrémité à l’autre. Toutefois, la partie femelle 10b est élargie par rapport à la partie mâle 10a et creuse afin de recevoir, par exemple, la partie mâle 10a d’une autre tige t1. Dans l’exemple illustré, la section est en forme de croix mais elle peut alternativement prendre d’autres formes (ex : ronde, carrée, rectangulaire, elliptique, triangulaire...). Avec une section en forme de croix, la tige comporte ainsi quatre ailes ou nervures longitudinales 10c-f disposées à angle droit l’une par rapport à l’autre et qui forment conjointement le corps de la tige.
La tige 10 comprend également des organes d’accrochage 12 qui forment partie intégrante de la tige (ces organes sont formés d’un seul tenant avec la tige et sont fabriqués, par exemple moulés, en même temps que la tige) et sont répartis suivant la longueur de la tige. Les organes d’accrochage 12 sont chacun élastiquement déformables manuellement ou avec un outil à partir d’une position (forme) initiale non déformée. Chaque organe 12 est configuré pour accrocher une ou des plantes à la tige 10 et/ou pour coopérer avec un autre organe d’accrochage 12 de cette tige (les deux organes sont à proximité l’un de l’autre) ou d’une autre tige. Ceci est obtenu après, d’une part, déformation du ou des organes d’accrochage 12 à partir de la position initiale non déformée mentionnée plus haut et, d’autre part, soit reprise de la position initiale de l’organe soit adoption d’une position déformée des deux organes accrochés l’un avec l’autre.
Les organes d’accrochage 12 de la tige 10 sont chacun configurés pour pouvoir être déformés et reprendre ou non leur position initiale selon les types ou configurations d’accrochage envisagés.
Ainsi, comme représenté à la figure 15, en se déformant chaque organe 12 permet d’insérer au moins une branche b1, b2 de plante (une branche de plante désigne ici à la fois une tige de plante et une branche) entre l’organe d’accrochage 12 et la tige 10 et ensuite reprend sa position initiale non déformée (lorsque l’effort externe de déformation cesse) pour emprisonner la branche ou chaque branche b1, b2 entre un organe d’accrochage 1 2 et la tige 10.
Une autre configuration d’accrochage est illustrée à la figure 16 : un premier organe d’accrochage 12a de la tige 10 est déformé (ici l’organe 1 2a est en plastique, il a une forme générale de crochet de cintre et a par exemple une épaisseur de 1,5 mm ; il est replié sur lui-même sur le dessin) pour insérer au moins une branche de plante b3 entre l’organe d’accrochage 12a et la tige (on notera que la branche peut être insérée entre l’organe et la tige sans déformer l’organe si l’espace et suffisant au repos entre ces deux éléments). L’organe 12a est en outre déformé pour pourvoir s’accrocher avec un autre organe d’accrochage 12b de la même tige (les deux organes sont positionnés à proximité l’un de l’autre) qui lui aussi est déformé. Les deux organes 12a, 12b adoptent ainsi une position déformée emprisonnant (à la façon d’une cage) la branche b3 entre les deux organes d’accrochage et la tige. Une telle configuration est par exemple utilisée pour des branches fortement ligneuses pour lesquelles un seul organe ne suffirait pas.
Une autre configuration d’accrochage non représentée permet d’accrocher ensemble (par exemple comme illustré pour les organes de la figure 16) deux organes d’accrochage respectifs de deux tiges et d’adopter ainsi une position déformée dans laquelle les deux tiges sont liées.
Pour les deux dernières configurations, lorsque l’on décroche les organes l’un de l’autre, les organes une fois libérés reprennent leur position initiale non déformée.
Un organe d’accrochage permet ainsi de fixer une plante sur une tige (pour tout type de plante, quel que soit le diamètre de ses branches) et de la guider le long de celle-ci quelle que soit l’orientation de la tige (verticale, penchée...). Outre une certaine élasticité, chaque organe possède une rigidité mécanique qui lui permet d’assurer les fonctions de fixation et de guidage. Chaque organe ne remplit généralement qu’une fonction à la fois bien que, dans certaines structures, un organe puisse simultanément emprisonner une branche de plante et un autre ou plusieurs autres organes, voire plusieurs branches de plante ensemble et un autre ou plusieurs autres organes.
Les organes 12 sont par exemple groupés par paires qui sont espacées le long de la tige. La répartition le long de la tige permet de répartir les points d’accrochage/d’ancrage de la ou des branches le long de la tige et il en est de même pour l’accrochage/l’ancrage des tiges entre elles. Les deux organes 12a,
12b d’une même paire sont disposés sur deux bords longitudinaux opposés du corps de la tige. Les organes 12 sont par exemple groupés par paires pour être de préférence proches l’un de l’autre afin que les deux organes d’une même paire soient déformés pour pouvoir s’accrocher ensemble (formant une cage) ou à tout le moins emprisonner une même branche de plante ou plusieurs. Les deux organes d’une même paire peuvent par exemple être disposés à la même cote le long de la tige. Toutefois, en pratique un décalage longitudinal est préféré pour faciliter le passage manuel des plantes pour leur palissage sur leur support. On notera que les organes d’accrochage groupés par paires peuvent être utilisés par paires comme expliqué ci-dessus ou de manière isolée (les organes d’une même paire ne s’accrochent pas ensemble et la branche d’une plante passe simplement à l’intérieur de la boucle formée par un organe de la paire ; l’organe peut également s’accrocher avec un autre organe d’une autre tige). Alternativement, les organes d’accrochage peuvent être répartis différemment le long de la tige sans former des paires. Ils sont alors utilisés de manière isolée.
Chaque organe d’accrochage 12 a par exemple une forme générale de crochet ou de boucle. Par exemple, l’organe 12a part d’une base élargie 12a1 reliée au corps de la tige 10 (ici, l’aile 10e) et s’étend le long de la tige en formant un crochet ou une boucle grâce à son extrémité libre 12a2 qui est recourbée sur elle-même en formant un retour. La partie recourbée de l’organe qui comporte l’extrémité libre 12a2 est par exemple très proche, voire au contact du corps de la tige (ici, l’aile 10e). D’autres formes d’organes d’accrochage sont envisageables. Dans d’autres configurations, un espace peut être laissé libre entre la partie recourbée de l’organe et la tige. L’organe d’accrochage peut par exemple comporter plusieurs crochets/boucles formés ou non à partir du même élément, les crochets/boucles constituant des ramifications à partir d’un même élément (ex : un premier crochet/boucle étant recourbé dans un premier sens et un deuxième crochet/boucle étant recourbé dans un sens opposé). On notera que le retour formé par l’extrémité libre 1 2a2 peut être plus ou moins prononcé (rayon de courbure réduit ou augmenté) selon les besoins. Le nombre de paires d’organes d’accrochage 12 est ici de deux mais il peut varier selon les besoins.
Comme représenté de manière très schématique aux figures 4 à 6 sous la référence notée 20, une tige rectiligne d’un deuxième type t2 est un élément allongé formant une perche. La tige t2 est flexible (à la manière d’un roseau) comme décrit pour la tige t1.
La tige 20 comprend deux extrémités opposées 20a, 20b qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle pour permettre l’assemblage de la tige avec d’autres éléments. La partie femelle 20b est élargie par rapport à la partie mâle 20a et creuse afin de recevoir par exemple la partie mâle 10a d’une tige t1.
La tige 20 présente une section transversale (perpendiculaire à la dimension longitudinale de la tige) identique dans sa forme d’une extrémité à l’autre, excepté les dimensions de cette section qui varient dans la mesure où la partie femelle 20b est élargie et la tige s’amincit de l’extrémité 20b en direction de l’extrémité 20a. Cette configuration procure à la tige t2 une plus grande souplesse/flexibilité que celle de la tige t1. Lorsqu’une tige t2 est positionnée en haut d’une structure assemblée de tiges, la structure peut être davantage arrondie/aplatie à son sommet (et donc moins flexible) qu’avec une tige t1 non effilée à une de ses extrémités.
La tige 20 comporte les mêmes caractéristiques concernant sa section transversale que la tige 10 et elles ne seront donc pas répétées ici.
Comme pour la tige 10(t1), la tige 20(t2) comprend des organes d’accrochage 22 présentant les mêmes caractéristiques que les organes 12 et qui ne seront donc pas répétées ici.
Une autre différence avec la tige t1 réside dans la position des groupes d’organes 22. Le groupe d’organes 22 le plus proche de l’extrémité amincie mâle 20a est plus éloigné de cette extrémité que le groupe d’organes 12 le plus proche de l’extrémité 10a. Comme la tige 20 se courbe davantage que la tige 10, il est préférable que les points d’accrochage/d’ancrage soient situés plus loin de l’extrémité 20a, notamment pour des raisons de solidité de l’accrochage. Toutefois, cette autre différence n’est pas toujours nécessaire.
La figure 7 illustre côte à côte les tiges 10(t1 ) et 20(t2) ainsi qu’un troisième type de tige t3 référencé 30 et un exemple possible d’un connecteur dont les fonctions seront décrites plus loin. La tige 30 est rectiligne creuse comme un tube, généralement plus courte que les autres tiges et par exemple lisse, c’est-à-dire qu’elle est ici dépourvue d’organes d’accrochage dans ce mode de réalisation. La tige t3 procure une fonction de rigidité aux structures et permet notamment de construire des structures de tiges assemblées de plus grandes dimensions (ex ; arches, pergolas, cabanes...) que des structures formées uniquement à partir de tiges t1, éventuellement associées avec des tiges t2 et avec un ou des connecteurs. Les tiges t3 permettent de construire des structures végétalisables de forme cubique ou octogonale ou dérivée d’un cube grâce à des connecteurs pourvus de crochets/vrilles (ex : meubles tels que des tables, chaises, guéridons...). Selon une variante non représentée, la tige t3 comporte des organes d’accrochage.
La figure 8 illustre un premier mode de réalisation d’un connecteur ou noix 40 pourvu de six embouts 42, 44, 46, 48, 50, 52 réunis par groupes de deux. Les deux embouts d’un même groupe sont orientés dans deux directions opposées sur un même axe géométrique et les trois groupes sont ainsi orientés suivant les trois axes géométriques d’un trièdre (disposés à 90° l’un par rapport à l’autre). Les trois groupes sont réunis au centre du trièdre, chaque embout s’étendant ainsi à partir du centre du trièdre en éloignement de celui-ci. Comme représenté, chaque embout a une section transversale en forme de croix afin de coopérer par engagement/emboîtement avec une partie femelle d’une tige t1, d’une tige t2 et d’une tige t3 (de manière générale, la section des embouts est la même pour tous et s’adapte à celle des tiges).
Une butée d’arrêt 54 est agencée entre deux embouts adjacents (ex : 42 et 50) afin d’empêcher que les tiges creuses t3 ne s’engagent plus loin sur les embouts et interfèrent avec d’autres tiges. Les tiges t1 et t2 n’ont, quant à elles, pas besoin de ces butées car la profondeur axiale des logements internes axiaux des parties femelles de ces tiges est adaptée à la longueur des embouts. Huit butées 54 sont présentes dans ce mode (une de part et d’autre de chaque embout). Des renforts 56 (ex : nervures) sont disposés à partir du centre du trièdre, le long d’un embout (ex : 42) et à égale distance entre les deux embouts adjacents (ex : 48 et 50). On dénombre ainsi trois renforts le long de l’embout 42, dans l’espace supérieur défini par les quatre embouts 46, 48, 50, 52 et l’embout 42. Il en est de même dans l’espace inférieur défini par les quatre embouts 46, 48, 50, 52 et l’embout 44.
Dans ce mode les renforts 56 sont en appui entre deux embouts adjacents (ex : 48 et 50) sur une surface plane qui est à la jonction entre les ailes respectives adjacentes (48a, 50a) de ces deux embouts.
Comme représenté sur la figure 8, le connecteur 40 comprend plusieurs organes d’accrochage configurés chacun pour accrocher des plantes à la tige. Certains organes 58 sont d’un premier type qui comporte un seul crochet/boucle pour le passage d’une ou de plusieurs branches de plante. D’autres organes 60 sont d’un deuxième type qui comporte deux crochets/boucles avec des orientations opposées pour le passage, dans chaque crochet/boucle, d’une ou de plusieurs branches de plante. Ici on dénombre deux organes de chaque type, chacun disposés entre deux embouts adjacents et qui s’étendent en éloignement du centre du trièdre, dans le plan dans lequel sont disposés les quatre embouts 46, 48, 50, 52, notamment leurs ailes (ex : (48a, 50a). La forme, le nombre et la localisation des organes peut varier en fonction des besoins.
Généralement, le connecteur 40 est utilisé dans une structure avec le plan dans lequel sont disposés les quatre embouts 46, 48, 50, 52 disposé verticalement. Ce connecteur présente des agencements d’organes d’accrochage permettant une fabrication simplifiée et donc d’un coût réduit.
La figure 9 illustre un mode de réalisation d’un connecteur 70 comportant cinq embouts 72, 74, 76, 78, 80. Trois de ces embouts, 76, 78, 80, sont orientés à 120° l’un de l’autre dans un même plan et les deux autres, 72, 74, sont orientés perpendiculairement au plan et dans deux directions opposées (comme les deux embouts 42, 44). Les caractéristiques de l’embout 80 sont les mêmes que celles de l’embout 40 hormis cette différence et la présence d’un renfort 82 à la fois le long de l’embout 72 et de l’embout 80. II en est de même pour l’espace inférieur. Les autres renforts sont disposés comme expliqué pour l’embout 40.
D’autres agencements de connecteur sont envisageables avec un nombre d’embouts (ou branches), des orientations et des formes différentes. II en est de même pour les organes d’accrochage de ces autres agencements de connecteur.
Les organes d’accrochage des connecteurs présentant les mêmes caractéristiques que les organes 12 et 22 des tiges t1 et t2 et elles ne seront donc pas répétées ici (les organes d’accrochage des connecteurs sont toutefois préférentiellement utilisés pour accrocher des plantes le long des connecteurs). Les organes d’accrochage des connecteurs peuvent par exemple revêtir des formes différentes en U, en C, en cœur, en forme de vrille inspirée de la forme de plantes...
Le matériau utilisé pour former les tiges t1 et t2 est par exemple un plastique ou dérivé, un métal, un bois souple, une résine...
Pour la tige t3, le matériau utilisé est par exemple un plastique ou dérivé, un bois, une résine... On notera que la rigidité de la tige t3 (généralement un tube) peut être obtenue par un choix de matériau et/ou une épaisseur adaptée. Par exemple, le matériau des tiges t1, t2 et t3 peut être le même (ex : un plastique) mais l’épaisseur de la paroi de la tige t3 (donc son diamètre extérieur) est augmenté. Alternativement, les matériaux sont différents.
Pour le connecteur, le matériau utilisé est par exemple un plastique ou dérivé, un métal, un bois, une résine...
A titre d’exemple les longueurs et diamètres internes des tiges t1, t2 et t3 sont respectivement :
Pour t1, 60 cm et 1 5 mm pour le diamètre interne de la partie femelle, la partie mâle ayant un diamètre de 14,8 mm,
Pour t2, 60 cm et 15 mm pour le diamètre interne de la partie femelle,
Pour t3, 45 cm et 15 mm pour le diamètre interne du tube.
Les éléments qui viennent d’être décrits peuvent s’emboîter les uns avec les autres afin de former une structure qui sert de support à des plantes grimpantes, volubiles (c’est-à-dire qui s’enroulent toutes seules) ou non, suivant les règles d’assemblage ci-après :
-la partie femelle des tiges 10(t 1 ) peut s’emboîter avec la partie mâle des tiges 10(t 1 ) et avec un embout de connecteur ;
-la partie mâle des tiges 10(11 ) peut s’emboîter avec la partie femelle des tiges 10(11 ), la partie femelle des tiges 20(t2) et avec n’importe quelle extrémité femelle des tiges t3 ;
-la partie femelle des tiges 20(t2) peut s’emboîter avec la partie mâle des tiges 10(t) et avec un embout de connecteur.
La structure selon l’invention peut ainsi comprendre un assemblage de tiges t1 entre elles, de tiges t1 et t2, de tiges t1 et t3, de tiges t1, t2 et t3, de tiges t1, t2 et de connecteur(s), de tiges t1, t3 et de connecteur(s), de tiges t1, t2, t3 et de connecteur(s).
Les différents éléments peuvent être disponibles sous forme de kit (transport, commercialisation...) avant leur assemblage pour former les différentes structures possibles. Un kit comprend un ensemble d’éléments permettant de construire une ou plusieurs structures.
La végétalisation de la ou des structures une fois assemblées se fait par colonisation de la plante ou les plantes peuvent être mises en terre là où la ou les structures sont positionnées ou bien être plantées dans des pots ou récipients divers.
Les figures suivantes illustrent différents exemples qu’il est possible de réaliser avec au moins certains des éléments énumérés ci-dessus réunis ou non dans un ou plusieurs kits d’assemblage.
Les figures 10a à 10c illustrent successivement :
-un assemblage 90 d’unetige 10 surmontéed’unetige20 emboîtées l’une avec l’autre comme décrit ci-dessus (fig.10a) ;
-un assemblage 100 formé de l’assemblage 90 de la figure 10a monté sur un connecteur 40 qui surmonte une tige 30 (fig.10b) ;
-un assemblage 110 formé de l’assemblage 100 de la figure 10b monté sur un autre connecteur 40 qui surmonte une autre tige 30 (fig.10b).
Ces structures permettent de créer un tuteur de hauteur variable pour pouvoir ériger tout type de plante grimpante en rigidifiant la structure par exemple avec des tiges 30.
La figure 10d est un exemple de structure végétalisée 120 formée à partir de la structure ou assemblage 90 planté dans un pot 122 dans lequel est également plantée une plante 124. La tige ou branche principale montante de la plante est fixée à la structure 90 par au moins certains des organes d’accrochage de celle-ci.
La figure 11 a illustre une structure 130 (ou assemblage) de tiges formée de deux ensembles comprenant chacun deux tiges 10 assemblées bout à bout.
Les deux ensembles sont réunis à leur sommet en courbant chacune des tiges supérieures 10 vers celle de l’autre ensemble et en les accrochant ensemble par au moins deux organes d’accrochage 12 voire quatre organes. La structure ainsi obtenue a une forme générale d’arche. Alternativement, les tiges supérieures 10 peuvent être remplacées par des tiges 20 afin de courber davantage la structure et former une arche plus arrondie ou plus aplatie.
La structure 1 30 de la figure 11 a forme ce que l’on peut appeler un motif. Deux motifs identiques 130 peuvent être accrochés l’un à l’autre avec des organes d’accrochage situés à des niveaux différents afin de former les structures 140 et 150 des figures 11b et 11c (par souci de clarté les organes d’accrochage ont été omis sur ces figures). Le nombre de motifs peut être étendu à plus de deux et les motifs ainsi assemblés peuvent s’étendre dans un même plan ou former une structure fermée ou semi-fermée.
Les figures 12a à 12c illustrent des structures en forme de colonnes plus ou moins complexes, utilisant aucune tige 30 (fig. 12a) ou de plus en plus de tiges 30 afin de rigidifier la structure latéralement à un ou plusieurs niveaux (figs.12b et 1 2c).
La figure 12a représente une structure 160, par leur sommet (comme pour la figure 11a), de quatre ensembles identiques formés chacun d’une tige 30 montée sur une tige 30 par l’intermédiaire d’un connecteur 40. Alternativement, la tige 20 pourrait être remplacée par une tige 10 si la courbure ou arche au sommet n’est pas trop prononcée.
La structure 170 de la figure 12b comporte un niveau supplémentaire qui rehausse la structure 160 en rajoutant verticalement une tige 30 sous chaque ensemble de la figure 12a par l’intermédiaire d’un connecteur 40 non représenté par souci de simplification. Des tiges 30 sont également ajoutées horizontalement entre les connecteurs 40 afin de former un cadre horizontal de rigidification. Un exemple de plante 172 supportée par la structure est représenté mais d’autres plantes peuvent être ajoutées.
La structure 180 de la figure 12c rehausse davantage la structure de la figure 12b avec un niveau supplémentaire de tiges 30 verticales et un cadre horizontal de rigidification formé de tiges 30. Les deux cadres sont répartis suivant la hauteur afin d’équilibrer les points de rigidification de la structure.
Les figures 13a à 13d illustrent des formes de structures encore plus complexes :
-la figure 13a représente une structure 190 formée par deux colonnes (différentes de la colonne 180) réunies à leur sommet pour former une arche par l’intermédiaire des extrémités libres de leurs tiges 20 (voire une combinaison d’extrémités de tiges 20 et 10 selon la courbure souhaitée) ;
-la figure 13b représente une structure 200 formant une cabane ou un kiosque, un motif 130 étant fixé à l’entrée de la structure (on notera que dans ce mode des tiges 30 de plus grande longueur peuvent être utilisés pour former l’arrière de la cabane à la place de plusieurs tiges 30 emboîtées bout à bout avec des connecteurs) ;
-la figure 13c représente une structure 210 formant une pergola, c’est-àdire une succession d’arches et la figure 13d représente la même structure 21 0 végétalisée par la plante 215 qui colonise ladite structure (structure végétalisée 220).
La figure 14 illustre une structure formant un meuble, à savoir une table. La structure 230 formée de tiges 30 et de tiges 10 (ou de tiges 20) pour y fixer/supporter des plantes fait office de support de la table et reçoit un plateau 235. D’autres formes de tables avec un nombre différent de tiges, des tiges différentes positionnées à des emplacements différents dans la structure peuvent être envisagées. Plus généralement, d’autres types de meubles et d’aménagements divers peuvent être réalisés avec au moins certains des éléments décrits ci-dessus et qui peuvent bien entendu être différents dans la forme, les dimensions, le nombre et l’assemblage.

Claims (10)

  1. REVENDI CATI ONS
    1. Structure de support de plantes grimpantes, caractérisée en ce que la structure comprend une pluralité de tiges assemblées entre elles, au moins une (t1 ) des tiges comprenant, d’une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle et, d’autre part, des organes d’accrochage (12a,12b) qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d’accrochage étant chacun élastiquement déformables manuellement ou avec un outil, les organes d’accrochage étant chacun configurés pour accrocher une ou des plantes à la tige et/ou pour coopérer avec un organe d’accrochage de cette tige ou d’une autre tige après, d’une part, déformation du ou des organes d’accrochage à partir d’une position initiale non déformée et, d’autre part, soit reprise de la position initiale soit adoption d’une position déformée, ladite au moins une tige (t1) étant une perche qui est apte à être courbée sous l’action d’une sollicitation externe à la perche.
  2. 2. Structure selon la revendication 1, caractérisée en ce que la structure comprend en outre au moins un connecteur (40 ;70) pourvu de plusieurs embouts (42-50 ;72-80) orientés dans différentes directions spatiales, chaque embout étant configuré pour coopérer avec une partie femelle d’une perche, au moins un embout dudit au moins un connecteur coopérant avec une partie femelle d’une perche dans la structure de tiges assemblées.
  3. 3. Structure selon la revendication 2, caractérisée en ce que ledit au moins un connecteur est pourvu de plusieurs organes d’accrochage (58,60) configurés chacun pour accrocher des plantes à la tige, chaque organe d’accrochage étant élastiquement déformable manuellement ou avec un outil de manière à pouvoir s’écarter de sa position initiale pour insérer une branche de plante et reprendre sa position initiale non déformée pour emprisonner à l’intérieur de l’organe d’accrochage la branche de plante.
  4. 4. Structure selon la revendication 2 ou 3, caractérisée en ce que ledit au moins un connecteur est pourvu d’un nombre d’embouts compris entre trois et six, qui sont orientés l’un par rapport à l’autre suivant un angle de 30°, 45°, 90° ou de 120°.
  5. 5. Structure selon l’une des revendications 2 à 4, caractérisée en ce que la pluralité de tiges comprend au moins une tige (t3) rectiligne rigide qui possède deux extrémités opposées comprenant chacune une partie femelle qui est configurée pour coopérer avec un embout dudit au moins un connecteur et avec une partie mâle d’une perche ( 11 ), au moinsunedesdeux parties femelles coopérant avec un embout dudit au moins un connecteur ou avec une partie mâle d’une perche (t1) dans la structure de tiges assemblées.
  6. 6. Structure selon l’une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que la pluralité de tiges comprend au moins une tige (t2) comprenant, d’une part, deux extrémités opposées qui comprennent respectivement une partie mâle et une partie femelle, ladite au moins une tige (t2) s’amincissant en direction de l’extrémité comprenant la partie mâle et, d’autre part, des organes d’accrochage (22) qui forment partie intégrante de la tige et sont répartis suivant la longueur de celle-ci, les organes d’accrochage étant chacun élastiquement déformables manuellement ou avec un outil, les organes d’accrochage étant chacun configurés pour accrocher une ou des plantes à la tige et/ou pour coopérer avec un organe d’accrochage de cette tige ou d’une autre tige après, d’une part, déformation du ou des organes d’accrochage à partir d’une position initiale non déformée et, d’autre part, soit reprise de la position initiale soit adoption d’une position déformée, ladite au moins une tige (t2) étant une perche qui est apte à être courbée sous l’action d’une sollicitation externe à la perche, la partie femelle de ladite au moins une perche (t2) étant apte à coopérer avec une partie mâle d’une perche (t1).
  7. 7. Structure selon la revendication 1 ou 6, caractérisée en ce que les organes d’accrochage de tige sont chacun configurés pour pouvoir :
    - sous l’action de la déformation, insérer au moins une branche de plante entre l’organe d’accrochage et la tige et ensuite reprendre sa position initiale non déformée pour emprisonner la branche entre l’organe d’accrochage et la tige ; ou
    - sous l’action de la déformation ou non, insérer au moins une branche de plante entre l’organe d’accrochage et la tige et, sous l’action de la déformation, s’accrocher avec un autre organe d’accrochage de la tige pour adopter une position déformée emprisonnant la branche entre les deux organes d’accrochage et la tige ; ou
    - sous l’action de la déformation, s’accrocher avec un autre organe d’accrochage d’une autre tige pour adopter une position déformée dans laquelle
    5 les deux tiges sont liées.
  8. 8. Structure selon l’une des revendications 2 à 4 et selon la revendication 6, caractérisée en ce que la partie femelle de ladite au moins une perche (t2) étant configurée pour coopérer avec un embout dudit au moins un connecteur.
  9. 10 9. Structure selon l’une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce que la structure est un aménagement de jardin tel qu’une pergola, une arche, une colonne, un claustra, une cabane, une alcôve, un kiosque, une structure d’ombrage ou un meuble.
    10. Kit d’assemblage d’une structure selon l’une des revendications
  10. 15 1 à 9, caractérisé en ce que le kit comprend une pluralité d’éléments à assembler entre eux incluant une pluralité de tiges dont au moins une tige t1.
    2/6 ,
    3
    OJ o
    CXI
    3/6 ο
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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GB426141A (en) * 1934-10-08 1935-03-28 Mary Stewart Marrow Means for staking plants, particularly those of a bulbous nature, growing in bowls and pots
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