FR2990085A1 - Dispositif de traction pour un vehicule automobile - Google Patents

Abstract

Dispositif (10) de traction pour un véhicule automobile, ayant au moins une machine (12) électrique, comprenant un élément (16) rotorique, un dispositif (24) de transmission, qui peut être entraîné par la machine (12) électrique par l'intermédiaire de l'élément (16) rotorique et qui est disposé dans une zone (70) de réception, une partie (18) rotorique active ayant une structure annulaire pour le guidage du flux magnétique de la machine (12) électrique.

Description

DISPOSITIF DE TRACTION POUR UN VEHICULE AUTOMOBILE L'invention concerne un dispositif de traction. On connaît dans l'état général de la technique, ainsi que dans la production en série de véhicules automobiles, 5 notamment de voitures de tourisme, des véhicules électriques et hybrides, qui peuvent être tractés au moyen d'au moins une machine électrique d'un dispositif de traction correspondant du véhicule automobile. Des roues du véhicule automobile sont entraînées au moyen de 10 la machine électrique par des arbres d'entraînement correspondants. On connaît, dans l'état général de la technique, ce que l'on appelle, pour des machines électriques, le mode de construction transaxle, qui à cet égard ne doit pas être 15 confondu avec l'agencement d'un groupe de traction dans une zone avant du véhicule et une transmission associée sur un essieu d'entraînement arrière du véhicule automobile. Par le mode de construction transaxle, on entend ici 20 notamment que la machine électrique, notamment son élément rotorique, est insérée entre les roues entraînées transversalement à la direction longitudinale du véhicule. Dans ce mode de construction transaxle, des couples de rotation, mis à disposition par la machine 25 électrique par l'intermédiaire de son élément rotorique en vue de l'entraînement des roues, sont sortis d'abord à une première extrémité axiale de la machine électrique d'un premier côté et ensuite, par exemple au moyen d'un arbre creux, sont passés à un deuxième côté à distance du premier côté dans la direction transversale du véhicule à une deuxième extrémité axiale de la machine électrique à distance de la première extrémité axiale dans la direction transversale du véhicule.

Dans ce genre d'agencement, il est prévu deux arbres concentriques, qui exigent un coût respectif et ainsi doublé, par exemple pour supporter séparément les arbres. En outre, ces dispositifs de traction ont besoin de relativement beaucoup de place dans la direction axiale de la machine électrique. L'invention vise donc un dispositif de traction pour un véhicule automobile, qui n'a besoin que de très peu de place. On y parvient par un dispositif de traction pour un véhicule automobile, ayant au moins une machine électrique, comprenant au moins un élément rotorique, au moins un dispositif de transmission, qui peut être entraîné par la machine électrique par l'intermédiaire de l'élément rotorique et qui est disposé, au moins en partie, dans une zone de réception délimitée en direction radiale par l'élément rotorique, caractérisé en ce qu'une partie rotorique active associée à l'élément rotorique a une structure annulaire pour le guidage du flux magnétique de la machine électrique, ainsi que par un dispositif de traction pour un véhicule automobile, ayant au moins une machine électrique, comprenant au moins un élément rotorique, au moins un dispositif de transmission, qui peut être entraîné par la machine électrique par l'intermédiaire de l'élément rotorique et qui est disposé, au moins en partie, dans une zone de réception délimitée en direction radiale par l'élément rotorique, caractérisé en ce que la zone de réception est délimitée, au moins en partie, par un support sensiblement en forme de manchon de l'élément rotorique. Un dispositif de traction pour un véhicule automobile suivant un premier aspect de l'invention comprend au moins une machine électrique ayant au moins un élément rotorique. La machine électrique peut procurer, par exemple dans un fonctionnement en moteur, des couples de rotation, qui peuvent être sortis de la machine électrique par l'élément rotorique. 10 Le dispositif de traction comprend, en outre, au moins un dispositif de transmission, qui peut être entraîné par la machine électrique par l'intermédiaire de l'élément rotorique. Cela signifie que les couples de rotation procurés par la machine électrique peuvent être appliqués 15 au dispositif de transmission par l'intermédiaire de l'élément rotorique. Il est délimité, par l'élément rotorique dans la direction radiale de la machine électrique, une zone de réception, dans laquelle le dispositif de transmission 20 est disposé, au moins en partie. Par cette intégration du dispositif de transmission dans l'élément rotorique, le dispositif de traction a, notamment dans la direction axiale, besoin de particulièrement peu de place. Des pertes de place, qui proviendraient d'un agencement du 25 dispositif de transmission dans la direction axiale à côté de l'élément rotorique ou à côté de la machine électrique, sont notamment évitées, puisque le dispositif de transmission n'est pas voisin dans la direction axiale de l'élément rotorique ou de la machine électrique, mais 30 est logé bien plutôt dans l'élément rotorique. En d'autres termes, le dispositif de transmission est entouré dans la direction radiale, au moins en partie, par l'élément rotorique et est recouvert par l'élément rotorique. Pour avoir un besoin de place particulièrement petit, le dispositif de transmission est disposé avantageusement entièrement dans la zone de réception et est recouvert complètement par l'élément rotorique dans la direction radiale. L'élément rotorique comprend une partie rotorique active pour le guidage du flux magnétique de la machine électrique. Par partie rotorique active, on entend un rotor d'une machine électrique, c'est-à-dire d'un moteur électrique ou d'une génératrice. Dans la notion de partie rotorique active, entre par exemple aussi une partie secondaire d'un moteur linéaire. Ce qui est commun aux parties rotoriques actives est qu'elles sont produites, par exemple, par des paquets de tôle. Mais les parties rotoriques actives peuvent aussi être produites d'une autre façon. Par la conformation de la géométrie de la partie rotorique active guidant le flux magnétique et composée d'une structure annulaire à paroi mince, la partie rotorique active est adaptée conformément au guidage du flux magnétique pouvant être prescrit et avantageux, de sorte que la partie rotorique active et ainsi le dispositif de traction ont besoin de particulièrement peu de place. L'étendue radiale de la partie rotorique active peut, notamment, être optimisée conformément au guidage du flux magnétique qui peut être prescrit et être maintenue à une valeur particulièrement petite, de sorte que le dispositif de traction a, dans la direction radiale, aussi besoin de seulement très peu de place.

La partie rotorique active peut être utilisée ainsi indépendamment du principe de fonctionnement de la machine électrique. Cela signifie que la machine électrique peut être constituée, par exemple, sous la forme d'une machine synchrone, par exemple, sous la forme d'une machine à excitation permanente ou d'une machine asynchrone. La conformation correspondante de la partie rotorique active du premier aspect de l'invention prend en compte, notamment, la fonction magnétique de l'élément rotorique, notamment en fonction de l'intégration mentionnée du dispositif de transmission dans l'élément rotorique. En d'autres termes, l'élément rotorique est, par la conformation adéquate de la partie rotorique active, adapté aux conditions provenant de l'intégration du dispositif de transmission dans l'élément rotorique et en est optimisé, de sorte que le dispositif de traction a une capacité fonctionnelle avantageuse tout en ayant besoin que de peu de place.

Dans un mode de réalisation avantageux de l'invention, la structure annulaire est formée par au moins un paquet de tôles ayant une multiplicité de tôles de la partie rotorique active. La partie rotorique active peut être produite, par exemple, par une mise en paquet, les tôles étant mises les unes au-dessus des autres. La partie rotorique active fonctionne ainsi d'une manière particulièrement avantageuse, tout en nécessitant peu de place. Il s'est avéré avantageux que l'élément rotorique 30 comprenne un support, auquel la partie rotorique active est retenue. La zone de réception est délimitée, par exemple, au moins en partie, et notamment complètement, par le support. En prévoyant à la fois la partie rotorique active et le support, on ménage une séparation des fonctions, dans laquelle la partie rotorique active sert, notamment, à guider le flux magnétique et peut être conçue pour cette fonction et optimisée en conséquence. Le support sert, notamment, à retenir la partie rotorique active, ainsi qu'à délimiter la zone de réception, si bien que le support peut aussi être adapté à ces fonctions et y être optimisé. En d'autres termes, les fonctions de l'élément rotorique sont subdivisées sur deux composants assemblés, notamment entre eux, mécaniquement sous la forme du support et de la partie rotorique active, ce qui emporte les avantages mentionnés.

Il s'est, en outre, avéré avantageux que la partie rotorique active et le support soient reliés entre eux à complémentarité de forme et/ou à complémentarité de force. La partie rotorique active est ainsi, d'une part, fixée d'une manière particulièrement rigide au support.

D'autre part, on peut se dispenser ainsi d'éléments de liaison pondéreux et prenant de la place, qui sont destinés à relier la partie rotorique active au support. Cela est bon pour que le dispositif de traction ait besoin de peu de place.

Dans le dispositif de traction suivant le deuxième aspect de l'invention, il est prévu que la zone de réception soit délimitée, au moins en partie, par un support sensiblement en forme de manchon de l'élément rotorique. En d'autres termes, le support est sensiblement en forme de manchon. Dans le deuxième aspect, notamment la fonction mécanique de l'élément rotorique, et notamment du support, sont pris en compte, de manière à adapter celui-ci aux conditions provenant de l'intégration du dispositif de transmission dans l'élément rotorique, et ainsi à l'optimiser. L'invention prend ainsi en compte la fonction magnétique de l'élément rotorique, et notamment de la partie rotorique active, dans le cas du premier aspect de l'invention, et la fonction mécanique de l'élément rotorique, et notamment du support, dans le cas du deuxième aspect de l'invention. Des modes de réalisation du premier aspect de l'invention doivent être considérés comme des modes de réalisation avantageux, du deuxième aspect de l'invention et inversement. En raison de la structure tubulaire, de préférence à paroi mince, du support en forme de manchon, celui-ci n'a besoin que de très peu de place, notamment dans la direction radiale. En outre, on dispose à l'intérieur du support de relativement beaucoup de place pour y mettre le dispositif de transmission.

Le support, de préférence ajouré, est adapté, en ce qui concerne sa section transversale, à la transmission des couples de rotation et est ainsi optimisé, de sorte que l'on peut transmettre et/ou transformer, même des couples de rotation relativement

sur grands de un espace construction seulement très petit. Il s'ensuit que le dispositif de traction suivant l'invention a une puissance spécifique très grande. Dans un mode de réalisation du deuxième aspect de l'invention, il est prévu que l'élément rotorique comprenne une partie rotorique active retenue sur le support pour le guidage du flux magnétique de la machine électrique, la partie rotorique active et le support étant reliés entre eux à complémentarité de forme et/ou à complémentarité de force et étant ainsi reliés entre eux d'une manière particulièrement rigide et prenant peu de place.

Pour avoir besoin de particulièrement peu de place, il est prévu, dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, que l'élément rotorique et le dispositif de transmission soient disposés, au moins coaxialement, l'un par rapport à l'autre. En d'autres termes, au moins un certain nombre d'éléments tournants du dispositif de transmission sont disposés coaxialement à l'élément rotorique. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, le dispositif de transmission comprend une transmission différentielle. Le véhicule automobile peut ainsi être tracté d'une manière particulièrement avantageuse au moyen du dispositif de traction, puisque la transmission différentielle rend possible des vitesses de rotation différentes des roues, par exemple dans un trajet en courbe, sans qu'il se produise une déformation du dispositif de transmission. La transmission différentielle est disposée ainsi, au moins en partie, et notamment complètement, dans la zone de réception. Cela est avantageux dans la mesure où, en mettant le dispositif de transmission, et notamment l'entraînement différentiel, au moins essentiellement dans le milieu axial de l'élément rotorique, on peut obtenir une courbe particulièrement avantageuse d'un flux de force ou d'un flux de couple de rotation de la machine électrique aux roues du véhicule automobile en passant par le dispositif de transmission. Le flux de force et/ou de couple de rotation a lieu au moins essentiellement à partir du milieu axial de l'élément rotorique, par exemple directement sur les arbres d'entraînement respectifs des roues, sans que le flux de force ou le flux de couple ait à être appliqué d'abord à un premier côté axial et ensuite à un deuxième côté axial opposé de la machine électrique. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, il est prévu que le dispositif de transmission comprenne au moins un étage de transmission qui peut être entraîné par la machine électrique, la transmission différentielle pouvant être entraînée par l'intermédiaire de l'étage de transmission et l'élément rotorique par la machine électrique. Cela signifie que la transmission différentielle est montée en série avec l'étage de la transmission et en aval de celui-ci. C'est ainsi, par exemple, que l'on peut avoir une démultiplication du couple de rotation mis à disposition par la machine électrique par l'étage de transmission avant que les couples de rotation soient appliqués à la transmission différentielle. Le dispositif de transmission peut être à un seul étage, en ayant seulement un étage de transmission. Dans un mode de réalisation avantageux, le dispositif de transmission est à plusieurs étages, en ayant au moins deux étages de transmission, qui sont montés de préférence en série l'un par rapport à l'autre. Tous les étages du dispositif de transmission sont disposés, de préférence au moins en partie, et notamment complètement, dans la zone de réception, notamment sensiblement, dans le milieu axial de l'élément rotorique. Par cet agencement des étages de transmission, et le cas échéant de la transmission différentielle axialement dans l'élément rotorique, le dispositif de traction a besoin de très peu de place. Si le dispositif de traction comprend la transmission différentielle et la multiplicité d'étages de transmission montés en série les uns par rapport aux autres, il est prévu, pour la réalisation d'un fonctionnement particulièrement avantageux, ainsi que besoin de peu de place, que la transmission différentielle puisse être entraînée par le dernier des étages de transmission montés en série les uns par M rapport aux autres. Les étages de transmission et la transmission différentielle peuvent ainsi être reliés en série les uns avec les autres, conformément au flux de force et/ou de couple de rotation. Le au moins un étage de transmission du dispositif de 15 transmission est, de préférence, un engrenage planétaire. Un engrenage planétaire de ce genre a une très grande puissance spécifique et peut mettre à disposition aussi des démultiplications très grandes, tout en n'ayant besoin que de très peu de place. On remarquera toutefois 20 ici que le au moins un étage de transmission peut avoir aussi un autre mode de réalisation. L'engrenage planétaire a une roue solaire, qui est reliée, de préférence, au support. La roue solaire est ainsi entraînée par le support, la roue solaire servant 25 d'élément d'application de l'engrenage planétaire. On applique ainsi par la roue solaire à l'engrenage planétaire les couples de rotation mis à disposition par la machine électrique. Dans une variante, l'engrenage planétaire a au moins une 30 roue à denture intérieure, qui est fixée. Cela signifie que la roue à denture intérieure ne tourne pas autour d'un axe autour duquel la roue solaire tourne pendant le fonctionnement du dispositif de traction. Mais on pourrait songer aussi de la même façon, le cas échéant, à une roue à denture intérieure qui tourne. On pourrait songer aussi à monter le support directement sur le diamètre extérieur de la roue à denture intérieure, par exemple au moyen d'un palier lisse, comme dans des turbocompresseurs, ou au moyen de paliers à aiguilles. Pour obtenir un besoin de place petit ainsi qu'un nombre petit de pièces, il est prévu avantageusement que la roue fixe à denture intérieure de l'engrenage planétaire soit intégrée dans un élément de carter du dispositif de traction, notamment du dispositif de transmission. En d'autres termes, la roue à denture intérieure et l'élément du carter sont formés en étant d'un seul tenant l'un avec l'autre. Il est prévu, en outre, avantageusement que l'engrenage planétaire comprenne une cage, sur laquelle est monté au moins un élément de roue planétaire de l'engrenage 20 planétaire. La cage de l'engrenage planétaire est reliée à l'entraînement différentiel. Cela signifie que la cage de l'engrenage planétaire sert d'élément de sortie de l'engrenage planétaire, par lequel les couples de rotation sont sortis de l'engrenage planétaire et 25 transmis à la transmission différentielle. On peut ainsi obtenir des démultiplications particulièrement avantageuses. La transmission différentielle est constituée, de préférence, sous la forme d'une transmission 30 différentielle à roue conique. Des couples de rotation peuvent ainsi être transmis d'une manière efficace et prenant peu de place à des arbres d'entraînement couplés à la transmission différentielle ou pouvant l'être. Mais on peut songer aussi à d'autres modes de réalisation. En raison de l'intégration du dispositif de transmission, et notamment de la transmission différentielle dans l'élément rotorique, il est rendu possible avantageusement de faire passer les arbres d'entraînement directement, c'est-à-dire sans détour, sur le côté respectif de la machine électrique. Cela signifie que dans le flux de force et/ou de couple de rotation de la transmission différentielle aux roues, il n'est pas prévu d'autres démultiplications et que le flux de force et/ou de couple de rotation passe ainsi sans démultiplication. Cela joue en faveur du peu de besoin de place. L'intégration du dispositif de transmission dans l'élément rotorique rend possible, en outre, l'obtention de démultiplications avantageuses. Si le dispositif de transmission a plusieurs étages et a au moins deux étages de transmission, il est prévu avantageusement qu'un premier des étages de transmission soit un premier engrenage planétaire et que le deuxième étage de transmission soit un deuxième engrenage planétaire. Le deuxième engrenage planétaire peut être entraîné ainsi par le premier engrenage planétaire. Si la transmission différentielle est prévue, celle-ci 25 est montée en série avec les engrenages planétaires montés en série l'un par rapport à l'autre et est entraînée par le deuxième engrenage planétaire. De préférence, une première roue solaire du premier engrenage planétaire est solidaire en rotation du support 30 de l'élément rotorique, de sorte qu'ainsi les couples de rotation peuvent être appliqués d'abord par l'intermédiaire du support et par la première roue solaire au premier engrenage planétaire. Pour l'obtention d'un montage particulièrement avantageux des engrenages planétaires, il est prévu, en outre, par 5 exemple, que le premier engrenage planétaire ait une première cage, sur laquelle est monté au moins un premier rouage du premier engrenage planétaire, la première cage étant couplée à une deuxième roue solaire du deuxième engrenage planétaire. Les couples de rotation sortent 10 ainsi du premier engrenage planétaire par l'intermédiaire de la première cage et sont transmis à la deuxième roue solaire, par laquelle les couples de rotation sont appliqués au deuxième engrenage planétaire. Si le dispositif de transmission a au moins un autre 15 étage de transmission constitué sous la forme d'un autre engrenage planétaire, le montage mentionné à propos du premier et du deuxième engrenages planétaires se répète conformément au nombre des étages de transmission. Il est prévu à cet égard avantageusement que la première 20 ou la dernière cage du deuxième ou du dernier engrenage planétaire soit reliée à la transmission différentielle. Le deuxième engrenage planétaire comprend aussi au moins une deuxième roue à denture intérieure, qui est fixe ou qui est fixée et qui ne tourne pas autour d'un axe de 25 rotation, autour duquel les engrenages à roue planétaire ou les roues solaires et les cages tournent. Avantageusement, la deuxième roue à denture intérieure est intégrée dans un élément du carter du dispositif de traction, notamment du dispositif de transmission, ce qui 30 se traduit par un poids petit, ainsi que par un petit nombre de pièces. De préférence, toutes les roues à denture intérieure de tous les engrenages planétaires sont ainsi intégrées dans l'élément du carter ou dans un élément du carter respectif du dispositif de traction, notamment du dispositif de transmission.

Pour la réalisation d'un refroidissement et/ou d'une lubrification avantageuse, efficace et réelle du dispositif de traction, il est prévu dans un autre mode de réalisation un dispositif d'alimentation en fluide ayant au moins une canalisation pour du fluide. Par la canalisation pour du fluide, on peut alimenter au moins un point de refroidissement et/ou de lubrification du dispositif de traction par du fluide de lubrification et/ou refroidir le point de refroidissement et/ou de lubrification.

La canalisation pour du fluide s'étend au moins dans une première sous-zone d'un premier élément fixe du dispositif de traction et dans au moins une deuxième sous-zone se raccordant dans la direction d'écoulement du fluide pour le point de refroidissement et/ou de lubrification à la première sous-zone par la canalisation pour du fluide, la deuxième sous-zone étant dans un deuxième élément du dispositif de traction pouvant tourner autour d'un axe par rapport au premier élément. Cela signifie que l'accès du fluide a lieu d'abord dans le premier élément fixe et qu'il ne tourne pas. Ensuite, le fluide est conduit au moyen de la canalisation pour du fluide au deuxième élément, qui peut tourner ou qui tourne. On peut ainsi d'une manière réelle et efficace refroidir et/ou lubrifier au moins un élément du dispositif de traction par l'intermédiaire du point de refroidissement et/ou de lubrification, de manière à pouvoir assurer une fonctionnalité souhaitée du dispositif de traction, même pendant une grande durée de vie. Par le refroidissement et/ou par la lubrification, on peut maintenir à un niveau faible des processus d'usure 5 de rouages du dispositif de transmission et/ou des pertes par frottement de paliers du dispositif de traction. Le fluide peut être utilisé aussi pour évacuer de la chaleur perdue, de manière à pouvoir refroidir, notamment par refroidissement par convexion, des éléments du W dispositif de traction, associés notamment au dispositif de transmission et disposés, au moins en partie, dans la zone de réception. C'est ainsi que l'on peut maintenir dans une plage étroite la température de fonctionnement du dispositif de traction. 15 Dans un mode de réalisation particulièrement avantageux de l'invention, le deuxième élément est un arbre qui peut tourner autour de l'axe de rotation, notamment l'un des arbres d'entraînement. Le fluide peut ainsi être guidé d'une manière simple sur un trajet relativement long. 20 Cela permet, en outre, de répartir avantageusement le fluide sur une multiplicité de points de refroidissement et/ou de lubrification éventuellement présents du dispositif de traction. Dans un autre mode de réalisation avantageux de 25 l'invention, la canalisation pour du fluide s'étend dans une première zone de canalisation dans l'arbre dans la direction axiale et dans une deuxième zone de canalisation se raccordant à la première zone de canalisation dans la direction radiale de l'arbre. 30 L'agent de lubrification peut passer ainsi de la première zone de canalisation à la deuxième zone de canalisation. Le tracé radial de la deuxième zone de canalisation est avantageux, dans la mesure où le fluide peut être transporté au moyen de la force centrifuge en raison de la rotation de l'arbre aux points de refroidissement et/ou de lubrification en passant par la deuxième zone de canalisation. On peut ainsi maintenir à un niveau particulièrement bas le coût de transport du fluide. Pour obtenir les zones de canalisation dans l'arbre, l'arbre est constitué, par exemple, sous la forme d'un arbre creux. Les zones de canalisation sont formées, par exemple, par des trous de l'arbre, notamment de l'arbre ceux. De préférence, la deuxième zone de canalisation débouche sur le point de refroidissement et/ou de lubrification. Le fluide transporté dans la deuxième zone de canalisation au moyen de la force centrifuge peut ainsi sortir au moins sensiblement directement aux points de refroidissement et/ou de lubrification et refroidir et/ou notamment lubrifier les éléments correspondants du dispositif de traction. Il est ainsi, par exemple, possible de lubrifier et de refroidir au moins un rouage à refroidir et à lubrifier et/ou un palier à refroidir et à lubrifier, notamment des paliers de roulement du dispositif de traction. Des éléments d'étanchéité, comme par exemple des bagues à lèvre avec ressort, peuvent être lubrifiés aussi au moyen de ce système pour empêcher une défaillance prématurée ou pour minimiser des pertes par frottement.

La force centrifuge en raison de la rotation du deuxième élément, notamment de l'arbre, transporte le fluide sur les parois du dispositif de traction, notamment du dispositif de transmission. Le fluide se refroidit sur les parois et s'accumule, notamment par gravitation, en au moins un point du carter le plus bas. Dans un autre mode de réalisation avantageux de 5 l'invention, le premier élément fait partie du carter du dispositif de traction. La partie du carter est, par exemple, une partie du carter du dispositif de transmission et ainsi un carter de la transmission. On réalise ainsi un guidage particulièrement simple et en 10 même temps efficace et réel du fluide. De préférence, la partie du carter est disposée, au moins en partie, dans la zone de réception. Cela fait que le dispositif de traction suivant l'invention a besoin de particulièrement peu de place. 15 De préférence, la partie du carter peut être refroidie au moyen du fluide. En d'autres termes, on utilise le fluide pour évacuer de la chaleur perdue de la partie du carter, de manière à pouvoir maintenir à un niveau bas la température de fonctionnement du dispositif de traction, 20 et notamment du dispositif de transmission. Si la partie du carter est associée au dispositif de transmission, de la chaleur peut être évacuée par le fluide sur une surface du carter pour le refroidissement par convexion vers ce qui entoure la partie du carter. 25 Il est notamment possible dans le dispositif de traction suivant l'invention à la fois de refroidir et de lubrifier des éléments du dispositif de traction au moyen du fluide. Le refroidissement s'effectue, par exemple, en raison du passage du fluide dans la canalisation pour du 30 fluide. En variante ou en plus, le refroidissement s'effectue par le fait que le fluide est évacué d'un réservoir pour du fluide, dans lequel le fluide s'accumule en aval du point de refroidissement et/ou de lubrification par au moins un canal d'évacuation et passe dans le canal d'évacuation. Lors de ce passage, de la chaleur est évacuée. La lubrification des éléments correspondants s'effectue, par exemple, par le fait que le fluide sort de la canalisation pour du fluide, l'élément à lubrifier étant ainsi alimenté en le fluide.

Dans un autre mode de réalisation particulièrement avantageux de l'invention, il est prévu dans la direction radiale entre la partie du carter disposée, au moins en partie, dans la zone de réception et l'élément rotorique au moins un intervalle d'air, par lequel l'élément rotorique peut être refroidi par la partie du carter refroidie par du fluide. On peut ainsi maintenir aussi la température de fonctionnement de l'élément rotorique à un niveau bas, ce qui est bon pour la capacité de fonctionnement et pour la puissance du dispositif de traction. Il peut être, en outre, prévu que la machine électrique puisse fonctionner suivant un fonctionnement en génératrice, de sorte que, par exemple, de l'énergie mécanique appliquée, par l'intermédiaire des roues entraînées du véhicule automobile, par le dispositif de transmission et par le rotor, au moteur électrique puisse être transformée, au moins en partie, en énergie électrique. Une récupération de l'énergie de freinage peut ainsi, par exemple, être effectuée.

Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, il est prévu au moins un échangeur de chaleur pour refroidir le fluide, échangeur de chaleur qui est monté en amont de la première sous-zone. Cela signifie que le fluide est refroidi d'abord par l'échangeur de chaleur, avant d'être envoyé dans la canalisation pour du fluide s'étendant dans le premier élément. Au moyen de l'échangeur de chaleur, on peut établir notamment des températures basses du fluide, de sorte que l'on peut refroidir d'une manière particulièrement efficace et bonne et/ou lubrifier les éléments correspondants à lubrifier et/ou à refroidir. 10 L'échangeur de chaleur est disposé avantageusement à l'extérieur du dispositif de transmission et de l'élément rotorique, et notamment à l'extérieur de la zone de réception, de manière à pouvoir effectuer un transfert de chaleur avantageux du fluide chaud à ce qui entoure 15 l'échangeur de chaleur par l'intermédiaire de l'échangeur de chaleur. Suivant un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, il est prévu au moins un dispositif de pompage, au moyen duquel du fluide recueilli dans le 20 réservoir pour du fluide peut être transporté hors du réservoir. Le fluide peut être sorti aussi du réservoir à des accélérations transversales relativement grandes, de sorte que la lubrification et/ou le refroidissement du dispositif de traction est assuré même en présence de 25 forces transversales de ce genre. Il est notamment possible, au moyen du dispositif de pompage, de pomper le fluide accumulé dans le réservoir et réchauffé hors du réservoir, que l'on peut désigner aussi comme étant un carter d'huile, et de l'envoyer à 30 l'échangeur de chaleur pour le refroidissement du fluide. Ensuite, le fluide refroidi est envoyé dans la canalisation pour du fluide s'étendant dans le premier élément, de manière à fermer un circuit de fluide. Dans un autre mode de réalisation avantageux, il est prévu au moins deux points de refroidissement et/ou de lubrification, respectivement au moins une zone de 5 canalisation étant associée aux points de refroidissement et de lubrification. Par les zones de la canalisation pour du fluide, les points de refroidissement et/ou de lubrification peuvent être alimentés respectivement en du fluide, de sorte que des éléments correspondants peuvent 10 être refroidis et/ou lubrifiés par les points respectifs de refroidissement et/ou de lubrification. Les zones de canalisation ont à cet égard des sections transversales d'écoulement, dans lesquelles passe respectivement le fluide, qui ont des dimensions 15 différentes l'une de l'autre. En d'autres termes, les sections transversales d'écoulement des zones de la canalisation sont adaptées aux éléments correspondants, qui sont désignés aussi comme étant des consommateurs, de manière à pouvoir optimiser le courant du fluide passant 20 dans le circuit pour du fluide. Le point de refroidissement et/ou de lubrification peut être désigné d'une manière compréhensive également comme un point de consommateur. Pour réaliser un transport particulièrement avantageux du 25 fluide, ainsi que pour obtenir une alimentation conforme aux besoins du point de refroidissement et/ou de lubrification en fluide, il est prévu suivant un autre mode de réalisation un dispositif de pompage pour véhiculer le fluide, au moyen duquel la pression du 30 fluide est réglable. On peut effectuer, notamment, une régulation de la pression au moyen du dispositif de pompage, de sorte que la pression du fluide peut être adaptée, par exemple, à des situations de marche différentes. Le dispositif de pompage peut être le dispositif de pompage au moyen duquel le fluide peut être transporté hors du réservoir pour du fluide.

Dans un autre mode de réalisation de l'invention, il est prévu un dispositif de refroidissement ayant au moins une canalisation de refroidissement pour le refroidissement d'un stator de la machine électrique. La canalisation de refroidissement peut être parcourue par le fluide, au moyen duquel le stator doit être refroidi. En d'autres termes, le fluide sert à la fois au refroidissement et/ou à la lubrification du point de refroidissement et/ou de lubrification et au refroidissement du stator. Le refroidissement et/ou la lubrification du dispositif de transmission est combiné au refroidissement du stator, le refroidissement et/ou la lubrification du dispositif de transmission et le refroidissement du stator étant réalisés au moyen du fluide suivant un agencement en série ou en parallèle de chaque circuit pour du fluide.

Par cet agencement, on peut maintenir à une valeur particulièrement basse le coût du refroidissement et/ou de la lubrification du dispositif de traction, de manière à n'avoir besoin que de très peu de place. En tirant parti de la force centrifuge, on peut, en outre, maintenir à un niveau bas le coût du transport de fluide. Par une utilisation en variante ou supplémentaire du dispositif de pompage et de la possibilité de réglage de la pression du fluide, on peut rendre possible une lubrification sous pression et/ou un refroidissement sous pression, de sorte que les éléments correspondants du dispositif de traction peuvent être alimentés en une quantité correspondante de fluide, d'une manière particulièrement conforme aux besoins. Dans le dispositif de traction suivant l'invention, un refroidissement central de tous les éléments à refroidir du dispositif de traction, et notamment des dispositifs de transmission, ainsi qu'une lubrification centrale de tous les éléments à lubrifier, et notamment tournants, du dispositif de traction, notamment du dispositif de transmission, est possible. En utilisant le fluide également pour le refroidissement de la machine électrique, on peut étendre la fonctionnalité, d'une manière peu coûteuse et prenant peu de place, tout en réalisant un mode de construction très ramassé du dispositif de traction. En outre, dans le dispositif de traction, il peut être prévu de relier ensemble de manière amovible non sans destruction deux éléments reliés de manière rigide entre eux du dispositif de traction. On peut ainsi se dispenser et faire l'économie de moyens de liaison, comme par exemple des vis ou analogues, pouvant se défaire de manière réversible des éléments à relier fixement entre eux, ainsi que de zones de fixation correspondantes pour ces moyens de fixation, ce qui se traduit par le fait que le dispositif de traction suivant l'invention a besoin de particulièrement peu de place.

Des liaisons qui peuvent se défaire de manière réversible et qui comprennent, par exemple, des liaisons par bride entre les éléments à relier rigidement les uns aux autres nécessitent beaucoup de place et se traduisent par un grand poids. Comme des moyens de liaison de ce genre ne sont plus nécessaires, pour la réalisation d'une liaison qui se défait de manière réversible des éléments reliés entre eux de manière rigide dans le dispositif de traction, et ne sont pas prévus, ce dispositif de traction a aussi un poids très petit. Comme il n'est pas non plus prévu de liaisons par bride et qu'elles ne sont pas nécessaires, on peut maintenir l'espace radial occupé par le dispositif de traction à une valeur particulièrement petite. Le besoin de place radiale particulièrement petit rend possible l'obtention de rendements particulièrement grands du dispositif de transmission et de la machine électrique, de sorte que le véhicule automobile peut être tracté au moyen du dispositif de traction d'une manière efficace énergétiquement et en ayant une grande autonomie. Le dispositif de traction a aussi des coûts petits, puisque les éléments reliés ensemble d'une manière rigide peuvent, en raison de leur liaison entre eux ne pouvant pas être défaite sans destruction, être produits avec du matériau ajouré et en ayant ainsi une dépense de matériau petite. En outre, la liaison qui ne peut pas être défaite sans destruction des éléments reliés rigidement entre eux est très sûre vis-à-vis d'une défaillance, car il n'est pas prévu des moyens de liaison qui peuvent se détacher pendant le fonctionnement du dispositif de traction. La conformation ajourée et ainsi légère des éléments reliés entre eux d'une manière rigide rend possible par exemple, même si les éléments à relier entre eux d'une manière rigide sont des éléments qui tournent pendant le fonctionnement du dispositif de traction, la réalisation de moments d'inertie particulièrement petits du dispositif de traction.

Dans un mode de réalisation avantageux de l'invention, les éléments à relier entre eux de manière rigide sont reliés entre eux par complémentarité de matière. Cela rend possible une liaison particulièrement rigide, ainsi que peu coûteuse et prenant peu de place. Les éléments reliés entre eux d'une manière rigide peuvent être collés les uns aux autres.

Dans un mode de réalisation particulièrement avantageux de l'invention, les éléments à relier entre eux de manière rigide sont soudés entre eux et sont ainsi reliés d'une manière particulièrement rigide les uns aux autres. On peut ainsi transmettre, par exemple, des couples de rotation très grands entre les éléments. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, les éléments à relier entre eux d'une manière rigide sont reliés entre eux par soudage, par faisceau d'électrons et/ou par soudage par faisceau laser. Par le soudage par faisceau d'électrons et par le soudage par faisceau laser, on peut relier entre eux d'une manière rigide en peu de temps et ainsi à peu de frais les éléments à relier rigidement entre eux. Le soudage par faisceau d'électrons, qui est désigné aussi par EB-Welding est notamment particulièrement avantageux, puisque le soudage par faisceau d'électrons a un rendement très grand et peut s'effectuer de manière efficace. On notera toutefois ici que l'on peut utiliser aussi une 25 autre technique de liaison, notamment qui ne peut pas se défaire, des éléments à relier entre eux d'une manière rigide. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, le premier des éléments à relier entre eux 30 rigidement est un élément d'un carter de transmission du dispositif de transmission. L'autre élément ou d'autres éléments du dispositif de traction peuvent ainsi être fixés en prenant peu de place sur l'élément, notamment fixe, du carter de transmission. Dans un autre mode de réalisation de l'invention, il est 5 prévu que le deuxième des éléments à relier rigidement entre eux soit un deuxième élément du carter de transmission du dispositif de transmission. Cela signifie que le carter de transmission est en au moins deux parties et comprend le premier et le deuxième éléments de 10 carter qui sont reliés entre eux d'une manière prenant peu de place. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, le dispositif de transmission comprend un engrenage planétaire ayant une cage, sur laquelle 15 s'appuie au moins un élément de roue planétaire de l'engrenage planétaire. La cage comprend une première partie de cage comme le premier des éléments à relier entre eux rigidement et une deuxième partie de cage comme le deuxième des éléments à relier rigidement. Cela 20 signifie que la cage est au moins en deux parties en ayant des deux parties de cage, qui sont reliées entre elles, en étant notamment soudées d'une manière prenant peu de place et peu coûteuse. Pour la réalisation d'un montage avantageux de la cage, 25 et notamment pour l'implantation simple de la cage ayant les éléments de roue planétaire, il est prévu avantageusement que les parties de la cage soient disposées les unes à côté des autres dans la direction axiale. Cela signifie que la cage planétaire est réalisée 30 en étant subdivisée axialement. Dans cadre de fabrication du dispositif traction, on monte, par exemple, d'abord l'élément de roue planétaire sur l'une des parties de la cage, puis on relie, de manière qui ne peut pas être défaite sans destruction, l'une des parties de la cage à l'autre 5 partie de la cage, notamment en les soudant. De préférence, tous les éléments de roue planétaire de l'engrenage planétaire sont montés d'abord sur l'une des parties de cage, puis les parties de cage sont reliées entre elles d'une manière ne pouvant pas être défaites 10 sans destruction. Dans un autre mode de réalisation de l'invention, le dispositif de transmission comprend une transmission différentielle ayant un panier différentiel, sur lequel des pignons satellites de la transmission différentielle 15 sont montés et qui comprend une première partie de panier en tant que premier des éléments à relier entre eux de manière rigide et une deuxième partie de panier en tant que deuxième des éléments à relier entre eux de manière rigide. La transmission différentielle rend possible une 20 traction très avantageuse du véhicule automobile par le dispositif de traction, puisqu'au moyen de la transmission différentielle des vitesses de rotation différentes de roues du véhicule entraînées par la transmission différentielle sont rendues possibles, par 25 exemple lorsque le véhicule automobile est dans un tournant, sans qu'il se produise une déformation du dispositif de traction. Par le mode de réalisation en au moins deux pièces de la transmission différentielle ou de son panier différentiel 30 ayant les deux parties de panier, les pignons satellites et/ou ce que l'on appelle les roues d'arbre peuvent être montés rapidement et à peu de frais, d'abord sur l'une des parties du panier, puis les parties du panier sont reliées entre elles sans que la liaison puisse être défaite sans destruction, en étant notamment soudées. Ce que l'on appelle les roues d'arbre sont ainsi couplées 5 aux arbres de traction ou peuvent l'être, les roues du véhicule automobile étant entraînées par les arbres de traction. Pour obtenir un montage particulièrement simple de la transmission différentielle, les parties du panier sont 10 disposées l'une à côté de l'autre dans la direction axiale. Cela signifie que les parties du panier sont subdivisées axialement dans un mode de réalisation avantageux. Dans le cadre de la fabrication du dispositif de 15 traction, il est prévu, par exemple, que toutes les pignons satellites et/ou toutes les roues d'arbre de la transmission différentielle soient montées sur l'une des parties du panier, puis qu'une partie du panier soit reliée à l'autre partie du panier, sans que la liaison 20 puisse être défaite sans destruction et ainsi d'une manière prenant particulièrement peu de place. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, un premier des éléments reliés entre eux de manière rigide est un premier rouage du dispositif de 25 transmission et le deuxième des éléments à relier entre de manière rigide est un deuxième rouage du dispositif de transmission. Une transmission du couple de rotation particulièrement avantageuse est ainsi rendue possible entre les deux rouages. 30 Si les rouages sont disposés coaxialement l'un à l'autre et sont à distance l'un de l'autre dans la direction axiale, il devient possible, en raison de la liaison qui ne peut pas être défaite sans destruction des rouages, de transmettre un couple de rotation entre les rouages, bien que ceux-ci ne soient pas en prise par des dentures respectives. Dans un autre mode de réalisation avantageux de l'invention, le premier rouage est associé à un premier étage d'engrenage et le deuxième rouage est associé à un deuxième étage d'engrenage du dispositif de transmission. Il devient ainsi possible de transmettre d'une manière efficace et prenant peu de place entre les divers étages de la transmission des couples de rotation particulièrement grands, sans avoir à mettre en prise les étages de la transmission par des dentures respectives et sans avoir à les accoupler ainsi entre eux. De préférence, tous les rouages, qui sont les éléments du dispositif de transmission et qui sont reliés entre eux de manière rigide, sont reliés entre eux d'une manière qui ne peut pas être défaite sans destruction. On obtient ainsi une transmission efficace et prenant peu de place, même de couples de rotation très grands entre les rouages, ce qui se traduit par un grand rendement du dispositif de transmission, et ainsi du dispositif de traction. Dans un autre mode de réalisation de l'invention, il est prévu que l'un des éléments à relier entre eux de manière rigide soit une roue solaire d'un engrenage planétaire. On peut ainsi transmettre des couples de rotation d'une manière très efficace et avantageuse à la roue solaire. La roue solaire sert, par exemple, d'élément d'entrée de l'engrenage planétaire correspondant. En d'autres termes, des couples de rotation mis à disposition par la machine électrique sont appliqués par la roue solaire à l'engrenage planétaire correspondant. Il est à cet effet avantageux que la roue solaire soit un 5 premier des éléments a relier entre eux de manière rigide, au moins l'un des éléments du carter étant le deuxième des éléments à relier entre eux de manière rigide. Les couples de rotation mis à disposition par la machine électrique peuvent ainsi être transmis par 10 l'intermédiaire de l'élément rotorique et par le au moins un élément du carter à la roue solaire et être appliqué à l'engrenage planétaire correspondant. Il est possible en variante que la roue solaire soit un premier des éléments à relier entre eux de manière 15 rigide, une cage d'un autre engrenage planétaire du dispositif de transmission qui est montée en amont du premier engrenage planétaire ayant la roue solaire étant le deuxième des éléments à relier entre eux de manière rigide. La cage peut être ainsi la cage mentionnée 20 précédemment. Par cette liaison qui ne peut pas être défaite sans destruction de la cage de l'autre engrenage planétaire à la roue solaire du premier engrenage planétaire monté en aval de l'autre engrenage planétaire, les deux engrenages 25 planétaires sont reliés entre eux d'une manière efficace et prenant peu de place, de sorte que l'on peut transmettre aussi entre eux des couples de rotation particulièrement grands. Dans un autre mode de réalisation de l'invention, l'un 30 des éléments à relier entre eux de manière rigide est une cage d'un engrenage planétaire du dispositif de transmission. La cage peut être la cage mentionnée précédemment. La cage est avantageusement utilisée comme élément de sortie de l'engrenage planétaire associé. En d'autres termes, des couples de rotation appliqués à l'élément d'engrenage associé à la cage sont réalisés par l'intermédiaire de la cage à partir de l'engrenage planétaire associé et sont sortis de celui-ci. Dans un autre mode de réalisation particulièrement avantageux de l'invention, l'un des éléments à relier entre eux de manière rigide est un panier différentiel d'une transmission différentielle du dispositif de transmission. La transmission différentielle peut être la transmission différentielle mentionnée précédemment. Par ce mode de réalisation, on peut appliquer et en dériver des couples de rotation d'une manière particulière efficace, peu coûteuse et prenant peu de place à la transmission différentielle. Il est ainsi prévu, par exemple, que la transmission différentielle soit couplée à une cage d'un engrenage planétaire associé. La cage peut être la cage mentionnée précédemment. Cette cage est, notamment, un élément de sortie de l'engrenage planétaire associé, qui, rapporté au flux de force et/ou de couple de rotation de l'élément rotorique à la transmission différentielle, est le dernier de plusieurs étages de transmission du dispositif de transmission. Il est prévu avantageusement, notamment dans le dispositif de traction, que tous les essieux montés du dispositif de transmission soient reliés entre eux d'une manière qui ne peut pas être défaite sans destruction en vue d'un flux de force et/ou de couple de rotation. On rend possible ainsi une transmission prenant peu de place, même de couples de rotation très grands entre les essieux montés. D'autres avantages, caractéristiques et détails de l'invention ressortiront de la description qui va suivre 5 d'un exemple de réalisation préféré, ainsi que du dessin. Les caractéristiques et combinaisons de caractéristiques mentionnées précédemment dans la description, ainsi que les caractéristiques mentionnées dans ce qui suit dans la description des figures et/ou représentées seulement dans 10 les figures peuvent être utilisées non seulement dans la combinaison mentionnée respectivement, mais aussi dans d'autres combinaisons ou seules, sans sortir du cadre de l'invention. Au dessin : 15 la figure 1 est une vue en coupe longitudinale schématique d'un dispositif de traction pour un véhicule automobile, constitué par exemple sous la forme d'un véhicule hybride ou électrique, comprenant une machine 20 électrique qui a un élément rotorique, dans lequel un dispositif de transmission ayant deux étages de transmission avec une transmission différentielle montée en aval des étages de transmission est intégré ; 25 la figure 2 est une vue en coupe longitudinale schématique et en perspective du dispositif 10 de traction suivant la figure 1 ; et la figure 3 est une autre vue en coupe longitudinale schématique du dispositif de traction 30 suivant la figure 1. La figure 1 représente un dispositif 10 de traction d'un véhicule automobile qui est constitué par exemple sous la forme d'une voiture de tourisme. Le véhicule automobile peut être aussi sous la forme d'un véhicule hybride ou d'un véhicule électrique ayant notamment un range- extender. Le dispositif 10 de traction comprend une machine 12 électrique ayant un stator 14 représenté très schématiquement, ainsi qu'un élément 16 rotorique représenté très schématiquement. L'élément 16 rotorique comprend ce que l'on appelle une partie 18 rotorique active ayant un circuit magnétique constitué de bobines et/ou d'aimants, ainsi qu'un support 20, auquel la partie 18 rotorique active est fixée. L'élément 16 rotorique peut tourner autour d'un axe 22 de rotation.

Le dispositif 10 de traction comprend, en outre, un dispositif 24 de transmission, qui comprend comme premier étage de transmission un premier engrenage 26 planétaire, ainsi que comme deuxième étage de transmission un deuxième engrenage 28 planétaire.

Le premier engrenage 26 planétaire comprend une première roue 30 solaire, qui peut tourner autour de l'axe 22 de rotation et qui est couplée au support 20 du rotor. Cela signifie que des couples de rotation mis à disposition par la machine 12 électrique, par exemple dans un fonctionnement en moteur, peuvent être appliqués à la première roue 30 solaire par le support 20 du rotor, de manière à entraîner la première roue solaire du support 20 du rotor. Le premier engrenage 26 planétaire comprend une 30 multiplicité de premiers éléments 32 de roue planétaire, qui sont en prise avec la première roue 30 solaire par des dentures respectives. Les premiers éléments 32 de roue planétaire sont montés tournants sur de premiers axes 34 respectifs de roue planétaire autour d'axes 36 de rotation respectifs et sont appuyés par les premiers axes 34 de roue planétaire d'une première cage 38 du premier engrenage 26 planétaire. Les premiers éléments 32 de roue planétaire peuvent tourner aussi autour de l'axe 22 de rotation. Le premier engrenage 26 planétaire comprend, en outre, une première roue 40 fixe à denture intérieure, qui est intégrée dans un carter 42 du dispositif 24 de transmission. Cela signifie que le carter 42 et la première roue 40 à denture intérieure sont constitués d'une pièce l'un avec l'autre, la première roue 40 à denture intérieure ne tournant pas autour de l'axe 22 de rotation, lorsque le dispositif 10 de traction fonctionne. Les premiers éléments 32 de roue planétaire sont en prise avec la première roue 40 à denture intérieure par des dentures respectives.

Le deuxième engrenage 28 planétaire comprend une deuxième roue 44 solaire, qui peut tourner autour de l'axe 22 de rotation et qui est couplée ou reliée à la première cage 38. La deuxième roue 44 solaire est ainsi entraînée par la première cage 38, lorsque le dispositif 10 de traction est en fonctionnement. Le deuxième engrenage 28 planétaire comprend aussi une multiplicité de deuxièmes éléments 46 de roue planétaire, qui sont en prise avec la deuxième roue 44 solaire par des dentures respectives. Les deuxièmes éléments 46 de roue planétaire sont montés 30 tournant autour d'axes 50 de rotation respectifs sur des deuxièmes axes 48 de roue planétaire et peuvent tourner aussi autour de l'axe 22 de rotation. Le deuxième engrenage 28 planétaire comprend une deuxième roue 52 fixe à denture intérieure, qui entre en prise par respectivement des dentures respectives avec les deuxièmes éléments 46 de roue planétaire et qui est intégrée également dans le carter 42 de l'engrenage. Les deuxièmes éléments 46 de roue planétaire sont appuyés ou montés sur une deuxième cage 54 par leur deuxième axe 48 de roue planétaire.

Le dispositif 24 de transmission comprend, en outre, une transmission 56 différentielle ayant ce que l'on appelle un panier 58 de différentiel. La transmission 56 différentielle comprend également une multiplicité de pignons 60 satellites, qui sont montés tournants autour d'un axe 65 de rotation par des axes 62 respectifs de pignon sur le panier 58 de différentiel. La transmission 56 différentielle comprend, en outre, des roues 64 d'arbre, qui sont solidaires en rotation des arbres 66 d'entraînement par des dentures respectives.

Les arbres 66 d'entraînement ont des raccords 68 respectifs, par lesquels les roues entraînées du véhicule automobile peuvent être rendues solidaires en rotation des arbres 66 d'entraînement. Comme cela ressort de la figure 1, la transmission 56 différentielle est constituée sous la forme d'une transmission différentielle à roue conique, les pignons 60 satellites et les roues 64 d'arbre étant constitués en roues coniques et étant en prises entre eux par leur denture respective. La transmission 56 différentielle comprend, par exemple, quatre pignons 60 satellites. Comme cela peut se voir, en outre, à la figure 1, le dispositif 24 de transmission n'est pas bridé, par 5 exemple, près axialement à l'élément 16 rotorique, mais au contraire est intégré dans l'élément 16 rotorique. A cet effet, l'élément 16 rotorique délimite dans la direction radiale une zone 70 de réception, dans laquelle le dispositif 24 de transmission à deux étages est reçu 10 avec la transmission 56 différentielle. Il peut être prévu à cet effet que la transmission 56 différentielle et/ou le premier engrenage 26 planétaire dépasse en direction axiale certes de la partie 18 rotorique active ; toutefois ni la transmission 56 différentielle, 15 ni le premier engrenage 26 planétaire du support 20 du rotor ne dépasse en direction axiale, de sorte que les engrenages 26, 28 planétaires et la transmission 56 différentielle sont logés entièrement dans la zone 70 de réception et sont entourés dans la direction radiale 20 complètement par l'élément 16 rotorique, notamment par le support 20 du rotor, et en sont recouverts. Ce dépassement de la partie 18 rotorique active par la transmission 56 différentielle et/ou par le premier engrenage 26 planétaire dans la direction axiale peut 25 toutefois être évité pour un autre rapport de longueur du rotor/diamètre/vitesse de rotation/couple de rotation. On évite ainsi une perte d'espace de construction dans la direction axiale, puisque ni la transmission 56 différentielle, ni les engrenages 26, 28 planétaires ne 30 sont bridés à l'élément 16 rotorique. Il se produit, en outre, comme indiqué à la figure 1 par un tracé 72, une répartition directe et au moins sensiblement idéale des couples de rotation mis à disposition par la machine 12 électrique dans son fonctionnement moteur par l'intermédiaire de son élément 16 rotorique, au moins sensiblement à partir du centre axial de l'élément 16 rotorique sur les deux arbres 66 d'entraînement. Le tracé 72 caractérise un flux de force et/ou de couple de rotation de la machine 12 électrique dans son fonctionnement en moteur par l'intermédiaire de son élément 16 rotorique, et notamment de son support 20 de rotor, par l'intermédiaire des engrenages 26, 28 planétaires et de la transmission 56 différentielle aux arbres 66 d'entraînement. L'élément 16 rotorique, les engrenages 26, 28 planétaires et la transmission 56 différentielle sont, rapporté aux flux de force et/ou de couple de rotation (tracé 72), montés entre eux en série. La première roue 30 solaire sert de premier élément d'entrée du premier engrenage 26 planétaire, puisque les couples de rotation sont appliqués au premier 20 engrenage 26 planétaire par la première roue 30 solaire. La première cage 38 sert de premier élément de sortie du premier engrenage 26 planétaire, puisque les couples de rotation provenant du premier engrenage 26 planétaire sont appliqués par cette cage. 25 La deuxième roue 44 solaire reliée à la première cage 38 sert de deuxième élément d'entrée du deuxième engrenage 28 planétaire, tandis que la deuxième cage 54 du deuxième engrenage 28 planétaire sert de deuxième élément de sortie du deuxième engrenage 28 planétaire et 30 est reliée à la transmission 56 différentielle, notamment à son panier 58 de différentiel. En d'autres termes, le panier 58 de différentiel de la transmission 56 différentielle est entraîné par la deuxième cage 54, de sorte que par le panier 58 de différentiel, les pignons 60 satellites et par ceux-ci les roues 64 d'arbre sont mis en rotation autour de l'axe 22 de rotation. Les arbres 66 d'entraînement sont ainsi entraînés, de sorte qu'ils entraînent aussi en rotation l'axe 22 de rotation. Pour monter l'élément 16 rotorique, il est prévu des paliers 43, 45 de roulement. Il est prévu, en outre, un autre palier 47 de roulement pour monter le panier 58 de différentiel. Les arbres 66 d'entraînement sont montés au moyen de paliers 49, 51 de roulement. Par l'intégration des engrenages 26, 28 planétaires et de la transmission 56 différentielle dans l'élément 16 rotorique, ainsi que par le mode de réalisation correspondant des étages de transmission sous la forme des engrenages 26, 28 planétaires, le dispositif 10 de traction prend particulièrement peu de place et permet d'avoir une transmission efficace et bonne et une bonne transmission des couples de rotation produits par la machine 12 électrique aux arbres 66 d'entraînement. Comme on peut le voir, notamment, en regardant ensemble les figures 2 et 3, la partie 18 rotorique active a, pour guider le flux magnétique de la machine 12 électrique, une structure annulaire mince. La partie 18 rotorique active peut être fabriquée sous la forme d'un paquet de tôles, et notamment en mettant en paquet des tôles, notamment des tôles électriques. En variante, on pourrait songer aussi, entre autres, à des matériaux à magnétisme doux, qui peuvent se mouler par injection, par exemple comme des matières plastiques, ou à des bobines à air sans fer.

Comme il ressort, en outre, des figures 1 à 3, le support 20 du rotor est sensiblement en forme de manchon, c'est-à-dire sous la forme d'un tube à paroi mince et est d'un seul tenant, de sorte que des zones de liaison et des éléments de liaison prenant de la place et ayant du poids ne sont pas prévus et ne sont pas nécessaires pour relier plusieurs parties de support de rotor entre elles. Cela contribue au peu de place dont à besoin le dispositif 10 de traction.

On voit, en outre, aux figures 2 et 3 des éléments 74, 76, 78 d'étanchéité. Au moyen du premier élément 74 d'étanchéité, le support 20 du rotor est rendu étanche vis-à-vis d'un élément 80 d'un carter 82 du dispositif 10 de traction.

Le carter comprend un deuxième élément 84, qui est relié au premier élément 80 et sur lequel est fixé le stator 14 de la machine 12 électrique. Par le premier élément 80, le carter 42 est fixé au deuxième élément 84, de manière à être fixe et ne pas tourner autour de l'axe 22 de rotation. Au moyen du deuxième élément 76, d'étanchéité, l'arbre 66 d'entraînement gauche, rapporté au plan des figures 1 à 3, est rendu étanche vis-à-vis du carter 42 fixe de la transmission. Le troisième élément 78 d'étanchéité sert à rendre étanche l'arbre 66 d'entraînement droit vis-à-vis du carter 82. On voit aussi à la figure 3 un résolveur 86 de la machine 12 électrique. On voit, notamment à la figure 3, la structure ramassée du dispositif 10 de traction et le peu de place dont il à 30 besoin, tant dans la direction axiale que dans la direction radiale.

Claims (13)

1. REVENDICATIONS1. Dispositif (10) de traction pour un véhicule automobile, ayant au moins une machine (12) électrique comprenant au moins un élément (16) rotorique, au moins un dispositif (24) de transmission, qui peut être entraîné par la machine (12) électrique par l'intermédiaire de l'élément (16) rotorique et qui est disposé, au moins en partie, dans une zone (70) de réception délimitée en direction radiale par l'élément (16) rotorique, caractérisé en ce qu'une partie (18) rotorique active associée à l'élément rotorique a une structure annulaire pour le guidage du flux magnétique de la machine (12) électrique.
2. 2. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la structure annulaire est formée par au moins un paquet de tôles ayant une multiplicité de tôles de la partie (18) rotorique active.
3. 3. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la partie (18) rotorique active est retenue à un support (20) de l'élément (12) rotorique.
4. 4. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 3, caractérisé en ce que la partie (18) rotorique active et le support (20) sont reliés entre eux à complémentarité de forme et/ou à complémentarité de force. 25
5. 5. Dispositif (10) de traction pour un véhicule automobile, ayant au moins une machine (12) électrique, comprenant au moins un élément (16) rotorique, au moins un dispositif (24) de transmission, qui peut être entraîné par la machine (12) électrique par l'intermédiaire de l'élément (16) rotorique et qui est disposé, au moins en partie, dans une zone (70) de réception délimitée en direction radiale par l'élément (16) rotorique, caractérisé en ce que la zone de réception est délimitée, au moins en partie, par un support (20) sensiblement en forme de manchon de l'élément (12) rotorique.
6. 6. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 5, caractérisé en ce que l'élément (12) rotorique comprend une partie (18) rotorique active retenue sur un support (20) pour le guidage du flux magnétique de la machine (12) électrique, la partie (18) rotorique active et le support (20) étant reliés entre eux à complémentarité de forme et/ou à complémentarité de force.
7. 7. Dispositif (10) de traction suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'élément (16) rotorique et le dispositif (24) de transmission sont disposés coaxialement, au moins en partie.
8. 8. Dispositif (10) de traction suivant l'une des 30 revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif (24) de transmission comprend une transmission (56) différentielle.
9. 9. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 8, caractérisé en ce que le dispositif (24) de transmission comprend au moins un étage (26) de transmission, qui peut être entraîné par la machine (12) électrique, la transmission (56) différentielle pouvant être entraînée par la machine (12) électrique par l'intermédiaire de l'étage (26) de transmission et de l'élément (16) rotorique.
10. 10. Dispositif (10) de traction suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif (24) de transmission comprend une multiplicité d'étages (26, 28) de transmission, qui sont tous disposés, en moins en partie, notamment complètement, dans la zone (70) de réception.
11. 11. Dispositif (10) de traction suivant les revendications 9 et 10, caractérisé en ce que l'entraînement (56) différentiel peut être entraîné par les derniers étages (26, 28) de transmission montés en série les uns par rapport aux autres.
12. 12. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 11 ou la revendication 10, lorsqu'elle se rapporte à la 25 revendication 9, caractérisé en ce qu'un premier des étages (26, 28) de transmission est un premier engrenage (26) planétaire et un deuxième des étages (26, 28) de transmission est un deuxième engrenage (28) planétaire, qui peut être entraîné par le premier engrenage (26) 30 planétaire et par lequel la transmission (56) différentielle peut être entraînée.
13. 13. Dispositif (10) de traction suivant la revendication 12, caractérisé en ce qu'un support (20) de l'élément (12)rotorique est relié à une première roue (30) solaire du premier engrenage (26) planétaire, une première cage (38) du premier engrenage (26) planétaire étant reliée à une deuxième roue (44) solaire du deuxième engrenage (28) planétaire et une deuxième cage (54) du deuxième engrenage (28) planétaire étant reliée à la transmission (56) différentielle.