FR2847170A1 - Harnais d'antichute integralement reglable par coulissements auto bloques - Google Patents

Harnais d'antichute integralement reglable par coulissements auto bloques Download PDF

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Abstract

Harnais d'antichute intégralement réglable par coulissements auto bloqués.L'invention concerne un harnais d'antichute intégralement réglable, caractérisé par deux plaques de croisement, situées sur les hanches, et percées de trois passages disposés en triangle qui centralisent tous les réglages par coulissements auto bloqués, par l'utilisation d'une seule sangle principale, marquée d'un signe à intervalles réguliers sur la sangle pour un réglage symétrique, par l'absence de coutures porteuses, par des attaches sternales réglables.Le dispositif selon l'invention est destiné à la protection contre les chutes.

Description

La présente invention concerne un dispositif permettant de
réaliser un harnais d'antichute entièrement réglable.
Traditionnellement les harnais d'antichute sont réalisés au
moyen de boucles, de morceaux de sangle et de coutures.
Différentes normes obligatoires régissent les exigences générales en matière de résistance à la traction, de conception et d'ergonomie. L'idée générale est qu'un harnais d'antichute doit être conforme aux normes en vigueur, le plus confortable possible, léger, avoir une sangle sous fessière, des bretelles, des cuissardes et des points d'attache, le tout ajustable à la morphologie de l'utilisateur et qu'après avoir été ajusté, il ne puisse se dérégler dans les conditions prévisibles d'emploi. Lors d'une chute, la partie sous fessière doit supporter tout le poids du corps. Le harnais d'antichute est efficace lorsque la conjugaison de tous les réglages maintient la sous fessière à sa juste place. Dans le cas contraire, on transfère une grande partie de l'effort sur la partie souspelvienne des cuissardes et la compression des artères fémorales est très dangereuse, souvent
insupportable.
Avec une attache sternale, le problème se complique. La sous fessière doit être à sa place, supporter le choc et l'attache sternale doit maintenir le corps de l'utilisateur la tête vers le haut. L'angle formé par l'axe longitudinal du plan dorsal et l'axe vertical doit être au maximum de 500 afin que la colonne vertébrale ne supporte pas une pression trop importante et que l'amplitude du déplacement de la tête soit limitée pour préserver au mieux les vertèbres cervicales. Par contre, l'attache sternale ne doit pas blesser le visage de l'utilisateur ou l'étrangler en resserrant de trop les bretelles sur les épaules. La position de cette attache est donc délicate, l'ensemble du harnais doit
impérativement être réglé, sans coulissement indésirable.
Actuellement, pour réaliser une attache sternale complètement réglable, il faut quatre boucles de réglage, quatre coupes dans la sangle, autant de coutures porteuses plus au moins quatre coutures porteuses pour placer l'attache entre les réglages. Une couture porteuse est une couture capable de supporter la contrainte imposée aux sangles principales. Une sous fessière ayant son -2 centre défini par des cuissardes doit avoir un réglage de chaque côté, donc deux coupes dans la sangle, deux coutures porteuses sans tenir compte des coutures porteuses nécessaires pour réaliser le croisement. Un harnais ainsi conçu pose des problèmes de poids, de confort, de conception et de fabrication. En raison de ces difficultés, les modèles existants n'ont pas de sous fessière réglable et dans le meilleur des cas ont une attache sternale avec la moitié des réglages pourtant nécessaires. Certains modèles, pour simplifier la conception, coulissent aux croisements de sangle et bien qu'ils arrêtent une chute, les contraintes exercées
par étranglement sont très dangereuses.
En réponse à ces inconvénients majeurs, le dispositif selon l'invention permet de réaliser un harnais d'antichute complètement réglable, sans coulissement imprévu lors de son utilisation. La première caractéristique de ce dispositif est une plaque de
croisement des sangles placée au niveau de chacune des hanches.
Cette plaque est percée de trois passages disposés en triangle. Ce triangle peut être à angle droit. Chacun des passages formant l'angle droit a une longueur suffisante pour permettre le passage de la largeur de la sangle utilisée. Le troisième passage en biais est donc plus long. Un des passages formant l'angle droit à une
largeur supérieure à deux fois l'épaisseur de la sangle utilisée.
L'autre passage formant l'angle droit à une largeur permettant de passer une épaisseur de sangle et une boucle mâle de fermeture. Ce passage est un rectangle et représente la partie femelle d'un système traditionnel de fermeture mâle/femelle. Le troisième passage, plus long que les côtés de l'angle droit a une largeur supérieure à trois fois l'épaisseur de la sangle utilisée. Une partie de ce passage peut être élargie pour permettre de passer une quatrième épaisseur de sangle. Cette dernière sangle permettra de relier la plaque à un système de maintien au travail, si nécessaire. La matière utilisée et l'épaisseur de la plaque dépendent des
seuils de résistance désirés.
La deuxième caractéristique de ce dispositif est une sangle marquée d'un signe placé à intervalles réguliers qui sert de repère pour un réglage symétrique des côtés droit et gauche du -3 harnais d'antichute. La troisième caractéristique est qu'on utilise une seule sangle principale et aucune couture porteuse. La longueur de cette sangle principale unique qui va être tour à tour la fessière, les bretelles, les cuissardes est calculée de façon que son centre soit marqué du signe choisi ou qu'il se situe au milieu de l'intervalle entre deux signes. De chaque côté de ce centre, à distance égale, on place une plaque de croisement de sangles. La sangle traverse du bas vers le haut par le passage, à la largeur la plus étroite, puis du haut vers le bas dans le passage en biais, épouse le biais, prend appui sur l'arête, descend, passe dans le troisième passage rectangulaire du bas vers le haut, prend appui sur l'arête, remonte pour sortir de la plaque en repassant dans le passage en biais du haut vers le bas. La portion de sangle comprise entre les deux plaques de croisement de sangles est la sangle sous fessière, sa longueur est définie par l'utilisateur, et maintenue en place par le circuit autobloquant
créé au moyen des passages disposés en triangle.
Les deux sangles qui sortent des plaques suivant un angle d'environ 90 par rapport à la sous fessière deviennent les bretelles dorsales. Elles remontent dans le dos, se croisent dans un ensemble traditionnel plaque/dé d'attache au niveau des omoplates, passent sur les épaules, deviennent les bretelles avant, descendent le long de la poitrine, traversent les deux éléments d'une ceinture de poitrine traditionnelle et rejoignent les plaques de croisement. Elles y entrent par le passage en biais, recouvrant le départ des bretelles dorsales et en ressortent par le passage le plus étroit au-dessus de la sous fessière. La longueur de ces bretelles est réglable et bloquée dans la position choisie lors de son passage dans la plaque par le
départ des bretelles dorsales et la sous fessière.
A la sortie des plaques de croisement commencent les cuissardes. Elles vont traverser des passants posés sur la sous fessière à distance égale du centre de cette dernière, traverser des passants traditionnels, tourner autour des cuisses et venir se bloquer au moyen d'une boucle mâle traditionnelle dans les rectangles femelles découpés dans les plaques. Ces boucles mâles -4 permettent le réglage de la longueur des cuissardes, leur
fermeture et le blocage sur la longueur choisie.
Les signes marqués sur la sangle servent de repères pour équilibrer chacun des réglages à droite et à gauche du harnais et le montage a été réalisé sans utiliser dé couture porteuse. Selon une variante, le dispositif permettant de réaliser un harnais complètement réglable est toujours caractérisé par des plaques de croisement de sangle, placées au niveau de chacune des hanches, mais percées de deux passages égaux et parallèles. La longueur de ces passages, supérieure à la largeur de la sangle utilisée peut varier en fonction de l'angle de croisement souhaité. La largeur de la sangle peut être également rétrécie par couture. La largeur de ces passages est supérieure à deux fois l'épaisseur de la sangle utilisée. La matière utilisée et l'épaisseur de la plaque dépendent des seuils de résistance désirés. Les sangles sont également marquées d'un signe à intervalles réguliers, coupées et utilisées de façon que ces signes permettent un réglage symétrique des deux côtés, droit et gauche du harnais d'antichute. La sangle principale est composée avec trois morceaux de sangles. Deux de ces morceaux de sangle, de longueur égale et suffisante pour constituer l'ensemble du harnais sont cousus au moyen de coutures porteuses à droite et à gauche du troisième morceau de sangle qui constitue la partie centrale de la sous fessière. Cette partie est placée sur les deux sangles de façon à laisser libre d'un côté deux longueurs de sangle qui seront les premières parties des cuissardes, à longueur fixe. Au bout de chacune de ces deux longueurs de sangle, on place une boucle femelle de fermeture traditionnelle maintenue par une couture porteuse. L'angle formé par la partie centrale de la sous fessière et les deux autres morceaux de sangle dépend de la conception et
peut aller de 900 à 1800.
De l'autre côté, les deux sangles en prolongation de la partie centrale de la sous fessière constituent la sous fessière complète. Celle-ci traverse à droite et à gauche les deux passages des plaques placées au niveau des hanches, le premier passage du bas vers le haut, le deuxième du haut vers le bas, sa longueur est -5 réglable. A la sortie des plaques, les sangles deviennent les bretelles. Elles remontent le long du torse de chaque côté du corps-, passent à travers une ceinture de poitrine traditionnelle, passent sur les épaules, descendent dans le dos, se croisent au niveau des omoplates en passant à travers un système d'attache plaque/dé traditionnel et rejoignent les plaques au niveau des hanches. Elles les traversent dans les deux passages sur les sangles déjà en place. Les bretelles sont réglables. A la sortie des plaques, les sangles deviennent les deuxièmes parties des cuissardes. Elles sont chacune équipées d'un passant et d'une boucle mâle de fermeture traditionnels permettant de relier Ies deux parties des cuissardes en s'insérant dans les boucles femelles et de régler la longueur des cuissardes tout en récupérant les surplus de sangle provenant de tous les autres
réglages.
Le dispositif selon l'invention et sa variante peuvent être équipés d'une attache sternale centrale réglable vers le haut ou vers le bas, qui coulisse sur les bretelles. Cette attache prend position sur les bretelles en lieu et place des deux parties de la ceinture de poitrine traditionnelle. Elle est composée de deux parties. La première partie est une plaque de croisement à trois passages disposés en triangle telle que décrite précédemment dans
la description du dispositif. La deuxième partie est une plaque
identique à la précédente prolongée d'une attache. Le circuit emprunté par les bretelles dans les plaques, identique à celui emprunté par la sous fessière et décrit précédemment, est autobloquant. Cette attache est composée d'un morceau de sangle, d'un dé traditionnel et d'une boucle mâle de fermeture. La sangle traverse de bas en haut le passage rectangulaire de la plaque, prend appui sur le côté extérieur, remonte pour passer dans le dé de haut en bas, redescend, traverse de haut en bas le premier passage de la boucle mâle de fermeture puis de bas en haut le deuxième passage, remonte, passe dans le dé de haut en bas au-dessus ou au-dessous du premier passage de sangle, et redescend pour être cousue avec la boucle de sangle qui entoure le côté extérieur du passage rectangulaire de la plaque. Cette couture est faite sur trois -6 épaisseurs de sangle, le brin de sangle de départ du circuit, le retour constituant la boucle de sangle qui maintient l'attache sur la plaque et le brin de sangle de fin du circuit. Une deuxième couture est réalisée entre le dé et la boucle mâle sur deux épaisseurs. La longueur de la sangle est calculée pour que le dé se situe à égale distance des deux plaques une fois l'attache sternale fermée. Sous le dé, le croisement des sangles qui constituent l'attache forment un angle qui peut être droit. Pour fermer l'attache, la boucle mâle est insérée dans la boucle femelle constituée par le passage rectangulaire de la plaque
située sur la bretelle opposée.
Selon un autre mode de réalisation, l'attache sternale réglable vers le haut ou le bas en coulissant sur les bretelles peut être réalisée en deux parties indépendantes placées lors du
montage du dispositif selon l'invention ou de sa variante audessus de la ceinture de poitrine traditionnelle.
Chacune des parties est constituée d'une plaque percée de deux passages parallèles et d'une attache en sangle cousue en appui sur la barre centrale de la plaque. Les passages ont une longueur au moins égale à la largeur de la sangle utilisée et une largeur au moins égale à deux fois l'épaisseur de la sangle pour le premier, au moins égale à trois fois l'épaisseur de la sangle pour le second. Son épaisseur et la matière utilisée dépendent des seuils
de résistance désirés. Pour cette description, nous utiliserons
des boucles mâles traditionnelles à deux passages parallèles et égaux. Sur un morceau de sangle on effectue un rétrécissement de la largeur au moyen d'une couture. La longueur du morceau de sangle et l'emplacement du rétrécissement sont calculés de façon que le brin de sangle le plus long traverse le premier passage du haut vers le bas puis le second du bas vers le haut de la boucle et vienne reposer sur le brin de sangle constitué par le pliage du rétrécissement en son milieu. La surface libre comprise entre la fin du rétrécissement et la boucle mâle doit être suffisante pour coudre sur les trois épaisseurs de sangle superposées une couture convenant aux exigences de résistance. La boucle de sangle formée par le rétrécissement et fermée par la couture est suffisante pour
permettre le passage d'un mousqueton.
-7 Lors du montage du dispositif selon l'invention, après le croisement des bretelles dans le dos, on place sur chacune d'elles une attache sternale. En maintenant la pièce, boucle en haut, rétrécissement en bas, on passe de bas en haut la sangle descendant de l'épaule dans le premier passage, on passe au-dessus du deuxième passage, on contourne la boucle pour traverser le deuxième passage de bas en haut, puis la sangle passe à nouveau dans le premier passage et descend vers les hanches. Ces pièces sont placées au moyen des signes symétriquement. Le système est autobloquant. Pour monter le système d'attache sur la variante du dispositif selon l'invention, le circuit est identique mais le
sens est inversé car la bretelle remonte de la hanche.
Le dispositif selon l'invention ou sa variante peut intégrer un système de maintien au travail. La caractéristique de cet ensemble, harnais d'antichute plus ceinture de maintien, est que les deux attaches latérales équipant la ceinture, sont reliées respectivement à droite et à gauche par une sangle cousue aux deux plaques de croisement situées sur les hanches. Les attaches qui coulissent sur la ceinture sont positionnées en fonction du réglage effectué sur le harnais d'antichute. Sous tension en position de maintien traditionnel avec un point d'ancrage situé au-dessus du niveau de la ceinture, les attaches latérales reliées aux plaques de croisement par les sangles cousues, transmettent une partie de l'effort à la sangle sous fessière. La répartition de la contrainte n'est efficace sur toutes les morphologies que grâce aux possibilités de réglage offertes par le dispositif selon l'invention.
La description qui précède concerne des dispositifs de
préhension du corps. La plaque percée de trois passages disposés en triangle, partie du dispositif selon l'invention, grâce à son circuit autobloquant, grâce à la sortie désaxée de la sangle par rapport à son entrée, permet de créer un point fixe d'attache et/ou de fermeture au sommet d'un angle à n'importe quel endroit d'une sangle, sans couture. Elle offre une multitude de combinaisons possibles dans des systèmes d'arrimage, de levage ou de préhension, non décrites mais revendiquées du moment que le
circuit autobloquant est utilisé.
-8 Le dispositif d'attache, décrit précédemment comme une attache sternale incluse dans un dispositif de préhension, caractérisé par une attache en sangle cousue sur une plaque à deux passages parallèles, permet, grâce à son circuit autobloquant, de créer un point d'attache, sans couture, à n'importe quel endroit d'un
système d'arrimage, de levage ou de préhension.
Les dessins annexés illustrent l'invention.
- La Figure 1 illustre le harnais d'antichute réalisé au moyen du dispositif selon l'invention, - La Figure 2 illustre la plaque de croisement à trois passages disposés en triangle, - La Figure 3 illustre le circuit suivi par la sangle sous fessière dans la plaque de la Figure 2, - La Figure 4 illustre le circuit suivi par la bretelle dans la plaque, - La Figure 5 illustre la concentration de tous les réglages sur la plaque et la fermeture mâle/femelle des cuissardes, - La Figure 6 illustre le harnais réalisé au moyen de la variante du dispositif, - La Figure 7 illustre la partie de l'attache centrale sternale équipée du dé de l'attache et de la boucle mâle de fermeture, - La Figure 8 illustre l'attache centrale sternale fermée au moyen du système mâle/femelle, - La Figure 9 illustre le harnais réalisé au moyen du dispositif, équipé de l'attache sternale centrale et souligne le sens de montage, - La Figure 10 illustre un élément de la double attache sternale en coupe et de face, La Figure 11 illustre le circuit suivi par la bretelle dans un des éléments de la double attache sternale, - La figure 12 illustre le raccordement au moyen de la sangle (S20) de la plaque (PL1) et de l'attache latérale (ATL) coulissante, partie de la ceinture de maintien au travail (CMT), - La figure 13 illustre le raccordement de la ceinture de maintien au travail (CMT) avec les deux plaques (PLi), - La Figure 14 illustre le harnais réalisé au moyen du dispositif, équipé de la double attache sternale et d'une ceinture
de maintien solidaire des plaques de croisement (PLi).
Pour la réalisation d'un harnais d'antichute au moyen du dispositif selon l'invention, il faut préciser certains points de
la description et des figures qui l'illustrent. La mention
"traditionnel" est utilisée pour l'ensemble plaque/dé d'attache (PL3), pour la ceinture de poitrine (CP), pour les passants (PAS2), pour la boucle mâle (BM), pour la boucle femelle (BF) utilisée dans la variante, car ces éléments non décrits, existent sur le marché en différents modèles interchangeables. Les coutures porteuses, les matières composant les plaques et les boucles et leurs épaisseurs dépendent des exigences fixées par les normes et
n'ont aucune incidence sur le dispositif.
La figure 1 illustre le dispositif. Le signe choisi pour marquer la sangle dans cet exemple est une flèche. Les flèches (SF) indiquent le sens de montage du dispositif et le réglage symétrique du harnais au moyen des signes. Il est notable qu'il
n'y a qu'une seule sangle principale et aucune couture porteuse.
La figure 2 représente la plaque de croisement des sangles (PL1), percée de trois passages disposés en triangle. Pour l'exemple de réalisation, avec une sangle d'une largeur de 45 mm et d'une épaisseur de 1,6 mm, la plaque en acier aura 4 mm d'épaisseur et (Pl) = 45 mm x 4 mm, (P2) = 58 mm x 5 mm, (P3) = 45 mm x 15 mm. (P4) est un élargissement de (P2) de 1,5 mm x 20 mm destiné à une sangle qui relie la plaque (PLl) à une attache latérale d'un système de maintien au travail (CMT) lorsque ce
dernier est intégré au dispositif comme illustré par la figure 14.
La figure 3 représente au moyen des flèches le circuit suivi par la sangle sous fessière (SF2) dans la plaque (PL1), qui traverse du bas vers le haut en (Pl), du haut vers le bas en (P2), prend appui sur l'arête intérieure, descend et traverse du bas vers le haut en (P3), prend appui sur l'arête intérieure, remonte et traverse à nouveau du haut vers le bas en (P2). C'est le début de la bretelle (B) qui sort de la plaque en formant un angle
d'environ 900 avec la sous fessière (SF2).
- 10 La figure 4, faisant suite à la figure 3, indique le circuit suivi par la fin de la bretelle (B) qui entre dans la plaque (PL1) du bas vers le haut en (P2) et en ressort du haut vers le bas en
(Pl). C'est le début de la cuissarde (C).
La figure 5 illustre la fermeture de la cuissarde (C) au moyen de la boucle mâle (BM) insérée du bas vers le haut dans la boucle femelle créée par le passage rectangulaire (P3) de la plaque (PL1). Sous traction, tous les réglages effectués sont bloqués. Le circuit détaillé à la figure 3 bloque la longueur de la fessière
(SF2) et logiquement, en continuité, le départ des bretelles (B).
Comme illustré en figure 4, le départ des bretelles en (P2), après leur circuit, bloque leur arrivée en (P2) et la sous fessière (SF2) bloque en (Pl) le départ des cuissardes (C). La boucle mâle
(BM) bloque la longueur réglée des cuissardes.
La sangle peut être marquée par tout procédé technique existant ou à venir tel qu'impression, tampon, broderie, tissage, sublimation à la condition que le signe choisi soit placé à intervalles réguliers. Pour l'exemple de réalisation, le centre de chaque signe se trouve à 25 cm du centre du signe suivant et on coupe une longueur de 575 cm. Pour avoir le centre de ce morceau de sangle au milieu d'un intervalle entre deux signes, il faut couper sur le centre du signe aux deux extrémités. Comme indiqué sur la figure 1, le centre de cette sangle (O) est le centre de la sous fessière centrale (SF1). De chaque côté de ce centre (O), on place à distance égale un passant, dans cet exemple un passant en sangle (PASI) cousu à 9 cm et placé de façon à ce que, en fin de montage, la cuissarde (C), après l'avoir traversé, puisse le contourner sans buter sur la sous fessière (SF1). A distance égale des passants cousus et en se servant des signes comme repères, on place de chaque côté une plaque de croisement des sangles (PL1) illustrée par la figure 2, en suivant le circuit décrit par la
figure 3.
Les bretelles (B) issues des plaques remontent dans le dos, se croisent symétriquement grâce aux signes en passant dans un ensemble traditionnel plaque/dé d'attache (PL3) au niveau des omoplates, remontent sur les épaules et redescendent le long du torse. Au niveau du sternum, on place les deux parties d'une - il ceinture traditionnelle de poitrine (CP). Les bretelles (B) descendent jusqu'aux plaques de croisement (PLl) et les traversent comme indiqué à la figure 4. Les sangles qui sortent des plaques sont les cuissardes (C). Elles descendent de chaque côté le long de la sous fessière (SF2), traversent les passants (PAS1), sont équipées chacune d'un passant traditionnel (PAS2) puis d'une boucle mâle traditionnelle à deux passages. Elles les traversent du haut vers le bas pour le premier passage puis du bas vers le haut pour le deuxième. Elles reviennent en sens inverse pour repasser dans les passants traditionnels (PAS2) et on crée un surplus de matière au bout de chaque sangle pour interdire lé démontage des boucles par tout procédé, dans cet exemple en
repliant deux fois le bout et en le fixant par une couture.
L'utilisateur ferme les cuissardes (C) et règle leur longueur au moyen des boucles mâles (BM) insérées en (P3) comme indiqué à la
figure 5.
Pour la réalisation d'un harnais d'antichute au moyen de la variante du dispositif selon l'invention illustrée par la figure 6 et comme précisé dans la réalisation précédente, l'ensemble plaque/dé d'attache (PL3), la ceinture de poitrine (CP), les passants (PAS2), les boucles mâles (BM) et les boucles femelles (BF) sont traditionnels et non décrits. Les coutures porteuses, les matières utilisées dépendent des seuils de résistance désirés
et n'ont pas d'incidence sur le dispositif.
La figure 6 est un plan d'ensemble de la variante du dispositif. Dans cet exemple pour une sangle de 45 mm de large et 1,6 mm d'épaisseur, les plaques (PL2) sont percées de deux passages parallèles de 65 mm x 5 mm, la sangle est marquée d'un signe (SF) à intervalles réguliers, tous les 25 cm, et c'est une flèche pour indiquer le sens de montage. On coupe deux morceaux de sangle de 250 cm chacun en partant du milieu d'un intervalle et en
s'arrêtant donc au milieu d'un intervalle.
Au bout de chaque sangle, on place une boucle femelle rectangulaire traditionnelle (BF) correspondant à la largeur de la sangle. Le bout de la sangle traverse la boucle femelle, est rabattu sur une longueur suffisante pour être cousu au moyen d'une couture porteuse. On coupe la sous fessière centrale (SF1) d'une - 12 longueur de 20 cm. A 30 cm des boucles femelles, on place la sous
fessière centrale (SF1) au moyen de deux coutures porteuses.
L'angle formé de chaque côté par la sous fessière centrale (SF1) et le brin le plus long de la sangle est de 1600. Les deux brins de sangle les plus courts, délimités à un bout par la boucle femelle (BF), à l'autre bout par la couture, sont les parties de cuissardes (Cl) à longueur fixe. Les deux brins de sangle les plus longs traversent de chaque côté les plaques (PL2) du bas vers le haut dans le premier passage, du haut vers le bas dans le deuxième passage. Les deux plaques délimitent la longueur totale de la sangle sous fessière (SF2 + SF1 + SF2). Après leur passage dans
les plaques (PL2), les sangles deviennent les bretelles (B).
Elles remontent le long du torse, à hauteur du sternum, traversent à droite et à gauche les deux parties d'une ceinture traditionnelle de poitrine (CP), passent sur les épaules, redescendent dans le dos, se croisent à hauteur des omoplates en passant dans un ensemble traditionnel plaque/dé d'attache (PL3) et traversent à nouveau les plaques (PL2) du bas vers le haut dans le premier passage et du haut vers le bas dans le second passage, au20 dessus de la sangle déjà en place. Ce double passage délimite la longueur de la bretelle. A la sortie des plaques, les sangles deviennent les parties réglables des cuissardes (C2). Elles traversent un passant traditionnel (PAS2) puis une boucle mâle traditionnelle (BM) dont la taille correspond à la boucle rectangulaire femelle traditionnelle (BF) . Elles traversent le premier passage du haut vers le bas, le deuxième passage du bas vers le haut puis reviennent en arrière pour repasser dans le passant (PAS2). Le bout des sangles est fermé comme indiqué dans la réalisation précédente. La fermeture des cuissardes se fait en insérant la boucle mâle (BM) de la partie des cuissardes (C2) dans la boucle rectangulaire femelle (BF) de la partie de cuissarde (Cl). La boucle (BM) permet le réglage de la longueur des cuissardes. Pour la réalisation d'une attache sternale centrale intégrée dans le dispositif selon l'invention, réglable vers le haut ou vers le bas, il faut se référer aux figures 1, 2, 7, 8, 9. Cette attache en deux parties prend position sur les bretelles (B), - 13 figure 9, à la place de deux parties de la ceinture de poitrine traditionnelle (CP) visibles à la figure 1. La première partie est une plaque de croisement (PLi), décrite à la figure 2, la deuxième partie est une plaque de croisement (PL1) prolongée d'une attache, voir figure 7. Cette attache est composée d'un morceau de sangle, d'un dé d'attache traditionnel (DA), d'une boucle mâle de fermeture(BM) et de deux coutures (COUT1, COUT2). La longueur de la sangle dépend de la longueur de la couture (COUT1). Le dé d'attache (DA) doit être placé symétriquement par rapport aux plaques (PLi), une fois le système fermé comme le montre la figure 8. La figure 7 indique le point de départ de la sangle (DS) situé en dessous. Elle traverse la plaque (PLi) en (P3) du bas vers le haut,tourne autour de l'arête, remonte et passe dans le dé d'attache (DA) du haut vers le bas, prend appui sur la base du dé, descend, passe dans les deux passages d'une boucle mâle traditionnelle (BM), du haut vers le bas dans le premier passage, du bas vers le haut dans le deuxième passage, revient en arrière, traverse le dé d'attache (DA) du haut vers le bas, en passant audessus ou au-dessous de la sangle déjà en place, descend, s'insert entre le brin de départ (DS) et la sangle qui remonte de la plaque
(PLi), arrête son circuit en butant sur la plaque (PLi) en (AS).
La couture porteuse (COUT1) est faite sur trois épaisseurs de sangle. La deuxième couture (COUT2) est faite sur deux épaisseurs de sangle entre le dé d'attache (DA) et la boucle mâle (BM). Les
deux brins de sangle forment un angle de 900.
La figure 9 indique l'emplacement, le sens du circuit de montage (FLE1) dans les plaques (PLi), pour intégrer cette attache sternale dans le dispositif, l'emplacement rectangulaire femelle (P3) et la boucle de fermeture (BM). La figure 8 montre l'attache sternale verrouillée lorsque la boucle mâle (BM) est passée du bas vers le haut en (P3) et la symétrie du dé d'attache (DA) par rapport aux deux bretelles du harnais. Cette attache sternale centrale peut être intégrée à la variante du dispositif selon l'invention en lieu et place de la ceinture de poitrine (CP) visible à la figure 6. Le sens du circuit de montage est alors inversé car dans cette variante, les bretelles remontent le long
du torse.
- 14 Selon un autre mode de réalisation, l'attache sternale réglable vers le haut ou vers le bas en coulissant sur les bretelles peut être réalisée en deux parties indépendantes (ATS) placées lors du montage du dispositif selon l'invention ou de sa variante au-dessus de la ceinture de poitrine traditionnelle (CP),
figure 14.
Chacune des parties est constituée d'une plaque percée de deux passages et d'un morceau de sangle cousue. Les passages, parallèles, ont une longueur au moins égale à la largeur de la sangle utilisée et une largeur au moins égale à deux fois l'épaisseur de la sangle pour un passage et au moins égale à trois fois l'épaisseur de la sangle pour l'autre passage. Son épaisseur
et la matière utilisée dépendent des seuils de résistance désirés.
Pour cet exemple de réalisation, nous utiliserons deux boucles mâles traditionnelles à deux passages égaux de 45 mm x 5 mm et deux morceaux de sangle de 45 mm de large, chacun d'une longueur de 350 mm, cette longueur pouvant être changée sans incidence sur le fonctionnement du système. La figure 10 illustre ce montage
avec un dessin de face et une vue de côté.
On place à 110 mm du bord de la sangle le centre d'une couture de 40 mm x 12 mm destinée à maintenir en place le rétrécissement de sangle obtenu en repliant les deux bords parallèles au centre de la largeur de la sangle (RET). Au départ (DS2), le brin de sangle le plus court est replié sur le brin le plus long, le centre du pliage (P) étant le centre de la couture de rétrécissement. Le brin le plus long traverse la boucle mâle (BM) du haut vers le bas dans le premier passage, du bas vers le haut dans le deuxième passage puis revient en arrière pour s'arrêter au début du rétrécissement de la sangle (AS2). Une couture porteuse est réalisée, sur trois épaisseurs de sangle. L'élément d'attache
(ATS) est terminé.
La boucle de sangle formée par le rétrécissement et fermée par la couture est suffisante pour permettre le passage d'un mousqueton. Lors du montage du dispositif selon l'invention, après le croisement des bretelles dans le dos, on place sur chacune d'elles
une attache sternale.
- 15 La figure 14 indique au moyen des flèches (FLE2) le sens de montage et l'emplacement des éléments d'attache (ATS) situés avant
le passage des bretelles (B) dans la ceinture de poitrine (CP).
Pour placer les deux attaches sternales (ATS) sur la variante du dispositif, il faut inverser le sens du montage, montage qui intervient après le passage des bretelles (B) dans la ceinture de
poitrine (CP).
La figure 11 illustre le circuit de la bretelle (B) dans la boucle (BM), que celle-ci descende de l'épaule pour le dispositif selon l'invention ou qu'elle remonte de la hanche pour sa variante. Ce circuit est caractérisé par le fait que la bretelle entre dans la boucle, ressort par le passage d'entrée et repart en sens contraire. En traction, l'attache (ATS) bascule vers le haut
et conforte l'autoblocage du circuit suivi par la bretelle.
La figure 14 illustre la possibilité d'intégrer au dispositif selon l'invention un système de maintien au travail (CMT). Il faut fixer sur chacune des plaques (PL1) figure 2, une sangle, de 20 mm de large dans cet exemple, en la passant en (P4), en la repliant en arrière et en cousant la boucle de sangle ainsi constituée, figure 12. Ces deux sangles (S20) sont solidaires, par tout moyen approprié, des deux attaches latérales (ATL) équipant la ceinture de maintien au travail (CMT), figure 12. Dans la variante du dispositif, les boucles de sangle de 20mm sont cousues et enserrent la barre supérieure ou la barre centrale de la plaque de
croisement à deux passages (PL2) figure 6.
La figure 13 illustre le raccordement de la ceinture de maintien au travail (CMT) avec les deux plaques de croisement (PL1), avant le montage du harnais. Les attaches latérales de la ceinture (ATL), figure 12 et figure 13, sont réglables et peuvent s'adapter au réglage de la longueur de la sous fessière obtenu au moyen des plaques de croisement. La répartition de l'effort de traction entre la ceinture de maintien au travail et la sous fessière, lorsque le point d'attache est au-dessus du niveau de la ceinture, conserve son efficacité quelle que soit la morphologie de l'utilisateur, dans la limite des longueurs de réglage choisies
par le fabricant.
- 16 Le dispositif selon l'invention est destiné à arrêter une chute dans le domaine du travail en hauteur, du sport ou des loisirs. Les points fixes auto bloqués ont une multitude
d'applications dans les systèmes de levage ou d'arrimage.
9_ - 17

Claims (4)

REVENDICATIONS
1) Dispositif pour réaliser un harnais d'antichute complètement réglable, caractérisé en ce qu'il comporte d'une part, placées au niveau des hanches, deux plaques de croisement (PLl), percées de trois ouvertures disposées en triangle (Pl), (P2), (P3), qui grâce à un circuit particulier autobloquant réalisé en passant la sous fessière (SF2) par (Pl), puis par (P2), puis par (P3), puis à nouveau par (P2), permettent de régler la longueur de cette sous fessière (SF2), de désaxer la sortie des bretelles (B) en (P2), par rapport à l'entrée de la sous fessière (SF2) en (Pl), qui permettent de régler la longueur de ces bretelles (B) en passant celles-ci à nouveau dans les plaques (PLl) par (P2) puis par (Pl), ce circuit autobloquant permettant le croisement des sangles, qui constituent la partie femelle (P3) du système mâle / femelle de fermeture et de réglage des cuissardes (BM / P3), et d'autre part une seule sangle principale, faisant tour à tour office de sous fessière (SF1, SF2), de bretelles (B), de cuissardes (C), sans aucune couture porteuse, les boucles mâles de fermeture (BM) placées à chacune des extrémités de cette sangle récupérant le surplus de sangle provenant des différents réglages effectués au moyen des plaques (PLl). 2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que les sangles utilisées sont marquées d'un signe, apposé à intervalles réguliers et que les longueurs coupées permettent d'utiliser ces signes comme repères pour des réglages symétriques
des parties droite et gauche du harnais d'antichute.
3) Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en
ce qu'une attache sternale centrale placée sur les bretelles (B) au niveau de la poitrine, constituée au moyen de deux plaques de croisement (PLi) reliées entre elles par une attache, quelle qu'elle soit, est réglable vers le haut ou vers le bas grâce au circuit particulier autobloquant suivi par les bretelles (B) dans les trois passages disposés en triangle, circuit qui consiste en - 18 une entrée par (Pi) puis un passage par (P2), un passage par (P3) et une sortie en repassant par (P2) désaxée par rapport à l'entrée.
4) Dispositif suivant les revendications 1 et 2, caractérisé
en ce que deux attaches sternales (ATS), indépendantes l'une de l'autre, placées sur les bretelles (B) au niveau de la poitrine constituées chacune d'une sangle dont une extrémité forme au moyen d'une boucle cousue un point d'attache et dont l'autre extrémité est rattachée par une boucle cousue à la barre centrale d'une plaque percée de deux passages parallèles, sont réglables vers le haut ou vers le bas grâce au circuit autobloquant suivi par chacune des bretelles (B) dans chacune des attaches sternales
(ATS).
) Dispositif selon les revendications 1 à 4, caractérisé en
ce que les plaques de croisement sur les hanches (PLi) sont reliées aux attaches latérales (ATL) d'une ceinture de maintien au travail (CMT) et répartissent l'effort, lorsqu'on utilise ces attaches entre la ceinture (CMT) et la sous fessière (SF2) du
harnais d'antichute.
6) Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 5
caractérisé en ce que chaque plaque (PLi) percée de trois passages disposés en triangle (Pl)(P2)(P3) permet, grâce au circuit autobloquant, grâce à la sortie désaxée de la sangle par rapport à son entrée dans la plaque, de créer un point fixe d'attache, et/ou de fermeture au sommet d'un angle, sans couture, à n'importe quel endroit d'un système de préhension, d'arrimage ou de levage en sangle. 7) Dispositif selon la revendication 4 caractérisé en ce que chaque attache en sangle cousue sur une plaque à deux passages parallèles permet grâce à un circuit autobloquant de créer un point fixe d'attache, sans couture, à n'importe quel endroit d'un
système d'arrimage, de levage ou de préhension en sangle.
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WO2022263966A3 (fr) * 2021-06-16 2023-03-09 3M Innovative Properties Company Harnais de sécurité à sangles ventrales pseudo-croisées ayant deux plis

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