FR2822103A1 - Table de peinture a positions multiples - Google Patents

Abstract

Table de peinture à positions multiples pour artiste peintre. L'invention concerne un dispositif permettant de supporter une surface qu'un peintre en action est en train de peindre.Pour disposer du maximum de confort dans son action, l'artiste peut à volonté placer la table de travail (100) dans des positions variées selon les besoins de son travail.Ce que ne peut pas faire un chevalet traditionnel pour peintre.Différents accessoires complètent le dispositif pour assurer le confort du peintre : appui-main (117) incorporé, pinces (112) pour tenir la toile, interchangeabilité de la table de travail (100), ajustement facile aux tailles des toiles, commande motorisée de certains mouvements. Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné aux artistes peintres par le fait qu'il peut être facilement adapté aux conditions variées de leur activité.

Description

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La présente invention concerne un dispositif servant à tenir en position de travail une surface à peindre qui peut être une toile tendue sur un châssis ou collée sur un support rigide ou bien être un carton ou tout autre matériau.

Une telle surface à peindre sera désignée par la suite par le terme"la toile".

Plus généralement, le dispositif selon l'invention est une table de peinture pour artiste peintre dont le principal avantage est la possibilité pour l'utilisateur de choisir la position de la toile la mieux adaptée à son activité du moment, depuis la position verticale habituelle jusqu'à la position horizontale en passant par toutes sortes de positions intermédiaires.

Il est bien connu que la technique actuelle utilisée pour tenir une toile au cours de l'activité du peintre est très rudimentaire puisque la dite toile est simplement posée sur un chevalet en position voisine de la verticale. La seule modification possible de position étant celle de la hauteur par rapport au sol, limitée à quelques décimètres.

Dans leur réalisation pratique, les chevalets sont essentiellement constitués de deux montants solidairement associés par des entretoises qui définissent un plan qui portera la toile. Par le moyen d'une articulation haute ou basse, selon les modèles, ils peuvent être légèrement inclinés vers l'arrière pour tenir la toile par gravité ou plus généralement tenus voisins de la verticale quand ils disposent d'un moyen de préhension de la partie haute de la toile.

Dans de telles conditions, l'artiste peintre est souvent obligé de se contorsionner pour poser ses couleurs ou pour être à bonne main.

Le dispositif selon l'invention permet de remédier à ces difficultés tout en apportant des moyens nouveaux qui rendent plus confortable le travail de l'artiste peintre, comme il est précisé dans la description qui va suivre.

Une première caractéristique du dispositif selon l'invention est constituée par la table de travail portant la toile matérialisée par deux barres horizontales placées l'une en haut et l'autre en bas d'une barre verticale médiane sur laquelle elles sont fixées par des croix de coulissage ou glissières qui permettent des ajustages dimensionnels éventuels.

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Deux barres plus légères que les précédentes sont alors fixées aux extrémités des deux barres horizontales par des croix de coulissage
De cette manière, est constitué un cadre rigide dont les dimensions sont appropriés à une taille maximale de toile à peindre. S'il était nécessaire de tenir une toile de dimension supérieure, une autre table de travail serait à utiliser qui serait de plus grande taille. Chose rendue possible grâce au mode de réalisation choisi.

Il convient de noter ici que la table de peintre objet de l'invention ici décrite est entièrement réalisée en matériaux métallique tels que des aciers et éventuellement des alliages d'aluminium pour alléger certaines structures comme en particulier la table de travail.

Selon une deuxième caractéristique du dispositif selon l'invention, une barre horizontale, de longueur légèrement inférieure à la distance entre les deux barres verticales du cadre ci-dessus défini, est placée au dessous de la barre horizontale du haut par le moyen d'une croix de coulissage. Dans ces conditions la distance entre la barre du bas et celle auxiliaire du haut peut être ajustée à la taille de la toile dans sa position"portrait"ou"paysage", qui doit être ainsi tenue sur la table de travail.

Selon une troisième caractéristique, la barre horizontale du bas et celle auxiliaire du haut sont munies de pinces pour tenir fermement la toile. La position relative des pinces pouvant être ajustée en fonction des tailles de toiles à tenir.

Selon une quatrième caractéristique, les deux barres verticales qui constituent le cadre de la table de travail portent chacune une croix de coulissage sur lesquelles sont engagées des tiges portant l'une et l'autre une glissière. Chacune est équipée d'une bague à vis de blocage pour ajuster la hauteur des glissières par rapport au plan de la toile.

Ceci étant, une tige rigide est placée dans les glissières, celle de gauche étant bloquée sur la tige par le moyen d'une vis de serrage.

On dispose ainsi d'un appui main toujours indispensable pour la sûreté de la main du peintre et pour son confort. Cet appui peut être déplacé à volonté en montant ou descendant l'une ou les deux glissières qui la supportent sur les barres verticales.

Dans le cas ou le cadre de la table de travail serait basculé à 90 , l'appui main cidessus se trouverait en position verticale,... ce qui n'est pas commode.

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Pour remédier à cette petite difficulté, il suffit de prévoir deux barres légères complémentaires fixées aux extrémités des barres initialement verticales, pour remettre à l'horizontale l'appui main en y transférant ses glissières de support.

Selon une cinquième caractéristique la barre verticale médiane, qui soutient la table de travail constituée comme décrit ci-dessus, est tenue par un organe mécanique qui comporte d'une part un guide dans lequel la dite barre peut coulisser et être bloquée en position choisie, d'autre part un embout fixé perpendiculairement au plan de la table de travail. Cette disposition permettant à la table de travail d'être placée plus ou moins haut sur son support et de tourner autour de l'axe de l'embout qui lui même est engagé dans un manchon servant de palier comme précisé ci-aprés.

Selon une sixième caractéristique l'embout de l'organe mécanique supportant la table de travail est engagé dans un palier solidaire d'une articulation tenue par un bras horizontal.

Cette disposition permet à la table, en plus du mouvement autour de l'axe de l'embout, un deuxième mouvement autour de l'axe de l'articulation, lui-même en position horizontale.

Le mouvement de l'articulation autour de son axe est provoqué par une manoeuvre manuelle ou motorisée, ce qui est plus confortable.

Selon une septième caractéristique, le bras horizontale qui soutient l'articulation portant la table de travail est lui-même coulissant dans un support porté par une glissière guidée par une barre verticale de force suffisante, laquelle est engagée dans un support vertical solidaire d'un socle posé au sol.

La glissière verticale étant munie d'un système de levage, peut être montée ou descendue à volonté par une manoeuvre manuelle ou motorisée. Cette disposition permettant à l'utilisateur de choisir la position par rapport au sol de la table de travail.

En même temps le bras, portant la table de travail, pouvant coulisser dans son support, l'utilisateur peut choisir par rapport à lui-même la position en avant ou en arrière de la table, par le moyen d'une manoeuvre manuelle ou motorisée.

Selon une huitième caractéristique, le support vertical, portant l'ensemble du dispositif selon l'invention, peut tourner sur un pivot qui lui est solidaire.

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En même temps le support solidaire du socle, qui maintient le support vertical portant le bras horizontal, peut bloquer la rotation du dit support vertical. De cette manière l'utilisateur peut choisir dans son atelier la meilleure orientation de la table par rapport aux sources de lumière ou toute autre raison.

Pour résumer les avantages de la présente invention, on peut dire que l'artiste peintre peut organiser sa table de peinture des différentes manières suivantes :

- Monter ou descendre verticalement, - Avancer ou reculer devant lui-même, - Basculer en arrière ou en avant, - Changer l'orientation autour du socle, - Tourner sur elle même.

Toutes ces manoeuvres étant effectuées par des moyens simples manuels ou motorisés.

De plus, il dispose d'un appui-main solide et à demeure et peut facilement changer la table de travail.

Dans de telles conditions de travail le confort du peintre est grandement amélioré ce qui va augmenter et parfaire sa créativité.

La présente invention sera mieux comprise à la lecture de la description d'un mode de réalisation non limitatif qui va être faite ci-après illustrée par les figures suivantes : - figure 1 Vue cavalière de l'ensemble, - figure 2 Table de travail, - figure 3 Organe porte-table, - figure 4 Glissière verticale.

En référence à ces figures, le dispositif selon l'invention, selon le mode de réalisation choisi, peut être décrit comme suit :
La table de peinture à positions multiples, selon l'invention, représentée dans son ensemble à la figure 1, comprend les éléments suivants :
Sur un socle constitué d'un plateau (1) posé au sol et d'un fourreau tubulaire (2) bridés ou soudés ensemble, est tenu un support vertical (3) constitué d'un tube de force suffisante pour supporter l'ensemble du dispositif selon l'invention.

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Sur le support vertical (3) est placée une portion de tube (400) servant de glissière sur le dit support.

Par le moyen d'un tambour (12) fixé sur la glissière (400), d'un câble enroulé sur (12) passant sur une poulie (13) et dont l'extrémité est arrimée à la glissière (400), il est possible d'élever ou descendre la dite glissière sur le support (3) par la rotation du tambour (12).

Sur la glissière (400) est fixée une glissière (402), comme illustrée par la figure 4, maintenue en position horizontale par deux boulons (406) et (407).

Dans cette glissière (402) vient coulisser un bras (6) horizontal qui porte à une extrémité une buté (15) de fin de course et à l'autre une articulation (700) sur laquelle est fixé un manchon (701) qui peut être orienté en toute position autour de l'axe horizontal de l'articulation.

Par le moyen de l'embout (102), comme illustré par la figure 3, lequel est solidaire de la table de travail (100) par l'intermédiaire de la pièce mécanique (101), la dite table de travail est fixée à l'articulation (700) par le manchon (701). L'embout (102) et le manchon (701) s'engageant l'un dans l'autre.

On obtient ainsi les deux mouvements de la table de travail (100) : autour de l'axe horizontal de l'articulation (700) et autour de l'axe commun du manchon (701) et de l'embout (102).

A ces deux mouvements sont rajoutés : celui vertical grâce à la glissière (400), celui d'avant en arrière grâce à la glissière (402) et au bras (6), celui de rotation autour du socle (1)- (2).

Bien entendu, ces mouvements sont utiles seulement s'ils sont contrôlés et sûres.

C'est pourquoi des moyens de blocage sont prévus pour immobiliser l'organe dont la position a été réglée. Ces moyens de blocage mettent en oeuvre des moyens connus et ne font pas l'objet d'une description particulière. Cependant ils sont représentés par des manettes à un ou deux bras dans les différentes figures.

La figure 2, à laquelle on se réfère maintenant, permet de bien comprendre le mode de réalisation selon l'invention de la table de travail (100).

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Sur l'articulation (700) est fixée la pièce mécanique (101), qui est une portion de tube carré servant de glissière à la barre verticale médiane (103) dont la position peut être ajustée pour un bon équilibrage de la table.

La barre (103) supporte par le moyen des deux croix de coulissage (105) les barres (104) et (108).

On renvoie à la figure 2ter qui illustre le mode de réalisation des différentes croix de coulissage utilisées pour la réalisation du dispositif selon l'invention.

Les deux barres horizontales (104) et (108) sont associées à deux barres légères verticales (109) et (110) par des croix de coulissage (111) en leurs extrémités respectives
On dispose ainsi d'une table de dimension déterminée correspondant à une taille maximale de toile. Si il est nécessaire de recevoir une toile de dimension supérieure, une table plus grande serait installée sur l'articulation (700).

Le cadre rigide ainsi constitué par les barres (104) (108) (109) (110) garde une dimension inchangée et on pourrait penser souder ensemble les différentes extrémités.

Cependant, ce serait une erreur pour la simple raison qu'il est préférable de pouvoir le démonter pour rangement ou transport.

Pour recevoir une toile, une barre auxiliaire (106), légèrement plus courte que l'intervalle entre les barres verticales (109) et (110), est placée entre la croix (105) du haut et la glissière (101). Cette barre auxiliaire peut prendre toute position entre (105) et (101) par le moyen de la croix (107) en fonction de la taille de la toile à recevoir.

Sur les barres (104 et (106) viennent coulisser des pinces (112) qui reçoivent la toile et la tiennent fermement quelque soit la position, dans l'espace, de la table au cours du travail de l'artiste peintre.

La figure 2 bis illustre un mode de réalisation des pinces (112), mode de réalisation qui n'est pas limitatif. La glissière (1121) porte une tôle pliée à 900 qui lui est soudée. Sur cette tôle vient se poser le bord de la toile à peindre qui est alors pincée par la branche droite du ressort (1123) quand celui-ci est dans la position représentée. Quand il faut dégager la toile de la pince, il suffit de prendre les boucles libres du ressort, de les dégager des crans (1124) et (1125 et de les basculer vers le bas.

Pour compléter les moyens mis à la disposition de l'utilisateur, la barre verticale (109) porte une glissière (113), semblable à celle figurée en 2ter, sur laquelle est

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engagée une tige rigide (114) qui porte une bague d'arrêt (115) pour réglage de sa hauteur au dessus du plan de la toile.

Sur l'extrémité haute de cette tige est fixée une glissière avec vis de blocage.

Pareillement, sur la barre (110), se trouve monté un équipage identique (121) (119) (120) (118), sauf que la glissière (118) ne porte pas de vis de blocage.

Dans ces conditions, il est possible d'installer une barre rigide (117) dans les glissières (116) et (118) et de la bloquer du coté gauche.

L'utilisateur dispose ainsi d'un appui-main toujours disponible solide et fiable, facile à positionner en fonction du travail à exécuter par le déplacement de l'une ou des deux glissières (113) et (121).

Nous allons maintenant procéder à la description des moyens prévus dans le cadre de la réalisation pratique de l'invention comme ci-dessus décrite pour soutenir dans l'espace la table de travail.

Nous nous réfèrerons d'abord à la figure 3 qui illustre un mode de réalisation particulier de l'articulation (700). Une plaque (704) est fixée à l'extrémité du bras (6) par soudage ou boulonnage et porte une tôle épaisse (703), également rapportée par soudage ou boulonnage, placée dans un plan vertical. Cette tôle (703) est prise en sandwich par deux tôles semblables (702) de même épaisseur. Les trois tôles ci-dessus étant serrées ensemble par une vis de serrage munie d'une manette de blocage permettant un fort couple de résistance à la rotation des plaques les unes sur les autres et en même temps matérialisant l'axe horizontal de l'articulation.

Les deux tôles (702) sont pliées à leur extrémité à 90 et sur la partie ainsi disponible deux trous sont percés sur chacune. Le manchon (701) est alors fixé par les boulons (706) sur les trous percés sur les extrémités pliées des tôles (702). L'élément d'adaptation entre le manchon (701) et les tôles (702) pouvant être une plaque (705) comme illustré à la figure 3 soudée au manchon ou bien des pattes obtenues par découpe du bout du manchon et rabattues à 90 .

Alors le manchon (701) peut recevoir l'embout (102) solidaire de la glissière (101) portant la table de travail.

Dans ces conditions, on comprend que l'axe de l'ensemble manchon/embout comme ci-dessus peut prendre dans le plan verticale toutes les directions, celles les plus

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utiles étant comprises entre la verticale et l'horizontale vers soi-même ; ce qui correspond pour la table de travail aux positions horizontale et verticale respectivement.

Il ne reste plus qu'à décrire maintenant le moyen de portage du dispositif selon l'invention sur la barre verticale (3) de la figure 1.

Nous nous réfèrerons à la figure 4 qui illustre un mode de réalisation particulier de la glissière porteuse (400).

Sur la portion de tube (400), qui coulisse sur le support (3), est fixé un treuil (12) par le moyen d'une plaque (403) elle même soudée à (400). Par le moyen du câble (14) qui s'y enroule, de la poulie (13) fixée au bout du support (3) et d'un point d'arrimage du bout du dit câble sur le tube (400), la manoeuvre du treuil (12) provoque la monté ou la descente de l'ensemble.

Par le moyen d'une plaque (404) soudée au tube (400) par deux pattes (405), la glissière (402) est fixée sur la glissière (400) par le moyen des deux boulons (406) et (407) passant à travers des gaines (408) et (409) soudées à la glissière (402). La dite glissière pouvant alors être démontée ou redressée selon les besoins : transport, rangement ou autres.

En position normale, elle porte le bras (6) à l'horizontale qui peut y coulisser et y être bloqué, à la position choisie, par la manette de blocage (410).

La manette de blocage (411) est prévue pour bloquer la glissière (400) après réglage par le treuil (12) de la hauteur de la table de travail par rapport au sol.

Dans l'exemple de réalisation ci-dessus décrit illustré par les figures 1,2, 3 et 4, l'énergie nécessaire pour effectuer les manoeuvres des différents organes est purement humane, ce qui est loin d'être confortable pour l'utilisateur. Dans certaines circonstances cela pourrait conduire à de l'insécurité ce qui n'est pas admissible.

Pour ces raisons et sans sortir du cadre de l'invention comme cela a déjà été précisé, des motorisations, électriques de préférence, peuvent être prévues au moins pour deux mouvements qui sont : - celui vertical de l'ensemble sur le support vertical (3), en utilisant un treuil (12) électrique à vis sans fin donc auto bloquant à l'arrêt.

- celui de rotation de la table autour de l'axe horizontal de l'articulation (700) en

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utilisant un réducteur électrique à vis sans fin autobloquant à l'arrêt.

Les dispositions techniques de tels appareillages sont suffisamment connues pour ne pas nécessiter de dessin illustratif ni de description détaillée.

Bien entendu, pour fournir le maximum de confort à l'utilisateur, les manoeuvres ainsi électrifiées seraient commandées à distance et associées à tous les accessoires de sécurité : fins de course, limiteurs de couple,... etc.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Table de peinture à positions multiples, caractérisée en ce quelle comprend une table de travail (100) portée par un bras horizontal (6) monté sur un support vertical (3) par l'intermédiaire d'une glissière (400) mobile sur ledit support, et des moyens d'articulation (700, 701,102) selon un axe horizontal et un axe perpendiculaire audit axe horizontal, interposé entre ledit bras (6) et ladite table de travail (100).

2. Table de peinture à positions multiples selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la table de travail (100) est constituée de deux barres horizontales (104) et (108) assujetties à une barre verticale (103), lesquelles sont associées à leurs extrémités à des barres verticales (109) et (110) pour matérialiser un cadre rigide.

3. Table de peinture selon la revendication 2, caractérisée par le fait qu'une barre horizontale (106) est assujettie à la barre médiane (103) pour être associée, à distance ajustable, à la barre (104) afin de soutenir ensemble une surface à peindre.

4. Table de peinture selon les revendications 2 et 3, caractérisée par le fait que les barres (104) et (106), qui soutiennent ensemble la surface à peindre, portent des moyens pour tenir fermement ladite surface à peindre tels que des pinces (112).

5. Table de peinture selon les revendications 1 et 2, caractérisée par le fait que les barres verticales (109) et (110) portent chacune un support (113) et (121) qui soutiennent ensemble une barre rigide (117) servant d'appuimain.

6. Table de peinture selon les revendications 2,3, 4,5, caractérisée par le fait que les divers moyens d'assujettissement entre eux des éléments constitutifs de la table de travail sont des glissières simples ou en croix

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avec vis de serrage pour immobilisation, qui permettent ainsi les divers ajustements dimensionnels.

7. Table de peinture selon les revendications 1 et 2, caractérisée par le fait que la barre médiane (103) est portée par une glissière (101) avec vis de blocage qui supporte un embout (102) engagé dans un support (701) solidaire de l'articulation (700) afin de lui donner une liberté de mouvement de rotation sur elle-même.

8. Table de peinture selon les revendications 1,2 et 7, caractérisée par le fait que la table de travail est portée par une articulation (700) qui permet la rotation de la table de travail (100) autour de l'axe horizontal de l'articulation.

9. Table de peinture selon les revendications 1,2, 7,8, caractérisée par le fait que l'articulation (700) portant la table de travail (100) est rendue solidaire dudit bras horizontal (6) qui peut glisser dans une glissière (402) vers l'avant ou vers l'arrière.

10. Table de peinture selon la revendication 7, caractérisée par le fait que ledit embout (102) est monté amoviblement sur ledit support (701).

11. Table de peinture selon les revendications 1,2, 7,8, 9, caractérisée par le fait que le bras (6) portant la table de travail (100) est porté par une glissière (402) solidaire de ladite glissière (400) qui peut être déplacée sur un support vertical (3).

12. Table de peinture selon les revendications 1,7, 8,9, 10, caractérisée par le fait que la glissière (400) est soutenue par un câble (14) passant sur une poulie fixée au bout du support (3) l'une des extrémités étant fixée à la glissière (400) l'autre étant enroulée sur le tambour d'un treuil (12) solidaire de ladite glissière afin de permettre son déplacement.