FR2483150A1 - Repondeur automate de portier-robot - Google Patents

Abstract

REPONDEUR AUTOMATE DE PORTIER-ROBOT. L'INVENTION CONCERNE PRINCIPALEMENT LES PORTIERS-ROBOTS. L'APPAREIL COMPREND : UN CIRCUIT F DE DETECTION DE SIGNAL D'APPEL; DES MOYENS D'EXECUTION DE FONCTIONS COMPORTANT AU MOINS UN CIRCUIT DE COMMANDE DE LA GACHE ELECTRIQUE F ET UN CIRCUIT F DE TRANSMISSION D'AU MOINS UN MESSAGE PREDETERMINE VERS LA PORTE D'ENTREE; UN SELECTEUR DE FONCTIONS F; ET UN CIRCUIT DE COMMANDE F RELIE AU CIRCUIT DE DETECTION, AUXDITS MOYENS D'EXECUTION DE FONCTIONS ET AU SELECTEUR POUR COMMANDER L'EXECUTION DE LA OU DES FONCTIONS SELECTIONNEES EN REPONSE A LA DETECTION D'UN SIGNAL D'APPEL. APPLICATION A UN REPONDEUR AUTOMATE DE PORTIER-ROBOT.

Description

La présente invention concerne les interphones ou portierrobot d'immeuble ou de villa, en particulier, mais non exclusivement.

On connait de nombreux types d'interphone ou portier-robot permettant de communiquer, par appel sonore ou lumineux suivis d'une conversation, par exemple, entre la porte de rue d'un immeuble et un appartement ou bureau situé dans celui-ci, et d'obtenir, de la part de ses occupants, la permission d'entrer par action manuelle de la commande de gâche électrique de la porte de rue.

Les gâches électriques sont généralement prévues pour un fonctionnement intermittent sous forme dtexcitation-électrique de courte durée parfois temporisée et avec ou sans auto-maintien de la permission d'une ouverture.

On connais aussi des commandes de gâche actionnée par un contacteur d serrure d clef ou a code secret réservé aux occupants de l'immeuble.

Chaque ouverture de porte nécessite une réponse d'invitation à entrer avec action de la commande de gâche par l'occupant du bureau appelé.

Il est également connu, pour diminuer la servitude occasionnée par de très nombreux visiteurs de cabinets de professions libéra les, par exemple, dtinstaller un un contact de commande de gâche ju- meulé avec celui d'appel. Ce dispositif demande souvent une intervention sur les parties communes de l'immeuble nécessitant l'accord des copropriétaires. De plus, ce dispositif étant muet, les visiteurs non prévenus attendent désespérément une invitation à entrer puis repartent sans information.

Cependant, on ne connait actuellement aucun système universel connecté au poste combiné '1privé" du cabinet, déclenché par le signal d'appel et répondant par un ou plusieurs messages avec ou sans action programmée de la gâche.

La présente invention a pour but d'éliminer les inconvénients ci-dessus des appareils connus et propose un répondeur automate pouvant être adapté sur les installations de portiers-robots interphoniques ou téléphoniques sans altérer les fonctions propres qui restent disponibles.

Un objet de l'invention est de proposer un répondeur automate pouvant être branché sur le poste "privE" du local sans exiger de modification de ce dernier ou de l'installation générale.

Un autre objet de l'invention est de fournir un répondeur automate n'exigeant qu'un faible courant d'alimentation et pouvant de ce fait être alimenté en série avec une gache électrique ou son relais ou une sonnerie sans actionner un tel élément.

Conformément à l'invention, l'appareil répondeur automatique adaptable à un poste interphonique ou téléphonique de portierrobot réagissant à un signal d'appel transmis depuis l'extérieur d'une porte à ouverture commandée par une gâche électrique, est caractérisé en ce qu'il comporte
- un circuit de détection de signal d'appel,
- des moyens d'exécution de fonctions comportant au moins
un circuit de commahde de la gâche électrique et un
circuit de transmission d'au moins un message prédé
terminé vers la porte d'entrée,
- un sélecteur de fonctions,
- et un circuit de commande relié au circuit de détec
tion, auxdits moyens d'exécution de fonctions et au
sélecteur pour commander l'exécution de la ou des fonc
tions sélectionnées en réponse à la détection d'un
signal d'appel.

Suivant une autre caractéristique de l'invention, le circuit de détection de signal d'appel contient plusieurs filtres permettant d'éliminer des impulsions parasitaires isolées.

Suivant une autre caractéristique, le sélecteur de fonctions comporte un ensemble de commutateurs et une horloge de sélection automatique.

Selon une autre caractéristique encore, le répondeur automate comporte des organes d'affichage indiquant les fonctions sélectionnées.

La figure 1 est une vue schématique représentant les fonctions principales du répondeur automate objet de l'invention.

La figure 2 est un schéma de l'alimentation en courant continu.

La figure 3 est un schéma montrant les circuits de traitement des signaux d'appels, de messages et de tonalité.

La figure 4 est un schéma représentant plus en détail plusieurs fonctions.

La figure 5 montre les états chronologiques de plusieurs signaux pour faciliter la compréhension d'un exemple de programme.

La figure 6 est un schéma de circuits de commande de gache électrique.

La figure 7 est un schéma du circuit de transmission et de commande d'émission.

La figure 8 est un schéma du circuit de visualisation.

On â représenté sur la figure 1, l'ensemble du répondeur automate électronique selon l'invention. Chaque circuit ayant une fonction particulière est schématisé par un rectangle. Cette figure montre également les connexions entre les divers circuits par un du plusieurs conducteurs sauf ceux de leurs alimentations qui ne sont pas représentés. Chaque circuit, dont certains sont détaillés dans les autres figures, est référencé de la façon suivante.

PP situé dans l'appartement ou le cabinet, ce poste est le terminal "privé" de l'installation collective de portier-robot. I1 peut être de type interphonique ou téléphonique couramment utilisé.

Ses fonctions propres ainsi que celles de l'installation collective ne sont pas altérées par la connexion du répondeur automate qui est en parallèle avec PP sur les fils de raccordement à l'installation collective et présente, à l'état de veille, des impédances suffisamment élevées pour être négliséesi
F1 est un sélecteur permettant de sélectionner des fonctions à exécuter en réponse à un signal d'appel SA. Ce sélecteur F1 comporte également le commutateur marche arrêt M/A. D'autres commuta teurs CG, CH, CT permettent de sélectionner les fonctions suivantes : ouverture ou non de la gâche en réponse à un signal d'appel, prise en compte ou non d'une horloge F10 , test.Un ou plusieurs commutateurs additionnels peuvent être prévus pour permettre de sélectionner des fonctions supplémentaires telles que, par exemple, éclairage d'escalier ou de hall d'entrée, amplification phonique de puissance, ...

F2 est un circuit d'alimentation électrique générale du répondeur. Ce circuit est décrit plus en détail ci-après en référence à la figure 2.

F3 est un circuit de transmission recevant des signaux phoniques représentant des messages ou tonalités à transmettre éventuellement à la platine extérieure en réponse à un signal d'appel.

Un mode de réalisation du circuit F3 est décrit ci-après en référence à la figure 7.

F4 est un circuit de commande de gache pour commander, le cas échéant, l'ouverture de la gâche électrique. Un mode de réalisation dlun circuit de commande de gâche est décrit plus loin en référence à la figure 6.

F5 est un module logique de commande qui est connecté notamment au sélecteur F@, au circuit de transmission F@ et au circuit 3 de commande de gâche F4 pour commander, en réponse aux signaux d'appels reçus, les fonctions sélectionnées à exécuter. Un mode de réalisation est décrit en référence à la figure 4.

F6 est une base de temps qui fournit des signaux de cadencement pour commander le fonctionnement du module logique de commande et qui délivre sur une sortie S8 un signal phonique de tonalité ST.

F8 est un circuit de détection, amplification et aiguillage recevant les signaux d'appel SA, des signaux de message SM et les signaux de tonalité ST. Ce circuit F8 déclenche le fonctionnement du module logique de commande en réponse à la détection d'un signal d'appel. La circulation des signaux d'appel dans le circuit
F8 et l'aiguillage des signaux de message et de tonalité vers le circuit F3 sont réalisés à travers des portes analogiques commandées par le module logique F5, comme cela sera expliqué plus en détail ci-après.

F10 est une horloge horaire, journalière, hebdomadaire qui permet de sélectionner automatiquement les fonctions et les messages programmés selon l'heure et le jour de la semaine. Par exemple, commande de gâche et message d'invitation à à entrer pendant les heures des jours "ouvrables" pour un cabinet médical ou dentaire pas de commande de gache et message indiquant le cabinet de garde pendant les heures et les jours de fermeture Ainsi, la sélection des fonctions peut être réalisée manuellement au moyen du sélce- teur F1 ou automatiquement au moyen de l'horloge F10, le choix entre ces deux modes de fonction étant effectué par action sur le commutateur CH.

F11 est un circuit d'affichage des fonctions sélectionnées actives utilisant des éléments électro-luminescents tels que des diodes (L. E. D.).

F12 est une mémoire dans laquelle sont enregistrés des messages. Cette mémoire peut être une bande magnétique bouclée sur laquelle plusieurs messages peuvent être préenregistrés, par ex- emple sur des pistes parallèles. La sélection de la piste de lecture peut être effectuée manuellement ou automatiquement selon l'état de la sortie S13 du module logique F5 > par exemple en fonction de signaux produits par l'horloge F10.

F13 enfin, est un connecteur regroupant les alimentations et les principaux signaux nécessaires pour raccorder instantanément des modules embrochables pour obtenir des fonctions complémentai res (amplificateur phonique de puissance, commande d'éclairage de l'escalier, etc ...) d'adaptation des portiers-robots spéciaux ou pour inclure les fonctions initiales ou modifiées du poste combiné "privé"( PP).

L'alimentation en courant électrique (figure 2) du répondeur automate est prévue pour prélever la très faible puissance nécessaire, sélectionnée par le commutateur SW1, sur la mieux adaptée des sources disponibles selon le type du poste (PP) et les fonctions désirées. Ces sources peuvent être
- le secteur avec un transformateur et un redresseur,
- en série avec la gâche électrique connectée à (G) pour
utiliser son alimentation provenant de la centrale du
portier-robot sans risque de l'actionner puisque le cou
rant extrait est très inférieur à celui nécessaire même
pour son maintien,
- l'alimentation du portier-robot connecté à AP si elle est
présente et utilisable,
- en série ou en parallèle avec la sonnerie d'appel connec
tée à SA selon ses caractéristiques et sa compatibilité en
courant et tension.

Pour utiliser ces sources de puissance (sauf le secteur), la borne CN qui est reliée au commun de l'alimentation du répondeur doit être connectée au commun du portier robot si celui-ci est le p8le négatif de son alimentation en courant continu et le neutre si son alimentation est en alternatif basse tension.

L'alimentation par le secteur reste connectée en permanente mais peut ne pas être alimentée si une autre source est disponible.

Un circuit connu LT, limiteur de tension et d'intensité, charge le condensateur C1 de forte capacité qui peut être remplacé par une batterie d'accumulateurs miniatures pour compenser les absences mementanées d'alimentation extérieure. Le circuit LT délivre une tension Va utilisée par certains circuits dont celui du régulateur de pension RT produisant une tension Vb destinée à tous les circuits de logique et de traitement des différents signaux.

Les circuits détaillés de la figure 3 fonctionnent de la fa çon suivante. Le répondeur, en état de veille, a ses commutateurs statiques CH1 fermé et CH2 ouvert par le module de logique F5.

Les résistances R14 et R15 et le condensateur C12 fixent la tension continue de référence des circuits d'entrée et de sortie de l'amplificateur Cati.

Lorsqu'un signal électrique d'appel est appliqué à l'entrée repérée SA, celui-ci est transmis par la résistance R10 > le condensateur Cg et le commutateur CH1 à l'amplificateur CA1 qui l'amplifie et le transmet, par le condensateur C15 à l'entrée de l'amplificateur CA2 qui l'amplifie avant son redressement par la diode D3.Le condensateur C16 intègre les signaux redressés et produit une tension de polarisation des entrées de l'amplificateur
CA2 à travers les résistances R22 et R20 qui présentent, avec le condensateur C15, une limitation de la vitesse de réaction, cette action est complétée par celle des résistances R24 et R21 avec le condensateur C16
Le condensateur C13, en parallèle sur la résistance de contre réaction R17, atténue d'éventuels signaux hautes fréquences.

La tension de ce circuit intégrateur commande l'entrée (a) du circuit détecteur CL1.

Si cette tension est supérieure à la tension d'alimentation Vb/2, elle provoque un niveau bas à la sortie (c) du circuit détecteur CL1 constitué par un circuit alogique ET-NON en technique MOS complémentaire, si celui-ci a son entrée (b) au niveau haut imposé par le module F5 sortie S7 Un circuit d'auto-maintien temporisé, constitué par la résistance R36 > la diode D11 et le condensateur
C20, est placé entre la sortie (c) du circuit CL1 et les entrées Cd > e) du circuit de mise en forme CL2 identique à CL1 dont la sortie est reliée au module F5 entrée E1 (fig. 4) qui gère la suite du déroulement des opérations selon les fonctions présélectionnées par les commutateurs manuels et l'horloge programmée.

Si la suite du programme est autorisée par F5 le commutateur
CH1 ouvre, tandis que le commutateur CH2 se ferme pour transmettre à l'amplificateur CA1 la modulation basse fréquence du message issu de F12 et appliqué à l'entrée repérée SM fig. 3 puis à la résistance R12, au condensateur C10 et au potentiomètre P1 qui permet d'ajuster l'amplitude optimale du signal transmis par CH2 à l'amplificateur CA1.

A la sortie de CA1, ce signal est dirigé par le condensateur
C15 sur l'amplificateur CA2 comme précédemment pour le signal d'appel. A la sortie de CA1, le commutateur statique CH4 étant fermé, le message est transmis par le potentiomètre P2 et le condensateur C14 au module F3 qui le transmet au poste PP.

Lorsque le message est terminé, le manque de signal est dé testé par les circuits CL1, CL2 et le module F5 ouvre les commuta teurs CH2 et CH4 et ferme le commutateur CH3 qui injecte à F3 par le condensateur C14 et le potentiomètre P3 un signal de tonalité ST reçu de F6 sortie S8 pendant quelques secondes, puis tous les circuits reprennent leurs états d'origine dans l'attente d'un nouvel appel.

Pendant tout le temps de ce cycle la gâche électrique est actionnée en permanence, par intermittence ou pas du tout, selon les fonctions présélectionnées.

En exemple, on a représenté sur la figure 5 de L1 à L10 le déroulement chronologique standard des séquences de durées variables ou programmables des différentes fonctions principales.

Les lignes en trait interrompu représentent les états possibles mais non obligatoires selon les différents réglages de temporisations et de la durée du message sélectionné. Les traits au niveau 1 correspondent à une action en cours ou un contact fermé pour les commutateurs. Sur l'échelle horizontale des temps sont repérés de O à 8 des seuils remarquables des différentes fonctions définies ci-dessous.

-L1 représente le signal d'appel devant avoir un niveau 1 pendant un temps minimum de t0 à tl pour être détecté et provoquer la suite des séquences si le répondeur est sur marche. De t1 à t8 son niveau est indifférent. Si le niveau 1 est présent à t8 un-cycle complet recommence,
- L2 : représente le niveau de l'entrée E1 du module de logique P5. Son niveau est à 1 pendant la présence du signal d'appel SA ou de message SM issu de la mémoire F12,
-L3 : représente l'état du commutateur CH1 qui s'ouvre dès la détection à tl et se ferme à t8,
-L4 : représente le niveau de la sortie S1O du module
F5 correspondant pour un niveau 1 à la permission d'émettre un message ou une tonalité par le module F3,
- L5 : représente l'état de la sortie Sg du module F5 correspondant à la commande d'action de la gâche électrique.Cette action est conditionnée, premièrement, par le choix programmé de fonctionnement pendant tout le cycle de tl à t7 ou par intermit tence avec une durée ajustée pour éviter la destruction de la gâche par échauffement et, deuxièmement, par l'état des commutateurs manuels des entrées E4-E5-E6-E7 et de l'horloge F10 (E3),
- L6 : représente-la fonction lecture de la mémoire de message F12 avec un minimum de t1 à t4 et ensuite selon la durée du message qui fixe t5 en fin de texte,
L7 : représente l'état du commutateur CH2 de liaison du signal des messages de SM à CA1,
- L8 : représente l'état du commutateur CH4 de liaison de la sortie d'amplificateur CAl avec le module de transmission F3,
Lg : représente l'état du commutateur CH3 de liaison du signal de tonalité venant de S8, avec le module de transmission
F3 Cette tonalité est émise pendant les temps d'action de la gâche avec absence de message,
- L10 : représente la présence de signal de tonalité sur - sortie S8 du module F5,
- t0 : début du signal d'appel,
t1 : seuil de détection par CL1 d'un signal d'appel,
- t2 : seuil suivant tl avec un retard préréglé dans F5 selon le type de la mémoire de message utilisée,
- t3 : conditionné par le choix dans F5 du mode de fonctionnement de la gache,
- t4 : seuil réglable dans F5 du minimum de temps de lecture de la mémoire du message, t t5 : seuil de fin de message sur la sortie (f) de CL2,
- t6 : seuil de début de temporisation réglable dans F5 de l'action de la gâche si l'ouverture de la porte est autorisée t6 peut être superposé à
- t7 : seuil de fin de temporisation réglable dans F5 de l'action de la gâche après message,
t8 : seuil suivant t7 avec une légère temporisation par pour permettre une stabilisation de tous les circuits avant de recommencer éventuellement un cycle si un signal d'appel se présente. Le temps compris entre t4 et t5 est uniquement en fonction de la durée du message qui peut varier de O à plusieurs minutes mais ayant une limite de maximum prédéterminée par la mémoire ou par temporisation dans le module F5.

Les modules de logique F5 > de base de temps F6, des commutateurs manuels F1, de l'horloge F10 et partiellement le circuit de détection et mise en forme F8 sont représentés en détail sur la figure 4 et leurs fonctionnements sont décrits ci-dessous. Le module F5 donne une réalisation en logique cablée utilisant des circuits intégrés de la famille "CMOS" mais ce module pourrait être remplacé par un ensemble de logique programmé à base de microprocesseur.

Si le contact manuel de marche-arrêt M-A est sur marche (contact ouvert), lorsqu'un signal d'appel ou d'action du contact à poussoir de test CT produit un niveau 0 au repère (e) de F8, un niveau 1 est transmis par la sortie (f) du circuit inverseur CL2 à l'entrée E1 du module de logique F5. Ce niveau 1 est appliqué à une entrée du circuit ET-NON CL5 et au circuit CL7 qui l'inverse et le transmet sur une entrée du circuit CL8 accouplé au circuit
CL9 pour former une cellule bistable mémorisant ce niveau à O et délivre un niveau 1 à la sortie repérée (m). Ce niveau est appliqué au circuit inverseur CL6 qui délivre à sa sortie (n) un niveau 0 appliqué à l'entrée de déblpcage RZ du circuit à diviseurs programmables CL4.D'autre part, ce niveau 1 issu de (m) valide par la sortie S1 une entrée du circuit CL20, tandis que l'autre a été précédemment libérée par le circuit CL5 à travers la diode
D10 et la sortie
Les circuits CL20 et CL21, interconnectés par les résistances R50 > R51 et par le condensateur C21, forment un module F6 générateur de signaux en forme de crénaux et qui se met à osciller au passage du niveau O à 1 de (m) transmis par la liaison de sortie Ce Ce signal, dont la fréquence est principalement fonction de
C21 et R51, est appliqué à l'entrée E2 du module F6 et à la sortie qui donne la fréquence de base de la tonalité modulée dans le module F8 par le commutateur statique CH3.

Le circuit CL4 contient plusieurs diviseurs dont les sorties
Q1 à Q4 sont programmables pour délivrer les crénaux ou temporisa tions nécessaires aux circuits pilotant les sorties S1, S2, 53 > S4,
S5, S6, S9, S10, S11, S12 du module F5 pour obtenir les séquences souhaitées.

Pendant le fonctionnement du répondeur un niveau 1 (= à Vb), issu de la sortie (n) du circuit CL8 à travers la résistance R52, est appliqué à la sortie S12 pour rendre conducteur le transistor
T12 figure 8. Cette même sortie S12 reçoit par la diode D13 les niveaux O (= V0) de modulation d'un signal en crénau venant de la sortie Q2 de CL4.

Le niveau 0 à (n), obtenu précédemment, impose un niveau 0 à la sortie S3 par le circuit ET CL15 supprimant l'action du signal d'appel par CH1 qui s'ouvre jusqu'd la fin du cycle remettant (n) au niveau 1.

La commande de lecture de mémoire pilotée par la sortie jumelée avec la sortie S4 de commande du commutateur statique CH2, est activée au niveau 1 par le circuit ET CL16, lui-même validé par un niveau 1, sur son entrée reliée au circuit ET-NON CL11 qui maintient ce -niveau tant que au moins l'une- de ses entrées venant de Q4 et de CL7 reste au niveau 0. Le niveau 0 de Q4 est maintenu pendant un temps minimum programmé pour permettre l'apparition de l'auto-maintien donnant un niveau 1 sur l'entrée E1 dès la détection du début du message jusqu'à la fin de celui-ci.Le niveau O sur.Q3 est maintenu pendant un temps programmé pour une première action de la gâche activée pour un niveau 1 sur la sortie S9 correspondant à celle du circuit ET CL18 conditionnée par la position fermée du contact manuel CG transmise par l'entrée ES, la diode D6, la résistance R33, le circuit ET-NON CL12, et par la position du cavalier de h à k pour action permanente pendant tout le cycle, ou de h à i venant de Q3 pour action intermittente dont une en début de cycle et une après la fin du message pendant un temps programmé.

Dès qu'un niveau 1 est donné par Q3, il supprime l'action de la gache et, par le circuit ET-NON CL5, bloque momentanément par D10 l'oscillateur F6 jusqu'S l'apparition d'un niveau O venant de E1 à la fin du message qui le débloquera par S2 jusqu'à la fin du cycle où il sera bloqué par
La sortie S5 de commande du commutateur CH3 est activée au niveau 1 par le circuit ET CL17 dès que Q3 est au niveau 1 transmis par R54 > ou Sg au niveau 1 transmis par D16 sur une de ses entrées et que l'autre entrée de CL17 reliée à la sortie du circuit CL13 est au niveau 1 provoqué par l'absence de message traduit par un niveau 0 à la sortie (p) de CL7, d'une part, et selon l'état de la sortie du circuit CL12 d'autre part,
La sortie 86 de commande du commutatçur CH4 est activée au niveau 1 par la sortie du circuit OU-NON CL19, si celui-ci a son entrée venant de C13 au niveau 0, et sa deuxième entrée aussi au niveau 0 par celui de la sortie repérée (n) de CL6 transmis à travers le circuit de retard pour la validation (1#0) produit par le condensateur C22, la résistance R59 et la diode D15.

La sortie S10 de commande du circuit de transmission F3 est activée au niveau 1 par le circuit ET CL14 si celui-ci reçoit un niveau 1 du repère (m) de CL8 sur l'une de ses entrées et que l'autre reliée au point (test aussi au niveau 1 produit par le circuit inverseur CL10 à travers le circuit de temporisation constitué par les résistances R57, R58, la diode D14 et le condensateur C17, et à la condition que par la résistance de protection R32, de faible valeur, (R57 + R58 R32) ce niveau également transmis à la sortie
S7 ne soit pas ramené à O par la commande d'arrêt général CG.

Le circuit CL10 donne un niveau O sur sa sortie lorsque son entrée reçoit un niveau 1 issu de Q1 produit à la fin de la temporisation programmée du temps total d'un cycle ou du temps de message plus un temps programmé présent sur Q3 d'action de la gâche après le message. Ce niveau O après la cellule de temporisation R57, D14,
C17 apparait en (q) et produit le basculement de la cellule bistable CL8, CL9 qui remet tous les circuits dans l'état d'attente d'un nouveau cycle au prochain signal d'appel SA.

La sortie S13 de sélection de texte est reliée à travers la diode D5 aux entrées E3 et E5 qui permettent d'obtenir, manuellement ou par l'horloge, l'action de la gâche et le texte d'invitation à entrer ou l'inaction de la gache et le texte, par exemple, d'indication du cabinet de garde, Cette sélection se fait dans la mémoire de message F12 en fonction du niveau O ou 1 de S13 qui commute la lecture de l'un ou l'autre des textes souhaités, préalablement enregistrés sur les voies correspondantes.

La sortie S14 reliée à E7 par la résistance R35 au bouton poussoir CT de commande manuelle de test, déclenche le répondeur princiet la transmission paiement pour tester le fonctionnement des présélections/des messages en appliquant un niveau O aux points (e) du circuit CL2.

la fig. 6 représente les circuits détaillés du module F4 de commande de gâche G nécessitant deux circuits. L'un avec un triac
T6 -pour les gâches alimentées en courant alternatif, l'autre avec un transistor à effet de champ T5 pour les gâches alimentées en courant continu ou pour actionner un relais (REL) lorsque llalimen- tation de la gâche ne peut pas avoir de point commun avec V0.

Le triac T est amorcé par une impulsion brève sur sa gâchette
6 à chaque alternance. Cette impulsion est limitée en courant par la résistance R65 et commandée par le transistor T4 recevant sur sa base le signal issu du circuit amplificateur logique "C MOS" CL3 par la résistance R62. Dès que le module logique F5 sortie S9, autorise la commande de gâche, il applique un niveau Vb sur la ré sistance R60 sur le côté repère x.Lorsque la tension alternative d'alimentation de la gâche transmise par la résistance R63 et la diode D18, approche de zéro, elle n'est pas suffisante pour maintes air les transistors T1 ou T2, T3 en conduction et la tension au point (y) remonte à Vb en entraînant la polarisation du condensa- teur C23 sur le côté repère (y) à ce potentiel, facilitée par D16 Das que la tension dgune alternance remet en conduction les tran- sistors T1 ou T2, T3 le niveau au point (y) retombe presque à V0 en entraînant par C23 un niveau bas sur l'entrée du circuit CL3 qui le transmet et le maintient sur sa sortie pendant le temps nécessaire pour recharger C23, côté (z), par la résistance R61 à une tension supérieure à Vb/2 qui fera revenir la sortie CL3 au niveau Vb et bloque le transistor T4 jusqu'à l'alternance suivante,
La diode D17 assure une réaction favorisant une commutation franche.

La durée de l'impulsion dépend des valeurs de R61 et C23.

Par ce circuit on obtient une consommation pratiquement nulle sans commande de la gâche et très réduite pendant la commande en utilisant un triac T5 sensible et un amplificateur CL3 en technologie "C MOS" permettant des impédances élevées.

Le commutateur SW2 permet de choisir le circuit correspondant au type de la gâche utilisée qui est reliée par l'intermédiaire d'un fusible FU1 (fig. 2) à la borne G du poste PP d'une part, l'autre conducteur étant CN-V0 ou relié indépendamment à GR s'il doit être isolé de V0.

Le module F3 de transmission et la commande d'émission (fig. 7) permet, selon la position de l'inverseur SW3 (2 circuits, 2 positions) d'adapter ces fonctions aux installations de type "interphonique" en position (a) ou "téléphonique" en position (b).

A la position (a), la modulation basse fréquence du message ou de tonalité venant par le condensateur C14 au point (ml) est transmise directement sur les circuits correspondants (m) du poste interphonique PP tandis que le transistor Tg commande ou non la fonction d'émission (R) de PP selon le niveau Vb ou V0 appliqué par du du module F5 à la résistance R26 et au potentiomètre P4.

A la position (b) de SW3, la modulation basse fréquence du message ou de tonalité, venant par Cl4 > est transmise à la base du transistor Tg qui module le courant d'émission sur M de PP selon le réglage de prépolarisation par P et le niveau Vb ou V0 appliqué par S1O du module F5 à la résistance R26 et au potentiomètre P La sortie S1O commande aussi, par la résistance R28, le transistor T10 pour obtenir la fonction d'émission parfois nécessaire sur (R) de certain poste PP de type "téléphonique" ou pour d'autres adaptations.

Le module de signalisation des fonctions en cours (fig. 8) comprend un générateur de courant réalisé par le transistor T18, les résistances R40, R41, la diode D9 qui alimente un certain nombre de cellules disposées en série et composées d'une diode électroluminescente "LED" et d'un transistor de commande monté en série et d'un autre en parallèle pour assurer la continuité pendant la non conduction du transistor de commande.

Un transistor T12 est placé entre la cellule du voyant à diode "LED" V1 et celle du voyant V2 pour permettre l'extinction ou la modulation de tous les voyants. Ce transistor T12 reçoit sur sa base un signal de commande S12 du module F5. La diode zener
D30 limite la tension à la sortie du régulateur de courant parfois sur alimenté par les diodes D8, D7, la résistance R42 et entrée
SA et pour des utilisations supplémentaires reliées à SS de celui- ci.

La durée de fonctionnement de la "LED" V1 commandée par le transistor T11 est proportionnelle au temps et à la tension (limi- tée par les diodes D8, D9, D30) du signal d'appel chargeant le condensateur C19 qui prolongera cette durée du temps de sa décharge par la résistance R46 maintenant le transistor T11 conducteur.

Les transistors T14, T16 reçoivent de F5 des niveaux logiques correspondant respectivement à la visualisation des fonctions d'excitation de la gache et de l'émission de message.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1 - Appareil répondeur automatique adaptable à un poste interphonique ou téléphonique de portier-robot réagissant à un signal d'appel transmis depuis l'extérieur d'une porte à ouverture commandée phr une gache électrique, caractérisé en ce qu'il comporte

- un circuit F8 de détection de signal d'appel,

- des moyens d'exécution de fonctions comportant au moins

un circuit de commande de la gâche électrique F4 et un

circuit F3 de transmission d'au moins un message pré

déterminé vers la porte d'entrée,

- un sélecteur de fonctions F1,

- et un circuit de commande F5 relié au circuit de dé

tection, auxdits moyens d'exécution de fonctions et

au sélecteur pour commander l'exécution de la ou des

fonctions sélectionnées en réponse à la détection d'un

signal d'appel.

2 - Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que le sélecteur de fonctions comporte un ensemble de commutateurs pouvant être actionnés manuellement.

3 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le sélecteur de fonctions comporte une horloge pour sélectionner automatiquement au moins plusieurs des fonctions à exécuter en réponse à un signal d'appel en fonction de l'heure de la journée ou du jour de la semaine.

4 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu il comporte un circuit commun pour amplifier et intégrer les signaux d'appel reçus et les signaux de message transmis et produire un signal de détection pendant la durée des signaux d'appel et de message.

5 - Appareil selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comporte un oscillateur produisant un signal de tonalité et des moyens pour déclencher la transmission vers la porte d'entrée du signal de tonalité pendant un temps déterminé après la fin du signal de détection.

6 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'il comporte une mémoire de messages dans laquelle sont lus le ou les messages choisis par le sélecteur.

7 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, adaptable sur une installation de portier-robot existante, caractérisé en ce qu'il peut être alimenté électriquement à partir d'une ligne d'alimentation existante d'un des. éléments de ladite installation et comporte des moyens pour stocker l'énergie disponible pendant les périodes de fonctionnement de cet élément.

8 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 7, caractérisé en ce qu'il comporte des organes d'affichage pour indiquer les fonctions sélectionnées.

9 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le circuit de transmission comporte une première partie pour transmettre des signaux pour installations interphoniques, une seconde partie pour transmettre des signaux pour installations téléphoniques et un communateur pour mettre en service l'une ou l'autre de ces parties.

10 - Appareil selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que le circuit de commande de gâche comprend une première partie comportant un triac dont la conduction est déclenchée par des impulsions brèves engendrées pendant les périodes de commande de gâche, une seconde partie comportant un transistor à effet de champ dont la conduction est commandée pen- dant les périodes de commande de gâche et un commutateur pour mettre en service l'une ou l'autre des deux parties du circuit de commande de gache selon que la gâche est alimentée en courant al- ternatif ou en courant continu.