EP0952296A1

EP0952296A1 - Caisson de volet roulant

Info

Publication number: EP0952296A1
Application number: EP99440065A
Authority: EP
Inventors: Robert Bubendorf
Original assignee: Bubendorff SA; Bubendorff Volet Roulant SA
Current assignee: Bubendorff Volet Roulant SA
Priority date: 1998-04-23
Filing date: 1999-03-26
Publication date: 1999-10-27
Anticipated expiration: 2019-03-26
Also published as: ES2215368T3; DE69915531D1; FR2777940A1; EP0952296B1; FR2777940B1; DE69915531T2

Abstract

L'invention concerne un caisson de volet roulant (1), destiné à être rapporté sur le dormant (4) d'une porte (2), fenêtre ou analogue, et comportant une paroi avant (9) , une paroi supérieure (10), une sous-face (11) et une paroi arrière (12), celle-ci faisant office de trappe de visite (13). Ce caisson (3) est caractérisé par le fait que ladite sous-face (11) est conçue apte à être fixée de manière indépendante sur ledit dormant (4) et comporte, d'une part, des moyens d'accrochage (19) prévus aptes à assurer une liaison réversible entre cette sous-face (11) et la paroi arrière (12) et, d'autre part, des moyens d'indexation venant coopérer avec ledit dormant (4) pour assurer le positionnement de cette sous-face (11) au moins suivant une direction perpendiculaire au plan correspondant à ce dormant (4), ce caisson (3) comportant, en outre, en partie avant et de manière accessible extérieurement à celui-ci, des moyens de fixation (45) directe ou indirecte sur ledit dormant (4). <IMAGE>

Description

L'invention concerne un caisson de volet roulant, destiné à être rapporté sur le dormant d'une porte, fenêtre ou analogue et comportant une paroi avant, une paroi supérieure, une sous-face et une paroi arrière, celle-ci faisant office de trappe de visite.
La présente invention trouvera son application dans le domaine de la fabrication de volets roulants destinés à être implantés au niveau d'un bâtiment quelconque.
On connaît déjà de nombreux caissons de volets roulants répondant à la description ci-dessus et destinés à recevoir, intérieurement, un arbre d'enroulement à partir duquel se déroule et sur lequel s'enroule une tablier constitué par une juxtaposition de lames articulées les unes par rapport aux autres. En fait, un tel caisson résulte, dans la plupart des cas, de l'assemblage, notamment par clipage, de parois avant, supérieure, arrière ainsi que d'une sous-face. Un caisson ainsi assemblé présente une structure monobloc apte à être rapportée directement sur le cadre dormant d'une porte, fenêtre ou analogue ce qui se fait, généralement, par vissage de la sous-face sur la traverse supérieure de ce cadre dormant. Une telle fixation nécessite, souvent, d'accéder à l'intérieur dudit caisson ce qui est rendu possible par la présence, au niveau de la paroi arrière, d'une trappe de visite conçue de nature escamotable.
Se pose, alors, le problème de la mise en place des vis de fixation sachant que la présence de l'arbre d'enroulement dans le caisson ou, simplement, de la paroi supérieure de ce dernier limite singulièrement l'accessibilité à la sous-face et complique l'utilisation des outils de vissage. De ce fait, les vis de fixation sont, généralement, vissées en biais ce qui, d'une part, réduit la tenue mécanique de l'ensemble. D'autre part, il en résulte que certaines têtes de vis sont saillantes intérieurement au caisson et peuvent entraver l'enroulement du tablier. Il convient, en outre, d'observer que, dans le cas d'un cadre dormant pourvu, intérieurement, d'un profilé de renforcement, ce dernier est percé d'orifices aptes à permettre le passage de vis de fixation. Or, ces orifices sont conçus aptes à permettre un vissage droit de ces vis et non en biais.
Une autre solution de fixation consiste, dans le cas d'un caisson de volet roulant refermé par des flasques latéraux, à fixer ces derniers directement sur le cadre dormant au travers de vis de fixation engagées de biais dans les flasques latéraux. Il est clair que le fait d'assurer la fixation d'un caisson en procédant ainsi pose des problèmes de rigidité et de tenue mécanique de l'ensemble de sorte que cette solution ne peut raisonnablement être envisagée qu'en combinaison avec un vissage de la sous-face.
La présente invention se veut à même de répondre aux problèmes exposés ci-dessus au travers d'un caisson de volet roulant dont le montage sur le cadre dormant de la porte, fenêtre ou analogue s'effectue, dans un premier temps, par la fixation sur celui-ci de la sous-face, sur cette dernière étant, ensuite, rapporté le restant du caisson.
A cet effet, l'invention concerne un caisson de volet roulant, destiné à être rapporté sur le dormant d'une porte, fenêtre ou analogue, et comportant une paroi avant, une paroi supérieure, une sous-face et une paroi arrière, celle-ci faisant office de trappe de visite, caractérisé par le fait que ladite sous-face est conçue apte à être fixée de manière indépendante sur ledit dormant et comporte, d'une part, des moyens d'accrochage prévus aptes à assurer une liaison réversible entre cette sous-face et la paroi arrière et, d'autre part, des moyens d'indexation venant coopérer avec ledit dormant pour assurer le positionnement de cette sous-face au moins suivant une direction perpendiculaire au plan correspondant à ce dormant, ce caisson comportant, en outre, en partie avant et de manière accessible extérieurement à celui-ci des moyens de fixation directe ou indirecte sur ledit dormant.
Au travers de la présente invention, la conception d'une sous-face apte à être fixée de manière indépendante permet, avantageusement, d'assurer une liaison optimale entre le caisson et le cadre dormant de la porte, fenêtre ou analogue sans être confronté à des problèmes d'encombrement et d'accessibilité.
Après avoir réalisé une telle liaison, il est possible de rapporter le restant du caisson sur cette sous-face par l'intermédiaire de moyens d'accrochage, ces derniers étant avantageusement prévus aptes à coopérer avec la paroi arrière tout en permettant l'escamotage de cette dernière pour accéder à l'intérieur dudit caisson.
Selon une autre caractéristique de la présente invention, ladite sous-face comporte des moyens d'indexation aptes à permettre son positionnement par rapport au dormant de la porte, fenêtre ou analogue. De tels moyens d'indexation permettent alors d'assurer la mise en place de la sous-face avec précision de sorte que, lors du montage ultérieur du restant du caisson, ce dernier vienne se positionner exactement à l'endroit voulu par rapport au dormant.
Finalement, ce caisson comporte des moyens de fixation directe ou indirecte sur le cadre dormant situés en partie avant dudit caisson et facilement accessibles par l'extérieur de ce dernier. De tels moyens de fixation permettent alors d'immobiliser le restant du caisson, après son accrochage sur la sous-face, et ceci de manière aisée en intervenant, avantageusement, par l'extérieur de celui-ci.
La présente invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui va suivre se rapportant aux dessins figurant en annexe et dans lesquels :

la figure 1 est une vue schématisée et de coté d'un cadre dormant surmonté par un caisson refermé, latéralement, par un flasque représenté partiellement ;
la figure 2 est une vue schématisée et en coupe d'une sous-face fixée sur le dormant et pourvue de moyens d'accrochage de la paroi arrière ainsi que de moyens d'indexation ;
les figures 3 à 6 et 9 représentent différents modes de réalisation de ces moyens d'accrochage ;
les figures 7 et 8 illustrent les deux phases principales du montage du caisson sur le cadre dormant.

Tel qu'il ressort du dessin en annexe, la présente invention concerne le domaine de la fabrication de volets roulants 1 destinés à équiper une porte 2, fenêtre ou analogue implantée au niveau d'un bâtiment.
Un tel volet roulant 1 comporte un caisson 3 destiné à être rapporté sur le cadre dormant 4 de cette porte 2, fenêtre ou analogue, plus particulièrement, au niveau de sa traverse supérieure 5.
Ce caisson 3 reçoit, intérieurement, un arbre d'enroulement 6 dont les extrémités sont montées, en rotation, sur des joues support et sur lequel s'enroule et à partir duquel se déroule un tablier 7 constitué par la juxtaposition de lames dont les extrémités latérales sont à même de se déplacer à l'intérieur de coulisses latérales 8.
En fait, un tel caisson 3 comporte, essentiellement, une paroi avant 9, une paroi supérieure 10, une sous-face 11 ainsi qu'une paroi arrière 12, cette dernière étant apte à définir une trappe de visite 13 de nature, généralement, escamotable. En outre et tel que visible, plus particulièrement figure 1, un tel caisson 3 est susceptible d'être refermé, latéralement, par des flasques latéraux 14.
Selon l'invention, ladite sous-face 11 de ce caisson 3 est conçue apte à être fixée, de manière indépendante sur ledit dormant 4.
Plus précisément et tel que représenté figure 2, ladite sous-face 11 est rapportée directement sur le cadre dormant 4, notamment au niveau de la traverse supérieure 5, par l'intermédiaire d'organes de fixation 15. Ces derniers peuvent se présenter sous la forme de vis de fixation 16, par exemple de nature auto-perçantes, aptes à pénétrer dans le dormant 4 et, éventuellement, à venir coopérer avec un renfort 17 s'étendant à l'intérieur de celui-ci, notamment dans le cas d'un dormant 4 conçu en profilé tubulaire synthétique.
On observera que, selon un mode de réalisation préféré, la liaison entre la sous-face 11 et le cadre dormant 4 peut être optimisée par l'adjonction d'un renfort 18, notamment de type métallique, apte à être traversé par lesdits organes de fixation 15 et disposé par-dessus ladite sous-face 11. Un tel renfort 18 contribue, avantageusement, à la rigidification de ladite sous-face 11 et permet de stabiliser l'ancrage de cette dernière ainsi que son positionnement.
Selon une autre caractéristique de la présente invention, cette sous-face 11 comporte des moyens d'accrochage 19 prévus aptes à assurer une liaison réversible entre celle-ci et la paroi arrière 12. A cet effet, cette dernière comporte des moyens d'accrochage complémentaires 20 aptes à coopérer, justement, avec lesdits moyens d'accrochage 19 par pivotement et/ou par coulissement de ladite paroi arrière 12 par rapport à ladite sous-face 11.
Différents modes de réalisation de ces moyens d'accrochage 19 ont été illustrés plus en détail figures 2 à 6.
Selon un autre mode de réalisation, ladite paroi arrière 12 comporte des moyens d'accrochage complémentaires 20 aptes à coopérer avec lesdits moyens d'accrochage 19 par emboîtement de ladite paroi arrière 12 dans la sous-face 11, de tels moyens 19, 20 ayant été représentés figure 9.
Ainsi, il a été représenté figure 2 et 3 des moyens d'accrochage 19 autorisant une liaison par pivotement et définis par une goulotte 21 équipant l'extrémité arrière 22 de ladite sous-face 11. Une telle goulotte 21 est alors réalisée, soit par coextrusion lors de la fabrication d'une sous-face 11 élaborée à partir d'un matériau synthétique (figure 2) ou en aluminium (figure 3), soit par déformation de ladite sous-face 11 lorsque cette dernière est réalisée en un autre matériau métallique.
Il a été représenté figures 4 à 6 d'autres modes de réalisation de ces moyens d'accrochage 19, ces derniers étant définis, tel que visible figures 4 et 6, par un retour 23 en forme de « U » équipant l'extrémité arrière 22 de ladite sous-face 11, tandis que, figure 5, ces moyens d'accrochage 19 se présentent sous la forme d'un prolongement 24 de cette sous-face 11 adoptant, sensiblement, la forme d'un « S ».
A ce propos, on observera que si ce retour 23 en « U » ou ce prolongement 24 en « S » sont, essentiellement, destinés à permettre un accrochage de la paroi arrière 12 sur la sous-face 11 par pivotement, un tel accrochage peut également être envisagé en faisant simplement coulisser ladite paroi arrière 12 par rapport à cette sous-face 11 jusqu'à coopération et emboîtement des moyens d'accrochage 19 avec les moyens d'accrochage complémentaires 20.
La coopération entre ces derniers et lesdits moyens d'accrochage 19 peut encore être réalisée directement par emboîtement tel que visible figure 9.
Quant à ces moyens d'accrochage complémentaires 20, ils sont définis par un profilé de raccordement 25 équipant, à l'aide de moyens de raccordement 26 de type escamotables, le bord inférieur 33 de la paroi arrière 12 permettant, précisément, à cette dernière, de définir, substantiellement, ladite trappe de visite 13.
En ce qui concerne, plus précisément, ces moyens de raccordement 26, ces derniers sont définis, au niveau dudit profilé de raccordement 25, sous la forme d'un réceptacle 27 en « U » pour la réception de moyens de liaison 31 solidaires de la trappe de visite 13 et venant compléter lesdits moyens de raccordement 26.
Plus précisément, ce réceptacle 27 en « U » est pourvu, au niveau de sa paroi interne 28, de moyens de retenue, tels qu'un rainurage 29, aptes à coopérer avec de moyens de retenue complémentaires, tels qu'un crantage 30, associés aux moyens de liaison 31. Ces derniers se présentent, selon un mode de réalisation préféré, sous la forme d'une ou plusieurs pattes de liaison 32 s'étendant perpendiculairement en bordure inférieure 33 de la trappe de visite 13.
En fait, ces moyens de raccordement 26 permettent, par dégagement des moyens de liaison 31 hors du réceptacle 27, l'escamotage de ladite trappe de visite 13, cette dernière étant, d'ailleurs, reliée à la paroi supérieure 10 du caisson 3 par des moyens de solidarisation 34 permettant un tel escamotage. Selon un mode de réalisation préféré représenté figure 1, ces moyens de solidarisation 34 sont de type à accrochage et sont conçus aptes à permettre un pivotement, voire même un retrait total, de ladite trappe de visite 13 autorisant, ainsi, l'accès au volume intérieur du caisson 3.
Tel que représenté, plus particulièrement figure 3, le bord inférieur 33 de la paroi arrière 12 est susceptible d'être prolongé de manière à définir un cache apte, d'une part, à recouvrir le bord arrière de la sous-face 11 et, d'autre part, à occulter la présence des moyens de raccordement 26. Un tel cache est de nature escamotable et est, de préférence, monté articulé sur le bord inférieur 33 de ladite paroi arrière 12 de manière à permettre la mise en place de cette dernière par pivotement et/ou par coulissement. A cet effet, ce cache se présente sous la forme, soit d'un volet indépendant rapporté, par l'intermédiaire de moyens d'articulation appropriés, sur le bord inférieur 33 de la paroi arrière 12, soit d'une lame réalisée par coextrusion lors de la fabrication de la paroi arrière 12 et reliée à cette dernière par l'intermédiaire d'une charnière, notamment de nature coextrudée.
Selon une autre caractéristique de la présente invention, ladite sous-face 11 comporte des moyens d'indexation 35 venant coopérer avec ledit dormant 4 pour assurer le positionnement de cette sous-face 11 au moins suivant une direction perpendiculaire au plan correspondant à ce dormant 4.
En fait, de tels moyens d'indexation 35 se présentent sous la forme d'un talon d'appui 36 équipant l'extrémité avant 37, opposée à l'extrémité arrière 22, de ladite sous-face 11, ce talon d'appui 36 venant en applique contre la face externe 38 du cadre dormant 4.
Un tel talon d'appui 36 peut, selon un premier mode de réalisation non représenté, être constitué par une aile réalisée soit par coextrusion, soit par déformation de ladite sous-face 11 suivant la nature du matériau employé pour la fabrication de cette dernière.
Cependant et selon un mode de réalisation préféré représenté figure 2, ce talon d'appui 36 se présente sous la forme d'une ou plusieurs pièce rapportées au niveau de l'extrémité avant 37 de la sous-face 11, préférentiellement sur le chant 40 de cette dernière.
Ainsi, ce talon d'appui 36 peut adopter, par exemple, la forme d'une équerre 41 comportant deux ailes 42, 43 dont l'une au moins 42 coopère avec ladite sous-face 11, notamment au niveau de sa paroi supérieure 44, tandis que l'autre 43 est destinée à venir en appui contre le dormant 4, au niveau de sa face externe 38. Il est évident qu'il peut adopter toute autre forme compatible avec sa fonction et, plus particulièrement, celle d'une patte ou encore d'une lame plane apte à être rendue solidaire du chant 40 de ladite sous-face 11.
Il convient d'observer que, au cours des manoeuvres de déploiement et d'enroulement du tablier 7, ce dernier rejoint les coulisses latérales 8 au travers d'une ouverture ménagée entre le chant avant 40 de la sous-face 11 et la paroi avant 9.
Dans ces conditions, la ou les pièces définissant le talon d'appui 36 peuvent assurer une fonction de guidage du tablier 7 au niveau de ce chant avant 40 de la sous-face 11. En particulier, à hauteur des coulisses latérales 8, cette pièce correspondant au talon d'appui 36 est apte à définir, en partie, la tulipe de guidage surmontant, habituellement, une telle coulisse 8, à l'entrée du caisson 3, comme connu par l'Homme du métier.
Selon une autre caractéristique de la présente invention et tel que représenté, plus particulièrement, figure 2 en traits pointillés, la sous-face 11 est de nature recoupable ce qui permet d'ajuster sa profondeur, notamment en vue de l'adapter à la profondeur du caisson 3 qui est elle-même dépendante de la section du tablier 7 une fois enroulé.
Selon une caractéristique additionnelle de la présente invention, ledit caisson 3 comporte, en partie avant et de manière accessible extérieurement à celui-ci, des moyens de fixation 45 directe ou indirecte sur ledit dormant 4.
En fait, de tels moyens de fixation 45 peuvent être associés à la paroi avant 9 du caisson 2 ou encore aux joues supports de l'arbre d'enroulement 6. Cependant et selon un mode préféré de réalisation représenté figure 1 et 8, ces moyens de fixation 45 sont associés aux flasques latéraux 14 refermant, latéralement, ledit caisson 3 de volet roulant 1.
Ces moyens de fixation 45 se présentent alors sous la forme d'une ou plusieurs pattes de fixation 46 pourvues, de préférence, d'au moins un orifice 47 et destinées à être traversées par des vis de fixation 48 ou analogue, ces dernières venant coopérer :

avec les coulisses latérales 8, intérieurement ou extérieurement à ces dernières ;
et/ou avec le cadre dormant 4 ;
et/ou avec une fourrure d'épaisseur rapportée ou intégrée au cadre dormant 4.

Finalement, il a été représenté figures 7 et 8, deux étapes importantes du montage, sur le dormant 4 d'une porte 2, fenêtre ou analogue, d'un caisson 3 de volet roulant 1 selon l'invention.
Plus particulièrement, dans la figure 7, il a été illustré le montage préalable de ladite sous-face 11 sur ledit dormant 4 alors que la figure 8 représente l'accrochage de la paroi arrière 12 associée au caisson 2 sur ladite sous-face 11 au travers de la coopération entre les moyens d'accrochage 19 de cette dernière et les moyens d'accrochage complémentaires 20 de ladite paroi arrière 12. Le caisson 3 est ensuite refermé par un pivotement de ce dernier autour des moyens d'accrochage 19 dans le sens de la flèche F avant d'être fixé, directement ou indirectement, sur le dormant 4 grâce aux moyens de fixation 45.
La présente invention permet donc d'apporter une solution simple et efficace pour la fixation d'un caisson de volet roulant sur le cadre dormant d'une porte, fenêtre ou analogue et permet de résoudre avantageusement un certain nombre de problèmes qui se posent dans le domaine technique considéré.

Claims

Caisson de volet roulant (1), destiné à être rapporté sur le dormant (4) d'une porte (2), fenêtre ou analogue, et comportant une paroi avant (9), une paroi supérieure (10), une sous-face (11) et une paroi arrière (12), celle-ci faisant office de trappe de visite (13), caractérisé par le fait que ladite sous-face (11) est conçue apte à être fixée de manière indépendante sur ledit dormant (4) et comporte, d'une part, des moyens d'accrochage (19) prévus aptes à assurer une liaison réversible entre cette sous-face (11) et la paroi arrière (12) et, d'autre part, des moyens d'indexation (35) venant coopérer avec ledit dormant (4) pour assurer le positionnement de cette sous-face (11) au moins suivant une direction perpendiculaire au plan correspondant à ce dormant (4), ce caisson (3) comportant, en outre, en partie avant et de manière accessible extérieurement à celui-ci, des moyens de fixation (45) directe ou indirecte sur ledit dormant (4).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage (19) sont définis par une goulotte (21).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage (19) sont définis par un retour (23) en forme de « U ».
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage (19) sont définis par un prolongement (24) de ladite sous-face (11) adoptant, sensiblement, la forme d'un « S ».
Caisson (3) de volet roulant (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la paroi arrière (12) comporte des moyens d'accrochage complémentaires (20) aptes à coopérer avec les moyens d'accrochage (19) par pivotement et/ou par coulissement de ladite paroi arrière (12) par rapport à ladite sous-face (11).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la paroi arrière (12) comporte des moyens d'accrochage complémentaires (20) aptes à coopérer avec les moyens d'accrochage (19) par emboîtement de ladite paroi arrière (12) dans ladite sous-face (11).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon l'une quelconque des revendications 5 ou 6, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage complémentaires (20) sont définis par un profilé de raccordement (25) équipant, à l'aide de moyens de raccordement (26) de type escamotable, le bord inférieur (33) de la paroi arrière (12) permettant, à cette dernière, de définir, substantiellement, ladite trappe de visite (13).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 7, caractérisé par le fait que les moyens de raccordement (26) sont définis, au niveau du profilé de raccordement (25), sous la forme d'un réceptacle (27) en « U » pour la réception de moyens de liaison (31) solidaires de la trappe de visite (13) et venant compléter lesdits moyens de raccordement (26) .
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 8, caractérisé par le fait que le réceptacle (27) en « U » est pourvu, au niveau de sa paroi interne (28), de moyens de retenue, tels qu'un rainurage (29), aptes à coopérer avec des moyens de retenue complémentaires, tels qu'un crantage (30), associés aux moyens de liaison (31), ces derniers se présentant sous la forme d'une ou plusieurs pattes de liaison (32) s'étendant perpendiculairement en bordure inférieure (33) de la trappe de visite (13).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les moyens d'indexation (35) se présentent sous la forme d'un talon d'appui (36) équipant l'extrémité avant (37) de la sous-face (11) et venant en applique contre la face externe (38) du dormant (4) .
Caisson (3) de volet roulant (1) selon la revendication 10, caractérisé par le fait que le talon d'appui (36) assure une fonction de guidage du tablier (7) du volet roulant (1) et définit, en partie, une tulipe de guidage disposée à l'entrée de coulisses latérales (8) s'étendant sous le caisson (3).
Caisson (3) de volet roulant (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que ladite sous-face (11) est de nature recoupable permettant d'ajuster sa profondeur, notamment en vue de l'adapter à la profondeur du caisson (3) .
Caisson (3) de volet roulant (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les moyens de fixation (45) associés, selon le cas, à la paroi avant (9), à des joues supports d'un arbre d'enroulement (6) ou encore à des flasques latéraux (14) refermant ledit caisson (3), se présentent sous la forme d'une ou plusieurs pattes de fixation (46) aptes à coopérer, notamment à l'aide de vis de fixation (48) ou analogues :
- avec des coulisses latérales (8), extérieurement ou intérieurement à ces dernières ;

- et/ou avec le dormant (4) ;

- et/ou avec une fourrure d'épaisseur rapportée ou intégrée au dormant (4) .