CH678118A5 - - Google Patents

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La présente invention concerne un dispositif de commande pour un appareil d'impression selon le préambule de la revendication 1.

En général, un système d'expédition du courrier à haute vitesse comprendra un dispositif d'insertion qui délivre des enveloppes les unes après les autres à un appareil d'affranchissement d'une machine d'expédition du courrier afin d'imprimer des signes sur les plis du courrier. Il est courant que la machine d'expédition comporte un agencement de transport qui délivre les plis de courrier provenant du dispositif d'insertion à un poste d'impression, à la suite de quoi l'appareil d'affranchissement imprime un signe sur le pli de courrier et à la suite de cette opération le système de transport éjecte le pli pour traitement ou recueil ultérieurs. On remarquera qu'il est également courant que la machine d'expédition comporte un agencement d'entraînement de l'appareil d'affranchissement qui est couplé à ce dernier lorsqu'il est monté sur une machine d'expédition afin d'entraîner le tambour d'impression de l'appareil et de déplacer un élément de sécurité de cet appareil constitué généralement d'un ensemble comportant une barre d'obturateur verrouillant l'ensemble de commande du tambour d'impression.

S'agissant des systèmes à haute vitesse de ce type, l'appareil d'affranchissement constitue le facteur de limitation du débit du système. Cela est dû au fait qu'il est nécessaire que le tambour d'impression de l'appareil d'affranchissement soit amené à un arrêt complet et que le système de sécurité soit engagé et désengagé lors de chaque cycle d'impression de l'appareil d'affranchissement. Cela impose que, pendant chaque cycle, le mécanisme de la barre d'obturateur se trouvant dans l'appareil d'affranchissement soit actionné pour être mis dans une position de non-inhibition avant l'actionnement du tambour d'impression. De plus, avant l'impression des signes, le tambour d'impression doit être accéléré jusqu'à une vitesse constante. Les signes postaux et les flammes de publicité sont généralement imprimés alors que le tambour se trouve à la vitesse constante qu'on appelle «vitesse de saut». Après l'impression, le tambour doit alors être décéléré jusqu'à la position d'arrêt et la barre d'obturateur doit être replacée à la position de repos, ou position d'inhîtïon de l'impression. Lorsque le tambour se trouve à la vitesse constante, la vitesse tangentielie à la surface du tambour doit être égale à celle du courrier à l'emplacement d'impression commandée par le système de transport. A moins de vouloir provoquer un gondolement du courrier, ou sauf à avoir un système capable de ralentir ce dernier, la vitesse du courrier à l'emplacement d'impression doit être égale ou légèrement supérieure à la vitesse d'éjection du courrier du dispositif d'insertion. Dans le but d'augmenter le débit du système, le dispositif d'insertion doit augmenter la vitesse d'éjection du courrier. Cela imposera que le tambour d'impression ait une «vitesse de saut» plus élevée et que les amplitudes de la décélération pour le tambour d'impression et la barre d'obturateur soient également accrues. Ainsi une solution classique au problème d'un système d'expédition plus rapide nécessitera des moteurs plus puissants d'entraînement de l'appareil d'affranchissement de manière à obtenir une vitesse plus élevée et à fournir un couple plus grand. Cela imposera également qu'on augmente les dimensions physiques la consommation d'énergie la dissipation de chaleur, et provoquera par conséquent l'augmentation du coût du système. En outre le fonctionnement de l'appareil d'affranchissement à une vitesse plus élevée et à des amplitudes plus grandes de l'accélération et de la décélération aura pour effet une usure prématurée de l'appareil et de son ensemble d'entraînement.

Par conséquent la présente invention a pour objet un moyen permettant d'augmenter le débit d'une machine d'expédition du courrier comportant un appareil d'affranchissement sans avoir d'effets néfastes sur l'usure du système. Cet objet est obtenu avec un dispositif comme définit dans la revendication 1.

Une machine d'expédition du courrier et un appareil d'affranchissement sont disposés de façon telle que l'appareil est monté de façon amovible sur la machine pour définir un poste d'impression. La machine comporte un mécanisme d'entraînement pour l'acheminement des plis du courrier un second mécanisme d'entraînement pour faire tourner le tambour de l'appareil d'affranchissement et un troisième mécanisme d'entraînement indépendant pour déplacer la barre d'obturateur de l'appareil d'affranchissement. Les trois mécanismes d'entraînement sont sous le contrôle d'un microordinateur. En communication avec le microprocesseur il y a deux détecteurs optiques afin de détecter la vitesse du courrier entrant un «détecteur de déclenchement» optique et un «détecteur de barre d'obturateur» pour surveiller l'état de l'appareil d'affranchissement.

Sous la commande du micro-ordinateur le système de transport de la machine d'expédition est accéléré jusqu'à une vitesse donnée au moment du démarrage. La machine d'expédition reçoit des plis du courrier (qu'on appelle également enveloppes dans la description) en provenance d'un dispositif d'insertion les uns à la suite des autres, généralement suivant un pas fixe entre les bords avant de deux enveloppes successives. Lors de la réception de chaque enveloppe, le micro-ordinateur estime la vitesse de l'enveloppe et établit une variable appelée VITESSE D'ENTREE de façon qu'elle soit légèrement supérieure à la vitesse estimée du courrier arrivant. Il choisit également une constante «vitesse de saut» pour le tambour d'impression qui est généralement très inférieure à la vitesse du courrier arrivant. Lorsque le bord avant de l'enveloppe passe au droit du détecteur de déclenchement, le micro-ordinateur détermine et exécute des délais appropriés, démarre alors le déclenchement de l'appareil d'affranchissement et le ralentissement du système de transport, de sorte qu'au moment de l'impression, la vitesse du pli de courrier est égale à la «vitesse de saut» constante du tambour d'impression à sa circonférence. A l'issue de l'impression, le pli n'est plus en contact avec le tambour, de sorte que le micro-ordinateur peut accélérer

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le système de transport pour le faire passer de la «vitesse de saut» à la VITESSE D'ENTRÉE plus rapide, et décélérer le tambour de l'appareil d'affranchissement pour que sa vitesse passe de la «vitesse de saut» à une vitesse nulle en même temps. L'accélération prématurée du système de transport le prépare à accepter le pli suivant à une vitesse adaptée de sorte que le pli ne se gondolera pas. Avec la pos-5 sibilité de détection de la vitesse et du réglage de la vitesse rapide, la machine d'expédition peut accepter des plis dans une très vaste gamme de vitesse, les plis provenant de diverses sortes de dispositifs d'insertion, et peut ralentir rapidement le pli de façon que le tambour de l'appareil d'affranchissement puisse être actionné à une vitesse très inférieure à la vitesse du dispositif d'insertion pour l'éjection des plis. De cette manière le débit du système d'expédition du courrier peut être augmenté sans utilisation de 10 gros moteurs d'entraînement de l'appareil d'affranchissement et on peut réduire sensiblement l'usure des systèmes d'entraînement de l'ensemble.

En plus de la possibilité de ralentissement du courrier, le micro-ordinateur est programmé de façon que le déplacement vers l'avant de la barre d'obturateur et la rotation initiale du tambour d'impression se produisent simultanément de sorte que le temps global du cycle de déclenchement est réduit d'environ 15 6%. Ce procédé de chevauchement temporel permet également de réduire encore la vitesse de fonctionnement de l'appareil d'affranchissement pour un débit donné. Le micro-ordinateur est également programmé de façon à surveiller fréquemment les détecteurs du tambour et de la barre d'obturateur. S'il y a détection d'erreurs dans le mouvement du tambour ou de la barre, le micro-ordinateur essaiera de ramener le système à l'état de «repos» et l'arrêtera lui-même dans la plupart des cas. Des erreurs de cîrcula-20 tion du courrier telles que des coincements, une mise en biais et un pas trop court, sont également détectées par le micro-ordinateur.

La présente invention sera bien comprise à la lecture de la description suivante faite en relation avec les dessins ci-joints, dans lesquels:

25 la fig. 1 est une vue en perspective d'un dispositif d'insertion et d'une machine d'expédition à appareil d'affranchissement coopérant avec le dispositif d'insertion;

la fig. 2 est un schéma de l'agencement du système de transport moteur de la machine d'expédition, convenant plus particulièrement à la présente invention;

la fig. 3 est un schéma des ensembles comportant la barre d'obturateur et le tambour d'impression d'un 30 appareil d'affranchissement et les mécanismes d'entraînement correspondants de la machine, plus particulièrement adaptés à la présente invention;

la fig. 4 est une représentation schématique du système de micro-ordinateur de la machine d'expédition selon la présente invention;

la fig. 5 est une représentation graphique de la séquence de déclenchement du moteur pas-à-pas du 35 convoyeur, du moteur du tambour d'impression et du moteur de la barre d'obturateur du système en relation avec les détecteurs de vitesse et l'actionnement du détecteur de déclenchement selon la présente invention;

la fig. 6 représente la position d'alignement pour les fig. 6A et 6B; les fig. 6A et 6B étant une représentation graphique du fonctionnement général d'une séquence temporelle de la fonction exécutée par la 40 programmation du micro-ordinateur selon la présente invention;

la fig. 7 est une représentation sous forme d'organigramme de la logique de programmation d'ensemble pour le micro-ordinateur selon la présente invention;

la fig. 8 est une représentation sous forme d'organigramme du sous-programme «balayage en inactivité» de la logique du programme;

45 la fig. 9 est une représentation sous forme d'organigramme du sous-programme «démarrage» de la logique du programme;

les fig. 10A et 10B représentent la logique du programme du micro-ordinateur pour le sous-programme «surveillance» de la logique du programme;

les fig. 11A et 11B représentent l'organigramme pour le sous-programme «ordonnanceur» de la logique 50 du programme du micro-ordinateur;

les fig. 12A et 12B représentent l'organigramme pour le sous-programme «reprise» de la logique du programme du micro-ordinateur;

la fig. 13 représente l'organigramme pour le sous-programme «arrêt» de la logique du programme du micro-ordinateur;

55 les fig. 14A et 14B représentent un diagramme logique pour le traitement d'un déclenchement de l'appareil d'affranchissement selon la présente invention.

En liaison avec les fig. 1 et 2, on a représenté une machine d'expédition du courrier, représentée dans ses grandes lignes par la référence 10, laquelle est monté de manière amovible au-dessus d'une table de 60 support 12 grâce à un moyen approprié. La machine 10 est placée sur la table de support 12 perpendiculairement à un dispositif d'insertion 14 généralement classique. Comme cela est classique, une pile d'enveloppes 16 est déposée sur les plateaux de réception 18 du dispositif d'insertion 14. Le dispositif d'insertion 14 exécute, de la manière classique, le dépôt dans chaque enveloppe d'un jeu de matériaux de remplissage. Les enveloppes remplies sont alors délivrées à la machine 10 les unes après les autres à partir 65 du dispositif d'insertion 14. La machine d'expédition 10 comporte un ensemble de transport, représenté

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dans ses grandes lignes par la référence 20, afin d'acheminer les enveloppes délivrées par le dispositif d'insertion 14 jusqu'à un appareil d'affranchissement 22 pour l'impression d'un signe postal. Un ensemble de transport 20 convenant plus particulièrement est décrit dans la demande de brevet américain N° 087 268 déposée le 19 Août 1987 au nom de la Demanderesse qu'on incorporera ici à titre de référence.

En général, l'ensemble de transport 20 comporte un moteur pas-à-pas 24 de convoyeur, monté à l'intérieur de la machine d'expédition 10, qui commande une multitude de rouleaux inférieurs 26. Une multitude de rouleaux supérieurs 28 est également montée en rotation sur la machine 10 en alignement périphérique avec un rouleau inférieur respectif 26. Le moteur pas-à-pas 24 entraîne également un rouleau d'impression 30. Le système de transport 20 comporte en outre un rouleau 32 en alignement périphérique avec le rouleau 30. En général, le système de transport fonctionne dans le but de maintenir une commande positive pour l'enveloppe qui est acheminée et pour exécuter le réglage désiré de la vitesse pour chaque enveloppe d'une manière qu'on décrira ultérieurement.

En liaison plus particulièrement avec la fig. 3, un appareil d'affranchissement 22 adapté à la présente invention est le modèle de la série 5300 de la Société dite Pitney Bowes, et comprend généralement un tambour d'impression 32 fixé à une extrémité d'un arbre 34 par un moyen classique, l'arbre 34 étant monté en rotation dans l'appareil d'affranchissement par un moyen classique. Un rouleau d'impression tourne à l'opposé du tambour d'impression. L'autre extrémité de l'arbre 34 comporte un engrenage mené 36 qui est fixé par un moyen classique quelconque. Coulissant de la manière classique à l'intérieur de l'appareil d'affranchissement 22 il y a une barre d'obturateur 38 d'une façon telle qu'une portion d'extrémité 39 à patte de là barre puisse être admise par coulissement dans une ouverture 41 ménagée dans l'engrenage 36 et en être extraite. La barre 38 présente une encoche 40 pour recevoir un cliquet 42, qui empêche son mouvement lorsqu'il est assis dans l'encoche. L'appareil d'affranchissement 22 comporte en outre un moyen connu pour déloger le cliquet, ce qui permet le mouvement de la barre 38 vers l'avant ou position de libération pour permettre le cycle d'impression de la machine d'affranchissement. La barre 38 est également munie d'une encoche 44 ou analogue pour recevoir l'extrémité d'un levier 46 d'obturateur qu'on décrit ultérieurement.

Un moteur pas-à-pas 48 du tambour d'impression est monté à l'intérieur de la base de la machine d'expédition 10 par un moyen classique afin d'entraîner une courroie sans fin 50 et fournir une communication motrice entre le moteur 48 et un engrenage 52. L'engrenage 52 tourne dans la machine 10 grâce à un moyen classique de façon que le montage de l'appareil d'affranchissement 22 de la machine 10 amène l'engrenage 52 en prise constante avec l'engrenage 36 de l'appareil d'affranchissement. Un détecteur optique 54 est monté à l'intérieur de la machine d'expédition par un moyen classique de façon qti'une partie radiale de l'engrenage 52 se trouve entre les bras espacés du détecteur. L'engrenage 52 est placé de façon que la communication optique entre les bras du détecteur soit bloquée par l'engrenage 52 sauf au moment où l'engrenage 52 se trouve dans la position de repos, c'est-à-dire que l'engrenage 52 comprend une seule ouverture 55, laquelle permet la communication optique entre les bras du détecteur lorsque l'engrenage 52 se trouve dans la position de repos, position qui correspond à la position de repos du tambour d'impression 32.

Un moteur pas-à-pas 56 pour la barre d'obturateur est monté dans la machine d'expédition de la manière classique. Le levier 46 de la barre d'obturateur est monté de la façon classique de façon à pivoter à l'autre de ses extrémités dans la machine d'expédition du courrier. La communication motrice entre le moteur pas-à-pas 56 et le levier 46 est fournie par un entretoisement 58 de va-et-vient qui est fixé en étant excentré à l'arbre de sortie 59 du moteur 56. L'entretoisement pivote également sur le levier 46 à un point de sa longueur de façon que la rotation de l'arbre 59 provoque un mouvement alternatif du levier de commande 46.

Un détecteur optique 60 est fixé dans la machine d'expédition du courrier de façon que, lorsque le levier 46 se trouve dans une encoche de la barre 38, en position avant ou de libération, une patte 62 formée sur le levier soit dans une position de blocage entre les bras du détecteur optique 60.

Des détecteurs optiques supplémentaires 66 et 68 (détecteurs de vitesse) sont montés sur le pupitre de la machine le long du trajet de déplacement d'une enveloppe 16 en amont du poste d'impression 70. Les détecteurs 66 et 68 sont placés de façon à assurer leur traversée par l'enveloppe correctement alignée. Un détecteur 71 de déclenchement du cycle d'impression est monté sur la machine entre les détecteurs 66 et 68 et le poste d'impression de façon qu'une enveloppe en mouvement traverse le poste 70. On trouvera une description plus détaillée du système d'entraînement de la machine d'expédition de courrier dans la demande de brevet des Etats Unis N° 087 010 déposée le 19 Août 1987 qu'on incorpore ici à titre de référence.

En liaison maintenant avec la fig. 4, la machine 10 d'expédition du courrier comprend en outre un microordinateur 72 qui reçoit des entrées en provenance d'une multitude de moyens, à savoir une entrée auxiliaire 74, par exemple le clavier d'une machine d'expédition du courrier, le détecteur 60 de la barre d'obturateur, le détecteur 54 de l'engrenage d'entraînement du tambour d'impression, le détecteur de déclenchement 71, et les détecteurs 66 et 68 de l'ensemble de transport. Le micro-ordinateur 72 communique avec le dispositif d'insertion 14 et le commutateur 74 du couvercle 75 de la machine d'expédition du courrier (ce commutateur n'est pas représenté dans le mode de réalisation physique). De plus, le micro-ordinateur 72 est en communication de commande avec le dispositif d'affichage 76 de la machine d'expédition, avec le moteur pas-à-pas 48 du tambour d'impression, avec le moteur pas-à-pas 56 de la barre

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d'obturateur et avec le moteur pas-à-pas 24 du système de transport, en plus des circuits d'attaque 78, 80 et 82, respectivement.

En général, le microprocesseur est programmé de manière à déterminer la vitesse de saut du tambour d'impression (VISTI) en proportion avec la vitesse d'entrée des enveloppes (VITESSE D'ENTREE). La 5 relation proportionnelle est définie par le rapport d'un pas minimum absolu fixe (K) et de la valeur de réglage du pas des machines d'expédition du courrier (VRP). La VRP doit être inférieure au pas du courrier du dispositif d'insertion associé:

10 VISTI = X VITESSE D ' ENTREEE

La valeur de K dans le mode de réalisation préféré est égaie à 13,5.

15 On décrira maintenant le fonctionnement de la machine d'expédition du courrier.

En général, le micro-ordinateur 72 est programmé de manière à déterminer et à faire en sorte que le moteur pas-à-pas 48 anime d'un mouvement de rotation le tambour d'impression 32 à la vitesse de saut du tambour par rapport à la vitesse d'entrée des enveloppes pour une valeur donnée du réglage du pas. En contrôlant ainsi la vitesse de saut du tambour, il y a une réduction sensible de la vitesse nominale de 20 fonctionnement de l'appareil d'affranchissement On notera que, conformément à la vitesse déterminée de saut du tambour d'impression, le micro-ordinateur fait en sorte que le système de transport réduise la vitesse d'acheminement des enveloppes jusqu'à une valeur complémentaire. Le micro-ordinateur 72 est d'autre part programmé pour exercer la commande du cycle d'impression de façon que le déplacement de la barre d'obturateur et du tambour d'impression soit initialisé simultanément, d'où la diminution du temps 25 nécessaire pour le cycle d'impression.

En liaison plus particulièrement avec les fig. 5, 6A et 6B, lors de l'arrivée du bord avant d'une enveloppe 16 au droit du premier détecteur de vitesse 66, le microordinateur provoque le passage à l'état haut du courant du circuit d'attaque 82 du système de transport et par conséquent l'augmentation du couple de sortie du moteur pas-à- pas 24. De plus, le drapeau VITESSE-CALIBREE est initialisé et le comp-30 teur VITESSE-PAS est initialisé à zéro. Lors de l'arrivée du bord avant de l'enveloppe 16 au second détecteur de vitesse 68, le micro-ordinateur efface le drapeau VITESSE-CALIBREE et estime la vitesse des plis à partir du comptage écoulé VITESSE-PAS et détermine la nouvelle VITESSE D'ENTREE du convoyeur. La valeur de VITESSE D'ENTREE est choisie de façon à être égale ou légèrement supérieure à la vitesse du courrier de manière à éviter les collisions entre le bord avant de l'enveloppe et les 35 rouleaux de transport 26 et 28. Le micro-ordinateur détermine alors la nouvelle VITESSE-TAMBOUR-POINTE (antérieurement désignée par vitesse de saut du tambour d'impression) par rapport à la nouvelle (VITESSE D'ENTREE) et envoie un signal S2 au dispositif d'insertion 14, signalant à celui-ci qu'un pli du courrier est entré dans la machine d'expédition. En outre, le compteur d'expiration des coincements du courrier est initialisé. En général, le micro-ordinateur est programmé pour comparer le comptage 40 écoulé de la présence du courrier à un comptage présélectionné, d'où il résulte que, dans le cas où le comptage écoulé dépasse le comptage présélectionné, une erreur s'est alors produite et le micro-ordina-teur modifie le paramètre du système dans une tentative de suppression du coincement en entraînant le système à une vitesse plus lente.

Lors de l'arrivée du bord avant de l'enveloppe au détecteur de déclenchement 71 maintenant sous la 45 commande du système de transport 20, le programme initialisé un drapeau ATTENTE-DECLENCHEMENT et un drapeau ATTENTE-RALENTISSEMENT. Le micro-ordinateur est programmé pour calculer et initialiser un compteur de retard de signes qui établit le déclenchement de départ de l'appareil d'affranchissement ou point de déclenchement et un compteur de retard de ralentissement qui établit le point de départ du ralentissement en fonction de la vitesse présente du convoyeur et de la VITESSE-TAM-50 BOUR-POINTE précédemment calculée. A ce stade, le compteur «expiration du coincement du courrier» est réinitialisé à une valeur plus petite.

Lors de l'arrivée d'un point (P) de déclenchement d'appareil d'affranchissement, le programme du micro-ordinateur détermine un facteur d'échelle sur la base de la VITESSE-TAMBOUR-POINTE calculée. Le détecteur 54 de l'engrenage d'entraînement du tambour et le détecteur 60 de la barre d'obturateur 55 sont également vérifiés quant à leur position correcte de déclenchement, c'est-à-dire que l'engrenage 52 et la barre 32 se trouvent dans la position de repos. A ce stade, le programme vérifie également si le dispositif d'insertion 14 a communiqué un signal de nonimpression ou si la machine est dans le mode scellement seulement établi par le fonctionnement. Si aucune impression n'est nécessaire, au lieu de faire avorter le processus de déclenchement, le micro-ordinateur modifie les paramètres pour rendre fictif le 60 mouvement ultérieur. En outre, à ce stade, les variables pour le déplacement de la barre d'obturateur (minuterie 2 validée) et le tambour d'impression (minuterie 1 validée) sont établies par rapport au facteur d'échelle déterminé. Le drapeau ATTENTE-DECLENCHEMENT est alors effacé et le processus de déclenchement démarre.

Lorsque le bord avant de l'enveloppe arrive au point de départ du ralentissement (Q), le programme 65 établit alors VITESSE-OBJECTIF du convoyeur égale à VITESSE-TAMBOUR-POINTE désirée calcu5

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lée, établit des variables pour ralentir le moteur 24 du convoyeur, établit le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR afin d'activer le changement de vitesse, et efface le drapeau ATTENTE-RALENTISSEMENT.

Alors que le bord avant de l'enveloppe arrive à la fin du point de ralentissement du convoyeur (R), le programme applique alors le signal S7 au dispositif d'insertion. Le programme efface aussi le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR afin de terminer le processus de ralentissement.

Lors de l'arrivée de l'enveloppe au point (T), le programme initialisé l'augmentation de la vitesse du système et le ralentissement du tambour d'impression précipité par la libération de l'influence exercée sur l'enveloppe par le tambour d'impression. La vitesse du convoyeur passe maintenant à VITESSE D'ENTREE lorsque le processus d'accélération de la vitesse est complet au point U en instaurant VITESSE-OBJECTIF du convoyeur égale à VITESSE D'ENTREE; établissant des variables pour accélérer le moteur 24 du convoyeur; instaurant le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR. Le programme prépare alors le ralentissement du tambour d'impression en instaurant des variables pour démarrer le ralentissement du tambour d'impression 32.

Lorsque le bord avant de l'enveloppe rencontre le point U, le programme termine l'accélération du convoyeur et efface le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR. Si une nouvelle enveloppe n'a pas rencontré le détecteur de vitesse 66 lors de l'arrivée de l'enveloppe au point V, le courant du moteur 24 du convoyeur peut être ramené à la valeur basse. On remarquera qu'au point V, le tambour d'impression a été amené à sa position de repos et le signal S7 appliqué au dispositif d'insertion 14 est coupé. La barre d'obturateur est alors ramenée au repos par le moteur 56. L'arrivée de l'enveloppe au point W occasionne ta fin du déclenchement présent.

On décrira maintenant la logique du programme.

Èn liaison avec la fig. 7, le micro-ordinateur 72 est programmé de manière à exécuter les programmes des fonctions logiques suivants: balayage en inactivité 110, démarrage 150, démarrage de convoyeur 200, surveillance 260, ordonnanceur 350, reprise 400 et arrêt 450. Lors de l'application de l'alimentation 100, un programme d'initialisation est exécuté pour les variables du programme. Pendant le programme 110 de balayage en inactivité, les entrées du clavier ou autres entrées auxiliaires 74 sont balayées et les fonctions d'ordre sont exécutées, l'affichage sur panneau 76 est mis à jour. Pendant le programme de démarrage 150, le système de convoyeur 20 est accéléré jusqu'à une vitesse d'entrée instaurée et la barre d'obturateur 38 est déplacée jusqu'à sa position de départ, tous les drapeaux sont également inïtia-lisés de la manière appropriée. Le programme de surveillance 200 met généralement à jour les entrées des détecteurs; détecte et traite les données sur les bords avant et arrière des lettres; surveille le détecteur de déclenchement pour l'instauration du drapeau «attente déclenchement» et un drapeau «attente ralentissement» en plus de l'initialisation des compteurs de retard. De plus, pendant le programme de surveillance, les vitesses d'entrée des plis du courrier sont mesurées et les vitesses appropriées d'impression du cycle sont déterminées.

L'ordonnanceur 350 exécute un processus d'ordonnancement pour séquencer correctement l'ordre des événements sur la base du mode de fonctionnement de la machine d'expédition, c'est-à-dire ralentissement ou accélération des plis, et les active. L'ordonnanceur détecte également certaines conditions d'erreur du système telles que le coincement du courrier et initialisé en conséquence un drapeau d'arrêt.

Le programme de reprise 400 n'est entré que lors de l'existence d'une condition d'arrêt, le programme 400 essaie d'ajuster et de rétablir les opérations dans un temps critique. Si l'on suppose que le programme de reprise 400 n'a pas été capable d'y parvenir, le programme 474 d'arrêt provoque l'arrêt du système à l'issue du déclenchement présent de l'appareil d'affranchissement. On donne ci-après une description détaillée de la logique des programmes.

Lors de l'application de la puissance au micro-ordinateur, le système est initialisé, et le programme principal passe à l'exécution d'un programme 110 de balayage en inactivité.

On décrira maintenant le balayage en inactivité.

En liaison avec la fig. 8, lors de l'entrée dans le programme 110 de balayage en inactivité, le courant du moteur 24 du convoyeur est coupé à un bloc logique 112. Le programme passe à la logique 114 où une vérification de mémoire morte est exécutée. Le programme de vérification de mémoire morte requiert l'exécution d'une somme de multiplets du programme auprès de la mémoire morte et d'autres vérifications de mémoires mortes sont effectuées. De plus, les drapeaux d'erreur du système sont instaurés si la somme finale n'est pas cohérente. Le programme passe alors à l'exécution d'un programme «balayage et exécution» à un bloc logique 116, à la suite de quoi le système est prêt à lire et exécuter des ordres d'entrée en provenance de dispositifs extérieurs tels qu'un clavier extérieur 74 à l'exception d'un ordre de démarrage du système. Le programme procède alors à l'exécution d'un «programme d'affichage de format» à un bloc logique 118 dans lequel le tampon de la mémoire d'affichage est formatté. Le programme passe alors à un bloc logique 120 où un «programme d'inactivité» est exécuté. Ce programme fonctionne pour fournir un retard de 4,4 millisecondes du système, permettant un temps suffisant pour l'exécution d'un programme de redémarrage lorsque le drapeau approprié d'erreur a été instauré lors de l'exécution du programme de vérification de mémoires mortes ou lors d'un certain point de la boucle principale du programme. Le système exécute alors un programme «placement d'affichage» à un bloc logique 122, à la suite de quoi les erreurs du système ou le comptage du lot sont affichés sur le dispositif de visualisation 74 de la machine d'expédition du courrier. Le programme passe alors à un bloc de décision 124, à la suite

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de quoi un contrôle est exécuté pour vérifier si un ordre de départ valable est présent sur la base de l'instauration d'un signal d'opérateur ou du dispositif d'insertion. Si un ordre de départ valable n'existe pas, le programme est ramené à la logique 114; si un ordre de départ valable est présent, le programme progresse pour instaurer une valeur initiale de phase pour les moteurs pas-à-pas 48 et 56 du tambour et 5 de la barre d'obturateur, respectivement à un bloc logique 126. Le programme revient alors au programme principal à 130°.

On décrira maintenant le démarrage.

En liaison avec la fig. 9, le programme principal passe alors à l'exécution d'un programme de démarrage à un bloc logique 150. Le dispositif 76 de visualisation de fa machine d'expédition est maintenant 10 exempt à un bloc logigue 152 de toute indication de mauvais fonctionnement, tel qu'un coincement, et la ligne «S1» de communication avec le dispositif d'insertion 14 est coupée, indiquant au dispositif d'insertion que la machine d'expédition est maintenant prête. Le programme passe alors à un bloc logigue 154, à la suite de quoi le programme INIDRAPEAUX est exécuté pour initialiser les drapeaux et les remettre à zéro. Le programme passe à un bloc logique 158, à la suite de quoi un programme «convoyeur MEMOIRE 15 MORTE» est exécuté pour que le tableau des valeurs de la phase du moteur pas-à-pas 24 du convoyeur soit reproduit de la mémoire morte à la mémoire à accès sélectif du micro-ordinateur. Le programme passe alors du bloc logique 158 à un bloc logique 160 et exécute un programme «démarrage des rouleaux», à la suite de quoi le moteur pas-à-pas 24 du convoyeur est accéléré pour passer d'un état d'inactivité à «VITESSE D'ENTREE» de valeur prédéterminée. Le programme passe du bloc logique 160 à un 20 bloG logique 162, à la suite de quoi le moteur pas-à-pas 56 de la barre d'obturateur est actionné pour provoquer le mouvement de la barre 44 de l'obturateur à la position de repos. Le programme passe alors à un bloc logique 164, à la suite de quoi la «vitesse de pointe du tambour» est déterminée par Pexpresssion:

25 VITESSE DE POINTE EU TAMBOUR = Vale^rP^ du raB X VITESSE D'ENTREE

Le programme initialisé alors le compteur de revérification de la position du tambour, par référence au 30 compteur anti-rebond du tambour, et le compteur de détection des coincements à un bloc logique 166. Le programme exécute alors un programme «format de lot» à un bloc logique 168 dans lequel un affichage tampon pour le comptage du lot, par exemple le nombre de plis traités du courrier, est formatté. Les entrées des détecteurs 66, 68 et 70 sont alors lues et mises à jour dans une mémoire à accès sélectif à un bloc logique 170. Le programme procède alors à un contrôle pour identifier si un «signal d'interruption» a 35 été reçu à la suite de la défaillance de l'un des moteurs pas-à-pas ou si le couvercle de la machine est ouvert à un bloc logique 172. Si un «signal d'interruption n'a pas été reçu, le programme est sorti vers le programme principal à un bloc logique 176. S'il y a eu réception d'un «signal d'interruption», le drapeau d'arrêt est instauré à un bloc logique 174 et le programme sort vers le programme principal au bloc logique 176.

40 On décrira maintenant le programme de surveillance.

En liaison avec les fig. 10A et 10B, le programme principal traite le programme de surveillance à un bloc logique 200. Lors de l'entrée du programme, la lecture des détecteurs 60, 62, 66, 68 et 70 est exécutée. L'information lue est stockée comme «NOUVELLES ENTREES» à un bloc logique 202. Le programme passe alors à un bloc logique 203, à la suite de quoi une différence binaire entre NOUVELLES EN-45 TREES et ANCIENNES ENTREES des détecteurs 66, 68 et 70 est déterminée. Le programme rencontre alors un bloc de décision 204, à la suite de quoi les nouvelles entrées des détecteurs (NOUVELLES ENTREES) sont comparées aux anciennes entrées des détecteurs (ANCIENNES ENTREES) des détecteurs 66,68 et 70; si les entrées sont égales, le programme passe à un bloc de décision 206, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour déterminer si le drapeau «vitesse calibrée» (VC) est instauré (ce dra-50 peau est instauré si le bord avant 15 de la lettre se trouve entre les deux détecteurs de vitesse); si le drapeau «vitesse calibrée» est instauré, le programme procède à l'incrémentation du compteur «vitesse-pas» à un bloc logique 208. Le programme est alors ramené au programme principal en 348. Si le drapeau «vitesse calibrée» n'est pas instaurée, le programme revient directement au programme principal en 348.

Si au bloc de décision 204, les NOUVELLES ENTREES ne sont pas égales aux ANCIENNES EN-55 TREES qui indiquaient que soit le bord avant soit le bord arrière du pli de courrier a traversé les détecteurs de vitesse 66 et 68 ou ie détecteur de déclenchement 70, le programme passe à un bloc logique 210, à ia suite de quoi la variable BORD AVANT est calculée. L'information binaire BORD AVANT est obtenue en masquant la différence des détecteurs avec NOUVELLES ENTREES. Le programme passe maintenant à un bloc de décision 212, à la suite de quoi une information binaire BORD AVANT pour détecteur 60 contrôlé est exécutée. En liaison avec le bloc 212, si tous les bits BORD AVANT sont zéro, le programme passe à un bloc logique 214 et calcule le bit BORD ARRIERE en masquant la différence des détecteurs avec ENTREES ANCIENNES. Le programme passe alors à un bloc de décision 216, à la suite de quoi la vérification du bit BORD ARRIERE est effectuée; si cette information n'est constituée que de zéros, le programme revient au programme principal en 348.

65 Si toute information binaire n'est pas constituée de zéros, le programme passe à un bloc de décisions

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218, à la suite de quoi un contrôle est exécuté, pour s'assurer si le bit BORD ARRIERE du détecteur de déclenchement est initialisé; si ce bit BORD ARRIERE du détecteur de déclenchement n'est pas initialisé, le programme passe à un bloc de décision 220. Au bloc de décision 220, il y a détermination du fait que te bit BORD ARRIERE du second détecteur de vitesse 68 est initialisé; si le bit BORD ARRIERE du second détecteur de vitesse 68 est initialisé, le programme passe au bloc logique 222. Au bloc logique 222, l'information binaire VITESSE CALIBREE et VITESSE 2-ANCIENNE est effacée et le signal S2 appliqué au dispositif d'insertion est coupé, indiquant à ce dispositif d'insertion 14 d'envoyer l'enveloppe suivante. Le programme revient alors au programme principal en 348.

En liaison avec le bloc de décisions 220, si à ce moment là le bit BORD ARRIERE du second détecteur de vitesse n'est pas initialisé, le programme passe à un bloc de décision 224, à la suite de quoi il y a détermination du fait que le bit BORD ARRIERE du premier détecteur de vitesse a été initialisé. Si le bit BORD ARRIERE du premier détecteur de vitesse a été initialisé, le programme passe à un bloc logique 226. Au bloc logique 226, les bits VITESSE CALIBREE et VITESSE 1-ANCIENNE sont effacés et le programme est ramené au programme principal en 348. Si le bit BORD ARRIERE du premier détecteur de vitesse n'a pas été initialisé, le programme est alors renvoyé au programme principal en 348.

Si au bloc de décisions 218 le bit BORD ARRIERE du détecteur de déclenchement est initialisé, le programme passe à un bloc logique 232, à la suite de quoi le bit du détecteur de déclenchement est effacé dans le multiplet ENTREE ANCIENNE. Le programme passe alors à un bloc de décision 234, à la suite de quoi il y a détermination du fait que le drapeau ATTENTE-DECLENCHEMENT a été instauré. Si ie drapeau ATTENTE-DÉCLENCHEMENT n'a pas été instauré, le programme est ramené au programme principal à la jonction 348. Si le drapeau ATTENTE-DECLENCHEMENT a été instauré, le programme passe à un bloc logique 236, à la suite de quoi le drapeau ATTENTE-RALENTISSEMENT est effacé. Le programme passe alors à un bloc logique 238, à la suite de quoi le drapeau ERREUR POUR BIAIS DU COURRIER et le drapeau ARRET sont instaurés, à la suite de quoi le programme est ramené au programme principal à la jonction 348.

En liaison avec le bloc de décision 212, si l'une quelconque des informations du bit BORD AVANT est non-zéro, le programme passe à un bloc de décision 240. Au bloc de décision 240, il y a détermination du fait que le bit BORD AVANT au détecteur de déclenchement 71 est instauré. Si ie bit BORD AVANT du détecteur de déclenchement 71 n'est pas instauré, le programme passe à un bloc de décision 242. Au bloc de décision 242, il y a détermination du fait que le bit BORD AVANT du détecteur de vitesse 68 est instauré; si le bit BORD AVANT du détecteur de vitesse 68 n'a pas-été instauré, le programme passe à un bloc de décision 244, à la suite de quoi il y a détermination du fait que le bit BORD AVANT du détecteur de vitesse 68 est instauré. Si à ce moment là, le bit BORD AVANT du premier détecteur n'a pas été instauré, le programme passe au programme principal à la jonction 348.

En liaison avec le bloc de décision 244, si le bit BORD AVANT du détecteur de vitesse 66 est instauré, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 250, 252 et 254, à la suite de quoi les fonctions suivantes sont respectivement exécutées: (a) mise à jour du bit du premier détecteur de vitesse dans le bit ENTREE ANCIENNE; c'est-à-dire instauration de VITESSE 1-ANCIENNE, (b) le drapeau VITESSE-CALIBREE est instauré et VITESSE-PAS est initialisé a zéro et (c) le courant dans le moteur pas-à-pas 24 du convoyeur est amené à l'état haut. Le programme revient maintenant au programme principal à la jonction 348.

En liaison avec ie bloc de décision 242, si le bit BORD AVANT du détecteur de vitesse 68 est instauré, le programme passe à un bloc logique 256. Au bloc logique 256, il y a exécution d'un programme REGLAGE DE VITESSE. Le programme REGLAGE DE VITESSE exécute les fonctions suivantes: (a) il estime la vitesse du courrier entrant à partir du comptage VITESSE-PAS, (b) il efface le drapeau VITESSE-CALIBREE et (c) il détermine la VITESSE D'IMPRESSION du cycle (vitesse de pointe du tambour) et VITESSE D'ENTREE du cycle suivant. Le programme passe alors à un bloc logique 258, à la suite de quoi les fonctions suivantes sont exécutées: (a) le signal «S2» pour le dispositif d'insertion 14 est appliqué, indiquant à ce dispositif l'arrivée du pli de courrier dans la machine d'expédition, (b) le compteur de détection de coincement (non représenté) est initialisé et (c) un courant élevé est appliqué si le courrier a manqué le détecteur de vitesse 66 par suite de sa mise en biais. Le programme passe alors à un bloc logique 260, à la suite de quoi (VITESSE 2-ANCIENNE) est instauré; le programme est ramené au programme principal en 348.

En liaison avec le bloc de décision 240, si le bit BORD AVANT du détecteur de déclenchement est instauré, le programme passe à un bloc logique 262, à la suite de quoi une fonction de lecture est exécutée quant à l'entrée sur la position désirée des signes, entrée qui peut être une entrée auxiliaire 74. Le programme passe alors à un bloc logique 264, à la suite de quoi les fonctions suivantes sont exécutées: (a) RETARD-SIGNES est calculé et initialisé, (b) RETARD-RALENTISSEMENT est calculé et le compteur du retard de ralentissement est initialisé et (c) les drapeaux ATTENTE-DECLENCHEMENT et ATTENTE-RALENTISSEMENT sont instaurés. Ces fonctions sont exécutées par rapport à la position des signes lue en 262. Le programme passe alors à un bloc logique 266, à la suite de quoi DETECTEUR-DECLENCHEMENT-ANCIEN est instauré dans le bit ENTREE-ANCIENNE. Le programme passe alors à un bloc logique 268, à la suite de quoi le compteur DETECTION-COINCEMENT est réinitialisé à la valeur plus petite et le programme est ramené au programme principal en 348.

On décrira maintenant l'ordonnanceur.

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En liaison avec les fig. 11A et 11B, le programme principal à la jonction 348 entre le programme «ordonnanceur» à un bloc logique 350. Lors de l'entrée de ce programme «ordonnanceur», un bloc de décision 352 exécute un contrôle pour s'assurer que le drapeau ATTENTE DECLENCHEMENT a été instauré. Si le drapeau ATTENTE DECLENCHEMENT n'a pas été instauré, le programme passe à un bloc 5 de décision 354. Si le drapeau ATTENTE DECLENCHEMENT a été instauré, le programme passe à un bloc logique 356, à la suite de quoi le compteur des retards de signes est décrémenté. Le programme passe du bloc logique 356 à un bloc de décision 358, à la suite de quoi il y a contrôle du compteur des retards de signes. Si ce compteur n'est pas égal à zéro, le programme passe au bloc de décision 354. Si le compteur est égal à zéro, le programme passe séquentiellement à des blocs logiques 360,362 et 364, à la 10 suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont exécutées: (a) le drapeau ATTENTE DECLENCHEMENT est effacé, (b) le programme de traitement de l'appareil d'affranchissement à déclenchement (APPAREIL D'AFFRANCHISSEMENT A DECLENCHEMENT 500 illustré en fig. 13A et 13B et décrit ultérieurement d'une façon plus complète) est exécuté et (c) les drapeaux appropriés sont instaurés pour indiquer qu'on n'est pas prêt pour un autre déclenchement. A partir du bloc logique 364, le programme 15 passe à un bloc de décision 354.

Au bloc de décision 354, le drapeau ATTENTE RALENTISSEMENT est vérifié pour s'assurer si le drapeau est instauré. Si le drapeau ATTENTE RALENTISSEMENT n'est pas instauré, le programme passe à un bloc logique 366. Si le drapeau ATTENTE RALENTISSEMENT est instauré, le programme passe à un bioc logique 368. Au bloc logique 368, le compteur des retards de ralentissement est décré-20 menté et le programme passe à un bloc de décision 370. Une vérification est effectuée au bloc dé décision 370 sur le fait que le compteur des retards de ralentissement est égal à zéro; si ce compteur n'est pas égal à zéro, le programme passe à un bloc logique 366. Si le compteur des retards de ralentissement est égal à zéro, le programme passe séquentiellement à des blocs logiques 372 et 374, à la suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont exécutées: (a) le drapeau ATTENTE RALENTISSEMENT est 25 effacé et (b) VITESSE-OBJECTIF du moteur pas-à-pas du convoyeur est instauré à une valeur égale à la vitesse de pointe désirée pour le tambour, le sens de modification de la vitesse est déterminé et le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR est instauré. A partir du bloc logique 374, le programme passe au bloc logique 366.

Aux blocs logiques 366 et 368, la valeur de la phase de marche pas-à-pas du convoyeur est chargée 30 et comparée à la dernière valeur sauvegardée dans l'appel précédent. Si les valeurs des phases sont égales, le programme passe à un bloc logique 370, à la suite de quoi le circuit du contrôleur de séquence est déclenché par une impulsion de manière à éviter la remise à zéro du microprocesseur et le programme passe ensuite au bloc logique 366. Comme indiqué au bloc logique 367, le programme d'interruption de la marche pas-à-pas du convoyeur fonctionnant en arrière-plan changera la valeur de courant 35 de la phase de la marche pas-à-pas; ainsi, si les valeurs des phases deviennent inégales, le programme passe à un bloc logique 372, à la suite de quoi la valeur de la phase DERNIER PAS est mise à jour.

A partir du bloc logique 372, le programme passe à un bloc de décision 374, à la suite de quoi un contrôle est fait pour s'assurer que le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR a été instauré. Si ce drapeau n'a pas été instauré, le programme passe à un bloc de décision 376. Au bloc de décision 376, un 40 contrôle est exécuté pour s'assurer qu'un drapeau associé aux tâches temporelles initiales a été instauré; si les drapeaux sont instaurés, le programme revient au programme principal en 398. Si aucun drapeau n'a été instauré, le programme passe à un bloc logique 378, à la suite de quoi un programme BALAYAGE & AFFICHAGE est exécuté pour effectuer les fonctions suivantes: (a) vérifier le coincement du courrier, (b) balayer le clavier numérique et répondre aux ordres; (c) sortir un segment à affi-45 cher; (d) vérifier le détecteur du tambour et de la barre d'obturateur si le déclenchement n'est pas en cours. A la suite du bloc logique 378, le programme revient au programme principal en 398.

En liaison avec le bloc de décision 374, si le drapeau VITESSE CONVOYEUR a été instauré, le programme passe à un bloc logique 380, à la suite de quoi le pointeur de rampe est déplacé vers le haut pour accélération ou vers le bas pour décélération. Le programme passe alors à un bloc logique 382, à la suite 50 de quoi une lecture de la valeur VITESSE NOUVELLE pré-stockée à partir d'une table de rampe est exécutée. Le programme passe maintenant à un bloc de décision 384 pour avoir l'assurance que VITESSE NOUVELLE est égale à VITESSE OBJECTIF; sinon, le programme passe à un bloc de décision 386. Si les vitesses sont égales, le programme passe à un bloc logique 388, à la suite de quoi le drapeau VARIATION-VITESSE-CONVOYEUR est effacé. A partir du bloc logique 388, le programme passe à un bloc 55 de décision 390, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour avoir l'assurance que le moteur pas-à-pas 48 du tambour d'impression accélère. Si le moteur 48 accélère, le programme passe à un bloc logique 392, à la suite de quoi le signal «S7» pour le dispositif d'insertion est appliqué. A partir du bloc de décision 392, le programme revient au bloc de décision 386.

En liaison avec le bloc de décision 390, dans le cas où le moteur pas-à-pas 48 du tambour d'impres-60 sion n'accélère pas, le programme passe à un bloc de décision 394, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour avoir l'assurance qu'une nouvelle lettre se trouve au droit du détecteur de vitesse 66 ou 68. Si une nouvelle lettre est présente à l'un ou l'autre des détecteurs de vitesse, le programme passe à un bloc de décision 386. Si aucune lettre nouvelle n'est présente au droit des détecteurs 66 ou 68, le programme passe à un bloc logique 395, à la suite de quoi le courant du moteur du convoyeur passe à un état 65 «bas» et le programme passe au bloc de décision 386.

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Au bloc de décision 386, il y à exécution d'une vérification pour s'assurer que la VITESSE est supérieure à 3 mètres/seconde. Si VITESSE dépasse 3 mètres/seconde, ie programme passe à un bloc logique 396, à la suite de quoi le système est prêt à être arrêté avec l'instauration du drapeau d'erreur de vitesse et le programme est renvoyé au programme principal en 398. Si VITESSE est égale ou inférieure à 3 mètres/seconde, le programme passe à 397 où l'intervalle de temps de la marche pas-à-pas du moteur du convoyeur est chargé à partir de la table des rampes du convoyeur et le programme est ramené au programme principal en 398.

On décrira maintenant la ré-entrée en 398 du programme principal.

En liaison avec la fig. 7, à la suite de la ré-entrée en 398 du programme principal, un bloc de décision 399 est rencontré, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour s'assurer que le drapeau d'arrêt a été instauré. S! ce drapeau ne l'a pas été, le programme principal revient à la jonction 176 et répète tes processus de contrôle et d'ordonnancement. Si le drapeau arrêt a été instauré, le programme principal entre dans le programme de reprise 400.

On décrira maintenant le programme de reprise.

En liaison avec les fig. 12A et 12B, lors de l'entrée du programme de reprise, un bloc de décision 402 est rencontré, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour s'assurer qu'une défaillance des circuits d'attaque s'est produite, c'est-à-dire pour savoir s'il y a eu réception d'un signal d'interruption en provenance des circuits d'attaque 78, 80 et 82. Si une défaillance de circuits d'attaque s'est produite, le programme passe à un bloc logique 404, à la suite de quoi toutes les minuteries 0, 1 et 2 sont arrêtées et tous les moteurs pas-à-pas 24, 48 et 56 sont coupés. A la suite du bloc logique 404, le programme revient au programme principal en 470. Si aucune défaillance de circuit d'attaque ne s'est produite, le programme passe à un bloc de décision 406. A ce point, une auto-correction ou reprise est ensuite tentée.

Au bloc de décision 406, il y a exécution d'un contrôle du drapeau REPRISE TAMBOUR. Si ce drapeau n'est pas instauré, le programme passe à un bloc de décision 408, à la suite de quoi il y a exécution d'un contrôle du drapeau TAMBOUR-SENS INVERSE. Si ce drapeau n'est pas instauré, le programme revient au programme principal en 470. Si te drapeau TAMBOUR-SENS INVERSE est instauré, le programme passe à un bloc logique 410, à la suite de quoi il y a lecture des états de tous les détecteurs 60, 62,66,68 et 71. A partir du bloc logique 410, le programme passe à un bloc de décision 412, à la suite de quoi il y a exécution d'un contrôle pour s'assurer que les détecteurs du tambour et de la barre d'obturateur ont subi un changement valable à partir de l'état de repos. Si le détecteur 62 du tambour ainsi que le détecteur 60 de la barre ne sont pas à l'état de repos, le programme passe à un logique 414, Si soit le détecteur 62 du tambour soit le détecteur 60 de la barre se trouve au repos, le programme passe à un bloc logique 416, à la suite de quoi le système est à anti-rebond pour un pas du convoyeur et les états de tous les détecteurs sont lus de nouveau. A partir du bloc logique 416, le programme passe à un bloc de décision 418, à la suite de quoi le contrôle précédent 412 est répété. Si les contrôles sont positifs, le programme passe à un bloc logique 414, à la suite de quoi (a) le drapeau d'arrêt et les autres drapeaux d'erreur sont effacés et (b) le drapeau REPRISE RAPIDE est instauré. A la suite du bloc logigue 414, le programme revient au programme principal en 470.

En liaison avec le bloc de décision 418, si le contrôle est négatif, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 420, 422, 424, 426, 428 et 430, à la suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont exécutées:

(a) ralentissement de la rotation du tambour en deux pas,

(b) retard de 9 millisecondes,

(c) calcul du nombre des pas faits du moteur pas-à-pas du tambour et inversion de ce moteur suivant un nombre égal de pas, centrage du tambour 32 à la position de repos,

(d) déplacement du moteur pas-à-pas 56 de la barre d'obturateur de 24 pas lentement vers l'arrière, puis lecture et contrôle du détecteur de la barre d'obturateur,

(e) effacement du drapeau DECLENCHEMENT.

A partir du bloc logique 430, le programme revient au programme principal en 470.

En liaison avec le bloc de décision 406, si le drapeau REPRISE TAMBOUR est instauré, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 432 et 434, à la suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont exécutées: (a) effacement du drapeau REPRISE TAMBOUR et (b) rotation du moteur pas-à-pas 48 du tambour de huit pas et lecture des détecteurs 62 et 60 du tambour et de la barre d'obturateur. A partir du bloc logique 434, le programme passe à un bloc de décision 436, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour voir si le détecteur 62 du tambour est bloqué; si le détecteur 62 n'est pas bloqué, le programme passe à un bloc de décision 438. Si le détecteur du tambour est bloqué, le programme passe à un bloc logique 440, à la suite de quoi le tambour tourne de huit pas supplémentaires et les détecteurs 62 et 60 du tambour et de la barre d'obturateur, respectivement, font l'objet d'une nouvelle lecture. A partir du bloc logique 440, le programme passe à un bloc de décision 442, à la suite de quoi un contrôle est de nouveau effectué pour voir si le détecteur 62 du tambour est bloqué. Si le détecteur 62 n'est pas bloqué, le programme passe à un bloc de décision 438.

Au bloc de décision 438, un contrôle est exécuté pour voir si une lettre se trouve au droit du détecteur de déclenchement 70; si une lettre se trouve au droit du détecteur 70, le programme passe à un bloc

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logique 444. Au bloc logique 444, les fonctions suivantes sont exécutées: (a) instauration du facteur d'échelle temporelle au maximum, (b) activation du mouvement de la barre d'obturateur vers l'arrière et (c) application du signal d'arrêt «S1» au dispositif d'insertion. A la suite du bloc logique 444, le programme revient au programme principal en 470.

En liaison avec le bloc de décision 438, si aucune lettre n'apparaît au droit du détecteur de déclenchement 70, le programme passe à un bloc logique 446, à la suite de quoi le drapeau d'erreur RETOUR TAMBOUR est effacé. Le programme passe à un bloc de décision 448, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour voir s'il y a d'autres drapeaux d'erreur qui sont installés. Si d'autres drapeaux d'erreur sont instaurés, le programme passe au bloc logique 444 mentionné ci-dessus et de là au programme principal en 470. Si aucun autre drapeau d'erreur n'est instauré, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 450 et 452, à la suite de quoi les fonctions suivantes sont exécutées: (a) effacement de DRAPEAU-ARRET, instauration du drapeau REPRISE RAPIDE et effacement du drapeau ANORMAL, et (b) activation du mouvement vers l'arrière de la barre d'obturateur. A la suite du bloc logique 452, le programme revient au programme principal en 470.

En liaison avec le bloc logigue 442, si le détecteur du tambour est bloqué, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 454, 456 et 458, à la suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont effectuées: (a) le signal d'arrêt «S1 » est appliqué au dispositif d'insertion, (b) instauration de ETAPE 8-COMPTAGE à 98 et (c) rotation du moteur pas-à-pas 56 de huit pas et lecture des détecteurs 62 et 60, respectivement, du tambour et de la barre d'obturateur. A partir du bloc logique 458, le programme passe à un bloc de décision 460, à la suite de quoi un contrôle du détecteur 62 du tambour est effectué pour voir si tambour se trouve dans la position de repos. Si le tambour 32 est dans la position de repos, le programme passe au bloc logique 444 mentionné ci-dessus et de là revient au programme principal en 470. Si le tambour 32 n'est pas dans la position de repos, le programme passe à un bloc logique 462, à la suite de quoi ETAPE 8-COMPTAGE est décrémenté. A partir du bloc logique 462, le programme passe à un bloc de décision 464, à la suite de quoi un contrôle de ETAPE 8-COMPTAGE est effectué. Si ETAPE 8-COMPTAGE n'est pas égal à zéro, le programme revient au bloc logique 458. Si ETAPE 8-COMPTAGE est égal à zéro, le programme passe séquentiellement aux blocs logiques 466 et 468, à la suite de quoi les fonctions respectives suivantes sont exécutées: (a) la minuterie (1) est arrêtée et (b) le DRAPEAU-DECLENCHEMENT est effacé. A partir du bloc logique 468, le programme revient au programme principal en 470.

On décrira maintenant le programme de reprise rapide.

En liaison avec la fig. 7, lors du retour au programme principal en 470, ce programme passe à un bloc de décision 472. Au bloc de décision 472, un contrôle est effectué pour voir si le drapeau REPRISE RAPIDE est instauré. Si tel est le cas, le programme principal revient à la jonction 176 et poursuit comme on l'a décrit précédemment. Si le drapeau REPRISE RAPIDE n'a pas été instauré, le programme passe au programme 474 «ARRET».

On décrira maintenant le programme d'arrêt.

En liaison avec la fig. 13, lors de l'entrée du programme 474 d'arrêt, un bloc de décision 476 est rencontré, à la suite de quoi un contrôle de tous les moteurs pas-à-pas 24, 48 et 56 est effectué. Si tous les moteurs sont arrêtés, le programme passe à un bloc logique 494 qu'on décrira ultérieurement. Si certains moteurs ne sont pas arrêtés, le programme passe à un bloc logique 478, à la suite de quoi tous les détecteurs 60, 62, 66, 68 et 70 sont lus et les entrées de ces détecteurs sont mises à jour. Le programme passe alors à un bloc logique 480, à la suite de quoi il y a exécution d'un programme «attente-pas», lequel (a) attend le moteur pas-à-pas 24 du convoyeur pour procéder à un changement du pas, et (b) déclenche le circuit du contrôleur de séquence pour éviter la remise à zéro du microprocesseur. A partir du bloc logique 480, le programme passe à un bloc de décision 482, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour voir si un déclenchement de l'appareil d'affranchissement est en cours. Si un déclenchement est en cours, le programme revient à un bloc logique 478. Si un déclenchement n'est pas en cours, le programme passe à un bloc de décision 484, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour voir si ie couvercle 75 de la machine d'expédition du courrier est ouvert. Si ie couvercle 75 est ouvert, le programme passe à un bloc logique 490. Si le couvercle 75 n'est pas ouvert, le programme passe à un bloc de décision 486, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour voir si un coincement du courrier est présent. Si un coincement n'est pas présent, le programme passe à un bloc logique 488, à la suite de quoi il y a exécution d'un programme «effacement du courrier en boucle». Ce programme exécute les fonctions suivantes: (a) poursuivre le dégagement de quelques lettres supplémentaires arrivant ou (b) sortir immédiatement si le couvercle est ouvert ou si la touche arrêt du clavier 74 reste enfoncée. A partir du bloc logique 488, le programme passe à un bloc logique 490. S'il y a un coincement du courrier (bloc logique 486), le programme passe à un bloc logique 492, à la suite de quoi il y a exécution d'un programme «élimination de coincement». Ce programme (a) envoie un signal d'arrêt au dispositif d'insertion 14 et (b) essaie d'éliminer le coincement en déplaçant le convoyeur très lentement. A partir du bloc logique 492, le programme passe à un bloc logique 490.

Au bloc logique 490, un programme «arrêt rouleau» est exécuté, à la suite de quoi (a) le moteur pas-à-pas du convoyeur est ralenti jusqu'à une vitesse proche de zéro et maintenu à cette position et (b) toutes les interruptions de minuterie sont invalidées. A partir du bloc logique 490 ou du bloc de décision 476, tous les moteurs étant arrêtés, le programme entre ie bloc logique 494, à la suite de quoi il y a exé11

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cution d'un programme «arrêt sortie». Ce programme (a) coupe le courant appliqué au moteur pas-à-pas du convoyeur, (b) déplace la barre d'obturateur jusqu'à la position de départ et (c) re-initîalise les variables du processus «total de contrôle». A partir du bloc logique 494, le programme revient au programme principal au bloc logique 110.

On décrira maintenant le programme du processus de déclenchement.

En liaison avec les fig. 14A et 14B, le programme 500 du processus de déclenchement est initialisé par le programme «ordonnanceur» à un bloc logique 500 (se reporter aux fig. 14A et 14B). Lors de l'actionne-ment du détecteur de déclenchement 70 par un pli de courrier en mouvement, le programme «SURVEILLANCE» au bloc logique 200 (se reporter aux fig. 10A et 10B) instaure le drapeau «ATTENTE-DECLENCHEMENT» et initialisé un compteur de retard qui est décrémenté jusqu'à zéro, le programme «ordonnanceur» au bloc logique 500 appelle un sous-programme «déclenchement-appareil d'affranchissement» 362. Dans ce sous-programme, à un bloc logique 362 et dans la fonction logique aux blocs logiques 500, 502, 504, 506 et 508 le détecteur 60 de la barre d'obturateur et le détecteur 62 du tambour sont lus à un bloc logique 502. A partir du bloc logique 502, le programme passe à un bloc de décision 504, à la suite de quoi un contrôle est exécuté pour voir si la barre 38 se trouve à la position de repos. Si la barre n'est pas à la position de repos, le programme instaure DRAPEAU-ARRET et un drapeau d'erreur de barre sort alors (c'est-à-dire revient au programme «ordonnanceur» en 364). Si la barre 38 se trouve à la position de repos, le programme passe à un bloc de décision 506.

Au bloc de décision 506, un contrôle est effectué pour voir si le tambour d'impression 32 se trouve à la position de repos. Si le tambour 32 n'est pas à la position de repos, le programme instaure DRAPEAU-ARRET et un drapeau d'erreur de tambour d'impression, sort alors et revient au programme «ordonnanceur» en 364. Si le tambour 32 se trouve à la position de repos, le sous-programme DECLENCHEMENT-APPAREIL D'AFFRANCHISSEMENT passe à un bloc logique 508, à la suite de quoi les processus d'interruption de la minuterie 1 et de la minuterie 2 sont validés. Le sous-programme DECLENCHEMENT-APPAREIL D'AFFRANCHISSEMENT se termine ici et revient au programme «ordonnanceur» en 364. Le processus de déclenchement est alors effectué par les processus d'interruption de la minuterie 1 et de la minuterie 2, Les processus simultanés d'interruption sont indiqués dans les branches A et B. Le processus de la branche A rencontre un bloc logique 510, à la suite de quoi le tambour d'impression 32 est animé d'un mouvement de rotation par le moteur pas-à-pas 18 d'un angle d'environ 4,5°, lentement avec une très petite accélération. En même temps, le processus de la branche B rencontre un bloc logique 512, à la suite de quoi la barre 38 de l'obturateur est avancée de 24 pas avec une accélération et une décélération contrôlées. A la fin du mouvement de la barre, le processus de la branche B rencontre un bloc logique 514, à la suite de quoi l'interruption de la minuterie 2 est invalidée et les détecteurs 60 et 62 de la barre et du tambour sont lus. A des blocs de décision 516 et 518, des contrôles sont effectués pour voir si la barre 38 se trouve entièrement dans sa position avant (de libération) et si le détecteur 62 du tambour est bloqué. On remarquera que le bloc de décision 518 est exécuté en même temps que latin du bloc logique 510 et le tambour d'impression 32 doit subir une rotation de 4,5e pour que le détecteur 60 du tambour soit bloqué à ce moment là. Si la barre 38 de l'obturateur n'est pas totalement à sa position avancée ou si le détecteur du tambour n'est pas bloqué, la branche B passe au bloc logique 522, à la suite de quoi les drapeaux ARRET-DRAPEAU et TAMBOUR-SENS INVERSE sont instaurés et le processus de déclenchement avorte. Comme on l'a discuté plus tôt dans le programme «reprise» 400, le drapeau TAMBOUR-SENS INVERSE déclenchera une procédure de reprise, à la suite de quoi ie tambour est arrêté et animé d'un mouvement de rotation dans le sens inverse jusqu'à la position de repos, et la barre 38 de l'obturateur est également ramenée en arrière jusqu'à la position de repos. Si la barre se trouve à sa position totalement avancée et que le détecteur du tambour est bloqué à la fin du mouvement de l'obturateur vers l'avant, tes processus des branches A et B fusionnent et le processus de déclenchement se poursuit jusqu'à un bloc logique 520, et le tambour d'Impression 32 est accéléré pendant 54" supplémentaires et «VITESSE-TAMBOUR-POINTE», qu'on appelle également «vitesse de saut du tambour d'impression». On remarquera que, alors qu'il y a accélération du tambour 32, le moteur du convoyeur est soumis à une décélération, de sorte que la vitesse des plis de courrier sera égale à VITESSE-TAMBOUR-POINTE lorsqu'ils se rapprochent du tambour d'impression. Le processus rencontre alors un bloc logique 522, à la suite de quoi le tambour 32 subit une rotation de 247,5° à la vitesse constante de saut du tambour d'impression. Les signes postaux et la flamme de publicité sont imprimés sur l'enveloppe pendant ce laps de temps. A la fin de la rotation à vitesse constante, le tambour d'impression 32 n'est plus en contact avec l'enveloppe, de sorte que le micro-ordinateur peut activer le processus d'accélération de l'enveloppe dans un bloc logique 524 et commence à accélérer le tambour dans un bloc logique 526 en même temps. Le moteur du convoyeur est accéléré pour passer de VITESSE-TAMBOUR-POINTE à VITESSE D'ENTREE, et le tambour subit une décélération entre VITESSE-TAMBOUR-POINTE et zéro en 54°. A la fin de la décélération du tambour, le tambour d'impression 32 doit avoir subi une rotation de 360° et être revenu à la position de repos, de sorte que le programme invalide l'interruption de la minuterie 1 et cesse la rotation du tambour à un bloc logique 528. Le micro-ordinateur lit alors le détecteur du tambour dans un bloc logique 530, et passe à un bloc de décision 532, à la suite de quoi un contrôle est effectué pour voir si le détecteur du tambour est bloqué. Si le détecteur est bloqué, le programme passe à un bloc logique 534, à la suite de quoi les drapeaux DRAPEAU-ARRET et TAMBOUR-REPRISE sont instaurés. Comme on l'a discuté précédemment dans le programme «reprise»

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400, le drapeau TAMBOUR-REPRISE déclenchera une procédure de reprise qui tente de faire tourner lentement le tambour jusqu'à la position de repos par multiples de 8 pas. Si le tambour n'est pas ramené à la position de repos en moins de 8 ou 16 pas, DRAPEAU-ARRET ne sera pas effacé et le système sera arrêté avec l'affichage d'un code d'erreur de tambour.

En liaison avec le bloc de décision 523, si le détecteur 62 du tambour n'est pas bloqué, le processus de déclenchement passe à un bloc logique 536, à la suite de quoi l'interruption de la minuterie 2 est validée. Cela permet au micro-ordinateur de ramener en arrière la barre 38 de l'obturateur jusqu'à la position de repos avec une accélération et une décélération contrôlées dans un bloc logique 538. A la fin du mouvement de la barre 38, l'Interruption de la minuterie 2 est invalidée et le détecteur 60 de la barre est lu dans un bloc logique 540. Ensuite, à un bloc de décision 542, un contrôle est effectué pour voir si la barre 38 est au repos. Si la barre 38 n'est pas au repos, le processus de déclenchement est achevé avec un drapeau d'erreur de mouvement d'obturateur et DRAPEAU-ARRET est instauré. Sinon, le processus de déclenchement s'achève de manière satisfaisante et le système peut poursuivre le traitement de davantage de courrier.

La présente invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation qui viennent d'être décrits, elle est au contraire susceptible de variantes et de modifications qui apparaîtront à l'homme de l'art.

Claims (8)

Revendications

1. Dispositif de commande pour appareil d'impression comportant un dispositif de transport (20) pour fournir les uns après les autres une multitude d'éléments en forme de feuille ou enveloppe, (16) à un moyen d'impression monté sur une partie de l'appareil d'impression faisant partie d'un poste d'impression (70), le moyen d'impression comportant un ensemble à tambour d'impression (32), le dispositif de transport étant destiné à assumer le contrôle du déplacement de chaque enveloppe pendant toute la traversée de l'appareil par chaque enveloppe en provenance d'un moyen d'introduction (14) et comportant un moyen pour entraîner le dispositif de transport et l'ensemble à tambour d'impression, caractérisé en ce qu'il comprend:

un premier moteur (24) pour entraîner le dispositif de transport;

un second moteur (48) en communication motrice avec l'ensemble à tambour d'impression; un micro-ordinateur (72) monté dans l'appareil en communication de commande avec les premier et second moteurs pour commander le fonctionnement relatif des moteurs;

des moyens de détection de vitesse (66, 68) en communication d'information avec le micro-ordinateur afin de détecter la vitesse d'entrée de l'élément en forme de feuille (enveloppe) en provenance du moyen d'introduction afin que cet élément soit reçu par ie système de transport;

un moyen de détection de déclenchement (71) en communication d'information avec le micro-ordinateur pour détecter la position relative de chaque enveloppe par rapport au système de transport et au poste d'impression;

le micro-ordinateur commandant les moteurs de telle sorte que:

a) le micro-ordinateur est programmé pour déterminer la vitesse de pointe du tambour en fonction de la VITESSE D'ENTREE de chaque enveloppe et du pas présélectionné, d'où il résulte que la vitesse de pointe du tambour représente la vitesse de pointe minimum requise pour le tambour;

b) actionner le premier moteur de façon que le dispositif de transport obtienne une vitesse initiale égale ou supérieure à VITESSE D'ENTREE avant d'assumer la commande de chaque enveloppe, et ultérieurement à cette commande, faire en sorte que le système de transport ajuste la vitesse à une valeur équivalente à la vitesse de pointe du tambour, et à l'issue de l'impression par le tambour, amener le système de transport à ajuster la vitesse pour la porter à VITESSE D'ENTREE;

c) après prévision lors de la réception d'une information en provenance du moyen de détection du déclenchement, retarder l'actionnement du second moteur jusqu'à ce que le bord avant de chaque enveloppe ait traversé un point de déclenchement, à la suite de quoi le micro-ordinateur actionne de façon contrôlée le second moteur pour que le tambour d'impression se déplace d'une manière définie en conformité avec un profil de vitesse défini sous des accélérations contrôlées de sorte que le déplacement de chaque enveloppe par rapport au poste d'impression est en synchronisme avec la vitesse de pointe du tambour pour impression par ce tambour au poste d'impression, le point de déclenchement étant prévu lors de l'obtention d'un déplacement synchrone de l'enveloppe et du tambour d'impression au poste d'impression.

2. Dispositif de commande selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend:

un troisième moteur (56) en communication motrice avec un moyen de verrouillage pour l'ensemble de tambour d'impression (32),

le micro-ordinateur (72) étant en outre en communication de commande avec ledit troisième moteur, le micro-ordinateur étant programmé pour déterminer la vitesse de pointe du tambour par rapport à la VITESSE D'ENTREE de l'enveloppe prédite lors de la réception d'une information fournie par les moyens de détection de vitesse et la distance présélectionnée du pas entre des enveloppes successives,

et, après prévision lors de la réception d'une information provenant du moyen de détection de déclenchement, pour retarder de façon coordonnée l'actionnement des second et troisième moteurs à la suite

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de quoi le micro-ordinateur commande de façon contrôlable les second et troisième moteurs afin de permettre un déplacement synchrone de l'enveloppe, du tambour d'impression et du moyen de verrouillage au poste d'impression.

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que le micro-ordinateur comprend en outre un moyen pour détecter un coincement des enveloppes dans le système de transport et en réponse à cette détection, faire en sorte que le premier moteur arrête le système de transport dans la mesure où l'une des enveloppes n'a pas déclenché le moyen de détection de déclenchement; si ce moyen a été déclenché, qu'il y ait arrêt du système de transport après que l'une des enveloppes ait traversé le poste d'impression.

4. Dispositif selon la revendication 2 ou la revendication 3, caractérisé en ce que le micro-ordinateur comprend en outre un moyen pour détecter l'orientation de l'enveloppe sous la commande du système de transport de façon que, dans le cas où l'enveloppe serait orientée de façon incorrecte dans le système de transport, le microordinateur arrête le système de transport.

5. Dispositif de commande selon la revendication 2, caractérisé en ce que le moyen de verrouillage comporte un ensemble de barre obturateur (38) qui est en communication motrice avec ledit troisième moteur (56);

le micro-ordinateur (72) commandant le fonctionnement relatif des second et troisième moteurs afin d'obtenir que le tambour d'impression et la barre d'obturateur se déplacent d'une manière définie.

6. Dispositif de commande selon la revendication 5, caractérisé en ce que le micro-ordinateur comporte en outre un moyen de détection pour informer le micro-ordinateur du fait que les ensembles comportant le tambour d'impression et la barre d'obturateur sont dans la position de repos de façon que, dans le cas où le moyen de verrouillage de l'appareil d'affranchissement ne libérerait pas l'ensemble comportant la barre d'obturateur lors de l'amorçage d'un déclenchement en conformité avec une information fournie par le moyen de détection, le micro-ordinateur fasse en sorte que les ensembles comportant le tambour d'impression et la barre d'obturateur reviennent à la position de repos et réinitialise un déclenchement; si le moyen de verrouillage ne libère pas maintenant l'ensemble comportant la barre d'obturateur, le micro-ordinateur arrête le système de transport et fait avorter le déclenchement.

7. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que le micro-ordinateur comprend en outre un moyen pour déterminer si l'enveloppe reçue par le moyen de transport est en mauvais alignement en surveillant la durée pendant laquelle les détecteurs de déclenchement sont bloqués.

8. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le micro-ordinateur comprend en outre un moyen pour déterminer si une enveloppe s'est coincée dans le système de transport et essayer de procéder au décoincement de l'enveloppe avant l'arrêt du système.

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