CH333031A - Installation téléphonique automatique - Google Patents

Installation téléphonique automatique

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CH333031A
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CH
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line
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relays
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Inventor
Pierre Gohorel Fernand
Original Assignee
Standard Telephone & Radio Sa
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    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04QSELECTING
    • H04Q3/00Selecting arrangements
    • H04Q3/0004Selecting arrangements using crossbar selectors in the switching stages

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Monitoring And Testing Of Exchanges (AREA)

Description


      Installation    téléphonique     automatique       La présente invention     concerne    une instal  lation téléphonique automatique, avec un  dispositif     d'identification.     



  Il peut y avoir     intérêt,    pour certaines  communications, à     connaitre        l'indicatif    de  l'abonné appelant. Les dispositifs qui per  mettent d'atteindre ce but, ou       identificateurs     ,  trouvent leur application dans un certain nom  bre de cas et notamment dans les suivants  a) Lors de l'établissement de communi  cations     régionales    ou interurbaines, il est       nécessaire    de déterminer l'identité du deman  deur afin de pouvoir le     taxer.     



  b) Certaines     lignes    d'abonnés peuvent  être le siège d'appels malveillants ; il     importe,     dans ce cas de déterminer l'identité des  abonnés qui font de tels     appels.     



  c) Il     peut    arriver, dans un     central    télé  phonique automatique, qu'une ligne d'abonné  se porte appelante et que     l'appel        n'aboutisse     pas, du fait que la numérotation est     incom-          plète    ou inexistante, la ligne d'abonné étant  alors en position de   faux appel      .    Il est inté  ressant de     déterminer    l'identité de telles lignes  afin de vérifier leur état et d'effectuer, le cas  échéant, les réparations nécessaires.  



  L'installation suivant l'invention com  prend un identificateur comportant un fil  d'identification particulier à chaque ,ligne  d'abonné,     ainsi    qu'au moins un sélecteur indi-         viduel    de     multisélecteur    à barres     croisées          donnant    accès, sur chaque     azimut,    aux fils  d'identification d'un même groupe de lignes,  ledit sélecteur     étant        orienté    sur     l'azimut    cor  respondant au groupe de rattachement de la  ligne à     identifier,

      la position     occupée    par  ledit     sélecteur    caractérisant     ainsi    ledit     groupe,     le rang de ladite ligne à l'intérieur de son  groupe     étant    déterminé par le fil du     sélecteur     connecté au fil d'identification de la ligne.  



  Une forme d'exécution de     l'installation     selon l'invention est exposée dans la descrip  tion qui va suivre, donnée à titre d'exemple  non limitatif, en se reportant aux figures  annexées qui représentent  les     fig.    1 et 2, des diagrammes de jonction  pour expliquer le     fonctionnement    général de  l'installation ;  les     fig.    3, 4     et    5, .le schéma des dispositifs  prévus pour     déterminer    l'identité et mesurer le  niveau d'isolement de la ligne en faux appel ;

    les     fig.    6 à 11, des tableaux     récapitulatifs     permettant     d'expliciter    le mode de câblage de       certains    organes du chercheur     d'id!entité    ;  la     fig.    12, le mode de raccordement des       fig.    3 à 5 ;  la     fig.    13, le mode de raccordement des       fig.    6 à 9, d'une part, et 10 et 11, d'autre part.      On va maintenant, en se reportant à la       fig.    1, décrire le     fonctionnement    général de  l'installation.  



  Dans tout     cc        qui,    suit, l'appellation        joncteur      désignera un ensemble d'organes,  disposé à l'extrémité d'un circuit ou d'une ligne,  et     destiné    à effectuer la jonction entre ledit  circuit ou ladite ligne avec un équipement  particulier d'un     central.     



  Dans la description qui va suivre, on va  tout d'abord rappeler de façon     sommaire    la       disposition    des organes et le processus d'ache  minement des     appels    dans un central télé  phonique automatique     utilisant    des commu  tateurs à barres croisées ou       multisélecteurs     .  



       L'autocommutateur    considéré     dessert    un       certain    nombre d'abonnés répartis en groupes.  Un élément de     sélection    de     groupe    choisit  le groupe de l'abonné demandé, un élément  de sélection de ligne choisit l'abonné demandé  parmi tous ceux du groupe considéré.  



  Lorsque l'abonné appelant     ABI        décroche     son combiné, son équipement de ligne     JLI     se trouve mis en     liaison    avec les relais com  muns de test     RCT.        Ces    derniers déterminent  le     sectionnement    de chercheurs :d'appel<I>CA</I>  comportant des chercheurs d'appel libres ayant  accès à des enregistreurs libres. Les relais  communs de test sont ensuite mis en liaison  avec un testeur T chargé de procéder à la  recherche du chercheur d'appel libre ayant  accès à un enregistreur libre dans le section  nement de chercheurs d'appel déterminé  comme précédemment indiqué.

   Le testeur se  met en liaison avec l'un .des. marqueurs de  ligne<I>MI</I> contrôlant l'élément de     sélection    de  ligne auquel est rattaché l'abonné demandeur.  



  Le     joncteur    d'enregistreur<I>JE,</I> associé au  chercheur d'appel     CAI    choisi, est -pris et se       connecte    à un enregistreur E à travers un  chercheur     d'enregistreur        CEl.     



  Le marqueur en prise porte     alors    la     ligne     appelante sur les     bancs    des     sélecteurs    termi  naux     STI        desservant    l'abonné demandeur. Le  connecteur     CSTl,        desservant    les sélecteurs  terminaux, porte     appelant    sur les bancs des  chercheurs d'appel     CAI    les sélecteurs termi  naux     STI    libres pouvant acheminer l'appel.

      Le connecteur de chercheur     d'appel        CCAI     du cadre de chercheurs d'appel choisi pro  cède à la recherche d'un sélecteur terminal       STI    parmi ceux qui sont en position d'appel,  en même temps que s'effectue la recherche  de la     ligne    de l'abonné demandeur par le       connecteur    de sélecteurs terminaux     CSTl.     



  Le marqueur en prise provoque l'excita  tion de     l'électro    de connexion du chercheur  d'appel, puis celle de l'électrode connexion  du sélecteur terminal, et ensuite -celle du relais  de     coupure    d'appel de l'abonné demandeur.  



  L'abonné demandeur se trouve alors mis  en liaison avec un     enregistreur    E, tandis que  le testeur et le marqueur sont libérés.  



  L'abonné demandeur numérote alors  l'indicatif du demandé. Dès que l'enregis  treur E a reçu la     partie        d'indicatif    lui permet  tant de commander les opérations de sélection  de groupe, il se met en liaison avec un  récepteur de sélection de groupe     RG    par  l'intermédiaire d'un     connecteur    de     récepteur     CR.     L'enregistreur    E transmet alors sous  forme codée à ce récepteur les combinaisons  sélectives     nécessaires    à la     commande    de la  sélection de groupe.

   Après s'être informé de  l'identité de l'élément de sélection de  groupe     SG    en prise avec le     joneteur    d'enre  gistreur<I>JE,</I> le récepteur     RG    se connecte à  l'un des deux marqueurs MG (dont un     est     représenté sur la     fig.    1) desservant ledit élé  ment de sélection de groupe     SG    à travers le  circuit connecteur     mcg.     



  Le marqueur en prise<I>MG</I> reçoit du récep  teur     RG    les informations codées relatives à la  sélection de groupe, et     commande    ladite sélec  tion par     l'intermédiaire    des connecteurs die  sélecteur primaire     CSP    et de sélecteur secon  daire     CSS.     



  Ensuite, le marqueur MG et le     récepteur     de groupe     RG    se libèrent.  



  Lorsque l'enregistreur a reçu l'indicatif  complet du demandé, il se met en liaison avec  un récepteur de ligne R2 à travers le con  necteur de     récepteur    CR et lui transmet, sous  forme codée, les     combinaisons    sélectives néces  saires à la commande des opérations de sélec  tion de ligne. Le récepteur R2 se met en      liaison avec l'un des deux     marqueurs    M2 (dont  un, seul est représenté) desservant l'élément de  sélection de ligne auquel est     rattaché        l'abonné     demandé.

   Le marqueur M2 choisit     un    sélecteur  terminal     ST2    capable d'acheminer l'appel, et,  après s'être assuré que la ligne de     l'abonné     demandé<I>AB'</I> est libre, commande l'établis  sement de la connexion à travers le sélecteur  de .cinquantaine     SC2,    et le sélecteur termi  nal     ST2.    Le demandé est sonné et la     comrnu-          nication    s'établit suivant un     processus    connu  tandis que le marqueur M2, le :récepteur R2,  l'enregistreur E et le connecteur de récep  teur CR se libèrent.  



  On précisera en outre que les appels pro  venant de circuits sont acheminés, soit par un  élément de sélection de groupe et un élé  ment de sélection de ligne dans le cas d'un  appel par circuit arrivé, soit     par    un élément  de sélection de groupe seulement dans le cas  d'un appel passant en transit dans le bureau  considéré.

   En outre, les appels à destination  des services spéciaux sont acheminés par un  élément de sélection de ligne (auquel est ratta  ché le demandeur) et un     élément    de sélection  de groupe, comme il     ressort    de l'examen de  la     fig.    1, où lesdits     services    spéciaux ont été  représentés par une ligne munie     di'un    jack  repéré     SCP.     



  On rappelle que, sauf dans le cas de com  munications locales ou de communications  arrivées,     l'enregistreur    E s'associe toujours à  un traducteur D par     l'intermédiaire    d'un con  necteur de traducteur<I>CD.</I>  



  Comme il ressort de la description qui  précède, on remarquera que l'on peut dis  tinguer deux étapes     successives        dans    la suite  des opérations se déroulant lors de l'établis  sement d'une communication     locale.     



  La première étape s'étend depuis     l'instant     où l'abonné demandeur décroche son combiné  jusqu'à la mise en liaison dudit abonné avec  un enregistreur libre. La seconde étape con  cerne la numérotation proprement dite par  l'abonné demandeur et la recherche de l'abonné  demandé.  



  En d'autres termes, on peut dire que la  première étape est relative à la recherche de la    ligne appelante,     cette    recherche     s'effectuant     sous le contrôle de deux organes essentiels, le  testeur<I>T</I> et le marqueur de     ligne   <I>Ml.</I> La  seconde étape     s'effectue    sous le     contrôle         & h          l'enregistreur    en association successivement,  soit avec un récepteur et un marqueur de  groupe, au cours     :

  des.        opérations    de     sélection     de groupe, soit avec un récepteur et un mar  queur de ligne au     cours    des opérations de  sélection de ligne.  



  Lorsque le relais d'appel d'une ligne  d'abonné vient à     fonctionner,        celle-ci!    se trouve  donc mise en liaison avec un     enregistreur    à  travers     l'élément    de sélection de     ligne    auquel  elle est rattachée.

   Si le fonctionnement du       relais    d'appel     de    ladite     ligne    est accidentel, il  en résulte que certains organes<B>de</B> sélection du  central vont être     immobilisés    inutilement,     ce     qui peut     entraîner,    en     période    de     :pointe    de  trafic,     certaines    difficultés pour assurer l'ache  minement des communications.  



  Le .relais d'appel d'une ligne     d'abonné    peut  fonctionner, comme on le sait, soit par bou  clage de la     ligne    (bouclage accidentel ou  bouclage dû au décrochage d'un abonné ne  numérotant pas), soit par la mise de polarités  convenables sur l'un ou l'autre des     fils    com  posant ladite     ligne.    On caractérise ces     défauts     en disant que la     ligne    est en     faux,appel.     



  Lorsqu'un faux     appel    se produit sur     une     ligne     d'abonné,   <I>AB</I> par exemple,     celle-ci    est  portée     appelante    et se trouve mise suivant un  processus déjà décrit, en liaison avec un enre  gistreur E     (fig.    1).

   Il est prévu dans cet     enregis-          truer    un dispositif bien     connu    permettant de  déceler qu'à l'expiration d'un     certain    délai  après la     prisse    dudit     enregistreur,        l'abonné     n'a numéroté aucun indicatif à son     cadran     d'appel.

       L'enregistreur    se met alors en     liaison     avec un traducteur D par     l'intermédiaire    d'un  connecteur de traducteur<I>CD.</I> Le     traducteur     averti par     l'enregistreur    qu'il s'agit d'un faux  appel, lui transmet les     indications        nécessaires     à la commande de la sélection de groupe. La  ligne d'abonné est     alors    renvoyée sur une  ligne de renvoi des faux appels     a2b2        (fig.    2).  



  La     prise    d'une ligne de renvoi détermine la  mise en marche d'un     dispositif        temporisateur.         Ce dispositif vérifie qu'à l'expiration d'un  délai déterminé la ligne de renvoi n'a pas  été libérée (cas du     raccrochage    de l'abonné).  Si à l'expiration de ce délai la ligne de ren  voi est toujours en prise, celle-ci est portée  appelante sur les bancs d'un connecteur N       (fig.    2). Sur cette     figure    2, on a représenté       sous    forme simplifiée la chaîne de sélection  précédemment explicitée à la fi-. 1.

   En plus,  on a figuré les compteurs<I>Ac</I> et<I>Ac'</I> des  abonnés<I>AB</I> et<I>AB',</I> ainsi que le chercheur  d'identité A dont il va être question main  tenant.  



  Le connecteur N assure la liaison de la  ligne de renvoi en faux appel     a2b2    avec le  dispositif de mesure S. Lorsque le connec  teur N a rendu effective la     connexion    de la  ligne de renvoi en faux appel avec le dispo  sitif de mesure S, celle-ci est     portée    appelante  à nouveau sur les bancs du connecteur L.  Le connecteur L assure la liaison de la ligne  de renvoi en faux appel avec le chercheur  d'identité A.  



  Le chercheur d'identité se compose essen  tiellement d'un groupe de relais d'identifica  tion     AAa...AKa    et d'un cadre de     multisélec-          teurs    Ce.  



  Les fils de comptage<I>cl</I>     ...cn    des abonnés  du     central    sont câblés sur les bancs d'un  cadre de     multisélecteurs    dont on a supprimé  les     multiplages    horizontaux et dont on assure  la commande simultanée de l'ensemble des  sélecteurs individuels. Lesdits fils de comptage  se trouvent ainsi     répartis    en un nombre de  groupes égal au nombre d'azimuts disponibles  dans le cadre de     multisélecteurs    utilisé. A  chaque azimut est associé un     électro    de sélec  tion.

   Il résulte de ceci que la connaissance de  l'identité de     l'électro    de sélection qui vient  au     collage    lors de la recherche de la ligne en  faux appel permet de déterminer le groupe  auquel est rattaché ladite ligne.  



  L'identification de la ligne en faux appel  à l'intérieur de son groupe s'effectue de la  façon suivante. Les fils verticaux du cadre  de     multisélecteurs    sont associés par paires de  manière telle que les deux fils verticaux de  chaque     paire    correspondent au même     chiffre       d'unité. A chaque paire de fils verticaux est  associé un relais d'identification à deux enrou  lements     AAa    dont la mise en collage carac  térise donc l'unité à laquelle sont rattachés  l'un ou l'autre des deux fils verticaux de  ladite paire.  



  La mise au collage d'un relais d'identi  fication     AAa    permet donc de déterminer sans  ambiguïté le chiffre d'unité du numéro de la  ligne à l'intérieur de son groupe.     Etant    donné  que chaque relais     AAa    est associé à deux fils  verticaux ayant même chiffre d'unité, il en  résulte que chacun desdits relais se trouve  donc implicitement associé à deux dizaines.

    Pour lever l'indétermination relative à     ces     deux dizaines, on procède de la manière sui  vante  Les relais d'identification d'unité     AAa        ci-          dessus    mentionnés sont à leur tour répartis  par groupe, chaque groupe étant associé à deux  relais d'identification     AKa    de dizaine, ceci  résultant du fait que chaque relais d'identi  fication d'unité comporte deux enroulements  d'excitation.  



  Lorsque la     manoeuvre    des sélecteurs indi  viduels composant le cadre de     multisélecteurs     est devenue effective, une boucle se trouve  établie à travers le compteur<I>Ac,</I> le fil<I>cl,</I>  le sélecteur<I>si,</I> les relais d'identification     AAa     et     AKa,    la source isolée<I>CA,</I> les connec  teurs<I>L et N,</I> l'élément de sélection de  groupe     SG    et l'élément de sélection de  ligne     SLl.    Deux des relais d'identification     AAa     et     AKa    viennent au collage et permettent, en  association avec     l'électro    de sélection utilisé,

    d'assurer la détermination de l'identité de la  ligne en faux appel.  



  Lorsque le chercheur d'identité a déterminé  l'identité de la ligne en faux appel, il trans  met, sous forme codée, ses informations à  un dispositif d'enregistrement ER par l'inter  médiaire des fils<I>11</I> et 12 et du connecteur<I>L.</I>  



  Le dispositif d'enregistrement ER est essen  tiellement composé d'un certain nombre de  relais   mémoire  . Il permet de libérer rapi  dement le chercheur d'identité A, dès que  celui-ci a terminé les opérations d'identifi  cation, de la ligne en faux appel.      Du fait de la fermeture du connecteur N,  la ligne d'abonné est en outre mise en liai  son avec un dispositif de mesure S qui     effec-          tue    successivement les trois mesures suivantes  I o) résistance de boucle de la     ligne          d'abonné    ;    2o) et 3o) isolement par rapport à la  terre de l'un et l'autre des     fils    de ligne.

      Le dispositif de mesure est constitué par  un simple pont de     Wheastone        :dont    le dés  équilibre est contrôlé par un relais. Un dis  positif temporisé modifie à trois reprises la       sensiblité    du pont de mesure, ce qui permet  pour chaque mesure définie ci-dessus de déter  miner trois gammes de     résistances    comprises  entre zéro et l'infini, permettant ainsi de  déterminer dans quelle gamme se situe chacune  des résistances précédemment mentionnées.  



  Lorsque les     mesures    de     résistance    sont ter  minées, le dispositif de mesure S les transmet  au dispositif d'enregistrement E précédem  ment mentionné.  



  Actuellement, le dispositif d'enregistre  ment E se trouve en possession de l'ensemble  des informations permettant de connaître,  d'une part, l'identité de la ligne en faux  appel et, d'autre part, l'état d'isolement de  ladite ligne.  



  Il est alors possible de transmettre l'ensem  ble des informations emmagasinées par le  dispositif d'enregistrement ER, soit à une       perforatrice,    soit à tout autre dispositif appro  prié.  



  On va maintenant, en se reportant aux  fi-. 3 à 5, donner une description détaillée du  fonctionnement du système.  



  Dans les descriptions qui vont suivre, on  a référencé les enroulements des     relais    par  une combinaison de lettres comprenant deux  lettres majuscules suivies d'une ou plusieurs  lettres minuscules. La première lettre majus  cule caractérise l'équipement dans lequel est  utilisé le relais. Tous les relais faisant partie  d'un même équipement portent donc une réfé  rence débutant par la même lettre. Pour des  raisons d'équipement et de câblage, les relais    d'un équipement sont     répartis    en groupes, tous  les relais d'un groupe     étant        fixés    sur le même  barreau. La deuxième lettre majuscule de  référence du relais caractérise ce barreau.

    Tous les relais d'un même     barreau    sont donc  référencés avec la même deuxième     lettre    majus  cule. Les lettres     minuscules,        suivant    dans la       référence    d'un relais les deux     premières    let  tres majuscules, désignent les piles de contacts  associées à     cedit        relais.    Sur un même bar  reau, les piles de contacts des différents relais  sont référencées dans l'ordre     alphabétique.     C'est ainsi que sur le barreau A de l'équipe  ment A, si les deux premiers relais possè  dent chacun deux     piles    de contact,

   et les deux  suivants chacun une     pile,    les références uti  lisées seront    premier relais :     AAab   <I>;</I>       deuxième    relais:     AAcd   <I>;</I>  troisième relais :     AAe   <I>;</I>  quatrième relais :     AA        f   <I>.</I>    Le repérage des contacts des relais est  obtenu de la façon suivante:

   pour une pile  de contacts donnée associée à un relais déter  miné, les références des contacts sont     obtenues     en faisant suivre les deux lettres majuscules       composant    le début de la référence du relais  de la lettre minuscule     caractérisant    la :pile de  contacts considérée et d'un chiffre     situant    le  contact dans la pile envisagée. C'est ainsi que  les contacts     AAa2    et     AAb3    sont respective  ment le deuxième contact de la pile a et le  troisième contact de la pile<I>b</I> du relais     AAab.     



  Dans     certains    cas, dans un but de sim  plification, on a représenté les organes ou  circuits semblables assurant des fonctions  identiques sous forme d'un organe ou circuit  de chaque     espèce.     



  On a référencé dans ce cas     particulier     uniquement le premier et le     dernier    organes,  les références étant séparées par une barre  de fraction. C'est     ainsi    qu'un relais dont  l'enroulement est référencé     APa/e    représente  en réalité cinq relais référencés     APa,        APb...          APe.    De même, un contact de relais référencé           Alal   <I>j,</I> 2l11 représente en réalité les deuxième,  troisième, ...onzième contacts des relais     Ala,          AIb...Alj,    soit au total 100 contacts (10 relais,  10 contacts par relais).  



  Pour     apporter    plus de clarté aux planches  de dessin, certains fils devant assurer des  liaisons électriques entre des organes éloignés  ont été groupés dans des câbles. Ces câbles  sont référencés par des lettres majuscules. Les  fils d'un câble sont repérés par une lettre  minuscule précédée de la lettre majuscule  caractéristique du câble.  



  Comme on le verra ultérieurement, le cher  cheur     d'organe    est équipé avec un cadre de       multisélecteurs.    A l'intérieur de     ce    cadre se  trouve un certain nombre     d'électros    de sélec  tion. Ces     électros    se répartiront en deux  groupes, un groupe     d'électros      bas  , un  groupe d'électron   hauts  .

   Ces électron ont été  référencés     Asb1...Asb14,        Ash1...Ash14,    les  lettres minuscules<I>b</I> et<I>h</I> figurant     dans    les réfé  rences désignant soit des     électros      bas  , soit  des     électros      hauts  . Les contacts de tra  vail ou de repos associés à ces électron sont  référencés     Asblll,        AsbIl2,    le deuxième chif  fre désignant le numéro d'ordre     du    contact à  l'intérieur de la pile à laquelle il est     associé.     



  La batterie, normalement utilisée pour  l'alimentation générale de     l'installation,    a son  pôle négatif représenté par une     flèche    ; son  pôle positif est relié     directement    à la terre.  



  On va maintenant, en se .reportant aux       fig.    3, 4 et 5, décrire le fonctionnement détaillé  du     ,dispositif    permettant, d'une part, de déter  miner l'identité de la ligne en faux appel et       d'effectuer,    d'autre part, sur cette ligne diver  ses mesures permettant     d'analyser    d'après les  résultats qu'elles fournissent, si le faux appel  est dû à une fausse     manoeuvre    de l'abonné ou  à un défaut d'isolement accidentel de la ligne  de cet abonné.  



  On supposera, par exemple, que l'abonné  <I>AB</I>     (fig.    3) décroche son combiné et ne  numérote pas à son cadran d'appel. Cet abonné  se trouve relié au central     par    les deux fils  de     ligne   <I>al, b1.</I> Ce central a été représenté  sous forme     simplifiée    sur la     fig.    3 par un  rectangle en traits pointillés repéré C, et à    l'intérieur duquel on a dessiné sous forme  schématique, d'une part, l'élément de sélection  de ligne     SLI    et, d'autre part,

   l'élément d'une  sélection de groupe     SG.    Aucun des     organes     communs et individuels normalement rattachés  à ces éléments de sélection de ligne et de  sélection de groupe n'a été représenté, étant  donné qu'ils n'interviennent pas au cours de  la description qui va     suivre.       Lorsque l'enregistreur, après s'être mis en  liaison avec un traducteur, a     commandé    la  sélection de groupe, l'abonné<I>AB</I> se trouve  mis en liaison avec la ligne de renvoi repré  sentée par les fils<I>a2, b2</I> sur les     fig.    3 et 5.  



  Lorsque la liaison entre les     fils    de ligne<I>al,</I>       b1    et a2,<I>b2</I> devient effective à travers l'élé  ment de sélection de ligne     SLI    et l'élément  de sélection de groupe     SG,    le relais     d'app--l          FFa    passe au collage, son circuit d'excitation       venant    d'être     complété    de la manière suivante  batterie, enroulement de gauche du  relais     FFa,    contact de repos     FFcl,    fil<I>a2 à</I>  travers les     fig.    4 et 3, éléments de sélection  de groupe     SG,

      élément de     sélection    de  ligne     SLl,    fil<I>al,</I> boucle de l'abonné<I>AB,</I>  fil     b1,    élément de sélection de ligne     SLI,     élément de sélection de groupe     SG,    fil<I>b2 à</I>  travers les     fig.    3 et 4, contacts de repos     FFc2,     enroulement de droite du relais     FFa,    terre.  



  Le relais     FFa    porte la ligne de renvoi en  faux appel     a2b2,    appelante sur les bancs du  connecteur N assurant la liaison entre ladite  ligne et le dispositif de mesure S.  



  La mise en position     trava    U du contact  de repos travail     FFal    complète le circuit       d'excitation    du     relais        FFb    qui passe au collage  batterie, résistance     FRI,    contact de tra  vail     FFal,    relais     FFb,    terre.

      Le relais     FFb    se complète un circuit de  maintien par la fermeture de son contact de  travail<B>MI</B>    batterie, résistance     FRI,    contact de tra  vail     FFbl,    relais     FFb,        terre.         La mise en position travail du contact de  repos travail     FFb2    a pour effet de mettre à  la terre le fil de test t2 portant ainsi occupée  sur les bancs de l'élément de sélection de  groupe     SG    la ligne de renvoi en faux appel<I>a2,</I>  62.

   La fermeture du     contact    de     travail        FFb3     complète le circuit d'excitation de l'enroule  ment médian du     relais    d'appel     FFa     terre, génératrice OC, contact de travail       FF63,    enroulement médian du relais     FFa,     condensateur     FCI,    terre.  



  La génératrice OC fournit une     tonalité     d'occupation généralement cadencée. La pré  sence de ce courant     d'occupation    dans  l'enroulement médian     FFa    a pour     effet     d'induire dans les .deux     enroulements    extrêmes  de     ce    relais une force électromotrice alterna  tive déterminant à son tour la circulation d'un  courant dans le circuit de boucle de l'abonné  précédemment décrit. Si le faux appel est dû  au fait d'un décrochage de l'abonné, celui-ci  perçoit alors la tonalité d'occupation l'invi  tant à raccrocher son combiné.  



  La fermeture du     contact    de travail     FFb4     prépare le circuit d'excitation du relais     FFf.     De même, la fermeture du contact de tra  vail     FFb5    met en liaison l'enroulement supé  rieur d'excitation du relais     FFe    avec la  came     FKI.     



  La came     FKI,        entrainée    par un moteur  non représenté, se     ferme    périodiquement à  des intervalles de temps de l'ordre de 2 à  4 secondes par exemple. On supposera qu'à  l'instant de fermeture du contact de tra  vail     FFb5,    la came     FKl    soit en position  d'ouverture. Lorsque la came     FKI    se ferme,  le circuit d'excitation du relais     FFe    est com  plété .  



  batterie, enroulement supérieur du     relais          FFe,    contact de travail     FFb5,    came     FKI    en  position fermeture, terre.    Par la fermeture de son contact de tra  vail     FFel,    le relais     FFe    prépare le circuit  d'excitation du relais     FFf.    Le relais     FFe    se    complète un circuit d'excitation par la ferme  ture de son     contact    de travail     FFe2     batterie,     enroulement        inférieur    du     relais          FFe,

          contacts    de     travail        FFe2,        FFb4,        terre.     Lorsque après un     certain    délai, la came     FKI     se rouvre, le relais     FFe    se     maintient    donc au  collage.  



  Après une temporisation pouvant être  comprise entre 2 et 4 secondes, par exemple,  la     came        FK2    se ferme à son tour et complète  alors le     circuit        d'excitation    du relais     FFf    qui  passe au     collage     batterie,     enroulement        inférieur    du relais       FFf,    contact de travail     FFel.,    came     FK2    en  position fermeture, terre.  



  On remarquera que l'excitation du relais       FFf    ne peut devenir     effective    qu'à     la    condi  tion que le relais     FFe    soit au -collage. Si, pen  dant l'intervalle de temps séparant la fermeture  des     cames        FKI    et     FK2,    l'abonné en faux  appel a raccroché son combiné après     avoir     reçu la tonalité     d'occupation        précédemment     mentionnée, les relais     FFa,

          FFb    et     FFe    sont  revenus au collage et l'excitation du relais     FFf     ne peut avoir     lieu.     



  Le dispositif     comportant    des cames     FKI     et     FK2    est bien connu, et est notamment uti  lisé dans les enregistreurs pour     déclencher    les  opérations de renvoi sur une ligne en faux  appel lorsqu'un     abonné    ne numérote pas après  avoir décroché son combiné.

      On supposera que, dans -le cas .de la pré  sente description, l'abonné ne raccroche pas  son combiné     après    avoir perçu la     tonalité     d'occupation envoyée sur sa     boucle    par suite  de la fermeture<B>du</B> contact de travail     FFb3.       Par la     fermeture    -de son contact de tra  vail     FFfl,    le relais     FFf    se complète un cir  cuit de maintien    batterie, enroulement supérieur du relais       FFf,    contacts de     travail        FFfl,        FFb4,

          terre.         La fermeture du contact de     travail        FFf2     porte la ligne de renvoi appelante sur les bancs  du connecteur N.  



       Les        lignes    de renvoi du central considéré  sont réparties en un certain nombre de grou  pes. Chaque     groupe    peut être     mis    en     liaison     avec un dispositif de mesure S     (fig.    5) par       l'intermédiaire    d'un connecteur N (fi-. 4). En  d'autres     termes,    toutes les     lignes    -de renvoi en  faux appel d'un groupe sont     câblées    sur les  bancs d'un de ces connecteurs N.

   On asso  cie, à chaque ligne de renvoi en faux     appel,     un relais de test référencé     NGt    sur la     fig.    4.  L'ensemble de tous les relais     NGt    forme une  chaîne de relais dont le fonctionnement est  bien     connu.    La fermeture du contact de tra  vail     FFf2    complète donc le circuit d'excita  tion du relais de test     NGt    qui passe au collage  batterie, résistance     FR2,    contact de tra  vail     FFf2,    enroulement supérieur du relais     NGt,     contacts de repos     NGhl,        NGbl,

          NGal,    terre.    La fermeture du contact de     travail        FFf   <I>3</I>  prépare le circuit d'excitation du relais     FFd.       Le relais     NGt    se complète un circuit de  maintien par la fermeture de son contact de  travail     NGtl,    et complète le circuit d'excitation  des relais     NGh    et     FFd     batterie, relais     FFd,    contact de travail     FFf3,     enroulement inférieur du relais     NGt,    contact  de travail     NGtl,    relais     NGh,

      contact de  repos     NGa2,    terre.    Les relais     FFd    et     NGh    vont assurer la mise  en liaison de la ligne de renvoi<I>a2, b2</I> avec  le dispositif de mesure S.    Par la fermeture de son contact de tra  vail     FFd3,    le relais     FFd    complète le circuit  d'excitation du relais     FFc    qui passe au col  lage  batterie, résistance     FR3,    relais     FFc,    con  tact de travail     FFd2,    terre.

      Par la fermeture de ses contacts de tra  vail     FFdl,        FFd2,        FFd4,    le     relais        FFd    prépare  le circuit de     connexion    de la ligne de renvoi a2,  <I>b2</I> vers le dispositif de mesure<I>S.</I>    Par la     fermeture    de ses contacts     FFcl    et       FFc2,    le     relais        FFc    coupe le     circuit        d'excitation     du relais     FFa    qui décolle,

   et prolonge les  fils<I>a2 b2</I> de la ligne de renvoi en faux     appel     jusqu'aux contacts de     travail        NGh2    et     NGh3     du connecteur<I>N.</I> Le relais     FFc    se com  plète un circuit de maintien par la fermeture  de son contact de     travail        FFc3       batterie, résistance     FR3,    relais     FFc,   <I>con-</I>  tacts de travail     FFc3,        FFb4,    terre.    L'ouverture du contact de repos     NGhl          porte    occupé le dispositif de mesure S.

   La  fermeture des contacts de     travail        NGh2,        NGh3,          NGh4,    met en liaison la ligne de renvoi<I>a2</I>  <I>b2</I> avec le     dispositif    de mesure<I>S.</I> La ferme  ture du contact de travail     MGh5    complète le  circuit     d'excitation        du    relais de test     LCt    du  connecteur L     (fig.    3)       batterie,    contact de repos     LCdl,    enroule  ment inférieur du relais     LCt,    fil<I>Na</I> à travers  le câble<I>N,

  </I> contact de travail     NGh5,    contact  de repos     NGgl,    terre.  



  Suivant la capacité du central, on peut  rassembler les     lignes    de renvoi en un certain  nombre de groupes, et associer à chacun un  connecteur<I>N. A</I> chaque connecteur<I>N</I> on  associe un dispositif de mesure S. De même,  chaque connecteur N, et, par conséquent, cha  que dispositif de mesure S, peut être câblé  sur les bancs d'un second connecteur L asso  cié à un chercheur d'identité A. La raison  d'être du connecteur L réside dans le fait que  le chercheur d'identité A est unique pour le  central considéré,     alors    que les     dispositifs    de  mesure S ne le sont pas. Ceci résulte de ce  que le temps d'occupation du chercheur  d'identité est relativement faible, vis-à-vis de  celui du dispositif de mesure S.

   En d'autres  termes, lorsqu'une ligne de renvoi en faux appel  vient à se porter appelante sur les bancs  du     connecteur    N, puis ensuite sur les bancs  du connecteur L, l'identité de la ligne en faux  appel se trouve déterminée en un temps de  beaucoup inférieur à celui nécessité par le  dispositif S pour effectuer les diverses mesu  res permettant de déceler la nature du faux      appel.

   Il résulte de     ceci    que le chercheur       d'indentité    A peut être libéré, alors que le  dispositif de mesure S se trouve toujours en  prise avec la     ligne    de renvoi en faux     appel.     Le chercheur d'identité A peut alors être mis  en liaison avec une autre ligne de renvoi, par  l'intermédiaire d'un autre connecteur N     (ceci     suppose, bien     entendu,    que la     ligne    de ren  voi à     laquelle    il est fait allusion ne fasse pas  partie du même     groupe    que la ligne de renvoi  encore en prise avec le     dispositif    de mesure S).  



  On peut résumer ces explications en disant  que chaque dispositif de mesure S dessert le  trafic des lignes de renvoi câblées sur les bancs  du connecteur N qui lui est associé, alors  que le chercheur     d'identité    A :dessert le trafic  de la     totalité    des lignes de renvoi en faux  appel du central considéré. A chaque     groupe     de ligne de renvoi en faux appel ou, ce qui  revient au même, à chaque connecteur N  est associé, dans le connecteur L, un relais  de test     LCt.    Les relais     LCt    forment une chaîne  dans le connecteur L analogue à celle que  forment les relais     NGt    dans le connecteur<I>N.</I>  



  Le relais     LCt    se complète un circuit de  maintien par la fermeture de son contact de  travail     LCtl,    ce qui a pour effet de faire pas  ser consécutivement au collage les relais     LCd     et     LCe     batterie, relais     LCe    et     LCd,    contact de  travail     LCtl,    enroulement supérieur du  relais     LCt,    terre à travers un circuit déjà  décrit.  



  La mise au collage du relais     LCd    porte  occupé sur les bancs du connecteur L, le cher  cheur d'identité A. En effet, l'ouverture du  contact de repos     LCdl    interdit toute excitation  ultérieure de l'un quelconque des relais de  test     LCt.     



  Le relais     LCe    va rendre effective la liai  son entre le chercheur d'identité A et la     ligne     de renvoi en faux appel<I>a2 b2.</I>  



  Par la fermeture de son contact de tra  vail     LCel,    le relais     LCe    complète le     circuit     d'excitation du relais     LEf     batterie, résistance     LRl,    relais     LEf,    con  tact de travail     LCel,    terre.    Il convient de remarquer que l'excitation  du relais     LEf        n'entraîne    pas la mise au     collage     immédiate de l'armature de celui-ci.

   Du fait  de la présence du condensateur     LCI    et de la       résistance        LRl,    la mise au collage du relais       LEf    ne devient effective qu'après une     certaine          temporisation.     



  La     fermeture    du contact de     travail        LCe2     complète le circuit d'excitation du relais con  necteur     FCc    qui passe au collage  batterie, relais     FCc,    contact de tra  vail     LCt2,        LCe2,    terre.  



  A chaque groupe de     lignes    de renvoi en  faux     appel        est    associé un relais     FCc    com  mandé par le contact de travail     LCt2.        Il    existe  bien entendu     autant    de relais     FCc    et de con  tacts de travail     LCt2        correspondants    qu'il est  prévu de groupes distincts de lignes de ren  voi en faux appels dans le central considéré.

    Par contre, comme il ressort de l'examen de  la     fig.    3, le contact de     travail        LCe2    est unique  pour l'ensemble des relais de test     LCt    et est,  de     ce    fait,     multiplé    sur l'ensemble des con  tacts de     travail        LCt2    associés aux relais     LCt     correspondants. La fermeture du contact de tra  vail     LCe3    prépare un circuit de maintien aux       électros    de sélection du chercheur d'identité A.  



  La fermeture du contact de     travail        FCcl   <I>a</I>  pour effet de préparer le circuit d'envoi des       informations    codées depuis le chercheur  d'identité vers le groupe de relais codeurs       FEu...FErn.    En réalité, le contact     FCcl    se  compose de 20 contacts fonctionnant simul  tanément.

   On sait, en effet, que, pour trans  mettre les     informations    d'un organe à un autre,  il est commode, pour diminuer le nombre de  fils de transmission,     d'utiliser    un système     codé.     On supposera, dans tout ce qui suit, que le  système codé utilisé     pour    la     transmission    des  informations se compose de 5 éléments dis  tincts dont on utilise deux éléments simulta  nément pour assurer la     transmission    d'une  information.

   Il en résulte qu'avec 5 éléments  il est possible de transmettre dix     informations          différentes.    Le tableau ci-après donne, pour  fixer les idées, la correspondance entre les  éléments de code utilisés et les informations  transmises correspondantes.

      
EMI0010.0001     
  
    Chiffres <SEP> à <SEP> transmettre
<tb>  Eléments <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> i <SEP> I
<tb>  de <SEP> code <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9 <SEP> 0
<tb>  1 <SEP> X <SEP> X <SEP> X <SEP> j <SEP> X
<tb>  i
<tb>  2 <SEP> X <SEP> X <SEP> X <SEP> l' <SEP> X
<tb>  3 <SEP> X <SEP> X <SEP> X <SEP> X
<tb>  4 <SEP> X <SEP> X <SEP> _I <SEP> X <SEP> X
<tb>  5 <SEP> X <SEP> X <SEP> X <SEP> X       Dans ce tableau, on associe à chaque infor  mation à transmettre     une    colonne,     ce    qui  représente au total 10 colonnes correspondant  aux dix combinaisons qu'il est possible de       réaliser    avec le code ci-dessus     mentionné.    De  même,

   on a associé à chaque élément de code  une     ligne        horizontale,    ce qui représente un  total de 5 lignes correspondant aux 5 élé  ments de code.     Il    en résulte qu'à chaque colonne       verticale    sont associées 5 cases correspondant  aux 5 éléments du code de     transmission    et  dont deux seulement doivent être utilisées pour  la transmission de     l'information    relative à la  colonne considérée. On a marqué de la let  tre X les cases correspondant aux éléments  de code utilisés pour la transmission d'une  information quelconque.

   C'est ainsi, par  exemple, que, pour assurer la     transmission     du chiffre 2, on a marqué d'un X les cases  des lignes 2 et 5 de la colonne 2, ce qui signi  fie que la transmission du chiffre 2 utilise  le deuxième et le .cinquième éléments du code  considéré.     Etant    donné que 5 fils suffisent  pour transmettre 10 informations différentes,  il est donc nécessaire     d'utiliser    20 fils pour  assurer la transmission codée de :tous les chif  fres compris entre 0000 et 9999. Les con  tacts de travail     FCcl,    que l'on a mentionnés  ci-dessus, assurent précisément la connexion  des 20     fils    correspondants.  



  Avant de poursuivre cette description, on  va indiquer le mode de réalisation utilisé pour    le chercheur d'identité. Celui-ci se compose  essentiellement d'un cadre de     multisélecteurs     du     type    à barres croisées. Ce cadre de     multi-          sélecteurs    comprend un certain nombre de  sélecteurs individuels, pourvus chacun d'un       électro    de connexion. On associe à l'ensemble  des sélecteurs individuels des barres dites de  sélection, commandées chacune par deux       électros    de sélection.

   Le nombre     d'électros    de  sélection est d'ailleurs, comme on le sait,  égal au nombre de     piles    de contacts mobiles  dont est composé chaque sélecteur     individuel.     On repère habituellement les piles de contacts  en leur associant un numéro d'ordre caracté  risant leur azimut     respectif.     



  Les piles de contacts fixes, en nombre  égal aux piles de contacts mobiles, sont     mul-          tiplées    entre elles verticalement. On rappelle  que pour rendre effective la connexion d'une  pile de contacts mobiles d'un sélecteur avec la  pile de contacts fixes     correspondante,    on       manoeuvre    la barre de sélection associée     aux-          dites    piles de contacts, en excitant     l'électro    de  sélection dont l'azimut est le même que     celui     desdites piles de contacts dont on veut pro  voquer la connexion.  



  La     manoeuvre    d'une barre de sélection  entraîne la mise en position de travail de tous  les embrayeurs qui lui sont associés, le nom  bre des embrayeurs étant, bien entendu, égal  au nombre de sélecteurs dont est composé  le cadre de     multisélecteurs.    En excitant ensuite,      après mise en position convenable de la barre  de sélection,     l'électro    de connexion du sélec  teur précédemment désigné, on provoque alors  la connexion des piles de contacts fixes et  mobiles correspondants. Il est alors possible  de libérer la barre de sélection venant     d'être     utilisée, l'embrayeur ayant servi à commander  la sélection restant en position de travail,     grâce     à un artifice mécanique bien connu.

    



  Les cadres de     multisélecteurs    sont placés  dans des baies de manière que les barres  de sélection soient horizontales: Comme on le  sait, une barre de sélection peut occuper trois  positions : une position de repos, une pre  mière position de travail avec     l'embrayeur     en position haute, une seconde position dé  travail avec     l'embrayeur    en position basse. A  chaque barre de sélection, sont associés deux       électros    de sélection.

   Il convient de     remarquer     que, par construction, les embrayeurs associés  aux barres de sélection se     déplacent        dans     des plans verticaux et que les deux     électros     de sélection, en assurant la commande, doi  vent être excités de manière telle qu'il faille  exciter     l'électro    inférieur pour obtenir un dépla  cement de l'embrayeur vers le haut, et inver  sement.  



  Dans tout ce qui suit, on désignera par       électro    bas et     électro    haut les     électros    de sélec  tion associés et qui commandent soit un  déplacement vers le bas soit, un déplacement  vers le haut des embrayeurs associés à la  barre de sélection correspondante.  



  On sait qu'habituellement, il est d'usage  de multiplier entre elles les piles de contacts  mobiles ayant le même azimut, ceci afin de  permettre à un azimut donné d'être desservi  par plusieurs sélecteurs individuels. Cependant,  pour certaines utilisations particulières, et  notamment pour les buts recherchés dans la  présente     installation,        ces        multiplages    ne sont  pas réalisés.  



  On supposera, dans ce qui va suivre, que  le cadre de     multisélecteurs    utilisé pour la  réalisation du chercheur d'identité A, se com  pose de 10 sélecteurs individuels composés  chacun de 28 piles de     contacts    mobiles et fixes,  chaque pile comprenant elle-même 10 con-         tatcs.    D'après ce qui précède, il résulte que  le nombre     d'électros    de sélection est égal à  28, et celui de     barres    de sélection égal à 14.  Les explications qui     précèdent    vont permettre  de     décrire    en détail le fonctionnement du. cher  cheur d'identité A.  



  A chaque équipement d'abonné<I>AB est</I>  associé, comme on le sait, un compteur  repéré<I>Ac</I> sur la     fig.    3, et dont le rôle con  siste à enregistrer le nombre     d'unités    de taxa  tion     imputables    à l'abonné considéré pour  une période     déterminée.    Chaque compteur<I>Ac</I>  est commandé par un fil spécial référencé<I>cl</I>  sur la     fig.    3, et que l'on désigne     habituelle-          ment    par le nom de     fil    de comptage.

   Par  l'intermédiaire de l'élément de     sélection    de  ligne     SLI,    et de l'élément de sélection de  groupe     SG,    le fil de comptage<I>cl</I> se     trouve     mis en liaison avec     1e    fil c2 correspondant, de  la ligne de renvoi en faux     ,appel   <I>a2 b2.</I> La  commande     des    compteurs s'effectue en  envoyant des impulsions de terre sur le fil<I>cl.</I>  On supposera que, dans l'exemple considéré,  les compteurs d'abonnés et les fils de comp  tage correspondants sont     groupés        par    100.

    Chaque compteur se     trouve    relié à la batte  rie par     l'intermédiaire    d'un     redresseur        ADl.     Le redresseur     ADI    est unique dans un groupe  de 100 et se trouve, de     ce    fait,     multiplé    sur  l'ensemble de 100     compteurs   <I>Ac</I> du groupe  considéré.

   On a     connecté    aux bornes du       redresseur        ADI    un relais     ALz    dont on expli  quera le rôle ultérieurement, et qui est inuti  lisé, lorsque,     dans    le groupe de 100 abonnés  auquel il est rattaché, aucun d'entre eux n'est  mis en liaison avec le chercheur d'identité A.

    Le relais     ALz    est en     effet    insensible aux impul  sions de comptage, car, vu la     polarité    des  impulsions de comptage, d'une part, et vu  le sens de branchement du redresseur     ADI,          d'autre        part,    tout se passe comme si l'enrou  lement d'excitation du     relais        ALz    était     court-          circuité.    Chaque fil de comptage<I>cl</I> se trouve  raccordé sur l'un des contacts de banc d'un  sélecteur individuel dont est composé le cadre  de     multiséleoteurs    mentionné plus haut.

   Les  dix sélecteurs     individuels    composant le     cadre     de     multisélecteurs    ont été référencés     AaO...Aa9         sur la     fig.    3.

   Sur cette figure, la verticale<I>A a0</I>  représente en réalité les dix     fils    verticaux dont  est composé chaque sélecteur     individuel.          Etant    donné que la capacité de chaque sélec  teur individuel est de dix circuits     par    pile de  contacts, et que le nombre de sélecteurs indi  viduels prévus est de 10, il en résulte qu'à  chaque azimut     horizontal    correspondent  10     >C    10 = 100 contacts de banc distincts.

   Puis  qu'à chaque frotteur est     raccordé    un fil de  comptage<I>cl,</I> 100 fils de comptage distincts  sont donc câblés sur un même azimut     dans    le  cadre de     multisélecteurs.       On supposera, pour fixer les idées, que la  capacité du chercheur d'identité A est de  2500     lignes.    D'après ce qui a été     dit    précé  demment,     il    en résulte que le nombre d'azi  muts nécessaires pour assurer la connexion des  2500 fils<I>ci</I> est donc de 25, puisque chaque  azimut assure à lui seul la     connexion    de  100 fils<I>cl.</I>  



  Chaque sélecteur     individuel    est associé à  un     électro    de connexion.     Les    dix     électros    de       connexion,        correspondant    aux dix sélecteurs  individuels précédemment mentionnés, ont été  représentés sur la fi-.

   3 sous forme d'un     électro     de connexion     unique    référencé     AVa/j,    et cor  respondant aux dix sélecteurs individuels       AaO...Aa9.    Ces     électros    sont commandés par  les 10 contacts de travail     Alal   <I>l10</I>     multiplés     ensemble à leur     partie        inférieure    comme     il     résulte de l'examen de la     fig.    3.

   Il résulte de  ceci que les 10     électros    de connexion sont  excités     simultanément    et assurent de ce fait  la connexion des 100 fils<I>cl</I> correspondant à  l'azimut sur lequel a été orienté le sélecteur.  Ces 100 fils cl se trouvent mis en liaison avec  les 100 fils     d'identification    100...199 connec  tés sur les 100     multiplages    verticaux associés  aux dix sélecteurs     individuels        AaO...Aa9.       Les     fils   <I>cl</I> des 2500 abonnés précédemment  mentionnés sont raccordés sur les bancs des  sélecteurs de la façon suivante.

   L'azimut 1 cor  respond aux 100 premiers fils<I>cl,</I> l'azimut 2  aux 100 fils suivants et ainsi de suite.    On a signalé précédemment que la ferme  ture du contact de travail     FCc2    avait eu pour  effet de compléter le circuit d'identification.  On va maintenant décrire ce circuit d'identi  fication. Il utilise une source de     courant    continu  <I>AC</I> dont le pôle positif se trouve mis en       liaison    avec la batterie du central.

   A la ferme  ture du contact de travail     FCc2,    le circuit sui  vant se trouve complété  pôle positif de la source<I>AC,</I> fil c, enrou  lement d'excitation du relais     ALz,    compteur<I>Ac,</I>  fil<I>cl</I> mis en liaison avec le fil c2 à travers  l'élément de sélection de ligne     SLI    et l'élé  ment de sélection de groupe     SG,    contacts     die          travail        FFd4,        NGh4,        fil        Nc    à travers le câble<I>N,</I>  contact de travail     FCc2,    pôle négatif de la  source<I>A C.</I>  



  Vu le mode de branchement de la  source<I>AC,</I> d'une     part,    et celui du redres  seur     ADl,    d'autre part, tout se passe     comme    si  l'enroulement du relais     ALz    était shunté par  une     impédance    infinie.     L'enroulement    d'exci  tation du relais     ALz    est très résistant vis-à-vis  de l'enroulement d'excitation du compteur<I>Ac ;</I>  il résulte de ceci que seul le relais     ALz    passe  au     collage    après la fermeture du contact de  travail     FCc2.     



  Chaque relais     ALz    est, comme on le  sait, commun à 100 abonnés. D'autre part,  100 abonnés correspondent à un azimut du  cadre de     multisélecteur    du chercheur d'iden  tité<I>A.</I>     Il    résulte de ceci, qu'à chaque relais     ALz     correspond donc un     électro    de sélection.     Etant     donné qu'il y a 25 azimuts qui sont utilisés pour  assurer la connexion des 2500     fils   <I>cl,</I> il faut  donc prévoir 25 relais     ALz,    d'une part, et  25     électros    de sélection, d'autre part.

   Les  25     éleetros    de sélection ont été représentés  sur la     fig.    3 sous forme d'un     électro    de sélec  tion unique référencé     Asb1...Ash13,    ces réfé  rences désignant le premier et le dernier des  25     électros    de sélection ci-dessus mentionnés.    Pour préciser, on signale que le premier  azimut est associé à     l'électro    de sélection    haut       Ashl,    le second à     l'électro    de sélection    bas       Asbl    et ainsi de suite.

        Chaque relais     ALz    associé à 100 abonnés  commande     l'électro    de sélection correspon  dant par la fermeture de son contact de tra  vail     ALzl.    On supposera, pour préciser, que  le numéro de l'abonné en faux appel soit par  exemple<B>01</B>24. Cet abonné fait donc partie  de la seconde centaine et a, de     ce    fait, son fil  <I>cl</I> raccordé sur l'un des 100 frotteurs asso  ciés à l'azimut 2 du chercheur     d'identité    A.

    Ce second azimut est commandé, comme on  l'a signalé précédemment, par     l'électro    de  sélection     Asbl.    Il en résulte que la fermeture  du contact de travail     ALzl    provoque donc  l'excitation de     l'éleotro    de sélection     Asbl   <I>à</I>  travers le circuit suivant    batterie,     électro    de sélection     A.sbl,    contact  de travail     ALzl,    terre.

      Par sa     mise    au     collage,        l'électro    de sélec  tion     Asbl    provoque, d'une part, la mise en  position de la barre de sélection à laquelle il  est associé et caractérise, d'autre part, la cen  taine et le millier auxquels se trouve rattaché       l'abonné    en faux appel.  



  Chaque     électro    de sélection se complète  un circuit de maintien par la fermeture de son  contact de travail     correspondant.    Ces con  tacts, au nombre de 25, ont été représentés  sur la     fig.    3 sous forme d'un     contact    de tra  vail unique référencé     Asbl   <I>/1,</I>     Ash13/1,

          cor-          respondant    aux 25 contacts de travail des     élec-          tros    de sélection     Asb1...Ash13.    Le circuit de  maintien de     l'électro    de sélection     Asbl    est le  suivant  batterie,     électro    de sélection     Asbl,    contact  de     travail        Asbl   <I>l1,</I>     contact    de     travail        LCe3,     terre.  



  Le second     contaot    de travail des     électros     die sélection est utilisé pour commander la  mise au collage du relais     Ala    de commande des       électros    de connexion. Le relais     Ala    est uni  que dans le chercheur d'identité A et a son  enroulement d'excitation     multiiplé    sur l'ensem  ble des 25 contacts de travail     Asbl        /2...Ash13/2,     représentés sur la     fig.    3 sous forme d'un con  tact de     travail    unique référencé     Asbl   <I>/2</I>     ...Ash     13/2.

      Par la fermeture de ses dix contacts de tra  vail     Alal   <I>l10,</I> le relais     Ala    complète le cir  cuit     d'excitation    des 10     électros    de con  nexion     AVa/j     batterie,     électros    de     connexion        AVa/j,    con  tacts de     travail    correspondant     Alal   <I>/10,</I> con  tact de travail     LCe3,    terre.

      L'excitation de     l'électro    de sélection     Asbl,     d'une part, et des dix     électros    de     connexion          AVa/j,    d'autre part, provoque dans le cadre  de     multisélecteurs    la     connexion    des 100 fils  <I>CI</I> raccordés sur l'azimut 2 avec les 100 fils       d'indentification   <I>i00 ... ï99</I> raccordés aux 100 fils  verticaux     correspondants        dies    10 sélecteurs indi  viduels.  



  Pour assurer la détermination du     chiffre    des  unités et du     chiffre    des     dizaines    du numéro  de l'abonné en faux appel, on a prévu deux  groupes de relais     d'identification.    Le premier  groupe de relais comprend 50 relais à deux  enroulements     référencés        AAa...AAj,        ACa...          ACj,        AEj,        AGa...AGj,        AIa...AIj,

      représentés  sur la     fig.    3 sous forme d'un relais unique réfé  rencé     AA/C/E/G/1/a/j.    Le second     groupe    de  relais d'identification comprend 4 relais d'iden  tification     AKa,        AKb,        AKc,        AKe    représentés  sur la     fig.    3 sous forme d'un relais unique réfé  rencé     AKa/b/c/e.     



  Aux cinquante relais     d'identification          AA/CIE/GIIla/j        correspondent    donc 100     fils     de     sortie    raccordés aux cent     fils    d'identifica  tion<I>i00 ... i99</I> précédemment     mentionnés.     



  Ces relais assurent la détermination du chif  fre des unités du numéro de l'abonné en faux  appel. Les informations concernant ce chiffre  des unités sont envoyés sous forme codée sur  les cinq fils     Au1...Au5    par     l'intermédiaire    des  contacts de     travail        AA/C/E/G/Ila/j/1/2    repré  sentés sous forme de deux contacts de travail  associés aux fils     Aul    et     Au5    et     portant    la réfé  rence ci-dessus mentionnée.

   On     remarquera     que chaque fil d'envoi de code,     Au1...Au5,     porte une flèche de     multiplage    marquée 20,  ce qui     signifie    que chacun d'eux a accès à  20 contacts de travail convenablement choisis  parmi ceux associés aux 50 relais d'identifica-           tion    précédemment     mentionnés.    La raison de  ce fait est la     suivante.    Il est connu qu'avec le  code de     transmission    utilisé, chaque élément  de code est utilisé pour assurer partiellement la  transmission de quatre     informations    différentes.

    Par exemple, l'élément de code 1 intervient  pour la transmission des chiffres 1, 3, 5, 9  (voir tableau     précédemment    mentionné). D'autre  part, le fait     d'utiliser        cinquante    relais d'iden  tification pour desservir les 100     fils   <I>i00 ... i99</I>  revient à considérer que chaque relais est asso  cié à deux     fils        d'identification    ayant même  numéro d'unité. Tout se passe donc     comme          s'il    y avait à déterminer les     chiffres        d'unité     des numéros     d'identification    de 50 groupes de  deux fils.

   Les cinquante groupes de deux fils  se subdivisent en 5 ensembles de 10     sous-          groupes    de 2 fils, chacun de ces sous-groupes       comportant    donc des groupes de 2 fils, dont les  numéros     d'identification    possèdent des chiffres       d'unités    compris     entre    0 et 9. D'après ce qui a  été dit plus haut, chaque fil de code est utilisé  quatre fois par ensemble, ce qui     représente    donc  4 y 5 = 20 fils pour les cinq ensembles men  tionnés ci-dessus.  



  De même, les     fils    d'envoi de     code,    corres  pondant aux     chiffres    des     dizaines    sont repé  rés     Ad1...Ad5    et sont sous la dépendance des  contacts de travail     AAlClElGlllaljl3    et       AKalblclell.     



  En     associant    deux à deux les relais       AAICIEIGhlalj,    d'une     part,    et les relais       AKalblcle,    d'autre part, il est possible,     comme     on va le montrer, de déterminer la     dizaine    à       laquelle    est rattaché chaque fil d'identifica  tion<I>i00 ... i99</I> qui peut être mis en liaison avec  un fil de comptage<I>cl</I> associé à un abonné en  faux appel se trouvant parmi les cent abonnés       rattachés    au même     azimut.     



  En d'autres termes, on peut dire que  chacun des relais à deux enroulements       AAICIEIGhlalj    est associé à un     chiffre    d'unité  bien déterminé et à deux     chiffres    de dizaine  distincts. Dix fils     d'identification        appartenant    à  la même dizaine sont     associés    à dix relais  d'identification d'unité différents.

       Etant    donné  que ces     relais    possèdent deux enroulements,       ils    sont par le     fait    même associés à     dix    fils    d'identification appartenant à une autre     dizaine.     La mise au collage de l'un de ces dix relais  suppose donc que le fil     d'identification    qui se  trouve mis en liaison avec le     fil   <I>cl,</I> appartient  forcément à l'une ou l'autre des deux dizai  nes associées aux 10 relais d'identification  ci-dessus mentionnés.

   Les ix enroulements  d'excitation de ces dix relais appartenant à la  même dizaine sont mis en     liaison    avec l'un  des enroulements d'excitation des quatre relais       AKalblcle.    Les dix autres enroulements d'exci  tation des mêmes relais (appartenant donc à  une autre dizaine) sont aussi mis en     liaison     avec l'un des     enroulements        d'excitation    des qua  tre relais     AKalblcle,        ce    relais étant évidem  ment différent du précédent.

   Autrement dit,  chacun des relais     AAICIEIGhlalj    est associé  à deux des relais     AKalblcle.    La mise au col  lage de l'un des 50 relais à deux     enroulements     caractérise un chiffre d'unité et deux chiffres  de dizaine.  



  Selon la dizaine considérée, l'un ou l'autre  des deux relais à un enroulement associés au  relais à deux enroulements va donc passer  au collage,     ce    qui permettra donc de déter  miner la dizaine correspondante.  



  Lorsque la connexion entre les 100 fils  d'identification<I>i00 ... i99</I> avec les cent fils<I>cl</I>  associés aux 100 abonnés de l'azimut 2 vient  de devenir effective, l'un des cent     fils   <I>i00 ... i99</I>  est donc mis en liaison avec le pôle négatif de  la source à courant continu<I>AC</I> à travers un  circuit déjà décrit. Il en résulte que deux     d!es     relais     AAICIEIGhlalj    et     AKalblcle    passent  au collage, assurant la discrimination du chif  fre des unités et du chiffre des dizaines com  posant le numéro de l'abonné en faux appel.  



  On va maintenant, en se reportant au  tableau des     fig.    6 à 9, expliquer le mode de  raccordement des fils d'identification<I>i00 ... i99</I>  aux relais d'identification     AAICIEIGhlalj    et       AKalblcle.     



  La première colonne die ce tableau donne  le numéro d'ordre des fils     d'identification     <I>i00 ... i99.</I> On remarquera à ce sujet que cha  que relais à deux     enroulements    est associé à  deux     fils    d'identification possédant des numé  ros ayant même chiffre d'unité. La troisième      colonne permet la détermination de la réfé  rence de ceux des 4 relais     AKalblcle    dont les  enroulements d'excitation se trouvent mis en  liaison avec l'un des deux enroulements d'exci  tation du relais d'identification du     chiffre    des  unités correspondant.

   Les 5 colonnes suivantes  correspondent aux cinq     fils    de code     Au1...Au5     servant à l'envoi des informations correspon  dant au chiffre des unités.     Elles    permettent  de déterminer l'identité des contacts de travail  des différents relais d'identification auxquels  sont associés chacun desdits     fils    correspon  dants. Les cinq dernières colonnes jouent,     vis-          à-vis    des fils de     dizaine,    le même rôle que les  précédentes vis-à-vis des     fils    d'unité.

   Pour  expliquer le mode d'utilisation de     ce    tableau,  on va décrire le processus d'envoi des infor  mations codées correspondant au chiffre de  dizaine et d'unité du numéro de l'abonné en  faux appel qui est, on le rappelle, O1 24. En  se reportant au tableau ci-dessus mentionné,  on trouve que le fil     d'identification        portant    le  numéro i24 (qui peut être mis en liaison avec  les fils<I>cl</I>     relatifs    à tous les abonnés dont le  numéro d'appel se termine par 24) est associé  aux relais d'identification     AAe    et     AKb.    Il  résulte, d'après ce qui a été dit précédemment,

    que la fermeture du circuit d'identification par  le contact de travail     FCc2    provoque l'excita  tion de ces deux relais     d'identification        AAe     et     AKb.    La fermeture des contacts de tra  vail     AAel    et     AAe2    a pour effet de mettre à  la terre les fils d'envoi de code     des    unités<I>A u3</I>  et     Au5.    On peut vérifier, en se reportant à un  tableau précédemment mentionné au cours de  la description,

   que le     fait    de mettre à la terre  les deux fils     Au3    et     Au5    correspond bien à  l'envoi sous forme codée d'une information  caractérisant le chiffre 4. De même, on trouve  que les fils d'envoi de code des dizaines     Ad2     et     Ad5    se trouvent mis à la terre par la ferme  ture des contacts de travail     Akbl    et     Aae3.       On va maintenant expliquer le processus  d'envoi, sous forme codée, des informations  correspondant au chiffre des centaines et au  chiffre des milliers de     l'indicatif    de     l'abonné     en faux appel.

   Comme on l'a signalé précé-         demment,    la     détermination    de ces deux chif  fres est effectuée à     partir    des     électron    de sélec  tion. En effet, sur chaque     azimut    sont câblés  les     fils    de     comptage   <I>cl</I> de 100 abonnés ;

   il  résulte de     ceci    que la     connaissance    d'un azimut  permet, de ce     fait,    de déterminer la centaine, et  le     millier    de l'indicatif de     l'abonné    en faux  appel, en supposant que les     différentes    cen  taines soient associées dans l'ordre     croissant     des numéros caractérisant les     différents    azimuts  du cadre de     multisélecteurs        utilisé    pour la réa  lisation du chercheur d'identité A.

   On a prévu  à ce sujet, pour faciliter la compréhension du  texte, un tableau représenté, sur les     fig.    10  et 11     annexées,    permettant de     déterminer    les  contacts de travail qui sont     utilisés    pour assu  rer l'envoi sous forme codée sur les fils     Acl...          Ac5,        Am1...Am5,    des     informations        relatives     aux     chiffres    des     centaines    et au     chiffre    des  milliers de l'indicatif de     l'abonné    en faux appel.

    Dans la première     colonne    de ce tableau, on a  fait figurer les numéros de différents azimuts  du cadre de     multisélecteurs.    Ces numéros carac  térisent, non seulement les différents azimuts  auxquels sont     rattachés    les     abonnés    du central  considéré, mais encore le numéro d'ordre des  centaines associées à     ces        différents        azimuts.     Les     cinq    colonnes suivantes correspondent  aux cinq fils     Ac1...Ac5    servant à l'envoi, sous  forme codée,

   des indications     concernant    le       chiffre    des     centaines.    De même, les cinq der  nières colonnes sont affectées aux cinq fils       Am1...Am5,        correspondant    à l'envoi sous forme  codée du chiffre des milliers. Le mode d'utili  sation de     ce    tableau est le même que     celui    qui  a été décrit à propos du tableau précédant  concernant le     chiffre    des unités et le chiffre  des dizaines. Dans l'exemple choisi précédem  ment, c'est-à-dire dans le cas où l'indicatif .de  l'abonné en faux appel est<B>01</B>24, on rappelle  que l'azimut auquel est rattaché cet abonné est  l'azimut 2.

   En se reportant au tableau pré  cédemment     mentionné,    on trouve que les     fils     d'envoi de code     Ac2,        Ac5,    d'une part,     Am2,          Am4,    d'autre     part,    sont .mis à la terre par la  fermeture des contacts de     travail        Asbll2,          Asblll,        Asbll3,

          Asbll4.    La mise à la terre  de ces fils caractérise l'envoi sous     forme    codée      du     chiffre    de centaine 1 et du     chiffre        die    mil  lier 0.  



  On a     signalé    précédemment qu'à l'instant  de l'excitation des     électros    de connexion     AValj,     un seul des     cent    fils de comptage<I>cl,</I>     corres-          pondant    à l'azimut choisi par la barre de sélec  tion, se trouvait mis en liaison avec le pôle  négatif de la source à courant continu<I>AC</I>  à travers la boucle précédemment décrite. Cela  résulte du fait qu'une seule ligne de renvoi en  faux appel peut être mise à un instant     donné     en     liaison    avec le chercheur d'identité A.

   Il  peut     cependant        arriver    qu'à     l'instant    où les  100 fils de comptage des abonnés associés à  un même azimut viennent d'être mis en     liaison     avec les 100 fils     d'identification        iOO   <B>...</B>     i99,    un  ou     plusieurs    abonnés de ce groupe     entrent    en       communication    avec des abonnés     appartenant,     soit au central considéré, soit à d'autres cen  traux.

   Dans ce cas, les impulsions de comptage  qui sont envoyées     sur    les fils<I>cl</I> correspon  dants risquent de provoquer l'excitation intem  pestive d'autres relais d'identification. Pour  éviter cet inconvénient, on a prévu sur chaque  enroulement d'excitation des cinquante relais       AA/CIE/G/1/a/j    un redresseur permettant  l'excitation normale de ces relais par l'inter  médiaire de la source<I>AC</I> et évitant l'excitation  de ces mêmes relais sous l'influence dies impul  sions de comptage.

   Cela résulte du fait que  l'on a prévu deux sens de circulation de cou  rant dans les     fils    de comptage<I>cl ;</I> l'un pour  permettre l'envoi des impulsions de comptage,  l'autre pour permettre l'envoi du courant  d'identification à partir de la source     A.C.     



  A chaque fil d'envoi de code,     Au1...Au5,          Ad1...Ad5,        Ac1...Ac5,        Am1...Am5,    est asso  cié un relais mémoire dont le rôle consiste à       enregistrer    les informations relatives à l'indi  catif de l'abonné en faux appel, ceci afin de  permettre la libération rapide du chercheur  d'identité A, qui, comme on le sait, est unique  pour le central considéré.

   Ces quatre     groupes     de 5 relais ont été représentés sur la     fig.    3  sous forme de 4 relais référencés     FEu,        FEd,          FEc,        FEm        représentant    en réalité les 20 relais    mémoire   associés aux vingt fils d'envoi .de  code correspondants.    Chaque relais   mémoire   se complète  un circuit de maintien par la fermeture de son  contact de travail correspondant.

   Ces contacts,  au nombre de vingt, ont été représentés sur la  figure sous forme de 4 contacts de travail,  référencés     FEu1,   <B><I>FE-dl,</I></B>     FEcl,        FEml,    repré  sentant chacun les 5 contacts de travail asso  ciés aux 5 relais   mémoire       correspondant     aux chiffres des unités, dizaines,     centaines    et       millier.    Le circuit de maintien de ces relais  est le suivant:

    terre, contact de travail     NGh6,    fil<I>Nd à</I>  travers le câble R, contacts de travail     FEul,          FEdl,        FEcl,        FEml,    relais   mémoire   cor  respondants     FEu,        FEd,        FEnz,        FEc,    batterie.    Sur la partie droite de la     fig.    3, on a repré  senté 4 losanges référencés<I>FU,</I>     FD,        FC,   <I>FM,</I>       connectés    en série et reliés à la terre.

   Ces  losanges correspondent en réalité à des cir  cuits de contrôle d'un type bien connu per  mettant de vérifier que,     dans    chaque groupe  de cinq relais   mémoire      ,    deux relais passent  effectivement au collage, lorsque le chercheur  d'identité A envoie des informations carac  térisant un chiffre déterminé. On sait que ces  losanges se comportent comme des circuits  électriques qui sont ouverts lorsque le nombre  de relais<B> </B>mémoire<B> </B> au collage dans un  groupe est différent de deux, et comme des  circuits fermés lorsque ce nombre est égal à  deux.

   En admettant que, dans le cas considéré,  les relais  mémoire  fonctionnent normalement,  il en résulte, d'après ce qui vient d'être dit, que  le fil<I>Nb</I> se trouve mis à la terre, lorsque le  chercheur d'identité A vient de transmettre  l'ensemble des informations codées caractérisant  l'indicatif de l'abonné en faux appel.    La mise à la terre du fil<I>Nb</I> a pour effet de  provoquer la mise au collage du relais     NGg     batterie, relais     NGg,    fil<I>Nb</I> à travers le câble  <I>N,</I> circuits de contrôle<I>FM,</I>     FC,        FD,   <I>FU,</I> en  position   fermeture  , terre.    Le relais     NGg    est un relais de libération.

    Il provoque en effet, par l'ouverture de son  contact de repos     NGgl,    la coupure du circuit  d'excitation du relais de test     LCt    et des relais           LCe    et     LCd.    Ces relais provoquent à leur tour  le décollage du relais     FCc    qui supprime,  par     l'ouverture    de ses vingt     contacts    de tra  vail     FCcl,    la     liaison        entre    les fils d'envoi  de     code    du chercheur d'identité A,  et les enroulements d'excitation des relais    mémoire   correspondants.

   L'ouverture du       contact    de travail     FCc2    interrompt la boucle  d'identification et entraîne le décollage des relais  d'identification correspondants. D'autre     part,     l'ouverture du contact de travail     LCe3    pro  voque la libération des     électros    de sélection,  d'une     part,    et de     connexion,    d'autre part, qui  avaient été     mis    en prise pour assurer la recher  che du fil<I>cl</I> associé à l'abonné en faux     appel.     



  La fermeture du     contact    de     travail        NGg2     associé au relais de libération     NGg    prépare le  circuit d'excitation des relais     NGa    et     NGb.     



  Actuellement, le chercheur     d'identité    A  vient donc d'être libéré et se trouve de ce fait  disponible, ce qui lui permet, le cas échéant,  d'être mis en liaison avec un autre groupe de  lignes de renvoi en faux appel.  



  Malgré la libération du chercheur d'iden  tité<I>A,</I> la ligne de l'abonné<I>AB</I> demeure en  liaison avec le     dispositif    de mesure S par l'inter  médiaire du     connecteur    N qui,     comme    on le  sait, n'a pas encore été libéré.  



  On va maintenant décrire en détail le  mode de fonctionnement du     dispositif    de  mesure S qui, comme on le sait, va procéder  à la mesure du niveau d'isolement des fils de  lignes<I>al,</I>     b1    soit entre eux, soit par rapport  à la terre.  



  On rappelle qu'après s'être portée     appelant     sur les bancs du connecteur N, la ligne de ren  voi     u2   <I>b2</I> se trouve être mise en liaison avec  le dispositif de mesure S par la fermeture des  contacts de travail     NGh2,        NGh3.     



  Lors de la fermeture du     contact    de tra  vail     NGh6,    le circuit d'excitation du relais<B>SA]</B>  s'est trouvé complété de la manière suivante  batterie, résistance SRI, relais     SAI,    con  tact de repos     SAkl,    fil<I>Nd</I> à travers les     fig.    5  et 4, contact de travail     NGh6,    terre.  



  L'ouverture du contact de repos<I>SAIT</I>       empêche    l'excitation du relais     SAn.    La mise    en position   travail   du contact       repos-tra-          vail          SAl2        complète    le     circuit        d'excitation    du       relais        SAm    qui passe à son tour au collage       batterie,        résistance        SR2,    relais     SAm,    con  tact de     travail        SAl2,

      contact de repos     SAkl,     terre à travers un circuit déjà     décrit.     



  Le relais     SAm    se complète un     circuit    de  maintien par la fermeture de son contact de  travail     SAml       batterie, résistance     SR2,    relais     SAm,    contact  de travail     SAml,        terre    à     travers    un circuit  déjà décrit.  



       L'enroulement    d'excitation du     relais        SAl     se trouve court-circuité par la fermeture du  contact de travail     SAm2.       La fermeture du     contact        die    travail     SAm3     prépare le circuit     d'excitation    du relais     SAn.       Du fait du     court-circuitage    de son enrou  lement .d'excitation, le relais     SAl        décolle    avec  un     certain    retard.

   Lorsque le     décollage    du  relais     SAl    devient     effectif,    le contact de repos  <I>SAIT</I> se ferme à nouveau et complète alors le       circuit    d'excitation du relais     SAn    qui passe  au collage  batterie,     résistance        SR3,    relais     SAn,    con  tact de travail     SAm3,        contact    de repos     SAIl,     terre à travers un circuit déjà décrit.  



  Le relais     SAn    complète le circuit d'exci  tation du relais     SAi,    par la fermeture du  contact de travail     SAnl     batterie, relais     SAi,    contacts de travail       SAnl,        SAm3,    contact de repos<I>SAIT,</I> terre à  travers un circuit déjà décrit.  



  Le relais     SAil    se complète un     circuit    de  maintien par la fermeture de son     contact    de  travail     Sail     batterie,     relais        SAi,        contact    de travail     SAil,     terre à travers un circuit déjà décrit.  



  Le circuit d'excitation du     relais        SAn   <I>se</I>  trouve court-circuité par la fermeture du con  tact de travail     SAi2     extrémité     inférieure    de l'enroulement  d'excitation du relais     SAn,        contacts    de tra-           vail        SAi2,        SAnI,    extrémité supérieure     du    relais       SAn.     



  Le circuit d'excitation du relais     SAo    se  trouve complété par la fermeture du contact  de travail     SAi3     batterie, relais     SAo,    contact de repos     SApl,     contact de travail     SAi3,    terre à travers un cir  cuit déjà décrit.  



  Après un certain délai, le relais     SAn    qui  avait eu son enroulement court-circuité par la  fermeture de     contact    de travail     SAi2    décolle  à son tour et court-circuite, par la fermeture de  son contact de repos     SAn2,    le circuit d'exci  tation du relais     SAm.     



  De même, le relais<I>SA m</I>     décolle    avec un  certain retard, du     fait    du     court-circuitage    de  son enroulement d'excitation par la ferme  ture du contact de repos     SAn2.        Lorsque    le  décollage du relais     SAyn    devient effectif, le  contact de     travail        SAm3    s'ouvre,     provoquant     ainsi le décollage du relais     SAi.       Lors de sa mise au collage,

   le     relais        SAo     a préparé le circuit d'excitation du relais<B><I>SA p</I></B>  par la fermeture de son contact de travail     SAol.     Lorsque le contact       repos-travail     <I>SAC</I> passe  à nouveau en position   repos      ,    le circuit  d'excitation du relais     SAp    se trouve complété,  tandis que le relais     SAo    continue à se maintenir  en série avec le relais     SAp     batterie, relais     SAo,    enroulement supé  rieur du relais     SAp,        contact    de travail     SAol,

       contact de repos     SAi3,    terre à travers un cir  cuit déjà     décrit.     



  Actuellement, les relais     SAI,        SAm,        SAn     et     SAi    sont tous revenus au     repos    et occu  pent une position identique à     celle    qu'ils  avaient à l'instant de prise du dispositif de  mesure S, c'est-à-dire lors de la mise au col  lage du     relais        NGh.    Ces relaie forment un       cadenceur        dont    on va expliquer le rôle     dans     la description qui va suivre.  



  Les diverses mesures que l'on doit effec  tuer sur la ligne sont faites à l'aide d'un pont  de     Wheastone,    alimenté en courant continu  entre les points<I>A1</I> et<I>A2</I> par l'intermédiaire  d'un transformateur<I>ST</I> associé à un pont de    cellules     SDI,        SD2,        SD3,        SD4    et à un condensa  teur de filtrage<B>SC].</B> Cet ensemble constitue  un dispositif bien     connu    et couramment     utilisé     dans la technique de la téléphonie automatique.  



  Les     quatres    bras du pont sont constitués  par les     résistances        SR4,        SR5,        SR6    et     SR7,    et  enfin la boucle de l'abonné connectée entre les  points<I>A2</I> et<I>Ml.</I> On remarquera que le troi  sième bras du pont est constitué par deux       résistances    en série     SR6    et     SR7    dont l'une  d'elles     (SR7)

      peut être court-circuitée par le  contact de repos     SAp2    associé au relais     SAp.     Le rôle de la résistance     SR7    consiste à chan  ger la     sensibilité    du pont de mesure ainsi cons  titué. Les points marqués<I>MI</I> et M2 constituent    la diagonale de mesure  .

   Cette diagonale  die mesure se trouve connectée par l'intermé  diaire du redresseur     SD5    et des contacts de  travail     SAn3    et<I>SAN</I> aux enroulements de  commande     SMI,        SM2    d'un amplificateur  magnétique<I>SM.</I> L'amplificateur     magnétique     SM est du type à réaction.

       Son    circuit à cou  rant     alternatif    est alimenté     par        l'enroulement     secondaire de gauche     STI    du transformateur       d'alimentation   <I>ST.</I> II assure la commande du  relais de mesure     SAz    par l'intermédiaire du  pont de cellules     redresseuses        SD6,        SD7,

          SD8     et     SD9.    Les enroulements     SM3    et     SM4    de  l'amplificateur magnétique<I>SM</I> assurent le  contrôle du circuit à courant alternatif ci-dessus  mentionné.

   Les enroulements     SM5    et     SM6     constituent les enroulements de réaction de  l'amplificateur magnétique<I>SM.</I> Ils sont  alimentés en courant continu, en série avec  l'enroulement d'excitation du     relais        SAz,    par  l'intermédiaire du pont de cellules     redresseuses          SD6,        SD7,        SD8    et     SD9    précédemment men  tionnées. La résistance variable     SR9    est utilisée  pour commander la sensibilité du dispositif de  mesure.

   On supposera que, lorsque le relais       SAp    est au repos, c'est-à-dire lorsque la     résis-          tance        SR7    se trouve court-circuitée par le  contact de repos     SAp2,    le dispositif de mesure  se comporte de manière telle que le relais dé  mesure     SAz    passe au     collage    lorsque la résis  tance à mesurer (c'est-à-dire la     résistance     connectée entre les bornes<I>A2</I> et<I>MI)</I> présente  une valeur inférieure à 1000 ohms.     Lorsque         le contact de repos     SAp2    est ouvert, la sen  sibilité du pont se trouve modifiée.

   On suppo  sera que, lorsque ce contact est en     position       ouverture      ,    le dispositif fonctionne de  manière telle que le relais de mesure     SAz     passe au     collage    lorsque la     résistance    connectée  entre les points<I>MI</I> et<I>A2</I> est inférieure à  10 000 ohms.

      Lorsque le relais de     connection        NGh    passe  au collage     (fig.    4), il connecte par la fermeture  de ses contacts de travail     NGh2    et     NGh3    la  ligne de renvoi en faux appel a2 b2, aux bor  nes de mesure<I>A2, MI</I> du pont de mesure  mentionné ci-dessus  point de mesure<I>MI,</I> contact     die    repos     SAs2,     fil<I>a3</I> à travers les     fig.    5 et 4, contact de tra  vail     NGh2,    boucle de l'abonné déjà décrite,  contact de travail     NGh3,    fil<I>a4</I> à travers les       fig.    4 et 5,

   contacts de repos     SArl,        SAsl,    point  de mesure A2.  



  On supposera, par exemple, que le faux  appel soit dû au décrochage volontaire de  l'abonné<I>AB,</I> ce qui     suppose    que la résistance  de la boucle dudit abonné, vue entre les ponts  <I>MI</I> et<I>A2,</I> soit inférieure à 1000 ohms.    Lorsqu'au cours du fonctionnement des  divers relais     SAI,        SAm,        SAn,        SAi    composant  le     cadenceur    précédemment mentionné, le  relais     SAn    passe au     collage,    il     complète    le  circuit de la diagonale de mesure par la ferme  ture de son contact de travail<I>SA n3</I>     (fig.    5)  point<I>MI,

  </I> contact de travail     SAn3,    enrou  lements de commande     SM2    et     SMI    de     l'amp1ir-          ficateur    magnétique<I>SM,</I> redresseur     SD5,    point  de mesure M2.

      Après disparition du régime transitoire,  l'amplificateur magnétique<I>SM</I> commande alors  la circulation d'un courant alternatif d'une inten  sité bien déterminée dans ses enroulements     SM3     et     SM4.    D'après ce quia été dit     précédemment,     le     relais    de mesure     SAz    passe au collage puis  que, d'une part, .la résistance     SR7    se trouve  court-circuitée et que,     d'autre    part, la résis  tance à mesurer est inférieure à 1000 ohms.

      Le relais     SAz    possède un contact       repos-          travail          SAzl,    dont le rôle consiste à     indiquer     le     résultat    de la mesure qui vient     d'être    réa  lisée.

   Quelques instants après la mise au     collage     du relais     SAn,    le relais     SAi    passe au collage  et commande, comme on le sait, le     décollage     temporisé du relais     SAn.    Par la fermeture de  son contact de travail<I>SAN,</I> le     relais        SAi    assure  la continuité du     circuit    de la diagonale de  mesure lorsque le relais     SAn        décolle    à nouveau.

    A cet instant, le contact de     repos        SAn4    se  ferme à nouveau et complète     alors        le    circuit  d'excitation du relais     SBa    qui passe au collage  batterie, relais     SBa,    contacts de repos     SAr2,          SAs3,        SAp4,        contâct    de travail     SAzl,        contact     de repos     SAn4,        contact    de     travail        SAi5,

      fil<I>Nd</I>  à travers les     fig.    5 et 4, contact de travail     NGh6,     terre.  



  Le relais     SBa    sert à     caractériser,    en asso  ciation     avec    les relais     SBd    et     SBg,    le     résultat     de la mesure de la résistance de la boucle de  la ligne en faux appel. Le mode de fonction  nement de ces relais est d'ailleurs le     suivant     l o) Lorsque la     résistance    de la boucle de  la ligne en faux appel est     inférieure    à  1000 ohms, le relais     SBa    passe au collage.

           2o)    Lorsque la résistance de la boucle de  la ligne en faux appel est     comprise    entre  1000 ohms et 10 000 ohms,     les    relais     SBa    et       SBd    passent au collage.    3o) Lorsque la résistance de la boucle est  supérieure à 10 000 ohms, le relais     SBg    passe  au collage.  



  Dans le cas traité précédemment, on avait  supposé que la résistance de la boucle de       l'abonné    était     inférieure    à 1000 ohms,     ce    qui  explique la     mise    au collage du     relais        SBa.     



  A la fin du premier cycle du     cadenceur,    le  relais     SAi    décolle et ouvre son contact de tra  vail     SAi5.    Le relais     SBa        continue    à se     main-          tenir    au collage     grâce    à son contact de tra  vail     SBal.     



  Le     cadenceur    va     maintenant        démarrer    un  nouveau cycle de     fonctionnement.    Les relais<I>SA I</I>  et     SAm    passent au collage.

   Le     relais        SAI,              court-circuité    par le     :contact    de travail<I>SA m2,</I>  décolle à nouveau et provoque la mise au  collage des relais     SAn    et     SAi.    Lorsque le  relais     SAi    passe à nouveau .au     collage,    il com  plète le circuit d'excitation du relais<I>SA j</I>  batterie, relais     SAj,        contacts    de travail       SAp5,        SAf3,    terre à travers un     circuit    déjà  décrit.

      Le relais<I>Sap</I> se maintient au     collage,    grâce  à son contact de travail     SApl.    Le relais     SAo     ayant son circuit d'excitation coupé, par suite  de     l'ouverture    de son     contact    de repos<I>SAC,</I>       décolle.    Cette seconde mise au     collage    du  relais     SAi    provoque à nouveau la fermeture  du contact de travail<I>SAC.</I>    A cet instant, le relais     SAp    est au collage,  et son contact de repos     SAp2    est en     position       ouverture  ,

   ce qui a pour effet     d'introduire     la résistance     SR7    dans le troisième bras de  mesure du pont de     Wheastone.        Etant    donné  que la     résistance    de la boucle de l'abonné a  été supposée égale à 500 ohms, le relais     SAz     demeure au collage,     ce    quia pour effet de  compléter le circuit d'excitation du relais     SBd     qui passe au collage  batterie, relais     SBd,    contacts :

  de repos     SAr3,          SAs4,    contacts de travail     SAp4,        SAzl,    contact  de repos     SAn4,        contact    de travail     SAi5,        terre     à     travers    un circuit déjà     décrit.     



  On a signalé précédemment que le  relais     SBd    caractérise le     fait    que la résistance  de la boucle soit     comprise    entre 1000 et  10 000 ohms.     Etant    donné que le relais     SBa     est déjà passé au collage, indiquant     ainsi    que  la résistance de la     ligne    était inférieure à  1000 ohms, il en résulte que l'excitation du       relais        SBd    est superflue, ce qui est sans incon  vénient.

      La mise au collage du     relais   <B><I>SA j</I></B> a pour  effet de compléter le circuit d'excitation du  relais     SAq,   <I>par</I> suite de la fermeture du con  tact de travail<B>SA il</B> batterie, relais<I>SA q,</I> contacts .de repos<I>SA r5,</I>       SAs6,    contact de     travail   <I>SA</I>     j1   <I>,</I> terre à travers  un circuit déjà décrit.    Lorsque, à la fin du second cycle de fonc  tionnement du     cadenceur,    le relais     SAi    décolle,  il coupe, par suite de l'ouverture de son con  tact de     travail   <I>SAC,</I> le circuit d'excitation des  relais<B><I>SA p</I></B> et<B><I>SA j</I></B> qui décollent à leur tour.

    



  Le relais     SAq    prépare, par la fermeture de  son contact de travail     SAql,    le circuit d'exci  tation du relais     SAr.    Lorsque le relais<B><I>SA j</I></B>  décolle, le circuit d'excitation du relais     SAr     se trouve complété, par suite de la fermeture  du contact de repos<I>SA</I>     j1     batterie, relais     SAq,    enroulement supérieur  du relais     SAr,    contact de travail     SAql,    con  tact de repos<I>SA</I>     j1   <I>,</I> terre à travers un circuit  déjà décrit.

      Le relais     SAq    se maintient donc au collage  en série avec le relais     SAr.       Actuellement, le premier cycle de mesure,       c'est-à-dire    le cycle de mesure relatif à la  résistance de la boucle de l'abonné, vient de  se terminer. Les résultats de cette mesure sont  enregistrés par les 3 relais     SBa,        SBd    et     SBg,     dont on a expliqué le rôle précédemment.

   On  rappelle que, du fait que la résistance de la  boucle de l'abonné a été supposée inférieure à  500 ohms, seuls les relais     SBa    et     SBd    sont au  collage et s'y maintiennent par leur contact  de maintien respectif     SBal    et     SBdl.     



  La mise au collage du relais     SAr    carac  térise le début d'un second cycle de mesures  qui vont être effectuées sur la ligne en faux  appel<I>al</I>     b1.    Ces mesures ont pour but de  vérifier la résistance existant entre le fil<I>al</I> et  la terre. Le relais     SAr    met, en effet, le point  de mesure A2 à la terre, par suite de la mise  en position   travail   de son contact       repos-          travail          SArl       point de mesure<I>A2,</I> contact de repos     SAsl,     contact de travail     SArl,    terre.

      Le point de mesure<I>MI</I> se trouve être tou-     i     jours mis en liaison avec le fil<I>al</I> par l'inter  médiaire du contact de repos     SAs2.         Le     cadenceur    va démarrer un nouveau cycle  de fonctionnement qui se termine, comme on  le sait, par la mise au collage du relais<B><I>SA!</I></B> et  par la mise au repos du relais     SAn.    A cet ins  tant, le relais     SAp    est au repos, puisqu'il avait  décollé lors de la dernière mise au repos du  relais     SAi.    La résistance     SR7    se trouve donc  court-circuitée par le contact de repos     SAp2.     



  Lorsque le relais     SAr    est passé au collage,  ses contacts     repos-travail        SAr2,        SAr3    et     SAr4     ont aiguillé le contact   repos-travail       SAzl,     associé au relais de mesure     SAz,    vers les enrou  lements d'excitation des relais     SBb,        SBe    et     SBh,     chargés d'assurer l'enregistrement du résultat  des mesures du niveau d'isolement du fil<I>al</I> par  rapport à la terre.  



  On supposera, à titre d'exemple, que la       résistance    entre le fil<I>al</I> et la terre soit supé  rieure à 10 000 ohms. Il en résulte, d'après ce  qui a été dit précédemment, que, dans ce cas, le  relais<I>SAz</I> va demeurer au repos quelle que  soit la sensibilité utilisée sur le pont de     Whea-          stone.     



  Lorsque le relais     SAi    repasse au collage et  ferme entre autre son contact de travail<I>SAC,</I>  la fermeture de ce contact de travail va demeu  rer cette fois sans effet, car les relais     SAz    et  <B><I>SA p</I></B> sont au repos.  



  Lorsque le relais     SAi    décolle à nouveau, le  relais     SAp    passe au collage et se complète un  circuit de maintien par la fermeture de son  contact de travail     SApl,        décourt-circuite    la  résistance     SR7    par l'ouverture de son contact  de repos     SAp2    et prépare le circuit d'excita  tion des relais     SBe    et     SBh    par la fermeture de  ses contacts de travail     SAp3    et     SAp4.     



  A la fin du cycle suivant du     cadenceur,    le  relais     SAi    passe à nouveau au collage et com  plète, par la fermeture de son contact de tra  vail<I>SAC,</I> le circuit d'excitation du relais     SAj,     tandis que les relais<I>SA o</I> et<I>SA q</I> décollent.

   Lors  que le contact de travail     SAi5    se ferme, le  relais     SBh    passe au collage à travers le circuit  suivant  batterie, relais     SBh,    contact de travail     SAr4,     contact de     repos        SAs5,    contact de travail     SAp3,       contact de repos     SAzl,        contact    de repos     SAn4,     contact de travail<B><I>SAC,</I></B> terre à travers un cir  cuit déjà décrit.  



  *Le relais     SBh    se complète un     circuit    de       maintien    par la fermeture de son     contact    de  travail     SBhl.    Il caractérise le fait que la résis  tance d'isolement du fil<I>al</I> par rapport à la  terre est supérieure à 10 000 ohms.  



  On rappelle, à ce sujet, que     les        relais        SBb,          SBe    et     SBh    jouent le même râle que les  relais     SBa,        SBd    et     SBg.        Ils        caractérisent    par  leur mise au collage     le    fait que la résistance  d'isolement du     fil   <I>al</I> par rapport à la terre est,  soit     inférieure    à 1000 ohms, soit comprise entre  1000 ohms et 10 000 ohms, ou soit supérieure  à 10 000 ohms.  



  A la fin du second cycle de mesure, le  relais     SAi    du     cadenceur    décolle à nouveau, ce  quia pour effet de provoquer la mise au repos  des relais     SAp    et     SAj.       Par suite de la mise en position de repos  du contact       repos-travail     <I>SA</I>     j1   <I>,</I> le circuit       d'excitation    du relais     SAs    se trouve com  plété  batterie, enroulement     inférieur    des relais       SAr    et     SAs,    contact de     travail        SAr6,

      contact de  repos     SAql,        SAjl,    terre à travers un circuit  déjà décrit.  



  La mise au collage du relais     SAs    caracté  rise le début d'un troisième cycle de mesure.  Ce troisième cycle a pour but de vérifier le  niveau d'isolement du fil     b1        par    rapport à la  terre. Il est donc analogue dans son principe au  cycle de mesure précédent qui     concernait    la  mesure du niveau d'isolement du fil<I>al</I> par       rapport    à la terre.  



  On rappelle, pour préciser,     qu'actuelle-          ment    tous les relais du     cadenceur    sont en posi  tion   repos  , y compris les relais     SAo,        SAp,          SAj    et     SAq.    Le relais     SAs    maintient la mise  à terre du point de mesure A2     par    la mise en  position   travail   de son contact       repos-tra-          vail          SAsl.    Par la mise en position   travail    du contact     repos-travail        SAs2,

      le point de  mesure<I>MI</I> se trouve cette fois mis en liaison  avec le fil     b1    de la ligne en faux appel. La     mise     en position   travail   des contacts repos-tira-           vail        SAs3,        SAs4,        SAs5    prépare le circuit d'exci  tation des relais     d'enregistrement    de mesure     SBc,          SBf    et     SBi.    Ces relais jouent d'ailleurs le même  rôle que les relais     SBb,        SBe    et     SBh    précédem  ment mentionnés,

   mais concernent cette fois le  résultat des mesures du niveau d'isolement du  fil     b1    par rapport à la terre.    Le relais<I>SA s</I> se prépare un circuit de main  tien par la fermeture de son     contact    de tra  vail     SAs6.    Le circuit d'excitation du relais de  libération     SAk    se trouve préparé par la ferme  ture du contact de travail     SAs7.     



  Le     cadenceur    va commander     maintenant    le  démarrage du troisième et dernier cycle de  mesure. On rappelle que cette     mesure    s'effec  tue en deux temps, selon que la résistance       SR7    est hors     service    ou en service. A la fin  du premier cycle du     cadenceur,    .le relais     SAi     passe à nouveau au collage. On supposera, pour  fixer les idées, que le niveau d'isolement du  fil b2 par rapport à la terre est de 5000 ohms.

    Il résulte de     cette    hypothèse     qu'actuellement     le relais     SAz    se trouve en position de repos  puisque la résistance     SR7    se trouve court-cir  cuitée du fait de la fermeture du contact de  repos<I>SA p2.</I>    Lorsque le contact de travail<I>SAC</I> se     ferme,          auoun    des trois relais d'enregistrement     SBc,          SBf    et     SBi    ne peut donc passer au collage.

      On rappelle en outre que la mise au collage  du     relais        SAi    entraîne celle du relais     SAo,    par  suite de la     fermeture    du contact de     travail   <I>SAC.</I>  Lorsque le relais     SAi    décolle, le relais     SAp     passe au collage.  



  A la fin du deuxième cycle du     cadenceur,     le relais     SAi    est à nouveau au collage,     ce    qui  a pour effet de compléter le circuit d'excitation  du relais     SAj.    Par la mise en position       tra-          vaiil      du contact de travail<I>SA</I>     j1   <I>,</I> le     relais   <B><I>SA j</I></B>  complète le circuit d'excitation du     relais        SAk     et ouvre le circuit d'excitation du     relais        SAr     qui décolle  batterie, enroulement de gauche du relais       SAk,

      contacts de travail     SAs7,        SAjl,    terre à  travers un circuit déjà     décrit.       A l'instant de mise au collage du relais     SAi,     le relais     SAp    est au collage, ce qui     entraîne,     d'une part, la mise en service de la résis  tance     SR7    par suite de l'ouverture du contact  de repos     SAp2    et, d'autre part,

   l'excitation du  relais     SBf    par suite de la fermeture du contact  de travail     SAp4.    On rappelle à ce sujet que le  fait d'avoir supposé la résistance d'isolement  du fil     b1    par rapport à la terre égale  à 5000 ohms se traduit par la mise au collage  du     relais    de mesure<B>SA-</B> lorsque la résistance       SR7    se trouve mise en service.

   Le circuit d'exci  tation du relais de mesure     SB   <I>f</I> est donc le  suivant  batterie, relais     SBf,    contacts de travail     SAs4,          SAp4,        SAzl,    contact de repos     SAn4,    contact  de travail     SAi5,    terre à travers un circuit déjà  décrit.  



  Le relais     SB   <I>f</I> se complète un circuit de  maintien par la fermeture de son     contact    de  travail     SBf1.    Il caractérise donc par sa mise  au collage le fait -que la résistance d'isolement  du fil     b]    par rapport à la terre se trouve être  comprise entre 1000 ohms et 10 000 ohms.  



  Le relais     SAk    caractérise le fait que, dans  le dispositif de mesure, la mesure du niveau  d'isolement du fil     b1    par rapport à la terre  vient de se terminer. Ce relais va donc com  mander la libération du dispositif de mesure S.  Il se complète un circuit de maintien par la  fermeture de son contact de travail     SAk2     batterie, enroulement de     droite    du relais       SAk;    contact de travail     SAk2,    fil<I>Nd</I> à tra  vers les     fig.    5 et 4, contact de travail     NGh6,          terre.     



  Par la mise en position   travail   de son  contact   repos-travail       SAkl,    le relais de  libération     SAk    complète le circuit d'excitation  du relais     NGa    et coupe l'alimentation géné  rale de l'ensemble des relais du     cadenceur    qui  décollent  batterie, relais     NGa,    contact de travail       NGg2,    fil<I>Ne</I> à travers les fi-. 4 et 5, contact  de travail     SAkl,    terre à travers un circuit déjà  décrit.

        Du fait de l'ouverture du contact de repos  <B><I>SA</I></B>     k1,    le fonctionnement du     cadenceur    se trouve  donc interrompu et les relais     SAs,        SAj,        SAp     et     SAi    décollent définitivement.  



  Avant de poursuivre cette  description, on  va préciser le rôle du redresseur     SD5    faisant  partie de la diagonale de mesure du pont de       Wheastone    précédemment mentionné. Il est  connu dans la     technique    des amplificateurs  magnétiques que la réponse du système consti  tué par l'amplificateur magnétique<I>SM</I> et le  relais de mesure     SAz    est indépendante du sens  de circulation du     courant    continu de com  mande dans les enroulements     SMI    et     SM2.    Le  sens du courant continu de     commande    traduit  le sens du déséquilibre du pont de mesure.

   La  connaissance du sens de ce déséquilibre per  met, comme on le sait, de déterminer si la  résistance à mesurer est inférieure ou supé  rieure à la résistance d'étalonnage du pont de  mesure.  



  Pour rendre l'amplificateur magnétique  sensible au sens du     déséquilibre    du pont de  mesure, on prévoit donc un redresseur     SD5     qui ne permet le passage du courant     de    dés  équilibre dans la diagonale de mesure que dans  un seul sens. Pour préciser ces explications, on  va donner un exemple numérique. On suppo  sera, par exemple, que le pont de ,mesure soit  étalonné sur la valeur 1000 ohms. En le met  tant en liaison successivement avec deux résis  tances à mesurer . de valeurs 500 ohms et  2000 ohms, on déterminera l'apparition aux  bornes de la diagonale de mesure de deux ten  sions continues de déséquilibre de signes  contraires.

   Grâce à la présence du redres  seur     SD5,    il en résultera, d'après<I>ce</I> qui a été  dit précédemment, que le relais     SAz    viendra  au collage seulement dans le premier cas     alors     que, sans la présence dudit redresseur, la mise  au collage dudit relais aurait été effective dans  les deux cas (résistances de 500 ohms et  2000 ohms). Cette disposition permet donc  d'assurer la discrimination des valeurs de résis  tances inférieures ou supérieures à la valeur  d'étalonnage du pont de mesure.

           Actuellement,        l'identité    de la     ligne    en faux  appel est connue, et les mesures     d'isolement     la     concernant        viennent    de se terminer.

   L'ensem  ble de ces informations est     enregistré    tempo  rairement sous forme codée par les relais    mémoire       FEu,        FEd,        FEc,        FEm,        SBa...SBi.     Ces informations peuvent     être    utilisées pour  assurer, par exemple, la commande     d'une    per  foratrice, représentée sur les     fig.    3 et 5 sous  forme de deux rectangles     référencés    ER, par  les contacts     FEu2,        FEd2,        FEc2,        FEm2,

            SBa2...SBi2.    En réalité, chacun d'eux repré  sente 5 contacts de     travail    puisque le code       utilisé    comporte cinq éléments.  



  La mise en liaison du dispositif de mesure  et     d'identification    avec la     perforatrice    s'effec  tue de la manière     suivante.     



  Le     relais        NGa    coupe le circuit d'excitation  de relais     NGh,        NGt    et     FFd    par l'ouverture de  son contact de repos     NGa2.    Le     relais        NGh          sépare    alors la ligne de renvoi en faux appel  <I>a2, b2</I> du dispositif de mesure<I>S,</I>     par    suite de  l'ouverture de ses contacts de travail     NGh2    et       NGh3.     



  Un contact non représenté du relais     NGa,     porte appelant l'ensemble du dispositif de  mesure et d'identification sur les bancs du con  necteur de     perforatrice        (rectangles    référen  cés E R). Lorsque la     perforatrice    a enregistré  les informations, un     contact    référencé     NGr    sur  la     fig.    4 s'ouvre et coupe le circuit d'excita  tion du     relais        NGa    qui décolle et coupe la  terre sur le fil<I>Nd.</I>  



  La suppression de la terre sur le fil<I>Nd</I>  coupe le circuit de maintien de l'ensemble des  relais enregistreurs qui décollent. Le dispo  sitif de mesure S se libère.  



  Le décollage du relais     FFd    entraîne     celui    du       relais        FFb    par suite de la mise en court-circuit  de son enroulement d'excitation par le contact  de repos     FFd3.   <I>A</I> son tour, le     décollage    du  relais     FFb        entraine        celui    des     relais        FFc,        FFe     et     FFf,    par suite de l'ouverture du contact de  travail     FFb4,,

         La ligne     de    renvoi en faux appel est libé  rée par suite de la suppression de la terre sur      le fil de test t2 (ouverture du contact de tra  vail     FFb2).    Suivant un     processus    connu, la ligne  de l'abonné en faux appel se trouve renvoyée en  faute.  



  Il est bien évident que les descriptions qui  précèdent n'ont été données qu'à titre d'exem  ples non limitatifs et que de nombreuses  variantes sont susceptibles d'être réalisées sans  sortir du cadre de l'invention.  



  C'est ainsi, par exemple, que l'amplifica  teur magnétique placé dans la diagonale de  mesure du pont de     Wheastone    peut     être    rem  placé par un amplificateur à tubes     électroniques     ou à transistors, assurant lui-même la com  mande d'un relais ou de tout autre dispositif  approprié.  



  L'enregistrement temporaire des diverses  informations concernant l'identité de la ligne  en faux appel et le     résultat    des .mesures effec  tuées sur celles-ci peuvent être ,assurés soit sur  des tubes électroniques, soit sur des mémoires  magnétiques, soit sur tout autre dispositif appro  prié.  



  On peut remplacer la perforatrice servant  à assurer l'enregistrement permanent des indi  cations d'identité et de niveau d'isolement de  la ligne en faux appel, par des mémoires magné  tiques.  



  Les chaînes de relais décrites peuvent être  remplacées par d'autres chaînes de relais de  réalisation différente et remplissant les mêmes       fonctions,    ou encore par des commutateurs       mécaniques    ou électroniques.  



  Les codas utilisés pour assurer la transmis  sion rapide des     informations    entre les divers  équipements peuvent être     différents    de     ceux          utilisés    au cours de la présente description.  



  Le système d'identification précédemment  décrit est utilisé, en association avec un dispo  sitif de mesure, pour assurer la     surveillance    des  lignes d'abonnés en faux appel dans un central  téléphonique     automatique.    Bien     entendu,    ce  système d'identification     peut    remplir d'autres  fonctions et être notamment     utilisé    pour assu  rer, soit l'identification des abonnés     dans    le  cas de communications interurbaines, soit la  surveillance de     lignes    d'abonnés qui sont le  siège d'appels     malveillants,    etc...

Claims (1)

  1. REVENDICATION Installation téléphonique automatique avec dispositif d'identification, caractérisée par un identificateur comportant un fil d'identification particulier à chaque ligne d'abonné, ainsi qu'au moins un sélecteur individuel de multisélecteur à barres croisées donnant accès, sur chaque azimut, aux fils d'identification d'un même groupe de lignes, ledit sélecteur étant orienté sur l'azimut correspondant au. groupe de ratta chement de la ligne à identifier, la position occupée par ledit sélecteur caractérisant ainsi ledit groupe, le rang de ladite ligne à l'intérieur de son groupe étant déterminé par le fil du sélecteur connecté au fil d'identification de la ligne.
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Installation téléphonique automatique selon la revendication, caractérisée par un géné rateur pour identifier le groupe de rattache ment d'une ligne d'abonné et des moyens pour associer à chaque groupe de lignes un détecteur, ledit générateur portant à un potentiel carac téristique, à travers la chaîne de sélection, le fil d'identification de ladite ligne, la présence de ce potentiel permettant au détecteur du groupe auquel est associée ladite ligne, de fonctionner et de commander l'orientation des sélecteurs individuels de multisélecteurs sur toutes les lignes du groupe,
    la position occu pée par lesdits sélecteurs permettant d'iden tifier sans aucune ambiguïté le groupe de rat tachement de ladite ligne d'abonné. 2. Installation téléphonique automatique selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que, lorsque les sélecteurs individuels de multisélecteurs ont été orientés sur les lignes du groupe à identifier, le générateur émet un courant qui circule à travers la ligne de sélec tion, arrive sur le fil d'identification de la ligne appelante et se ferme à travers un fil déterminé de l'un de ces sélecteurs individuels sur un ou plusieurs détecteurs caractérisant le rang de ladite ligne à l'intérieur de son groupe. 3.
    Installation téléphonique automatique selon la sous-revendication 2, caractérisée par une mémoire auxiliaire enregistrant temporaire ment les informations concernant l'identité de la ligne d'abonné, associée à l'identificateur, ladite mémoire s'associant ensuite à un enre gistreur lui retransmettant les informations reçues, l'identificateur étant libéré et pou vant être utilisé pour d'autres lignes d'abon nés. 4.
    Installation téléphonique automatique selon la sous-revendication 3, caractérisée par des moyens associant à une ligne die renvoi en faux appel un dispositif temporisé, mis en service dès la connexion de ladite ligne de ren voi avec la ligne d'abonné en faux appel, et par ries moyens envoyant audit abonné la tona lité d'occupation, cette disposition ayant pour but d'inviter l'abonné à raccrocher, le cas échéant, et d'éviter ainsi la mise en service de l'identificateur, dans le cas où ledit abonné raccroche. 5.
    Installation téléphonique automatique selon la sous-revendication 4, caractérisée par des dispositions mettant en liaison la ligne de renvoi avec l'identificateur, lorsqu'à l'expira tion d'un certain délai suivant l'envoi de la tonalité d'occupation, la tige d'abonné demeure en faux appel. 6.
    Installation téléphonique automatique selon la sous-revendication 5, caractérisée par un ,dispositif pouvant être associé à une ligne de renvoi en faux appel pour effectuer sur la ligne d'abonné un certain nombre de mesures et en transmettre les résultats à une mémoire auxiliaire, ladite mémoire se mettant ensuite en liaison avec un enregistreur et lui trans férant les informations reçues, ledit dispositif de mesure et ladite ligne de renvoi se libérant ensuite,
    et la ligne d'abonné en faux appel se trouvant renvoyée en faute. 7. Installation téléphonique automatique, selon la sous-revendication 6, caractérisée par un distributeur pouvant être associé au dispo sitif de mesure et permettant de commander successivement plusieurs cycles de mesures et de changer, à l'intérieur de chacun d'eux, la sensibilité dudit dispositif, afin de localiser la gamme de résistance à l'intérieur de laquelle se situe sans ambiguïté la résistance à mesurer.
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