Mécanisme sélecteur de caractères. La présente invention concerne un mé canisme sélecteur de caractères, associé à une machine à écrire du type à clavier manuel.
Dans une machine à écrire, un même espace est réservé à chaque lettre ou carac tère dans la ligne; par exemple i est la lettre la plus étroite, w la lettre la plies large, mais sur la machine, chacune de ces lettres est espacée exactement de la même distance. Dans les machines à imprimer, par contre, il existe bien la même différence de largeur entre les lettres ou caractères, mais dans ce cas, l'espace affecté à une lettre dans la ligne varie conformément à la largeur de la lettre, de sorte que la distance libre entre les lettres imprimées reste constante, bien que la lar- geur des lettres varie. Dans les machines à écrire, étant donné que la largeur des lettres varie, la distance libre entre lettres varie en fonction de la largeur de la lettre.
En outre, dans l'impression, la ligne est habituellement justifiée, c'est-à-dire que les lignes imprimées se terminent par une marge rectiligne tant d u côté droit que du côté gauche de la feuille.
Le mécanisme sélecteur faisant l'objet de la présente invention a précisément pour but de justifier les lignes imprimées au moyen d une machine à écrire à clavier manuel et d'affecter, en outre, à chacune des lettres ou caraetères d'une ligne un espace dont la lar- (;elir varie en fonction de celle de ladite lettre ou caractère, afin de permettre d'obtenir, au moyen d'une machine à écrire à laquelle est. associé le mécanisme selon l'invention, une page convenablement composée, analogue à celle obtenue au moyen d'une machine à im primer.
L'invention a en conséquence pour objet. un mécanisme sélecteur de caractères associé à une machine à. écrire à clavier manuel, ca ractérisé en ce qu'il comprend, en combinai son, des barres à. caractères portant plusieurs caractères sur une face, chaque barre étant plus large à. une extrémité qu'à l'autre et les barres étant alternées de façon que, lors qu'elles sont dans leur position de départ, l'ex trémité large d'une barre se trouve à côté de l'extrémité étroite de la barre adjacente, un dispositif provoquant le mouvement longitu dinal simultané de toutes les barres, des bu tées disposées en série correspondant chacune .
à. une barre distincte et chaque butée étant susceptible d'être placée sur la trajectoire de la. barre correspondante, un dispositif mobile en synchronisme avec le chariot de la. machine à écrire, des dispositifs d'accouplement. dis continu entre chaque touche du clavier de la machine à. écrire et les butées, de sorte que lorsqu'une touche est. abaissée, une butée est placée sur la. trajectoire de la. barre qui cor respond à la position de la lettre dans la ligne frappée par la touche, de façon à déterminer l'amplitude du mouvement de chaque barre en dépendance du caractère choisi, cette ampli tude variant pour un même caractère selon qu'il s'agit d'une barre dont l'extrémité large est en avant ou d'une barre dont l'extrémité étroite est en avant.
Le dessin ci-annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'inven tion.
La fig. 1 est une vue schématique qui re présente, partie en coupe et partie en éléva tion, certaines pièces étant supprimées, l'ac couplement entre la machine à écrire et le mécanisme sélecteur objet de l'invention.
La fig. 2 est une coupe suivant la ligne 2-2 de la fig. 1 et représente une partie dit support des butées d'arrêt, du chariot des poussoirs de sélection et la barre rotative den tée actionnée par la machine à écrire.
La fis. 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la fis. 2 des barres rotatives action nées par la machine à écrire, du chariot des poussoirs et du support des butées, la barre à caractères étant représentée en élévation latérale.
La. fig. 1 est une coupe suivant la ligne 4-4 de la fis. 2, montrant en plan le chariot des poussoirs et des éléments qui l'accom pagnent.
La fis. 5 est une vue en plan du chariot du sélecteur, dont certains éléments sont arra chés et d'autres sont représentés en coupe.
La. fig. 6 est une coupe suivant une ligne analogue à la coupe de la fis. 2, et repré sente un poussoir dans le chariot des pous soirs et le dispositif d'échappement du pous soir par rapport au support des butées.
La. fis. 7 est une vue semblable à la fig. 6, sur laquelle les pièces occupent une position différente de faon à faire apparaître le dis positif d'échappement du poussoir par rap port à la barre rotative dentée.
La fig. 8 est une coupe parallèle à celle de la fig. 3 et représente les positions relatives de la barre rotative dentée et des doigts auxi liaires actionnant les poussoirs.
La fig. 9 est une coupe semblable à la fig. 8, sur laquelle les pièces occupent une position différente.
La fig. 10 est une vue en plan de deux barres à caractères, indiquant leurs positions relatives.
Les mêmes éléments sont désignés par les mêmes références sur toutes les figures. D'une manière générale, sur la fig. 1, A. désigne la machine à écrire, L le support des barren rotatives dentées actionnées par les touches de la machine à écrire, C le chariot des polissoirs qui redoit lin mouvement trans versal en svnchronisme avec le mouvement du chariot de la machine à écrire, et contient des poussoirs qui sont disposés pour être dépla- eés dans le sens longitudinal par des barre rotatives dentée;
D est le support des butée avec lesquelles viennent en contact les pous soirs et qui sont poussées dans le trajet des barres à caractères, et E le groupe des barres à caractères qui sont arrêtées chacune par une butée du support des butées, l'ensemble des éléments B, C, D et E constituant le mé canisme sélecteur objet de l'invention; F dé signe le bâti de support de l'ensemble de ce mécanisme.
Etant donné que l'invention concerne principalement la sélection de la butée des tinée à venir se placer sur la trajectoire (le la barre à caractères qui correspond à la posi tion de la lettre dans la ligne frappée par la touche du clavier, les dispositifs de commande de la machine à écrire, du dispositif de frappe, etc., ne sont pas représentés.
Le numéro 1 désigne une touche du clavier de la machine à écrire. Lorsqu'on la frappe, elle actionne le mécanisme ordinaire de la ma chine à écrire de façon à frapper un caractère sur une feuille de papier posée sur le cylin dre du chariot de la machine et aussi à dé clencher le chariot pour le faire avancer d'un espacement, à la manière habituelle. Une barre de poussée 2 combinée avec chaque tou che est mobile dans un peigne ou guide à fentes 3, et s'articule sur un levier coudé 1 qui est pivoté sui.' un 17titi-llipport J.
Un res sort 6 a tendance à retenir la barre de pous sée ? dans sa position. Une barre de traction 7 s'attache à une extrémité à l'extrémité libre dit levier coudé -1 et à l'autre à une extrémité d'un levier coudé 8 pivoté sur un support 9 et qui ponte, à soit autre extrémité,
un organe de tension 10 fixé sur un levier de commande 11 d une barre rotative dentée 1.?. Il existe un grand nombre clé barres rota tives dentées 12 qui sont montées (le façon pivotante sur des éléments 13 et 11 du bâti. Des ressorts 15 ont tendance à les rappeler élastiquement dans la position des fig. 2, 3 et 8, lorsqu'elles ont été écartées (le cette po sition par les touches de la machine à écrire et amenées par exemple à celle qui est repré sentée sur le côté gauche de la fig. 9. Chacune de ces barres rotatives dentées est combinée avec une touche clé la machine à écrire et actionnée par elle.
Elles sont disposées pa rallèlement en une même rangée, comme l'in- diduent les fig. 1. et. 3.
Les barres rotatives dentées 12 sont pour vues aux extrémités de bras 16 et 17 dirigés en arrière, une série de barres portant des bras 16 et l'autre, de deux en deux, des bras 17 situés plus bas, de façon à empêcher les bras de se rencontrer. Les axes de toutes les barres sont dans le même plan et, lorsqu'une barre quelconque tourne sous l'effet de la tension appliquée par l'intermédiaire (le l'or gane 10 par la touche de la maehine à écrire, elle vient clans la position indiquée sur la fig. 9.
Le bord inférieur de chaque barre rotative dentée présente une série de dents 18, et l'in tervalle 19 qui les sépare est en principe le double de la largeur de la dent elle-même, la seule fonction clé ces dents consistant, lors- clue la barre tourne vers le bas, à pousser dans le sens longitudinal un poussoir sélec tionné. La position du support sur lequel les barres rotatives dentées sont montées est fixe. Les barres tournent dans ce support et ne subissent normalement aucun autre mouve ment, sauf celui qui est décrit ci-après. Il peut arriver qu'une barre en fonctionnement reçoive un léger mouvement longitudinal; les axes 20 et 21 autour desquels elle tourne sont.
assez longs pour permettre ce mouvement. Un ressort 22 entoure l'axe 21 de même que le ressort 15 entoure l'axe 20. Si la barre doit recevoir un mouvement longitudinal, le res sort 22 la ramène élastiquement dans sa posi tion normale, dès que l'effort provoquant ce mouvement cesse de s'exercer, mouvement qui peut s'effectuer sans exercer aucune influence sur la, fonction du ressort 15 qui consiste à soulever la barre en l'éloignant des poussoirs pour la ramener à sa position initiale.
Le chariot des poussoirs, désigné d'une manière générale par C (fig. 1), est monté de façon à pouvoir se déplacer dans un plan parallèle au support B des barres rotatives dentées. Les dispositifs pour déplacer et guider le chariot des, poussoirs ne sont pas représentés pour simplifier et éviter les con fusions. Il suffit de dire que le chariot des poussoirs est, maintenu positivement et exacte ment dans une position parallèle à sa, position initiale.
Il est maintenu à, une distance cons tante pendant. tout son trajet au-dessous du support. des barres rotatives dentées et il est accouplé au chariot de la machine à écrire de faon à avancer pas à pas en synchronisme avec lui, de sorte que chaque fois qu'une tou che de la machine à écrire est frappée et que son chariot. avance d'un pas, le chariot des poussoirs avance également d'un pas.
Le dispositif d'accouplement des deux chariots et. le dispositif qui a pour but de les maintenir dans des positions relatives fixes pour faire correctement avancer le chariot des poussoirs pas à pas ne font pas partie de l'in- vent.ion et, par suite, ne sont pas représentés.
Le chariot des poussoirs comprend, à cha que extrémité, une pièce en U, 23 (fig. 3, 4, 5<B>)</B>. Une seule de ces pièces est. représentée. Elle présente, à eliaque extrémité, une semelle 24 rabattue en dedans, sur laquelle est montée une barre latérale extérieure 25. Une plaque inférieure 26 à fentes et une plaque supé rieure 27 à fentes sont. disposées parallèlement aux barres latérales 25.
Une pièce en<B>U,</B> de courte longueur, 28, est. disposée en dedans de la pièce en<B>U,</B> 23, au voisinage immédiat des plaques supérieure et inférieure 26 et 27, et les ailes de la pièce en U, 28, portent. cha- eune une plaque latérale intérieure 29 et 30. Le chariot des poussoirs constitue ainsi un cadre rectan,,ulaire rigide situé dans un plan parallèle à. celui des barres rotatives dentées B et à une certaine distance au-dessous de ces barres. Des poussoirs 31 sont guidés dans les fen tes des plaques 27 et 26, les fentes des pla ques 2 7 étant parallèles à l'axe longitudinal de cette plaque et celles des plaques 26 étant.
perpendiculaires à l'axe longitudinal de cette plaque. Chaque poussoir 31 est formé par une pièce plate, relativement mince, qui a été tor due ainsi qu'on peut le voir, de sorte que la partie inférieure du poussoir peut passer dans la fente de la plaque 26 et sa partie supé rieure dans la fente de la plaque 27. La partie supérieure de chaque poussoir 31 est celle qui vient en contact avec les dents 18 et sa partie inférieure, lorsqu'elle a été poussée de haut en bas par une dent 18, vient en contact avec une autre butée, ainsi qu'on le verra ci-après.
Chaque poussoir présente, entre ses extré mités, une partie plus large 32 percée d'une fenêtre (fig. 2). Un ressort 33 qui s'attache à une extrémité sur la plaque 27 et à l'autre sur une oreille du poussoir tend à maintenir ce dernier dans sa position supérieure et ver ticale (fig. 2), son mouvement ascendant étant limité ainsi qu'on le verra plus loin.
Le nombre de poussoirs qui sont disposés sur une seule ligne parallèle à l'axe du cha riot des poussoirs est égal au nombre de ca ractères de chaque barre et chaque poussoir, lorsqu'il est abaissé, amène une butée sur la trajectoire d'une barre à caractères 38. Cha cune de ces barres porte des lettres ou carac tères destinés à être utilisés dans la. page im primée finale et qui, ainsi que représenté sur la fig. 10, sont disposés le long de la barre, les caractères les plus étroits étant situés à tune extrémité de la barre et les caractères les plus larges à l'antre extrémité, les caractères étant espacés le long de la barre effilée selon leurs diverses largeurs.
Sur la fig. 2, la barre rotative dentée est représentée dans la position dans laquelle le cbariot des poussoirs est à sa fin de course à gauche et les pièces sont disposées de façon que, si la barre rotative dentée tourne, elle abaisse le poussoir 31 qui présente une butée sur la trajectoire de la barre à caractères, comme l'indique la fig. 3 en pointillé. La fig. 3 est une coupe à angle droit par rapport à celle de la fig. 2 et montre comment les bu tées sont coudées et élargies à leurs extrémités supérieures pour présenter une surface relati vement large à la barre rotative dentée, tandis qu'elles présentent une surface relativement étroite perpendiculaire venant en contact avec la large surface de la butée.
On laissera provisoirement de côté la des eription des détails du chariot des poussoirs pour considérer le support de butées désigné par D. Ce support comprend des grilles supé rieure et inférieure 34 supportées par un châs sis 35 et portant plusieurs tiges de butées 36. Des barres 37 de remise en position initiale des tiges de butées limitent leur mouvement de haut. en bas, comme l'indique le tracé en pointillé à. gauche de la fig. 3, et peuvent être remontées pour ramener les tiges de butée dans la. position en traits pleins de cette même figure. Les détails du support de butées D, des dispositifs de remise en position initiale. etc., ne font pas partie de l'invention.
Il suf fira. d'ajouter que les butées sont. maintenues par friction et restent dans leur position supé rieure jusqu'à, ce qu'un des poussoirs attaque la butée et l'abaisse, position dans laquelle elle reste (en pointillé sur la 3) jusqu'à ce qu'elle en soit ultérieurement écartée. La butée peut ainsi venir s'interposer sur la tra- jet.oire de la barre à. caractères 38, comme montré à. la fig. 3.
Le support. de butées D est maintenu dans un plan parallèle à. la fois au plan du mouve ment du chariot des poussoirs et au support des barres à. caractères.
Le support. des barres à caractères E com prend une barre pour chaque caractère ou lettre à sélectionner dans la ligne de frappe, c'est-à-dire qu'une barre à caractères corres pond à chaque pas effectué par le chariot de la machine à écrire et. que la limite du mouv i:- ment des barres à caractères est celle des pas que le chariot de la machine peut exécuter dans son échappement. Si l'on désigne par in, le nombre des caractères qui peuvent être composées dans une ligne, le mécanisme sélec teur doit. comprendre în. barres à caractères:
par ailleurs, si chaque barre à caractères coin- prend n. caractères, il doit y avoir n butées associées à chaque barre à caractères. Le nom bre des lignes de butées sera, d'autre part, égal à m. Par ligue de butée, il convient d'en tendre due les butées pour une barre à carac- @ères sont disposées en ligne, parallèlement à la barre, et il y a autant de rangées de lignes de ces butées qu'il existe de barres à carac- tè res dont le mouvement doit être commandé par ces butées.
Le support de butées D com- prend un nombre de lignes de butées égal à celui des barres à caractères et chaque ligne de butée est parallèle à la ligne de mouvement des barres à caractères.
Si l'on considère clé nouveau le chariot des poussoirs, il est facile de voir due ce chariot serait de construction simple si les caractères étaient disposés cl'une manière identique sur les barres à caractères. Il suffirait de faire avancer le chariot des poussoirs d'une ligne à l'autre (les butées et de faire tourner la barre rotative dentée par la machine à écrire pour attaquer le poussoir et l'abaisser pour inter- hoser la butée sur le trajet des barres à ca ractères.
Cependant, dans le mécanisme actuel, tel m'est pas le cas, parce que si le poussoir peut déplacer la butée pour arrêter la barre clans la position convenable pour tou tes les barres d'un groupe, il ne petit le faire pour des barres disposées inversement par rap port aux autres. comme on le voit en effet sur la fig. 10, une barre sur deux présente le caractère le plus large à une extrémité du groupe, le caractère le plus étroit étant à 1'extrémité opposée du groupe. La barre sui vante présente la disposition inverse.
Etant donné due les caractères ont des largeurs dif férentes et qu'ils sont disposés sur des barres de diverses largeurs, en inversant les barres de sorte due la moitié d'entre elles ont leur extrémité large à une extrémité du groupe e t que l'autre moitié ont leur extrémité large à l'autre extrémité du groupe, on obtient pour l'ensemble (les barres une disposition reetan- gulaire. Mais alors, la distance que l'une quel conque des barres doit parcourir avant d'être arrêtée en amenant un caractère donné à l'ali gnement des autres caractères sur les barres adjacentes doit varier en fonction de la dis position des caractères sur les barres,
de sorte que les butées doivent être inversées de la même façon que les barres. Le poussoir pour rait sélectionner la butée pour les barres dont l'extrémité étroite est en avant, mais il ne peut le faire pour les barres dont l'extrémité large est, en avant, étant donné que les posi tions des caractères sont différentes. Le mé canisme décrit ci-après est nécessaire pour arriver à çe résultat.
Des leviers 39 potinus clé doigts 40 diri gés vers le haut parallèlement aux poussoirs 31, mais de chaque côté d'eux, sont pivotés entre les barres latérales 25 et 30 d'un côté, et entre les barres latérales 25 et 29 de l'au tre côté du chariot des poussoirs. Plusieurs leviers de poussoirs 41 sont pivotés entre les plaques latérales 25, 30 et 25, 29 à la partie inférieure du chariot des poussoirs. Chaque doigt. 40 correspond à une butée 31. Chaque levier 39 est accouplé par une bielle 42 à un levier de poussoir 41 et chaque levier de pous soir 41 présente un bras 43 qui vient attaquer le poussoir 31 entre ses extréirrités, et., dans le cas présent, pénètre dans la fenêtre du corps du poussoir 32.
C'est ce levier de pour soit 41 qui limite le mouvement. ascendant du poussoir 31 sous l'action du ressort 33.
En se reportant de nouveau à la fig. 2, on voit. que, lorsqu'une dent 18 abaisse le pous soir 31, la butée 36 vient s'interposer sur la trajectoire de la barre à caractères, mais, lors que le chariot des poussoirs s'échappe et avance d'un pas, la. dent 18 n'est phis en face du poussoir 31. Si donc, au moment de l'échappement suivant, la barre rotative den tée tourne, elle n'exerce aucune action sur le poussoir 31.
Mais, lorsque le chariot des poussoirs est venu dans la position de la fig. 6, la .dent 18 attaque et abaisse le doigt 40 du levier 39, du côté gauche, et fait tour ner ce levier. Tâtant donné que le levier 39 est. accouplé par un des organes 42 avec un levier de poussoir d'une autre partie du cha riot des poussoirs, un autre poussoir est abaissé pour interposer une butée sur la tra jectoire de la barre à caractères à un autre endroit du support des butées correspondant aux différentes positions des caractères sur la barre à caractères.
On remarquera, en se reportant à la fig. 4, que ces doigts 40 sont disposés sur deux lignes parallèles de chaque côté de la rangée de poussoirs et que les doigts eux-mêmes sont dé calés par rapport aux poussoirs, de sorte que, comme montré à la fig. 6, lorsque le doigt 40 du côté gauche est abaissé par une dent 18, le doigt 40a du côté droit se trouve derrière la dent 18 et n'est pas actionné. Dans ces conditions, le doigt 40b du côté droit. n'est pas combiné avec un poussoir 31 (fig. 2.), mais avec un poussoir situé derrière lui, de sorte que les dents ne peuvent venir en contact qu'avec un seul poussoir et un seul doigt pen dant le mouvement du chariot des poussoirs.
Dans la position suivante, le doigt 40a peut être rencontré, mais le poussoir n'est pas tou ché et il en est de même pendant que le cha riot des poussoirs avance vers la droite. liais, si le clavier de la machine à écrire fait fonc tionner une barre dentée différente, en sup posant que la fig. 3 représente le premier poussoir, le même que celui de la fig. 2, si la machine à écrire actionne la seconde barre, celle-ci actionne le second poussoir, mais par le mouvement. d'échappement, elle n'actionne rait pas un doigt du côté gauche, mais un doigt du côté droit de la rangée de poussoirs.
Si l'on se reporte plus spécialement aux fig. 4 et 5, on voit que les leviers 39 des doigts 40 sont disposés en deux rangées parallèles sur la partie supérieure du chariot des pous soirs et que les leviers 41 des poussoirs sont disposés en deux rangées sur la partie infé rieure du chariot des poussoirs. Certaines par- tics sont arrachées sur la fig. 5, de façon à faire apparaître certains des leviers des doigts et des leviers des poussoirs. Par exemple, le levier 39a du doigt de la rangée supérieure de l'extrémité du côté gauche du chariot des poussoirs est accouplé par un organe de trac tion 42a avec le levier 41a du poussoir à l'ex trémité du côté droit du chariot.
En se diri geant vers la droite, on voit que le levier 39b du doigt suivant est accouplé par un organe 42b avec le levier 41b du poussoir qui fait immédiatement suite au premier en dedans à partir de la droite, et ainsi de suite jusqu'à la partie centrale du chariot où sont disposés des doigts adjacents (fig. 8).
Si donc une barre rotative dentée trappe le poussoir 31a à l'extrémité gauche de la fig. 5, le contact direct de la lent de la barre rotative dentée avec ce poussoir le fait des cendre, de faon à interposer une butée. Si, maintenant, le chariot des poussoirs avance d un pas dans le sens latéral, la dent de la barre ne se trouve plus en face du poussoir, mais en face du doigt 40a du côté gauche, de sorte que la barre dentée, en tournant, n'abaisse pas le poussoir 31a, mais le doigt.
.10a. Ce mouvement fait tourner le levier 39a. à l'ex trémité gauche, qui, par son mouvement de rotation, fait tourner, par l'intermédiaire de l'organe de traction 42(r, le levier 41a du pous soir. Ce levier, en tournant, abaisse, par le bras 43a-, le poussoir<B>31.</B> situé à l'extrémité du côté droit du chariot. des poussoirs.
Par ailleurs, du fait de la disposition in versée des barres à caractères et des butées correspondantes, celles-ci sont disposées de façon à amener le caractère d'une barre en position convenable, indépendamment du fait qu'il se trouve sur une barre dont l'extrémité large est en avant. et l'extrémité étroite en arrière, ou inversement.
En fait, les butées sont amenées sueeessi- vement. en position clans le trajet des barres à caractères, lesquelles sont ensuite déplacées simultanément, chaque barre étant arrêtée lorsqu'elle rencontre sa butée correspondante, toutes les butées étant ramenées ensemble à leur position initiale après que la ligne a été imprimée.
La raison pour laquelle il existe deux ran gées .de leviers de doigts des deux côtés du chariot des poussoirs, \et la raison pour la quelle il existe deux lignes ot1 rangées paral lèles de doigts alignés avec des poussoirs, con sistent en ce que l'espace qui est nécessaire dans le sens longitudinal pour les leviers des doigts et des poussoirs qui doivent se prolon- ger dans le sens latéral, ainsi qu'on peut le voir, est plus grand que celui qui est néces saire pour un poussoir séparé, qui reçoit sim plement un mouvement de translation alter- @atif au lieu d'osciller.
Si l'on disposait de plus de place, on arriverait au même résul tat en disposant tous les doigts sur une ligne et tous les poussoirs sur, une autre.
Sur la fig. 6, les pièces sont. représentées dans la position qu'elles occupent au moment où le chariot des poussoirs s'échappe vers la gauche, après que la sélection d'une butée a été effectuée par le poussoir. Dès que la barre dentée monte, une fois la sélection effectuée, le poussoir suit ce mouvement sous l'action du ressort 33, mais ce mouvement est rapide et les jeux sont faibles et il peut toujours arriver que, pendant le mouvement du cha riot des poussoirs vers la droite, le poussoir soit entraîné, comme l'indique le tracé en pointillé, par la butée suivante. Il n'en résul terait aucun inconvénient, étant donné due le poussoir oscille vers la gauche, ainsi que l'in dique le tracé en pointillé.
Le ressort 33 tire rait d'autant mieux le poussoir et le ramène rait brusquement dans sa position initiale.
En se reportant à la fig. 7, on voit. qu'une difficulté analogue peut se présenter à propos des positions relatives du poussoir et de la dent. Si après un mouvement descendant d'une barre dentée, le mouvement latéral du chariot des poussoirs provoquait le coince ment de l'extrémité d'un poussoir avec l'ex trémité d'une dent, il n'en résulterait aucune conséquence fâcheuse, étant donné que, pen dant que la barre rotative dentée monte, elle peut coulisser librement dans le sens latéral sur son axe de pivotement jusqu'à ce que le ressort 22 soit comprimé.
Dès que la barre, en continuant à monter, ferait cesser le con tact entre la dent et le poussoir, le ressort 22 ferait revenir la barre dans le sens longitu dinal dans sa position normale, prête pour la sélection suivante d'un poussoir.
Character selector mechanism. The present invention relates to a character selector mechanism associated with a typewriter of the manual keyboard type.
In a typewriter, the same space is reserved for each letter or character in the line; for example i is the narrowest letter, w the letter la folds wide, but on the machine each of these letters is spaced exactly the same distance apart. In printing machines, on the other hand, there is the same difference in width between letters or characters, but in this case, the space allocated to a letter in the line varies according to the width of the letter, so that the free distance between the printed letters remains constant, although the width of the letters varies. In typewriters, since the width of letters varies, the free distance between letters varies depending on the width of the letter.
In addition, in printing, the line is usually justified, that is, the printed lines end with a straight margin on both the right and left sides of the sheet.
The purpose of the selector mechanism forming the subject of the present invention is precisely to justify the lines printed by means of a manual keyboard typewriter and to assign, in addition, to each of the letters or characters of a line a space the width of which varies according to that of said letter or character, in order to make it possible to obtain, by means of a typewriter with which the mechanism according to the invention is associated, a suitably composed page, similar to that obtained by means of a printing machine.
The subject of the invention is therefore. a character selector mechanism associated with a machine. write on a manual keyboard, characterized in that it includes, in combination with sound, bars at. characters with more than one character on one side, each bar being wider than. one end than the other and the bars being alternated so that when in their starting position the wide end of one bar is next to the narrow end of the adjacent bar , a device causing the simultaneous longitudinal movement of all the bars, stops arranged in series corresponding to each.
at. a separate bar and each stop being capable of being placed on the path of the. corresponding bar, a mobile device in synchronism with the carriage of the. typewriter, coupling devices. say continuous between each key on the machine's keyboard. write and stops, so that when a key is. lowered, a stopper is placed on the. trajectory of the. bar which corresponds to the position of the letter in the line struck by the key, so as to determine the amplitude of the movement of each bar depending on the character chosen, this amplitude varying for the same character according to whether it is is a bar with a wide end forward or a bar with a narrow end forward.
The accompanying drawing represents, by way of example, one embodiment of the invention.
Fig. 1 is a schematic view which re presents, part in section and part in elevation, certain parts being omitted, the coupling between the typewriter and the selector mechanism which is the subject of the invention.
Fig. 2 is a section taken along line 2-2 of FIG. 1 and represents a so-called support part of the stop stops, of the carriage of the selection pushers and of the rotating tooth bar actuated by the typewriter.
The fis. 3 is a section taken along line 3-3 of the fis. 2 rotary bars action born by the typewriter, the pushers carriage and the stopper support, the character bar being shown in side elevation.
Fig. 1 is a section along line 4-4 of the fis. 2, showing in plan the slide of the pushers and the elements which accompany it.
The fis. 5 is a plan view of the selector carriage, certain elements of which are cut away and others are shown in section.
Fig. 6 is a section along a line similar to the section of the fis. 2, and represents a pusher in the carriage of the pous evening and the exhaust device of the pous evening relative to the support of the stops.
The. Fis. 7 is a view similar to FIG. 6, on which the parts occupy a different position so as to reveal the positive exhaust device of the pusher with respect to the toothed rotary bar.
Fig. 8 is a section parallel to that of FIG. 3 and shows the relative positions of the toothed rotary bar and the auxiliary fingers actuating the pushers.
Fig. 9 is a section similar to FIG. 8, on which the pieces occupy a different position.
Fig. 10 is a plan view of two character bars, indicating their relative positions.
The same elements are designated by the same references in all the figures. In general, in FIG. 1, A. designates the typewriter, L the support of the toothed rotating bars actuated by the keys of the typewriter, C the polishers carriage which redoes the transverse movement in synchronism with the movement of the typewriter carriage , and contains pushers which are arranged to be moved in the longitudinal direction by toothed rotating bars;
D is the support of the stops with which the push-buttons come into contact and which are pushed into the path of the character bars, and E the group of character bars which are each stopped by a stop on the support of the stops, the set of elements B, C, D and E constituting the selector mechanism which is the subject of the invention; F denotes the support frame of the whole of this mechanism.
Since the invention relates mainly to the selection of the stop of the tines to come to be placed on the trajectory (the character bar which corresponds to the position of the letter in the line struck by the key on the keyboard, the control devices control of the typewriter, typing device, etc., are not shown.
The number 1 designates a key on the typewriter keyboard. When struck, it activates the ordinary mechanism of the typewriter so as to strike a character on a sheet of paper placed on the cylinder of the carriage of the machine and also to trigger the carriage to make it move forward. 'a space, in the usual way. A push bar 2 combined with each key is movable in a comb or slotted guide 3, and is articulated on an angled lever 1 which is pivoted on it. a 17titi-llipport J.
Does a res spell 6 tend to hold the push bar? in its position. A drawbar 7 is attached at one end to the free end called the angled lever -1 and at the other to one end of an angled lever 8 pivoted on a support 9 and which bridges, at either end,
a tension member 10 fixed to a control lever 11 of a toothed rotary bar 1.?. There are a large number of toothed rotating bars 12 which are mounted pivotably on frame members 13 and 11. Springs 15 tend to resiliently return them to the position of Figs. 2, 3 and 8, when they have been removed (this position by the keys of the typewriter and brought for example to the one shown on the left side of fig. 9. Each of these toothed rotating bars is combined with a key key on the left side of fig. typewriter and operated by it.
They are arranged in parallel in the same row, as shown in FIGS. 1. and. 3.
The toothed rotary bars 12 are for views at the ends of arms 16 and 17 directed backwards, one series of bars carrying arms 16 and the other, two by two, arms 17 located lower, so as to prevent the arms To meet. The axes of all the bars are in the same plane and, when any bar rotates under the effect of the tension applied by the intermediary (the gold 10 by the key of the typewriter, it comes clans the position shown in Fig. 9.
The lower edge of each toothed rotating bar has a series of teeth 18, and the gap 19 between them is in principle twice the width of the tooth itself, the only key function of these teeth being, when included. the bar turns downwards, to push in the longitudinal direction a selected pusher. The position of the support on which the toothed rotary bars are mounted is fixed. The bars rotate in this support and normally do not undergo any other movement, except that which is described below. It may happen that a bar in operation receives a slight longitudinal movement; the axes 20 and 21 around which it rotates are.
long enough to allow this movement. A spring 22 surrounds the axis 21 just as the spring 15 surrounds the axis 20. If the bar must receive a longitudinal movement, the spring 22 returns it elastically to its normal position, as soon as the force causing this movement ceases to be exerted, a movement which can be carried out without exerting any influence on the function of the spring 15 which consists in lifting the bar away from the pushers to bring it back to its initial position.
The pushrod carriage, generally designated by C (fig. 1), is mounted so as to be able to move in a plane parallel to the support B of the toothed rotary bars. The devices for moving and guiding the carriage of the pushers are not shown in order to simplify and avoid confusion. Suffice it to say that the slide of the pushers is positively and exactly maintained in a position parallel to its initial position.
It is held at a constant distance for. all its way below the support. toothed rotating bars and it is coupled to the typewriter carriage so as to step forward in synchronism with it, so that each time a key of the typewriter is struck and its carriage. advances by one step, the pushrod carriage also advances by one step.
The coupling device of the two carriages and. the device which aims to keep them in fixed relative positions in order to properly advance the carriage of the pushers step by step is not part of the invention and, therefore, is not shown.
The push rod carriage comprises, at each end, a U-shaped piece, 23 (fig. 3, 4, 5 <B>) </B>. Only one of these parts is. represented. It has, at its end, a sole 24 folded inward, on which is mounted an outer side bar 25. A lower plate 26 with slits and an upper plate 27 with slits are. arranged parallel to the side bars 25.
A short <B> U, </B> piece, 28, est. arranged inside the <B> U-shaped part, </B> 23, in the immediate vicinity of the upper and lower plates 26 and 27, and the wings of the U-shaped part, 28, bear. chain an inner side plate 29 and 30. The slide of the pushers thus constitutes a rectan ,, ular rigid frame located in a plane parallel to. that of the toothed rotary bars B and at a certain distance below these bars. Pushers 31 are guided in the windows of the plates 27 and 26, the slots of the plates 27 being parallel to the longitudinal axis of this plate and those of the plates 26 being.
perpendicular to the longitudinal axis of this plate. Each pusher 31 is formed by a flat, relatively thin piece, which has been tor due as can be seen, so that the lower part of the pusher can pass into the slot in the plate 26 and its upper part into the slot of the plate 27. The upper part of each pusher 31 is that which comes into contact with the teeth 18 and its lower part, when it has been pushed up and down by a tooth 18, comes into contact with another stop , as will be seen below.
Each pusher has, between its ends, a larger part 32 pierced with a window (FIG. 2). A spring 33 which is attached at one end to the plate 27 and at the other to an ear of the pusher tends to maintain the latter in its upper and vertical position (FIG. 2), its upward movement being limited as well as we will see it later.
The number of pushrods which are arranged on a single line parallel to the axis of the pushrod carriage is equal to the number of characters of each bar and each pushbutton, when lowered, brings a stop on the trajectory of a character bar 38. Each of these bars bears letters or characters intended for use in the. final printed page and which, as shown in fig. 10, are arranged along the bar, the narrower characters being located at one end of the bar and the wider characters at the other end, the characters being spaced along the taper bar at their various widths.
In fig. 2, the toothed rotary bar is shown in the position in which the tappet cbariot is at its end of travel to the left and the parts are arranged so that, if the toothed rotary bar turns, it lowers the pusher 31 which has a stopper on the path of the character bar, as shown in fig. 3 dotted. Fig. 3 is a section at right angles to that of FIG. 2 and shows how the stops are bent and widened at their upper ends to present a relatively wide surface area to the toothed rotating bar, while they have a relatively narrow perpendicular surface contacting the large surface of the stop.
We will temporarily leave aside the description of the details of the push rod carriage to consider the stop support designated by D. This support includes upper and lower grids 34 supported by a frame 35 and carrying several stop rods 36. Bars 37 for returning the stop rods to their initial position limit their upward movement. at the bottom, as indicated by the dotted line at. left of fig. 3, and can be raised to bring the stop rods back into the. position in solid lines of this same figure. Details of the stopper support D, devices for returning to their initial position. etc., are not part of the invention.
It will suffice. to add that the stops are. maintained by friction and remain in their upper position until one of the pushers engages the stopper and lowers it, position in which it remains (in dotted lines on 3) until it is subsequently discarded. The stop can thus come to interpose on the path of the bar to. characters 38, as shown at. fig. 3.
The support. of stops D is maintained in a plane parallel to. both in terms of the movement of the slide of the pushers and the support of the bars. characters.
The support. character bars E com takes a bar for each character or letter to be selected in the typing line, i.e. a character bar corresponds to each step taken by the typewriter carriage and . that the limit of movement of the character bars is that of the steps that the machine carriage can perform in its exhaust. If we denote by in, the number of characters that can be composed in a line, the selector mechanism must. understand în. character bars:
on the other hand, if each character bar corner- takes n. characters, there must be n stops associated with each character bar. On the other hand, the number of stop lines will be equal to m. By stop league, it is advisable to tighten it because the stops for a character bar are arranged in line, parallel to the bar, and there are as many rows of lines of these stops as there are bars. with characters whose movement must be controlled by these stops.
The stop support D has a number of stop lines equal to that of the character bars and each stop line is parallel to the line of movement of the character bars.
Considering the new pushrod carriage, it is easy to see how simple this carriage would be if the characters were arranged identically on the character bars. It would suffice to move the carriage of the pushers from one line to the other (the stops and to turn the rotating bar toothed by the typewriter to engage the pusher and lower it to interpose the stop on the path. character bars.
However, in the current mechanism, this is not the case with me, because while the pusher can move the stopper to stop the bar in the position suitable for all the bars in a group, it cannot do so for bars. arranged inversely with respect to others. as can be seen in fact in FIG. 10, every other bar has the widest character at one end of the group, the narrower character being at the opposite end of the group. The next bar shows the reverse arrangement.
Since the characters have different widths and are arranged on bars of various widths, inverting the bars so that half of them have their wide end at one end of the group and the other half have their wide end at the other end of the group, we obtain for the whole (the bars a reetangular arrangement. But then, the distance that any one of the bars must cover before being stopped by bringing a given character in the alignment of the other characters on the adjacent bars must vary according to the arrangement of the characters on the bars,
so that the stops must be reversed in the same way as the bars. The pusher could select the stopper for bars with a narrow end forward, but it cannot do so for bars with a wide end forward, since the character positions are different. The mechanism described below is necessary to achieve this result.
Lever 39 potinus key fingers 40 directed upward parallel to the pushers 31, but on either side of them, are pivoted between the sidebars 25 and 30 on one side, and between the sidebars 25 and 29 of the on the side of the pushrod carriage. Several pusher levers 41 are pivoted between the side plates 25, 30 and 25, 29 at the bottom of the pusher carriage. Every finger. 40 corresponds to a stop 31. Each lever 39 is coupled by a connecting rod 42 to a pusher lever 41 and each push lever 41 has an arm 43 which engages the pusher 31 between its ends, and., In this case. , enters the pusher body window 32.
It is this lever of for is 41 which limits the movement. ascending pusher 31 under the action of spring 33.
Referring again to fig. 2, we see. that, when a tooth 18 lowers the pous evening 31, the stop 36 interposes itself on the path of the character bar, but, when the carriage of the pushers escapes and advances one step, the. tooth 18 is not opposite the pusher 31. If therefore, at the time of the next escapement, the rotating tooth bar turns, it exerts no action on the pusher 31.
But, when the slide of the pushers has come into the position of FIG. 6, the tooth 18 attacks and lowers the finger 40 of the lever 39, on the left side, and rotates this lever. Feeling as the lever 39 is. coupled by one of the members 42 with a pusher lever from another part of the chain of pushers, another pusher is lowered to interpose a stop on the path of the character bar at another location on the support of the stops corresponding to the different character positions on the character bar.
It will be noted, referring to FIG. 4, that these fingers 40 are arranged on two parallel lines on each side of the row of pushers and that the fingers themselves are offset with respect to the pushers, so that, as shown in FIG. 6, when left side finger 40 is lowered by tooth 18, right side finger 40a is behind tooth 18 and is not actuated. Under these conditions, the finger 40b on the right side. is not combined with a pusher 31 (fig. 2.), but with a pusher located behind it, so that the teeth can only come into contact with a single pusher and a single finger during the movement of the carriage pushers.
In the following position, the finger 40a can be encountered, but the pusher is not touched and it is the same while the chain of the pushers advances to the right. However, if the keyboard of the typewriter operates a different toothed bar, supposing that fig. 3 shows the first pusher, the same as that of FIG. 2, if the typewriter operates the second bar, the latter operates the second pusher, but by movement. exhaust, it would not actuate a finger on the left side, but a finger on the right side of the row of pushrods.
If we refer more specifically to fig. 4 and 5, it can be seen that the levers 39 of the fingers 40 are arranged in two parallel rows on the upper part of the carriage of the pushers and that the levers 41 of the pushers are arranged in two rows on the lower part of the carriage of the pushers. Some parts are torn off in fig. 5, so as to reveal some of the finger levers and the pushrod levers. For example, the upper row finger lever 39a of the left side end of the pushrod carriage is coupled by a traction member 42a with the pusher lever 41a at the right side end of the pushrod.
Going to the right, we see that the lever 39b of the next finger is coupled by a member 42b with the lever 41b of the pusher which immediately follows the first one inside from the right, and so on until the central part of the carriage where adjacent fingers are placed (fig. 8).
If therefore a toothed rotating bar covers the pusher 31a at the left end of FIG. 5, the direct contact of the slow speed of the toothed rotary bar with this pusher causes it to ash, so as to interpose a stop. If, now, the slide of the tappets advances one step in the lateral direction, the tooth of the bar is no longer in front of the pusher, but in front of the finger 40a on the left side, so that the toothed bar, turning , does not lower the pusher 31a, but the finger.
.10a. This movement turns the lever 39a. at the left end, which, by its rotational movement, causes the lever 41a to turn, through the intermediary of the traction member 42 (r, the lever 41a of the pous evening. This lever, by turning, lowers, by the arm 43a-, the pusher <B> 31. </B> located at the end of the right side of the carriage.
Furthermore, due to the reverse arrangement of the character bars and the corresponding stops, the latter are arranged so as to bring the character of a bar into the correct position, regardless of whether it is on a bar whose the wide end is forward. and the narrow end behind, or vice versa.
In fact, the stops are brought swiftly. in position in the path of the character bars, which are then moved simultaneously, each bar being stopped when it meets its corresponding stop, all the stops being returned together to their initial position after the line has been printed.
The reason there are two rows of finger levers on both sides of the tappet carriage, and the reason there are two rows ot1 parallel rows of fingers aligned with pushers, is that the the space which is required in the longitudinal direction for the levers of the fingers and of the pushers which are to extend laterally, as can be seen, is greater than that required for a separate push rod, which simply receives an alternating translational movement instead of oscillating.
If more room were available, the same result would be achieved by placing all the fingers on one line and all the pushers on another.
In fig. 6, the parts are. shown in the position they occupy when the slide of the push-buttons escapes to the left, after the selection of a stop has been made by the push-button. As soon as the toothed bar rises, once the selection has been made, the pusher follows this movement under the action of the spring 33, but this movement is rapid and the clearances are low and it can always happen that, during the movement of the chain pushers to the right, the pushbutton is driven, as indicated by the dotted line, by the next stop. This would not result in any inconvenience, given that the pusher oscillates to the left, as indicated by the dotted line.
The spring 33 would pull the pusher all the better and bring it back abruptly to its initial position.
Referring to fig. 7, we see. that a similar difficulty may arise in connection with the relative positions of the pusher and the tooth. If, after a downward movement of a toothed bar, the lateral movement of the tappet carriage causes the end of a tappet to jam with the end of a tooth, no adverse consequences will result, being since, while the toothed rotating bar rises, it can slide freely in the lateral direction on its pivot axis until the spring 22 is compressed.
As soon as the bar, continuing to rise, ceases contact between the tooth and the pusher, the spring 22 would return the bar in the longitudinal direction to its normal position, ready for the next selection of a pusher.