Mécanisme marqueur de fiches. La présente invention a pour objet. un mécanisme marqueur de fiches contrôlé par un dispositif manoeuvrable à distance.
Un exemple d'application d'un tel méca nisme peut être constitué par un système de sanction de crédit. Dans de tels systèmes, on prévoit généralement deux ensembles princi paux : un ensemble d'enregistrement. et un ensemble de sanctionnement ou d'approba tion. Lorsqu'un client désire un crédit, le vendeur téléphone à l'employé de la compta bilité traitant des comptes des clients et de mande si le crédit du client. est suffisant pour couvrir le montant de l'achat en cours. L'enre gistrement de cet achat, au moment de la de mande de renseignements, est effectué sur un type de fiche habituel pour les marchandises vendues.
Lorsque le vendeur téléphone à l'employé d'approbation, il place la fiche dans une fente appropriée d'un appareil marqueur.
Lorsque l'employé d'approbation. a vérifié que le client est, en fait, couvert pour le mon tant de L'achat en cours, il appuie sur un bou ton qui ferme un circuit comprenant l'appa reil marqueur et fait fonctionner le méca- nisme-principal de eelui-ci.
lia fiche se trouve alors perforée d'un sym bole d'approbation, constitué par exemple par une série de trous, ou par tout autre signe, et sur la fiche sont, en outre, imprimés les ren- seignements suivants: numéro de série de l'approbation, date et numéro d'identification de l'appareil qui a effectué la transaction. Si le crédit n'est pas accordé au client, l'employé approbateur en informe le vendeur par téléphone, et ce dernier retire la fiche du marqueur et annonce au client que le crédit. ne peut pas lui être accordé.
Le retrait de la fiche coupe le circuit électrique allant du point. d'approbation au marqueur et, à partir de ce moment, il n'est plus possible à l'em ployé approbateur de provoquer le fonction nement du mécanisme imprimeur et perfora teur.
Dans une forme connue d'un tel dispositif d'autorisation ou d'approbation, l'énergie né cessaire à l'exécution du mouvement de mar quage est tirée entièrement d'un solénoïde, disposé de manière à être actionné à distance, et exige la. mise en oeuvre d'intensités de cou rant relativement importantes, avec le câblage et l'appareillage qui en résultent.
Le mécanisme marqueur de fiches faisant. l'objet de l'invention est contrôlé par un dis positif manoeuvrable à distance, et il com prend un dispositif de marquage, un disposi tif manoeuvrable à la main d'une position nor male à une position dans laquelle un ressort est mis sous tension, un loquet pour retenir ledit dispositif dans la dernière position et contrôlé par le dispositif manoeuvrable à dis tance, de façon à permettre au ressort de ra mener à la position normale le dispositif ma- noeuvrable à la main.
Ce mécanisme est, en outre, caractérisé par un mécanisme actionné par le dispositif manoeuvrable à la main, pen dant son retour, pour actionner temporaire- ment le dispositif de marquage, de manière que la fiche soit marquée.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemples, deux formes d'exécution du mé canisme faisant l'objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue de face d'une première forme d'exécution montée dans un coffre avec un ensemble téléphonique.
Fig. 2 est une vue latérale du bâti de gau che et de certaines parties du mécanisme qui y sont fixées.
Fig. 3 est une vue du bâti de gauche, mon trant un électro-aimant de libération et cer taines autres pièces fixées au bâti.
Fig. 4 est une vue latérale d'une plaque de gauche montrant un levier principal, un seg ment et un ressort principal d'actionnement.
Fig. 5 est une vue fragmentaire en pers pective, vue de l'arrière, d'un bâti central, du bâti de droite et de certaines pièces connexes.
Fig. 6 est une vue en perspective d'un organe tâteur, montrant ses connexions avec les fils de contact d'un circuit de commande à distance.
Fig. 7 est une vue en perspective des roues d'un numéroteur, de leurs eliquets de manoeu- vre et d'un dispositif d'avancement du ruban.
Fig. 8 se rapporte à une seconde forme d'exécution.
Généralités. La forme d'exécution du mécanisme mar queur représentée en fig. 1 à 7 est associée à un système d'approbation de crédit.
L'employé ou le vendeur établit une fiche de la transaction pour laquelle un crédit est demandé, compose avec l'appareil téléphoni que le numéro de l'employé approbateur chargé de la section comptable particulière dans laquelle se trouve le compte du client, introduit la fiche dans le mécanisme marqueur et enfonce à fond la touche de manoeuvre. Il demande alors si le client envisagé est cou vert du montant porté sur la fiche. L'employé de la comptabilité se reporte au dossier et, si le compte est à jour, appuie sur un bouton d'approbation. Ceci provoque la fermeture du circuit d'un électro-aimant, dont l'armature libère un cliquet qui, normalement, retient une coulisse principale en position armée.
U n fort ressort oblige alors le levier principal de manoeuvre et les autres pièces du mécanisme marqueur à. revenir à. leur position d'origine.
Pendant ce mouvement de retour, un eli- quet d'entraînement de numéroteur est ra mené en arrière, prêt, pour entraîner à nou veau un numéro consécutif suivant. Il. con vient de faire remarquer que la man#uvre du cliquet qui fait. avancer le numéro se produit lorsqu'on manoeuvre à la main la touche prin cipale de manoeuvre.
En outre, pendant le mouvement de re tour, une impression s'effectue sur la fiche, consistant dans un numéro de série correspon dant à l'approbation, une date et un numéro d'identification du mécanisme marqueur qui a servi pour la transaction. r1 ce moment, un groupe perforateur fonctionne et imprime un dessin en perforations, de manière à indiquer qu'une approbation officielle a été donnée à l'octroi d'un crédit pour la transaction envi sagée.
L'introduction de la fiche dans le méca nisme marqueur et l'enfoncement à fond de la touche principale provoquent la fermeture d'un circuit comprenant une lampe rouge d'avertis sement située au point d'approbation et infor mant l'employé approbateur que ces opéra tions nécessaires ont. été effectuées. Le circuit est disposé de telle manière que l'enfoncement du bouton d'approbation n'aura pas pour effet de libérer l'électro-aimant tant que les opérations ci-dessus n'auront pas été effec tuées.
Une boîte, disposée dans le meuble de ma nière à en pouvoir être facilement ôtée, est destinée à recevoir les confetti de perfora tion.
Si l'employé de la comptabilité s'aper#,oit que le compte en question n'est pas couvert du montant du crédit demandé, il en informe l'employé du guichet au moyen du téléphone et s'abstient d'appuyer sur le bouton d'appro bation.
Le vendeur enlève alors la. fiche, et la tou che principale de manoeuvre, qui vient d'être armée, demeure en position armée, prête pour la prochaine opération. Le retrait de la fiche non approuvée ouvre, par ]'intermédiaire d'un tâteur, le circuit du bouton de l'employé approbateur, de sorte que tout enfoncement de ce bouton sera sans influence sur le fonc tionnement du mécanisme marqueur.
Dans une autre forme d'exécution, si le crédit n'est par accordé, le vendeur enfonce un bouton de libération que comprend le mé canisme marqueur et qui libère la fiche du dispositif qui la maintenait en place; la fiche est alors retirée, et, en même temps, le cliquet de la coulisse principale est libéré ainsi que les autres pièces (lu mécanisme, et ramenés à. leur position d'origine.
L'enfoncement du bouton de libération du mécanisme marqueur rend inopérant le dispositif de retrait du cli- quet de manoeuvre du mécanisme et, par suite, les roues correspondantes ne sont pas avan cées à l'opération suivante de la touche prin cipale de maneeuvre. L'enfoncement du bou ton de libération a aussi pour conséquence de rendre inopérant le mécanisme imprimeur et. le mécanisme d'avancement de ruban.
Description <I>détaillée.</I>
Le mécanisme marqueur représenté en fig. 1 à 7 est monté sur trois bâtis principaux, un bâti de gauche 1 (fig. 2, 3, -1 et 5), un bâti central ? (fig. 5 et 7) et un bâti de droite comprenant. une section supérieure 3 et. une section inférieure 4, cette dernière portant une tablette porte-fiche 30 (fig. 1 et 6). Les bâtis sont reliés entre eux par deux entretoises transversales 5 et 6 et par d'autres barres.
Les sections supérieure 3 et inférieure 4 du bâti de droite forment une glissière 53 (fig. 1 et 5) destinée à l'insertion de la fiche du client. en vue d'une impression et d'une perforation.
Un appareil de téléphone automatique ordinaire 9 (fig. 1) présente des goujons qui s'adaptent dans des ouvertures pratiquées dans les entretoises 5 et 6. Les bâtis sont ren fermés à l'intérieur d'un coffre dont la paroi avant 10 reçoit un groupe enregistreur. Les entretoises 5 et 6 sont disposées de manière à recevoir des vis sans tête que l'on règle con- venablement jusqu'à ce que l'enregistreur vienne reposer correctement sur des bossages prévus dans le coffre.
Une touche principale de manceuvre 11 (fig. 1 et 3) est fixée à un levier traversant le bâti 1 et émergeant du coffre. L'autre extré mité du levier est. fixée à une coulisse 20 adap tée en vue d'un mouvement. alternatif sur une paire de guides 1.8 et 19 (fig. ?) rivés au bâti 1. Une fente 1-10 pratiquée dans le bâti 1 per met le mouvement alternatif de la touche 11 et de son support.
Un segment 15 pivote en 150 (fig. -1) sur le bâti 1, ce segment 15 comportant une en coche profonde. Le levier de touche 11 se pro longe à travers cette encoche et oblige ainsi le segment 15 à être basculé dans les deux sens à mesure que la touche 11 est. déplacée d'un mouvement alternatif vers le bas ou vers le haut. Lorsque le segment bascule dans le sens serrestrorsum, sa partie pleine cache com plètement la fente 1.10 pratiquée dans le bâti 1, de manière à empêcher toute manipulation dé placée des pièces pendant le temps que la tou che 11 est manaeuvrée en vue de faire fonc tionner le dispositif entraîneur.
Sur le côté cltt segment 15 est fixé un dis que 134 qui comporte un évidement annulaire adapté pour soutenir et guider un très fort ressort principal 17, assujetti par l'une de ses extrémités à un ergot fixé au segment, et par l'autre à un ergot 16 fixé au bâti de gau che 1.
La coulisse ?0 est. guidée dans son mouve- ment. le long des guides 18 et 19 au moyen de quatre galets 210 munis d'une gorge annu laire (fig. ?), ces galets étant montés à rota tion sur la coulisse, leurs gorges annulaires étant d'une largeur telle qu'elles viennent en gager les bords des guides 18 et 19 en vue de permettre un mouvement facile de la coulisse vers le haut et vers le bas.
Un des bords de la coulisse 20 (fig. 2 et 3) présente des dents qui coopèrent avec un cli- quet à pleine course 22 pivotant sur un ergot 21 fixé à l'intérieur du bâti de gauche 1. Un ressort 220 (fig. 3), fixé à. la queue du cliquet 22 et à un ergot du bâti 1, maintient le nez du eliquet en prise élastique avec les dents de la coulisse 20.
Il est évident que, lorsque la touche 11 est enfoncée et que la coulisse 20 se déplace vers le bas, le nez du eliquet ''2 passera d'une dent sur la suivante de la cou lisse et ainsi de suite, de manière à empêcher le mouvement de retour de cette coulisse tant que celle-ci n'a pas été libérée de la manière décrite ci-après. Ainsi, le cliquet 22 fonctionne comme un dispositif de pleine course.
Un curseur 23. (fig. 2 et 3) présente des fentes 24 et 25 qui coopèrent avec des er:;r;ts 26, dont Lin seul est représenté; fiés au bâti de gauche 1. A un prolongement latéral 28 du curseur 23 est fixée l'extrémité d'un ressort 29 dont l'autre extrémité est fixée à une ron delle 12 solidaire du bâti 1.
Dans le bord de droite du curseur 23 sont pratiqués deux crans 31. et 32, le cran infé rieur 32 coopérant avec un pied 33 du cliquet 22. afin de maintenir normalement le curseur 23 dans sa position la plus haute en dépit de l'action du ressort 29. Le mouvement de cli- queta;e du eliquet 2?, lors du déplacement. de la. coulisse 20 vers le bas, ne suffit pas à. dé gager le pied 33 du cliquet du cran 32 du cur seur 23.
Un électro-aimant 1.3 (fig. '? et 3) est fixé au bâti de gauche 1. et, lorsque cet aimant est, parcouru par du courant, un prolongement du cliquet est pris par l'armature 11 de l'ai mant 13, qui est placée sous ce prolongement. Le cliquet 22 doit alors basculer dans le sens senestrorsum (en fig. 2), grâce à quoi le res sort 17 (fig. 3 et 4) rappelle la. touche 11 et la coulisse 20 à leur position normale ou supé rieure.
Lorsque le basculement. du cliquet 22 est provoqué, le pied 33 de celui-ci est dégagé du cran 32 du curseur 23. Ce dernier est. alors immédiatement déplacé vers le bas par le res sort 29 jusqu'à ce que le cran supérieur 31 vienne en prise avec le pied<B>33</B> du cliquet 22. Ce dernier bascule plus loin sur son ergot 21, grâce à, quoi son nez se trouve retiré du tra jet des dents de la coulisse 20, permettant<B>à</B> cette dernière d'être ramenée librement sous l'influence du ressort principal. 17 lorsque le courant est envoyé dans l'électro-aimant 13.
Le curseur 23 (fig. \') est. pourvu d'un butoir supérieur 34 et d'tin butoir inférieur 35. Le butoir supérieur 34 entre en contact avec le rebord supérieur de la coulisse 20 lors que celle-ci revient en position, ce qui ramène aussi le curseur '?3 à sa position normale. ('e mouvement de retour est brutal, et., à. ce mo- ment,.le butoir inférieur 35 actionne un mé canisme imprimeur qui sera décrit ci-après.
La coulisse 20 comporte un coussinet 38 à son côté gauche et ce coussinet est adapté pour coopérer avec un levier amortisseur 39 monté sur un ergot 131a, fixé au bâti de gauche 1. Fixé au levier se trouve un fort ressort 41, dont l'autre extrémité est attachée à -Lui ergot: 42: du bâti 1. Lorsque la coulisse 20 est rame née par le ressort principal 17, le coussinet. 38 heurte la surface inférieure du levier 39 qui amortit le choc.
Un galet. 36 fait saillie à. l'angle supérieur droit. de la. coulisse 20 et Lin ergot 37 fait sail lie près de l'an gle inférieur gauche de la cou lisse.
Un arbre 142 (fis. 5) est. monté fou dans les bâtis 1, 2 et 4. Calé sur cet arbre se trouve un levier 43 orienté vers le haut, composé d'une partie supérieure et d'une partie infé rieure, fixées par des écrous et boulons tra versant des trous élargis, de manière à per mettre à un. réglage relatif initial de faire va rier la course à donner à tin mécanisme per forateur décrit plus loin. Fixée à l'extrémité supérieure du levier 43 par deux ergots se trouve une came 46 coopérant avec le galet 36. La came 46 est sollicitée par un ressort. 129 dont. l'autre extrémité est. fixée à l'entretoise 6.
Lorsque la. coulisse 20 se déplace vers le bas, lors de la manoeuv re de la touche 11 (fig. 1 et<B>3),</B> le galet 36 coopère avec le côté droit. de la came 16, obli-eant le levier 43 à basculer dans le sens senestrorsum (fig. 5). Lorsque la coulisse 20 approche de la fin de sa course vers le bas, le galet 36 passe au-delà du bossage de la came 46, après quoi le ressort 1.29 ramène le levier 43 légèrement dans le sens dextrorsum, de sorte que le galet 36 entre en contact avec la face opposée de la came 46.
Le mouvement ultérieur de retour de la cou lisse 20, par ].'intermédiaire du galet 36, oblige le levier 43 à. être basculé dans le sens dextror- sum pour revenir à. sa position normale.
Un levier 47 de commande de perforateur est fixé à, l'extrémité de gauche de l'arbre 142 (fig. 5), ce levier présentant une fente élargie en prise avec une goupille 134b d'un perfo rateur 49. Le perforateur est guidé pour un mouvement alternatif vertical par des gou pilles 50 faisant saillie sur un cadre de perfo rateur 48, la plus grande de ces goupilles constituant le guide principal et étant entourée d'un ressort 51. Le cadre de perforateur 48 peut recevoir un léger mouvement latéral sur un court arbre 52 monté sur le bâti central 2 et le bâti supérieur de droite 3. Ce mouvement latéral permet au groupe perforateur d'être autoaligneur, ce qui évite d'exercer un effort sur les goupilles plus petites 50.
La fente pratiquée dans le levier 47 per met un mouvement libre du levier par rapport au perforateur 49 quand on fait basculer le levier 43 dans le sens senestrorsum. Lorsque le levier 43 revient légèrement dans le sens contraire, le levier 47 bascule de manière ana logue jusqu'à ce que le rebord inférieur de la fente vienne en contact. avec la goupille 134b.
Le mouvement. complet de retour du le vier 43 oblige le levier 47 à déplacer le perfo rateur 49 vers le haut, de sorte que les gou pilles 50 perforent.une fiche préalablement introduite clans la glissière 53 et dans une ouverture correspondante du perforateur.
Juste au moment où la coulisse 20 appro che de la fin de son mouvement de retour, le galet 36 dépasse le bossage supérieur de la came 46 et le ressort 51 provoque un mouve ment partiel de retour du levier 43 et du per forateur 49 dans la direction opposée, grâce à quoi le perforateur 49 est ramené à sa posi tion normale. Ce retour du perforateur 49 est possible grâce à la fente agrandie pratiquée dans le levier 47.
Un pied du perforateur 49 limite la course de retour de celui-ci en prenant contact, avec une traverse passant clans les bâtis 2 et 4. Un arbre 54 (fig. 5 et 6), monté librement dans les bâtis 1, 2 et 3, supporte un méca nisme clé manceuvre d'une imprimerie.
Sur l'arbre 54, entre le bâti central et le bâti inférieur de droite 4, pivote un organe tâteur 55 (fig. 6) présentant une languette allongée 56 à la partie supérieure, qui tra verse une fente de la table 30 et pénètre dans la glissière 53 de la fiche. Un léger ressort 59, attaché entre un ergot fixé au bâti central 2 et la queue 161 du tâteur 55, maintient nor malement ce dernier de telle manière que la languette 56 fasse saillie dans la glissière 53.
Un long goujon 60 en matière isolante fait saillie à. peu près au milieu de l'organe ta - teur 55.
Sur un coussinet 61 en matière isolante, traversant les bâtis \?. et 4 se trouve une paire de fils électriques 62, 63. L'extrémité avant de chacun de ces fils est disposée de manière à faire contact avec une tringle 64 en matière électriquement conductrice, qui s'étend en tra vers des autres extrémités des bâtis 2 et 4.
Sur l'arbre 54, à côté du tâteur 55, est. disposé un court bras recourbé 65 sur lequel fait saillie un ergot 66 en matière électrique ment non conductrice, qui se trouve dans le même plan vertical que le fil 62. Un bras 67 (fig. 5), également. fixé sur l'arbre 54, peut venir en contact. avec l'ergot 37 (fig. 2) de la coulisse 20 lorsque cette dernière atteint le terme de sa course vers le bas. Ce contact de l'ergot 3 7 oblige l'arbre 54 à osciller dans le sens dextrorsum (fig. 6), après quoi l'ergot 66 entre en contact avec le fil 62 et l'oblige à s'appuyer sur la tringle 64.
Lorsqu'une fiche est introduite dans la ; glissière 53, elle déplace la languette 56 du tâteur vers le bas, qui pivote dans le sens dextrorsum (fig. 6) et permet à )'autre fil 63 de descendre prendre contact avec la tringle 64. Ceci ferme le circuit représenté sur cette, figure, et qui conduit à un endroit où se trouve un contrôle d'approbation et où s'allume une lampe. L'employé placé à cet endroit sait alors que la touche de manoeuvre 11. a été complètement enfoncée et aussi qu'une fiche a été placée dans l'enregistreur.
Le contact des fils avec la tringle 64 a aussi pour conséquence de compléter partiellement un circuit conduisait au point d'approbation, circuit qui ne sera complètement fermé que lorsque l'emplo@-é placé en ce dernier point: aura enfoncé une touche ou bouton qui com plète le circuit de l'électro-aimant 1.3 qui, alors, libère la coulisse 20, lui permettant de retourner à sa position d'origine. Comme expliqué, ce retour de la coulisse déclenche le perforateur et, également., un mécanisme im- primeur qui va maintenant, être décrit.
L'arbre 54 porte un étrier 68 (fig. 5) pré sentant une patte 69 de l'un de ses bras sur le trajet de l'équerre 35 du curseur 23.
Lorsque l'aimant est parcouru par le cou rant, comme indiqué ci-dessus, et que la cou lisse 20 et le curseur 23 exécutent leur biais- que mouvement de retour, l'équerre 35, entraî nant la patte 69 de manière à faire basculer l'étrier 68 d'une courte distance dans le sens dextrorsum (en fig. 5), oblige un bras 73 de ce dernier à prendre contact avec une équerre 72 d'un bras 71 calé sur un court arbre 70 monté de manière basculable dans les bâtis 2 et 4.
Calée sur l'arbre 70 se trouve une paire de longs goujons 74 et 75 reliés, à leur autre extrémité, à un bloc imprimeur 76. Le bloc 76 coopère avec des roues à caractères 77, 78 et 79 (fig. 7), décrites ultérieurement, par une ouverture dans la glissière à papier 53.
Un court arbre 191 (fig. 7) porté par les bâtis 2 et 3 supporte, de manière rotative, un tambour encreur 90 qui soutient et encre un raban 91. Le ruban 91. est sans fin et est d'abord bouclé autour du tambour encreur. De là, il est conduit sous l'axe du tambour, sous les roues à caractères 77, 78 et 79, autour d'un autre guide fixe, puis repasse sous les roues .à caractères, par-dessus un autre goujon (non représenté) et revient au tambour en creur. De cette manière, entre les roues à ca ractères<B>77, '88</B> et 79 et le bloc 76 se trouve une double épaisseur de ruban encreur 91.
Un fil 1191, sollicité par un ressort, s'en gage sur l'arrière du ruban 91, de manière à le maintenir sous tension. Lorsque l'étrier 68 bascule le bras 71, comme indiqué plus haut, le bloc imprimeur appuie sur la fiche introduite, contre le dou ble ruban 91 et contre les roues à caractères 77, 78 et 79, afin que ces dernières effectuent une impression.
Pivotant. sur l'arbre<B>191.</B> cl-ut tambour 90 se trouve un levier d'avancement de ruban 92 terminé en fourchette, de manière à. chevau cher une goupille 93 d'un cliquet d'avance ment 87 du numéro consécutif, décrit. plus loin. Pivotant sur le levier 92, un cliquet. 94 reste, par l'intermédiaire d'un ressort, en prise avec un rochet 95 faisant partie inté grante du tambour encreur 90. Ainsi, on voit. que chaque fois que le eliquet d'avancement 8 7 de numéro est, manoeuv ré, le levier 92 est basculé de manière à faire avancer le ruban d'un cran. Un cliquet. de sécurité est. en prise avec le rochet 95 et empêche tout mouvement du ruban en sens contraire.
Bloquée dans un levier 82 (fig. :5 et 7) se trouve une goupille 86 qui porte un cliquet de manoeuvre à plusieurs fourchettes destiné aux roues du numéroteur 77. Un mécanisme de report. classique à eneoches profondes est prévu pour les roues du numéroteur 77.
Lorsque la touche 11 (fig. 1 et 3 ) est com plètement. enfoncée, la coulisse<B>2</B>0, vers la fin de sa course vers le bas, oblige l'ergot 37 à prendre contact avec le bras 67, faisant bas culer l'arbre 54 dans le sens senestrorsum. Un bras 81 se déplace de manière analogue et le levier 82 se soulève, emportant avec lui la gou pille 86, de manière à obliger le cliquet 8 7 à se déplacer vers l'avant comme on le voit à la fig. 7 et à faire avancer d'un pas la roue de numéroteur 77, de l'ordre inférieur.
Lorsque la. coulisse 20 (fis. \_') retourne vers le haut, le bras 67 est. libéré par l'ergot 3 7 et un ressort 182 (fig. 5), fixé à, un ergot 83 du levier 82 et au bati 2, ramène l'arbre 54 dans le sens dextrorsum, obligeant le levier 82 à se déplacer vers le bas et à retirer le cliquet 87 pour la prochaine course de fonc tionnement.
Le groupe des roues imprimeuses com prend les roues du numéroteur 77 qui vien- vent d'être décrites, une série de roues de date 78 et une série de roues de numérotage 79 adaptées de manière à. être réglées (une fois pour toutes) sur un numéro individuel d'iden- tifieatioii du mécanisme marqueur, ou pour un autre but. Ces dernières roues sont réglées à la main, puis maintenues par un aligneur fixé en vue d'un mouvement latéral sur un arbre qui supporte le cliquet de sécurité pour les roues de numéros.
Le groupe clés roues à caractères est sup porté sur un court arbre 96 se prolongeant. entre les bâtis 2 et 3 (fig. 7). Montées rota tives sur un ergot 97 du bâti 3 se trouvent. des roues intermédiaires 98 engrenant. cha cune avec une des roues dateuses 78. Ces roues intermédiaires 98 engrènent aussi avec des roues dateuses visibles 99 montées sur un arbre 100 porté entre les bâtis 2 et 3.
Lorsque l'opérateur dispose les roues visi bles 99, les roues intermédiaires 98 transmet tent le régla;e aux roues imprinieuses de date 78.
Pivotant. sur un goujon 101. du bâti 3 se trouve une série de leviers 102, dont. un bras porte un galet 103 s'engageant. entre deux dents adjacentes d'une roue intermédiaire 98. A l'autre bras est fixé un léger ressort 104, dont l'autre extrémité est. ancrée à un ergot. du bâti 3. Ainsi, ces leviers agissent comme aligneurs pour les roues intermédiaires 98 et, par voie de conséquence, pour les roues ini- primeuses de date 78.
L'électro-aimant 13 est monté sur une plaque 105 (fig. 2 et 3) assujettie entre les bâtis 1. et 2, près du sommet de ceux-ci, et cet électro-aimant est d'un modèle appro prié, dont les arrivées sont reliées à un dispositif de commande à distance. L'arma ture 14 de l'électro-aimant. 13 est, du type à plaque, pivotant à l'une des extrémités de l'aimant. L'autre extrémité de la plaque d'ar mature 14 vient se placer sous une queue 107 du cliquet 22, comme on le voit à la fig. 3.
Lorsque l'emplové approbateur enfonce un bouton (non représenté), un circuit se trouve fermé, par l'intermédiaire de contacts 131, 132 (fig. 6), de sorte que le courant éleetri- que parcourt l'électro-aimant 13 (fig. 2 et 3), dont, l'armature 1-1, attirée, prend contact avec la queue 107 du cliquet 22, faisant basculer ce dernier qui libère la coulisse 20, laquelle re tourne vers le haut, entrahiant le bloc 76 (fig. 5) et retirant le cliquet des numéros de série 87 (fig. 7)
pour faire avancer le ruban 91 d'un cran.
Une prise de courant. 108 (fig. 6), fixée à l'aimant 13 (fig. 2), peut recevoir une fiche <B>133</B> (fig. 6) portant des conducteurs allant vers l'ensemble téléphonique et vers le poste de commande à. distance.
Un condensateur 162 est branché au bâti, de manière à étouffer toute étincelle prove nant de l'électro-aimant.
A l'intérieur du perforateur 49 (fig. 5) se trouve une plate-forme inclinée par la quelle les confetti provenant de la. perforation passent dans un récipient que l'on peut enle ver du mécanisme marqueur pour le vider. On peut prévoir une ouverture dans le récipient, de telle soi-te que, si l'opérateur oubliait de le vider, l'excédent. de confetti se répande à l'extérieur du récipient.
Les deux barres transversales principales du mécanisme reçoi- veut des vis sans tête dont. les extrémités infé rieures reposent. sur des rebords du coffre 1.0 (fig. 1), les vis étant réglées de façon que le mécanisme repose bien à plat dans son coffre.
Deux longs ergots filetés (non représeri- tés) traversent à angles droits le centre des barres transversales principales et se vissent. jusque dans le bas du coffre. Quatre goujons de l'ensemble téléphonique viennent s'adap ter dans des trous pratiqués dans les barres transversales.
Une plaque de base de l'ensemble télépho nique présente une fente avec laquelle coopère Lin verrou monté de manière coulissante sur le bâti central. Une fois que l'ensemble télé phonique a été monté sur le mécanisme mar queur, le verrou de fixation ne peut être li béré qu'en introduisant un long tournevis dans une ouverture, normalement fermée, pra tiquée sur le devant de l'ensemble téléphoni que, et en poussant. sur le verrou jusqu'à le rendre inopérant. Cette ouverture pratiquée dans l'ensemble téléphonique est fermée (fig. 1) par une plaque indicatrice de nu méro de téléphone<B>110.</B> Cette dernière est. fixée à l'ensemble téléphonique par des agra fes à ressort dissimulées.
Variante: On voit à la fig. 8 une variante dans la quelle il est prévu un dispositif pour permet tre au vendeur de libérer le levier principal de manoeuvre 11 (fig. 1 et 3) qui était armé, si le crédit n'est pas accordé pour l'opération envisagée.
Dans cette variante, l'enfoncement d'un bouton de libération déplace la queue du cli- quet de pleine course de telle manière que le cliquet se trouve mis hors service, de la ma nière qu'il serait déplacé par l'alimentation de l'électro-aimant de libération; de la sorte, les pièces sont ramenées à leur position nor male en vue d'une nouvelle course.
Etant donné qu'on ne désire pas que le numéro de série soit avancé à l'opération sui vante, puisqu'il a déjà été avancé au moment. où l'on a armé pour la dernière fois le levier principal de man#uvre, il est prévu un dis positif grâce auquel la prochaine manceuvre du levier n'a pas pour effet. de provoquer une telle avance. De même, il est prévu un dispo sitif pour amener une partie du mécanisme de liaison de fonctionnement du bloc imprimeur en position inopérante, afin qu'il ne se pro duise aucune impression au cours d'une opé ration consécutive à une opération pour la quelle aucun crédit n'a été accordé.
Dans la présente variante, il est prévu un dispositif dont le rôle est, une fois que le levier prin cipal de manoeuvre a été armé, d'empêcher le retrait de la fiche préalablement introduite, tant que les pièces n'ont pas été ramenées à leur position normale.
Le retour des pièces à la normale aura, entre autres effets, celui de rendre inopérant le dispositif de retenue de la fiche, de façon que celle-ci puisse être librement retirée.
Si l'on se reporte à la fig. 8, on voit une bielle 111 montée coulissante sur le bâti de gauche 1. et supportée par deux ergots 112 et<B>113.</B> Près de l'extrémité de gauche de la bielle<B>11.1,</B> une ouverture élargie 114 peut re cevoir un long ergot 115 du bras de manoeu- vre 82 du numéro consécutif. Le bras 82 est. pourvu d'une fente en<B>L</B> 124, coopérant avec la goupille 86 du cliquet de manoeuvre 8 7 de numéroteur.
Près du centre de la, bielle<B>111</B> se trouve une fente coopérant avec un ergot 117 du eli- quet 22.
Pivotant sur un ergot 1.1.8 du bâti de gau che 1, un levier 119 fourchu chevauche un ergot 120 de la bielle<B>11.1.</B> Calé sur le bras de droite du levier 119 se trouve un levier de libération 1.21 manceuvrable à la main au moyen d'un bouton 122. Il est, évident que l'enfoncement du bouton 122 fait basculer le levier 119 dans le sens dextrorsuin en provo quant le déplacement de la bielle 111 vers la droite. Ce mouvement, grâce à la fente et à l'ergot 117, fait basculer le cliquet 22 dans le sens senestrorsum, de manière à. libérer la cou lisse 20, en permettant le retour sous l'in fluence du ressort. 17 (fig. 3 et 4).
Un fort. ressort. 123 (fi-. 8), ancré entre un ergot de la bielle 111 et un ergot du bâti de gauche 1., ramène la bielle 111 vers la gau che lorsqu'on cesse d'exercer une pression sur le bouton 122.
Lorsque la bielle 111 est. déplacée vers la droite, comme indiqué ci-dessus, l'arête de gauche de l'ouverture élargie 114 prend con tact avec la goupille 115, amenant le bras 82 à basculer dans le sens dextrorsum et la por tion verticale de la fente 121 à coopérer avec la goupille 86. A ce moment, le ressort 182 (fig. 5) oblige le bras 82 à se déplacer légère ment vers le bas, de façon que la goupille 86 soit obligée de remonter sur une partie de la portion verticale de la fente 124.
Lors de l'opération suivante du levier prin cipal de manceuvre 11, l'ergot 86 ne fait que se déplacer à vide dans la portion verticale de la fente 124, sans provoquer aucun entraî nement du cliquet 87 d'avance du numéro et des roues 78 (fig. 7).
L'étrier de manoeuvre 68 du bloc impri meur 76 (fig. 5) comporte un bras 125 (fig. 8 pivotant sur lui. Ce bras 125 comporte une équerre 126 coopérant. avec la patte inférieure 35 du curseur 23.
Le bras 125 comporte une fente allongée 127 dans laquelle pénètre un ergot 128 de la bielle 111. Ainsi, lorsque la bielle<B>111.</B> est dé placée vers la droite, lors de l'enfoncement du bouton 122, l'ergot. 1.28, coopérant avec la fente 127, oblige le bras 125 à basculer dans le sens dextrorsum. Lorsque la coulisse 20 re tourne à sa position première et, vers la fin de sa course, entraîne vers le haut le curseur 23 d'un même mouvement, la patte 35 ne prend pas contact avec l'équerre 126, étant donné que cette dernière a été écartée de son trajet, de sorte que le bloc imprimeur 76 n'est. pas entraîné.
Un dispositif approprié est prévu pour maintenir normalement dans la glissière 53 (fig. 5) la fiche une fois qu'elle y a été intro duite, dès que l'enfoncement de la touche principale de manoeuvre 11 a commencé (fi-. 1 et 3), ledit dispositif de retenue étant auto matiquement rendu inopérant lorsque le-; pièces retournent à leur position d'origine, afin que la fiche puisse être retirée de l'enre- gistreur.
Bien entendu, dans cette variante, la per foratrice est actionnée quand la coulisse 20 est remontée manuellement à sa position supé rieure, de façon que la fiche soit perforée. Pourtant, cela n'a pas d'importance, parce que la fiche ne porte pas l'impression du nu méroteur 77 et des roues dateuses 99, et donc n'est pas tout. à fait autorisée.
Card marker mechanism. The object of the present invention is. a card marker mechanism controlled by a remote operable device.
An example of the application of such a mechanism can be constituted by a credit sanction system. In such systems, two main sets are generally provided: a recording set. and a set of sanctions or approvals. When a customer wants credit, the salesperson calls the accounting clerk dealing with customer accounts and inquires about the customer's credit. is sufficient to cover the amount of the current purchase. The recording of this purchase, at the time of the request for information, is carried out on a standard type of card for the goods sold.
When the salesperson calls the approval clerk, they place the card in an appropriate slot on a marking device.
When the employee's approval. has verified that the customer is, in fact, covered for the amount of the purchase in progress, he presses a button which closes a circuit comprising the marker device and operates the main mechanism of this device. this.
The card is then perforated with an approval symbol, consisting for example of a series of holes, or by any other sign, and on the card, the following information is also printed: serial number of the approval, date and identification number of the device that carried out the transaction. If the customer is not granted credit, the approving employee notifies the salesperson by telephone, and the salesperson removes the card from the marker and announces to the customer that the credit is granted. cannot be granted to him.
Removing the plug cuts the electrical circuit going to the point. approval with the marker and, from that moment, it is no longer possible for the approving employee to cause the operation of the printing and perforating mechanism.
In a known form of such an authorization or approval device, the energy necessary for the execution of the marking movement is drawn entirely from a solenoid, arranged so as to be actuated remotely, and requires the. implementation of relatively high current intensities, with the resulting wiring and equipment.
The index card making mechanism. the object of the invention is controlled by a device that can be operated remotely, and it comprises a marking device, a device that can be operated by hand from a normal position to a position in which a spring is energized , a latch for retaining said device in the last position and controlled by the remotely operable device, so as to allow the spring to bring the manually operable device to the normal position.
This mechanism is further characterized by a mechanism actuated by the device operable by hand, during its return, to temporarily actuate the marking device, so that the card is marked.
The appended drawing represents, by way of examples, two embodiments of the mechanism forming the subject of the invention.
Fig. 1 is a front view of a first embodiment mounted in a safe with a telephone assembly.
Fig. 2 is a side view of the left frame and parts of the mechanism attached to it.
Fig. 3 is a view of the left frame, showing a release electromagnet and some other parts attached to the frame.
Fig. 4 is a side view of a left plate showing a main lever, a segment and an actuating main spring.
Fig. 5 is a fragmentary perspective view, seen from the rear, of a central frame, the right frame and certain related parts.
Fig. 6 is a perspective view of a feeler member, showing its connections with the contact wires of a remote control circuit.
Fig. 7 is a perspective view of the wheels of a numberer, of their operating rulers and of a device for advancing the tape.
Fig. 8 relates to a second embodiment.
General. The embodiment of the marker mechanism shown in FIG. 1 to 7 is associated with a credit approval system.
The employee or the seller draws up a record of the transaction for which a credit is requested, dials the number of the approving employee in charge of the particular accounting section in which the customer's account is located, uses the telephone plug into the marker mechanism and fully press the operating button. He then asks if the envisaged customer is covered by the amount shown on the form. The accounting clerk refers to the file and, if the account is up to date, presses an approval button. This causes the circuit of an electromagnet to close, the armature of which releases a pawl which normally retains a main slide in the armed position.
A strong spring then forces the main operating lever and the other parts of the marker mechanism to. come back to. their original position.
During this return motion, a numberer drive elquet is driven back, ready, to re-train a next consecutive number. He. con just remarked that the ratchet maneuver that does. forwarding the number occurs when the main operation key is operated by hand.
In addition, during the return movement, an impression is made on the card, consisting of a serial number corresponding to the approval, a date and an identification number of the marker mechanism which was used for the transaction. At this time, a punch group is operating and printing a perforated design, so as to indicate that formal approval has been given to the granting of credit for the contemplated transaction.
Inserting the card into the marker mechanism and fully depressing the main key causes the closure of a circuit comprising a red warning lamp located at the approval point and informing the approving employee that these necessary operations have. been carried out. The circuit is arranged in such a way that pressing the approval button will not have the effect of releasing the electromagnet until the above operations have been carried out.
A box, placed in the cabinet so that it can be easily removed, is intended to receive the perforation confetti.
If the accounting clerk notices #, that the account in question is not covered by the requested credit amount, he informs the counter clerk by telephone and refrains from pressing the approval button.
The seller then removes the. plug, and the main maneuver key, which has just been armed, remains in the armed position, ready for the next operation. The removal of the unapproved plug opens, by means of a feeler, the circuit of the button of the approving employee, so that any pushing of this button will have no influence on the operation of the marker mechanism.
In another embodiment, if the credit is not granted, the seller pushes a release button which includes the marker mechanism and which releases the card from the device which held it in place; the plug is then withdrawn, and, at the same time, the pawl of the main slide is released as well as the other parts (read mechanism, and returned to their original position.
Depression of the marker mechanism release button renders the device for removing the operating pawl from the mechanism inoperative and, consequently, the corresponding wheels are not advanced to the next operation of the main operating key. The depressing of the release button also has the consequence of rendering the printing mechanism and inoperative. the tape feed mechanism.
Detailed <I> description. </I>
The marker mechanism shown in fig. 1 to 7 is mounted on three main frames, a left frame 1 (fig. 2, 3, -1 and 5), a central frame? (fig. 5 and 7) and a right frame comprising. an upper section 3 and. a lower section 4, the latter carrying a sheet holder shelf 30 (Figs. 1 and 6). The frames are interconnected by two transverse spacers 5 and 6 and by other bars.
The upper 3 and lower 4 sections of the right frame form a slide 53 (fig. 1 and 5) intended for the insertion of the customer's card. for printing and perforation.
An ordinary automatic telephone apparatus 9 (fig. 1) has studs which fit into openings made in the spacers 5 and 6. The frames are enclosed inside a safe, the front wall 10 of which receives a recording group. The spacers 5 and 6 are arranged to receive grub screws which are suitably adjusted until the recorder comes to rest correctly on bosses provided in the trunk.
A main operating button 11 (fig. 1 and 3) is attached to a lever passing through the frame 1 and emerging from the trunk. The other end of the lever is. attached to a slide 20 adapted for movement. alternative on a pair of guides 1.8 and 19 (fig.?) riveted to the frame 1. A slot 1-10 made in the frame 1 allows the reciprocating movement of the button 11 and its support.
A segment 15 pivots at 150 (fig. -1) on the frame 1, this segment 15 comprising a deep notch. Key lever 11 projects through this notch and thus causes segment 15 to be tilted back and forth as key 11 is. moved in a reciprocating motion downward or upward. When the segment tilts in the serrestorsum direction, its solid part completely conceals the slot 1.10 made in the frame 1, so as to prevent any out-of-place manipulation of the parts while the key 11 is operated with a view to making it work. the training device.
On the side cltt segment 15 is fixed a disk 134 which comprises an annular recess adapted to support and guide a very strong main spring 17, secured by one of its ends to a lug fixed to the segment, and by the other to a lug 16 fixed to the left frame 1.
The backstage? 0 is. guided in its movement. along guides 18 and 19 by means of four rollers 210 provided with an annular groove (fig.?), these rollers being rotatably mounted on the slide, their annular grooves being of such a width that they come by engaging the edges of the guides 18 and 19 in order to allow easy movement of the slide up and down.
One of the edges of the slide 20 (fig. 2 and 3) has teeth which cooperate with a full stroke pawl 22 pivoting on a lug 21 fixed inside the left frame 1. A spring 220 (fig. 3), set at. the tail of the pawl 22 and to a lug of the frame 1, maintains the nose of the eliquet in elastic engagement with the teeth of the slide 20.
It is evident that when the key 11 is pressed and the slide 20 moves downwards, the nose of the eliquet '' 2 will pass from one tooth to the next of the smooth neck and so on, so as to prevent the return movement of this slide until the latter has been released in the manner described below. Thus, the pawl 22 functions as a full stroke device.
A slider 23. (fig. 2 and 3) has slots 24 and 25 which cooperate with er:; r; ts 26, of which Lin alone is represented; attached to the left frame 1. The end of a spring 29 is fixed to a lateral extension 28 of the slider 23, the other end of which is fixed to a washer 12 integral with the frame 1.
In the right edge of the slider 23 are made two notches 31. and 32, the lower notch 32 cooperating with a foot 33 of the pawl 22. in order to normally maintain the slider 23 in its highest position despite the action. of the spring 29. The clicking movement of the eliquet 2 ?, during movement. of the. slide 20 down, not enough. release the foot 33 of the pawl from the notch 32 of the slider 23.
An electromagnet 1.3 (fig. '? And 3) is fixed to the left frame 1. and, when this magnet is traversed by current, an extension of the pawl is taken by the armature 11 of the magnet 13 , which is placed under this extension. The pawl 22 must then swing in the senestrorsum direction (in fig. 2), thanks to which the res comes out 17 (fig. 3 and 4) recalls the. button 11 and slide 20 to their normal or upper position.
When the tipping. the pawl 22 is caused, the foot 33 thereof is released from the notch 32 of the slider 23. The latter is. then immediately moved downwards by the res exits 29 until the upper notch 31 engages with the foot <B> 33 </B> of the pawl 22. The latter rocks further on its lug 21, thanks to , whereby its nose is removed from the path of the teeth of the slide 20, allowing <B> </B> the latter to be returned freely under the influence of the main spring. 17 when the current is sent to the electromagnet 13.
The cursor 23 (fig. \ ') Is. provided with an upper stopper 34 and a lower stopper 35. The upper stopper 34 comes into contact with the upper edge of the slide 20 when the latter returns into position, which also returns the slider 3 to its position. normal position. (The return movement is sudden, and at this point the lower stopper 35 activates a printing mechanism which will be described below.
The slide 20 comprises a pad 38 on its left side and this pad is adapted to cooperate with a damping lever 39 mounted on a lug 131a, fixed to the left frame 1. Attached to the lever is a strong spring 41, the other of which is end is attached to -He lug: 42: of the frame 1. When the slide 20 is rowed born by the main spring 17, the bearing. 38 strikes the lower surface of the lever 39 which absorbs the shock.
A pebble. 36 protrudes at. the upper right corner. of the. slide 20 and the lug 37 protrudes near the lower left angle of the smooth neck.
A tree 142 (fis. 5) is. mounted loosely in frames 1, 2 and 4. Fixed on this shaft is a lever 43 facing upwards, composed of an upper part and a lower part, fixed by nuts and bolts passing through enlarged holes , so as to allow one. initial relative adjustment to make the stroke to be given to a drilling mechanism described later. Attached to the upper end of lever 43 by two lugs is a cam 46 cooperating with roller 36. Cam 46 is biased by a spring. 129 of which. the other end is. attached to the spacer 6.
When the. slide 20 moves downwards, when the button 11 is operated (fig. 1 and <B> 3), </B> the roller 36 cooperates with the right side. of the cam 16, forcing the lever 43 to swing in the senestrorsum direction (fig. 5). As the slide 20 approaches the end of its downward stroke, the roller 36 passes past the boss of the cam 46, after which the spring 1.29 returns the lever 43 slightly in the dextrorsum direction, so that the roller 36 comes into contact with the opposite face of the cam 46.
The subsequent return movement of the smooth neck 20, via the roller 36, forces the lever 43 to. be toggled in the dextror- sum direction to return to. its normal position.
A perforator control lever 47 is attached to the left end of shaft 142 (Fig. 5), this lever having a widened slot engaged with a pin 134b of a perforator 49. The perforator is guided. for vertical reciprocating movement by pins 50 protruding from a perforator frame 48, the larger of these pins constituting the main guide and being surrounded by a spring 51. The perforator frame 48 can receive a slight lateral movement on a short shaft 52 mounted on the central frame 2 and the upper right frame 3. This lateral movement allows the perforator group to be self-aligning, which avoids exerting a force on the smaller pins 50.
The slot made in the lever 47 allows free movement of the lever relative to the perforator 49 when the lever 43 is tilted in the senestorsum direction. When the lever 43 returns slightly in the opposite direction, the lever 47 switches in a similar manner until the lower edge of the slot comes into contact. with pin 134b.
Movement. Complete return of the lever 43 forces the lever 47 to move the perforator 49 upwards, so that the pins 50 perforent.une plug previously introduced clans the slide 53 and in a corresponding opening of the perforator.
Just as the slide 20 approaches the end of its return movement, the roller 36 passes the upper boss of the cam 46 and the spring 51 causes a partial return movement of the lever 43 and the drill 49 in the opposite direction, whereby the perforator 49 is returned to its normal position. This return of the perforator 49 is possible thanks to the enlarged slot made in the lever 47.
A foot of the perforator 49 limits the return stroke of the latter by making contact with a cross member passing through the frames 2 and 4. A shaft 54 (fig. 5 and 6), freely mounted in the frames 1, 2 and 3 , supports a key mechanism operating a printing press.
On the shaft 54, between the central frame and the lower right frame 4, pivots a feeler member 55 (fig. 6) having an elongated tongue 56 at the upper part, which passes through a slot in the table 30 and penetrates into it. the slide 53 of the plug. A light spring 59, attached between a lug fixed to the central frame 2 and the tail 161 of the feeler 55, normally maintains the latter in such a way that the tongue 56 protrudes into the slide 53.
A long stud 60 of insulating material protrudes out. approximately in the middle of the titrator 55.
On a pad 61 of insulating material, passing through the frames \ ?. and 4 is a pair of electric wires 62, 63. The front end of each of these wires is arranged so as to make contact with a rod 64 of electrically conductive material, which extends transversely to the other ends of the frames. 2 and 4.
On shaft 54, next to feeler 55, est. disposed a short curved arm 65 on which protrudes a lug 66 of electrically non-conductive material, which is in the same vertical plane as the wire 62. An arm 67 (Fig. 5), also. fixed on the shaft 54, can come into contact. with the lug 37 (FIG. 2) of the slide 20 when the latter reaches the end of its downward stroke. This contact of the lug 37 forces the shaft 54 to oscillate in the dextrorsal direction (fig. 6), after which the lug 66 comes into contact with the wire 62 and forces it to rest on the rod 64. .
When a file is introduced in the; slide 53, it moves the tab 56 of the feeler downwards, which pivots in the dextrorsum direction (fig. 6) and allows) the other wire 63 to descend to make contact with the rod 64. This closes the circuit shown on this, figure, and which leads to a place where there is an approval check and where a lamp lights up. The employee at this location then knows that the operating key 11. has been fully depressed and also that a record has been placed in the recorder.
The contact of the wires with the rod 64 also has the consequence of partially completing a circuit leading to the approval point, a circuit which will not be completely closed until the employee placed at this last point: has pressed a key or button which completes the circuit of the electromagnet 1.3 which then releases the slide 20, allowing it to return to its original position. As explained, this return of the slide triggers the perforator and also a printing mechanism which will now be described.
The shaft 54 carries a stirrup 68 (FIG. 5) having a tab 69 of one of its arms on the path of the bracket 35 of the slider 23.
When the magnet is traversed by the current, as indicated above, and the smooth neck 20 and the slider 23 perform their return movement bias, the square 35, driving the tab 69 so as to make tilting the caliper 68 a short distance in the dextrorsal direction (in fig. 5), forces an arm 73 of the latter to make contact with a bracket 72 of an arm 71 wedged on a short shaft 70 mounted in a tiltable manner in frames 2 and 4.
Wedged on the shaft 70 is a pair of long studs 74 and 75 connected, at their other end, to a printing unit 76. The unit 76 cooperates with type wheels 77, 78 and 79 (fig. 7), described. subsequently, through an opening in the paper slide 53.
A short shaft 191 (Fig. 7) carried by the frames 2 and 3 rotatably supports an ink drum 90 which supports and inks a flap 91. The tape 91 is endless and is first looped around the drum. inker. From there, it is driven under the axis of the drum, under the character wheels 77, 78 and 79, around another fixed guide, then passes again under the character wheels, over another stud (not shown ) and returns to the empty drum. In this way, between the wheels with characters <B> 77, '88 </B> and 79 and the block 76 there is a double thickness of ink ribbon 91.
A wire 1191, biased by a spring, engages on the back of the tape 91, so as to keep it under tension. When the caliper 68 rocks the arm 71, as indicated above, the printing unit presses on the inserted card, against the double ribbon 91 and against the character wheels 77, 78 and 79, so that the latter effect an impression.
Swivel. on the shaft <B> 191. </B> cl-ut drum 90 is a tape feed lever 92 terminated in a fork, so as to. straddle a pin 93 with a feed pawl 87 of the consecutive number described. further. Pivoting on lever 92, a pawl. 94 remains, by means of a spring, engaged with a ratchet 95 forming an integral part of the ink drum 90. Thus, we see. that each time the number 8 7 feed tab is operated, the lever 92 is tilted so as to advance the tape one notch. A ratchet. security is. engaged with the ratchet 95 and prevents any movement of the tape in the opposite direction.
Locked in a lever 82 (fig. 5 and 7) is a pin 86 which carries an operating pawl with several forks intended for the wheels of the numberer 77. A transfer mechanism. classic with deep eneoches is intended for the wheels of the numberer 77.
When button 11 (fig. 1 and 3) is completely. depressed, the slide <B> 2 </B> 0, towards the end of its downward stroke, forces the lug 37 to make contact with the arm 67, causing the shaft 54 to move downwards in the senestrorsum direction. An arm 81 moves in a similar fashion and the lever 82 rises, taking with it the pin 86, so as to force the pawl 8 7 to move forward as seen in FIG. 7 and to advance the numberer wheel 77 by one step, of the lower order.
When the. slide 20 (fis. \ _ ') returns upwards, arm 67 is. released by the lug 3 7 and a spring 182 (fig. 5), fixed to a lug 83 of the lever 82 and to the frame 2, returns the shaft 54 in the dextrorsum direction, forcing the lever 82 to move towards the down and remove pawl 87 for the next operating stroke.
The printing wheel group comprises the numbering wheels 77 just described, a series of date wheels 78 and a series of numbering wheels 79 adapted so as to. be set (once and for all) to an individual identification number of the scoring mechanism, or for another purpose. These latter wheels are adjusted by hand and then held by an aligner attached for lateral movement on a shaft which supports the safety pawl for the number wheels.
The character wheel key group is supported on a short 96 extending shaft. between frames 2 and 3 (fig. 7). Rotary mounts on a lug 97 of the frame 3 are found. intermediate wheels 98 meshing. each with one of the date wheels 78. These intermediate wheels 98 also mesh with visible date wheels 99 mounted on a shaft 100 carried between the frames 2 and 3.
When the operator places the visible wheels 99, the intermediate wheels 98 transmit the setting to the imprinious wheels of date 78.
Swivel. on a stud 101. of the frame 3 is a series of levers 102, including. an arm carries an engaging roller 103. between two adjacent teeth of an intermediate wheel 98. At the other arm is fixed a light spring 104, the other end of which is. anchored to a lug. of the frame 3. Thus, these levers act as aligners for the intermediate wheels 98 and, consequently, for the date starter wheels 78.
The electromagnet 13 is mounted on a plate 105 (fig. 2 and 3) secured between the frames 1 and 2, near the top thereof, and this electromagnet is of an appropriate model, of which the arrivals are connected to a remote control device. The armature 14 of the electromagnet. 13 is of the plate type, pivoting at one end of the magnet. The other end of the mature rear plate 14 is placed under a shank 107 of the pawl 22, as seen in FIG. 3.
When the approving employee pushes a button (not shown), a circuit is closed, via contacts 131, 132 (fig. 6), so that the electric current flows through the electromagnet 13 ( fig. 2 and 3), of which, the frame 1-1, attracted, makes contact with the shank 107 of the pawl 22, causing the latter to tilt which releases the slide 20, which turns upwards, entrahiant the block 76 ( fig. 5) and removing the pawl of serial numbers 87 (fig. 7)
to advance the ribbon 91 one step.
A power socket. 108 (fig. 6), fixed to magnet 13 (fig. 2), can receive a plug <B> 133 </B> (fig. 6) carrying conductors going to the telephone set and to the telephone set. order to. distance.
A capacitor 162 is connected to the frame, so as to suppress any spark coming from the electromagnet.
Inside the perforator 49 (fig. 5) is an inclined platform through which the confetti coming from the. perforation pass into a container which can be removed from the marker mechanism to empty it. We can provide an opening in the container, so that, if the operator forgot to empty it, the excess. of confetti spills out of the container.
The two main transverse bars of the mechanism receive grub screws of which. the lower extremities rest. on the edges of the box 1.0 (fig. 1), the screws being adjusted so that the mechanism lies flat in its box.
Two long threaded lugs (not shown) pass through the center of the main crossbars at right angles and are screwed together. to the bottom of the trunk. Four studs of the telephone assembly fit into holes made in the crossbars.
A base plate of the telephone assembly has a slot with which the lock cooperates slidably mounted on the central frame. Once the telephone set has been mounted on the marker mechanism, the securing lock can only be released by inserting a long screwdriver into an opening, normally closed, in the front of the telephone set. that, and pushing. on the lock until it becomes inoperative. This opening in the telephone assembly is closed (fig. 1) by a telephone number indicating plate <B> 110. </B> The latter is. attached to the telephone set by concealed spring clips.
Variant: We see in fig. 8 a variant in which a device is provided to allow the seller to release the main operating lever 11 (fig. 1 and 3) which was armed, if the credit is not granted for the operation envisaged.
In this variant, the depressing of a release button moves the tail of the pawl full stroke so that the pawl is put out of service, so that it would be moved by the power supply of the latch. 'release electromagnet; in this way, the parts are returned to their normal position for a new stroke.
Since we do not want the serial number to be advanced to the next operation, since it has already been advanced at the time. where the main operating lever was cocked for the last time, a positive disassembly is provided thanks to which the next operation of the lever has no effect. to cause such an advance. Likewise, a device is provided for bringing a part of the operating link mechanism of the printing unit to the inoperative position, so that no printing occurs during an operation subsequent to an operation for which. no credit was granted.
In the present variant, a device is provided, the role of which is, once the main operating lever has been cocked, to prevent the withdrawal of the previously inserted plug, as long as the parts have not been returned to their normal position.
Returning the parts to normal will, among other effects, render the plug retainer inoperative, so that the plug can be freely removed.
If we refer to fig. 8, we see a connecting rod 111 slidably mounted on the left frame 1. and supported by two lugs 112 and <B> 113. </B> Near the left end of the connecting rod <B> 11.1, </ B > a widened opening 114 can receive a long lug 115 of the operating arm 82 of the consecutive number. The arm 82 is. provided with a <B> L </B> slot 124, cooperating with the pin 86 of the operating pawl 8 7 of the numberer.
Near the center of the connecting rod <B> 111 </B> is a slot cooperating with a lug 117 of item 22.
Pivoting on a lug 1.1.8 of the left frame 1, a forked lever 119 overlaps a lug 120 of the connecting rod <B> 11.1. </B> Wedged on the right arm of the lever 119 is a release lever 1.21 Maneuverable by hand by means of a button 122. It is obvious that the depression of the button 122 causes the lever 119 to swing in the dextrorsuin direction, causing the displacement of the connecting rod 111 to the right. This movement, thanks to the slot and the lug 117, switches the pawl 22 in the senestrorsum direction, so as to. release the smooth neck 20, allowing the return under the influence of the spring. 17 (fig. 3 and 4).
A Fort. spring. 123 (fig. 8), anchored between a lug of the connecting rod 111 and a lug of the left frame 1., returns the connecting rod 111 to the left when the pressure on button 122 is stopped.
When the connecting rod 111 is. moved to the right, as indicated above, the left edge of the enlarged opening 114 contacts the pin 115, causing the arm 82 to swing in the dextrorsum direction and the vertical portion of the slot 121 to cooperate with the pin 86. At this moment, the spring 182 (fig. 5) forces the arm 82 to move slightly downwards, so that the pin 86 is obliged to go up on a part of the vertical portion of the slot 124.
During the next operation of the main operating lever 11, the lug 86 only moves empty in the vertical portion of the slot 124, without causing any driving of the pawl 87 to advance the number and the wheels. 78 (fig. 7).
The operating bracket 68 of the printing unit 76 (fig. 5) comprises an arm 125 (fig. 8 pivoting on it. This arm 125 comprises a bracket 126 cooperating with the lower tab 35 of the slider 23.
The arm 125 has an elongated slot 127 into which a lug 128 of the connecting rod 111 penetrates. Thus, when the connecting rod <B> 111. </B> is moved to the right, when the button 122 is depressed, the 'ergot. 1.28, cooperating with the slot 127, forces the arm 125 to tilt in the dextrorsum direction. When the slide 20 turns to its first position and, towards the end of its travel, drives the cursor 23 upwards in the same movement, the tab 35 does not make contact with the square 126, given that the latter has been removed from its path, so that the printing unit 76 is not. not trained.
A suitable device is provided to hold the card normally in the slide 53 (fig. 5) once it has been inserted therein, as soon as the pressing of the main operating button 11 has started (fig. 1 and 3), said retaining device being automatically rendered inoperative when the-; parts return to their original position, so that the plug can be removed from the recorder.
Of course, in this variant, the drill is actuated when the slide 20 is manually raised to its upper position, so that the plug is perforated. Still, that doesn't matter, because the plug doesn't carry the impression of the nude meroteur 77 and date wheels 99, and so that's not all. fully authorized.