Compteur adaptable aux machines à imprimer les timbres, tickets etc. L'invention a pour objet un compteur adaptable aux machines à imprimer les tim bres, tickets etc.
Le dessin ci-joint représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de ce comp teur dans le cas où il est adapté à une ma- ehine à imprimer des timbres postaux payés d'avance dont la valeur varie entre un cen time et un franc. Certaines parties de cette machine sont représentées mais seulement celles nécessaires pour la compréhension du fonctionnement du compteur.
La fig. 1 est une vue en plan de celui-ci; La fig. 2 en est une élévation; La fig. 3 est une vue en plan, une boîte de recouvrement étant coupée pour montrer un mécanisme enregistreur; La fig. 4 est une coupe verticale mon trant ce mécanisme en élévation; La fig. 5 est une vue en plan, la boîte de recouvrement et des roues totalisatrices en francs et centimes étant enlevée pour laisser voir un mécanisme de verrouillage; La fig. 6 est une vue de côté correspon dant à la fig. 5, avec partie coupée; La fig. 7 est une vue par bout du comp teur; La fig. 8 est une section transversale montrant, en bout, le mécanisme de verrouil lage;
La fig. 9 est une vue par dessus de la roue totalisatrice en francs et centimes située le plus à gauche, c'est-à-dire représentant la plus forte valeur, telle que se trouve cette roue lorsque le compteur vient d'être réglé par l'employé de poste; La fig. 10 en est une section axiale; La fig. 11 est une vue de la même roue avant le réglage; La fig. 12 est une section axiale corres pondant à la fig. 11; La fig. 18 est une section suivant 13-13 de la fig. 10; La fig. 14 est une section suivant 14-14 de la fig. 10; La fig. 15 est une section suivant 15-15 ,de la fig. 10; La fig. 16 .est une section suivant 16-16 de 1a fig. 12;
Fig. 17 est une section suivant 17-17 de la fig. 12; Les fig. 18 et 19 sont des sections ana logues à la fig. 17 montrant l'action de di vers organes pendant la rotation des roues totalisatrices; Les fig. 20 et 21 montrent différents nombres indiqués par les roues totalisatrices en face du voyant à différents moments du fonctionnement du compteur; La fig. 22 est une section, à plus grande échelle du dispositif de verrouillage du comp teur avec la, machine à imprimer; La fig. 23 est une vue, à plus grande échelle, de certains organes représentés sur la fig. 12.
Le compteur comprend une base creuse 1 sur laquelle est montée une boîte 2 renfer mant le mécanisme enregistreur, la base 1 est fermée par une plaque coulissante 4 fixée par un verrou à ressort, 5, fig. 4.
La boîte 2 est fermée à sa partie supé rieure, sur ses côtés et à ses extrémités et elle est fixée sur la partie supérieure de la base par des vis 2s qui sont inaccessibles lorsque la plaque 4 est en place. Une extrémité de la boîte 2 est munie d'une ouverture dans laquelle s'engage, pour la fermer, un pro longement 1P, de la paroi de la base qui est venu de fonte avec celle-ci, de sorte qu'on ne puisse avoir accès à l'intérieur de la boîte que par une porte 2a prévue sur un côté de cette boîte et qui est fixée, lorsqu'elle est fer mée, par une serrure 2c empêchant toute ouverture non autorisée.
L'accès de la ser rure 2e peut encore être empêche par une plaque de protection 2t maintenue par un plomb ordinaire 2v, fig. 1 et 2, qui doit être brisé avant qu'une clé puisse être introduite dans la, serrure.
Un arbre 7 tourne dans une ouverture de la partie 1P, c'est-à-dire dans l'extrémité de la boîte 2, l'extrémité extérieure de cet arbre supportant un organe d'accouplement 8, et sur l'autre extrémité de cet arbre, à l'inté rieur de la boîte 2, sont fixés deux pignons 9 et 9a, espacés l'un de l'autre, mais soli daires entre eux. Le pignon 9 engrène avec la roue dentée 50a, fie. 3 et 4, fixée sur la roue des unités 50 du totalisateur comme dé- cric ci-dessous, ce totalisateur étant actionné par la rotation de l'arbre 7.
A l'intérieur de la<B>,</B> boîte 2 se trouve un châssis 3 supportant le mécanisme enregis treur. Ce ehâssis 3 est distant de la partie supérieure de la base 1 car il repose sur des pièces 3a auxquelles il est fixé par des vis 3s qui sont inaccessibles quand la plaque 4 est en place.
Le mécanisme enregistreur est du type dans lequel le mouvement de l'une des roues compteuse est communiqué à la roue suivante de rang d'unités plus élevé au moyen d'en grenages fonctionnant par intermittence. La roue des unités 50 est la roue motrice de la. série. Aucune de ces roues ne peut tourner indépendamment des autres mais -cha-cune d'elles est actionnée dans un ordre -de pro gression régulier au moyen de sa, liaison par engrenage avec la roue des unités. Comme représenté fi.g. 3 à 8, le mécanisme comprend une série de cinq de ces roues 50, 51, 52, 53, 54 qui sont montées librement sur un ,axe 60 supporté par les extrémités du châssis 3.
La roue 50, roue des unités de la série, est reliée à une roue dentée 50a et à une roue < i. une dent 50b solidaires l'une -de l'autre. La, roue 50a engrène avec le pignon 9 le l'arbre d'entraînement du -compteur et. par conséquent tout mouvement de cet arbre 7 relié par l'accouplement 8 à la machine à imprimer, est communiqué à la roue des uni tés 50 et, de là., proportionnellement aux au tres roues totalisatrices.
La roue 50 est celle des unités de cen times, la roue 51 celle des dizaines de cen times, la, roue 52 celle des francs, 53, des di zaines de francs, 54, des centaines de francs. Chacune de ces roues compteuses est munie d'une roue dentée 50a et d'un pignon<B>à</B> une dent 50b venus d'une seule pièce avec. elle, ou qui en sont solidaires. Les éléments si milaires portent sur le dessin -des signes de référence similaires.
Un axe 61 monté dans le châssis 3 est parallèle à l'axe 60. Sur cet axe 61 sont montés librement des petits pignons 62 ayant chacun dix dents mais une dent sur deux est coupée ou fraisée à une extrémité comme on le voit en 62a, fig. 3, pour former cinq butées. L'un de ces pignons intermédiaires 62 est placé entre deux roues totalisatrices voisines et adjacent à ces deux roues 50-51, 51-52, 53-54 etc., de telle façon que la partie dentée com plète engrène avec la roue dentée 50a soli daire de celle des deux roues totalisatrices qui correspond au rang d'unités le plus élevé; tandis que la butée 62a coopère avec le pi gnon à une dent 50b de la roue correspondant au rang d'unités le moins élevé, fig. 3.
Chaque pignon à une dent 50b actionne le pignon 62 correspondant, une seule fois à chaque tour, et, comme il y a cinq butées sur chaque pignon à dix dents 62, chacun de ceux-ci avance de deux dents à chaque tour de son pignon 50b correspondant. Comme chaque roue 50a a vingt dents, il s'ensuit que chaque roue totalisatrice d'une série de deux, correspondant au rang d'unités le plus élevé avance d'un dixième de tour à chaque tour de l'autre roue. Ce genre de construction est d'ailleurs bien connu.
Comme on le verra plus loin des moyens sont prévus pour verrouiller ce dispositif en registreur dès l'instant où il a atteint le mon tant total pour lequel il a été réglé.
Si dans un compteur comprenant trois roues totalisatrices on veut soustraire au lieu d'additionner, au lieu de remettre les roues compteuses à zéro, on les fait partir de mille puisque le nombre suivant est 999 et ensuite on soustrait successivement une unité à cha que fois jusqu'à ce qu'on atteigne 001; au prochain compte, au dessous de 1, les roues sont ramenées à zéro puisque on a soustrait 1000 du total original. Des moyens sont alors prévus pour qu'à ce moment le comp teur soit verrouillé et que les roues comp- teuses ne puissent plus être actionnées tant que le mécanisme de verrouillage n'est pas mû à la main.
Le dispositif enregistreur doit se trouver verrouillé lorsque les trois roues totalisatrices 52, 53, 54 indiquant des francs sont reve nues à zéro, quelles que notent les positions des deux roues 50, 51 indiquant des centimes. Sur chacune des roues 52, 53, 54 est fixé un disque placé du côté gauche de chaque roue. Chacun de ces disques 52e, 53e, 54e, fig. 4 et 5, est muni d'une encoche radiale 50d sur sa périphérie de façon à permettre l'engage ment d'une dent 14u, 14t, 14h d'un organe de verrouillage 14.
Cet organe 14 pivote à une extrémité d'une tige 14p portée par deux oreilles du fond du châssis 3, fig. 4 et 6, et il est normalement repoussé vers le haut par des ressorts 14s logés- dans des évidements du fond du châssis 3. L'extrémité libre de -cet organe 14 est munie d'une série de dents fai sant saillie vers le haut 14u, 14t, 14h, dis posées de façon à pouvoir s'engager respec tivement dans les disques à encoches. Une plaque 14a, fig. 3 et 5, est attachée sur l'un des côtés de l'organe de verrouillage 14, l'ex trémité externe de cette plaque fait saillie en 14e vers la porte 2a et constitue une poignée par laquelle l'organe de verrouillage 14 peut être abaissé à la main pour dégager ses dents des disques lorsqu'on règle à nouveau le compteur.
Cette plaque 14a possède aussi une saiillie inférieure 14b qui passe à triarvers une fente du fond du châssis 3 et arrive dans l'espace situé entre le fond du châssis 3 et la partie supérieure de la base 1 pour arrêter le levier de verrouillage 6 du compteur qu'on retrouvera plus loin.
Les dents 1411, 14t et 14u .ont des lon gueurs différentes suivant les disques avec lesquels elles coopèrent. La. dent 14h qui coo père avec le disque 54e porte sur ce -disque en maintenant les dents 14t et 14u éloignées de leurs disques 53c et 52c, fig. 4, jusqu'à ce que la dent 1411 .entre dans l'enc.och & 54d du disque 540, alors la dent 14t qui vient ensuite par ordre de longueur,
porte sur le disque 53c et maintient la dent 14u Moignée du -disque 52c jusqu'à .ce que cette dent 14t pénètre dans l'encoche du disque<B>530,</B> alors la dent 14u porte sur le disque 52c jusqu'à ce qu'elle entre dans l'encoche de ce disque. Ensuite comme il n'y .a, plus d'empêchement les trois dents 14h,
14t et 14u pénètrent sui vant toute la profondeur de leurs encoches respectives et verrouillent ainsi les roues compteuses à zéro.
Quand le compteur doit être réglé à nou veau ou "rechargé", l'organe 14 est abaissé à la main pour libérer les roues compteuses, afin de pouvoir les actionner, .et comme les roues 53, 54, 52 ne peuvent pas être action nées à la main, l'organe de verrouillage 14 reviendrait en prise dans les encoches 54d, 53d et 52d des disques s'il n'y avait pas d'obstacle. Des moyens sont donc prévus pour créer cet obstacle et le maintenir jusqu'à ce que le compteur ait de nouveau atteint le montant total pour lequel il a été rechargé. Dans ce but un anneau de garde 55 (fig. 3, 4 et 9 à 12) est monté de façon à pouvoir se mouvoir sur l'élément dont la roue 54 fait partie.
Les fig. 9 à 12 montrent en détail la cons truction de cet élément. Il comprend la roue dentée 54a, la roue totalisatrice 54, le disque 54e, la douille 54s et un pignon à une dent 54b, toutes ces pièces étant solidaires. La douille 54s possède une collerette annulaire 5le sur la périphérie de laquelle un chiffre "1" est gravé en alignement avec le "0" de la roue 54, fig. 9 à 1l. L'anneau 55 est monté librement sur la douille 54s entre la collerette 54e et le disque 54c. Cet anneau, de préférence moleté extérieurement pour fa ciliter l'entraînement à la main, est muni d'une partie annulaire 55a entourant la colle rette 54e et une encoche 55e sur cette partie annulaire, permet de voir le chiffre 1 de la collerette 54e quand on tourne l'anneau pour amener l'encoche au-dessus de ce chiffre, fig. 9.
L'anneau 55 est aussi muni d'une oreille 55b, fig. 10, sur le côté opposé à la partie 55a, cette oreille faisant saillie par dessus le disque 54e et étant suffisamment large pour recouvrir complètement l'encoche 54d du dis que 54e quand elle se trouve en face de cette encoche, fig. 14, en laissant découvert le reste de périphérie du disque 54c, fig. 12. Une petite encoche 55s en forme de segment est formée sur la face interne de l'anneau 55 et une goupille 54 (fig. 15) faisant saillie sur la douille 54s est engagée dans cette encoche.
Cette goupille et cette encoche limitent l'é tendue du mouvement de rotation de l'an neau 55 sur la douille 54s, de sorte que cet anneau soit actionné juste suffisamment pour que l'oreille 55b puisse recouvrir ou découvrir l'encoche 54d et l'encoche 55c pour rendre visible ou cacher le chiffre 1 de la collerette 54e . L'encoche 55e et l'oreille 55b sont dis posées de telle façon par rapport au disque 54e et à la collerette 54e que le chiffre 1 de la collerette est rendu visible seulement lors que l'oreille 55b recouvre l'encoche 54d.
La fig. 11 montre l'aspect de l'élément des centaines de francs vu en plan juste avant le "rechargement" du compteur, le chiffre 1 de la. collerette 54e étant à ce mo ment caché par la partie 55a .de l'anneau 55. Le compteur est ensuite chargé et le chiffre 1 est rendu visible par l'encoche 55c, fig. 9.
Quand, la. roue 54 est tournée- d'un dixième de tour, le chiffre 1 est éclipsé du voyant et la, prochaine fois que la roue 54 tourne de 'ho de tour l'anneau est entraîné avec la col- lerette 54e par la.
goupille 54p en contact avec une -des extrémités de l'encoche 55s de l'anneau 55, fig. 15, et, écartant l'oreille 55b du chemin de la dent 14h, celle-ci entre en contact directement avec la périphérie du dis que 54c, fig. 18, et même si l'anneau 55 qui est maintenant libre sur la, douille 54s est entraîné par des vibrations ou par toute autre cause, l'oreille 55b ne peut pas revenir entre le disque 54e et l'extrémité Je la dent 14h.
La fig. 1.4 montre l'oreille 55b recouvrant l'encoche 54d du disque 54c, la dent 14h fai sant pression sur elle. La fig. 18 montre le disque lorsque la. roue totalisatrice a presque terminé un tour, et l'oreille 55b ayant. de nouveau été ramenée à recouvrir l'encoche 54d. La fig. 19 montre le disque 54e dans une position encore plus avancée et montre comment l'extrémité de la dent 14h repousse l'oreille 55b de façon à pouvoir entrer dans l'encoche, position représentée sur la fi-. 17.
Pour empêcher l'arbre 7 ou le pignon 9 d'être actionnés en arrière pour inverser le mouvement des roues compteuses et modifier frauduleusement le montant enregistré, un cliquet 10, fig. 4, 6, 8, pivote sur l'extrémité du châssis 3 dans le plan de la roue dentée 9a et est maintenu en engagement avec cette roue dentée par un ressort 10a empêchant ainsi tout retour en arrière de l'arbre 7.
Pour empêcher que toute personne non autorisée puisse actionner ou manipuler les roues compteuses ou faire tourner l'arbre 7 inconsidérément, un cliquet 11 pivotant en 11@, sur la paroi arrière du compteur tend à être normalement engagé dans les dents de la roue 9a par un ressort lls et est empêché de prendre cette position seulement par ce que sa saillie inférieure llb repose sur le le vier 6a du volet, fig. 8, mentionné ci-dessous.
Ce cliquet 11 lorsqu'il s'engage sur la roue 9a empêche la rotation de celle-ci dans un sens, tandis que le cliquet 10 empêche la rotation dans le sens opposé.
Le cliquet 11 n'a pas pour but d'empê cher l'arbre 7 de tourner quand le compteur est séparé de la machine, mais il fait partie du dispositif de verrouillage du totalisateur et n'est engagé avec la roue 9a que quand les roues compteuses 52, 53, 54 sont verrouil lées à zéro. C'est le cliquet 12 qui est engagé avec la roue 9a chaque fois que le compteur est enlevé.
Afin de dégager le cliquet 11, de la roue 9a lorsqu'on charge le compteur comme dé crit ci-dessus, un levier à deux bras, 13, fig. 5 et 8, pivote en 13P sur le fond du châssis du totalisateur et est muni d'un ressort 13s qui maintient fortement le petit bras 13b du levier contre la partie adjacente du châssis 3 et le grand bras 13a du levier dé passe au-dessous des roues compteuses vers la porte de da boîte 2. Quand le bras 13a est déplacé vers la droite, fig. 5, le petit bras 13b est écarté du châssis 3 et rencontre une goupille llc fixée sur le cli- quet 11, ce qui dégage celui-ci de la roue 9a. En dessous du châssis 3, dans l'espace dû aux pièces 3a se trouve un levier à deux bras 6, fig. 6 et fig. 8, pivotant sur un ergot 6P et relié à un ressort 6s.
Le grand bras 6a de ce levier 6 est dirigé vers la paroi 1P et son extrémité a la forme d'un secteur 6a centré sur l'ergot 6P. L'intérieur de la paroi de la base 1 est concave pour correspondre à la tête convexe 6c du bras de levier 6a et lui permettre d'osciller librement sur son pi vot 6@.
Dans la tête 6c est percé un trou 6d pou vant, dans une certaine position du levier 6, correspondre à un trou la percé dans la base 1. Lorsque le levier 6 oscille, le trou 6d de la tête 6c se meut alternativement dans un sens et dans l'autre, et par conséquent la tête 6c obstrue et libère alternativement le pas sage d'un doigt 15, fig. 4 et 6, actionné par la machine à imprimer. La tête 6c constitue un volet pour le trou la.
Le bras 6b s'étend pempendiculairement au bras 6a vers la porte de la boîte 2 du compteur, son extrémité, fig. 5, formant une poignée commode pour la manoeuvrer quand on .charge le compteur.
A ce bras 6b est relié le ressort 6s qui le tire vers la gauche mais qui est normalement empêché de la déplacer dans ce sens, par l'in terposition de la saillie 14b de l'organe de verrouillage 14, fig. 4 et 6.
Quand le levier 6 du volet est dans une position telle que son petit bras 6b rencontre la saillie 14b, le trou 6d est directement aligné avec le trou la, de sorte que le doigt 15 peut entrer dans le trou 6d. Si la saillie 14b est écartée par exemple par suite du re lèvement de l'organe de verrouillage 14, alors le ressort 6s fait pivoter le levier 6 du volet et les trous 6a et la ne coïncident plus, le doigt 15 ne peut plus être actionné jusqu'à ce que le compteur soit rechargé.
A la gauche du compteur de soustraction ci-dessus décrit, et convenablement espacé de celui-ci, se trouve un enregistreur total. Ce dernier est composé de deux roues totalisa- trices 56 et 57, fig. 3 à 6, montées sur un axe 60 et recevant leur mouvement directe ment de la dernière roue du totalisateur ci- dessus décrit, c'est-à-dire la roue correspon dant au rang d'unités le plus élevé.
Dans la construction représentée l'enregistreur total est une reproduction de parties du premier enregistreur mais les roues compteuses de l'enregistreur total sont disposées de façon à additionner au lieu de soustraire et l'enre gistreur total indique la somme des diffé rents "réglages" ou "chargements" de l'enre gistreur à soustraction.
La roue totalisatrice 56 porte une roue dentée 50a et un pignon à une dent 50u coo pérant avec un pignon intermédiaire 62 qui est actionné par un pignon à une dent 54u de la douille 54s, le mouvement est transmis de la roue 54 à la roue 56 et de celle-ci à la roue 57 par des moyens similaires à ceux employés pour l'enregistreur de soustraction. Les éléments analogues portant, sur le des sin, des signes de référence similaires, il n'est pas utile de donner plus de détails à ce sujet.
Cependant les chiffres des roues tota lisatrices de l'enregistreur total sont dispo sés inversément par rapport aux chiffres des roues de l'enregistreur de soustraction, de sorte que tandis que ce dernier part de son nombre le plus élevé (1000) et soustrait jusqu'à ce qu'il ait atteint zéro, l'enregistreur total part de zéro et additionne jusqu'à ce qu'il ait son nombre le plus élevé.
La roue des unités 56 de l'enregistreur total est directement entraînée par la, roue des centaines de francs de l'enregistreur à soustraction, elle fait un dixième de tour à chaque tour de la roue 554 et comme l'enre gistreur à soustraction doit être rechargé chaque fois qu'il a atteint 1000 francs, il s'ensuit que l'enregistreur total enregistre ou additionne une unité chaque fois que le compteur à soustraction a atteint son nom bre total d'opérations, le compteur devenant, à ce moment, verrouillé contre toute opéra tion ultérieure jusqu'à ce qu'il soit rechargé. En pratique le compteur est chargé pour une somme déterminée à chaque réglage,, L000 francs pour le compteur représenté.
Par con séquent l'enregistreur total indique le nom- bru de fois que le compteur a été chargé ou réglé et ce total multiplié par 1000, dans le cas choisi, indique le montant total en francs des ports payés par l'usager du compteur.
La machine à imprimer avec laquelle lu compteur est employé ne rentrant pas dans l'objet de l'invention, il est suffisant d'in diquer qu'elle est munie d'un mécanisme im primeur, d'un doigt 15, d'un organe d'accou plement et d'entraînement et d'une serrure fonctionnant comme décrit ci-dessous.
Quand le compteur est employé avec une telle machine on suppose qu'il a été fourni par l'administration des postes et (si le comp teur est muni du totalisateur à soustraction) l'usager paye mille francs de ports pour que l'employé des postes amène le totalisateur de soustraction à indiquer le montant total de 1000 francs. par le voyant.
L'employé (les postes plombe ensuite le compteur et celui-ci ainsi chargé est replacé sur la machine et peut fonctionner suivant les besoins jusqu'à ce que le montant total de 1000 francs de ports ait été pratiquement utilisé en impri mant des timbres jusqu'à concurrence de ce total par des opérations successives de la ma chine.
Le totalisateur à soustraction ne peut pas être actionné si le compteur n'est pas en place et lorsqu'il est séparé de la, machine le compteur est automatiquement verrouillé -comme expliqué ci-dessous.
Il est évident que si le compteur doit être chargé pour un montant plus élevé de ports, le totalisateur à soustraction devra comprendre un plus grand nombre de roues totalisatrices. En somme la. capacité du compteur dépend du nombre -de roues totali- satrices du totalisateur, chaque roue addi tionnelle, en plus de la première, multipliant la capacité par 10.
Par exemple cinq roues ont une capacité maxima de 999 francs 99, mais en utilisant les cinq zéros tels qu'ils viennent en position, la capacité réelle est équivalente à 1000 francs, le chiffre 1 n'ap.. paraissant pas. Pour provoquer son appa rition le chiffre 1 est gravé sur le prolonge ment du moyeu de la roue 54 et il devient automatiquement visible par suite du dépla cement de l'oreille 55u contre laquelle la dent 14h, vient porter chaque fois que le compteur est rechargé.
Quand les cinq zéros disparaissent, les cinq 9 apparaissent à la place, le chiffre 1 ci-deissus mentionné disparaissant en dessous du disque circulaire et un chiffre 1 apparaît sur la roue des unités du totalisateur à addi tion, do gauche. Ce totalisateur auxiliaire additionne et son seul rôle est d'indiquer le nombre de fois que les roues de francs et de centimes du totalisateur de droite ont été re chargées, et, par conséquent, il indique en même temps la somme totale d'argent payée. Si cet enregistreur total a deux roues et que le totalisateur en francs et centimes ait cinq roues, l'enregistreur total peut marquer jus qu'à 99 achats séparés et successifs de 1000 francs de ports chacun.
Le compteur est, à l'origine, mis à zéro, les roues de l'enregistreur total indiquant 00, et celles du totalisateur à soustraction indi quant 000.00. Les dents de l'organe de ver rouillage 14 sont alors complètement enga gées dans les encoches des disques respectifs, et le trou la est fermé par la tête du levier du volet 6c et le cliquet 11 s'engage sur la roue 9a. Le compteur et le totalisateur sont verrouillés.
En ouvrant la porte 2a de la boîte 2, les trois leviers 13a, 6b et 14e et l'anneau mo leté 55 sont accessibles. Le levier 13a est alors déplacé vers la droite, son petit bras 13b rencontrant la goupille 11c et libérant le cliquet 11 des dents de la roue 9a, le bras inférieur 11b étant en même temps soulevé et écarté du chemin du bras de levier 69a du volet. Ensuite on déplace le bras 6b vers la droite pour amener le trou 6d en coïncidence avec le trou la. Puis au moyen de la poignée 14c l'organe de verrouillage est tiré vers le bas, ce qui dégage ses dents des encoches des disques, et la saillie 14b dépassant alors en dessous du châssis 3 empêche le levier 6 d'ê tre rappelé à sa position normale par son ressort 6s.
Enfin on tourne l'anneau moleté 55 de façon à ce que l'oreille 55b recouvre l'encoche 54a du disque 54c, en empêchant la dent 14h de rentrer dans cette encoche; l'organe de verrouillage 14 est ainsi main tenu dans sa position basse contre ses res sorts 14s, et les dents 14t et 14lu sont aussi maintenues éloignées des encoches des disques correspondants. La rotation de l'anneau 55 par suite de laquelle l'oreille 55b recouvre l'encoche 54a amène l'encoche 55c en position pour que le "1" gravé sur la périphérie de la collerette 54e, fig. 9, soit visible. A ce moment on lit 1000.00 par le voyant du totalisateur à soustraction, fig. 20.
Ce chiffre 1 apparaissant, fig. 1, est une preuve que le compteur est convenablement réglé, il montre qu'on a payé pour 1000 francs de ports au lieu de le laisser simplement supposer, ce qui serait le cas si le totalisateur à soustraction n'indiquait que "000.00". Après le réglage, si le chiffre supplémentaire 1 ci-dessus indi qué n'avait pas été introduit, on lirait dans le voyant la même chose qu'avant.
Quand le compteur est actionné la pre mière unité de un centime soustrait 1 de: francs 1000.00 indiqués dans le voyant, c'est- à-dire que les cinq roues totalisatrices tour nent d'un dixième de tour et indiquent 999.99, fig. 21; la collerette 54e étant relié à la roue totalisatrice 54 fait aussi un dixième de tour ce qui éclipse le chiffre 1 en dehors du voyant. La roue des unités 56 de l'enregistreur total fait aussi 1/1o de tour, ce qui éclipse le zéro: et amène le 1 en face -du voyant, on lit :donc<B>01,</B> fig. 21.
Quand la roue 54 a tourné jusqu'à ce que la- dent 141, entre dans l'encoche 54d, la dent suivante 14t repose sur la périphérie du dis- que <B>530</B> de la roue totalisatrice 53 et entre dans l'encoche 53d lorsqu'elle vient à nou veau en face d'elle, et, à -ce moment le tota- lisateur à soustraction indique 009.99.
La dernière dent 14u repose alors sur le disque 52c et quand l'encoche 52d ëe celui-ci ,arrive en face de la, :dent 14u ce qui arrive lorsque dans le voyant on lit 000.99 au moins, il n'y a plus d'obstacle à ce que les dents 14h, 14t et 1411 entrent complètement dans leurs en- coches respectives, et l'organe de verrouillage 1d est soulevé au maximum en entraînaut avec lui la saillie 14b.
Quand la saillie l4b est éffacée de la tra jectoire du levier 6, le ressort 6s fait osciller le levier 6 du volet sur son pivot 6p mais il ne peut pas le faire tout de suite parce qu'à ce moment, le doigt 15 se trouve dans le trou 6d, ce doigt 15, comme on le verra ci-dessous, ne sortant du compteur qu'à l'opération de timbrage suivant de la, machine à impri mer. Mais aussitôt que le doigt 15 est sorti, le levier 6 est actionné par le ressort 6s et le trou 6a ne coïncide plus avec le trou la, de sorte que le doigt 15 ne peut plus pénétrer dans le compteur. De même lorsque le levier 6a tourne, le bras inférieur 11b du cliquet 11 qui était maintenu par le bras de levier 6a est libéré et le cliquet tourne sous l'action de son ressort Ils et son bras supérieur 11 s'engage sur la roue dentée 9a ce qui ver rouille l'arbre 7 du compteur.
En plus du mécanisme de verrouillage automatique ci-dessus décrit, du totalisateur, une serrure à clé est prévue. Ceci est dési rable parce que le compteur peut être séparé du mécanisme imprimeur au monment où il est chargé et l'arbre 7 pourrait alors être tourné à la main en agissant sur l'accouplement 8, quoique son mouvement en arrière ne soit pas possible pour diminuer le compte déjà effec tué, puisque le cliquet 10 empêche toute ro tation arrière de l'arbre 7, mais cet arbre pourrait être tourné dans le sens avant car le cliquet 11 n'est engagé avec la roue 9a qu'à condition que le totalisateur à soustrac tion ait terminé son cycle d'opérations.
Il est désirable aussi de prévoir, entre le compteur et le mécanisme imprimeur, une liaisou telle qu'elle empêche la machine d'être effective ment utilisée à moins que le compteur ne lui soit relié convenablement pour enregistrer ses opérations. Pour que ces deux conditions soient remplies le mécanisme imprimeur est muni d'une serrure à clé dont la, clé, contenue à l'intérieur du compteur, est inséparable de celui-ci, et nécessite que le compteur soit mis en plane pour que la machine puisse im primer.
Le châssis 100 du mécanisme imprimeur est muni d'une rainure l0Oa, fig. 22 et 23, dans laquelle le compteur est poussé jusqu'à ce que l'accouplement b sur l'arbre 7 engrène avec un accouplement 102a sur l'arbre 102 du mécanisme imprimeur, fig. d.
Comme on le voit sur les fig. 4 et 22, une boite de serrure cylindrique 10la est fixée sur une partie 100 du mécanisme imprimeur, et au point où le compteur doit être placé sur la machine, et elle lait saillie dans l'es pace qui doit être occupé par le compteur.
Dans la boîte 101a se trouve une serrure cylindrique 101, fig. 22 et d, qui est complè tement fermée extérieurement, à l'exception du trou pour la clé, par la boite 101a qui est fixée sur le châssis 100 de telle façon que les organes de fixation sont inaccessibles.
Les fonctions de cette serrure sont: 10 Fixer le doigt 15 dans sua position in térieure.
20 Fixer le compteur en position.
Ces fonctions sont remplies alternative ment, c'est-à-dire que quand le doigt 15 est en position, le compteur est libéré et quand le compteur est en position le doibrt est libéré. La disposition des verrous ide cette serrure ne fait pas partie -de l'objet de l'invention, et elle est indiquée sur le dessin simplement pour donner un aperçu clair.
Un trou lb est percé à travers la paroi extrême 1P du compteur, fig. I, 22 et 23, pour recevoir la. boîte de serrure 101a qui entre dans ce trou lorsque le compteur est poussé sur la. machine en position de fonc- tionnement.
Un autre trou 1d est percé sur la paroi antérieure de la base du compteur en aligne ment avec le trou lb mass son axe est à 5 millimètres en dessous de l'axe du trou lb.
Une tige de clé 16 est placée dans la, base, une de ses extrémités passant dans le trou 1.a et son autre extrémité étant dirigée vers le trou lb, et elle est montée de façon à pou voir coulisser dans une douille 19 qui peut elle-même coulisser dans un support le de la hase, fig. 4, 6 et 22. La tige 16 est clavetée sur la douille en 16b et une clé 18 est fixée à l'extrémité de la tige 16 à l'intérieur du trou de la douille, comme on le voit sur la fig. 4, quand le compteur est enlevé.
La douille doit donc tourner avec la tige 16 bien qu'elle puisse coulisser sur celle-ci longitudi nalement. Le support le assure l'alignement et supporte la douille 19 et la tige 16. Sur l'extrémité extérieure de la, douille 19 se trouve une canne circulaire excentrique 19a dont le centre est à 5 millimètres du centre de la douille. Dans une position de la douille la calme est alignée avec le trou lb dans le quel elle peut entrer, fig. 6 et 22.
Un ressort 16s est placé sur la tige 16 entre la douille 19 et la collerette 17 et normalement il pousse la douille vers l'extérieur jusqu'à ce que la surface externe clé la came 19 corres ponde avec la face externe dé la paroi arrière de la base 1 du compteur, fig. 6, le mouve ment de la douille vers l'extérieur étant li mité par la goupille 19p venant en contact avec le support le.
La collerette 17 goupillée sur la tige 16 avec la poignée 16a supporte la poussée en bout de la tige 16 dans les deux sens en l'em pêchant d'être enfoncée ou retirée, nmais lui permettant de tourner.
Pour empêcher les roues compteuses de fonctionner quand le compteur est séparé de la machine, et jusqu'à ce que la serrure 101 ait été convenablement ouverte, un troisième moyen est prévu pour verrouiller la roue 9a. Il consiste en un levier à deux bras dont le bras supérieur 12 est muni d'une dent pou vant s'engager avec la roue 9a, fig. 3, 4 et 8, afin d'empêcher la roue et l'arbre 7 de tour ner clans l'un ou l'autre sens. Le bras infé rieur 12b est .muni d'une encoche 12c et de deux butées 12d et 12e, fig. 8, et il est ac tionné pair une dent 19b de la douille 19 qui le pousse dans l'une ou l'autre de ses deux positions, ce qui amène le bras supérieur 12 en prise ou hors de prise avec la roue 9a sui vant les cas.
La dent 19b de la douille actionne le le vier 12 en s'engageant dans l'encoche 12c de l'extrémité inférieure 12b quand la douille 19 est dans sa position interne, fig. 4 et 22, et déplace le levier suivant le sens dans le quel on tourne la tige 16 de sorte que l'une ou l'autre des butées 12d et 12e repose sur la partie cylindrique de la douille 19.
La clé 18 est située à l'intérieur par rap port à la paroi arrière du compteur et elle est normalement recouverte et protégée par la douille 19 qui l'entoure quand le compteur est séparé dl mécanisme enregistreur, fig. 6. Cette clé 18 est construite de façon à ne cor respondre qu'à une seule serrure 101, de sorte que le compteur doit être utilisé avec la, ma chine correspondant à cette clé.
Dans le fond du compteur, au-dessous de l'ouverture lb se trouve un trou le destiné à recevoir une tige 111 qui sert à fixer le compteur en place sur la machine quand elle est en position convenable.
Une tige 110 est montée à l'intérieur de la paroi 100 de la machine sur laquelle la boîte de serrure la est fixée, et quand la tige est soulevée son extrémité supérieure vient se loger entre la paroi 100 et une collerette 15s du doigt 15 ce qui empêche ce dernier de pénétrer dans le trou 6e du levier 6, fig. 22. Un levier pivotant 112 pivote en 112p sur une partie 100x de la machine sur la quelle le compteur est fixé. Comme on le voit le levier 112 a une extrémité 112a arrondie qui s'engage clans une ouverture de la tige 110 et cette tige est guidée dans une ouver ture appropriée de la partie 100x de la ma chine et .dans un support 114 fixé sur cette partie 100=a fig. 22 et 28.
A l'autre extré mité du levier 11.2 se trouve un secteur denté 112b qui engrène avec une crémaillère 111b sur la tige 111 .qui est guidée dans les ouvertures de la partie 100X et .du sup port 114 et l'extrémité supérieure de cette tige 111 peut pénétrer dans le, trou le du fond de la base 1. La tige 110 est déplacée vers le haut ou vers le bas par la .serrure 101 (le la machine, la came 113 de lia serrure 101 agissant sur la tige 110 exactement de la même façon que la ,came 19a agit sur le bras 12b.
Le mouvement est communiqué au levier 712 par la tige 110 cette dernière étant l'or gane moteur. Quand la tige 110 est soule vée, la tige 111 est abaissée jusqu'à ce que son extrémité supérieure arrive au niveau de la face supérieure de la partie 100x. Tout mouvement vers le bas de la tige 110 donne à la tige 117 un mouvement vers le haut pas, l'intermédiaire du levier 112. et inversement. Quand la serrure est actionnée pour libérer le compteur, elle soulève la tige 110 au moyen de la came 113 et simultanément dé gage la tige 111 du compteur, et le doigt 15 est empêché par la tige 110 de pénétrer dans le trots du levier 6 puisque l'extrémité supé rieure de la tige 110 vient se lober entre la, collerette 15S et la paroi 100.
Quand la ser rure est actionnée pour fixer le compteur en position, la tige 110 est abaissée ce qui li bère le doigt 15, et simultanément, la, tige 171 est soulevée et pénètre dans le trou le de la base du compteur. Le fonctionnement diu dispositif de ver rouillage combiné pour le compteur et la, ma- clhine, est le suivant: en poussant le comp teur en place sur la machine, l'accouplement 8 du compteur s'enrage avec l'accouplement ll02a de la machine, fig. d et 22;
le doit là pénètre dans le trou la jusqu'à une faible distance de l'extrémité du bras 6a du volet et lc barillet de la serrure 107 et sa boîte 101a pénètrent clans le trou lb crn poussant la douille 19 vers l'intérieur jusqu'à ce que la canme 19a sorte du trou lb et la clé 18 entre dans le barillet 101 amenant les barbes de la serrure en alignement, fig. 22.
On peut alors tourner la tige 16 pour ac tionner la tige 111 et l'amener dans le trou 1e du compteur, fig. 22 et 23. Pour faire fonctionner ainsi la serrure il faut faire un tour complet de la tige 16, et comme la douille 19 tourne avec la, tige et que la dent 79b de la, douille s'engage dans le bras 12b et écarte le bras 12a de la roue 9a ce qui li bère l'arbre 7 du compteur, celui-ci peut être entraîné par l'arbre 102 du mécanisme im primeur. Le compteur est alors prêt à fonc- tionner à condition qu'il ait été réglé comme indiqué ci-dessus.
Pour l'enlever de la machine, on tourne <B>la</B> tige 16 en sens inverse, ce qui fait tourner la douille 19 et provoque le retour du doigt 12a en engagement avec la roue 9a, la tige 111 s'efface dut trou le ce qui libère le cormp- teur et le doigt 15 est verrouillé. La douille 19 est poussée vers l'extérieur par te ressort 16s et la came 19a pénètre dans le trou 1b comme indiqué fig. 6.
Le compteur peut alors être séparé de la machine mais la tige 16 ne peut pas être tournée quand le compteur est enlevé puisque la came 19a étant excentrée par rapport aux axes de la douille 19 et de la tige 16, bute contre la parai du trou lb. La came 19a pourrait être poussée à la main, à l'intérieur du compteur pendant que celui-ci est séparé de la, machine et l'on pourrait tourner lia tige 16 pour que le levier 12 libère l'arbre 7, mais si cela arrivait soit accidentellement soit vo lontairement, l'arbre 7 serait toujours ver rouillé par le cliquet 10 contre, tout mouve ment en sens contraire du comptage, et, par conséquent, on ne pourrait pas modifier le compte déjà enregistré.
Counter adaptable to machines for printing stamps, tickets etc. The invention relates to a counter adaptable to machines for printing stamps, tickets, etc.
The attached drawing represents, by way of example, an embodiment of this counter in the case where it is adapted to a machine for printing postage stamps paid in advance, the value of which varies between one cent time and a frank. Some parts of this machine are shown, but only those necessary for understanding the operation of the meter.
Fig. 1 is a plan view thereof; Fig. 2 is an elevation; Fig. 3 is a plan view with a cover box cut away to show a recording mechanism; Fig. 4 is a vertical section showing this mechanism in elevation; Fig. 5 is a plan view with the cover box and the franc and cent adding wheels removed to reveal a locking mechanism; Fig. 6 is a side view corresponding to FIG. 5, with cut part; Fig. 7 is an end view of the counter; Fig. 8 is a cross section showing, at the end, the locking mechanism;
Fig. 9 is a view from above of the totalizing wheel in francs and centimes located furthest to the left, that is to say representing the highest value, such as this wheel is when the counter has just been set by the post office employee; Fig. 10 is an axial section thereof; Fig. 11 is a view of the same wheel before adjustment; Fig. 12 is an axial section corresponding to FIG. 11; Fig. 18 is a section along 13-13 of FIG. 10; Fig. 14 is a section along 14-14 of FIG. 10; Fig. 15 is a section along 15-15, of FIG. 10; Fig. 16 is a section on 16-16 of 1a fig. 12;
Fig. 17 is a section on 17-17 of FIG. 12; Figs. 18 and 19 are sections analogous to FIG. 17 showing the action of di towards organs during the rotation of the totalizing wheels; Figs. 20 and 21 show different numbers indicated by the counter wheels opposite the indicator light at different times of the operation of the counter; Fig. 22 is a section, on a larger scale, of the device for locking the counter with the printing machine; Fig. 23 is a view, on a larger scale, of certain members shown in FIG. 12.
The meter comprises a hollow base 1 on which is mounted a box 2 enclosing the recording mechanism, the base 1 is closed by a sliding plate 4 fixed by a spring latch, 5, fig. 4.
The box 2 is closed at its upper part, on its sides and at its ends and it is fixed on the upper part of the base by screws 2s which are inaccessible when the plate 4 is in place. One end of the box 2 is provided with an opening in which engages, in order to close it, a protrusion 1P, of the wall of the base which is cast with it, so that one cannot have access to the interior of the box only by a door 2a provided on one side of this box and which is fixed, when it is closed, by a lock 2c preventing any unauthorized opening.
Access to the lock 2e can still be prevented by a protective plate 2t held by an ordinary seal 2v, fig. 1 and 2, which must be broken before a key can be inserted into the lock.
A shaft 7 rotates in an opening of part 1P, that is to say in the end of box 2, the outer end of this shaft supporting a coupling member 8, and on the other end of this shaft, inside the box 2, are fixed two pinions 9 and 9a, spaced from each other, but solid between them. Pinion 9 meshes with toothed wheel 50a, fie. 3 and 4, fixed on the wheel of the units 50 of the totalizer as described below, this totalizer being actuated by the rotation of the shaft 7.
Inside the <B>, </B> box 2 is a frame 3 supporting the recording mechanism. This chassis 3 is distant from the upper part of the base 1 because it rests on parts 3a to which it is fixed by screws 3s which are inaccessible when the plate 4 is in place.
The recording mechanism is of the type in which the movement of one of the counting wheels is communicated to the next wheel of higher row of units by means of gears operating intermittently. The 50 units wheel is the driving wheel of the. series. None of these wheels can turn independently of the others, but each of them is actuated in a regular progression order by means of its linkage by gearing with the unit wheel. As shown fi.g. 3 to 8, the mechanism comprises a series of five of these wheels 50, 51, 52, 53, 54 which are freely mounted on a pin 60 supported by the ends of the frame 3.
The wheel 50, wheel of the units of the series, is connected to a toothed wheel 50a and to a wheel <i. a tooth 50b integral with one another. The wheel 50a meshes with the pinion 9 and the drive shaft of the counter. consequently any movement of this shaft 7 connected by the coupling 8 to the printing machine is communicated to the unit wheel 50 and, from there., in proportion to the tres totalizing wheels.
The wheel 50 is that of units of cents, wheel 51 that of tens of cents, wheel 52 that of francs, 53, tens of francs, 54, hundreds of francs. Each of these counting wheels is provided with a toothed wheel 50a and a <B> to </B> one tooth pinion 50b which come in one piece. it, or who are united by it. The elements so milar relate to the drawing - similar reference signs.
An axis 61 mounted in the frame 3 is parallel to the axis 60. On this axis 61 are freely mounted small pinions 62 each having ten teeth but every second tooth is cut or milled at one end as seen at 62a, fig. 3, to form five stops. One of these intermediate gears 62 is placed between two neighboring totalizer wheels and adjacent to these two wheels 50-51, 51-52, 53-54 etc., so that the complete toothed part meshes with the toothed wheel 50a linked to that of the two totalizing wheels which corresponds to the highest rank of units; while the stop 62a cooperates with the pin gnon to a tooth 50b of the wheel corresponding to the lowest row of units, FIG. 3.
Each single-tooth pinion 50b actuates the corresponding pinion 62, only once per revolution, and, since there are five stops on each ten-tooth pinion 62, each of these advances two teeth on each revolution of its pinion 50b corresponding. As each wheel 50a has twenty teeth, it follows that each totalizer wheel of a series of two, corresponding to the highest rank of units, advances by one tenth of a revolution on each revolution of the other wheel. This type of construction is also well known.
As will be seen below, means are provided for locking this recorder device as soon as it has reached the total amount for which it has been set.
If in a counter comprising three totalizing wheels we want to subtract instead of adding, instead of resetting the counting wheels to zero, we start them from thousand since the next number is 999 and then we successively subtract one unit each time until we reach 001; on the next count, below 1, the wheels are reset to zero since 1000 has been subtracted from the original total. Means are then provided so that at this moment the counter is locked and the counting wheels can no longer be actuated until the locking mechanism is moved by hand.
The recording device must be locked when the three totalizing wheels 52, 53, 54 indicating francs have returned to zero, regardless of the positions of the two wheels 50, 51 indicating centimes. On each of the wheels 52, 53, 54 is fixed a disc placed on the left side of each wheel. Each of these disks 52nd, 53rd, 54th, fig. 4 and 5, is provided with a radial notch 50d on its periphery so as to allow the engagement of a tooth 14u, 14t, 14h of a locking member 14.
This member 14 pivots at one end of a rod 14p carried by two ears of the bottom of the frame 3, FIG. 4 and 6, and it is normally pushed upwards by springs 14s housed in recesses in the bottom of the frame 3. The free end of this member 14 is provided with a series of teeth projecting upwards. 14u, 14t, 14h, arranged so as to be able to engage respec tively in the notched discs. A plate 14a, fig. 3 and 5, is attached to one of the sides of the locking member 14, the outer end of this plate protrudes 14th towards the door 2a and constitutes a handle by which the locking member 14 can be lowered by hand to disengage its teeth from the discs when the meter is reset.
This plate 14a also has a lower projection 14b which passes through a slot in the bottom of the frame 3 and arrives in the space located between the bottom of the frame 3 and the upper part of the base 1 to stop the locking lever 6 of the meter. that we will find later.
Teeth 1411, 14t and 14u .ont of different lengths depending on the discs with which they cooperate. Tooth 14h which coo father with disc 54e bears on this disc while maintaining teeth 14t and 14u away from their discs 53c and 52c, fig. 4, until tooth 1411. Enters notch & 54d of disc 540, then tooth 14t which comes next in order of length,
bears on disc 53c and holds tooth 14u on disc 52c until this tooth 14t enters the notch of disc <B> 530, </B> then tooth 14u carries on disc 52c until 'so that it enters the notch of this disc. Then as there is no longer any impediment to the three teeth 14h,
14t and 14u penetrate the full depth of their respective notches and thus lock the counting wheels at zero.
When the counter is to be set to new or "recharged", member 14 is lowered by hand to release the counting wheels, so that they can be operated, and since wheels 53, 54, 52 cannot be operated. born by hand, the locking member 14 would come back into engagement in the notches 54d, 53d and 52d of the discs if there were no obstacle. Means are therefore provided for creating this obstacle and maintaining it until the meter has again reached the total amount for which it was recharged. For this purpose a guard ring 55 (fig. 3, 4 and 9 to 12) is mounted so as to be able to move on the element of which the wheel 54 forms part.
Figs. 9 to 12 show in detail the construction of this element. It comprises the toothed wheel 54a, the totalizer wheel 54, the disc 54e, the sleeve 54s and a single-tooth pinion 54b, all of these parts being integral. The socket 54s has an annular flange 5le on the periphery of which a number "1" is engraved in alignment with the "0" of the wheel 54, fig. 9 to 1l. The ring 55 is freely mounted on the sleeve 54s between the collar 54e and the disc 54c. This ring, preferably knurled on the outside to facilitate the drive by hand, is provided with an annular part 55a surrounding the glue rette 54e and a notch 55e on this annular part, makes it possible to see the number 1 of the collar 54e when turn the ring to bring the notch above this number, fig. 9.
The ring 55 is also provided with an ear 55b, fig. 10, on the side opposite to the part 55a, this ear projecting over the disc 54e and being wide enough to completely cover the notch 54d of the said 54e when it is in front of this notch, fig. 14, leaving the remainder of the periphery of the disc 54c uncovered, FIG. 12. A small segment-shaped notch 55s is formed on the inner face of the ring 55 and a pin 54 (Fig. 15) projecting from the socket 54s is engaged in this notch.
This pin and this notch limit the extent of the rotational movement of the ring 55 on the socket 54s, so that this ring is actuated just enough so that the lug 55b can cover or uncover the notch 54d and the 'notch 55c to make visible or hide the number 1 of the collar 54e. The notch 55e and the lug 55b are disposed in such a way with respect to the disc 54e and the collar 54e that the number 1 of the collar is made visible only when the lug 55b covers the notch 54d.
Fig. 11 shows the aspect of the element of the hundreds of francs seen in plan just before the "reloading" of the meter, the number 1 of the. collar 54e being at this moment hidden by part 55a .of the ring 55. The meter is then loaded and the number 1 is made visible by the notch 55c, fig. 9.
When the. wheel 54 is turned by a tenth of a turn, the number 1 is eclipsed by the indicator light and the next time the wheel 54 turns one turn the ring is driven with the collar 54e by the.
pin 54p in contact with one -of the ends of the notch 55s of the ring 55, fig. 15, and, removing the ear 55b from the path of the tooth 14h, the latter comes into direct contact with the periphery of the said 54c, fig. 18, and even if the ring 55 which is now free on the socket 54s is driven by vibrations or some other cause, the lug 55b cannot come back between the disc 54e and the end I tooth 14h.
Fig. 1.4 shows the lug 55b covering the notch 54d of the disc 54c, the tooth 14h putting pressure on it. Fig. 18 shows the disc when the. totalizer wheel has almost completed one turn, and ear 55b having. again been reduced to cover the notch 54d. Fig. 19 shows the disc 54e in an even more advanced position and shows how the end of the tooth 14h pushes back the ear 55b so as to be able to enter the notch, the position shown in fig. 17.
To prevent the shaft 7 or pinion 9 from being actuated backwards to reverse the movement of the counting wheels and fraudulently modify the registered amount, a pawl 10, fig. 4, 6, 8, pivots on the end of the frame 3 in the plane of the toothed wheel 9a and is held in engagement with this toothed wheel by a spring 10a thus preventing any backward movement of the shaft 7.
In order to prevent any unauthorized person from being able to actuate or manipulate the counting wheels or to turn the shaft 7 inconsiderately, a pawl 11 pivoting at 11 @, on the rear wall of the counter tends to be normally engaged in the teeth of the wheel 9a by a spring 11 and is prevented from taking this position only by the fact that its lower projection 11b rests on the lever 6a of the shutter, fig. 8, mentioned below.
This pawl 11 when it engages on the wheel 9a prevents the latter from rotating in one direction, while the pawl 10 prevents rotation in the opposite direction.
The pawl 11 is not intended to prevent the shaft 7 from rotating when the counter is separated from the machine, but is part of the totalizer locking device and is only engaged with the wheel 9a when the counting wheels 52, 53, 54 are locked at zero. It is the pawl 12 which is engaged with the wheel 9a each time the counter is removed.
In order to release the pawl 11 from the wheel 9a when the meter is loaded as described above, a lever with two arms, 13, fig. 5 and 8, pivots in 13P on the bottom of the totalizer frame and is provided with a spring 13s which strongly maintains the small arm 13b of the lever against the adjacent part of the frame 3 and the large arm 13a of the thimble lever passes below from the counting wheels towards the box door 2. When the arm 13a is moved to the right, fig. 5, the small arm 13b is moved away from the frame 3 and meets a pin 11c fixed on the pawl 11, which releases the latter from the wheel 9a. Below the frame 3, in the space due to the parts 3a, there is a lever with two arms 6, fig. 6 and fig. 8, pivoting on a 6P lug and connected to a 6s spring.
The large arm 6a of this lever 6 is directed towards the wall 1P and its end has the shape of a sector 6a centered on the lug 6P. The inside of the wall of the base 1 is concave to correspond to the convex head 6c of the lever arm 6a and to allow it to oscillate freely on its pi vot 6 @.
In the head 6c is drilled a hole 6d so, in a certain position of the lever 6, correspond to a hole drilled in the base 1. When the lever 6 swings, the hole 6d of the head 6c alternately moves in one direction and in the other, and consequently the head 6c obstructs and releases alternately the wise step of a finger 15, fig. 4 and 6, operated by the printing machine. The head 6c constitutes a shutter for the hole 1a.
The arm 6b extends pendularly to the arm 6a towards the door of the box 2 of the meter, its end, FIG. 5, forming a convenient handle to maneuver it when loading the meter.
To this arm 6b is connected the spring 6s which pulls it to the left but which is normally prevented from moving it in this direction, by the interposition of the projection 14b of the locking member 14, fig. 4 and 6.
When the shutter lever 6 is in a position such that its small arm 6b meets the projection 14b, the hole 6d is directly aligned with the hole 1a, so that the finger 15 can enter the hole 6d. If the projection 14b is moved away for example as a result of the lifting of the locking member 14, then the spring 6s rotates the lever 6 of the shutter and the holes 6a and the no longer coincide, the finger 15 can no longer be actuated. until the meter is recharged.
To the left of, and suitably spaced from, the above-described subtraction counter is a total recorder. The latter is composed of two totalizer wheels 56 and 57, fig. 3 to 6, mounted on an axle 60 and receiving their movement directly from the last wheel of the totalizer described above, that is to say the wheel corresponding to the highest row of units.
In the construction shown the total recorder is a reproduction of parts of the first recorder but the counting wheels of the total recorder are arranged to add instead of subtract and the total recorder indicates the sum of the various "settings" or "loads" of the subtraction recorder.
The totalizer wheel 56 carries a toothed wheel 50a and a single-tooth pinion 50u co-operating with an intermediate gear 62 which is actuated by a single-tooth pinion 54u of the socket 54s, the movement is transmitted from the wheel 54 to the wheel 56 and from this to wheel 57 by means similar to those employed for the subtraction recorder. As the analogous elements relate to similar reference signs to the sin, it is unnecessary to give more details on this subject.
However, the digits of the tota reading wheels of the total recorder are arranged inversely to the digits of the wheels of the subtraction recorder, so that while the latter starts from its highest number (1000) and subtracts up to until it reaches zero, the total recorder starts from zero and adds up until it has its highest number.
The unit wheel 56 of the total recorder is directly driven by the subtraction recorder's hundreds of francs wheel, it makes a tenth of a turn for each revolution of wheel 554 and like the subtraction recorder must be recharged each time it has reached 1000 francs, it follows that the total recorder registers or adds one unit each time the subtraction meter has reached its total number of operations, the meter becoming, at that time , locked against further operation until recharged. In practice, the meter is charged for a sum determined at each adjustment, L000 francs for the meter shown.
Consequently, the total recorder indicates the number of times the meter has been loaded or adjusted and this total multiplied by 1000, in the case chosen, indicates the total amount in francs of the ports paid by the user of the meter.
The printing machine with which the counter is used does not fall within the subject of the invention, it is sufficient to indicate that it is provided with a printing mechanism, a finger 15, a coupling and drive member and a lock operating as described below.
When the meter is used with such a machine, it is assumed that it has been supplied by the postal administration and (if the meter is provided with a subtraction totalizer) the user pays one thousand francs for ports so that the employee of the items causes the subtraction totalizer to indicate the total amount of 1000 francs. by the seer.
The post clerk then seals the meter and the loaded meter is placed back on the machine and can operate as needed until the total amount of 1000 francs in postage has been practically used up in printing stamps until up to this total by successive operations of the machine.
The subtraction totalizer cannot be operated if the meter is not in place and when separated from the machine the meter is automatically locked - as explained below.
Obviously, if the meter is to be loaded for a higher amount of ports, the subtraction totalizer will have to include a greater number of totalizer wheels. In short the. counter capacity depends on the number of totalizer wheels of the totalizer, each additional wheel, in addition to the first, multiplying the capacity by 10.
For example five wheels have a maximum capacity of 999 francs 99, but using the five zeros as they come in position, the actual capacity is equivalent to 1000 francs, the number 1 not appearing. To cause its appearance, the number 1 is engraved on the extension of the hub of the wheel 54 and it becomes automatically visible following the displacement of the lug 55u against which the tooth 14h comes to bear each time the meter is recharged. .
When the five zeros disappear, the five 9s appear instead, the above-mentioned number 1 disappears below the circular disc and a number 1 appears on the additive totalizer units wheel, left do. This auxiliary totalizer adds up and its only role is to indicate the number of times that the wheels of francs and cents of the right totalizer have been re-loaded, and, therefore, it indicates at the same time the total sum of money paid. . If this total recorder has two wheels and the totalizer in francs and cents has five wheels, the total recorder can mark up to 99 separate and successive purchases of 1000 francs of ports each.
The counter is initially set to zero with the wheels of the total recorder indicating 00, and those of the subtraction totalizer indicating 000.00. The teeth of the worm member 14 are then fully engaged in the notches of the respective discs, and the hole 1a is closed by the head of the shutter lever 6c and the pawl 11 engages on the wheel 9a. The counter and totalizer are locked.
By opening the door 2a of the box 2, the three levers 13a, 6b and 14e and the mo leté ring 55 are accessible. The lever 13a is then moved to the right, its small arm 13b meeting the pin 11c and releasing the pawl 11 from the teeth of the wheel 9a, the lower arm 11b being at the same time raised and removed from the path of the lever arm 69a of the shutter . Then we move the arm 6b to the right to bring the hole 6d into coincidence with the hole. Then by means of the handle 14c the locking member is pulled downwards, which releases its teeth from the notches of the discs, and the projection 14b then protruding below the frame 3 prevents the lever 6 from being returned to its normal position by its 6s spring.
Finally, the knurled ring 55 is turned so that the lug 55b covers the notch 54a of the disc 54c, preventing the tooth 14h from entering this notch; the locking member 14 is thus held in its low position against its spells 14s, and the teeth 14t and 14lu are also kept away from the notches of the corresponding discs. The rotation of the ring 55 as a result of which the lug 55b covers the notch 54a brings the notch 55c into position so that the "1" engraved on the periphery of the collar 54e, fig. 9, is visible. At this moment 1000.00 is read by the indicator of the subtraction totalizer, fig. 20.
This figure 1 appearing, fig. 1, is a proof that the meter is correctly adjusted, it shows that one paid for 1000 francs of ports instead of just letting it be assumed, which would be the case if the subtraction totalizer only indicated "000.00". After the adjustment, if the additional number 1 above indicated had not been entered, the same would be read in the indicator light as before.
When the counter is activated the first unit of a cent subtracts 1 from: francs 1000.00 indicated in the indicator light, that is to say that the five totalizing wheels turn by a tenth of a turn and indicate 999.99, fig. 21; the flange 54th being connected to the totalizer wheel 54 also makes a tenth of a turn which eclipses the number 1 outside the indicator light. The unit wheel 56 of the total recorder also makes 1 / 1o of a revolution, which eclipses the zero: and brings the 1 opposite the indicator light, we read: therefore <B> 01, </B> fig. 21.
When wheel 54 has rotated until tooth 141 enters notch 54d, next tooth 14t rests on the periphery of disc <B> 530 </B> of totalizer wheel 53 and enters. in notch 53d when it comes in front of it again, and at this point the subtraction totalizer reads 009.99.
The last tooth 14u then rests on the disc 52c and when the notch 52d ëe this one, arrives in front of the,: tooth 14u what happens when in the sight glass one reads 000.99 at least, there is no more d This prevents the teeth 14h, 14t and 1411 from entering completely into their respective slots, and the locking member 1d is lifted as far as possible, bringing with it the projection 14b.
When the projection 14b is erased from the path of the lever 6, the spring 6s oscillates the lever 6 of the shutter on its pivot 6p but it cannot do so immediately because at this moment the finger 15 is in the hole 6d, this finger 15, as will be seen below, only exiting the meter at the next stamping operation of the printing machine. But as soon as the finger 15 is released, the lever 6 is actuated by the spring 6s and the hole 6a no longer coincides with the hole la, so that the finger 15 can no longer enter the meter. Likewise when the lever 6a rotates, the lower arm 11b of the pawl 11 which was held by the lever arm 6a is released and the pawl rotates under the action of its spring Ils and its upper arm 11 engages on the toothed wheel 9a which worms rust the shaft 7 of the meter.
In addition to the automatic locking mechanism described above, of the totalizer, a key lock is provided. This is desirable because the counter can be separated from the printing mechanism at the point where it is loaded and the shaft 7 could then be turned by hand by acting on the coupling 8, although its backward movement is not possible to decrease the count already made, since the pawl 10 prevents any rear rotation of the shaft 7, but this shaft could be rotated in the forward direction because the pawl 11 is only engaged with the wheel 9a on condition that the subtraction totalizer has completed its cycle of operations.
It is also desirable to provide, between the meter and the printing mechanism, a link or such as to prevent the machine from being effectively used unless the meter is properly connected to it to record its operations. In order for these two conditions to be fulfilled, the printing mechanism is provided with a key lock, the key of which, contained inside the meter, is inseparable from it, and requires that the meter be leveled so that the machine can print.
The frame 100 of the printing mechanism is provided with a groove 10a, FIG. 22 and 23, in which the counter is pushed until the coupling b on the shaft 7 meshes with a coupling 102a on the shaft 102 of the printing mechanism, fig. d.
As seen in Figs. 4 and 22, a cylindrical lock box 10a is fixed on a part 100 of the printing mechanism, and at the point where the counter is to be placed on the machine, and it protrudes into the space which is to be occupied by the counter.
In box 101a there is a cylindrical lock 101, fig. 22 and d, which is completely closed externally, with the exception of the key hole, by the box 101a which is fixed to the frame 100 in such a way that the fasteners are inaccessible.
The functions of this lock are: 10 Fix finger 15 in its interior position.
20 Secure the counter in position.
These functions are fulfilled alternately, ie when the finger 15 is in position the counter is released and when the counter is in position the finger is released. The arrangement of the locks in this lock is not part of the object of the invention, and it is indicated in the drawing merely to give a clear overview.
A hole lb is drilled through the end wall 1P of the meter, fig. I, 22 and 23, to receive the. lock box 101a which goes into this hole when the meter is pushed on the. machine in operating position.
Another hole 1d is drilled on the front wall of the base of the meter in line with the hole lb mass its axis is 5 millimeters below the axis of the hole lb.
A wrench shank 16 is placed in the base, one of its ends passing through hole 1.a and its other end facing towards hole lb, and it is mounted so as to be able to slide in a socket 19 which can. itself slide in a support on the base, fig. 4, 6 and 22. The rod 16 is keyed to the socket at 16b and a wrench 18 is attached to the end of the rod 16 inside the hole in the socket, as seen in FIG. 4, when the meter is removed.
The bush must therefore rotate with the rod 16 although it can slide on the latter lengthwise. The support ensures alignment and supports the sleeve 19 and the rod 16. On the outer end of the sleeve 19 is an eccentric circular rod 19a whose center is 5 millimeters from the center of the sleeve. In a position of the socket the calm is aligned with the hole lb in which it can enter, fig. 6 and 22.
A spring 16s is placed on the rod 16 between the sleeve 19 and the collar 17 and normally it pushes the sleeve outward until the outer surface of the cam 19 matches the outer face of the rear wall of the spring. the base 1 of the meter, fig. 6, the movement of the sleeve towards the outside being limited by the pin 19p coming into contact with the support 1c.
The collar 17 pinned to the rod 16 with the handle 16a supports the end thrust of the rod 16 in both directions by preventing it from being pushed in or out, but allowing it to turn.
To prevent the counting wheels from operating when the counter is separated from the machine, and until the lock 101 has been properly opened, a third means is provided for locking the wheel 9a. It consists of a lever with two arms, the upper arm 12 of which is provided with a tooth able to engage with the wheel 9a, fig. 3, 4 and 8, in order to prevent the impeller and the shaft 7 from turning in either direction. The lower arm 12b is .muni with a notch 12c and two stops 12d and 12e, fig. 8, and it is actuated by a tooth 19b of the socket 19 which pushes it into one or the other of its two positions, which brings the upper arm 12 into engagement or out of engagement with the following wheel 9a cases.
The tooth 19b of the socket actuates the lever 12 by engaging the notch 12c of the lower end 12b when the socket 19 is in its internal position, fig. 4 and 22, and moves the lever in the direction in which the rod 16 is turned so that one or the other of the stops 12d and 12e rests on the cylindrical part of the sleeve 19.
The key 18 is located inside with respect to the back wall of the meter and is normally covered and protected by the sleeve 19 which surrounds it when the meter is separated from the recording mechanism, fig. 6. This key 18 is constructed so that it only fits a single lock 101, so the meter should be used with the, ma chine corresponding to this key.
In the bottom of the meter, below the opening 1b, there is a hole 1c for receiving a rod 111 which serves to fix the meter in place on the machine when it is in the proper position.
A rod 110 is mounted inside the wall 100 of the machine to which the lock box 1a is fixed, and when the rod is lifted its upper end is received between the wall 100 and a collar 15s of the finger 15 this which prevents the latter from entering the hole 6e of lever 6, fig. 22. A pivot lever 112 pivots 112p on a 100x part of the machine to which the counter is attached. As can be seen the lever 112 has a rounded end 112a which engages an opening in the rod 110 and this rod is guided in a suitable opening of the 100x part of the machine and in a support 114 fixed thereon. part 100 = a fig. 22 and 28.
At the other end of the lever 11.2 is a toothed sector 112b which meshes with a rack 111b on the rod 111. Which is guided in the openings of the part 100X and of the support 114 and the upper end of this rod 111 can enter the hole in the bottom of the base 1. The rod 110 is moved up or down by the lock 101 (the machine, the cam 113 of the lock 101 acting on the rod 110 exactly. in the same way as the cam 19a acts on the arm 12b.
The movement is communicated to the lever 712 by the rod 110, the latter being the driving force. When the rod 110 is lifted, the rod 111 is lowered until its upper end is level with the upper face of the part 100x. Any downward movement of the rod 110 gives the rod 117 an upward movement not through the lever 112 and vice versa. When the lock is actuated to release the counter, it lifts the rod 110 by means of the cam 113 and simultaneously disengages the rod 111 from the counter, and the finger 15 is prevented by the rod 110 from entering the trots of the lever 6 since the upper end of the rod 110 is lobed between the flange 15S and the wall 100.
When the lock is actuated to secure the meter in position, the rod 110 is lowered which binds the finger 15, and simultaneously, the rod 171 is lifted up and enters the hole 1 in the base of the meter. The operation of the combined locking device for the meter and the machine is as follows: by pushing the meter into place on the machine, the coupling 8 of the meter engages with the coupling ll02a of the machine. , fig. d and 22;
the must there enters the hole 1a until a short distance from the end of the arm 6a of the shutter and the cylinder of the lock 107 and its box 101a enter the hole 1b crn pushing the socket 19 inwards until so that the canme 19a comes out of the hole lb and the key 18 enters the cylinder 101 bringing the barbs of the lock into alignment, fig. 22.
We can then turn the rod 16 to actuate the rod 111 and bring it into the hole 1e of the meter, fig. 22 and 23. To operate the lock in this way it is necessary to make a complete turn of the rod 16, and as the sleeve 19 rotates with the rod and the tooth 79b of the sleeve engages in the arm 12b and pulls the arm 12a of the wheel 9a which binds the shaft 7 of the meter, the latter can be driven by the shaft 102 of the printing mechanism. The meter is then ready for operation provided that it has been set as described above.
To remove it from the machine, the <B> </B> rod 16 is turned in the opposite direction, which rotates the sleeve 19 and causes the finger 12a to return into engagement with the wheel 9a, the rod 111 s' clears the hole, which frees the meter and finger 15 is locked. The sleeve 19 is pushed outwards by the spring 16s and the cam 19a enters the hole 1b as shown in fig. 6.
The counter can then be separated from the machine but the rod 16 cannot be turned when the counter is removed since the cam 19a, being eccentric with respect to the axes of the sleeve 19 and of the rod 16, abuts against the parai of the hole lb . The cam 19a could be pushed by hand, inside the meter while the latter is separated from the machine, and the rod 16 could be turned so that the lever 12 releases the shaft 7, but if this is happened either accidentally or intentionally, the shaft 7 would always be rusted by the pawl 10 against any movement in the opposite direction to the counting, and, consequently, one could not modify the count already recorded.