CA2436110A1 - Pedaliers ergonomiques et pompos-moteurs - Google Patents

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Abstract

Précis La présente invention fait suite aux diverses inventions réalisées par l'inventeur antérieurement aux présentes, et relatives aux machines motrices. La présente invention a plus précisément pour objet de montrer que l'on peut construire, à partir de diverses mécaniques que nous avons nommées mécaniques poly inductives, des pédaliers dont le couple sera supérieur et, au surplus, dont la course des pédales sera, soit circulaire et non régulière dans le temps, soit non circulaire, mais plutôt elliptique. Ces résultats seront obtenus en particularisant certains des mécanismes de soutient des machines motrices déjà élaborées par nous- mêmes antérieurement aux présentes. L'on montrera aussi aux présentes que toutes les mécaniques décrites peuvent être réalisées en combinaison, en polycamation, en décentrement, et en chevauchement. Dernièrement, nous montrerons comment réaliser des pompo-moteurs et de quelle manière les combiner aux pédaliers présentés aux présentes. 2

Description

Note préalable à la divulgation Dans sa recherche de réalisation de pédaliers accéléro-décélératifs, dont l'une des variantes réalise des pédaliers dont la course des pédales est de type elliptique, l'inventeur de la présente a constitué comme art antérieur un ensemble de machines motrices, que l'examinateur aura soin de consulter, et dont la liste des demandes et brevets à ce jours est fournie en annexe à la présente divulgation.

Divulgation Lorsque l'on observe Ia force produite par la poussée d'un pédaleur sur les pédales, l'on se rend compte de l'évidence suivante que la force générée sur la roue arrière est d'autant plus grande que l'on se situe en mi-course, puisque l'angle de couple est dans cette partie, dans sa phase la plus prononcée. (Fig. l ) C'est au surplus à cette phase que la jambe du pédaleur a en elle-même Ie plus de puissance, puisqu'elle est à demi dépliée.
Une deuxième observation vient à l'esprit en ce que le mouvement du pied, forcément circulaire, puisqu'il est couplé à celui de la pédale, n'est pas Ie mouvement le plus idéal, du point de vue ergonomique. En effet, si l'on cherche à définir un mouvement du pied qui soit idéal d'un point de vue ergonomique, l' on se rend compte que l' on doit octroyer à ce mouvement plus de hauteur que de largeur, et cela, tout en gardant une certaine rondeur. Le mouvement idéal sera donc dès lors elliptico-vertical. (Fig.l b) La présente invention aura donc comme premier objet de montrer comment, d'un point de vue purement mécanique, l'on peut améliorer le couple du pédalier lors de la descente. Pour atteindre cet objectif, l'on produira des mécaniques accéléo-décélératives, de telle manière que les vitesses descendantes et montantes soient supérieures aux vitesses de passage en haut et de passage en bas de pédales. Par conséquent, la puissance des pédales, durant ces passages, sera décuplée.
Dans un deuxième temps, l'on montrera que plusieurs des méthodes déjà
utilisées par nous-mêmes, notamment pour contrôler le mouvement des pales des machines à cylindre elliptique de type poly turbines, permettront de réaliser une course des pédales d'un pédalier qui sera elliptique. La puissance sera donc cette fois-ci, non seulement mécaniquement, mais aussi géomëtriquement augmentée, puisqu'une partie de la puissance produite aura sa cause dans un mouvement des pédales plus compatible avec le mouvement ergonomique idéal. En effet, les mouvements obtenus seront en général plus hauts que larges, et à la limite elliptique, vertical, ou oblique. L'on montrera par ailleurs et de façon subsidiaire que le mouvement pourra aussi être, pour certains usages, elliptique horizontal. De façon subsidiaire, l'on pourra en effet par exemple réaliser, avec l'aide de ces pédaliers, des simulateurs de mouvement de ski de fond et ainsi de suite.
Dans un troisième temps, nous montrerons que lesdits pédaliers peuvent être reliés à la roue motrice, par moyens conventionnels, tel une chaîne, ou encore par tige, ou par pression. En ce dernier type de réalisation, l'on produira un système de locomotion que l'on dira pompo-moteurs.
Nous montrerons en effet que l'effort maximal amélioré par les présentes peut être couplé de façon synchronisée avec l'effort maximal que requièrent certaines pompes et redistribuées dans une partie motrice , d' où l' idée de pompos moteurs La. première réalisation de la présente invention consiste à produire des accélérations décélérations des pièces, alternatives, tout en conservant le mouvement original circulaire de la jambe du pédaleur. (Fig. 2) Dans cette réalisation de la présente invention, l'on visera dans un premier temps, à dissocier le mouvement des pédales et du plateau de la chaîne, habituellement associés, et ce de telle manière, dans un deuxième temps, de pouvoir produire entre ces éléments des variations de vitesse, impossibles lorsque ceux-ci sont reliés de façon rigide.
Pour ce faire l'on construira de façon détachée Ie plateau des pédales et le plateau de chaîne. Subséquemment, l'on couplera Ie plateau du pédalier et le plateau de chaîne indirectement et préférablement par l'entremise d'engrenages. La vitesse de ces éléments est habituellement identique puisque ces éléments sont généralement fiés l'un à l'autre.
Comme ces éléments ne sont plus reliés de façon directe, Leur vitesse pourra ne plus être identique.. Par exemple le plateau de chaîne pourra tourner de façon plus lente ou plus rapide que celle du pédalier comme tel. Cependant, puisque dans ce premier arrangement, les engrenages seront de type standard, les vitesses obtenues seront soit égales, plus lentes, ou plus rapides, tout en demeurant cependant régulières.
Dans une première version, un plateau de pédales, préférablement muni d'un engrenage intermédiaire ou plus, ces engrenages étant disposés de façon intermédiaire entre l'engrenage central de support, de type externe et disposé fixement dans le centre du pédalier, et l'engrenage du plateau de chaîne, de type interne. Dès lors le mouvement des pédales entraînera la post action des engrenages planétaires intermédiaires, qui sur leur surface extérieure seront couplés à l'engrenage interne du plateau de chaîne. . L'on comprend que le plateau et son engrenage seront eux de même entraînés post activement, et plus rapidement que les pédales elles-mêmes .Ce décommandement post actif, permettra d'ailleurs, de réaliser un plateau de plus faible dimension.
Cette première manière de réaliser l'invention peut être réalisée différemment, suivant que le plateau de chaîne et le plateau sont reliés différemment aux mêmes engrenages. Par exemple le plateau de chaîne pourra cette fois-ci être relié à ou aux engrenages intermédiaires l'engrenage interne, alors que le plateau des pédales pourra être relié à
l'engrenage interne.
Par ailleurs, l'on pourra aussi dynamiser différemment les engrenages, en réalisant le pédalier de telle manière que l'engrenage extérieur de type interne soit fixe et constitue dès lors l'engrenage de support . En ce cas les plateaux de chaîne et de pédalier seront plutôt reliées aux engrenages intermédiaire et à l'engrenage d'induction cette fois-ci, de type externe et disposé de façon centrale En effet, dans cette manière de réaliser un mouvement de plateau plus indirect par rapport à celui des pédales, il s'agira plutôt d'utiliser l'engrenage interne de façon rigide et ainsi de s'en servir comme b engrenage de support. Dès lors, le plateau de chaîne pourra plutôt relié
rigidement à l'engrenage externe central. Le plateau de pédale sera relié
aux engrenages intermédiaires, qui transmettront leur action rétrorotative, issue de leur couplage à l'engrenage de support, à
l'engrenage d'induction du plateau, qui seront dès lors entraînée post activement. (Fig. 3 ) La première réalisation de la présente invention consistera donc non seulement à relier de façon plus indirecte ces éléments, mais aussi à le faire de telle manière de pour pouvoir par la suite, relativiser leur rapports de vitesse, produisant alternativement de phases accélératives et décélératives.
Pour réaliser cette deuxième version de la première réalisation de la présente, l'on utilisera un genre d'engrenages de forme irrégulière, que nous avons préalablement nommé engrenages excentriques et engrenages polycamës. L'utilisation des ces types d'engrenages permettra de relier ces parties plateau de pédale et plateau de chaîne non seulement de façon indirecte, mais au surplus de telle manière de produire entre ces parties les variations de vitesse plus haut anticipées dans les objectifs de la présente . Nous utiliserons en effet des engrenages polycamés de telle manière de rendre les rapports entre ces éléments variables dans le temps , produisant par la même des accélérations et des décélérations en des moments pertinents , de l'une par rapport à l'autre. (Fig.4 ) L'on se référera à nos propos antérieurs relatifs à l'utilisation d'engrenages excentrique et polycamés, propos que l'on retrouvera principalement dans les demandes dont les titres et numéros sont produits en annexe. Pour les fins des présentes, mentionnons simplement que les engrenages excentriques et polycamés, sont des ensembles d'engrenages de formes irrégulières , elliptiques, quasi triangulaires , quasi carrées etc. , qui peuvent , par leurs formes spécifiques être employés en combinaison, puisque ces formes irrégulières sont dessinées des telle manières d'être combinatoires, c'est-à-dire de telle manière de garder ces engrenages touj ours en contact les uns aux autres en cours de leurs rotations. Ces engrenages permettent donc de produire en cours de rotation, des variations de vitesses entre eux. Dans les cas où nous les avons précédemment utilisés, ces types d'engrenages nous ont principalement permis de varier les formes des courses des éléments auxquels ils étaient reliés, principalement des pales , et ainsi d'obtenir de telle manière d'améliorer les formes de cylindre à réaliser. Dans le cas présent, ces types d'engrenages serviront principalement à varier les vitesses entre les parties, de telle manière de décommander positivement les pièces lors de la descente, de manière à augmenter le couple du pédalier dans ces moments de puissance les plus opportuns.
Pour ce qui est du propos de la présente, mentionnons seulement que l'on peut adjoindre deux engrenages polycamés , ou encore une engrenage excentrique et un engrenage polycamé de telle manière que leurs excentricités et carnations soient complémentaires dans le temps, c'est-à-dire que les positions debout de l'un correspondent aux positons couchées de l'autre , et qu'inversement , dans les périodes alternatives, de tournage des engrenages , les périodes couchées de l'un correspondent aux parties debout de l'autre ( Fig. 5 ) . Diverses combinaisons sont possibles, comme par exemple une combinaison d'engrenages polycamés en laquelle les deux engrenages sont rotatifs. D'une autre manière l'on peut par exemple réaliser l'un d'eux de façon fixe et le second agit à la manière d'un planétaire. Tous les types de combinaison d'engrenages sont possibles et notons simplement, comme dernier exemple, la combinaison par exemple d'un engrenage excentrique à un engrenage à crémaillère.
Dans cette variante polycamée des précédentes réalisations, l'on pourra organiser les mouvements de pédalier et de plateau de chaîne de telle manière qu'ils soient reliées par de recours d'engrenages polycamés, ce qui, comme nous l'avons déjà mentionné, permettra par la suite, de pouvoir rendre les parties alternativement accélérative et décélératives, l'une par rapport à l'autre. Il s'agira ensuite de tirer partie de ces accélérations et décélérations de telle manière que les parties les plus rapides du mouvement des pédales, couplées aux parties les plus lentes du mouvement de chaîne, se réalisent lors de la descente des celles-ci L'on pourra donc dès à présent varier les précédentes réalisations, en y remplaçant les engrenages standard par des engrenages excentriques ou polycamés selon le cas. Le but de l'opération est, encore une fois, de produire un accroissement de vitesse et de force de la pédale par rapport à la roue pans la partie descendante du mouvement, donc dans la partie qui accumule le plus grand effort du pédaleur. (Fig. 6) Dans les précédentes figures de la présente invention, nous avons vu que l'on pouvait augmenter la puissance du pédaleur dans sa phase descendante, deuxièmement que l'on peut relier, non plus directement, mais plutôt indirectement, le plateau du pédalier et l'ensemble pédale par divers moyens, et troisièmement que l'on peut utiliser un certain type d'engrenage, dit excentrique ou polycamés, de telle manière de modifier la régularité des vitesses réalisées du plateau du pédalier et du plateau de chaîne.
Les prochaines réalisations auront pour objet de montrer que l'on peut non seulement améliorer la puissance des pédaliers du point de mécanique mais aussi du point de vue ergonomique. Pour ce faire, l'on visera à construire un ensemble de mécaniques accéléro-décélératives de telle manière qu'au surplus elles permettent d'améliorer les pédaliers en leur ajoutant des qualités cette fois-ci géométriques. En effet l'on visera, en même temps que de réaliser les phases accéléro -décélératives, à réaliser pour ces pédaliers une course des pédales elliptico-verticale, plus compatible, comme nous l'avons déjà
mentionné, avec l'ergonomie du pédaleur.
En effet, l'on constatera dans nos prochains propos que les idées de mécaniques accéléro décélératives sont parfaitement compatibles avec celles de course elliptique des pédales, puisque la descente, beaucoup plus longue géométriquement, devra nécessairement être accélérée pour se réaliser dans le même temps que le temps de passage en haut et en vas de course (Fig.7 ) Ces avantages seront donc démultipliés, puisque l'on produira â la fois une course elliptique et une action de décommandement réalisée avec l'aide d'engrenages, accroissant les accëlérations et décélérations de façon encore plus marquée.
Les prochains propos auront donc pour objet de montrer les diverses méthodes mécaniques permettant de réaliser une course des pédales accéléro-décélérative , mais cette fois-ci, par une réalisation géométrique de la course des pédales, qui sera elliptico-vertiocale Préalable géométrique L'on comprendra mieux l'ensemble des méthodes plus haut répertoriées en maîtrisant le commentaire géométrique suivant, duquel, dans leur essence, elles prennent leur source. Avant de commenter plus précisément chacune des méthodes de réalisation des pédaliers ici soumises lorsque l'action des pédales est elliptiques, il nous a semble judicieux de rappeler comment construire géométriquement une forme ellïptique.
Construction géométrique standard d'une ellipse, ou quasi ellipse Géométriquement, l'on appelle la méthode de la corde, la méthode de base pour construire une ellipse. Dans cette méthode, il s'agit de réunir deux points, que l'on nomme foyers, par une corde, dont la longueur est supérieure à la distance séparant les deux foyers.

L'on tend ensuite la corde et l'on décrit un semi circonférence autour de ces deux points, ce qui réalise une ellipse. (Fig.8) L'ellipse peut donc être assimilable à une circonférence à deux centres.
Constructions géométriques proposées d'une course elliptique Comme on l'aura remarqué, la méthode de la corde ne peut être applicable, mécaniquement, pour la construction d'une ellipse, puisque les longueurs séparant les centres de la quasi circonférence sont toujours variables. La réalisation mécanique de ces cordes serait en effet irréalisable dans la pratique.
C'est pourquoi nous montrons ici d'autres procédés géométriques de construction de l'ellipse, qui pourront par la suite, plus facilement être réalisés mécaniquement par l'utilisation de pièces de longueur fixes.
Les trois méthodes géométriques principales sont les suivantes a) par circonférence et rectiligne superposés additionnées ou soustraites b) par rectiligne et circonférence superposés c) par circonférence superposées Commençons par commenter la première de ces méthodes Méthode par circonfërence et rectiligne superposée Dans cette méthode, l'on produit tout d'abord une circonférence, et, à
partir de chaque point successif de celle-ci, l'on produit, soit à extérieur, soit à l'intérieur, une rectiligne alternative. En réalisant ce double mouvement, l'on constatera que le point se déplaçant alternativement sur la droite tangente au déplacement du point se déplaçant sur la circonférence, s'éloigne et de rapproche tout simplement alternativement de la circonférence et produit par la même une ellipse. Pour plus de clarté, l'on appellera donc cette méthode la méthode par droite alternative superposée (Fig.9 a ) Méthode par rectiligne et circonférence superposée Dans la seconde méthode, il s'agit de produire de façon contraire circonférence et rectiligne. En effet, l'on produit cette fois-ci, au centre, le déplacement alternatif d'un point sur une droite. Ce point en déplacement sert ensuite à la construction d'une circonférence. La résultante de ces deux mouvements est une ellipse. Pour plus de clarté, l'on appellera cette méthode par circonférence ajoutée. (Fig. 9 b) Méthode par circonférences superposées Une troisième manière de réaliser des ellipses consiste à construire, soit rétroactivement, soit post activement une circonférence à partir de point de centre se déplacent sur une première circonférence C'est ce que nous appellerons la méthode par circonférences superposées (Fig. 9c) Mécanisation Nous avons vu jusqu'ici comment former des ellipses à partir d'éléments géométriques de base. Comme nous avons pu le constater, dans deux des trois cas, ces ellipses sont construites à partir de combinaisons de droites et des rectilignes à des mouvements circulaires. Lors de la réalisation mécanique des ellipses géométriques plus haut commentées, l'on pourra construire les mouvements circulaires entrant dans leur composition , avec l'aide d'excentriques ou de vilebrequin , ce qui ne pose pas de problème mécanique particulier. Bien entendu l'on pourra tout simplement construire les parties rectilignes des mouvements en utilisant des pièces montées de façon coulissante l'une dans l'autre. Un exemple bien connu de ce type de méthode est l'insertion dans un cylindre d'un piston, cette action permettant de faire réaliser à celui-ci un mouvement rectiligne.
Dans ces cas, l'on pourra par exemple monter de façon coulissante l'une des extrémités du machine de pédale , et relier sa partie moyenne à une partie circulaire , ce qui produira , à l'extrémité contraire , une quasi ellipse , supportant chaque pédale. (Fig.10 a) Inversement, si l'on veut se contenter de réaliser le mouvement rectiligne, sous forme de coulisse, mais cette fois-ci à l'extérieur, l'on reliera simplement l'une des extrémités du manchon à un maneton de vilebrequin monté rétrorotativement dans le pédalier, et l'on insérera le manchon, vers son centre, dans une coulisse. L'extrémité
complémentaire, supportant la pédale, produira un mouvement quasi elliptique. (Fig. 10 b ) Cependant, bien que cette méthode soit généralement utilisable dans de endroits ne produisant que peu de friction, leur utilisation est moins pertinente lors de réalisation de mécaniques risquant d'entraîner des la friction, comme c'est le cas de certains pédaliers, devant être soumis à
un effort supérieur. C'est pourquoi nous récapitulons ici les méthodes de construction géométrique de droites alternatives, et leurs meilleures réalisations mécaniques, ces aspects ayant d'ailleurs abondamment été
montrés par nous-même lors divulgations antérieures. .
Méthode de construction géométrique de droites Comme nous l'avons déjà mentionné, il est donc important de montrer ici des méthodes de réalisation géométrique de la rectiligne, de telle manière que celle-ci puisse être par la suite effectuée, mécaniquement sans friction. L'on notera donc que préférablement , pour atteindre ces objectifs , l'on tentera ici de produire la rectiligne avec l'aide de circonférences , ces dernières pouvant par la suite être réalisées facilement par des vilebrequins ou par des excentriques.
Construction mécanique du mouvement rectiligne Les prochaines constructions mécaniques du mouvement rectiligne prendront pour appui les constructions géométriques précédemment exposés. L'on notera. que ces constructions ont déjà été divulguées par nous-mêmes antérieurement aux présentes et appliquées aux machines motrices tel compresseurs, moteurs, machines de captation. L'on aura donc soin de consulter les brevets et demandes de brevets à cet effet, dont les numéros sont déposés en annexe des présentes.
Les deux principales méthodes mécaniques de construction de la rectiligne sont les méthodes dites méthode par mono induction rétrorotative, et méthode par bi induction, la première étant issue de la construction géométrique par circonférences superposée et la seconde par double circonférence avec addition géométrique.
La méthode de construction de la rectiligne par mono induction rétrorotative. .
Pour réaliser mécaniquement une course d'un élément qui soit alternative et rectiligne, l'on doit, selon cette méthode, avoir recours à
deux circonférences, l'une étant la moitié de l'autre et annulant donc l'un des vecteurs de sa réalisation, la transformant en rectiligne. L'on aura soin de consulter nos travaux à cet effet, et notamment notre brevet titré
machine à poly induction.
Pour ce faire, l'on utilise un premier vilebrequin que l'on nommera vilebrequin maître. Les manchons de ce vilebrequin seront dans ces premières versions terminés par une fourchette. Dans cette fourchette sera disposé rotativement un vilebrequin secondaire, ce vilebrequin étant d'une longueur équivalente à la moitié du vilebrequin-maître. L'axe central du vilebrequin auxiliaire sera muni d'un engrenage dit engrenage d'induction. Cet engrenage sera couplé à un engrenage de support de type interne, monté rotativement dans le flanc de la machine.
La rotation du vilebrequin entraînera la rétrorotation du vilebrequin secondaire, et le mouvement résultant du maneton de celui-ci sera une parfaite rectiligne alternative. (Fig.l 1 a) La méthode mécanique de construction de la rectiligne par double ensemble vilebrequin-bielle Dans cette méthode, l'on suppose simplement que deux vilebrequins sont montés rotativement dans une machine et sont organisés de telle manière de tourner en sens contraire. A chacune des manetons de ces vilebrequins, l'on dispose ensuite des bielles, ces bielles étant reliées à
leur extrémité construire. Cette construction est la réalisation mécanique de la méthode par circonférence et valeur géométrique ajoutée.
Dès lors, l'on s'apercevra que si l'on fait tourner les deux vilebrequins, le mouvement latéral de chacune des bielles sera annulé par Ie mouvement de la bielle complémentaire et seul le mouvement vertical subsistera.
L'extrémité à laquelle les bielles seront rattachées produira dons une parfaite rectiligne. ( Fig. 11 b) Mécanisation à partir de rectilignes non coulissantes.
Les deux méthodes de construction de mouvement elliptique nécessitant la combinaison d'un mouvement rectiligne à un mouvement circulaire pourront dès lors être réalisées avec l'aide des méthodes de construction des rectiligne que nous venons de divulguer. En effet, que cette construction de rectiligne soit fait au centre ou en périphérie, les deux méthodes sans coulisses déjà montrées pourront être utilisés.

Par exemple, l'on pourra soutenir l'extrémité extérieure du pédalier par mono induction ou bi induction, ces mécaniques étant montées de façon superposées à un mécanique rotative. (Fig. l2 a) Inversement l'on pourra produire les mécaniques au centre, et organiser sur celles-ci les mouvements rotatifs. ( Fig 12.b ) Dans les deux cas l'on produira un mouvement résultant elliptique, avec peu de friction.
Mécanisation des méthodes de réalisation de l'ellipse par circonférences superposées.
Jusqu'à présent, nous avons montré que l'on pouvait mécaniser les réalisations d'un mouvement elliptique par combinaisons de mouvements circulaires et rectilignes.
Comme nous l'avons montré géométriquement, la construction de mouvement elliptique est aussi possible avec le recours à des circonférences seulement. Lors de la commercialisation, il est important de favoriser les types de réalisation qui offriront la plus grande facilité
de montage. Pour cela, l'on optera selon nous pour la construction géométrique permettant de réaliser les mouvement elliptiques, par la méthode dite par circonférences superposées , avec ou sans ajout de bielle de droite de géométrie.
Les prochains propos auront donc pour objet de montrer que plusieurs mécanisations de cette méthode géométrique sont non seulement possibles mais aussi préférables.

Méthode par mono induction rétro ou post rotative.
L'on réalisera ce type de géométrie par les deux méthodes principales de mono induction rétro rotative et par mono induction post rotative.
En effet, l'on réalise tout d'abord dans les deux cas, il s'agit de fixer à
un engrenage planétaire, soit de type post rotatif, soit de type rétrorotatif, les manchons des pédales.
Plus précisément, dans les deux cas, l'on utilisera tout d'abord un premier vilebrequin, que l'on nommera vilebrequin maître, ce vilebrequin étant monté rotativement dans le centre du pédalier. L'on installera ensuite. Pour un meilleur équilibre de soutient des vilebrequins secondaires, l'on terminera le vilebrequin maître par des fourchettes.
L'on installe de façon superposée au premier vilebrequin, un second vilebrequin, ce dernier vilebrequin étant monté rotativement sur les fourchettes du vilebrequin maître. L'on muni ensuite l'axe du vilebrequin secondaire d'un engrenage dit engrenage d'induction que l'on couple à un engrenage dit de support , ce dernier engrenage étant disposé rigidement dans la machine . Dans la mesure où le rayon du vilebrequin secondaire est inférieur à celui du vilebrequin maître, l'on réalisera l'ellipse recherchée, tout autant par la méthode dite rétro rotative, que par la méthode post rotative. ( Fig. 13 ) Méthode de mécanisation par circonférences surajoutée et ajout de paramêtre géométrique.
Comme nous venons de le montrer, l'on peut, tout autant de façon post rotative que rétro rotative, construire par mono induction les mouvement elliptiques recherché.
En effet, les méthodes permettant de réaliser ce type de construction de l'ellipse ont toute la particularité de ne faire intervenir que des combinaisons de mouvements circulaires, sous la forme de vilebrequin ou d'excentriques, et de rattacher à l'un de ces vilebrequin, comme on le verra, des manchons rigides, ces derniers éléments réalisant les droites de géométrie.
Comme nous le montrerons plus loin, toutes ces méthodes pourront par la suite se voir appliquer des engrenages excentrique et /ou polycamés de telle manière d'augmenter les effets accélérodécélératifs des pédales sur le plateau de chaîne.
Réalisations mécaniques réalisant des ellipses à partir de ces méthodes Mous montrerons ici , à parti des méthodes géométriques plus avant exposées , l'ensemble des techniques de réalisations mécaniques de l'ellipse plus haut répertoriées , qu'il supra ensuite de doubler et de pourvoir de pédales pour réaliser les pédaliers accéléro-décélératifs ergonomique ici présentés.
La méthode dite par construction mono inductive rétrorotive Nous avons jusqu'à présent montré que l'on pouvait non seulement construire des mouvements elliptiques à l'aide de combinaison de sous mouvements circulaires et rectilignes, mais aussi an combinaisons de mouvements circulaires Les méthodes utilisées étaient principalement des engrenages planétaires simples, soit rétro rotatifs, soit post rotatifs. Dans les deux cas, les figures produites, de même que la puissance développée étaient insatisfaisantes. En effet, comme les manetons supportant les pédales sont disposés directement sur les engrenages d'induction, l'augmentation de la puissance produite était fort limitée. De plus la forme elliptique prévue ne se réalisait pas de manière idéale. En effet, dans la réalisation par méthode mono inductive rétrorotative nous avons noté que le mouvement produit n'était pas vraiment elliptique d'une part, et d'autre part, qu'en cours de course, le poignet de la pédale étant forcément situé entre la circonférence et le centre, l'augmentation du couple produite était relativement faible. {Fig.l4 a) D'autre part, dans le cas de la réalisation de l'ellipse par mono induction par post rotation, la situation était encore moins intéressante puisque l'on a même un stoppage en mi descente. (Fig. 14 B) Finalement , en supposant l'ellipse réalisée de façon transversale, le couple est certes augmenté , mais l'aspect ergonomique recherché du mouvement de la jambe n'est pas réalisé.
Amélioration géométrique de la méthode par circonférences superposées.
Comme nous l'avons déjà montré, la construction d'une ellipse est possible par la construction de deux circonférences superposés , que l'on réalise mécaniquement par la superposition de deux vilebrequins , l'un maître et l'autre secondaire, ces derniers agissant tels des planétaires étant contrôlés par engrenages. Nous avons de plus montré que, dans la mesure où les circonférences étaient superposées étaient plus petites que les circonférences maîtres, l'on obtenait des mouvements résultants elliptiques ou quasi elliptique tout autant avec des mécaniques rétrorotatives que post rotatives.
Cependant, si l'on augmente le rayon de la circonférence supérieure, l'on pourra noter que de fortes différences se produisent entre ces deux méthodes de soutient. En effet , lors de l'accroissement du rayon de la circonférence supérieur , lors de mono induction post rotative, la forme devient bouclé et par conséquent , irréalisable sous la forme de pédalier Fig. 15 a ) . Dans le cas des figures réalisées par mono induction rétro rotative, la forme passe tout d'abord par la réalisation de rectiligne, plus ensuite, si l'on allonge de nouveau le rayon de la circonférence, redevient elliptique. (Fig. 15 b,c) Cette nouvelle ellipse a cependant ceci d'original, qu'elle se produit en sens inverse de celui de la réalisation de la circonférence maître, c' est pourquoi nous diront les mécaniques réalisant cette formule géométrique mécanique rétrorotatives , avec ajout géométrique.) Mécanisations de la méthode par rétrorotation avec ajout géométrique.
Nous venons d'énoncer, la meilleure façon selon nous de réaliser les ellipses, et cela non seulement parce que, comme on le verra, elle sera facilement réalisable de plusieurs manières mécaniquement , mais aussi par ce qu'elle offrira , en même temps que sa course ergonomique, un coefficient de puissance très élevé .
En effet, dans toutes les mécanisation qui vont suivre, l'on réalisera un mouvement rétrorotatif d'un vilebrequin maître, sur le machon du quel l'on installera un vilebrequin secondaire, pouvant être réalisé sous la forme des manchons de pédale, ces derniers agissant post activement et étant suffisamment longs pour que la circonférence qu'ils décrivent sont supérieure à celle du vilebrequin maître (Fig.l6) Dès lors l'on verra que non seulement l'extrémité des pédales recevant les manchons parcoure une course elliptique, mais aussi, que lors de la descente, le manchon des pédales a un action de couple en levier, qui s' additionne en l' actionnant à l' action du vilebrequin maître, ce qui assure une phase descendant extrêmement puissante au pédaleur.
L'ensemble effectuera donc toutes les phases de l'ellipse désirée et au surplus avec un très fort couple de descente, et cela dès l' amorce de la descente.

Cette réalisation plus complète de l'invention consiste donc à montrer que l'on peut passer d'une forme dite rétrorotative à une forme post rotative ou birotative en ajoutant une composante géométrique ou birotative en ajoutant une composante géométrique dite rétrorotative Dans ces dernières réalisations, l'on surajoute à la réalisation de la rectiligne une valeur géométrique tangentielle, réalisée par la fixation rigide d'une bielle à l'engrenage d'induction rétrorotatif. (Fig.l7) L'on dédoublera le système et l' on aj outera les pédales, ce qui constituera le pédalier dans son ensemble.
Bien entendu, comme nous venons de le voir, l'action du vilebrequin principal sera dès lors rétro rotative. Il faudra par conséquent prévoir un mécanique d'inversion qui permettra de rétablir le mouvement de telle sorte qu la rotation avant de la roue impulsive soit assuré.
Cela pourra être réalisé par engrenage, par chaîne, et ce tout autant au niveau du pédalier, que de la roue elle-même (Fig.39,40) Mécaniques plus spécifiques de réalisation de la méthode par rétrorotation avec valeur géométrique ajouté.
Comme nous venons de le montrer, la post rotation du manchon du pédalier, de façon surajoutée à la rétrorotation du vilebrequin principal sur lequel il est monté rotativement nous semble la façon la plus efficace d'assurer le mouvement à la fois elliptique, et accéléro-décélératif puissant. La post rotation des manchons du pédalier doit donc être coordonnée à la rétrorotation du vilebrequin maître.
Ces mécaniques peuvent être répertoriées de la façon suivante Dans toutes ces méthodes l'on suppose un ajout géométrique permettant de réaliser l'ellipse birotative - par mono induction rétrorotative , avec bielle de géométrie - par poly induction rétrorotative, - par poly induction post rotative, - par semi transmission , - par engrenage cerceau, - par engrenage cerceau décentré
- par engrenage intermédiaire - par engrenage talon, avec bielle de géométrie - par engrenage internes juxtaposés, avec bielle de géométrie - par engrenages internes superposés, avec bielle de géométrie - par engrenages de centre actifs, avec bielle de géométrie La méthode par mono induction rétro rotative, avec ajout géométrique La méthode par mono induction rétrorotative avec ajout géométrique est similaire à celle déj à exposé, sauf en ce que la circonférence supérieure est plus importante que la circonférence réalisée par le vilebrequin principal. L'on ajoute donc à l'engrenage planétaire rétrorotatif un rayon que l'on réalisera par le manchon de chaque pédale. L'on notera de plus que lors de cette réalisation, le vilebrequin secondaire est plutôt réalisé
sous la forme d'une bielle montée rotativement sur le maneton du vilebrequin principal et rétro activement, activée par l'engrenage d'induction qui lui est rigidement fixé, cette bielle servant de manchon de pédalier . (Fig. 17) Bien entendu le système sera dédoublé, et l'on ajoutera les pédales. De même, l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par engrenages cerceau Dans la méthode dite par engrenage cerceau, la structure vilebrequin, manchon de pédale est similaire à celle décrite précédemment. Le manchon de pédale, muni d'un engrenage d'induction est monté
rotativement sur le maneton du vilebrequin. Cependant, ici l'engrenage de support est de type interne. Un engrenage, que l'on nommera engrenage cerceau, couplera les engrenages de support et d' induction.
Préférablement, cet engrenage cerceau sera rotativement monté sur le manchon du vilebrequin, soit dans un bassin conçu à cet effet, soit avec l'aide d'un axe rotatif. (Fig. 18) Cet engrenage cerceau pourra aussi être réalisé sus la forme d'une chaîne (Fig.lB b) .
Bien entendu le système sera dédoublé, et l'on ajoutera les pédales. De même, l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.

Méthode par engrenage intermédiaire Dans la méthode dite par engrenage intermédiaire, la structure vilebrequin, manchon de pédale est similaire à celle décrite précédemment. Le manchon de pédale, muni d'un engrenage d'induction est monté rotativement sur le maneton du vilebrequin. L'on pourra réaliser le couplage des engrenages de support et d'induction par le recours à un engrenage externe que l' on nommera engrenage intermédiaire. Le système pourra ainsi être dédoublé, et recevoir les pédales (Fig.l9) Bien entendu le système sera dédoublé, et l'on ajoutera les pédales. De même, l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par doubles engrenages internes juxtaposés Dans la méthode dite par engrenage intermédiaire, la structure vilebrequin, manchon de pédale est similaire à celle décrite précédemment. L'on peut réaliser le mouvement post rotatif du manchon des pédales par rapport au mouvement rétrorotatif du vilebrequin principal, en réalisant la machine de telle manière que l'engrenage d' induction du manchon de la pédale, et de support du pédalier, soient tous deux des engrenages de type internes. Ces deux engrenages , dits juxtaposés , seront reliés indirectement par le recours d'un seul, ou d'un doublé d'engrenages dits engrenages dits de lien, ces engrenages étant à leurs extrémité reliés à un engrenage interne de support.(Fig. 20 ) Bien entendu le système sera dédoublé, et l'on ajoutera les pédales. De même , l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.

Méthode par engrenage internes superposés L'on augmentera considérablement le couple du pédalier décrit à la dernière méthode en utilisant de façon superposée les engrenages internes de support et d'induction, encore une fois couplés par un ensemble d'engrenages de lien (Fig.21) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par engrenage talon Par opposition à la méthode précédente, l'on utilisera dans la présente méthode des engrenages de support et d'induction de type externe. Ces engrenages seront reliés indirectement par un seul , ou un doublé
d' engrenages, que l' on dit engrenages de lien , de type externe, en inversant le sens, et réaliser le même mouvement recherché. (Fig. 22) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par semi transmission Dans la méthode par semi-transmission, l'on réalise chaque maneton du vilebrequin de telle manière qu'il soit sous la forme d'un excentrique.
L'extrusion du manchon du pédalier est donc supérieure, et celui-ci est comme dans les versions précédentes, monté post rotativement sur l'excentrique. L'engrenage d'induction de manchon de pédale est couplé à un engrenage de support actif. Cet engrenage est monté

rotativement sur un axe traversant celui du vilebrequin sur sa longueur.
Cet axe et celui du vilebrequin sont munis d'engrenages qui sont reliés par un tiers engrenage, soit d'inversion, soit accélératif. En effet, dans le cas ou l'engrenage d'induction de manchon de pédale sera de type externe, la transmission sera plutôt décélérative qu'inversive. (Fig.23) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par engrenage central post actif Cette méthode combine les actions des méthodes par engrenage talon et par semi transmission. Dans cette méthode, chaque manchon de pédale est monté sur le vilebrequin principal de telle manière que son engrenage d' induction de type externe soit couplé à un engrenage de support post actif disposé dans le centre du pédalier. Cet engrenage de support est, préférablement entraîné post activement et indirectement par un engrenage inverseur couplé à l'engrenage de support complémentaire.
(Fig.24) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Méthode par poly induction La méthode par poly induction consiste à relier chacun des manchons de vilebrequin à deux manetons situés sur des engrenages dit d' induction, ces engrenages étant montés planétairement autour d'un engrenage dit engrenage de support. La méthode par poly induction peut être produite à parti d'engrenages de support de type interne ou de type externe, et sera dit des lors rétro rotative ou post rotatïve. (Fig. 25) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Par engrenage cerceau intermédiaire Dans la méthode par engrenage cerceau intermédiaire, l'un des deux engrenages, de support ou d'induction est de type externe, alors que l'autre est de type interne. Ces deux engrenages sont réunis par type spécifique d'engrenage, appelé engrenage cerceau intermédiaire, parce qu'il est dentelé tout autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, et qu'il peut, pour cette raison, simultanément remplir ces deux fonctions. (Fig. 26) Cet ensemble sera dédoublé et l'on pourra y fixer les pédales l'on coordonnera le mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître et de la roue.
Combinaison. Polycamation, décentrement de toute méthode et utilisation d'en rg enages chevauchés.
Combinaison L'on pourra créer des mouvements plus subtils de pédales en combinant entre elle deux des méthodes au choix, parmi celles déj à commentées. Il est impossible de commenter toutes les permutations possibles. Nous nous contentons aux présentes de la combinaîson de mono induction avec mono induction. A titre simplement exemplaire donc, l'on pourra étager deux mono inductions, afin de permettre réaliser par exemple une ellipse plus mince, ou encore plus large, selon le besoin. En ce cas l'on parlera d'engrenages de support et d'inductïon étagés par rapport à
standard. Les engrenages de support étagés seront disposés rigidement sur les manetons de vilebrequins principal de telle manière que leurs centres en soient les mêmes. (Fig. 27 a ) A la limite , l'on pourra produire par exemple une course des pédales quasi circulaire mais avec une course d'excentrique et de manchons contraire, ce qui triplera la porté descendante de la machine. (Fig.27 b) Polycamation De la même manière, dans toutes les méthodes précédemment exposées l'on pourra appliquer des engrenages polycamés. L'on pourra par exemple incliner l'angle de l'ellipse, pour ensuite, à l'aide de polycamation, la redresser. Cet ajout qualitatif pourra être produit de telle manière de produire de l'accélération, et par conséquent de la puissance à l'effort du pédaleur. (Fig. 28 ) Décentrement D'autre part, l'on pourra, surtout dans les cas en lesquels il y a utilisation d'engrenages cerceau, intermédiaires et talon, décentrer l'attaque de ces engrenages, et par conséquent, annuler les temps mort en haut de la descente. (Fig. 29) Par exemple, l'on pourra, lors de l'utilisation de l'engrenage cerceau, incorporer un tiers engrenage qui décentrera l'engrenage cerceau et par conséquent son points d'attaque.

Engrenages chevauchés Nous avons déjà montré que les engrenages polycamés, dits aussi engrenages accélératifs peuvent être utilisés en remplacement d'engrenages conventionnels De même, nous avons montré que tout engrenage, interne ou externe ou en crémaillère, pouvait être réalisé de manière chevauchée. On entend par engrenage chevauché un engrenage dont les dentelures sont réalisées de façon chevauchée. Cette disposition permet de réaliser l'engrenage de telle manière que les dentes de chaque rangée soient longues et fortes alors que Ia somme des dents soient petite et raffinée. Cette solution assure finesse et précision à la fois. (Fig.30) Pompos moteurs Comme nous l'avons montré jusqu'à présent, il y a un intérêt certain à
produire des pédaliers dont le moment de force, autant au point de vue mécanique qu'ergonomique sera décuplé. L'on pourra donc adjoindre ces types de pédalier à la roue arrière avec des chaînes standard , ou encore par tige, dentelée. Mais une façon efficace de relier ces éléments sera de joindre le pédalier avec un compresseur, et ce de telle manière que la force maximale demandée par le compresseur, soit à la fin de sa montée soit juxtaposé à la puissance maximal du pédaleur. La puissance accumulée par la suite dans un bidon à cet effet, pourra être redistribuée sur la roue par l'entremise cette fois-ci d'un moteur à air, dont le nombre de pistons sera plus élevé et leur grosseur plus petite, ce qui assurera un débit similaire mais plus régulier, égal, même entre les temps de forces du pédaleur. L'on pourra de plus choisir une machine plus compressive, tell une machine post rotative, lors de l'intégration des airs , et plus motorisante, telle une machine rétrorotative, lors de leur morotorisation.

Cette idée peut aussi directement être appliquée dans le pédalier lui-même avec une brève accumulation d'air momentanée, accumulée en descente et rejetée lors de passages au haut de pédales.(Fig.31 ) En dernière analyse, notons que toutes les mécaniques rétrorotative présentées ici peuvent aussi être utilisées pour produire les rectilignes participant à la construction d'ellipse. La construction d'ellipse, à partir de combinaison de rectiligne et circularité, et dont le rectiligne sont réalisées par l'une de ces méthodes est donc au surplus dans le champ de la présente invention.
Mouvement elliptique oblique et horizontal Toutes les mécaniques présentées aux présentes pourront être coordonnées de telle manière de réaliser leur mouvement elliptique de façon oblique ou horizontale. Ces mouvements pourront dès lors s'adapter à d'autres fonctions telles par exemples des exerciseurs, ou des machines de reproduction du mouvement de marche ou de ski de fond par exemple. (Fig.32) Description sommaire des figures La figure 1 1 a et b montre le moment privilégié de production de couple et d'ergonomie d'un pédalier et d'un pédaleur La figure 2 montre deux manières de coupler de façon non fixe le plateau de chaîne d'un pédalier et son organe de pédales. En cette figure, l' on se sert de l' engrenage central de type externe comme engrenage fixe de support La figure 3 montre deux manières de coupler de façon non fixe le plateau de chaîne d'un pédalier et son organe de pédales. En cette figure, l' on se sert de l' engrenage extérieur de type interne comme engrenage fixe de support La figure 4 montre quelques exemples d'engrenages excentriques et polycamés La figure 5 montre pour un tour la suite des séquences accéléro décélératives réalisées par ce type d'engrenage, par exemple lorsque réalisés sous forme de planétaires.
La figure 6 montre des applications de ce type d'engrenages aux mécaniques présentées aux figures deux et trois, et qui constituent, â
proprement parler les premières réalisations de la présente.
La figure 7 montre qu'en produisant une course des pédales elliptique, l'élongation géométrique de la descente produit des effets similaires , au niveau du couple , que celui des réalisations et précédente, de même qu'il ajoute la dimension ergonomique.
La figure 8 montre la méthode de construction conventionnelle d'une ellipse, dite méthode de la corde.
La figure 9 a montre la première de trois méthodes originales de construction de l'ellipse. En a ) l'on montre Ia construction de l'ellipse par la méthode circularo-rectiligne En b) l'on montre la manière dite rectiligno circulaire La figure 10 montre les manières extérieures et intérieures de réaliser l'ellipse par circonférences superposées La figure 11 montre des réalisations totales mécaniques des méthodes rectiligno-circulaires et circularo-rectiligne, lorsque la partie rectiligne du mouvement est réalisée par action coulissante.
La figure 12 montre deux constructions géométriques permettant de réaliser de façon non coulissante les rectilignes participant de la construction de l'ellipse.
La figure 13 montre deux mécaniques non coulissantes de réalisation de la rectiligne, issues de la figure 12 .
La figure 14 a et b montre la construction plus complète du mouvement elliptique à partir des types de construction d'une rectiligne alternative présentés en 10.
La figure 15 montre la réalisation mécanique du mouvement elliptique à
partir de la méthode de circonférences superposée, réalisée sous formes de vilebrequins superposés.
La figure 16 montre les lacunes de cette méthode, et cela tout autant lorsque les engrenages planétaires sont montés de façon post rotative que rétrorotative.
La figure 17 montre les conséquences géométriques que produit une augmentation des rayons des circonférences superposées, post rotatives et rétrorotatives.
La figure 18 montre le déroulement, pour un tour d'une mécanique rétrorotative avec rayon augmenté , ce rayon étant réalisé sous la forme du manchon de pédales.
La figure 19 montre une premiére méthode de mécanisation de la coordination de ces éléments, par la méthode dite par mono induction rétrorotative La figure 20 montre le dédoublement de cette structure, et les meilleures solutions appuis mécaniques.
La figure 21 montre l'emplacement de pièces pour un tour de cette mécanique La f gure 22 montre, appliquée à un pédalier, la réalisation de l'ellipse à
partir d'une mécanique dite à engrenage cerceau La figure 23 l'emplacement de pièces pour un tour de cette mécanique La figure 24 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenage intermédiaire La figure 25 l'emplacement de pièces pour un tour de cette mécanique La figue 26 montre, appliquée à un pédalier, m une mécanique dite par engrenages internes juxtaposés La figure 27 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenage internes superposés La figure 28 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenages talon La figure 29 montre, appliquée à un pédalier, une réalisation de l'ellipse à partir de la méthode par semi-transmission La figure 30 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenages engrenage central post actif La figure 31 montre, appliqué à un pédalier, une mécanique dite par poly induction.
La figure 32 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenage cerceau intermédiaire La figure 33 montre, à titre exemplaire, la possibilité de combiner de façon juxtaposée ou étagée toutes les mécaniques plus hait commentées La figure 34 montre que les engrenages polycamé et excentriques peuvent être appliqués à toutes les mécaniques précédente, en remplacement des engrenages standard , ce qui permettra d'augmenter de façon supplémentaire les effet accélératifs multiplicateurs e puissance réalisés par celles-ci .
La figure 35 montre que l'on peut avec l'aide d'un tiers engrenage, réaliser les mécaniques de façon décentrée.
La figure 36 montre que pour toutes ces méthodes, l'on peut au surplus utiliser des engrenages dits engrenages chevauchés.
La figure 37 montre que l'on peut actionner la roue, ou autre moyen de locomotion du pédalier par diverses manières, comme, de façon plus conventionnelle par chaîne, mais encore par tige rotative, ou par pression La figure 38 montre que dans le cas s'une action par compression , le pédalier peut être synchronisé avec un organe de compression qui ;à son tour active une machine de captation , connectée mécaniquement au moyen de locomotion tel la roue.
La figure 39 montre que plusieurs méthodes de conversion du mouvement rétrorotatif du vilebrequin principal en mouvement post rotatif activant la roue arrière sont réalisables.

La figure 40 montre que chacun de ces moyens de reconversion du mouvement peut être réalisé à divers niveaux, soit à celui du pédalier, au niveau du dérailleur, ou dans la partie médiante.
La figure 41 montre que l'on peut utiliser toutes les méthodes ici présentées de telle manière de réaliser l'ellipse des pédaliers de façon plus oblique, ou encore de façon horizontale, par exemple pour la réalisation d'exerciseurs.
Description détaillée des figures La figure 1 montre le moment privilégié de production de couple 1 et d'ergonomie 2 d'un pédalier et d'un pédaleur. Bien entendu, le moment de force sur la pédale est celui se situant dans le cadran avant de l'action rotative du pédalier. De plus ce moment de force est simultané à celui du moment ergonomique de plus grande puissance. En effet, pour le pédaleur, le moment de force se situe lorsque la jambe est à demi pliée.
Au haut, la j ambe a moins de force, parce qu' elle est trop pliée, alors qu'au bas, son extension est terminée.
La figure 2 montre des manières de coupler de façon non f xe le plateau de chaîne 3 et le plateau des pédales 4 d'un pédalier Plusieurs méthodes peuvent être utilisées, pour rendre plus indirecte, donc plus variable, l'action de ces deux éléments. Parmi les principales, l'on peut noter deux variantes, en lesquelles l'engrenage central, de type externe sert d'engrenage de support, et deux subséquentes , en lesquelles I,engrenage de support est de type interne et est disposé de façon rigide dans le centre du pédalier.
Dans tous les cas, l'on utilisera des engrenages dits de support 5 , qui seront fixes , et qui serviront d'appui, que ce soit dans leur type externe ou interne . L'on utilisera aussi des engrenages actifs qui seront les engrenages d'induction 8, qui seront couplés indirectement aux engrenages de support par des engrenages que l'on dira engrenages intermédiaires. 9 En effet, un premier engrenage est disposé de façon centrale et f xe dans le centre du pédalier. Cet engrenage est nommé engrenage d'engrenage de support 5. Dans les deux exemples de la présente figure ., cet engrange sera de type externe. Quant aux pédales 6 elles sont disposées, directement ou par l'intermédiaire d'un manchon de pédale 7 sur un élément monté rotativement et que l'on nommera plateau des pédales 4 . Quant à la chaîne elle est de même disposée sur un plateau que l'on nommera plateau de chaîne 3. En a ) le plateau de chaîne est muni d'un engrenage de type interne que l'on nommera engrenage d'induction du pédalier 8 . Quant au plateau de pédales 4, il est muni d'un ou de plusieurs engrenages , dits engrenages intermédiaires 9 , qui seront disposés rotativement sur celui-ci , par exemple sur des axes à cet effet 10 , et ce de telle manière de coupler indirectement les engrenage de support 5 et d' induction 8 .
En b ) c'est plutôt le plateau de chaîne 3 est plutôt monté rotativement sur les engrenages intermédiaires 9, alors que le plateau des pédales 4 est monté de telle manière que son engrenage d' induction 8 soit couplé aux engrenages intermédiaires 9 .
Le fonctionnement de l'appareil est dès lors fort simple. En a), l'action post rotative des pédales et des manchons de pédales 11 entraînera post activement les engrenages intermédiaires 12 qui à leur tour entraîneront post activement l'engrenage de plateau de chaîne.l3 En b , contrairement à en a ) , le plateau des pédales 4 est fixé sur l'engrenage d'induction interne et le plateau de chaîne 3 sur les axes des engrenages intermédiaires . Le plateau de pédales 4, entraîne donc par son engrenage interne les engrenages intermédiaires, sur les axes desquels est fixé le plateau de chaîne. En effet, le plateau de pédales 4 , entraîné post activement par le pédaleur 1 l, ce qui entraînera les engrenages intermédiaires aussi post activement 12 , qui, dernièrement entraînera le plateau de chaîne , monté sur son axe.
L'on notera que l'effet de décommandement accéléré du plateau de la chaîne permettra de le réaliser dans des dimensions plus petites que ses dimensions standard. , ce qui pourra être avantageux dans de multiples versions de celui-ci, non seulement au niveau de l' encombrement mais aussi au niveau du poids.
La figure 3 a et b ) montre plutôt les cas en lesquels ce sera plutôt l'engrenages périphérique de type interne , 5 qui seront considéré
comme engrenage de support puisqu'ils seront montés fixement dans l'appareil.
Dès lors, tel en a ) l'engrenage central deviendra., l'engrenage d'induction 8 puisqu'il sera monté rotativement dans le centre de la machine et puisqu'il lui sera fixé rigidement l'élément du plateau de chaîne 3 .
Comme précédemment des engrenages intermédiaires 9 seront montés rotativement sur le plateau de pédale 4 , lui-même étant monté
rotativement dans le centre de l'appareil. Cette procédure sera réalisée de telle manière que les engrenages intermédiaires couplent indirectement les engrenages de support et d' induction 8.
En b , Ie montage des pi'ces reliées aux éléments actifs est contraire. En effet, en ce cas, le plateau de pédale 4 est plutôt fixé sur l'engrenage central d'induction 8 , alors que le plateau de chaîne est fixé sur les axes des engrenages intermédiaires 9.
Dans le fonctionnement de ce pédalier en a , la post action du plateau des pédales 11 entraînera la rétroaction 12 des engrenages intermédiaires 8 qui entraînera la post action de l'engrenage d'induction central et du plateau de chaîne qui lui est relié 13 En b , la post action des pédales 11 entraîne la post action de l'engrenage d'induction central qui entraîne à son tour la rétroaction de les engrenages intermédiaires 12 , qui elle-même entraîne la post action de leur propre centre et du plateau de chaîne qui y est fixé 13 La figure 4 montre quelques exemples d'engrenages excentriques et polycamés Dans cette figure, en a , l'on couple deux engrenages excentriques 30 , c'est-à-dire dont les centres de rotation de sont pas centrés.31 L'on notera que lors des rotations, les positions debout 32 et couchées 33 de base des engrenages se déplacent alternativement. D'un engrenage à l' autre.
Les vitesses relatives d'un engrenage à l'autre sont donc toujours variables, accélérativement 34 , et décélérativement 35 .
Dans la deuxième version, un engrenage excentrique 30 est plutôt combiné à un engrenage que l'on dira engrenage polycamé 36 . Ici la forme de ce dernier est, pour une plus simple comprëhension, la plus élémentaire, soit celle de l'ellipse. Ces configurations permettent de réaliser les effets similaires à ceux déjà montrés pour les engrenages excentriques, mais cette fois-ci en changeant les ratios et rapport de rotation des engrenages En effet, si l'on suppose ici l'engrenage excentrique externe monté de façon planétaire à l'engrenage polycamé de type interne , l'on notera, lors de la rotation en 37, sa décélération en 38 , et son accélération en X

Dans la figure c, l'on a couplé de la même manière cette fois-ci des engrenages , ces engrenages étant tous deux polycamés 36 .
L'engrenage planétaire est de forme elliptique 40 alors que L'engrenage de type interne est quasi triangulaire 41 .
En d) de Ia même figure, les engrenages mis en combinaison sont plutôt en engrenages excentrique 30, et un engrenage de type à crémaillère polycamé 42.
La f gure 5 montre pour un tour la suite des séquences accélératives 43 et décélératives 44 réalisées par ce type d'engrenage, ici planétaire La figure 6 montre des applications de ce type d'engrenages à l'une des mécaniques présentées aux figures deux et trois, et qui constituent, à
proprement parler les premières réalisations de la présente. L'on remarquera qu'en supposant une vitesse constante de l'engrenage planétaire, l'on réalisera plutôt des phases accélératives 45 et décélératives 46 du vilebrequin. Dans ce cas, l'on pourra remarquer que les mécaniques sont plutôt réalisées avec l'aide d'engrenages excentriques 46 et polycamé 47 . Comme la variante de vitesse recherchée est binaire, Les engrenages polycamés de base demeure simplement elliptiques. Dans tous les cas, le sens 48 des engrenages polycamés a été déterminé de telle manière d'accélérer la vitesse de l'organe pédale 49 par rapport à celui du plateau de chaîne 50 , ce qui permet de décommander positivement la puissance de l'action du pédaleur.
L'on remarquera au surplus que les polycamations d'engrenage de support 51 et du plateau de chaîne 52 sont réalisées de telle manière de tenir compte de la double vitesse accélérée des engrenages intermédiaires.
En compensation cette vitesse relative est décélérée dans les parties les plus hautes et les parties les plus basses du mouvement.

On peut principalement constater à ces figures que lors du haut de la monté l'engrenage d'induction de la pédale est en position couchée 53, ce qui ralentit en ces moments Ia vitesse 54 et le couple de la pédale, pour enfin, en mi course, se retrouver dans un position debout 48 , position à laquelle une longue course de sa part se traduit par une petite sur l'engrenage correspondant, lui même arrivé à sa position couchée .
Ceci produit un moment de force accru par rapport à une version originale, en laquelle les engrenages ont une forme parfaitement circulaire.
La figure 7 montre qu'en produisant une course des pédales elliptique, l'élongation géométrique de la descente produit des effets similaires , au niveau du couple , que celui des réalisations et précédente, de même qu'il ajoute la dimension ergonomique. En effet, si l'on considère une course elliptique des pédales, l'on constatera que la descente et la montée 56 , sont beaucoup plus longues que les passages au haut et au bas 57 de la figure. L'augmentation de la puissance sera ici causée par la géométrie même de l'organe pédale.
La figure 8 montre la méthode géométrique conventionnelle de construction d'une ellipse, dite méthode de la corde. Dans cette méthode, il s'agit de relier deux points nommés foyers 60 par une corde X, dont Ia longueur est supérieure à la distance séparant les points de foyer. L'on tend ensuite la corde de telle sorte de produire n point de tension. 61. Si l'on déplace ce point de tension autour des deux foyers 62, l'on produit alors une ellipse 63.
La figure 9 a montre une première méthode originale de construction de I' ellipse. En effet, comme nous avons pu le constater à la figure 8 , les distances séparant le point de tension et les points de foyer, en cours de formation de l'ellipse sont constamment variable et pour cette raison, cette méthode géométrique est difficilement réalisable mécaniquement, puisque des pièces de longueur variables sont nécessairement montées de façons coulissante et propices à l'usure. Par conséquent, il est nécessaire de réaliser ici d'autres façons géométriques de production de l'ellipse assurant de meilleures possibilités de réalisations.
La première méthode de réalisation géométrique de l'ellipse sera dite méthode circularo-rectiligne. Dans cette méthode, l'on suppose d'abord une circonférence 64 . L'on suppose ensuite un point 65, se déplaçant sur cette circonférence. Dernièrement, l'on suppose, à partir de ce point en déplacement, la production tangentielle d'un rectiligne 66 alternativement vers l' extérieur et vers l' intérieur. La résultante du déplacement du point construisant cette rectiligne, en cours de rotation sera l' ellipse recherchée 67.
La figure 9 b montre la réalisation de la seconde méthode, qui sera dite méthode rectiligno-circulaire L'on suppose au contraire ici, tout d'abord une droite 68 sur laquelle se déplace alternativement un point 69 . A partir de ce point en mouvement, en s'en servant comme centre actif, l'on produit un circonférence 70 . La suite des points produisant progressivement cette circonférence produira l'ellipse recherchée 71 La figure 10 montre la troisième méthode est dite circularo -circulaire.
A la manière des constructions précédentes, l'on suit le déplacement du point 72 situé sur le rayon d'une circonférence en rotation ,autour d'une autre en a , 73, ou dans une autre en b , 74 , soit donc post rotativement soit rétrorotativement. Dans les deux cas, ici les circonférences supérieures rotatives devront être plus petites que les circonférences de base. Le résultat , c'est-à-dire la cours parcourue par le point réalisant la seconde circonférence sera l'ellipse recherchée.

L'on notera que l'ellipse réalisée en produisant la circonférence étagée de façon rétrorotative sera plus aigue 75 alors que celle obtenue par la réalisation post rotative de la circonférence étagée sera plus obèse 76 .
La figure 10 montre des réalisations totales mécaniques des méthodes rectiligno-circulaires et circularo-rectiligne , lorsque la partie rectiligne du mouvement est réalisée par action coulissante.
Dans ces mécaniques, il s'agit de réaliser Ie manchon de chaque pédale 76 en considérant les trois points suivants, à saloir Ie point de rattachement des pédales 77 , le point d'appui central 78 , et le point d' extrémité contraire 79 .
Dans une première version, l'on pourra rattacher le point de centre rotativement au maneton d'un vilebrequin 80 , et le point d'extrémité
contraire de façon coulissante à un point d'appui 81 . Cette action coulissante pourra être jumelée à celle d'un piston dans un cylindre 82 , réalisant ainsi une pompe intéressante pour les machine pompo motrices que nous montrerons en dernière analyse de la présente. La résultante sera une action elliptico-verticale 83 de la partie dans laquelle est fixée la pédale Dans la seconde version, il s'agit plutôt de relier l'extrémité contraire du manchon de chaque pédale 79 au maneton du vilebrequin et de faire passer la partie centrale du manchon de façon coulissante dans un élément à cet effet.
Dams les deux configurations, le mouvement résultant des pédales sera une ellipse ou une quasi ellipse 80 .
La figure 12 montre deux géométries permettant de réaliser une course rectiligne alternative d'un point. En a) l'on montre une première méthode géométrique de construction d'une rectiligne alternative, dite par circonférences superposées Dans cette méthode, l' on fait tourner une circonférence 84 dans une seconde circonférence 85. En précisant un point 86 , de la première circonférence, l'on verra que celui-ci parcourt une trajectoire rectiligne alternative. 87. En 11 b, l'on montre une deuxième façon de construire géométriquement une rectiligne alternative. Dans cette manière , l'on rattache entre elles deux droites de longueur limitée 88 , à l'une de leurs extrémités 87, L'on déplace ensuite en sens opposés la seconde de leurs extrémités 90, sur la ligne de deux circonférences 91 . Le mouvement obtenu à leur extrémité de leur rattachement l'une à l'autre 89 est une rectiligne alternative 92 .
La figure 13 montre les réalisations mécaniques de construction de ces rectilignes. Dans la méthode par circonférences superposées, l'on réalisera les mouvements circulaires par des vilebrequins et des excentriques.
Ici l'on réalise simplement un premier vilebrequin, que l'on dira vilebrequin-maître ou vilebrequin principal 93, dont le manchon 94 sera terminé en forme de fourchette 95 , de telle manière de recevoir rotativement le vilebrequin secondaire 96 de façon équilibrée. Le manchon du vilebrequin secondaire sera de la moitié de celui du vilebrequin principal. Sur l'axe de celui-ci sera disposé rigidement un engrenage que l' on dira engrenage d' induction 97 , cet engrenage étant couplé à un engrenage du double de sa grosseur , de type interne , et disposé rigidement dans le flanc de la machine. 98 L'action du vilebrequin principal 99 entraînera la rétroaction du vilebrequin secondaire 100, et la résultant, considérée comme la course du maneton de celui-ci sera une parfaite rectiligne 101 .
Dans la seconde manière de réaliser mécaniquement un course rectiligne, l'on réalisera les circonférences par des vilebrequins 102 entraînëes antirotativement l'une par rapport à l'autre 103 par un moyen tel des engrenage couplés entre eux. I04 L'on reliera les manetons de vilebrequins à des bielles 105 , elles-mêmes reliées entre elles à leur autre extrémité. Sous l'action rotative des vilebrequins 103 , ce point de liaison 106 de ces extrémités réalisera un parfaite rectiligne 107.
La figure 14 a et b montre deux exemples de construction plus complète du mouvement elliptique à partir des types de construction d'une rectiligne alternative présentés en 11. Dans les deux exemples , la rectiligne est réalisée à l'extrémité 108 , par la méthode rectiligno circulaire , mais elle pourrait , comme on l'a vu aussi être réalisée au centre.
En a la rectiligne est réalisée par superposition de vilebrequin 108 , et est réalisée de façon superposée au mouvement circulaire En b, la rectiligne est réalisée par double vilebrequin 112 et bielles et la résultante est rattachée à l'extrémité contraire du manchon des pédales .
La figure 15 montre que la réalisation mécanique du mouvement elliptique peut être simplifiée, puisque produite, comme le mouvement rectiligne, à partir de la méthode de circonférences superposée, elle sera réalisée sous forme de vilebrequins superposés.
Similairement à la méthode de construction de rectiligne, l'on utilisera une combinaison en étagement de vilebrequins étagés. Un premier vilebrequin, appelé vilebrequin maître, 93, disposé rotativement dans l'appareil. Pour un soutient plus égal des parties, l'on munira le manchon du vilebrequin d'une fourchette 95 L'on installera ensuite rotativement à cette fourchette un vilebrequin secondaire 96 , dont le rayon sera plus petit que la demi de la grosseur du vilebrequin maître 113 . Le vilebrequin secondaire sera muni, sur son axe , d'un engrenage dit engrenage d'induction 97 , cet engrenage étant couplé à une engrenage de type interne , disposé fixement dans le coté
de la machine , et que l'on dira engrenage de support 98 La machine pourra être monté post induction en tel que montré en a ) et en rétro induction tel que montré en b .L' on remarquera que lorsque monté en post induction , l'engrenage de support est de type interne 98 et les fourchettes du manchon est dirigée vers l'intérieurl 15 , lors que lorsque monté en rétro induction induction, tel qu'en b , l'engrenage de support sera de type interne 116 et la fourchette sera dirigée vers l' extérieur 117.
La figure 16 montre les lacunes de cette méthode, et cela tout autant lorsque les engrenages planétaires sont montés de façon post rotative que rétrorotative.
Tout d'abord lorsque les manetons des pédales sont montées sur des engrenages rétrorotatif, l'augmentation du couple en début 118 et en cours de descente ne semble pas suffisamment importante pour justifier le nombre de pièces et ainsi que le poids supplémentaire que requiert cette disposition .
Dans le cas d'un montage de type post rotatif, la réalisation de l'ellipse a un défaut mécanique notable lors de la descente, puisque le maneton de l'engrenage planétaire se retrouve en situation de blocage à la mi descente, ceci étant causé par l'obligation qu'il a de remonter 119 pendant la descente du vilebrequin maitre 120, ce qui place la pédale 120 en situation de blocage causé par la réaction 121 et la contre réaction 122 qui en découle.
La figure 17 montre les conséquences géométriques que produit une augmentation des rayons des circonférences superposées, post rotatives et rétrorotatives.

Dans le cas des mécaniques dites post rotatives, l'augmentation de la longueur du rayon des circonférences secondaires 123 apporte des résultats moins intéressants puisque la forme réalisée est maintenant bouclée 124 , ce qui oblige la montée de la pédale en cours de descente , ce qui est évidemment irréalisable 125 .
Dans le cas des mécaniques de type rétro rotatives, les conséquences sont fort différentes. En effet, comme on l'a montré à la figure 12 , si le rayon de la circonférence est augmenté de telle manière d'être égal à
celui de la circonférence maître, la mécanique rétro rotative produit une rectiligne. 127 Mais, en ce qui concerne le présent propos, il est des plus intéressant de noter que, toujours lors de construction rétrorotative, si le rayon de la circonférence supérieure 128 est plus long que le diamètre de la circonférence maître 129 , alors le maneton du vilebrequin supérieur recommence à produire une forme elliptique 130 .
Cette nouvelle forme elliptique est cependant différente et avantageuse par rapport à celle réalisée, comme dans le premier cas, avec un maneton plus court que la demi de la circonférence maître.
Les différences notables consistent premièrement en ce que les actions du vilebrequin principal et du vilebrequin secondaire, pour une production d'ellipse dans le même sens, sont cette fois-ci contraires. En effet, l'action du vilebrequin principal est maintenant rétrorotative 131 alors que l'action du vilebrequin secondaire est post rotative 132 . Ceci a pour conséquence un sens de la rotation, lors du début de la descente plus compatible avec celui de la poussée de la jambe.
En effet , l'on constate la post rotation 133 du manchon des pédales134 combinée à la rétrorotation 135 du vilebrequin principal 136 réalise non seulement le mouvement elliptique recherché , mais au surplus cette fois-ci , avec une énorme puissance , l'addition des vilebrequin étant considérée comme une addition de couple.
L'on note aussi, aux points le plus bas et plus haut, que le vilebrequin est aussi au plus bas 137 et plus hauts 138. Au contraire, en cours de descente, les longueurs s'additionnent en allez retour de l'un et de l'autre 139, ce qui réalise en même temps un formidable effet de levier, par le pédaleur, au point de couplage des engrenages de support et d'induction 140.
La seconde de ces différences consiste en ce que le maneton du pédalier plus long et post rotatif, agit non seulement dans le sens de la poussée lors de l'amorce de la descente, mais aussi avec un couple et une action de levier de beaucoup supérieur lors de la descente, puisque, en effet, le rayon de celui-ci 141 est généralement plus long que le diamètre du vilebrequin principal. 142 La figure 18 montre le déroulement, pour un tour d'une mécanique rétrorotative avec rayon augmenté , ce rayon étant réalisé sous la forme du manchon de pédales. L'on y voit que les deux manchons des vilebrequins se retrouvent simultanément en haut 143 et en bas 144, lors du haut et du bas de la montée, alors qu'il se trouvent en sens contraire, lors du milieu de la descente 145 et de la montée 146 .
La figure 19 montre, appliquée à un pédalier, la première méthode mono inductive rétrorotative, dite avec addition géométrique, puisque, comme nous venons de le montrer, l'on a allongé le rayon de la circonférence supérieure au delà du diamètre de la circonférence maître, produisant ainsi des actions contraires des vilebrequins maîtres et secondaire. L'on verra dans la prochaine figure, comment par la suite dédoubler ce pédalier de telle manière de réaliser les supports les plus viables de chacune des parties. Comme dans les solutions rétrorotatives précédentes, cette solution consiste à monter rotativement dans le corps de la machine un vilebrequin principal. 93. Dans cette version, cependant, Ie vilebrequin est plutôt terminé par un maneton 140 pou chaque pédale. Les vilebrequins secondaires secondaire des versions précédentes deviennent donc simplement des manchons 133, munis chacun d'un engrenage d'induction 136 et montées rotativement sur les manetons des vilebrequins, de telle manière que leur engrenage d'induction respectif soit couplé à l'engrenage de support de type interne 136 fixé rigidement dans le centre de l'appareil.
Ici, le maneton est prolongé su~samment pour compenser le passage arrière de l'engrenage d'induction et pour réaliser l'ellipse. L'on remarquera en effet ici, que non seulement l'allez retour du premier et du second vilebrequin, mais aussi faction de levier allongée du second vilebrequin soutenant les pédales 139. Cette méthode par rétro mécanique avec addition géométrique sera beaucoup plus puissante que celle sans addition, dans sa version initiale.
Alors que la partie a) de la figure montre le pédalier lorsque la pédale est à son plus haut degré, la partie b) montre le pédalier lorsque la pédale passe au milieu de sa descente.
La figure 20 montre une couple transversale d'un pédalier, avec ses deux pédales .Les pédales sont rotativement montées sur les manchons de pédales 133. E a ) un même vilebrequin principal actionne les deux parties, chacune d'elles ayant sa propre mécanique. En b ) , un même vilebrequin principal soutient les deux parties . Cependant, une seule d'entre elle est armée avec un engrenage d'induction et de support. La seconde pédale est plutôt armée à partir de la mécanique de la première, les deux engrenages d'induction étant reliés par un axe 148 sur lequel deux engrenages de liaison sont fixés. En c, l'on construit le vilebrequin de telle manière d'assurer de bons appuis rotatifs de chaque cotés 150, ces appuis servant à la fois de fourchette, recevant les axes des vilebrequins secondaires. Comme en b, les engrenages d'induction sont reliés par un engrenage intermédiaire 148, ce qui limite le nombre d'engrenages internes de support.

La figure 21 montre pour un tour, le positionnement des pièces principales, vilebrequin maître et manchon dans leur position la plus haute 143, basse 144, latérale descendante 143 , 145 , latérale montante 146 , 147.
La figure 18 montre, appliquée à un pédalier, la réalisation de l'ellipse à
partir d'une mécanique dite à engrenage cerceau Dans ce type de mécanique, un engrenage de support de type externe est monté rigidement dans le centre de l'appareil 150 . Un vilebrequin 166, muni de chaque coté d'un maneton 151 , est monté rotativement dans le corps de l'appareil ; ce vilebrequin est muni d'un moyen, tel un bassin 152 , ou encore un axe, capable de recevoir rotativement l'engrenage cerceau 153 . Un manchon de pédale 154 est muni d'un engrenage d' induction 15 5 et est montée rotativement sur le maneton du vilebrequin. Un engrenage, dit engrenage cerceau 153 , est monté
rotativement sur les manchons du vilebrequin , plus spécifiquement dans le bassin 152 ou sur l'axe à cet effet , de telle manière de coupler indirectement entre eux les engrenages de support 150 et d'induction 155 de l'appareil.
L'action rétro rotative du vilebrequin 157 entraîne la post rotation de l'engrenage cerceau 158 , qui elle-même entraîne, par son engrenage d'induction, celle du manchon de pédale 159 . Inversement, l'action du manchon de pédale entraînera la rotation de l' engrenage cerceau et la rétro rotation du vilebrequin 157 . L'on notera que les engrenages cerceaux peuvent aussi étre remplacés par une chaîne. L' on notera aussi qu'ils peuvent être montées de telle manière de coupler aux deux premiers engrenages un tiers engrenage qui permettra de décentrer ceux-ci La partie b est une couple transversale de la présente méthode qui montre le pédalier, dédoublé et muni de pédales.
La figure 23 montre pour un tour, le positionnement des pièces principales, vilebrequin maître et manchon dans leur position la plus haute 143, basse 144, latérale descendante 143 , 145 , latérale montante 146 , 147.
La figure 24 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenage intermédiaire. Dans ce type de mécanique, l'engrenage cerceau de type interne est remplacé par un engrenage, dit engrenage intermédiaire 164 , de type externe. En effet, l'on monte fixement pour chaque partie, dans le centre de la machine un premier engrenage de type externe que l'on nomme engrenage de support 150 . L'on monte ensuite un vilebrequin 160 L'on installe rotativement sur les manetons de celui-ci les manchons de pédale 154 , muni d'engrenage d'induction de type externe 155 . L'on installe ensuite rotativement sur chacun des manchons du vilebrequin un engrenage de type externe que l'on nommera engrenage intermédiaire 161 .
Le fonctionnement du pédalier sera à l'effet que la rétroaction du vilebrequin 157 entraînera la rétroaction de l'engrenage intermédiaire I62, puisque celui-ci est, somme toute, un engrenage planétaire de l'engrenage de support central. L'action de cet engrenage induira en l'inversant celle du manchon de pédale, qui sera alors post activel59 et inverse de celle du vilebrequin La partie b de la présente figure montre le pédalier en coupe transversale dédoublé et muni de pédales.

La figure 25 montre pour un tour, le positionnement des pièces principales, vilebrequin maître et manchon dans leur position la plus haute 143, basse I44, latérale descendante 143, 145, latérale montante 146 , 147.
La figue 26 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenages internes juxtaposés .Dans cette méthode, les vilebrequin principal et manchon de pédale sont montés similairement aux figures précédente, à l'exception que cette fois-ci, les manetons du vilebrequin principal sont préférablement remplacés par des excentriques I65 . Dans cette méthode, les engrenages de support I 66 et d' induction de manchon de pédales 167 sont de type interne. Par conséquent, le couplage de ces engrenages sera ici réalisé avec l'aide d'un tiers engrenage ou d'un double d'engrenage que l'on nommera engrenage de lien 168. Pour les fins de ce couplage, ces engrenages seront donc préférablement montés sur le manchon du vilebrequin principal Chacun des manchons de pédale est muni d'un engrenage d'induction de type interne 167 , et est monté rotativement sur (excentrique du manchon de vilebrequin 165 L'axe recevant les engrenages de lien est monté rotativement sur le manchon 170 du vilebrequin de telle manière de coupler indirectement l'engrenage de support 166 et l'engrenage d'induction 167 Lors de la rétro rotation du manchon de vilebrequin 171 en effet , l'ensemble d'engrenages de liens est entraîné en post rotation 172 , et , entraînera à son tour en post rotation l'engrenage du manchon d'induction de pédale 173 , et ceci inversement.
La suite des séquences des pièces pour un tour de la machine est similaire à celles déjà commentées pour les méthodes précédentes.

A la partie b) de la figure, l'on montre une mécanique plus totale en couple transversale du pédalier, dédoublée et muni de pédales et du plateau de chaîne, La figure 27 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenage internes superposés. Cette mécanique a une base de fonctionnement similaire à la précédente. Cependant les engrenages de support et d'induction seront superposés 180. Cependant, l'engrenage d'induction de type interne sera couplé cette fois-ci par sa face antérieure 180 , ou inférieure , par opposition à son couplage par sa face extérieure, dans la figure précédente. Cette nouvelle configuration offrira plus de couple au pédalier.
En b) l'on retrouve l'appareil de pédalier au complet, en trois dimension, et muni de pédales et de plateau de chaîne.
La figure 28 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenages talon. Dans cette méthode de réalisation mécanique de l'ellipse, un premier engrenage, dite engrenage de support I82 est monté
dans le centre de l'appareil. Un vilebrequin 183 est ensuite monté
rotativement dans Ie centre de celui-ci, et a, de son coté contraire à celui de son maneton, en manchon supplémentaire 184 recevant les engrenages de lien, que l'on nommera engrenages talon.l 85 . Cet engrenage relira indirectement les engrenages de support et d'induction.
Le manchon de pédalier 186 est muni d'un engrenage d'induction de type externe et cet ensemble est monté rotativement sur le maneton de telle sorte que l'engrenage d'induction soit couplé à l'engrenage talon 188 .
Le fonctionnement de l'appareil consiste en ce que, sous l'effet de la rétro rotation du vilebrequin maître 189, les engrenages talon sont entraînés puisqu'il s sont d'une première part couplés à l'engrenages de support dans une action rétrorotative 189. Comme l'engrenage d'induction de manchon de pédalier est couplé par la face antérieure, l'action rétro rotative de l'engrenage talon sera inversée en une action rotative de l' engrenage d' induction et du manchon de pédales 189qui est relié. Les actions combinées, rétrorotatrives du vilebrequin et post rotative du manchon du pédalier produiront la forme elliptique de course des pédales recherchée.
En b , l'on peut voir cet assemblage en coupe transversale dédoublée.
La figure 29 montre, appliquée à un pédalier, une réalisation de l'ellipse à partir de la méthode par semi-transmission Dans cette figure, (engrenage de support sera dynamique 200 . L'on montera un vilebrequin 201 muni d'un excentrique 202 . Le vilebrequin et l'engrenage de support seront entraînés en sens inverse par une petite semi transmission comportant trois engrenages, soit l'engrenage de l'axe du vilebrequin 202 , celui de Taxe de l'engrenage de support dynamique 203 , et l'engrenage d'inversion 204 , un engrenage rotativement monté
dans le bloc et couplant en les inversant, ces deux premiers engrenages.
Dès lors, l'on montera rotativement le manchons de pédale 205 , muni d'un engrenage d'induction de type interne 206 , sur l'excentrique , de telle manière que son engrenage d'induction soit couplé à l'engrenage de support actif défini antérieurement.
Le déplacement de pièces pour un tour est similaire aux méthodes précédentes et (ellipse est pleinement réalisée.
En b), l'on a une vue en couple transversale de ce type de mécanique de pédalier à laquelle l'on a ajouté les pédales.

La figure 30 montre, appliquée à un pédalier, une mécanique dite par engrenages engrenage central post actif. Dans ce type de mécanique, en effet, l'engrenage de support aura une vitesse rétrorotative supérieure à
celle du vilebrequin, obtenue cette fois ci par une petite semi transmission accélérative 209 . Ceci entraîne la rotation post active de l'engrenage d'induction .Cette dernière couplera simplement deux engrenages, respectivement montés sur le vilebrequin 213 et sur l'axe de l'engrenage de support 214, à l'aide d'un troisième engrenage ou ensemble d'engrenage 215 , rotativement monté dans le bloc de la machine et accélérant l'engrenage de support actif.
Dans ce type de machine, le manchon de pédale est plutôt muni d'un engrenage d'induction de type externe 211 . Le manchon de pédale 212 est monté rotativement sur l'excentrique ou le maneton du vilebrequin de telle manière que l' engrenage d' induction soit couplé à l'engrenage de support rétroactif , par l'arrière 216 , ce qui en entraînera la post rotation.
Le manchon de pédale pourra donc dès lors réaliser une action post rotative, contraire à celle du vilebrequin et ainsi, la résultante sera une ellipse.
Les différents emplacements des pièces pour un tour de la machine seront similaires à ceux des figures des méthodes précédentes.
En c) l'on peut voir le pédalier en coupe transversale, complété le dédoublement des parties, mécaniques et pédales.
La figure 31 montre, appliqué à un pédalier, une mécanique dite par poly induction . Dans cette méthode, un vilebrequin maître 200 , comportant de chaque coté opposé un manchon 217 muni de fourchette , est disposé rotativement dans le centre de l' appareil.

Chacune des manchons recevra un vilebrequin secondaire d'induction 223 muni d'un engrenage d'induction 224 .Chacun de ces engrenages sera couplé à l'engrenage de support , de type interne, disposé
rigidement dans le centre de l'appareil.
Chaque manchon du pédalier225 sera monté rotativement aux deux manetons des vilebrequins secondaires 226 et sera prolongé et muni de pédale 227 .
L'action des pièces pour un tour, réalisera, comme pour les méthodes précédentes, l'ellipse des pédales recherchée.
La figure b montre le pédalier en coupe transversale, les pièces étant dédoublées.
La figure 32 montre la méthode dite par engrenage cerceau intermédiaire. Dans cette méthode, les engrenages de support 150 et d'induction 155 sont tous deux de type externe. Il sont cependant reliée par un type d'engrenage spécifique en ce qu'il a une rangée de dents à
l'extérieur et une à l'intérieur, d'où son appellation d'engrenage cerceau intermédiaire 219. Cet engrenage , indifféremment qu'il soit monté avec sa partie interne ou sa partie externe sur l,engrenage de support , produit toujours , lors d'une post action du vilebrequin maître , une post action de l'engrenage d'induction et de la pièce qui y est rattachée.
La figure 33 montre, à titre exemplaire, la possibilité de combiner de façon juxtaposée ou étagée chacune de la méthode plus haut divulguée, aune autre de ces méthodes pour produire une méthode hybride de production de l'ellipse. A titre exemplaire, nous montrons simplement ici la combinaison de deux mécaniques mono inductives, combinées entre elles pour réaliser l'ellipse du pédalier.
Pour une meilleure compréhension de l'explication l'on distinguera donc au niveau terminologie, l'engrenage de support et d'induction de premier niveau, des engrenages de support et d'induction de second niveau.
Dans cette mécanique, l'on produit tout d'abord par mono induction le déplacement elliptique d'un excentrique 230 , par mono induction rétrorotative. Pour ce faire, l'on dispose rigidement dans la machine un engrenage de support de type interne 231 . L'on monte ensuite rotativement dans la machine un premier vilebrequin 232 que l'on nommera vilebrequin maître. L'on terminera. préférablement ce vilebrequin par un maneton 233 , l'on installera sur ce maneton un excentrique 230 muni d'un engrenage d'induction 231 , que l'on dira engrenage d' induction de premier niveau.
L'on couplera 234 cet engrenage à l'engrenage de support de type interne déj à commenté. La course de l' excentrique sera dès lors elliptique. De façon à faire réaliser à l'excentrique une ellipse, le ratio des engrenages sera , comme on l'a déjà vu de un sur deux.
L'on fixera ensuite rigidement sur le maneton 235 du vilebrequin maître un engrenage de type externe 236 que l'on dira engrenage de support de second niveau. L'on disposera. ensuite le manchon de pédale 237 , muni d'un engrenage d'induction de type interne que l'on nommera engrenage d'induction second niveau 238 , rotativement ce manchon de telle manière que les engrenages de support et d'induction de second niveau soient couplés .
Le fonctionnement de l'appareil pourra être compris de la manière suivante . L'on peut remarquer, en observant la suite des séquences pour un tour présentée en b, que l'excentrique soutenant le manchon de pédale se déplace sur une couse elliptique plus amincie 240 . Dès lors, la rotation contrôlée de ce manchon 241 , simultanément à son déplacement de centre par ellipse , entraîne une résultant qui est l'ellipse recherchée 242 .

La figure 34 montre que les engrenages polycamé et excentriques peuvent être appliqués à toutes les mécaniques précédentes, en remplacement des engrenages standard , ce qui permettra d'augmenter de façon supplémentaire les effet accélératifs multiplicateurs e puissance réalisés par celles-ci . Cette figure montre par deux exemples typiques, que l'on peut appliquer à toutes ce mécaniques des engrenages excentrique et polycamée en combinaison, de telle manière d'augmenter les effets de couple des pédaliers. L' aj out d' engrenages polycamés et excentriques aux méthodes géométriques démultiplie encore davantage la force réalise par les pédalier suggérés.
Dans le premier exemple l'on a réalisé le pédalier à partir de la méthode dite par engrenage cerceaux en rendant les engrenages de cette technique cette fois-ci polycamës. En effet, ici les engrenages de support 245 et d'induction 246 sont polycamés ce qui entraînera des accélérations et décélérations des pièces les unes par rapport aux autres.
L'on voit que les positions debout et couchées des engrenages se succèdent, et qu' elles ont été disposées de telle manière de décommander encore davantage les rapport entre les pièces lors de la phase de poussée.
En b nous avons réalisé la méthode par semi transmission, aussi en polycamant les engrenages de support 245 et d'induction 246 .
Encore une fois, l'on notera que lors de la descente, l'accélération des pi' ces et leur dé commandement sont démultipliés, ce qui augmente la puissance et le couple du pédalier.
La figure 35 montre que l'on peut avec l'aide d'un tiers engrenage, réaliser les mécaniques de façon décentrée. Comme on peut le constater les ratios de tournages ne sont pas affectés par l'intrusion de ce tiers engrenage, puisqu'un même nombre de dents affectera les engrenage cerceau et d'induction par tour. Cependant l'emplacement de couplage des engrenages cerceau aux engrenages de support et d' induction sera plus oblique 248 , ce qui changera la puissance d'attaque et de poussé de ceux-ci . .
La figure 36 montre que pour toutes ce méthodes, l'on peut au surplus utiliser de l'engrenage dit engrenages chevauchés. Pour de plus amples information relatives à ce type d'engrenage l'on aura soin de consulter nos travaux à ces suj et, divulguée dans notre demande de brevet, 2,417 138, déposée au Canada et titré solutions complémentaire relatives aux moteurs rectilignes.
Pour les fins des présentes, nous pouvons résumer ce type d'engrenages en disant il s'agit de réaliser des engrenages sous la forme d'ensembles d'engrenages de telle manières que les dents et les creux de ceux-ci soient complémentaires 250 . L'on produira donc des engrenages à la fois puissants, puisque construits avec de longues dents à chaque rangées de ceux-ci 255 , et à la fois précis et inusables, puisque la complémentarité de deux ci, disposées en rangée, permettra une aussi grande précision que s'il savaient été montés avec de petites dents 256 .
La présente a pour objet de spécifier que toutes les méthodes mécaniques ici présentées peuvent être réalisées avec l'aide de ce type d'engrenage. Et que ces raisons sont couvertes par la présente invention, La figure 37 montre que l'on peut actionner la roue, ou autre moyen de locomotion du pédalier par diverses manières, comme, de façon plus conventionnelle par chaîne 257 , mais encore par tige rotative 258 , ou par pression 259 La figure 38 montre que dans le cas d'une action par compression, le pédalier peut être synchronisé avec un organe de compression lui-même synchronisé au point de vue de la force demandée à avec l'effort du pédaleur 260, c'est-à-dire en synchronisant la fin de la période de compression 261 avec le moment de couple le plus puissant. De plus l'on choisira un organe de compression compressif 262 , c'est-à-dire , ayant une plus grande puissance compressive que dépressïve, comme par exemple une machine Wankle, ou encor une machine à cylindre rotor Cette compression peut être dès lors envoyée directement ou indirectement à partir d'une réserve, à un organe, c'est à dire une seconde machine. L'on aura soin de choisir cette fois ci par machine à
plus forte propension motrice que compressive 263 , et de plus avec plier dépressions par tour, de telle manière d'égaliser la force inégalement développée par 1e pédaleur.
L'action combinée d'une machine à proéminente compressive et d'une machine à proéminence dépressive sera dite pompo-moteur. Et pourra dans le présente compter les pédaliers, tout autant que la chaîne ou encore une tige.
Cette application complétive de la présente fait donc partie intégrante de celle-ci compresseur et d'une machine décommandé cette fois ci de manière moteur qui, à son tour active d'une machine de captation, connectée mécaniquement au moyen de locomotion tel la roue.
La figure 39 montre que plusieurs méthodes de conversion du mouvement rétrorotatif du vilebrequin principal en mouvement post rotatif activant la roue arrière sont réalisables. En a ) l'action rétrorotative du vilebrequin 270 est transmise à des engrenages intermédiaires 271 , qui la transmettent en l'inversant au plateau de chaîne 272 . En b) l'inversion est réalisée avec l'aide d'un engrenage intermédiaire. En effet, le mouvement rétrorotatif de l'engrenage du vilebrequin 270 est transmis rétrorotativement à l'engrenage cerceau 271, qui est inversé et transmis à l'engrenage du plateau de chaîne.

En c) l'action de l'engrenage intermédiaire est réalisée par une chaîne 274 , soutenue par deux points d'appuis supplémentaires 275 En d , l'action d'un un pignon 270 fxé au vilebrequin est inversée par un double pignon 276 , et transmise à l'engrenage du plateau de chaîne En e) l'inversion entre les engrenages du vilebrequin et du plateau de chaîne est tout simplement réalisée par le couplage de deux engrenages aux quels ceux-ci sont respectivement fixé 277.
La figure 40 montre , en prenant à titre exemplaire l'inversion par engrenages intermédiaires, que les inversions peuvent être réalisées au niveau du pédalier en a) , au niveau médiant en b, ou finalement au niveau du moyeu de roue arrière , en c.
La figure 41 montre que l' on peut utiliser toutes les méthodes ici présentées de telle manière de réaliser l'ellipse des pédaliers de façon plus oblique, ou encore de façon horizontale, par exemple pour Ia réalisation d'exerciseurs.

Claims

Revendications Revendication 1 Un pédalier d'un appareil dont l'ensemble pédale relié indirectement, par un tiers moyen, à l'ensemble moteur, tel le plateau de draine Revendication 2 Un pédalier d'un appareil tel que défini en 1, dont le plateau de chaîne et le plateau de pédale est relié indirectement par le recours d'engrenage intermédiaires Revendication 3 Un pédalier tel que défini en 1 et 2 , comprenant en composition , pour chaque pédale , - un engrenage de support - un engrenage d'induction - un ou plusieurs engrenages intermédiaires ces engrenages ayant les qualités suivantes , à savoir - ceux sont couplés, - l'engrenage de support est toujours fixe - les plateaux de chaîne sont reliés aux deux autres engrenages dynamiques Revendication 4 Une pédalier d'un appareil tel que défini en 1,2,3, dont le plateau de chine est fixé aux engrenages d'induction et le plateau de pédales aux engrenages intermédiaires Revendication 5 Une pédalier d'un appareil tel que défini en 1,2,3, dont le plateau de chaîne est fixé aux engrenages intermédiaires et le plateau de pédales à
engrenage d'induction Revendication 6 Un pédalier tel que défini en 1 , 4,et 5, dont la course des pédales est alternativement accélérative et décélérative. par rapport au moyen de propulsion Revendication 7 Un pédalier tel que défini en 1, dont l'action accéléro-décélérative est produit par une course elliptique des pédales de la machine.
Revendication 8 Une machine telle que définie en 1 et 7 dont la course elliptique des pédales est réalisée par l'une des trois méthodes géométriques suivantes , - par mouvement rectiligne et mouvement circulaire superposés - par mouvement circulaire et mouvement rectiligne superposés - par mouvement circulaires superposés.
Revendication 9 Une machine telle que définie en 1 et 8 , dont la partie du mouvement rectiligne est réalisée par vilebrequin et la partie rectiligne par pi' ces coulissantes.
Revendication 10 Une machine telle que définie en 1 et 8 , dont la partie circulaire est réalisées par vilebrequin , et dont la partie rectiligne est réalisée par l'une des méthodes suivantes , à savoir - par mono induction rétrorotative, - par double induction reliées par droites, ces mono induction étant réalisée sous la forme de vilebrequin superposés, et cette double induction étant réalisé par vilebrequin et bielles Revendication 11 Une machine telle que définie en 1, 8 , dont la mono induction rétrorotative est inversée et dont la course elliptique est obtenue par un réalisation de la circonférence supérieur dont la grosseur est plus grande que celle de la circonférence du vilebrequin principal Revendication 12 Une machine telle que définie en 1 et 11 , dont les actions du vilebrequin principal et des ses manchons est réalisée et coordonnée par l'une des méthode suivantes:
a) par mono induction rétrorotative b) par engrenage cerceau c) par engrenages internes juxtaposés d) par engrenages internes superposés e) par engrenages talons f) par semi-transmission g) par engrenage central post actif h) par poly induction i) par engrenage cerceau intermédiaire Revendication 13 Un pédalier tel que défini en 12, utilisant en combinaison juxtaposés ou superposé, deux ou plus des méthodes Revendication 14 Un pédalier tel que défini en 1 ,12,13 , utilisant des engrenages poly camés Revendication 15 Une machine telle que définie en 1,12 , a) dont la méthode de support est dite par mono induction rétrorotative simple et dont la mécanique des pédales est plus précisément décrite de la façon suivante , en ce qu'elle comporte, en composition :
- un axe central disposé rotativement dans le corps de l'appareil pédalier, cet axe comportant une fourchette recevant l'axe et l'engrenage d'induction - un axe d'induction munie d'un engrenage d'induction couplé
à l'engrenage de support - un engrenage de support - un manchon de l'axe d'induction , muni d'une pédale , lui étant monté rotativement , cet axe d'induction ayant une longueur plus petite que le rayon de l'engrenage d'induction , les deux pédales étant activées par un système similaire , et les deux axe central étant reliée en une seule pièce , l'ensemble étant muni d'un moyen tel une , chaîne , une tige de transport d'énergie , ou ne action pompomotrice vers les parties de locomotion .

Revendication 16 Une machine telle que définie en 7, dont la méthode de réalisation est dite par mono induction rétrorotatives géométrique, se définissant pour chaque pédale, par la mécanique suivante, comprenant en composition - un axe central disposé telle dans le corps de l'appareil, cet axe central comportant une fourchette recevant l'axe et l'engrenage d'induction - un axe d'induction muni d'un engrenage de support - un engrenage de support de type interne - un manchon de pédale, réalisant la composante géométrique , dont la longueur est plus grande que le rayon de l'engrenage d'induction (devrait plutôt être exprimé en disant que la longueur surajoutée à la circonférence de l'engrenage) ce manchon étant muni d'une pédale lui étant montée rotativement, les deux pédales étant activées par un système similaire, et les deux axes centraux étant construits en une seule pièce, et étant supportés de chaque coté, l'ensemble étant muni d'un moyen de locomotion tel une chaîne, une tige, un ensemble pompo moteur Revendication 17 Un pédalier, dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin est dite par engrenage cerceau, ce pédalier comprenant pour chaque pédale en combinaison:
- un engrenage de support de type externe - un vilebrequin terminé par un maneton, et muni d'un moyen tel un bassin ou un axe, permettant la rotation de l'engrenage cerceau - un manchon de pédale recevant rotativement la pédale, muni d'un engrenage de type externe, dit engrenage d'induction, ce manchon et son engrenage étant montés rotativement sur le maneton du vilebrequin - un engrenage de type interne, appelé engrenage cerceau, cet engrenage étant monté rotativement dans le bassin du manchon du vilebrequin principal ou autre moyen équivalent, et ce de telle manière de relier entre eux les engrenage de support et d'induction ce pédalier possédant de plus un moyen de transport de son énergie, tel une chaîne, une tige, un pompo moteur, vers la roue Revendication 18 Un pédalier tel que défini en 17, dont l'engrenage cerceau est décentré
et lié, en plus des engrenages de support et d'induction, à un engrenage libre monté rotativement sur le manchon du vilebrequin.

Revendication 19 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin est dite par engrenage intermédiaire, ce pédalier étant monté de la façon similaire à celle décrite en 18, sauf en ce que l'engrenage unissant les engrenages de support et d'induction est plutôt un engrenage de type externe que l'on nommera engrenage intermédiaire Revendication 20 Une pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequins est dite par engrenage talon, cette méthode étant similaire à celle décrite en 19 sauf en ceci que le manchon du vilebrequin est prolongé dans sa partie antérieure, que l'on nommera talon du vilebrequin, et que l'engrenage ou le doublé d'engrenage unissant les engrenage de support 66~

et engrenages d'induction sera disposé rotativement dans cette partie, d'où l'appellation d'engrenage talon.

Revendication 21 Une pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequins est dite par engrenages internes juxtaposés, ce pédalier étant monté de façon similaire à celle définie en 18 et 19, mais dont les engrenages de support et d'induction sont de type interne, et dont l'engrenage ou le doublé d'engrenages les couplant est de type externe, cet engrenage étant appelé engrenage de lien Revendication 22 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin maître est dite par engrenages internes superposés, cette méthode étant similaire à celle présentée en 20, sauf en ce que les engrenages internes sont étagés, l'engrenage d'induction étant alors attaqué par sa base.

Revendication 23 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin est dite par engrenage post actif central, l'engrenage d'induction de ce type de pédalier étant de type externe, et couplé à l'action post active de l'engrenage central, l'action de ce dernier étant produite par un moyen tel en ensemble d'engrenages, de telle manière de réaliser un vitesse supérieure à celle du vilebrequin Revendication 24 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin est dite par semi-transmission, ce moyen étant similaire à celui exposé en sauf en ceci que l'engrenage d'induction est de type interne, et que la dynamique de rotation de l'engrenage de support, entraîné par un semi transmission inversive, est en sens contraire de celui du vilebrequin principal.

Revendication 25 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin principal est dite par poly induction, chaque manchon de pédale étant relié à deux points de rotation, chacun de ces points étant situé sur un engrenage planétaire, ce système pouvant être tout autant post inductif que rétro inductif, selon que l'engrenage de support est respectivement externe ou interne.

Revendication 26 Un pédalier dont la méthode de contrôle des manchons et vilebrequin principal est dite par engrenage cerceau intermédiaire, cette méthode étant similaire à celle décrite en 18 et 19, sauf en ceci que l'engrenage unissant les engrenage de support et d'induction est une combinaison d'engrenage interne et externe, et est par conséquent relié aux engrenages de support et intermédiaire respectivement sur chacune de ses deux faces, indifféremment.

Revendication 27 Un pédalier tel dont le contrôle des manchons des pédales et vilebrequin est réalisé à parti de la combinaison de juxtaposée ou étagée de deux méthodes parmi les méthode répertoriées à la revendication 12 Revendication 28 Un pédalier tel que défini en 1, et en 12, ce pédalier utilisant au moins un engrenage excentrique ou polycamé parmi l'ensemble de ses engrenages.

Revendication 29 Un pédalier tel que défini en 1, 12, 28, utilisant au moins un engrenage chevauché ou monté en méthode chevauchée, parmi l'ensemble de ses engrenages.

Revendication 30 Un pédalier tel que présenté en 1, dont le vilebrequin est produit sous la forme d'un excentrique.

Revendication 31 Un pédalier tel que défini en 1, dont la course elliptique est oblique, ou horizontale Revendication 32 Un pédalier tel que défini en 1, dont les moyen de locomotion entre celui-ci et la roue est une chaîne, une tige, un moyen de compression Revendication 33 Une machine telle que définie en 1 et 2, dont le moment de force des pédales est synchronisée avec le moment de force d'une machine de compression Revendication 34 Une pédalier tel que défini en 1, 32, 33, dont le moyen de compression est compressif, est relié à un moyen de dépression de genre moteur, cet ensemble formant un pompo moteur.

Revendication 35 Une pédalier, tel que défini en 1, et utilisant l'une des méthodes de soutient répertoriée en 12, dont la réversion du mouvement rétrorotatif du vilebrequin maître est réalisée l'une des méthodes suivantes - par la méthode de l'engrenage cerceau intermédiaire, - par pignons inverseurs - par engrenages directs - par chaîne Revendication 36.

Un pédalier tel que défini en 1, 12, 35, dont les mécaniques de réversion sont au niveau du pédalier, du moyeu de roue arrière, ou au niveau médiant, entre ces deux premières positions 70~
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