BE862440Q - Bicyclette et dispositif de transmission de mouvement - Google Patents

Bicyclette et dispositif de transmission de mouvement

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BE862440Q
BE862440Q BE1008613A BE1008613A BE862440Q BE 862440 Q BE862440 Q BE 862440Q BE 1008613 A BE1008613 A BE 1008613A BE 1008613 A BE1008613 A BE 1008613A BE 862440 Q BE862440 Q BE 862440Q
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BE
Belgium
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force
rear wheel
oscillating
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cyclist
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BE1008613A
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English (en)
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L G Brown
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Brown Lawrence G
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B62LAND VEHICLES FOR TRAVELLING OTHERWISE THAN ON RAILS
    • B62MRIDER PROPULSION OF WHEELED VEHICLES OR SLEDGES; POWERED PROPULSION OF SLEDGES OR SINGLE-TRACK CYCLES; TRANSMISSIONS SPECIALLY ADAPTED FOR SUCH VEHICLES
    • B62M9/00Transmissions characterised by use of an endless chain, belt, or the like
    • B62M9/04Transmissions characterised by use of an endless chain, belt, or the like of changeable ratio
    • B62M9/06Transmissions characterised by use of an endless chain, belt, or the like of changeable ratio using a single chain, belt, or the like

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Combustion & Propulsion (AREA)
  • Transportation (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Transmission Devices (AREA)

Description


   <EMI ID=1.1> 
 

  
La présente invention concerne, d'une façon générale, des dispositifs d'entraînement! ou de transmission, permettant de transformer de façons diverses une force fournie en une force restituée et elle vise, plus spécialement, un dispositif d'entraînement de véhicules sans moteur, comme par exemple une bicyclette, un tricycle ou, d'une-façon générale, un cycle, véhicules qui sont entraînés par la force que l'utilisateur exerce à l'aide de ses jambes et de ses pieds.

  
Les cycles constituent un mode de transport courant et très répandu depuis de nombreuses décennies, et les dispositifs d'entraînement utilisés jusqu'à ce jour et tels que décrits dans le brevet des E.U.A. N[deg.]3.889.974, comprennent encore essentielle-

  
 <EMI ID=2.1> 

  
manivelle portant des pédales, un pignon mené de roue arrière de forme annulaire (une seule vitesse) ou plusieurs pignons menés de roue arrière de diverses tailles, ainsi qu'une chaîne sans fin associée à ces pignons. Cependant, la technique antérieure nous apprend que des milliers de tentatives ont été faites pour

  
la réalisation de nombreux autres types de dispositifs d'entraînement pour cycles. Dès l'année 1897 on reconnaissait dans le brevet des E.U.A. N[deg.]596.289 que la force qu'un cycliste peut imprimer à son engin par l'intermédiaire de bras de manivelle tournants est limitée par la position angulaire de ces bras à tout instant. C'est pourquoi on a proposé l'utilisation de divers pignons moteurs de forme elliptique ou ovale permettant d'appliquer la force disponible du cycliste de diverses façons à un pignon mené de roue arrière de forme annulaire; on peut citer à ce propos les brevets des E.U.A. Nos 596.289, 885.982, 2.693.119, 2.827.797,
3.259.398 et 3.375.022.

  
En plus des dispositifs d'entraînement à une seule chaîne que l'on trouve couramment sur le marché, on connait, au moins depuis l'année 1882 (brevet des E.U.A. N[deg.]258.559), le principe d'utiliser deux dispositifs d'entraînement distincts servant à faire tourner la même roue d'une bicyclette sous l'effet de rotations distinctes de 180[deg.] des bras de manivelle.

   Dans de tels dispositifs, chacun des bras de manivelle est relié à l'un de deux pignons d'entraînement, par un câble ou une chaîne de transmission servant à transmettre la force fournie à la roue par déplacement d'une position radiale intérieure extrême à une position radiale extérieure extrême par rapport à cette roue, uniquement au cours de la descente d'un bras de levier correspondant d'une position haute à une position basse, ces moyens d'entraînement revenant de la position extérieure extrême à la position intérieure extrême grâce à un embrayage unidirectionnel, ou dispositif analogue, au cours du mouvement ascendant du bras de levier correspondant de sa position basse à sa position haute. Des variantes d'un tel dispositif de transmission sont décrites dans les brevets des E.U.A.

   Nos 258.559, 527.936, 598.246, 636.184, 849.342, 3.004.440,
3.375.023, 3.759.543, 3.834.733, 3.888.512 et 3.889.974. De tels dispositifs de transmission font appel à des bras de levier qui sont du type oscillant, du type à mouvement alternatif ou encore

  
 <EMI ID=3.1> 

  
proposé différents procédés, consistant par exemple à modifier la position des pédales par rapport au bras de levier (brevet des E.U.A. N[deg.]258.559), à modifier la position du raccordement du dispositif d'entraînement avec le bras de levier (brevet des E.U.A. Nos 527.396, 849.342, 3.375.023, 3.759.543 et 3.834.733), avec multiplication d'une vitesse choisie (brevet 527.396), à modifier la position d'une poulie folle appliquée sur une chaîne entre le bras de levier et le pignon d'entraînement (brevet des E.U.A. N[deg.]636.184), à modifier la position de l'axe de pivotement d'une biellette pivotante intermédiaire commandée par les bras de levier.
(brevet des E.U.A. N[deg.]3.004.440), à modifier le point d'appui

  
du bras de levier (brevet des E.U.A. N[deg.]3.888.512) ou à modifier la position, dans la position radiale, du point d'application d'une force sur un arbre mené placé entre le bras de levier et le pignon d'entraînement (brevet des E.U.A. N[deg.]3.889.974).

  
On peut donc dire que les dispositifs de transmission dont.  sont équipées les bicyclettes que l'on trouve couramment sur le marché sont connus depuis longtemps, tout au moins dans leur principe. Tous les dispositifs d'entraînement pour bicyclettes connus du demandeur comportent essentiellement un moyen d'application de force consistant en un pignon moteur fixé à un arbremanivelle entraîné par des bras de manivelle munis de pédales, le pignon d'application de force étant relié par une chaîne à un moyen de restitution de force constitué par un pignon mené associé à l'essieu dela roue arrière. On a imaginé divers dispositifs et appareils d'entraînement assurant divers rapports de multiplication entre le pignon menant et le pignon mené, en vue d'augmenter ou de diminuer la vitesse de rotation de la roue arrière. Les  <EMI ID=4.1> 

  
à 3, 5 ou même 10 vitesses) utilisent un dispositif de transmission appelé "dérailleur", comprenant une série de pignons menés appliqués les uns contre les autres, de divers diamètres et comportant des nombres de dents différents. De tels dispositifs présentent de nombreux inconvénients,-en particulier en ce qui concerne le prix, la facilité d'entretien et de réparation, la sûreté de fonctionnement, la limitation du nombre des vitesses

  
que l'on peut choisir et du passage d'une vitesse à l'autre, ainsi que l'impossibilité de répondre à des besoins bien définis, par exemple en ce qui concerne les conditions d'utilisation de l'engin,

  
 <EMI ID=5.1> 

  
L'invention vise en particulier les points suivants :
possibilité d'assurer à volonté une correspondance entre la force dont dispose le cycliste et la force restituée ; un dispositif de transmission comportant une gamme de vitesses beaucoup plus étalée et offrant un choix pratiquement infini de vitesses dans une gamme donnée ; possibilité d'associer la résistance au pédalage aux capacités de groupes distincts de cyclistes ou de cyclistes individuels ; diminution de la,fatigue du cycliste ; augmentation notable de la force utile pour une force fournie donnée ; une gamme beaucoup plus vaste de rapports d'engrenage ;

   un changement , de vitesses simple et rapide permettant de changer de vitesse sur. une rotation dé moins d'un demi-tour des pédales, à tout instant, sans perte appréciable de la puissance de transmission',' meilleur rendement et usure moindre grâce à des moyens de transmission rectilignes supprimant le désaxage de la chaîne qui, dans les dispositifs connus, provoque le grippage de la chaîne et l'usure , 

  
 <EMI ID=6.1> 

  
 <EMI ID=7.1> 

  
du dispositif d'entraînement/ suppression des problèmes d'entretien, en particulier des Opérations périodiques de réglage mettant en  oeuvre des procédés spéciaux; suppression de la nécessité que la roue arrière soit désaxée,' diminution du poids de l'ensemble; diminution du nombre de pièces et de la,durée de montage au cours de la fabrication, d'une bicyclette. 

  
 <EMI ID=8.1> 

  
arbre-manivelle rotatif,* un bras de manivelle associé à cet arbre-manivelle pour le faire tourner sous l'effet de l'application de

  
 <EMI ID=9.1> 

  
force fournie par le cycliste; des pédales fixées à ces bras de manivelle et permettant au cycliste d'exercer une force; des cames entraînées par l'arbre-manivelle et par les bras de manivelle pour faire varier la force fournie et transmettre la force fournie disponible en fonction de besoins divers; des éléments oscillants commandés par ces cames et servant à transmettre la force fournie provenant de ces cames après l'avoir modifiée de façors diverse s ; des organes de changement de vitesse aux possibilités pratiquement infinies, associés à ces éléments oscillants et permettant de modifier à volonté la vitesse de la bicyclette sur une vaste gamme

  
 <EMI ID=10.1> 

  
des éléments oscillants et qui entraîne la roue arrière de la bicyclette pour lui appliquer la force disponible provenant des éléments oscillants ; et un organe de changement du rapport de vitesses associé à l'organe d'entraînement de la roue arrière et permettant de modifier à volonté la multiplication du rapport de vitesses, dans la gamme de vitesses pratiquement infinie assurée par les éléments oscillants, en vue de l'application de ces rapports de vitesses par l'organe d'entraînement de la roue arrière à la roue arrière elle-même.

  
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention  ressortiront de la description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés et donnant, à titre explicatif mais nullement limitatif, une forme de réalisation. 

  
Sur ces dessins, la figure 1 représente de façon schématique, en élévation et de côté, une bicyclette comportant le dispositif selon l'invention ; <EMI ID=11.1>  bicyclette représentée sur la figure .1  la figure 3 représente de façon schématique, en élévation et de-côté, une forme de réalisation d'un dispositif d'entraînement pour bicyclette, mettant-en oeuvre certains des principes de <EMI ID=12.1>  la figure 4 est une vue schématique, de cote et en élévation, d'une partie d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes de type classique (sur cette figure la référence A correspond à un cycliste amateur, et la référence P, à un cycliste professionnel)  la figure 5 est une vue - schématique, de côté et en élévation, d'une partie d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes  mettant en oeuvre certains des principes de l'invention (comme

  
sur la figure 4, la référence A se rapporte à un cycliste amateur et la référence P, à un cycliste professionnel) ;

  
les figures 6 à 9 sont des courbes mettant en évidence les avantages, par rapport au dispositif connu d'entraînement à plusieurs vitesses, d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes mettant en oeuvre certains des principes de l'invention ; la figure 10 est une vue schématique, de côté et en élévation, d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes mettant en oeuvre certains des principes de l'invention ; la figure 11 est une vue schématique, de côté et en élévation, à plus grande échelle, d'une partie du dispositif d'entraînement pour bicyclettes, cette vue montrant la relation entre les pédales, les bras de manivelle, l'arbre-manivelle, les cames et les éléments oscillants mettant en oeuvre certains des principes de l'invention ;

   la figure 12 donne des courbes qui montrent les avantages d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes de l'appareil des figures 10 et 11 qui met en oeuvre les principes de l'invention, par rapport à une bicyclette classique à plusieurs vitesses ;

  
les figures 13 et 14 représentent, en élévation et de coté, des variantes des cames des figures 10 et 11 ; la figure 15 est une vue schématique, de côté et en élévation, d'une autre forme de ..réalisation d'un dispositif d'entraînement mettant en oeuvre certains des principes de l'invention ; la figure 16 est une coupe, à plus grande échelle,-faite ..:
suivant la ligne 16-16 de la figure 15 ; la figure 17 est une vue schématique, en perspective et à plus grande échelle, d'une partie de l'appareil représenté sur la.: <EMI ID=13.1>  la figure 18 est une vue schématique, en élévation et de côté, d'une autre forme de réalisation d'un dispositif d'entraînement pour bicyclettes mettant en oeuvre certains des principes de  l'invention ; sur cette figure, certaines parties sont en coupe et certaines pièces sont absentes ;

    la figure 19 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'un dispositif oscillant à came de la figure 18 ;  la figure 20 est une coupe, à plus grande échelle, faite suivant la ligne 20-20 de la figure 18 ; et la figure 21 est une vue.partielle, de côté et en élévation, d'une autre forme de réalisation du dispositif d'entraînement de  <EMI ID=14.1> 

  
certaines pièces sont absentes.

  
Les principes de l'invention sont appliqués (figuresl et 2) à une bicyclette de type courant, comprenant : un cadre 10, une roue avant et une roue arrière 12 et 14, une selle 16, un guidon 18 associé à la roue avant 12 et servant à diriger la bicyclette, des bras de manivelle 20 et 22 munis de pédales 24 et 26 servant à transmettre à la roue arrière 14 la force exercée par les pieds du cycliste.

  
Les principes de l'invention sont appliqués à un dispositif d'entraînement ou de transmission servant à transmettre la force des bras de manivelle à la roue arrière.,'ce dispositif comprenant :
des cames 30 et 32 actionnées par les bras de manivelle 20, 22; des bras oscillants 34, 36 commandés par les cames 30, 32; et des  moyens multiplicateurs 38, 40, d'entraînement de la roue arrière commandés par les bras oscillants 34 et 36 et reliés à la roue arrière 14, de manière à provoquer sa rotation continue sous  l'effet d'une vaste gamme de forces supérieures aux forces variables et irrégulières exercées sur les bras de manivelle 20 et 22

  
 <EMI ID=15.1> 

  
également des moyens 42 et 44 de réglage de la transmission de forces, ces moyens étant associés aux bras oscillants 34 et 36 et étant commandés par le cycliste par l'intermédiaire d'un moyen de commande à distance 46, ainsi que des moyens 47, 48 de réglage de la transmission de forces associés aux moyens multiplicateurs 38,
40 d'entraînement de la roue arrière et commandés par le cycliste par l'intermédiaire d'un moyen de commande à distance 49, monté  tout près du moyen de commande à distance 46.

  
Suivant une forme de mise en oeuvre de certains principes de l'invention (figure 3) chacun des bras de manivelle 20, 22 comprend une première partie 50 reliée à un arbre transversal 52 de type classique monté dans un palier d'un moyeu du cadre, de façon connue. Une seconde partie 54 de l'arbre-manivelle, décalée latéralement vers l'extérieur, est reliée à la partie 50 par une pièce transversale 56. Une pédale 58 est montée de façon connue à l'extrémité extérieure de la partie 54 de bras de manivelle.

  
Chacune des cames 30 et 32 comprend un galet 60 qui tourne sur la pièce transversale 56 et qui est entraîné suivant un trajet circulaire, par le bras de manivelle. Une plaque 62 ayant la forme d'un L pivote sur le cadre 10 à l'aide de moyens appropriés comportant un axe de pivotement 64. Un bras 65 part de l'axe de pivotement 64 vers l'avant et comporte une fente 66 de forme allongée présentant des surfaces plates opposées 68, 70. Le galet
60 peut rouler avec glissement sur les surfaces 68 et 70 de la fente 66. La disposition est telle que le déplacement du galet 60 suivant un trajet circulaire imprime des oscillations harmoniques

  
à la plaque 62.

  
Chacun des éléments oscillants 34, 36 comprend un bras oscillant 72 de la plaque 62, partant du pivot 64 et dirigé vers le haut, animé d'un mouvement harmonique oscillant entre une position limite avant (74) et une position limite arrière (76). Le bras 72 comporte une fente 78 de forme allongée,.comprenant une surface de transmissionde forces 80, dirigée vers l'avant. Un moyen 82 de liaison et de transmission de forces, que l'on peut débrayer à volonté, est monté dans la fente 78, de manière à saisir la surface 80 en un nombre considérable de positions réglables. Cette surface 80 peut être dentelée et les moyens de liaison amovibles
80 peuvent présenter des cannelures correspondantes assurant la préhension.

  
On peut régler, pratiquement à l'infini, la position du moyen de liaison 82 par rapport au bras 72 le long de la surface 80 de la fente entre une position radiale minima et une position radiale maxima par rapport à l'axe de pivotement 64, au moyen d'organes de réglage qui peuvent consister en un ressort de compression 84 monté sur le bras 72 et servant à solliciter le moyen de liaison vers la position extérieure limite. Un levier de commande 86, actionné à la main et monté sur le cadre, est raccordé au moyen de liaison 82 à l'aide d'un câble de commande 88 qui monte le long du ressort 84. De la sorte, on peut tirer ce moyen de liaison radialement vers l'intérieur le long de la surface 80 de la fente, à l'encontre de la sollicitation du ressort 84 et le relâcher pour qu'il se déplace radialement vers l'extérieur le long de cette surface 80.

  
Chaque moyen de liaison 82 est fixé à l'un des disposigifs 38,
40 d'entraînement de la roue arrière, sous la forme d'un mouflage de multiplication, par des tiges de liaison 88, 90 fixées aux pignons rotatifs 92, 94, montées de manière à avoir un mouvement alternatif d'avant en arrière par rapport au cadre 10 et à l'essieu arrière 96 et au pignon 98 de la roue arrière de la bicyclette.

  
Ce mouflage 40 comprend également une chaîne sans fin d'entraînement 100 montée sur des pignons 92, 94 et 98. On peut prévoir un organe servant à tendre et à soulever la chaîne, consistant en une console pivotante 102 qui pivote sur le cadre en 104, pour maintenir la chaîne sous une tension donnée et pour permettre de

  
dégager cette chaîne du pignon 98 de la roue arrière, afin que celle-ci puisse tourner dans le sens opposé au sens de rotation des aiguilles d'une montre, afin de pouvoir, d'une part, faire rouler la bicyclette à reculons et, d'autre part, descendre des côtes en roue libre. Il est prévu un ressort 103 permettant de tirer la pièce 102 vers la position à laquelle la chaîne 100 est en prise avec le pignon 98 de la roue arrière. Le mouflage multiplicateur comprend, en outre, un premier cliquet 105, pour faibles vitesses, fonctionnant de façon continue, et un second cliquet (106) pour vitesses élevées, que l'on peut faire fonctionner à volonté, montés sur le cadre près de la chaîne 100. On peut déplacer à volonté ce second cliquet 106 entre une position dégagée peur faibles vitesses, et une position pour vitesses  élevées en prise avec la chaîne.

   Pour que l'on puisse, à volonté, simultanément mettre en prise et dégager le cliquet 106 par rapport aux deux multiplicateurs 38, 40, ainsi que de l'élément
102 servant à soulever la chaîne, il est prévu un levier de commande 108 actionné à la main et monté sur le cadre 10 près du levier de commande 86, ce levier 108 étant relié au cliquet 106 par le câble 110.

  
En cours d'utilisation du dispositif représenté sur la figure 3, le cycliste exerce une force sur les bras de manivelle 20, 22 dirigés en sens opposés, par l'intermédiaire des pédales 58, ce qui fait tourner ces bras de manivelle autour de l'axe de rotation de l'arbre-manivelle 52. Les galets opposés 60 sont entraînés suivant une trajectoire circulaire par les bras de manivelle et provoquent, dans les fentes 66, l'oscillation des bras 72 autour de l'axe de pivotement 64.

   Le montage est tel que les parties 72 de chaque élément oscillant 34, 36 se déplacent dans des sens opposés, l'un des bras (72) d'un élément oscillant 34 se déplaçant vers l'avant, au cours de la rotation du bras de manivelle correspondant 20, d'une position verticale haute (0[deg.]) à une position verticale basse (180[deg.]), tandis que le bras 72 de l'autre élément oscillant
36 subit une décélération, puis se déplace vers l'arrière et change de sens en étant accéléré vers l'avant, pendant la rotation du bras de manivelle correspondant 22 d'une position verticale basse
(180[deg.]) à une position verticale haute (0[deg.]).

   Le mouvement alternatif d'avant en arrière du bras de chaque élément oscillant
34, 36 provoque un déplacement rectiligne alternatif correspondant de l'élément de liaison 82 correspondant des tiges de liaison 88,
90 et des pignons 92, 94 de chaque mouflage. L'amplitude du déplacement pratiquement rectiligne du moyen de liaison 82 est fonction de la longueur de l'arc de sa course avec le bras oscillant 72, la longueur de cet arc étant fonction de la position du moyen de liaison 82 dans la direction radiale sur le bras oscillant, et la longueur de cet arc pouvant varier à l'infini entre une longueur maxima, à l'extrémité extérieure de la surface
80 de la fente,et une longueur minima à l'extrémité intérieure de cette surface. 

  
Lorsque l'on tire les tiges de liaison 88, 90 et les pignons
92, 94 vers l'avant, la chaîne 100 est elle aussi entraînée vers l'avant. Le déplacement du brin inférieur de la chaîne vers

  
 <EMI ID=16.1> 

  
96 de la roue arrière dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre en raison de leur engagement, de sorte que la roue arrière se met à tourner dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre et fait avancer la bicyclette. Lorsque seul le cliquet
105 pour vitesses faibles est en prise avec la chaîne pour empêcher celle-ci de se déplacer dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre, la chaîne se déplace vers l'avant, d'un seul bloc avec les tiges de liaison 88, 90 et avec les pignons
92, 94, sans se déplacer par rapport à ces derniers. De la sorte, le déplacement des bras oscillants vers l'avant se transmet au pignon 93 de la roue arrière dans le rapport 1/1.

   Le cliquet unidirectionnel 105 empêche la chaîne de se déplacer dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre par rapport aux pignons 92, 94 lorsque les bras oscillants correspondants se déplacent vers l'avant, mais ce cliquet 105 agit également comme embrayage unidirectionnel en permettant à la chaîne de tourner dans le sens opposé au sens de rotation des aiguilles d'une montre par rapport aux pignons 92 et 94 au cours du déplacement des bras oscillants correspondants vers l'arrière, de façon à permettre la rotation continue dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre,,du pignon 98 et de l'essieu 96de la roue arrière. Lorsque le cliquet
106 pour grandes vitesses est en prise avec le brin supérieur de la chaîne 100, ce brin supérieur ne peut pas se déplacer vers l'avant.

   De la sorte, tandis que les tiges de liaison 88. 90 et les pignons 92, 94 sont tirés vers l'avant par les bras oscillants, la chaîne est obligée de se replacer dans le sens opposé au sens

  
de rotation des aiguilles d'une montre par rapport aux pignons 92 et 94. Etant donné qu'il y a deux pignons 92, 94 qui divisent la chaîne 100 en un brin supérieur et un brin inférieur, il se produit un effet de multiplication dans le rapport de 2/1, de sorte que le brin inférieur de la chaîne se déplace par rapport au pignon 98 d'une distance double, dans la gamme de vitesses faibles, ce qui a pour conséquence de doubler la rotation de la roue arrière par rapport à la rotation dans la gamme des vitesses faibles. Ici encore les cliquets 105 et 106 agissent comme un embrayage unidirectionnel, qui permet aux bras oscillants de se déplacer vers

  
 <EMI ID=17.1> 

  
dans le sens de rotation des aiguilles d'une montre avec le cliquet
106 en prise avec la chaîne 100, ce qui provoque une multiplication dans le rapport de 2/1.

  
Une caractéristique importante d'un tel dispositif d'entraînement réside dans des moyens de chevauchement assurant une application continue de la force fournie par le cycliste à la roue arrière par l'intermédiaire des deux dispositifs d'entraînement distincts associés aux bras de manivelle 20, 22. Ces moyens de chevauchement sont constitués par les galets 60, les fentes 66, l'axe de rotation des bras de manivelle 20, 22 et l'axe de pivotement 60 qui sont disposés de manière à placer les bras oscillants
72 des organes oscillants 34, 36 à la position limite arrière avant que le bras de manivelle correspondant 20 atteigne la position verticale haute (0[deg.]), de manière que chaque organe oscillant commence à se déplacer vers l'avant avant que l'autre'. organe oscillant ait terminé son déplacement vers l'avant, comme représenté sur la figure 9.

   De la sorte, la force fournie par le cycliste s'applique de façon continue sur la roue arrière sans aucun retard à la position 0[deg.] et à la position 180[deg.] des bras de manivelle.

  
Une autre caractéristique importante de l'invention réside dans l'existence de moyens servant à faire correspondre la résistance du dispositif d'entraînement à l'aptitude variable des cyclistes dans l'application d'une force sur les bras de manivelle
20, 22. Cette correspondance force fournie-résistance est assurée par les galets 60, les fentes 66, l'axe de rotation des bras de manivelle 20, 22 et l'axe de pivotement 64 des bras oscillants 30, 32 qui sont ""conçus, dans la forme de réalisation représentée sur la figure 3, pour assurer une correspondance harmonique entre la force fournie par le cycliste et la résistance de l'engin.

  
Sur les figures 4 à 7, les résultats d'une telle correspondance harmonique entre la force fournie par le cycliste et la résistance de la bicyclette dans le dispositif selon l'invention sont comparés à ceux d'une bicyclette de type connu à dix vitesses, munie d'un dispositif de transmission par dérailleur. La figure 4 représente le mécanisme d'application de la force fournie par le cycliste, dans un dispositif classique comprenant une pédale, un bras de manivelle, et un pignon ; la figure 5 représente le mécanisme d'application de la force fournie par le cycliste dans le cas de la présente invention, ce mécanisme comprenant une pédale 24, un bras de manivelle 22 et un bras oscillant 36. La référence A indique la direction verticale, suivant laquelle un cycliste inexpérimenté ou amateur applique vraisemblablement une force sur les pédales.

   La référence P désigne la direction la plus avantageuse d'application de la force fournie, direction qui est perpendiculaire au bras de manivelle et qui est considérée en général comme assez facile pour un cycliste professionnel ou expérimenté. Les relations entre les forces fournies A et P, et

  
la force restituée théorique R qui représenterait la force de  traction dans une chaîne de transmission commandée par chaque

  
 <EMI ID=18.1> 

  
calculs théoriques corroborés par des résultats expérimentaux,  sont reportés sur les figures 6 et 7, où l'axe des abscisses est gradué en degrés de rotation des pédales, l'axe des ordonnées 

  
 <EMI ID=19.1> 

  
La courbe 110 de la figure 6 indique que la force A néces-  saire pour entretenir une force restituée R de 90 kg au cours de la rotation du bras de manivelle entre 0[deg.] et 90[deg.] dans un

  
 <EMI ID=20.1> 

  
 <EMI ID=21.1> 

  
à environ 45 kg pour des positions de la pédale ayant une  inclinaison comprise entre environ 60 et 90[deg.]. A titre de comparaison, la courbe 112 montre que la force A que le cycliste doit exercer pour entretenir une force restituée R de 90 kg au cours

  
 <EMI ID=22.1> 

  
dispositif d'entraînement harmonique selon l'invention, a une valeur pratiquement constante et relativement:faible, à savoir 45 kg. De la sorte, pour les positions du bras de manivelle correspondant à une inclinaison comprise entre environ 0 et 60[deg.],

  
le dispositif d'entraînement selon l'invention nécessite, de la part du cycliste, pour entretenir une force restituée R de 90 kg

  
sur la chaîne, l'application d'une force A moins grande que dans

  
le cas d'un dispositif de transmission classique.

  
La courbe 114 de la figure 6 montre que la force restituée R appliquée sur la chaîne, produite par une force A constante de

  
45 kg pour les positions du bras de manivelle correspondant à

  
des inclinaisons comprises entre 0 et 90[deg.],dans une bicyclette de type ordinaire, augmente progressivement de 0 à 90 kg. La courbe 116 montre

  
que la force restituée R produite par une force constante A de'

  
45 kg pour des .positions du bras de manivelle correspondant à des inclinaisons comprises entre 0 et 90[deg.],dans le dispositif harmonique selon l'invention, a une valeur pratiquement constante d'environ 90 kg. Ainsi, le dispositif d'entraînement selon l'invention assure une force restituée Rentre des inclinaisons de 0[deg.] et 75[deg.] du bras de manivelle.,plus grande que dans le cas des dispositifs classiques, pour une même force A exercée par le cycliste, mais cette force restituée est constante au lieu d'être une force progressivement croissante.

  
La courbe 118 de la figure 7 indique que la force P que le cycliste doit fournir pour entretenir une force restituée R pratiquement constante de 90 kg entre des inclinaisons de 0[deg.] et de
90[deg.] du bras de manivelle, dans un dispositif de transmission classique, est une force pratiquement constante d'une valeur d'environ 45 kg. La courbe 120 indique que la force P que le

  
 <EMI ID=23.1> 

  
comprises entre 0 et 90[deg.] dans un dispositif de transmission harmonique selon l'invention, augmente progressivement en passant de 0 à environ 45 kg pour les orientations de l'arbre de manivelle comprises entre 75 et 90[deg.]. On voit donc qu'avec le dispositif selon l'invention on peut obtenir la même force restituée R qu'avec un dispositif classique, en fournissant une force P moins grande. 

  
La courbe 122 indique que la force restituée R appliquée sur la chaîne et résultant d'une force P de 45 kg appliquée par le cycliste entre des positions du bras de manivelle ayant des orientations de 0 et 90[deg.], dans un dispositif d'entraînement classique, a une valeur pratiquement constante de 90 kg. La courbe

  
124 indique que la force restituée R appliquée sur la chaîne et résultant d'une force P pratiquement constante de 45 kg, exercée

  
par le cycliste, pour des positions du bras de manivelle correspondant à des orientations comprises entre 0 et 90[deg.],décroît progressiment-d'environ 315 kg pour une inclinaison de 15[deg.] du bras de manivelle, à environ 90 kg pour des inclinaisons comprises

  
entre 75 et 90[deg.]. On voit ainsi qu'entre la position du bras de manivelle correspondant approximativement à une inclinaison de 0[deg.]

  
et la position correspondant à une inclinaison d'environ 75[deg.], le dispositif d'entraînement selon l'invention assure une force

  
restituée appliquée sur la chaîne plus grande que celle qui est assurée par le dispositif classique, pour une même valeur de la

  
force founie par le cycliste.

  
Un autre avantage du dispositif de transmission selon l'invention réside dans l'existence de moyens assurant une gamme

  
de vitesses pouvant varier pratiquement à l'infini, grâce à

  
l'emploi de moyens oscillants 34, 36 qui peuvent être conçus pour assurer un rapport de multiplication allant de 0 à n'importe quelle valeur, compte tenu de la limitation de la longueur radiale des

  
bras oscillants, en combinaison avec les organes d'entraînement 38,

  
40 de la roue arrière, qui peuvent eux aussi être conçus pour

  
assurer un rapport de multiplication qui peut aller du rapport 1/1
(c'est-à-dire une multiplication nulle) à des multiples entiers

  
de ce rapport, c'est-à-dire 2/1, 3/1, etc..., ou pour assurer une démultiplication correspondant à des rapports 1/2, 1/3, etc...

  
Si l'on se reporte à la figure 8, une comparaison du dispositif de transmission selon l'invention, tel que représenté sur la figuré.3, avec un dispositif de transmission classique à dix vitesses,

  
indique que l'invention permet d'obtenir non seulement une gamme beaucoup plus vaste de vitesses possibles (c'est-à-dire de rapports

  
de multiplication) que le dispositif classique, mais également un nombre pratiquement infini de vitesses possibles, alors que le  dispositif classique ne permet d'obtenir qu'un nombre fixe et  limité de vitesses. C'est ainsi par exemple que la position de vitesses la plus basse d'un dispositif classique à dix vitesses

  
est un multiplicateur faible de 38 ayant, entre le pignon de

  
pédalier et le pignon de la roue arrière, un rapport d'engrenage

  
de 39/28 qui assure un rapport de vitesses entre le pignon de la

  
roue arrière et le pignon du bras de manivelle (rapport que l'on appellera par la suite simplement "rapport de vitesses") d'une-' valeur de 1,39/1, tandis que le dispositif d'entraînement de la forme de réalisation représentée sur la figure 3 a une multiplication de 19 assurant un rapport de vitesses de 0,7/1. De même, la position de vitesses la plus haute d'un tel dispositif classique

  
à dix vitesses a une multiplication de 100 avec un rapport d'engrenages de 52/14, assurant un rapport de vitesses de 3,71/1, tandis que le dispositif d'entraînement de la forme de réalisation représentée sur la figure 3 a une position de vitesses beaucoup plus haute avec une multiplication de 126, assurant un rapport de vitesses de 4,67/1. La figure 8 indique également que la position des dix vitesses fixes du dispositif de transmission classique est limitée par la nécessité qu'il y ait un nombre entier de dents sur les pignons d'entraînement, pour toute multiplication choisie. De la sorte, les dix vitesses ont tendance à êtra assez rapprochées

  
à une extrémité et à être. assez espacées de façon variable, à l'autre extrémité. Au contraire, le dispositif d'entraînement selon l'invention permet de choisir n'importe quelle multiplication et assure un déplacement illimité d'une multiplication à une autre, dans une gamme donnée de vitesses, alors que dans le dispositif de transmission classique, il faut choisir les multiplications dans l'ordre croissant ou dans l'ordre décroissant.

  
Comme l'indique la figure 8, le dernier avantage que présentent les perfectionnementsdans le choix des vitesses selon l'invention, réside dans le fait que la bicyclette peut rouler à des vitesses supérieures ou inférieures à la gamme classique de dix vitesses

  
et que l'on peut faire rouler la bicyclette selon l'invention à:
n'importe quelle vitesse choisie dans la gamme de vitesses, tandis que l'on ne peut faire rouler la bicyclette classique qu'à l'une des dix vitesses imposées et, de plus, dans un ordre croissant ou un ordre décroissant.

  
La figure 9 représente la force que le cycliste doit exercer pour assurer une tension donnée de la chaîne ; sur cette figure, l'axe des abscisses est gradué en degrés de rotation des pédales et l'axe des ordonnées correspond à la force à exercer ; enfin, les arches de la courbe correspondent alternativement à la jambe gauche et à la jambe droite du cycliste.

  
Si l'on se reporte maintenant à la figure 10, pour les formes de réalisation préférées des figures 10 à 16, chacune des cames
30, 32 consiste en une plaque 200 fixée, de façon amovible, à l'arbre-manivelle 52 reliant les bras de manivelle 20, 22 à l'aide du pa&#65533;&#65533;er classique 56 fixé au cadre 10 de la bicyclette. Une surface profilée 202 fait tout le tour de la plaque 200 qui est montée en un endroit donné sur l'arbre-manivelle 52 par rapport au bras de manivelle 22. On peut faire varier le profil
202 de cette came pour modifier la correspondance entre la force exercée par le cycliste sur les bras de manivelle et la résistance théorique R des organes d'entraînement 38, 40, ou la relation force-résistance du dispositif d'entraînement.

   La plaque 200 est montée de façon amovible par rapport au bras de manivelle 20 et par rapport à d'autres éléments du dispositif d'entraînement, d'une façon qui permet de la remplacer facilement, de sorte que l'on peut prévoir une série de cames ayant des profils 202 différents, correspondant à la force que peut exercer un cycliste donné ou un groupe donné de cyclistes, aussi bien hommes que femmes, adultes ou enfants, amateurs ou professionnels, etc...

  
le profil 202 de la came est conçu pour provoquer une rotation donnée des moyens oscillants 36 liée à l'orientation du bras de manivelle 22, pour assurer une correspondance entre la force exercée par le cycliste et la résistance réelle opposée par la bicyclette dans le dispositif d'entraînement, en vue d'utiliser au mieux la force que le cycliste est en mesure d'exercer, tout en augmentant les caractéristiques moyennes du dispositif d'entraînement en ce qui concerne la puissance moyenne fournie.

  
Le profil de came représenté sur la figure 10 assure des conditions harmoniques comme indiqué plus haut, mais on peut le remplacer pour obtenir des résultats différents, en fonction du mode d'utilisation de la bicyclette et des capacités du cycliste, comme expliqué plus haut de façon détaillée.

  
On voit que chacun des bras oscillants 34 et 36 se compose d'une pièce 204 ayant la forme d'un L qui pivote par rapport au cadre 10 de la bicyclette sur un axe qui peut être représenté par les deux extrémités d'un arbre commun 206 monté dans un logement commun 208 fixé au cadre de la bicyclette. Un bras de traction
210 de forme allongée de la pièce oscillante 204 part de l'arbre
306 radialement vers l'extérieur et peut pivoter entre une position limite arrière et une position limite avant d'oscillation indiquées par les lignes 212 et 214 en trait interrompu. Il est prévu, dans le bras 210, une fente 216 de forme allongée, dirigée radialement et qui comporte une surface arrière 218 dirigée vers l'avant. Des moyens de préhension appropriés, par exemple des moletages, des cannelures, des nervures, des filetages,  sont prévus le long de la surface 218.

   L'élément oscillant comporte également un bras 220, dirigé vers l'arrière et perpendiculaire

  
au bras 210. Un galet 222 est monté de façon pivotante à l'extrémité arrière de ce bras 220 et est maintenu appliqué contre le pourtour de la came 200 par un organe approprié, par exemple un ressort ou une fente de guidage ou analogue, servant à régler la position de l'élément oscillant 204 par rapport au pivot
206.

  
Un organe de liaison 224, que l'on peut retirer à volonté, coulisse, de façon réglable, sur le bras -210 de manière à -se  déplacer radialement vers l'intérieur et vers l'extérieur le long de celui-ci, entre une première position radiale, ou position limite intérieure, et une seconde position radiale, ou position limite extérieure, indiquées par les lignes en pointillé 226 et
228. De la sorte, à la position limite intérieure 226, l'organe

  
de liaison 224 est porté par le bras 210 en décrivant un arc de longueur minima, tandis qu'à la position limite extérieure 228, cet organe de liaison est entraîné par le bras 210 suivant un arc de longueur maxima. De façon avantageuse, l'organe de liaison 224 est relié de façon réglable au bras 210 par contact à frottement entre la surface 229 de la pièce 224 et la surface 218 qui s'étend entre la position la plus intérieure et la position la plus extérieure, de façon à permettre.un nombre pratiquement infini de positions de l'organe de liaison. L'organe 46 de  commande à distance correspondant représenté sur la figure 1 peut consister en un dispositif à commande manuelle représenté sur la.

  
figure 4 par un levier de commande 230 que l'on peut monter sur une partie supérieure du cadre 10 de la bicyclette, entre la selle et le guidon. Un élément mobile de liaison 232, par exemple un câble Bowden, est fixé convenablement à une extrémité du levier de commande 230 et, par son autre extrémité, à l'organe de liaison
224, grâce à quoi le déplacement du levier de commande vers l'avant, entre la position limite arrière et la position limite avant, provoque le déplacement radial de l'organe de liaison 224 vers l'extérieur par rapport au bras 210, et le recul du levier de commande provoque le déplacement radial de l'élément de liaison
224 vers l'intérieur, par rapport au bras 210. Le montage est tel

  
 <EMI ID=24.1>  oscillant 34,36 sont réglés simultanément de façon uniforme par

  
le déplacement de l'unique levier de commande 230 qui est, de même, relié à chacun des organes de liaison 224.

  
Chacun des organes d'entraînement 38, 40 de la roue arrière est associé à des moyens de préhension 224, à l'aide d'organes de liaison 233, consistant par exemple en un fil métallique, une tige ou un câble, et à l'essie 234 de la roue arrière et au pignon d'entraînement 236. L'organe d'entraînement 40 de la roue arrière représenté sur la figure 10 consiste en un mouflage comprenant une chaîne sans fin 238 montée sur un pignon 236 et des pignons 240,
242, 244 et 246. Les pignons 242 et 244 occupent une position fixe et tournent par rapport au cadre 10 de la bicyclette,. Les pignons
240 et 246 peuvent coulisser dans l'organe de guidage de forme allongée (non représenté) fixée au cadre 10 de la bicyclette,

  
de manière à pouvoir effectuer un mouvement de va-et-vient par rapport à ce dernier. Le pignon 240 est relié à un organe de liaison 231 au moyen d'une biellette 248 montée de façon pivotante, de manière à pouvoir effectuer un mouvement rectiligne alternatif, sous l'effet du déplacement de l'organe oscillant. Un dispositif de rappel est relié au pignon 246 par un organe de liaison pivotant
250 et consiste en un câble 252 fixé, par une extrémité, au cadre 254 de la bicyclette et, par son autre extrémité 256, à l'organe de liaison. Ce câble 252 passe sur une poulie 258 reliée au câble de la bicyclette par un ressort 260. Un cliquet unidirectionnel 262 est associé au pignon 240 et ne permet à la chaîne
238 de se déplacer par rapport au pignon 240 que suivant le sens de la flèche 264, de sorte que, pendant le déplacement du pignon

  
 <EMI ID=25.1> 

  
entraînée avec le pignon 240, ce qui provoque la rotation de l'essieu 234avec un rapport de vitesses de 1/1. Au cours du déplacement du pignon 240 vers l'arrière, dans le sens opposé à celui de la flèche 266, sous l'action du ressort 260, le cliquet 262 se dégage et permet à la chaîne de se déplacer par rapport à lui, ce qui a pour conséquence que la chaîne n'est pas entraînée par le pignon 236. Pour que l'on puisse modifier le rapport de vitesses du dispositif en le faisant passer de la valeur 1/1 à la valeur 2/1, un cliquet 268 unidirectionnel que l'on peut commander à volonté est associé au pignon 242. Lorsque ce cliquet 268 est

  
en prise avec la chaîne 238 sur le pignon 242, le déplacement rectiligne du pignon 240 vers l'avant dans le sens de la flèche 266 entraîne la chaîne deux fois plus loin, de sorte que le

  
 <EMI ID=26.1> 

  
fois plus grand que lorsque le cliquet 268 est dégagé. Le cliquet
268 est, de plus, conçu de façon à permettre un mouvement relatif de la chaîne et du pignon, lorsque le ressort 260 exerce une force de rappel dans le sens de la flèche 264. L'organe 48 de commande

  
à distance consiste en un dispositif actionné à la main, par exemple un levier de commande 270, qui peut se trouver sur la partie supérieure du cadre 10 de la bicyclette, tout près du levier de commande 230. Chacun des dispositifs d'entraînement 38 et 40 comporte un organe mobile de liaison 272, par exemple un câble Bowden relié par une extrémité au levier de commande 270 .et^ -par son autre extrémité au cliquet 268, de sorte que si l'on fait venir le levier 270 à la position arrière qui correspond à la position arrière du levier de commande 230, on met le cliquet 268 en prise, tandis que si l'on fait venir le levier de commande 270

  
à la position avant correspondant à la position avant du levier

  
de commande 230, on met ce cliquet en position dégagée.

  
Ainsi le dispositif selon l'invention permet de faire un choix parmi un nombre considérable de vitesses minima. Dans la posi-

  
 <EMI ID=27.1> 

  
positions limites arrière correspondantes,pour lesquelles les organes de liaison oscillants 224 occupent la position limite intérieure dans -la. direction radiale sur les bras oscillants 210 et le cliquet 268 est dégagé, ce qui assure. un rapport de vitesses de 1/1 dans les dispositifs 38, 40 d'entraînement de la chaîne.

  
On obtient une gamme pratiquement infinie de faibles vitesses grâce au réglage simultané des organes de liaison oscillants 224. entre la position limite intérieure, dans la direction radiale, et la position limite extérieure des bras oscillants 210, en faisant passer le levier de commande 230 de la position limite arrière à la position limite avant. Lorsque le cycliste veut faire passer les organes de commande 38, 40 de la chaîne du rapport faible 1/1 au rapport élevé 2/1, il peut actionner le levier de commande 210 pour mettre en prise le cliquet 268 avec la chaîne 238. Dans le cas du rapport de vitesses 2/1, les organes oscillants de liaison
224 sont également parfaitement réglables entre la position

  
limite intérieure, dans la direction radiale, et la position limite extérieure, ce qui donne une gamme de vitesses élevées pratiquement infinie. Afin de pouvoir passer sans à-coups et  <EMI ID=28.1> 

  
vitesses élevées, on peut monter les leviers de commande 230,

  
270 l'un près de l'autre en faisant correspondre leur déplacement. C'est ainsi par exemple que le levier de commande 230 peut avantageusement être monté de façon que si on le déplace vers l'avant, la-vitesse augmente et si on le déplace vers l'arrière, la vitesse diminue dans chaque gamme de vitesses. Le levier de commande 270 est conçu de préférence de manière que, à la position

  
 <EMI ID=29.1> 

  
 <EMI ID=30.1> 

  
les organes d'entraînement 38, 40 de la chaîne soient dans le  rapport de vitesses faibles de 1/1. De la sorte., lorsque 1-Jon a  mis le levier 230 en position avant, on peut saisir les deux 

  
 <EMI ID=31.1> 

  
faire venir en même temps les organes de commande 38, 40 de la 

  
chaîne dans la gamme de vitesses élevées avec un rapport de 2/1, 

  
tout en plaçant également les organes de liaison oscillants 224 

  
à la position limite intérieure dans la direction radiale, dans 

  
la gamme de vitesses élevées&#65533;d'où on peut faire de nouveau croître ]

  
 <EMI ID=32.1> 

  
levier 230 se déplace vers l'avant, en entraînant radialement vers j l'extérieur l'organe oscillant de liaison 224. 

  
La figure 11- représente les cames préférées 30 et 32 dont  <EMI ID=33.1> 

  
 <EMI ID=34.1> 

  
282 du cadre de la bicyclette. L'arbre-manivelle 52 et la came 200 tournent autour d'un axe central 284 dans le sens de la flèche

  
 <EMI ID=35.1> 

  
représenté symboliquement par la-ligne radiale 288, et des pédales  pivotantes, représentées symboliquement en 290, qui tournent dans 

  
 <EMI ID=36.1> 

  
symbolise le bras de manivelle, correspond à une position verticale  supérieure (0[deg.]), et la came 200 est représentée complètement à  cette position verticale du bras de manivelle et de la pédale 290.  Les références PI à P16 désignent des lignes radiales qui  représentent les différentes orientations du bras de manivelle et de la pédale, commençant par la position faisant un angle de 

  
345[deg.]-et se terminant- par la position verticale basse, faisant un 

  
 <EMI ID=37.1>  

  
came correspondant à diverses orientations PI à P16 du bras de'  manivelle et de la pédale..

  
L'organe oscillant correspondant (34 ou 36) est représenté de façon schématique avec l'arbre oscillant 206 monté de façon pivotante dans le moyeu 202 fixé à une partie du cadre de la bicyclette en 294 de façon à constituer un axe de pivotement 296 qui, dans la forme de réalisation représentée, est confondu avec la ligne radiale verticale 288, mais qui peut occuper d'autres positions. Le bras de traction 210 de l'organe oscillant est représenté par une ligne radiale 298, lorsque le bras de manivelle
288 occupe la position verticale supérieure P4; et le bras de guidage 220 est représenté par une ligne.radiale 300, lorsque -le bras de manivelle 116 est à la position verticale haute P4. Dans la forme de réalisation représentée, l'axe longitudinal du bras de traction 298 et le bras de guidage 300 sont décalés d'environ
95[deg.].

   Le galet de came 222, qui a un axe de rotation 302, tourne sur l'extrémité extérieure, dans la direction radiale, du bras de guidage 300, en étant en permanence au contact du profil 202 de la came 200. Les références RI à R16 désignent le galet 222 et des parties de celui-ci en diverses positions comprises entre une position limite supérieure représentée par la ligne radiale 304 etune positionlimite basse représentée par la ligne radiale 306, suivant des arcs 308, 310 et 312 dont le centre est en 296 et qui représentent respectivement la trajectoire de la partie périphérique intérieure dans la direction radiale, de l'axe de rotation et du pourtour extérieur dans la direction radiale, du galet 222. Les références RI à R16 désignent les diverses positions du galet

  
 <EMI ID=38.1> 

  
manivelle 288 et de la pédale 290, ainsi qu'aux diverses

  
 <EMI ID=39.1> 

  
désignent le bras de traction 298 en diverses positions, comprises entre une position limite avant représentée par la ligne radiale
320 et une position limite arrière représentée par la ligne radiale

  
 <EMI ID=40.1> 

  
manivelle 288 et de la pédale 290, aux diverses positions Cl à C16

  
 <EMI ID=41.1> 

  
Le profil 202 de la came 200 comprend une- surface 324 d'entrainement des moyens oscillants, comprise entre les lignes 326 et
328, servant à provoquer le déplacement du bras de traction 298 vers l'avant, de la position limite arrière 01 en 322 jusqu'à la  position limite avant 016, en 320. Le profil 202 de la. came 200

  
 <EMI ID=42.1> 

  
oscillants, comprise entre les lignes 326 et 328, servant à guider le déplacement du bras de traction 298 vers l'arrière, de sa position limite avant 016, en 320, jusqu'à sa position limite arrière 01, en 322. Les parties 324 et 330 du profil de la came
200 sont reliées l'une à l'autre par une partie intermédiaire servant au rappel du galet de came, cette partie intermédiaire se trouvant au voisinage de la ligne 328 et étant la partie du profil de la came la plus éloignée, dans la direction radiale, de l'axe central 284 ; le profil de la came comporte également une partie intermédiaire au voisinage de la ligne 326, partie qui est_la -  plus rapprochée, dans la direction radiale, de l'axe 284. 

  
La partie intermédiaire 326 est conçue pour mettre fin au recul et amorcer le déplacement vers l'avant du bras de traction
298 des organes oscillants, avant que le bras de manivelle 288 et la pédale 290 n'aient atteint la position verticale P4 (0[deg.]). De la sorte, on dispose de moyens de chevauchement du déplacement vers l'avant, qui entraînent simultanément vers l'avant les deux organes oscillants 34 et 36, pendant une partie de chaque tour complet de l'arbre-manivelle 52. La disposition représentée est telle que la montée du galet 222 commence à la position RI le long de la ligne radiale 306, lorsque la came 200 occupe la position Cl, le bras de manivelle 288 et la pédale 290 étant à la position

  
 <EMI ID=43.1> 

  
position verticale P4 (0[deg.]) et de 15[deg.] avant de revenir à la

  
 <EMI ID=44.1> 

  
à 180[deg.] de l'arbre-manivelle 288, à l'inclinaison 165[deg.] (P15),- ;. l'autre bras de traction étant venu à la position 015. Tandis que

  
 <EMI ID=45.1> 

  
(inclinaison de 345[deg.]) aux positions P2 (353[deg.]), P3 (357[deg.]) et P4
(0[deg.]), le galet 222 monte de la position RI aux positions correspondantes R2, R3, R4 et le bras de traction 298 est entraîné vers l'avant, de la position 01 aux positions correspondantes 02, 03 et
04. En même temps, l'autre bras de manivelle tourne en descendant de la position P15 (incliné de 165[deg.]) à la position P16 (180[deg.]) de sorte que, lorsque le galet 222 monte à la position R4, l'autre galet vient à la position limite supérieure R16, au contact de la portion intermédiaire 328 du profil de la came. On peut faire varier, d'un type came d'un autre type, l'amplitude du déplacement vers l'avant de chevauchement des bras de traction
298, en modifiant la courbure de la partie intermédiaire 326 du profil de la came, en fonction des besoins.

  
La partie 324 du profil 202 de la came comprise entre les parties intermédiaires 326 et 328 constitue une surface conçue pour faire correspondre la position du bras de traction 298 à la position du bras de manivelle 288 d'une manière qui assure une correspondance entre la force fournie par le cycliste et la,

  
force restituée, pour faire varier de façon continue la position radiale et la position périphérique du point d'application de la force fournie par le cycliste, appliquée au bras de manivelle 288 par l'intermédiaire de la pédale 290, au-bras de traction -298 'de l'organe oscillant par l'intermédiaire de la came 200 et du guidecame 222, en fonction des divers modes d'application et de transmission de la force fournie par le cycliste ainsi que des caractéristiques variables de résistance et de couple qui se présentent dans un dispositif d'entraînement de bicyclette.

  
En gros, pour réaliser la partie utile du pourtour de la came, il faut tenir compte du fait que le domaine de travail du bras de manivelle 288 et de la pédale 290 est compris entre environ 0[deg.] et
180[deg.]. En d'autres termes, la force transmise à la pédale 290 par l'intermédiaire du pied et de la jambe du cycliste ne peut être transmise efficacement au dispositif d'entraînement que dans ce domaine de travail au cours de la descente du bras de manivelle 288. De plus, la position de travail la plus efficace du bras de manivelle 288 est la position horizontale P10 (90[deg.]), à laquelle

  
la force fournie par le cycliste est appliquée perpendiculairement au bras de manivelle 288. Pour réaliser le pourtour de la came,'on peut également tenir compte du fait que la force que peut fournir  le cycliste en toute position donnée dans le domaine de travail, varie d'une personne à une autre et même, en général, n'est pas

  
la même pour les deux jambes de la même personne. En fait, les résultats d'expériences indiquent les différences considérables dans la valeur de la force fournie, entre des personnes qui sont des cyclistes expérimentés et des personnes qui ne sont que des cyclistes occasionnels. L'invention présente donc cet avantage considérable de permettre de réaliser des profils de came correspondant à des cyclistes de capacités différentes ainsi qu'à des cyclistes dont les deux jambes n'ont pas la même force.

  
Le tracé de la came représentée sur la figure 11 repose sur cette idée que l'on peut obtenir une transmission maxima des

  
'.j

  
forces du bras-de manivelle 288 et de la pédale 290 aux organes oscillants et, par conséquent, à la roue arrière de la bicyclette, en associant la force maxima que peut fournir le cycliste à la transmission maxima de force par le dispositif d'entraînement.

  
Comme représenté sur la figure 11, lorsque le bras de manivelle 288 et la pédale 290 sont entraînés, par la force disponible fournie par le cycliste, de la position P4 (inclinaison de 0[deg.]) à la position P10 (90[deg.]), le galet de came 222 continue de monter de la position R4 à la position RIO qui, dans la forme de réalisation représentée, est la position horizontale, par des rotations progressivement décroissantes,-et le bras de traction
298 continue d'avancer de la position 04 à la position 010 qui, dans la forme de réalisation représentée, est verticale. Tandis que le bras de manivelle 288 et la pédale 290 continnuent de descendre sous l'effet de la force fournie par le cycliste, de

  
là position P10 (inclinée à 90[deg.]) à la position P16 (180[deg.]), le galet de came 222 continue de monter, de la position RIO à la position R16, par rotations progressivement croissantes, et le bras de traction 298 continue d'avancer de la position 010 à la position 016.

  
Les résultats obtenus sont indiqués par les diverses longueurs d'arc parcourues par le bras de manivelle 288, le galet 222 et

  
le bras de traction 298. Alors que le bras de manivelle 288 descend suivant des arcs égaux de la position P4 à la position P16, le galet 222 monte par quantités progressivement décroissantes, de la position R4 à la position RIO, et par quantités progressivement croissantes,de la position RIO à la position R16. En même ''  temps, le bras de traction 298 commence par se déplacer vers l'avant d'un arc relativement important, de la position 04 à la position 05, après quoi le bras d'entraînement avance de la

  
 <EMI ID=46.1> 

  
relativement faibles et, à la fin de son déplacement vers l'avant entre les positions 015 et 016, il se déplace de nouveau par quantitésrelativement importantes.Par conséquent, la force fournie par le cycliste aux positions P5 à P15 du bras de manivelle 288

  
se transmet par l'intermédiaire de la came 200, du galet 222, du bras de guidage 300 et du bras de traction 298 d'une manière qui assure la force restituée maxima désirée, disponible sur le bras de traction et destinée à être transmise à la roue arrière. On dispose ainsi de moyens de correspondance entre les forces qui permettent au cycliste de fournir à la roue arrière une force plus grande qu'avec une bicyclette classique, entre les positions

  
 <EMI ID=47.1> 

  
La came de la figure 11 a été expérimentée sur une bicyclette d'essai munie du dispositif de transmission décrit ci-dessus, et l'on a comparé les résultats obtenus aux résultats fournis par une bicyclette de type classique à dix vitesses munie d'un dispositif de transmission de type courant à pignons multiples. L'un des essais effectués consiste en des mesures statiques de la force verticale exercée sur la pédale de chacune des bicyclettes

  
 <EMI ID=48.1> 

  
saires pour faire équilibre à une même résistance de la roue arrière, le dispositif de transmission de chacune des bicyclettes étant réglé pour assurer le même rapport de multiplication, à savoir que la bicyclette de type courant et la bicyclette expérimentale se trouvaient dans les mêmes conditions de multiplication. Le tableau I qui suit et les courbes de la figure 12 fournissent les résultats d'essais statiques pour une multiplication N[deg.]33.75
(rapport d'engrenage de 40/32).

TABLEAU I

  

 <EMI ID=49.1> 


  
Dans ce tableau, l'unité de poids adoptée correspond à un poids de 450 grammes.

  
PP = Position en degrés, de la pédale dans la gamme maxima

  
de forces fournies par le cycliste, position mesurée à partir de la position verticale (0[deg.]) de cette pédale. PWC = Force exercée, dans le cas d'une bicyclette classique à

  
dix vitesses, verticalement et vers le bas sur la pédale de la bicyclette, peur faire équilibre à une force égale  <EMI ID=50.1> 

  
verticalement vers le bas, à 37,5 cm en arrière de l'axe de la roue arrière.

  
PWT = Mêmes conditions que ci-dessus, mais pour la bicyclette

  
d'essai.

  
PWC/PWT = Pourcentage d'augmentation (dans l'unité de poids

  
indiquée plus haut) nécessaire pour faire équilibre à un même poids exercé sur la roue arrière, pour une bicyclette classique à dix vitesses, par rapport à la bicyclette expérimentale.

  
WPC = Position de la roue d'une bicyclette classique à dix

  
vitesses par rapport à la position de la pédale dans'le rapport de transmission 1/1.

  
WPT = Position de la roue de la bicyclette expérimentale par

  
rapport à la position de la pédale, pour un rapport de transmission de 1/1.

  
WPV = Différence d'orientation de la roue arrière, entre la

  
bicyclette expérimentale et la bicyclette classique à dix vitesses.

  
9/PWC = Conversion des forces exercées sur la pédale par rapport

  
à une base de 9 unités de poids pour une orientation à
90[deg.] de la pédale, dans le cas d'une bicyclette classique à dix vitesses.

  
9/PWT = Mêmes conditions, mais dans le cas de la bicyclette

  
expérimentale. 

  
Si l'on se reporte au Tableau I, on voit que les résultats expérimentaux indiquent que la bicyclette expérimentale conforme

  
à l'invention n'exige pas de la part du cycliste, une force aussi grande que la bicyclette classique à dix vitesses, pour vaincre

  
la résistance de la roue arrière, à chaque inclinaison mesurée de la pédale. De plus, le tracé de la came de la bicyclette expérimentale a pour résultat une variation de la position de la roue arrière par rapport à la position de la pédale, variation telle que la résistance de la roue arrière se transmet de façon variable à la pédale en fonction des caractéristiques de la came relatives

  
à la position de la pédale.

  
La came est telle que pour les position P4 (inclinaison de

  
 <EMI ID=51.1> 

  
roue arrière est respectivement de 0[deg.], 90[deg.] et 180[deg.]. Pour les positions P5 (inclinaison de 15[deg.]) et P15 (165[deg.]) de la pédale, l'inclinaison de la roue arrière est respectivement de 35/4[deg.] et
144,8&#65533;. De la sorte, entre les positions P4 (0[deg.]) et P5 (15[deg.]) de la pédale, la position relative entre la roue arrière et la pédale passe rapidement de la coïncidence (à l'inclinaison 0[deg.]) à une position maxima en avance d'environ 20[deg.], et, entre les positions P15 (165[deg.]) et P16 (180[deg.]) de la pédale, la position relative de la roue arrière augmente de nouveau rapidement d'une position retardée d'environ 20[deg.] jusqu'à la position de coïncidence
(180[deg.]). La position d'avance maxima obtenue pour l'inclinaison de
15[deg.] de la pédale demeure pratiquement constante de la position

  
P5 (inclinaison de 15[deg.])' â la position P6 (30[deg.]) de la pédale tandis que la position de retard maxima atteinte, pour la position P14 (150[deg.]) de la pédale demeure pratiquement constante de la position P14 à la position P15 (inclinaison de 165[deg.]) de cette pédale.

  
Comme indiqué au Tableau I, entre la position P6 (30[deg.]) et P10 (90[deg.]) de la pédale, la position d'avance de la roue arrière de la bicyclette expérimentale décroît progressivement par rapport à la position de la pédale et à la position correspondante de la roue arrière de la bicyclette classique à dix vitesses. L'avance de la roue arrière passe progressivement de la valeur
19,2[deg.] pour la position P6 de la pédale (inclinaison de 30[deg.])

  
à une avance nulle,c'est-à-dire une position de coïncidence pour la position P10 de la pédale (90[deg.]). Ainsi, la résistance de la roue arrière à la rotation de 0[deg.] à 90[deg.] est répartie par rapport aux positions de la pédale. La résistance de la roue arrière à la rotation de 0[deg.] à environ 49,2[deg.] se concentre dans la portion de

  
la rotation de la pédale comprise entre 0[deg.] et 30[deg.], c'est-à-dire;. dans la gamme de rotation où la possibilité, de la part du cycliste, d'exercer une force sur la pédale est réduite au minimum et où on peut surmonter au mieux les effets d'inertie pour vaincre la résistance de la roue arrière. La résistance de la roue arrière à là rotation entre 49,2[deg.] et 90[deg.] se répartit sur la partie de la rotation de la pédale comprise entre 30 et 90[deg.], où la possibilité  de la part du cycliste, d'exercer une force sur la pédale augmente peu à peu, d'une manière qui diminue progressivement la résistance opposée par la roue arrière à la rotation entre la position P7

  
de la pédale (inclinaison de 35[deg.]) et la position P10 (90[deg.]) dans une gamme où la possibilité de la part du cycliste, d'exercer une force sur la pédale augmente peu à peu. 

  
 <EMI ID=52.1> 

  
P16 (180[deg.]) de la pédale, la position de la roue arrière de la bicyclette expérimentale est progressivement retardée par rapport à la position de la pédale-et à la position correspondante de la roue arrière de la bicyclette classique à dix-vitesses. L'amplitude du retard de la roue arrière augmente progressivement.de 0[deg.],

  
 <EMI ID=53.1> 

  
180[deg.] se-répartit par rapport aux positions de la pédale. La  résistance opposée par la roue arrière à la rotation entre environ'
130,8[deg.] et 180[deg.] (c'est-à-dire une rotation d'environ 50[deg.]) est concentrée, à la partie de la rotation de la pédale comprise entre

  
 <EMI ID=54.1> 

  
possibilité de la part du cycliste, '-exercer une force sur la  pédale diminue progressivement et où les effets d'inertie peuvent être utilisés au mieux pour vaincre résistance opposée par la roue arrière. La résistance opposée par la roue arrière à la 

  
 <EMI ID=55.1> 

  
laquelle la possibilité, de la part du cycliste, d'exercer une force sur la pédale, diminue peu à peu, d'une façon qui augmente

  
 <EMI ID=56.1> 

  
 <EMI ID=57.1>  <EMI ID=58.1> 

  
arrière de arrière classique, calculées d'après les.

  
 <EMI ID=59.1> 

  
 <EMI ID=60.1> 

  
 <EMI ID=61.1> 

  
(axe. 346) sont portées les valeurs du couple disponible,  tandis que l'axe des abscisses- (348) est gradué en orientations de la roue arrière et du bras de manivelle, de la position verticale haute (0[deg.]) à la position verticale basse (180[deg.])

  
de ce bras de manivelle. Le couple disponible fourni a été calculé sur la base d'un pourcentage, le couple maximum disponible, pour la bicyclette classique à dix vitesses, pour la position inclinée

  
 <EMI ID=62.1> 

  
représentant un couple de base de 100 %, de telle sorte que les points des courbes correspondent aux valeurs indiquées sur les

  
 <EMI ID=63.1> 

  
courbe 344 correspondant à la bicyclette expérimentale, ont des ordonnées respectives de 0,70, 1,05, 1,07, 1,18, 1,64, 2,00, 1,25, 1,05 et 0,64. Les points P6 à P14 de la courbe théorique 340 correspondant à la bicyclette classique ont des ordonnées respectives de 0,50, 0,71, 0,86, 0,96, 1,00, 0,96, 0,86, 0,70 et 0,50. 

  
En ce qui concerné-l'axe horizontal, les points CP6 à CP14 de la courbe 342 correspondant à la bicyclette classique et les points P6-à P14 de la courbe théorique 340 correspondant à cette

  
 <EMI ID=64.1> 

  
fois la position de la pédale et la position de la roue arrière.

  
Pour les-mêmes positions de la pédale qu'avec la bicyclette  <EMI ID=65.1>  variation du couple disponible théorique sur la roue arrière,  assurée par l'invention. Les zones 346, 350 où la courbe 344 se  trouve au-dessous de la courbe 342 mettent en évidence le fait que ^ le dispositif selon l'invention assure-. couple moindre que le dispositif de la bicyclette classique entre la position de la

  
 <EMI ID=66.1> 

  
pédale correspondant à une 350 et de la  <EMI ID=67.1> 

  
La zone 348 où la courbe 344 se trouve au-dessus de la' courbe
340 met en évidence le fait que le dispositif selon l'invention assure un couple disponible nettement plus grand, de la position correspondant à une inclinaison d'environ 35[deg.] de la pédale

  
à la position inclinée de 145[deg.] de cette pédale. De plus., la courbe 344 indique une forte concentration du couple disponible entre la position de la pédale correspondant à une inclinaison d'environ 60[deg.] et la position de cette pédale correspondant à

  
 <EMI ID=68.1> 

  
la part du cycliste, d'exercer une force sur la pédale.

  
Il est bien entendu que les résultats expérimentaux et les calculs indiqués plus haut ne tiennent pas compte des conditions réelles d'utilisation de la bicyclette, dans lesquelles la résistance effective imposée au dispositif d'entraînement par la roue arrière modifie les relations théoriques indiquées plus haut entre les pédales, les bras de manivelle, les cames et les éléments oscillants. Néanmoins, il faut admettre que les caractéristiques

  
de la came décrites plus haut tiennent compte de la résistance réelle opposée par la roue arrière et permettent d'obtenir les résultats voulus dans le dispositif d'entraînement.

  
La came telle que décrite plus haut assure des résultats. particulièrement avantageux en ce qui concerne la correspondance avec la force maxima que peut exercer sur les pédales le cycliste, et la résistance minima opposée par le dispositif, mais l'invention peut permettre d'obtenir d'autres résultats et, en particulier, on peut modifier la forme de la came de manière à faire correspondre la force théorique maxima que peut exercer le cycliste sur les pédales avec la résistance, maxima opposée par le dispositif, comme représenté sur la figure 13. Un tel tracé de la came peut être avantageux pour des coureurs qui sont en mesure d'exercer

  
une force importante sur la pédale: au moment eu la pédale commence à descendre.. ,La pédale 200 représentée sur la figure 13 présente une portion intermédiaire de pourtour entre les points 360 et 362, une augmentation relativement faible du couple disponible, dans

  
 <EMI ID=69.1> 

  
(364) ; le pourtour de la came présente une augmentation relativement importante du couple disponible de la position 15[deg.] de la

  
 <EMI ID=70.1>   <EMI ID=71.1> 

  
disponible, de la position d'inclinaison d'environ 100[deg.] de la pédale (366) à l'inclinaison d'environ 165[deg.] de la pédale
(368),et uneaugmentation relativement faible du couple disponible, de l'inclinaison d'environ 165[deg.] de la pédale (368) à la

  
 <EMI ID=72.1> 

  
Suivant un autre exemple, on peut modifier le pourtour de. la came de manière à associer de façon différente la possibilité, de

  
 <EMI ID=73.1> 

  
résistance opposée par la roue arrière, d'une manière qui correspond mieux à une courbe théorique harmonique de la force fournie par le cycliste, comme représenté sur la-figure 14, où le pourtourde la came assure une augmentation relativement importante du couple disponible entre la position 0[deg.] de la pédale (372) et  l'inclinaison d'environ 15[deg.] de la pédale (374), une augmentation

  
 <EMI ID=74.1> 

  
la position de la pédale (374) à l'inclinaison d'environ 
35[deg.] de la pédale (376), une diminution relativement faible du couple disponible, de l'inclinaison d'environ 35[deg.] de la pédale 
(376) à l'inclinaison d'environ 65[deg.] de la pédale (378}, une diminution relativement importante du couple disponible, de  l'inclinaison d'environ 65[deg.] de la pédale (376) : à l'inclinai-

  
 <EMI ID=75.1> 

  
pédale (380) à l'inclinaison d'environ 145[deg.] de la pédale 
(382), une augmentation relativement faible du couple disponible

  
 <EMI ID=76.1> 

  
l'inclinaison d'environ 1650 de la pédale (384) et une augmentation relativement importante du couple disponible, de l'inclinaison d'environ 165[deg.] de la pédale (384) à l'inclinaison d'environ
180[deg.] de la pédale (386). 

  
 <EMI ID=77.1> 

  
que l'on peut faire correspondre la forme de la came aux diverses  possibilités, de la part de différents cyclistes, d'exercer une force sur la pédale en vue d'assurer un couple donné. C'est ainsi par exemple que l'on peut réaliser des cames ayant des profils  différents qui correspondent à différentes catégories de cyclistes,  aussi bien cyclistes professionnels qu'amateurs, hommes ou femmes,  ou enfants ; on peut également modifier le profil de la came

  
suivant qu'il s'agit de rouler sur le plat ou en côte. De plus, on peut réaliser une came de gauche et une came de droite/différentes l'une de l'autre pour une même bicyclette, en tenant compte de

  
la différence de force entre la jambe droite et la jambe gauche d'une série de cyclistes ou d'un cycliste donné, dont on peut mesurer la force, afin de déterminer la forme de came qui convient le mieux aux besoins d'un cycliste donné. Pour qu'il soit plus facile d'avoir des cames de profils différents pour divers cyclistes, on peut envisager que les cames soient montées de

  
façon amovible sur la bicyclette de manière qu'on puisse les changer facilement et rapidement.

  
Sur les figures 15- à 17, certaines parties du dispositif d'entraînement selon l'invention sont représentées de façon plus détaillée avec des formes et des dispositions différentes. Le cadre
10 de la bicyclette se compose d'éléments tubulaires 400, 402, 404 et 406. Les éléments 400, 402 et 404 sont fixés à un moyeu 408 dans lequel tourne l'arbre-manivelle 52. De façon classique, chacun des bras de manivelle 20 est fixé de façon amovible à l'arbre-manivelle
52 à l'aide de moyens d'attache classique 410, les pédales 24 et

  
26 étant montées de façon pivotante à l'extrémité extérieure de

  
ces bras de manivelle. Chaque came 30, 32 consiste en une pièce

  
200 fixée de façon amovible sur l'une des extrémités extérieures

  
de l'arbre-manivelle 52, entre le bras de manivelle 20 correspondant et l'extrémité du moyeu 408, de manière à tourner avec l'arbremanivelle par rapport à ce moyeu. Chacun des éléments oscillants

  
34 et 36 se compose d'une pièce oscillante 204 qui pivote, de

  
façon amovible, entre la came 200 et la partie 402 du cadre de la bicyclette, à l'extrémité extérieure de l'arbre de pivotement 412, qui peut être monté fixe dans un logement 414 fixé 

  
sur la partie 402 du cadre de la bicyclette à l'aide d'éléments d'attache appropriés 416, comme représenté sur la figure 21.

  
Chacun des bras oscillants 204 comprend un bras de traction
210 qui comporte une surface dentelée de transmission de forces, de forme allongée et tournée vers l'avant, et un bras 220, décalé latéralement vers l'extérieur, sur lequel est monté un galet 222 décalé latéralement vers l'extérieur, qui est appliqué de façon continue sur le profil 202 de la came.

  
Une pièce de liaison 224 pour la transmission des forces, pivote sur l'arbre 420, reliant de façon pivotante les extrémités des barres de traction 422, 424. L'élément de liaison 224 comprend une barre 425 qui présente des dents 426, 428 qui constituent des  <EMI ID=78.1> 

  
dentelée 218, en diverses positions réglées radialement vers l'intérieur et vers l'extérieur. Un tel réglage peut être assuré par des câbles 430 et 432 dont l'un est fixé à une extrémité de la barre 425, en 434, à l'aide d'un tronçon de fil métallique 436 qui monte de la partie inférieure de la surface 218, l'autre câble étant fixé à l'autre extrémité de la barre, en 438, au moyen d'un tronçon de fil métallique 440 qui descend de la partie supérieure de la surface 218. Le fil métallique 440 peut être guidé par une rainure 442 située à la partie supérieure du bras de traction 210 et descend jusqu'à la surface extrême dirigée

  
vers l'arrière et contourne la partie inférieure de la pièce oscillante 204. Le montage est tel que, si l'on agit sur un levier de commande fixé au câble 430 pour déplacer le fil métallique 436 dans le sens de la flèche 444, on fait pivoter la barre 425 autour de l'arbre 420,ce qui dégage la dent 426 de la surface 418, après quoi on peut faire descendre la barre 425 le long de la surface
218, la surface extérieure inclinée de la dent 428 glissant

  
sur la surface dentelée jusqu'à ce que l'on supprime la force de réglage, après quoi la barre revient immédiatement, en pivotant, en prise avec la surface 218. On peut, de la même façon, dégager et entraîner la barre 425 dans le sens opposé, en appliquant, avec le fil métallique 440, une force dans le sens de la flèche 446.

  
Chacun des moyens d'entraînement 38, 40 de la roue arrière est associé à l'extrémité arrière d'une barre de traction 424 ou
426 par un axe de pivotement 450 autour duquel peut tourner un pignon 452 monté entre les barres et mobile avec elles. Comme dans le cas précédent, une chaîne sans fin 454 passe sur le pignon 452 et sur les pignons 456, 458 montés fixes par rapport au cadre de la bicyclette et à l'essieu delà roue arrière à l'aide d'une console
460, et passe sur le pignon mobile 462 relié à un ressort de rappel
464, fixé au cadre de la bicyclette en 466 à l'aide d'une console de liaison pivotante 168. Si nécessaire ou si on le désire, la chaîne et/ou les éléments de guidage 470, 472 des pignons peuvent être montés fixes sur le cadre de la bicyclette de toute manière convenable.

  
Le fonctionnement du dispositif est le suivant : les figures

  
 <EMI ID=79.1> 

  
formes de réalisation décrites plus haut ; le cadre 10 de la bicyclette comprend des éléments tubulaires 500, 501 parallèles dirigés vers le haut et vers l'avant, des éléments tubulaires 502,
503 parallèles. dirigés vers le haut et vers l'arrière, délimitant avec les premiers une cavité pour le dispositif d'entraînement, des éléments tubulaires 504, 506 dirigés vers l'arrière et situés à une certaine distance l'un de l'autre dans la direction transversale, délimitant une cavité pour le dispositif d'entraîne-

  
 <EMI ID=80.1> 

  
haut et vers l'avant, délimitant entre eux une cavité pour le dispositif d'entraînement, un moyeu 512 porté par les éléments
500 à 506, et des consoles 514 pour l'essieu dela roue arrière (une seule est visible sur la figure) portées.respectivement par les éléments 504, 508 et les éléments 506, 510.

  
Le dispositif d'entraînement comprend deux ensembles d'entraînement distincts de même construction, associés à chacun de deux arbres de manivelle et à deux pédales, un seul de ces ensembles étant représenté sur les figures 18 à 20.Un bras de manivelle 516 muni d'une pédale 518 peut tourner autour de l'axe
520 d'un arbre-manivelle (non représenté) qui tourillonne dans le moyeu 512.

  
Un bras de support 522 sur lequel peut tourner le galet 534 d'entraînement de came est dirigé radialement vers l'extérieur par rapport à l'axe 520, en face de chaque bras de manivelle, et tourne suivant une trajectoire circulaire 526 dans le sens de la flèche 527.

  
Un ensemble constitué par une came et un moyen oscillant 530  est associé à chaque galet 524 pour assurer une oscillation entre une position limite arrière (représentée en trait plein) et une'. position limite avant (représentée en trait interrompu) suivant une trajectoire courbe 526. Chaque ensemble came-élément

  
 <EMI ID=81.1> 

  
l'autre des éléments 504, 506 du cadre de la bicyclette, pour constituer un axe de pivotement commun 534 qui est situé, dans la forme de réalisation représentée, en arrière de l'axe de pivotement 520. Comme représenté sur la figure 23, chaque ensemble cameélément oscillant 530 comprend un bras de traction 536 qui présente une surface 538 de transmission de forces, de forme allongée et dirigée vers l'avant qui peut comporter des dentelures de préhension, dirigées radialement vers l'extérieur par rapport à l'axe de pivotement 534. Chaque ensemble came-élément oscillant 530 comprend également un bras de support 540 sur lequel est appliqué un profil de came 542 dirigé vers l'avant.

   Un guide de galet et une came complémentaire sont constitués par les plaques latérales
540, 546 qui comportent des rebords 548, 550 tournés vers l'intérieur, constituant des cames complémentaires sous la forme de surfaces parallèles 552, 554 partant d'un point situé approximativement sur une ligne radiale fictive 556, perpendiculaire à la surface 538, et passant par l'axe de pivotement 534, ces surfaces 552 et 554 recouvrant la partie supérieure de la surface de came 542 en lui étant parallèle. Les rebords 548 et 550

  
 <EMI ID=82.1> 

  
lâche, le bras 522 pour se déplacer par rapport à ces éléments

  
548 et 550. L'appareil est donc conçu pour que, lorsque le bras de manivelle correspondant 516 tourne de la position verticale haute
(0[deg.]), ou un peu avant pour assurer un chevauchement, environ jusqu'à la position avant horizontale (90[deg.]), le galet 524 se trouve d'abord au contact de la partie la plus basse de la surface
542, puis monte le long de cette surface 542, tandis que le bras de traction oscillant 536 est entraîné vers l'avant jusqu'à une position située approximativement sur la ligne radiale 556. Puis, le bras de manivelle correspondant 516 continuant de tourner de

  
la position inclinée de 90[deg.] à la position verticale basse
(180[deg.]), le galet 524 s'applique contre les surfaces 552, 554, en continuant d'entraîner le bras oscillant 536 vers l'avant jusqu'à la position d'oscillation située le plus en avant. Puis, le bras de manivelle 516 continuant de tourner de la position d'inclinaison de 180[deg.] à la position d'inclinaison nulle, le galet 524 dépasse l'extrémité supérieure de la fente 558 et est alors dégagé de la surface de came de l'élément oscillant 530, qui recule immédiatement de la position limite avant à la position limite arrière sous l'action de l'élément de rappel, comme expliqué ci-après, tandis que l'autre bras de manivelle entraîne l'autre ensemble came-élément oscillant vers l'avant, de manière à entretenir un déplacement continu de la bicyclette vers l'avant.

   On peut modifier la longueur et la forme des profils de came 542, 552 et
554 en vue de l'obtention de résultats bien définis comme expliqué plus haut.

  
Comme indiqué précédemment, chacun des bras de traction oscillants 536 est associé à l'un des éléments d'entraînement 38,
40 de la roue arrière par des organes de liaison 560, dont on peut régler à volonté la position radiale vers 1 'intérieur et vers l'extérieur sur la surface 538, par rapport au bras de traction
536, pour assurer à la bicyclette une gamme pratiquement infinie de vitesses. Une autre forme de réalisation des éléments d'entraînement de la roue arrière est représentée sur les figures
22 et 24, dont chacune comprend une chaîne sans fin 562 en prise avec un pignon 564 d'entraînement de la roue arrière et qui passe sur des pignons fous 566, 568, 570, 572, de manière à assurer un rapport de vitesses de 2/1 entre l'ensemble came-élément  oscillant et le pignon 564 d'entraînement de la roue arrière.

   Le pignon 566 est relié au bras de traction 536 par une tige de liaison 564, qui pivote sur l'élément de-liaison réglable;560;

  
à son extrémité avant en -576, et qui pivote sur le pignon 566,

  
à son extrémité arrière, en 578, de manière à effectuer un mouvement de va-et-vient entre une position limite arrière ;
(représentée en trait plein) et une position limite.avant
(représentée en trait interrompu) qui correspondent à la position limite arrière et à la position limite avant du bras de traction
536 de l'ensemble came-élément oscillant 532 correspondant. Comme dans les formes de réalisation précédentes, on peut associer un cliquet unidirectionnel 580 à l'un des pignons 538 pour permettre le mouvement en sens inverse de la chaîne 562. On peut prévoir

  
 <EMI ID=83.1> 

  
roue arrière, sous la forme d'une tige 582 en porte-à-faux qui pivote sur la console 514 du cadre de la bicyclette, en 584, et qui est dirigée vers l'avant, en étant parallèle à la tige de liaison 574 et de même longueur. Il est prévu un élément de guidage et de liaison 586 consistant en une console 588 ayant laforme d'un L (figure 24) fixée, par une extrémité 590, à la tige
574 de manière à se déplacer avec elle, et présentant, à son autre extrémité, une fente transversale 592 de forme-allongée,

  
 <EMI ID=84.1> 

  
permettre leur pivotement relatif. Il est prévu, entre la tige de liaison 582 et la console 588,,des moyens de sollicitation  consistant en un ressort de compression 596 monté dans la fente .

  
592 qui sollicite un élément de guidage 598 montant et descendant,  pour le faire glisser sur la tige 582.. 

  
De plus,chacun des dispositifs d'entraînement des figures 18  à:20 comprend un organe de rappel consistant en un câble 600 fixé  par une extrémité 602 au pignon 570, coulissant sur un rail de . 

  
guidage 604 de manière à se déplacer entre une position limite

  
t,

  
supérieure (représentée en trait plein) et une position limite inférieure (représentée en trait interrompu) qui correspondent à la position.limite arrière et à la position limite avant du pignon
566, ce câble 600 étant fixé, par une autre extrémité 606, au pignon 566. Le câble 600 passe sur une poulie 608 fixée à l'un des éléments 508 et 510 du cadre de la bicyclette, au-dessus du pignon 570, sur une poulie '610 qui peut être coaxiale à la tige

  
de support 582,et sur une poulie 612 montée à l'extrémité extérieure de la tige de support 582. Le montage est tel que, lorsqu'on tire le pignon 566 vers l'avant pour le faire passer de la position limite arrière à la position limite avant et que l'on tire-, le pignon 570 vers le bas, pour le faire passer de la position limite supérieure à la position limite inférieure, le câble 600 se déplace sur les poulies 608, 610, 612 de manière à maintenir la chaîne tendue en permanence. Le câble 600 fonctionne de la même manière au cours du déplacement inverse de la chaîne 562 et des pignons
566, 570, déplacement qui peut être assuré de toute façon appropriée, par exemple par un ressort (non représenté) monté entre le pignon 570 et le cadre 10 de la bicyclette.

  
Le montage est tel qu'il permet de loger pratiquement la totalité du dispositif d'entraînement entre les éléments 500 et
501, 502 et 503, 504 et 506, 508 et 510 du cadre de la bicyclette et dans les cavités délimitées par ces éléments de cadre. Pour protéger le cycliste contre tout risque de contact avec le dispositif d'entraînement, on peut prévoir des éléments de protection consistant par exemple en des rayons de bicyclette

  
 <EMI ID=85.1> 

  
éléments complémentaires de support 622 disposés de part et d'autre de la bicyclette. A ce propos, il convient de remarquer que, sur la figure 18 , et uniquement à titre d'exemple, l'élément ,d'entraînement de la roue arrière est représenté par rapport au cadre 10 de la bicyclette comme étant l'élément d'entraînement de gauche, tandis que l'élément d'entraînement de la roue arrière, dans le cas de la figure .18 , est représenté comme faisant partie du dispositif de droite associé aux éléments de droite (pédales, bras de manivelle, galet, came, élément oscillant) du dispositif <EMI ID=86.1>  les éléments d'entraînement de gauche et de droite de la roue arrière sont montés entre les éléments 504, 506 et 508, 510 du cadre de la bicyclette,

   et également entre les deux consoles 514 qui maintiennent l'essieu de la roue arrière et la roue arrière ellemême. Les deux consoles délimitent un espace commode pour monter les divers éléments de l'entraînement de la roue arrière qui ne sont pas soumis à un déplacement alternatif.

  
La figure 21 représente une autre forme de réalisation des organes d'entraînement de la roue arrière, montés de la même façon entre des éléments tubulaires parallèles 630, 632 et 634,
636 du cadre de la bicyclette et des consoles 638 (une seule est représentée) . Chacun des organes d'entraînement de la roue arrière comprend une chaîne ouverte 640 qui est fixée par une extrémité <EMI ID=87.1> 

  
644, 646, et un pignon 648 d'entraînement de la roue arrière muni de façon classique d'un mécanisme d'embrayage unidirectionnel

  
(non représenté), l'autre extrémité (650) de la chaîne passant sur un galet 652 soumis à l'action d'un ressort, de manière à assurer un rapport de vitesses de 2/1 entre le bras de traction oscillant
536 et le pignon 648 d'entraînement de la roue arrière. Comme dans les cas précédents, .ce pignon 644 est relié au bras de traction correspondant 636 au moyen d'une tige de liaison 574 reliée de façon pivotante à un élément de liaison réglable 560, par son extrémité avant (en 576) et reliée de façon pivotante au pignon 644, par son extrémité arrière en 578.

  
Il est bien entendu que l'invention couvre d'autres formes de réalisation. C'est ainsi, par exemple, que, bien que les éléments oscillants aient été décrits ci-dessus comme étant dirigés verticalement vers le haut pour se déplacer entre une position limite arrière et une position limite avant, on peut imaginer que les éléments oscillants soient montés et orientés d'une autre manière. De plus, les cames décrites précédemment ont des formes différentes et sont disposées de façon différente par rapport à des bras de manivelle, des galets, des surfaces de came et des éléments oscillants qui pourraient avoir d'autres formes et être montés, disposés, reliés ou combinés d'une autre manière, ou encore remplacés par d'autres formes de réalisation. En outre,

  
on peut donner une autre forme aux dispositifs d'entraînement de la roue arrière et les monter, les disposer, les relier, les combiner d'une autre façon ou encore les remplacer par d'autres formes de réalisation. En ce qui concerne les formes de réalisation du dispositif d'entraînement de la roue arrière décrites précédem-ment, il est bien entendu que les termes "chaîne" et "pignons" couvrent divers dispositifs autres qu'une chaîne à maillons et un pignon de chaîne tels que ceux que l'on utilise dans les dispositifs d'entraînement de bicyclette de type classique. C'est ainsi par exemple que l'on peut remplacer la chaîne à maillons et le pignon de chaîne par un câble et une poulie.

   Enfin, l'invention s'applique d'une façon générale à tous véhicules sans moteur, par exemple à des tricycles, et il faut bien comprendre que le terme "bicyclette" n'est pas limitatif. 

REVENDICATIONS

  
1. Bicyclette comprenant :
- une roue permettant le déplacement de cette bicyclette ;
- une pédale supportant le pied d'un cycliste et servant à transmettre à cette roue la force exercée par ce pied ;
- des bras de manivelle tournants reliés à cette pédale et commandés par celle-ci, servant à transmettre la force exercée par le pied du cycliste de cette pédale à la roue au cours d'une

  
rotation d'un tour complet ;
- un arbre relié à ces bras de manivelle et permettant à ces derniers de tourner ;
- des moyens servant à assurer- une correspondance entre l'a force fournie par le cycliste et la force restituée, ces moyens

  
étant commandés par l'arbre de manivelle et assurant une correspondance entre la force provenant des bras de manivelle et la

  
force fournie à la roue au cours d'une rotation complète de 360[deg.],

  
tout en maintenant en permanence l'application de la force

  
restituée sur la roue pendant chaque tour complet ;
- des moyens d'entraînement de la roue arrière, commandés par lesdits moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée, ces moyens d'entraînement servant à transmettre à la roue la force desdits moyens de correspondance.

Claims (1)

  1. 2. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le
    fait que lesdits moyens de correspondance entre la force fournie
    par le cycliste et la force restituée consistent en une came qui comporte une surface de transmission de forces servant à modifier
    de façon donnée les caractéristiques de la force fournie aux bras
    de manivelle tournants.
    3. Bicyclette selon la revendication 2, caractérisée par le
    fait qu'elle comprend des organes de changement de vitesse
    commandés par lesdits moyens de correspondance entre la force
    fournie et la force restituée et servant à donner à cette bicyclette toute une gamme de vitesses que l'on peut choisir à volonté.
    4. Bicyclette selon la revendication 3, caractérisée par le
    fait que ces moyens d'entraînement de la roue arrière comprennent
    des organes de changement du rapport de vitesses, permettant de choisir à volonté la vitesse d'entraînement assurée par ces organes
    de changement de vitesse.
    5. Bicyclette selon la revendication 3, caractérisée par le
    fait que ces organes de changement de vitesse comprennent des organes oscillants montés de façon pivotante sur la bicyclette de manière à osciller entre une position arrière et une position avant qui délimitent une gamme utile de transmission de forces.
    6. Bicyclette selon la revendication 5, caractérisée par le fait que les bras de manivelle sont au nombre de deux et sont opposés, dans la direction radiale, par rapport audit arbre, en étant décalés de 180[deg.], et par le fait que lesdites pédales sont
    au nombre de deux, l'une de ces pédales étant associée à l'un des bras de manivelle en vue de transmettre à la roue la force exercée par un pied du cycliste, l'autre pédale étant reliée à l'autre bras de manivelle en vue de transmettre à la roue la force fournie par l'autre pied du cycliste, les cames étant au nombre de-, deux, l'une d'elles étant commandée par l'un des bras de manivelle, tandis que l'autre came est commandée par l'autre bras de manivelle, chacune de ces cames présentant un profil conçu pour transmettre la force desdits bras de manivelle auxdits organes oscillants, à des instants donnés au cours de la rotation des bras de manivelle, et pour faire varier les forces transmises de ces bras de manivelle aux organes oscillants, en fonction de la position angulaire prise par les bras de manivelle au cours de la rotation.
    7. Bicyclette selon la revendication 6, caractérisée par le fait que les organes oscillants sont constitués par deux bras oscillants, l'un de ces bras étant associé à l'une desdites cames tandis que l'autre bras oscillant est associé à l'autre came, et par le fait qu'un second arbre porte de façon pivotante ces bras oscillants, ceux-ci étant conçus de manière à pouvoir osciller par rapport à ce second arbre suivant des arcs égaux, et à pouvoir se déplacer l'un vers l'autre.
    8. Bicyclette selon la revendication 7, caractérisée par le fait que ces bras oscillants sont disposés et conçus pour mettre fin au déplacement de chaque organe oscillant vers l'arrière et amorcer le déplacement vers l'avant, avant que ne soit achevé le déplacement de l'autre organe oscillant vers l'avant, de manière
    à assurer le chevauchement de zones de transmission de forces entre chaque organe oscillant et la roue arrière.
    9. Bicyclette selon la revendication 7, caractérisée par le fait que chacun desdits bras oscillants porte des éléments de liaison mobiles avec lui et servant à transmettre la force du bras oscillant à la roue arrière, et par le fait qu'il est prévu des moyens de réglage associés à ces moyens de liaison et servant à faire varier la position radiale de ces moyens de liaison par rapport aux bras oscillants, de manière à modifier l'amplitude de la rotation de ces éléments de liaison qui leur est communiquée par le mouvement d'oscillation de ces bras oscillants.
    10. Bicyclette selon la revendication 9, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de commande à distance associés à ces moyens de réglage et pouvant être commandés par le cycliste pour assurer simultanément un réglage uniforme de la position radiale de ces éléments de liaison.
    11. Bicyclette selon la revendication 10, caractérisée par le fait que ces moyens de commande à distance comprennent des-, moyens de dégagement associés à ces éléments de réglage et servant à régler la position radiale desdits moyens de liaison au cours du mouvement d'oscillation desdits bras oscillants.
    12. Bicyclette selon la revendication 11, caractérisée par le fait que lesdits moyens d'entraînement de la roue arrière sont au nombre de deux, l'un de ces moyens étant actionné par l'un des bras oscillants tandis que l'autre est actionné par l'autre bras oscillant, ces moyens d'entraînement de la roue arrière étant disposés et conçus pour transmettre tour à tour la force à ladite roue.
    13. Bicyclette selon la revendication 12, caractérisée par le fait que lesdits bras oscillants et.lesdites cames sont disposés et conçus pour assurer un entraînement vers l'avant, avec chevauchement, desdits bras oscillants et desdits moyens d'entraînement de la roue arrière.
    14. Bicyclette selon la revendication 13, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de réglage de l'application des forces, associés auxdits moyens d'entraînement de la roue arrière, de façon à faire varier le rapport de transmission des forces de ces moyens d'entraînement à la roue arrière, afin de permettre de modifier à volonté la gamme de vitesses de la bicyclette.
    15. Bicyclette selon la revendication 14, caractérisée par le fait qu'elle comprend un second moyen de commande à distance, associé à ces moyens de réglage des forces, et commandé par le cycliste, de manière à faire varier simultanément et de façon uniforme le rapport de transmission des forces entre les moyens d'entraînement de la roue arrière et cette roue arrière.
    16. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée sont disposes et conçus de manière à faire varier la résistance opposée par la roue arrière
    à la rotation, en fonction des positions des pédales et par rapport à ces positions.
    17. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait que ces moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée sont disposés et conçus pour faire correspondre de diverses façons la force maxima que le cycliste est capable d'exercer, à la résistance que la roue oppose à la rotation.
    18. Bicyclette selon la revendication 17, caractérisée par le fait que ces moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée sont disposés et conçus pour faire correspondre de diverses façons la force maxima que le cycliste est capable d'exercer, à la résistance minima opposée <EMI ID=88.1>
    19. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait que ces moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée sont disposés et conçus de manière à faire correspondre la force maxima que le cycliste est en mesure d'exercer, au pouvoir maximum de transmission des forces des moyens d'entraînement.
    20. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait que ces moyens de correspondance entre la force fournie par le cycliste et la force restituée sont disposés et conçus pour augmenter le couple disponible sur la roue entre des positions de la pédale correspondant respectivement à une inclinaison d'environ 0[deg.] et une inclinaison d'environ 35[deg.].
    21. Procédé permettant de faire varier l'application de forces au cours de cycles successifs d'un dispositif rotatif ou alternatif d'apport de forces dans une bicyclette, associé à un dispositif rotatif de restitution de forces, ce dispositif d'apport de forces étant soumis à des forces d'amplitude et de directions différentes et subissant une résistance variable de la part du dispositif de restitution de forces au cours de chaque cycle d'apport de forces, comprenant les opérations suivantes :
    on fait varier l'amplitude et la direction des forces apportées au cours de chaque cycle d'apport de forces en faisant varier de façon continue la position radiale et la position angulaire d'application de la force apportée, en -fonction des résistances opposées à ce dispositif d'apport de forces, et l'on entretient en permanence la transmission des forces au dispositif de restitution de forces, pendant chaque cycle d'apport de forces.
    22. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que la force maxima transmise au dispositif de restitution est engendrée pour les positions angulaires d'application de la force exercée par le cycliste dans lesquelles la force apportée est minima.
    23. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que la force maxima transmise au dispositif de restitution est engendrée pour des positions angulaires d'application -de la force fournie par le cycliste, dans lesquelles la force fournie est maxima.
    24. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que l'on choisit les variations d'amplitude-et de direction de la force transmise au dispositif de restitution, en fonction de variations données de la force fournie par le cycliste.
    25. Procédé selon la revendication 24, caractérisé par le fait que ces variations données de la force fournie par le cycliste sont déterminées en fonction des possibilités différentes des cyclistes.
    26. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que l'on fait varier la position de la roue arrière par rapport à la position des pédales au cours de chaque cycle complet d'application de la force exercée par le cycliste, de manière que la résistance opposée par la roue arrière à la rotation soit transmise de façon variable aux pédales d'une façon
    <EMI ID=89.1>
    27. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que l'on diminue l'importance de la force fournie par le cycliste nécessaire pour vaincre la résistance opposée par laroue arrière à la rotation, pour chaque position de la roue arrière au cours d'un cycle complet d'application de forces, tout en faisant varier la position de la roue arrière par rapport à la position des pédales au cours de chaque cycle complet d'apport de forces, de façon que la résistance opposée par la roue arrière
    <EMI ID=90.1>
    cours de chaque cycle complet d'application de forces, d'une façon donnée. - 28. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que l'on fait varier la résistance opposée par la roue arrière à la rotation, en fonction de la position des pédales et par rapport à leur position.
    29. Procédé selon la revendication 21, caractérisé par le fait que l'on associe de façons diverses la force maxima que peut fournir le cycliste, à la résistance opposée par la roue arrière
    à la rotation.
    30. Procédé selon la revendication 29, caractérisé par le fait que l'on associe la force maxima que le cycliste peut exercer, à la résistance maxima'que peut opposer la roue arrière à la rotation. -
    31. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait qu'elle comprend également :
    - un cadre servant à maintenir ladite roue et à porter un cycliste ; - un arbre d'entraînement associé à la roue pour la faire tourner dans un sens, sous l'effet d'une force restituée, - des cames montées sur ce cadre de manière à se déplacer par rapport à celui-ci autour d'un axe parallèle à l'axe de rotation, et associées à chacun des bras de manivelle tournants afin de régler l'application des forces fournies par le cycliste à cet arbre d'entraînement, en fonction de caractéristiques données de transmission de forces ;
    - des moyens oscillants montés sur ce cadre de manière à se déplacer par rapport à celui-ci autour d'un axe d'oscillation, et associés à ces cames pour transmettre les forces fournies par le cycliste à ces moyens oscillants de façon à provoquer l'oscillation de ces derniers en fonction des caractéristiques données de ...
    transmission de forces assurées par ces cames, les moyens d'entraînement de la roue arrière étant associés à l'arbre d'entraînement et à ces moyens oscillants de façon à se déplacer par rapport à cet arbre d'entraînement et à transmettre les forces fournies parle cycliste desdits moyens oscillants aux moyens d'entraînement de la roue arrière, et à appliquer les forces restituées sur ledit arbre d'entraînement, - et des moyens de changement de vitesses associés à ces moyens oscillants et permettant de modifier à volonté la vitesse de ces moyens d'entraînement de la roue arrière, dans une gamme <EMI ID=91.1> 32.
    Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de multiplication du rapport de vitesses, associés à ces moyens d'entraînement de la roue arrière, en vue d'augmenter ou de diminuer la vitesse imprimée aux organes d'entraînement de la roue arrière par ces moyens oscillants dans toute cette gamme de'vitesses.
    33. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisé? par le fait que ces cames sont construites et conçues pour faire varier la vitesse de ces moyens oscillants par rapport à la vitesse de ces bras de manivelle, au cours de chaque cycle complet d'apport de forces.
    34. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues de manière à modifier la vitesse de ces bras de manivelle par rapport au déplacement des moyens oscillants.
    35. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues de manière à faire varier la vitesse relative des bras de manivelle et des moyens oscillants.
    36. Bicyclette selon la revendication 35, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour provoquer la transmission de la force restituée des moyens d'entraînement de la roue arrière audit arbre d'entraînement, cette force restituée étant simultanément tirée des deux bras de manivelle pendant une fraction donnée du cycle d'application de forces.
    37. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer des caractéristiques harmoniques de transmission de forces correspon&#65533;dant aux caractéristiques harmoniques de transmission de forces des bras de manivelle.
    38. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer des caractéristiques harmoniques de transmission de forces inversement proportionnelles aux caractéristiques harmoniques de transmission de forces des bras de manivelle.
    39. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer des caractéristiques variables de transmission de forces correspondant à des caractéristiques variables de transmission de forces de chacun des bras de manivelle, résultant de caractéristiques varia-: blés de transmission de forces par les jambes et les pieds d'un cycliste donné.
    40. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer des caractéristiques de transmission de forces correspondant à des caractéristiques de transmission de forces des bras de manivelle résultant de caractéristiques variables de transmission de forces et de capacités variables des diverses catégories de cyclistes.
    41. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que chacun de ces bras de manivelle tournants est associé audit arbre d'entraînement par des moyens d'entraînement distincts comprenant chacun une de ces cames, un desdits moyens oscillants, un desdits moyens d'entraînement de la roue arrière, et un desdits moyens de changement de vitesse.
    42. Bicyclette selon la revendication 41, caractérisée par lefait qu'elle comprend des moyens de commande à distance montés sur le cadre de la bicyclette et commandés à la main par le cycliste au cours d'un cycle d'apport de forces, ces moyens de commande étant associés à chacun des moyens de changement de vitesse de manière que l'on puisse à volonté modifier la vitesse de chacun des dispositifs d'entraînement de la roue arrière, au cours du même cycle d'apport de forces.
    43. Bicyclette selon la revendication 42, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de,multiplication du rapport de vitesses, associés à chacun des moyens d'entraînement de la roue arrière et servant à augmenter ou à diminuer le rapport de vitesses entre ces moyens d'entraînement de la roue arrière et lesdits moyens oscillants, dans toute la gamme de vitesses assurée par ces moyens de changement de vitesse.
    44. Bicyclette selon la revendication 43, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens complémentaires de commande à distance montés sur le cadre de la bicyclette et commandés à la main par le cycliste au cours d'un cycle complet d'apport de forces, ces moyens complémentaires étant reliés à chacun desdits moyens de multiplication de façon que l'on puisse à volonté modifier le rapport de vitesses entre chacun des moyens d'entraînement de la roue arrière et chaque moyen oscillant correspondant, au cours du même cycle d'apport de forces.
    45. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces moyens oscillants comprennent un bras de traction dirigé verticalement vers le haut par rapport à l'axe d'oscillation et mobile-'entre une position limite arrière et une position limite avant par rapport à la roue arrière, lesdits moyens d'entraînement de la roue arrière étant reliés à ce bras de traction et pouvant
    se déplacer avec lui pour provoquer une rotation unidirectionnelle dudit arbre d'entraînement au cours du déplacement de ce bras de traction de ladite position limite arrière à ladite position limite avant.
    46. Bicyclette selon la revendication 45, caractérisée par le fait que les moyens d'entraînement de la roue arrière sont construits et conçus de manière à effectuer un déplacement alternatif par rapport à cet arbre d'entraînement. -
    47. Bicyclette selon la revendication 46, caractérisée par le fait que ces cames et ces moyens oscillants sont construits et conçus pour donner à ces moyens d'entraînement de la roue arrière un mouvement alternatif de vitesse variable.
    48. Bicyclette selon la revendication 45, caractérisée par le fait que ces moyens de changement de vitesse comprennent un élément de liaison réglable dans la direction radiale, monté sur ce bras de traction de manière à être réglé radialement, vers l'intérieur et vers l'extérieur, par rapport à l'axe d'oscillation, cet élément de liaison réglable étant relié aux moyens d'entraînement de la roue arrière.
    49. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces moyens d'entraînement de la roue arrière comprennent un mouflage qui comporte un élément de transmission de forces animé d'un mouvement de va-et-vient, associé audit arbre d'entraînement.
    50. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames comprennent :
    - une plaque tournante fixée sur les bras de manivelle de manière à tourner avec eux ; - un profil de came, sur cette plaque, ayant une relation fixe donnée avec à ces bras de manivelle, et - un guide-came associé à ces moyens oscillants et qui peut venir au contact de cette surface de came de manière à maintenir une position relative variable entre ces moyens oscillants et les bras de manivelle au cours d'un cycle complet d'apport de forces.
    51. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames comprennent : - un profil de came fixé sur ces moyens oscillants de manière à osciller avec eux et ayant une position donnée par rapport à ces bras de manivelle, et - une came reliée aux bras de manivelle et ayant une position fixe par rapport à ces bras, la came d'entraînement pouvant venir au contact dudit profil de came sur les moyens oscillants de façon à entretenir une position relative variable donnée entre
    les moyens oscillants et les bras de manivelle au cours d'un
    cycle complet d'apport de forces.
    52. Bicyclette selon la revendication 31, caractérisée par le fait que ces cames comprennent :
    - une came d'entraînement associée aux bras de manivelle,' entraînée par ces bras et ayant une position fixe par rapport à ceux-ci, et - une came menée associée à ces moyens oscillants et qui peut venir au contact de cette came d'entraînement, de manière à entretenir une position relative variable donnée entre les moyens oscillants et le bras de manivelle au cours d'un cycle complet d'adpport de forces.
    53. Bicyclette selon la revendication 52, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer une transmission de la force restituée des moyens d'entraînement de
    la roue arrière à l'arbre d'entraînement, cette force restituée étant tirée simultanément de chacun des bras de manivelle, au cours d'une partie donnée de chaque cycle d'apport de forces.
    54. Bicyclette selon la revendication 53, caractérisée par le fait que ces cames sont construites et conçues pour assurer des caractéristiques de transmission de forces correspondant à des caractéristiques de transmission de forces des bras de manivelle, résultant des caractéristiques variables de transmission de forces et des diverses possibilités des cyclistes.
    55. Bicyclette selon la revendication 45, caractérisée par le fait que ledit bras de traction comporte une surface de transmission de forces orientée radialement et de forme allongée, tournée vers l'avant, par le fait qu'il est prévu des moyens de préhension sur cette surface de transmission de forces, pour saisir lesdits moyens de changement de vitesses, ces moyens de changement de vitesse comprenant un élément de liaison coulissant muni de moyens de préhension dirigés vers l'arrière, destinés à venir en prise avec les moyens de préhension de la surface de transmission de forces, et par le fait qu'il est prévu un câble relié à cet élément de liaison coulissât et permettant de dégager, à volonté, les moyens de préhension et de régler radialement la position de cet élément de liaison coulissant le long de ladite surface de transmission de forces.
    56. Bicyclette selon la revendication 45, caractérisée par le fait que lesdits moyens oscillants comprennent :
    - un bras dirigé transversalement par rapport audit bras de traction et un galet monté sur ce bras, ladite came comprenant : - une plaque rotative fixée sur les bras de manivelle de manière à tourner avec'eux et, sur ladite plaque, une surface de came ayant une relation donnée fixe avec.les bras de manivelle, ledit galet étant au contact de la surface de came de manière à entretenir une position relative variable donnée entre les éléments oscillants et les bras de manivelle au cours d'un cycle complet d'apport de forces.
    57. Bicyclette selon la revendication 56, caractérisée par le fait que chacun des bras de manivelle tournants est relié à l'arbre d'entraînement par des moyens d'entraînement distincts, comprenant chacun une desdites cames, un desdits moyens oscillants, un desdits moyens d'entraînement de la roue arrière, et, un desdits moyens de changement de vitesse.
    58. Bicyclette selon la revendication 1, caractérisée par le fait qu'elle comprend :
    - un cadre servant à maintenir les éléments de la bicyclette, les moyens d'entraînement de la roue arrière étant montés sur ce cadre pour provoquer la rotation de cette roue arrière ; - des bras de manivelle tournant sur ce cadre et ayant un axe de rotation parallèle à l'axe de rotation de la roue, pour appliquer des forces d'apport harmoniques en vue de faire avancer la bicyclette au cours d'un cycle complet d'apport de forces, - des cames mobiles ayant un axe de rotation parallèle à l'axe de rotation des bras de manivelle, montées sur le cadre de la bicyclette tout près des bras de manivelle et commandées par ces derniers pour transmettre les forces de ces bras de manivelle aux moyens d'entraînement de la roue arrière,
    - des éléments oscillants mobiles ayant un axe d'oscillation et montés sur le cadre de la bicyclette tout près desdites cames de manière à agir avec ces cames et à osciller entre une position limite arrière et une position limite avant de manière à transmet-tre les forces desdites cames aux moyens d'entraînement de la
    roue arrière, les caractéristiques harmoniques normales de la force transmise par la rotation des bras de manivelle étant modifiées par ces cames de manière à déplacer de façon variable ces moyens oscillants en fonction de caractéristiques de transmission de forces données, autres que les caractéristiques harmoniques normales de forces, et
    - un premier moyen de liaison dont on peut à volonté régler la position radiale sur les moyens oscillants de façon à relier ceux-ci aux moyens d'entraînement de la roue arrière et à assurer toute une gamme de vitesses de rotation variables à donner aux moyens d'entraînement de la roue arrière, et à transmettre, des forces, en fonction desdites caractéristiques de transmission de forces données, aux moyens d'entraînement de la roue arrière.
    59. Bicyclette selon la revendication 58, caractérisée par le fait que ces moyens oscillants et ces cames ont un axe de déplacement commun.
    60. Bicyclette selon la revendication 59, caractérisée par le fait que ces cames comprennent une surface de came montée sur les moyens oscillants et mobiles avec ceux-ci.
    61. Bicyclette selon la revendication 60, caractérisée par le fait que cette surface de came est de forme allongée.
    62. Bicyclette selon la revendication 58, caractérisée par le fait qu'elle comprend :
    - un galet associé aux bras de manivelle et tournant avec eux, pour transmettre les forces fournies par le cycliste des bras de manivelle auxdites cames, et - un galet tournant ayant un axe de rotation parallèle à l'axe de rotation des bras de manivelle et porté par ledit bras de galet pour transmettre les forces fournies par le cycliste de ce bras de galet auxdites cames.
    63. Bicyclette selon la revendication 62, caractérisée par le fait que ces cames et ces moyens oscillants sont d'un seul bloc
    et comprennent :
    - un bras de traction dirigé radialement vers le haut et vers l'extérieur par rapport audit axe commun de déplacement ; - une surface de transmission de forces, de forme allongée et dirigée vers l'avant, sur ledit bras de traction, dirigée radialement et vers l'extérieur par rapport audit axe commun de déplacement, lesdits premiers moyens de liaison étant montés sur ce bras <EMI ID=92.1>
    transmission de forces en diverses positions radiales que l'on peut choisir à volonté, pour transmettre la force aux moyens d'entraînement de la roue arrière et pour assurer la gamme de vitesses variables de rotation de la roue arrière de la bicyclette ;
    - un bras de came dirigé radialement vers l'extérieur et vers l'avant par rapport audit axe commun de pivotement ; - une surface de came de forme allongée dirigée vers l'avant sur ledit bras de came, pouvant venir au contact dudit galet et ayant pour rôle, pendant le déplacement vers l'arrière et vers le haut de ce galet, de faire passer ledit bras de traction de la position limite arrière à la position limite avant ;
    - un canal de guidage de galet disposé le long de cette surface de came tournée vers l'avant et, - une surface de came de forme allongée, dirigée vers l'arrière, sur ledit bras de came, pouvant venir au contact de ce galet et ayant pour rôle, au cours du déplacement de ce galet vers l'avant et vers le haut, d'entraîner ce bras de traction vers la position limite avant, une partie de ce canal de guidage de-galet étant disposée le long de cette surface de came tournée vers l'arrière.
    64. Bicyclette selon la revendication 58, caractérisée par le fait que ledit cadré comprend :
    - une première paire d'éléments de cadre parallèles et horizontaux, disposés entre les bras de manivelle et les moyens d'entraînement de la roue arriêre ; - une seconde paire d'éléments de cadre parallèles et verticaux, dirigés vers le haut à partir de l'axe de rotation de. ces bras de manivelle ; - une troisième paire d'éléments de cadre parallèles et verticaux, partant vers lé haut des éléments d'entraînement de la roue arrière ; - cette première, cette seconde et cette troisième paires d'éléments de cadre parallèles délimitant une cavité destinée à recevoir les moyens d'entraînement, les cames, les moyens oscillants, les moyens de liaison et les moyens d'entraînement de la roue arrière étant logés dans cette cavité.
    65. Bicyclette selon la revendication 64, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de protection montés sur le cadre et recouvrant les ouvertures latérales entre la première, la seconde et la troisième paires d'éléments de cadre de manière à empêcher tout contact accidentel du cycliste avec les moyens d'entraînement.
    66. Bicyclette selon la revendication 65, caractérisée par le fait que ces moyens de protection consistent en une série d'éléments de forme allongée constituant des rayons de roue.
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