BE832197A - N-(2,2-difluoroalcanoyl)-0-phenylenediamines substituees sur le noyau - Google Patents

N-(2,2-difluoroalcanoyl)-0-phenylenediamines substituees sur le noyau

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BE832197A
BE832197A BE1006816A BE1006816A BE832197A BE 832197 A BE832197 A BE 832197A BE 1006816 A BE1006816 A BE 1006816A BE 1006816 A BE1006816 A BE 1006816A BE 832197 A BE832197 A BE 832197A
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A61MEDICAL OR VETERINARY SCIENCE; HYGIENE
    • A61QSPECIFIC USE OF COSMETICS OR SIMILAR TOILETRY PREPARATIONS
    • A61Q19/00Preparations for care of the skin

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  • Veterinary Medicine (AREA)
  • Organic Low-Molecular-Weight Compounds And Preparation Thereof (AREA)
  • Agricultural Chemicals And Associated Chemicals (AREA)

Description


   <EMI ID=1.1> 

  
Ces composés sont utilisables comme herbicides, insecticides, parasiticides, agents anthelmintiques et nématocides.

  
Le contrôle des parasites chez l'animal est l'un des plus vieux et des plus importants problèmes des industries d'élevage.

  
De nombreux types de parasites affligent en fait toutes les espèces animales. La plupart des animaux sont atteints par des parasites volant librement tels que des mouches, des ectoparasites rampant tels que des poux et des mites, des parasites fouisseurs tels que des larves d'oestre et des larves blanches, et des endoparasites microscopiques tels que les coccidies, de même que par des endoparasites plus importants tels que des vers. Par conséquent, le contrôle des parasites même chez une seule espèce d'hôtes, est un problème complexe et qui comporte de nombreux aspects.

  
Les parasites du type insectes ou du type acarien qui

  
consomment les tissus vivants de l'animal parasité sont particulièrement nuisibles. Le groupe comprend des parasites de tous

  
les animaux importants sur le plan économique, comprenant des mammifères ruminants et monogastriques, et la volaille, et des animaux de compagnie tels que les chiens.

  
On a essayé de nombreux procédés pour maîtrise* de tels parasites. On a pratiquement éliminé le ver taraudeur en Floride en mettant en liberté un grand nombre de lucilies mâles stériles.

  
Il est évident que le procédé est applicable seulement à une surface facilement isolée. On maîtrise habituellement les insectes volants par des procédés de routine tels que des insecticides dispersés dans l'air et des insecticides de contact et des attrapemouches. On maîtrise habituellement des parasites se logeant dans

  
la peau et les parasites rampants, en plongeant, en immergeant, ou en pulvérisant les animaux avec des parasiticides appropries.

  
On a réalisé quelques progrès dans la maîtrise systématique de certains parasites, plus particulièrement ceux qui s'infiltrent ou migrent â travers l'animal parasite. On réalise une maîtrise systématique des parasites des animaux en faisant absorber un parasiticide par le flot sanguin ou par d'autres tissus de l'animal parasité. Les parasites qui consomment le tissu contenait

  
 <EMI ID=2.1> 

  
par ingestion, soit par contact. On a trouvé que quelques insec-

  
 <EMI ID=3.1>   <EMI ID=4.1>  systématiquement chez les animaux.

  
Rurnanowski, dans le brevet des E.U.A. N[deg.] 3 557 211, décrit

  
 <EMI ID=5.1> 

  
pour le contrôle des plantes, des insectes et des fungi.

  
Un des objets de la présente invention est de fournir des composés qui sont des parasiticides systématiques efficaces.

  
La présente invention concerne de nouveaux composés de

  
 <EMI ID=6.1> 

  
noyau de formules :

  

 <EMI ID=7.1> 


  
formules dans lesquelles

  
 <EMI ID=8.1> 

  
0

  
le
-C-CF--Y, formule dans laquelle Y est l'hydrogène, le chlore, le <EMI ID=9.1> 

  
ou un radical de formule

  

 <EMI ID=10.1> 


  
radical dans lequel chaque Z indépendamment est l'hydrogène ou un atome d'halogène et n est égal à 0 ou 1 ; 

  
R<1> est

  
l'hydrogène, 0

  
"1 

  
un radical de formule -C-O-Y dans laquelle y est un

  
 <EMI ID=11.1>   <EMI ID=12.1> 

  
 <EMI ID=13.1> 

  
 <EMI ID=14.1> 

  
furoyle

  
naphtoyle, ou

  
benzoyle substitue de formule

  

 <EMI ID=15.1> 


  
formule dans laquelle chaque Z' est indépendamment un reste halogène ou nitro, Z" est un groupement alkyle en C.-C. ou un

  
 <EMI ID=16.1> 

  
la somme de p et de q est comprise entre 1 et 3 ;

  
R<2> est 

  
Po

  
Rl

  
 <EMI ID=17.1> 

  
 <EMI ID=18.1> 

  
un groupement alcynoyle en C3-C4 

  
un groupement alcanoyle en C2-C4 halogéné portant en une position ou en des positions un ou plusieurs atomes d'halogène, chacun choisi indépendamment, en étant soumis à la limitation que la position alpha porte au moins un substituant choisi dans le groupe comprenant l'hydrogène et un halogène d'un poids atomique de 35 à 127, ces deux valeurs étant comprises ;

  
 <EMI ID=19.1> 

  
R4 est le reste nitro ;

  
 <EMI ID=20.1> 

  
difluorochlorométhyle, et dans les composés de formule II, R4 et

  
 <EMI ID=21.1> 

  
 <EMI ID=22.1> 

  
 <EMI ID=23.1> 

  
 <EMI ID=24.1> 

  
m est compris entre 0 et 4 ;

  
n est égal a 0 ou 1 ; et dans les composés de formule I, la somme de m et de n est un nombre entier compris entre 1 et 4 ;

  
 <EMI ID=25.1> 

  
l'hydrogène, la position ortho sur le noyau par rapport au groupe <EMI ID=26.1>  

  
 <EMI ID=27.1> 

  
 <EMI ID=28.1> 

  
le groupement 2,2-difluoroalcanoyle caractéristique dans le produit de départ correspondant approprié diamine. On peut réaliser l'introduction de ce groupement selon l'une quelconque des nombreuses réactions d'acylation disponibles, eu utilisant l'un quelconque des quelques types d'agents d'acylation de formule 

  

 <EMI ID=29.1> 


  
formule dans laquelle Y est défini tel que ci-dessus, ou son dérivé actif. L'identité de l'agent d'acylation n'est pas critique ; des agents d'acylation appropriés comprennent des halogénures de

  
 <EMI ID=30.1> 

  

 <EMI ID=31.1> 


  
 <EMI ID=32.1> 

  

 <EMI ID=33.1> 


  
formules dans lesquelles Y est défini comme ci-dessus. On peut varier les produits de départ diaminés avec lesquels on pratique la réaction d'acylation.

  
Ainsi, un procédé de préparation des composés de formules I, II et III comprend l'acylation d'un composé choisi dans le groupe comprenant les composés de formules :

  

 <EMI ID=34.1> 
 

  
 <EMI ID=35.1> 

  
comme ci-dessus, avec un agent d'acylation de formule

  

 <EMI ID=36.1> 


  
formule dans laquelle Y est défini comme ci-dessus ou son dérivé actif. 

  
Dans le cas des composés de formules I, II et III dans lesquelles R <1> est l'hydrogène, ou dans lesquelles R2 est soit

  
 <EMI ID=37.1> 

  
 <EMI ID=38.1> 

  
suivantes : 

  

 <EMI ID=39.1> 


  
 <EMI ID=40.1> 

  
forme d'hydrogène) ou bien on introduit deux groupements

  
0 

  
 <EMI ID=41.1> 

  
 <EMI ID=42.1> 

  
et R2 est un autre reste que l'hydrogène ou le même groupement

  
 <EMI ID=43.1> 

  
départ approprie de diamine est un composé portant déjà la fraction

  
 <EMI ID=44.1>  

  

 <EMI ID=45.1> 


  
formules dans lesquelles les symboles sont définis comme ci-dessus, et on introduit de la même manière le groupement caractéristique

  
 <EMI ID=46.1> 

  
un groupement 2,2-difluoroalcanoyle différent de celui représenté

  
 <EMI ID=47.1> 

  
des autres.

  
Bien que les voies de synthèses décrites ci-dessus soient convenables et qu'on les préfère, on peut encore utiliser d'autres voies. Ainsi, par exemple, dans le cas où R est un groupement acyle différent d'un radical 2,2-difluoroalcanoyle, on introduit sans inconvénient le groupement R dans certains cas après que

  
 <EMI ID=48.1> 

  
de l'effet d'activation sur l'acylation des atomes de fluor en alpha, on préfère généralement que les groupements autres que le groupement 2,2-difluoroalcanoyle soient déjà présents lorsque l'on introduit ce groupement. Dans le cas où R<2> est le groupement formyle, on réalise l'acylation avec un anhydride mixte d'acide acétique et d'acide formique. Dans une autre variante, on peut utiliser d'autres agents d'acylation grâce auxquels on introduit des groupements formyle. 

  
La préparation des amides par acylation des amines correspondantes à l'aide de différents agents d'acylation est un procédé de synthèse connu. On réalise les préparations de la présente invention selon les modes opératoires connus pour réaliser ce  <EMI ID=49.1> 

  
procédé. Ainsi, lorsque l'agent d'acylation est un anhydride, la réaction s'effectue convenablement à la température ambiante ;

  
on peut utiliser un solvant qui peut âtre un excès d'anhydride

  
 <EMI ID=50.1> 

  
Lorsqu'on utilise un halogénure d'acyle comme agent d'acylation, on réalise nécessairement la réaction en présence d'un accepteur d'acide halohydrique et de préférence en présence d'un solvant inerte, et il est préférable de refroidir le mélange réactionnel,

  
 <EMI ID=51.1> 

  
d'acylation, on sépare le produit selon des modes opératoires conventionnels, et on peut le purifier si on le désire, également selon des modes opératoires conventionnels.

  
Dans l'intérêt de l'unité/ on nomme lorsque c'est possible,

  
 <EMI ID=52.1> 

  
diamines. Selon la pratique courante de la nomenclature, l'identification des différentes positions de substitution est la suivante : 

  

 <EMI ID=53.1> 


  
Quand l'un ou l'autre des atomes d'azote porte un substituant

  
 <EMI ID=54.1> 

  
de position sur le noyau sont identifiés par des indices prime pour les distinguer des numéros des positions sur le substituant

  
 <EMI ID=55.1> 

  
 <EMI ID=56.1> 

  
et III, de même que généralement dans la description et les revendications de la présente invention, chacun des termes "halo" et "halogène", quand ils ne sont pas qualifiés et lorsqu'ils sont utilisés soit seuls soit dans le terme composé "groupement alcanoyle halogéné", désignent seulewant les atomes de brome, de chlore, de fluor ou d'iode.

  
Un trait structurel essentiel et distinctif des composés de

  
 <EMI ID=57.1> 

  
des exemples représentatifs de tels radicaux comprennent les radicaux suivants :

  
 <EMI ID=58.1>   <EMI ID=59.1> 

  
2,2-difluoropropionyle

  
2,2-difluorobutyryle

  
2,2-difluoro-3-bromopropionyle

  
2,2-difluoro-3-chloroprcpionyle

  
 <EMI ID=60.1> 

  
 <EMI ID=61.1> 

  
 <EMI ID=62.1> 

  
propionyle.

  
On prépare les produits de départ du'on utilise selon la présente invention par des procédés connus, et certains d'entreeux sont des produits commercialement disponibles. On prépare les produits de départ qui répondent aux formules

  

 <EMI ID=63.1> 


  
par un certain nombre d'étapes de synthèse autant qu'il est nécessaire pour introduire les radicaux requis. D'une manière très

  
 <EMI ID=64.1> 

  
mation d'un groupement halo. De même, on peut introduire le groupement ou les groupements arnino par nitration et réduction ultérieure. On réalise généralement et d'une manière très commode  <EMI ID=65.1> 

  
ces différentes étapes de synthèse avec des produits de départ

  
 <EMI ID=66.1> 

  
on préfère parfois introduire simultanément ces substituants, lorsque, par exemple, ce sont les restes nitro ou halo, avec les étapes de synthèse donnant lieu à l'introduction des groupements amino.

  
 <EMI ID=67.1> 

  
on nitre le benzène tëtrasubstitué correspondant à chacune des positions ortho restantes, puis on réduit les groupements nitro. On prépare facilement une 3-nitro-diamine substituée en 5 dans laquelle le substituant est le groupement cyano ou alkylsulfonyle, par nitration de 2-hydroxynitrobenzène substitué en 5 pour introduire un groupement nitro en position 3, suivie de la transformation du groupement hydroxy en un groupement chloro, amination, et réduction sélective.

  
 <EMI ID=68.1> 

  
 <EMI ID=69.1> 

  
 <EMI ID=70.1> 

  
radical R requis. On prépare ces produits de départ eux-mêmes, à partir de la diamine de départ correspondante ci-dessus, par réaction avec un halogénure d'acyle approprié ou, dans le cas où

O

  
 <EMI ID=71.1> 

  
R ou R représente -C-Y', avec un haloformiate d'alkyle inférieur ou de phényle approprié. Toutefois, dans une autre variante, on peut préparer ces produits de départ à partir des o-nitroanilines :

  

 <EMI ID=72.1> 
 

  
 <EMI ID=73.1> 

  
bien connus dans l'art antérieur.

  
Tous les composés de formules I, II et III sont adaptés pour être utilisés en tant que herbicides . On peut utiliser ces composés pour obtenir une action herbicide large ; par conséquent, dans son sens le plus large, la présente invention concerne un procédé d'application sur une partie de plante, qui peut être une

  
 <EMI ID=74.1> 

  
ou d'autres unités semblables de reproduction d'une plante, d'une quantité inhibitrice de croissance d'un des composés de (2,2difluoroalcanoyle)-o-phênylèncdiamine substitués sur le noyau de formule I, II ou III. Cependant, on peut également utiliser ces composés pour tirer profit des types sélectifs d'activité herbicide. Comme il apparaîtra évident aux techniciens, on peut également utiliser un mélange de plus d'un des composés pour obtenir une action herbicide. Lorsqu'on utilise un mélange, il faut diminuer d'une manière appropriée la quantité de chaque composé individuel de telle sorte que le mélange fournisse l'effet herbicide souhaité.

  
Il n'est pas critique pour l'utilité herbicide des composés que l'on obtienne une destruction complète de la végétation indésirable, celle-ci étant suffisante si on inhibe simplement la

  
croissance de la végétation indésirable. Plus particulièrement lorsqu'on recherche une action sélective, l'inhibition n'atteignant pas la destruction réelle est suffisante, plus particulièrement lorsqu'elle est combinée avec des conditions naturelles telles qu'une humidité limitée, qui affectent d'une manière plus néfaste la végétation inhibée d'une manière sélective que les plantes cultivées.

  
 <EMI ID=75.1> 

  
large variété d'applications herbicides. Ainsi, par exemple, à

  
des taux qui permettent l'action sélective des composés, lesquels taux sont définis complètement: ci-après, on peut utiliser les composés comme herbicides sélectifs pour des plantes agricoles telles que, par exemple, le coton, le mais, le sorgho et le soja. Dans une telle utilisation, on peut réaliser une application en pré-émergence à la fois sur les plantes et sur les mauvaises herbes, ou, de préférence au moyen d'une technique d'application directe par pulvérisations, en post-émergence sur les plantes cultivées et à la fois en pré-émergence et en post-émergence sur les mauvaises herbes. 

  
Dans une autre application, on peut utiliser les composés de formule I, II et III pour obtenir une action herbicide large sur des terrains non cultivés, comprenant des bandes non cultivées entre les terrains cultivés selon les courbes de niveaux. Pour l'utilisation telle que celle sur des terrains en jachère, on peut réaliser l'application au printemps pour éviter la croissance végétative jusqu'à la plantation de l'automne ou du printemps suivant pu à l'automne pour arrêter la croissance végétative jusqu'à la plantation de printemps ou de l'automne suivant ; dans une autre application, on peut utiliser ce composé pour maîtriser les mauvaises herbes dans des plantations d'arbres, telles que des plantations de différentes variétés de citrus.

   Dans chacune de ces différentes applications, et pour d'autres applications pour lesquelles les composes de la présente invention sont appropriés, un autre avantage est que les composés n'ont pas besoin d'être enfouis dans le sol à traiter, l'application étant suffisante

  
si on répand simplement un des composés, ou une formulation contenant un des composés sur la surface supérieure. Cependant, on peut également enfouir les composés ou bien les mélanger mécaniquement avec la terre si on le désire ou si cela convient.

  
En plus des modes de mise en oeuvre précédents sur terre,.on peut

  
également utiliser les composés de la présente invention en tant qu'herbicides aquatiques.

  
On peut dans certains cas, réaliser l'utilisation des composés de formules I, II et III en tant qu'herbicides à l'aide du composé non modifié ; cependant, pour obtenir de bons résultants, il est en général nécessaire d'utiliser le composé sous une forme modifiée, c'est-à-dire, sous forme d'un composé entrant dans une composition formulée pour remplir son rôle d'inhibition de la croissance. Ainsi, par exemple, on peut mélanger l'agent actif avec de l'eau ou un autre liquide ou d'autres liquides, de préférence à l'aide d'un agent surfactif. On peut également incorporer l'agent actif sur

  
un solide finement divisé, qui peut être une substance tensio.active, pour obtenir une poudre mouillable, que l'on peut ensuite <EMI ID=76.1> 

  
partie d'une poudre que l'on peut appliquer directement. On connaît dans la technique d'autres façons de préparer des formulations, et on peut les utiliser pour ces composés.

  
La quantité exacte d'agent actif utilise n'est pas critique et elle varie en fonction du type d'effet d'inhibition de croissance  <EMI ID=77.1>  général, on obtient un large effet d'inhibition de croissance à des taux de 0,57 à 22,7 ou plus d'agent actif par hectare, et de tels taux sont appropriés et efficaces pour la maîtrise de la croissance de la végétation sur des terrains en jachère. Lorsque l'on souhaite un effet sélectif d'inhibition de croissance sur des mauvaises herbes sur des surfaces contenant des plantations agricoles comme le mais, le soja et le coton, des taux de 0,57

  
à 11,3 kg donnent en général de bons résultats. Lorsque dans le mode typique de mise en oeuvre, on utilise l'agent actif sous la forme d'une composition contenant l'agent, la concentration exacte de l'agent actif dans la composition n'est pas critique, sauf que la concentration et la quantité totale de formulation utilisées doivent être suffisantes pour donner la quantité appro-

  
 <EMI ID=78.1> 

  
résultats lorsqu'on utilise des formulations contenant l'agent actif à une concentration de 0,5 à 10 % ou plus, dans le cas et'une

  
 <EMI ID=79.1> 

  
dans le cas d'une poudre, d'un produit pulvérulent, d'un granulé ou

  
d'une autre formulation sèche. On peut préparer des formulations plus concentrées et on les préfère souvent en ce sens qu'elles peuvent servir, en fonction de l'application particulière envisagée et de la concentration particulière, tant comme formulation concentrée en vue du transport ou du stockage, que comme composition finale de traitement. Ainsi, par exemple, des formulations contiennent souvent de préférence un agent surfactif et l'agent actif de la présente invention, ce dernier étant présent en quantités comprises entre 0,5 et 99,5 % en poids, ou un solide inerte finement divisé, et l'agent actif de la présente invention, ce dernier étant présent en quantités de 1,0 à 99 % en poids.

   On peut utiliser directement de telles formulations comme on l'a indiqué pour certaines applications, nais on peut également les diluer et ensuite les utiliser dans de nombreuses applications.

  
On prépare les compositions liquides contenant les quantités souhaitées d'agent actif en dissolvant le produit dans un liquide organique ou en dispersant le produit dans l'eau avec ou sans l'aide d'un agent de dispersion surfactif approprié tel qu'un agent émulsifiant ionique ou non ionique. De telles compositions peuvent également contenir des substances de modification qui interviennent  <EMI ID=80.1> 

  
 <EMI ID=81.1> 

  
feuillage de la plante. Des supports organiques liquides appropriés comprennent des huiles pour pulvérisation agricole et des distillats de pétrole tels que du combustible pour diesel, du kérosène, des naphtas d'huile de combustion, et du solvant Stoddard. Parmi de tels liquides, on préfère généralement les distillats de pétrole. Les compositions aqueuses peuvent contenir un ou plusieurs solvants, non miscibles à l'eau, du composé toxique.

  
Dans de telles compositions, le support comprend une émulsion aqueuse comme par exemple un mélange d'eau, d'un agent émulsifiant et d'un solvant non miscible à l'eau. Le choix de l'agent de dispersion et de l'agent d'émulsification et leurs quantités utilisées sont dictés par la nature de la composition et par l'aptitude de l'agent à faciliter la dispersion de l'agent actif dans le support pour donner la composition souhaitée. Des agents

  
 <EMI ID=82.1> 

  
utiliser dans les compositions comprennent les produits de condensation des oxydes d'alkylêne avec des phSnols et acides organiques, des alkylarylsulfonates, des dérivés de polyoxy-

  
 <EMI ID=83.1> 

  
Des exemples représentatifs d'agents surfactifs qui sont utilisés

  
d'une manière appropriée dans la réalisation de la présente

  
 <EMI ID=84.1> 

  
deuxième colonne, lignes 25-36 ; 2 655 447, colonne 5 ; et

  
2 4110 colonnes 4 et 5.

  
Dans la préparation des compositions de saupoudrage, on disperse intimement le composé actif de formules I, II ou III

  
sur un support solide finement divisé tel que l'argile, le talc,

  
le gypse, le calcaire, des fines de vermiculite, de la perlite. Dans un procédé de réalisation d'une telle suspension, on mélange ou

  
on broie mécaniquement le support finement divisé avec l'agent actif.

  
D'une manière semblable, on peut préparer des compositions

  
de saupoudrage contenant les composés toxiques, avec différents agents de dispersion surfactifs solides tels que de la bentonite, la terre de diatomées, de l'attapulgite et d'autres argiles. En fonction des proportions des ingrédients, on peut utiliser ces compositions de saupoudrage en tant que concentrés puis ensuite

  
les diluer avec des agents de dispersion solides tensio-actifs supplémentaires ou avec de la craie, du talc ou du gypse pour  <EMI ID=85.1> 

  
adaptée pour être utilisée pour la suppression de la croissance des plantes. De même, on peut disperser de telles compositions de saupoudrage dans l'eau avec ou sans l'aide d'un agent de dispersion, pour donner des mélanges de pulvérisation.

  
On peut souvent en plus modifier avantageusement des formulations contenant les agents actifs de la présente invention de formules I, II ou III en y incorporant une quantité efficace d'un agent surfactif qui facilite la dispersion et l'épandage de

  
la formulation sur la surface de la feuille de la plante et l'introduction de la formulation dans la plante.

  
On peut disperser l'agent actif dans la terre ou dans un autre milieu de croissance d'une manière convenable. On peut réaliser les applications en mélangeant avec les milieux, en appliquant sur la surface de la terre puis ensuite en bêchant ou

  
en introduisant dans la terre à la profondeur souhaitée, ou en utilisant un support liquide pour réaliser la pénétration et l'imprégnation. On peut réaliser l'application par pulvérisation

  
des compositions de saupoudrage sur la surface de la terre, ou sur des parties de plantes ou sur des surfaces aériennes de plantes

  
par tout procédé conventionnel, comme par exemple, des pulvérisateurs à poudre, des saupoudreurs et des pulvérisateurs à perche et à main, soit par voie aérienne, ou par voie terrestre. Toutefois, bien que l'on puisse utiliser de tels modes conventionnels d'application, ils se sont pas nécessaires. Un avantage des composés de formules I, II et III est qu'ils sont actifs et efficaces en tant qu'herbicides lorsqu'on les place simplement à

  
la surface du sol, sans étape additionnelle pour faciliter l'incorporation. Par conséquent. les composés sont d'une efficacité essentiellement équivalente en ce qui concerne leur application soit par dépôt sur la surface, soit par dépôt sur la surface puis ensuite introduction dans la terre.

  
On peut également réaliser la répartition de l'agent actif

  
dans la terre en introduisant l'agent dans l'eau utilisée pour

  
irriguer la terre. Dans de tels procédés, la quantité d'eau varie avec la porosité et la capacité de rétention d'eau du sol pour obtenir la profondeur désirée de répartition de l'agent.

  
Les composés de formules I, II et III présentent une toxicité faible vis-à-vis des mammifères par rapport à la toxicité correspondante des benzimidazoles. En plus, on peut disperser les   <EMI ID=86.1> 

  
d'aérosol contenant comme composé actif un ou plusieurs des agents actifs de la présente invention. On prépare une telle composition selon des procédés conventionnels dans lesquels on disperse l'agent dans un solvant, et on mélange la dispersion résultante avec un agent de propulsion à l'état liquide. Des paramètres tels que l'agent particulier à utiliser et la nature de la végétation que l'on doit traiter déterminent l'opportunité du solvant et la concentration de l'agent dans ce solvant. Des exemples de solvants appropriés sont l'eau, l'acétone, l'isopropanol et le 2-éthoxyéthanol.

  
On obtient des résultats satisfaisants lorsque l'on combine l'agent actif de formules I, II ou III, ou une composition comprenant un tel agent actif avec un autre produit agricole à appliquer sur des plantes, des parties de plantes -ou leur habitat.

  
De tels produits comprennent des engrais, des fongicides, des insecticides, d'autres herbicides, et des agents d'amendement de la terre.

  
On a estimé un certain nombre des composés de formules I, II ou III à utiliser comme agents herbicides actifs du point de vue de l'application de pré-émergence sur certaines espèces de plantes.

  
Dans cette évaluation, on a préparé une terre comprenant une partie de sable à mortier et une partie de terreau désagrégé mélangés dans une bétonnière. On place 3,8 litres de cette terre sur un plateau galvanisé de dimensions 25x35 cm et on la tapote à l'aide d'un balai jusqu'à mise à niveau. On utilise un appareil à tracer à trois rangs pour préparer des sillons d'une profondeur de 2,5 cm sur environ les 2/5 de la surface de plateau. On place dans ces sillons des graines de récoltes constituées de 4 graines de mais, de 5 graines de coton et de 5 graines de soja.

   On place ensuite sur la terre restante un gabarit à 4 rangs et on plante le nombre approximatif indiqué de chacune des graines suivantes, un type pour chaque section : millet (80 à 100 graines) ; abutilon (40 à 50 graines) ; amaranthe réfléchie (150 à 250 graines) et digitaire sanguinelle (100 à 150 graines).

  
On ajoute suffisamment de terre pour recouvrir le plateau entier. Ainsi, on recouvre les graines de mauvaises herbes avec

  
 <EMI ID=87.1> 

  
hauteur de 3 cm.

  
En essayant l'efficacité de la composition en tant qu'herbici-........ 

  
 <EMI ID=88.1> 

  
tournante et d'une sortie d'air un plateau préparé comme ci-dessus, pris soit le jour de la plantation ou le jour suivant. On applique sur le plateau la composition herbicide, soit une ëmulsion du type pulvérisation, soit une poudre mouillable, à l'aide d'un atomiseur DeVilbiss modifié, branché à une source d'air. On applique

  
 <EMI ID=89.1> 

  
jour de la plantation, soit le jour suivant. On mesure le taux de dégât et on observe le type de dégât onze à douze jours après le traitement. On utilise l'échelle de valeur des dégâts suivante :

  

 <EMI ID=90.1> 


  
Lorsqu'on réalise plus d'une détermination à un taux donné,

  
on calcule une valeur moyenne pour le taux de dégât. On formule chaque composé examiné sous forme d'une pulvérisation par les mises en oeuvre suivantes. Dans un essai, on mouille le composé particulaire en le broyant dans un mortier avec une partie de monolaurate

  
de polyoxyéthylène sorbitanne. On ajoute lentement à la pâte crémeuse résultante 500 parties d'eau pour obtenir une dispersion aqueuse, avec une concentration en agent surf actif de 0,2 %. Cette dispersion est entièrement satisfaisante pour l'application par pulvérisation. Dans un second procédé, on dissout le composé dans un

  
volume d'acétone et on dilue la solution acétonique avec 19 volumes

  
 <EMI ID=91.1> 

  
Dans le tableau suivant donnant les résultats de l'évaluation, la colonne 1 donne le nom du composé à l'essai ; la colonne 2, le taux en kg par hectare auquel le composé a été appliqué sur le plateau d'essai ; et les autres colonnes, les dégâts sur les graines ou les jeunes plantes particuliers estimés à l'aide de l'échelle précédente. 

  

 <EMI ID=92.1> 


  

 <EMI ID=93.1> 
 

  
 <EMI ID=94.1> 

  
du mais et différentes espèces de mauvaises herbes. On réalise l'évaluation selon les modes opératoires d'essais décrits précédemment sauf que l'en applique les solutions d'essai environ 9 à
12 jours après la préparation et le semis des plateaux. Les résultats sont exposés dans le tableau suivant : 

  

 <EMI ID=95.1> 


  

 <EMI ID=96.1> 
 

  
 <EMI ID=97.1> 

  
qu'herbicide de postémergence. On réalise l'évaluation selon les modes opératoires d'essai décrits ci-dessus, mais avec un taux

  
 <EMI ID=98.1> 

  
rentes espèces (tomates, digitaire sanguinelle, amaranthe réfléchie). Le composé spécifié donne une destruction complète de chacune des espèces nommées. On peut formuler les composés herbicides décrits ci-dessus et les utiliser avec des herbicides connus appartenant à d'autres classes. Le rapport des composés individuels de telles compositions, les uns par rapport aux autres, n'est pas critique ; tous les rapports fournissent des compositions qui présentent des propriétés utilisables de modification de la croissance des plantes. Cependant, on préfère généralement des compositions contenant une partie importante de chaque composant, telles que des compositions dans lesquelles le rapport des.composants est compris entre 1:10 et 10:1, plus parti-

  
 <EMI ID=99.1> 

  
Des herbicides connus avec lesquels on combine de préférence les composés de formule I, II ou II comprennent :

  
la N,N-di-n-propyl-2,6-dinitro-4-(trifluorométhyl)aniline,

  
 <EMI ID=100.1> 

  
la N,N-di-n-propyl-2,6-dinitro-4-sulfamoylaniline, la N,N-di-n-propyl-2,6-dinitro-4-isopropylaniline, . 

  
 <EMI ID=101.1> 

  
Ces combinaisons possibles sont représentées à titre d'exem-

  
ples par les modes opératoires suivants : 

  
 <EMI ID=102.1> 

  
On prépare une terre comprenant une partie de sable à mortier et une partie de terreau déchiqueté que l'on mélange ensemble dans une bétonnière. On place 3,8 litres de cette terre dans un plateau galvanisé de dimensions 21,5 x 31,5 cm et on tapote à l'aide d'un balai jusqu'à mise à niveau. On trace des rangées et on plante les graines, une espèce par rangée, sauf que dans le cas  <EMI ID=103.1> 

  
 <EMI ID=104.1> 

  
rangées séparées), le liseron (Ipomea purpurea), le millet des oiseaux, le datura, l'abutilon et un mélange d'arabette, d'amaranthe réfléchie, d'Ipomea quamoclit, et de Crotolaria.

  
On prépare ensuite une terre de revêtement traitée. On formule séparément les composés en mettant en suspension chaque composé dans une solution 1:1 d'acétone et d'êthanol contenant une petite quantité d'un mélange de deux agents surfactifs non ioniques à base de sulfonate. On dilue ensuite chaque suspension en série

  
à l'aide d'une solution aqueuse du même mélange d'agents surfactifs
- pour préparer un certain nombre de solutions aqueuses de traitement contenant les composés respectif s à différentes concentrations, en addition au mélange d'agents surf actif s à une concentration totale uniforme de 0,55 %, et à une concentration uniforme d'acétone et d'éthanol de 4,15 % chacune. On pulvérise des solutions de traitement contenant chacune un des composés sur une partie de la terre comme décrit ci-dessus, pendant qu'elle tourne dans une bétonnière. On poursuit la rotation pendant 5 à 7 mn. On répand ensuite chaque fraction de terre ainsi traitée sur un plateau, à une épaisseur de 9,5 mm.

  
On prépare un autre plateau et on l'ensemence de la même manière, sauf que l'on laisse la terre de revêtement non traitée pour servir de témoin. On maintient les plateaux pendant 13 jours dans des conditions normales d'une serre, temps au bout duquel on évalue les dégâts et on observe le type de dégât.

  
On utilise l'échelle d'évaluation de dégât suivante :

  
0 pas de dégât

  
1-3 léger dégât

  
4-6 dégât modéré 

  
7-9 dégât sévère

  
10 Destruction

  
B brûle

  
N pas de germination

  
R germination réduite

  
S arrêt de croissance.

  
Les tableaux suivants décrivent les résultats d'évaluation des plateaux traités. Dans les plateaux témoins, il existe des plantes en bonne santé pour chacune des espèces examinées. 

  

 <EMI ID=105.1> 


  

 <EMI ID=106.1> 


  

 <EMI ID=107.1> 
 

  
 <EMI ID=108.1> 

  
 <EMI ID=109.1> 

  
diamine ou un autre des nouveaux composés de formules I,. II ou III avec un autre des empois de dinitroailine identifiés ci-dessus. En général, on obtient de bons résultats lorsque l'on utilise les

  
 <EMI ID=110.1> 

  
 <EMI ID=111.1> 

  
hectare de dinitroaniline.

  
 <EMI ID=112.1> 

  
décrits dans les essais précédents lorsque l'on évalue les autres composés représentatifs suivants de formules I. II ou III.

  
 <EMI ID=113.1>  

  
 <EMI ID=114.1>   <EMI ID=115.1> 

  
Les composés de formules I et II présentent également une activité insecticide et acaricide. Cette activité est plus prononcée parmi les composés de formule II. Ces composés sont utilisables pour la lutte contre les insectes et les acariens nuisibles et on peut les utiliser, avec une sélection appropriée des taux pour éviter la phytotoxicité, pour lutter contre les insectes et les acariens nuisibles que l'on trouve sur les racines et sur les parties aériennes des plantes. Ces composés sont actifs par exemple, vis-à-vis d'acariens tels que la tétranique rouge, Metatetranychus citri, Tetranychus birnaculatus, Tetranychus pacificus, Bryobia praetiosa, l'acarien de la volaille, diverses espèces de tiques, et diverses espèces d'araignées. Les composés

  
de cette sous-classe sont également actifs vis-à-vis d'insectes

  
de différents ordres comprenant l'épilachne, Anthononus grandis,

  
 <EMI ID=116.1>  .. 

  
 <EMI ID=117.1> 

  
lyctes, les larves de taupins, le charançon du riz, Pantomorus godmani, Conotrachelus nénuphar, les vers blancs, Aphis gossypii, Manosiphum rosae, les mouches blanches, le puceron des grains, le puceron des feuilles de mais, le puceron des pois, les alenrodes, les cochenilles, les cicadelles, le puceron des citrus, le puceron tacheté de la luzerne, Myzus persicae, le puceron des haricots, Oncopeltus fasciatus, Lygus oblineatus, Leptocoris trivittatus, la punaise des lits, Anasa tristis, Blissus lemopteris, la mouche domestique, le moustique de la fièvre jaune, la mouche des étables, Siphona irritans, Hylemia

  
 <EMI ID=118.1> 

  
la noctuelle, la mite des vêtements, Plodia interpunctella, les tordeuses, la larve d'Heliothis armigera, la larve de Pyrausta nubilalis, Trichoplusiani, le ver des capsules de cotonnies, la larve de psyché, la larve de Pyralidés, Spodoptera frugiperda,

  
la blatte allemande et la blatte américaine.

  
En plus de leur utilisation pour lutter contre les nuisibles sur les plantes, on peut également introduire les composés de cette sous-classe dans des encres, des colles, des savons, des produits

  
 <EMI ID=119.1> 

  
base de latex. De même, on peut répartir les produits dans des textiles, des matériaux cellulosiques, ou des graines, ou bien on peut les utiliser dans l'imprégnation du bois et du bois de charpente. En plus, on peut les appliquer à des semences. Dans d'autres procédés, on peut vaporiser les produits ou les pulvériser ou les répartir sous forme d'aérosols dans l'air, ou sur des surfaces en contact avec l'air. Dans de telles applications, les composés manifestent des propriétés utiles décrites ci-dessus.

  
Le procédé d'utilisation de ces composés insecticides et

  
acaricides comprend le contact d'un insecte ou d'un acarien avec une quantité inactivante d'un des composés de la sous-classe de

  
la présente invention. On peut réaliser le contact par application d'un ou plusieurs des produits à l'habitat de l'insecte ou de l'acarien. Des habitats représentatifs comprennent la terre, l'air, l'eau, la nourriture, la végétation, des objets inertes, des produits stockés tels que des graines et d'autres organisées

  
 <EMI ID=120.1>  

  
...... 

  
 <EMI ID=121.1> 

  
plusieurs de ses processus de vie normaux. Parmi les insecticides connus, cette dernière situation prévaut d'une manière typique lorsque l'un des sytèmes de l'organisme, souvent le système nerveux, est sérieusement perturbe ; cependant, le mécanisme précis selon lequel agissent les composés constituant l'agent actif de la présente invention n'est pas connu, et l'efficacité insecticide

  
et acaricide n'est limitée à aucun mode de mise en oeuvre.

  
L'utilisation d'une quantité inactivante de l'un des composés de la sous-classe est critique en ce qui concerne son efficacité insecticide et acaricide. On peut parfois administrer la quantité inactivante en utilisant le composé sous une forme non modifiée.

  
Toutefois, fréquemment, on peut seulement utiliser les propriétés souhaitables insecticides et acaricides des composés de la sous-classe, comme dans le cas des propriétés herbicides, lorsque l'on a formulé un ou plusieurs des composés avec un ou plusieurs adjuvants. On se référera à la discussion précédente concernant

  
les compositions et les adjuvants. Lorsque l'on utilise les

  
 <EMI ID=122.1> 

  
contre les insectes et les acariens nuisibles pour les plantes, on préfère que les adjuvants soient pratiquement non phytotoxiques dans la composition formulée. 

  
La concentration exacte d'un ou plusieurs des composés de la sous-classe dans sa composition avec un ou plusieurs adjuvants peut varier ; il est seulement nécessaire que un ou plusieurs des produits soient présents à une quantité telle qu'elle rende possible l'application à un insecte ou à un acarien d'une dose inactivante. Dans de nombreux cas, une composition comprenant

  
0,000001 % de l'agent actif est efficace pour l'administration

  
de sa quantité inactivante à des insectes ou des acariens nuisibles. On peut bien entendu utiliser les compositions présentant une concentration plus élevée en agent actif, telle qu'une concentration de 0,000001 â 0,5 %. Dans une autre mise en oeuvre, on utilise d'une manière convenable des compositions contenant

  
de 0,5 à 98 % en poids d'un des composés ou de 0,5 à 98 % en

  
poids du total de plusieurs composés. De telles compositions

  
sont adaptées pour être utilisées comme compositions de traitement et pour être appliquées sur des insectes et sur des acariens ou sur leur habitat, ou bien pour être utilisées comme concentrés

  
et ensuite diluées avec des adjuvants supplémentaires pour donner. 

  
 <EMI ID=123.1> 

  
 <EMI ID=124.1> 

  
classe ou une composition contenant un ou plusieurs des composés

  
 <EMI ID=125.1> 

  
fraction ou des fractions de leur habitat de toute manière appropriée, comme par exemple, à l'aide de pulvérisateurs ou d'appareils de saupoudrage à main ou bien par simple mélange avec l'alimentation qui sera ingérée par les organismes. On réalise d'une manière commode l'application sur le feuillage des plantes à l'aide d'appareils saupoudreurs, de pulvérisateurs à perche, et de nébuliseurs. Dans de telles applications foliaires, les compositions utilisées ne doivent pas contenir de quantités appréciables de diluant phytotoxique. Pour des opérations à large échelle, on peut appliquer des poudres, des pulvérisations à volume faible à partir d'un aéroplane.

   De même, il est possible d'utiliser des compositions comprenant un ou plusieurs des composés de la sous-classe, un adjuvant, et un ou plusieurs produits actifs sur le plan biologique, tels que d'autres insecticides, fongicides, miticides, bactéricides, et nëmatocides.

  
On a formulé des composés que l'on a évalués du point de vue du contrôle des insectes et des acariens, comme on le décrit dans les essais suivants, selon le mode opératoire suivant.

  
Tout d'abord, on mélange 55 g d'un mélange de 2 émulsifiants non ioniques à base de sulfonate avec un litre de cyclohexanone. On mélange de plus par la suite 0,9 ml du mélange résultant

  
avec 90 mg du composé à l'essai et on dilue avec de l'eau distillée à 90 ml, contenant le composé à l'essai à une concentration de 1000 parties par million. Pour l'évaluation des concentra-

  
tions faibles, on dilue en plus le mélange avec une composition

  
de dilution constituée de 4 litres d'eau distillée et d'une totalité de 1,8 ml des deux mêmes émulsifiants non ioniques à base de sulfonate.

  
 <EMI ID=126.1> 

  
 <EMI ID=127.1> 

  
et d'acariens représentatifs.

  
Epilachne

  
 <EMI ID=128.1> 

  
On place dans l'eau des coupes de plants de haricots
(Bountiful snap) âgés de 6 jours contenant deux feuilles avec une surface de feuille approximative de 32 cm<2>, On pulvérise les  <EMI ID=129.1> 

  
contenant une teneur prédéterminée du composé â l'essai. On pulvérise la moitié de la formulation sur le dessus et l'autre moitié sur le dessous de la feuille en utilisant un atomiseur

  
 <EMI ID=130.1> 

  
l'atomiseur à une distance de la feuille d'environ 45 cm. Après séchage des feuilles, on les coupe de la tige et on les place séparément dans des boites de Pétri. On place sur chaque feuille dix larves d'Epilachne ne muant pas, au troisième stade larvaire, qui ont grandi sur des haricots (Bountiful snap). Les témoins consistent en deux feuilles pulvérisées avec 5 ml d'une formulation

  
 <EMI ID=131.1> 

  
thioate (étalon de référence), en deux feuilles pulvérisées avec la formulation sans le composé actif et on laisse deux feuilles comme témoins non traités. Au bout de 48 heures, on compte la mortalité et on note la quantité de produit fournie. On compte les larves moribondes comme étant mortes. On utilise l'échelle suivante d'évaluation de la toxicité.

  

 <EMI ID=132.1> 


  
Les composés ainsi évalués, les taux utilisés, et les résultats des évaluations sont reportés dans le tableau suivant. Lorsqu'on effectue plus d'une évaluation à un taux donné, le résultat reporté pour ce taux est une moyenne des divers résultats. 

  

 <EMI ID=133.1> 


  

 <EMI ID=134.1> 
 

  
 <EMI ID=135.1> 

  
On place sur des feuilles de haricots excisées dans des boites de Pétri, 10 larves de Prodenis eridania homogènes d'environ 1 à 1,5 en) de longueur, qui ont grandi sur des haricots Henderson lima. On coupe les feuilles de haricots et on les pulvérise avec de l'insecticide de la même manière que les feuilles de haricots coupées dans l'essai de l'Epilachne. Les témoins de référence

  
sont dans ce cas des feuilles pulvérisées avec 5 ml d'une

  
solution de DDT à 100 ppm. On compte la mortalité 48 heures après la pulvérisation et on compte à nouveau les larves moribondes

  
 <EMI ID=136.1> 

  
mangées sont considérées comme vivantes. On utilise la même échelle d'évaluation que dans le cas de l'essai de l'Epilachne.

  
On indique dans le tableau suivant les composés ainsi estimés, les taux utilisés, et les résultats de l'estimation. Lorsqu'on a réalisé plus d'une évaluation à un taux donné, le résultat reporté pour ce taux est une moyenne des divers résultats.

TABLEAU V

  

 <EMI ID=137.1> 


  
Aphis gossypii (Hémiptère)

  
On plante quatre graines de courge bleue d'Hubbard par récipient dans de la vermiculite et on arrose les récipients par en dessous. Au bout de 6 jours, on coupe les deux plantes les plus faibles et on élimine un cotylédon et les feulles primaires de chacune des deux plantes restantes. On infeste le cotylédon restant avec 100 Aphis gossypii venant d'une colonie en réserve

  
en fixant le cotylédon contre un cotylédon de courge infestée

  
par Aphis gossypii venant de la colonie et en laissant les Aphis se déplacer. Apres le déplacement, on élimine la feuille portant la colonie. Quarante huit heures plus tard, on pulvérise les feuilles infestées en les mouillant avec des formulations contenant

  
 <EMI ID=138.1>   <EMI ID=139.1> 

  
témoins consistent en deux plants de courge infestés, non traités par pulvérisation, et deux plants infestés pulvérisés pour les mouiller avec une formulation contenant 100 ppm de S-

  
 <EMI ID=140.1> 

  
étalon de référence. Or. estime la mortalité 24 heures après la pulvérisation par observation en utilisant un microscope de dissection d'un grossissement de 10.

  
On donne dans le tableau suivant les composés ainsi évalués, les taux utilisés, et les résultats des estimations. Lorsque l'on a réalisé plus d'une estimation à un taux donné, le résultat reporté pour ce taux est une moyenne des différents résultats.

TABLEAU VI

  

 <EMI ID=141.1> 


  
Tetranychus urticae (Acarien)

  
On élève des Tetranychus urticae sur des plants de haricots verts, puis on les transfère sur des plants de courgettes. On maintient les plants de courgettes pendant deux jours de telle

  
sorte que l'infestation soit bien réalisée. On pulvérise ensuite

  
les plants de courgettes infestés avec une formulation d'essai contenant le composé à l'essai comme dans les procédés d'essai  précédents. On détermine la mortalité par estimation 48 heures 

  
après la pulvérisation. On utilise la mené échelle d'estimation

  
que dans les autres procédas d' essai . 

  
 <EMI ID=142.1> 

TABLEAU VII

  

 <EMI ID=143.1> 


  
 <EMI ID=144.1> 

  
On refroidit et on place 10 Oncopelitis fasciatus adultes dans une cage d'essai. On pulvérise les cages contenant les insectes avec 5 ml d'une formulation d'essai contenant une quantité prédéterminée de l'insecticide, en utilisant un atomiseur DeVilbiss sous une pression de 0,7 kg/cm<2>, et en maintenant l'atomiseur à une distance de 84 cm du sommet de la cage. Après avoir laissé sécher la cage, on nourrit les insectes et on les abreuve pendant
48 heures. On utilise une formulation contenant 500 ppm de

  
 <EMI ID=145.1> 

  
étalon de référence et on utilise deux cages non pulvérisées comme témoins. On compte la mortalité 48 heures après la pulvérisation. On considère les adultes moribonds coince étant morts.

  
 <EMI ID=146.1>  

  
 <EMI ID=147.1> 

  
les taux utilisés et les résultats de l'évaluation.

TABLEAU VIII

  

 <EMI ID=148.1> 

Mouche domestique

  
Musca domestica (Diptère)

  
On refroidit à 2-4[deg.]C pendant environ 1 heure des cages d'élevage contenant 4 mouches domestiques adultes âgées de 4 jours. On transfère 100 mouches de la cage d'élevage dans chacune des cages d'essai en utilisant un instrument approprié. On maintient les mouches dans les cages pendant 1 à 2 heures à 21-27[deg.]C. On pulvérise les cages de la même manière que décrite pour Oncopeltus fasciatus avec 5 ml de la formulation d'essai. On garde deux cages

  
 <EMI ID=149.1> 

  
une formulation contenant 50 ppm de DDT comme étalon de référence- . On compte la mortalité 24 heures après la pulvérisation. Toutes les

  
 <EMI ID=150.1>  

  
 <EMI ID=151.1> 

  
la cage sont considérées comme moribondes. On utilise la même

  
 <EMI ID=152.1> 

  
On donne dans le tableau suivant les composés ainsi évalués, les taux utilisés et les résultats des évaluations. Lorsque l'on réalise plus d'une évaluation, le résultat donné pour l'estimation est une moyenne des différents résultats.

TABLEAU IX

  

 <EMI ID=153.1> 


  
Anthonomus grandis (Coléoptère)

  
Le procédé est indentique &#65533; celui utilisé pour l'Epilachne

  
et pour Prodenis eridania, sauf que l'on place sur des feuilles de coton, 10 Anthonomus grandis adultes, feuilles qui ont été plongées dans des formulations des composés à l'essai. On utilise la même échelle d'estimation.

  
On donne dans le tableau suivant les composés ainsi évalués, les taux utilisés et les résultats obtenus. Lorsqu'on réalise plus d'une évaluation, le résultat donné pour l'estimation est une moyenne des différents résultats.

TABLEAU X

  

 <EMI ID=154.1> 
 

  
 <EMI ID=155.1> 

  

 <EMI ID=156.1> 


  
On obtient des résultats pratiquement identiques à ceux décrits dans les tableaux précédents lorsqu'on estime selon les mêmes procédés les composés suivants :

  
 <EMI ID=157.1> 

  
phénylènediamine.

  
 <EMI ID=158.1>   <EMI ID=159.1> 

  
utilisables pour la maîtrise systématique des'Insectes et des acariens qui se nourrissent des tissus vivants des animaux. Ces composés présentent l'aptitude de s'insinuer dans les tissus vivants d'un animal parasité auquel on administre les composés.

  
Les insectes et les acariens parisitaires qui consomment du sang et d'autres tissus vivants de l'animal parasité absorbent les composés par lesquels le tissu est pénétré, et ils sont par  conséquent détruits. Il est probable que le sang est l'agent grâce auquel le composé se disperse à travers l'animal parasité mais

  
des parasites tels que des larves de la mouche Chrysomia macellaria, qui ne sucent pas le sang sont tuées par ces composés ce qui indique que les composés pénètrent d'autres tissus en même temps que le sang.

  
Certains parasites, tels que la plupart des tiques, se nourrissent des tissus vivants de l'animal hôte durant la plupart de la vie parasitaire. D'autres parasites, tels que des larves

  
de mouche Chrysomia macellaria, se nourrissent sur l'hôte uniquement pendant la phase larvaire. Un troisième groupe de parasites,

  
tels que les mouches qui sucent le sang, se nourrissent des animaux hôtes uniquement pendant l'étape adulte. L'administration à des animaux parasités des composés de formule II tue les parasites qui se nourrissent des tissus vivants des animaux, quelle que soit l'étape de la vie du parasite.

  
Toutes les espèces d'insectes et d'acariens parasitaires qui se nourrissent des tissus vivants des animaux sont tuées par les composés de formule II. Les parasites qui sucent le sang des animaux parasités, et ceux, tels crue les larves d'oestres qui entrent par les orifices naturels de l'hôte, s'attachent sur les membranes

  
de la muqueuse, et s'en nourrissent, sont tous détruits d'une manière égale et.efficace.

  
Dans un but de clarté, on mentionnera un certain nombre de parasites spécifiques de certains animaux parasités qui sont  maîtrisés en utilisant ces composés. On donne pour chaque parasite  l'étape de la vie parasitaire et les moyens par lesquels il 

  
infeste l'animal porteur. 

  
Parasites des chevaux 

  
hippobosque, adulte suce le sang

  
mouche des écuries, adulte, suce le sang

  
mouche noire, adulte, suce le sang

  
pou des chevaux, non adulte, adulte, suce le sang  <EMI ID=160.1> 

  
creuse dans la peau

  
acarien donnant des pustules, adulte, mange la peau oestre commun des chevaux, larve, migre dans le canal alimentaire

  
oestre de la gorge, larve, migre dans le canal alimentaire

  
oestre du nez, larve, migre dans le canal alimentaire Parasites des bovins

  
mouche des bovins (Siphono irritans) adulte, suce le sang pou piquant le bétail, adulte, mange la peau pou suçant le sant du bétail, nymphe, adulte, suce le sang

  
mouche tsé-tsé, adulte, suce le sang

  
mouche des étables, adulte, suce le sang hippobosque, adulte, suce le sang

  
l'acarien des follicules de la peau, adulte, ronge la peau

  
tique des bovins (Boophilus annulatus), larve, nymphe, adulte, suce le sang

  
tique de l'oreille, nymphe, suce le sang

  
tique de la côte du Golfe du Mexique (Amblyonna maculatu), adulte, suce le sang

  
tique de la variole des Montagnes Rocheuses, adulte, suce le sang

  
Amblyonna americanum, adulte, suce le sang Hypoderma lineata, larve, migre dans le corps larve d'oestre, larve, migre dans le corps lucilie, larve, infeste les blessures

  
 <EMI ID=161.1> 

  
Parasites des porcins

  
pou des porcs, nymphe, adulte, suce le sang 

  
puce pénétrante (Tuga penetrans), adulte, suce le sang  Parasites des moutons et des chèvres 

  
pou de corps, adulte, suce le sang 

  
pou des pattes, adulte, suce le sang 

  
Melophagus ovinus, adulte, suce le sang  acarien provoquant des démangeaisons, nymphe, adulte,  mange la peau 

  
 <EMI ID=162.1>   <EMI ID=163.1> 

  
Callitroga macellaria, larve, infeste les blessures Parasites de la volaille

  
Cimex lectularius, nymphe, adulte, suce le sang mouche du sud, adulte, suce le sang

  
tique des poulets, nymphe, adulte, suce le sang acarien des poulets, nymphe, adulte, suce le sang Knemidocoptes mutans, adulte, ronge la peau

  
acarien déplumant, adulte, ronge la peau

  
Parasites des chiens

  
hippobosque, adulte, suce le sang

  
mouche des étables (ou des écuries), adulte, suce le sang

  
acarien provoquant des démangeaisons, nymphe, adulte, ronge la peau 

  
acarien des follicules de la peau, adulte, ronge l'intérieur des follicules des poils

  
puce, adulte, suce le sang.

  
On comprendra que les parasites mentionnés ci-dessus ne sont pas réduits à l'animal hôte unique grâce auquel chaque parasite

  
est ici identifié. La plupart des parasites habite chez 

  
différents hôtes, bien que chaque parasite présente un hôte préféré. Par exemple, l'acarien provoquant des démangeaisons attaque au moins des chevaux, des pourceaux, des mules, des êtres humains, des chiens, des chats, des renards, des lapins, des moutons, et des bovins. Les mouches des chevaux attaquent librement des chevaux, des mules, des bovins, des pourceaux, et la plupart des autres animaux. L'utilisation des composés de formule II détruit les parasites décrits ci-dessus qui se développent chez

  
les animaux porteurs mentionnés ci-dessus, de même que chez d'autres animaux porteurs. Par exemple, ces composés sont efficaces chez

  
des chats, des chèvres, des chameaux, et des animaux de parcs zoologiques.

  
Les animaux porteurs chez lesquels on utilise de préférence ces composes sont les chiens, les bovins, les moutons, ou les

  
chevaux pour la maîtrise des tiques, des puces, des mouches, et des vers taraudeurs.

  
Le moment, la manière et les teneurs d'administration

  
 <EMI ID=164.1> 

  
 <EMI ID=165.1>  

  
 <EMI ID=166.1> 

  
On administre les composés aux animaux à des taux d'environ 1 à environ 100 mg/kg. Le meilleur taux pour détruire un parasite donné infectant un animal donné doit être déterminé d'une manière individuelle, mais on a trouvé que dans la plupart des cas, le taux optimal est dans l'intervalle préféré d'environ 2,5 à 50 mg/kg. Le taux optimal pour un cas donné dépend de facteurs tels que l'état de santé de l'animal à traiter, la susceptibilité du parasite au premier degré, les dépenses qui peuvent être faites pour l'animal, et le degré de maîtrise souhaité. Des.taux plus faibles sont plus surs pour l'animal porteur, moins chers, et souvent plus faciles à administrer, mais il est probable qu'ils donnent une maîtrise incomplète ou minimale du parasite de telle sorte qu'il peut se produire une réinfestation.

   Par ailleurs, des taux plus importants d'administration donnent une maîtrise plus complète des parasites, mais ils sont plus chers et peuvent imposer un effort aux animaux traités.

  
Les composés de formule II sont efficaces lorsqu'on les administre à tout moment de l'année aux animaux quel que soit leur âge. Il est possible d'administrer ces composés en continu à des animaux, comme par une alimentation constante d'une ration qui

  
contient un des composés, et par conséquent, on peut s'assurer que tous les parasites qui entrent en contact avec l'animal traité seront tués. Une telle administration n'est en aucune façon économique, et on trouve habituellement préférable d'administrer des composés à des moments tels que l'on obtienne la meilleure répercussion sur la maîtrise du parasite pour le composé dépensé. Certains parasites, tels que des larves de mouches du bétail qui sont les larves hypoderma lineata et la larve d'oestre, présentent une saison active connue durant laquelle elles attaquent les animaux. Si un tel parasite est d'importance essentielle, on peut utiliser les composés seulement pendant cette saison avec l'assurance d'une maîtrise du parasite tout au long de l'année.

   D'autres parasites, tels que des tiques, infectent et attaquent les animaux essentiellement tout au long de l'année. on peut encore réaliser la maîtrise de tels parasites grâce à des périodes relativement brèves d'administration en administrant le composé

  
il tous les animaux d'une ferme ou d'une zone donnée pendant une période de temps courte, comme pendant quelques semaines. Par conséquent, tous les parasites d'une génération sont tués, et on  <EMI ID=167.1> 

  
pendant un temps important, par exemple, jusqu'à la réinfestation par des parasites provenant d'animaux importes.

  
On peut administrer les composés de formule II selon l'une des voies orale ou percutanée habituelles. Il faut noter que de nombreux composés évoluent chimiquement par passage à travers le rumea d'un animal ruminant. L'administration orale à des animaux ruminants est par conséquent recommandable seulement si les composés sont protégés de l'environnement du rumen par une formulation spéciale. De telles formulations seront discutées ciaprès. 

  
La formulation et l'administration aux animaux des composés efficaces sur le plan biologique est une technique très ancienne et très développée. On donnera quelques explications des différentes formulations et des différents procédés d'administration pour permettre à chacun de pratiquer la maîtrise parasitaire en utilisant ces composés.

  
On réalise l'administration percutanée des composés de formule II selon des techniques habituelles dans l'art vét6rre.

  
Il est commode d'utiliser un sel soluble dans l'eau du composé de formule II, de telle sorte qu'il n'est pas nécessaire d'avoir une formulation élaborée. Par ailleurs, si l'on souhaite un composé insoluble dans l'eau, il est pratique de le dissoudre dans un solvant acceptable sur le plan physiologique, tel que les polyéthylène glycols. Il est également commode de formuler une suspension injectable du composé sous la forme d'une poudre fine,

  
que l'on met en suspension dans une formulation de non-solvants, de surfactants, et d'agents de mise en suspension acceptables

  
sur le plan physiologique.

  
Le non-solvant peut être, par exemple, une huile végétale telle que l'huile d'arachide, l'huile de mais ou l'huile de sésame, un glycol tel qu'un polyéthylène glycol, ou de l'eau, en fonction du composé choisi.

  
Il est nécessaire d'utiliser des adjuvants appropriés acceptables sur le plan physiologique pour maintenir le composé

  
de formule II en suspension. On choisit les adjuvants parmi les

  
 <EMI ID=168.1> 

  
de toluène sulfonate, des composés d'addition d'oxyde d'éthylène et d'alkylphénol, et des oléates et des laurates, et les agents

  
 <EMI ID=169.1>   <EMI ID=170.1> 

  
utilise également des agents épaississants tels que la carboxyméthyl cellulose, la polyvinylpyrrolidone, la gélatine et les alginates comme adjuvants pour des suspensions injectables. De

  
 <EMI ID=171.1> 

  
décrits ci-dessus, servent à mettre en suspension le composé. Par exemple, la lécithine et les esters de polyoxyéthylène sorbitanne sont des agents surfactifs utilisables.

  
On réalise d'une manière commode l'administration percutanée par injection sous-cutanée, intra-musculaire et même intraveineuse de la formulation injectable. On utilise des dispositifs coventionnels d'injection du type à aiguille, de même que des dispositifs d'injection sans aiguille du type à jet d'air.

  
Il est possible de retarder ou de prolonger la pénétration du

  
 <EMI ID=172.1> 

  
grâce à une formulation appropriée. Par exemple, on peut utiliser un composé très insoluble. Dans cc cas, la légère solubilité du composé provoque une action prolongée compte tenu de ce que les liquides corporels de l'animal peuvent dissoudre seulement une faible quantité du composé dans un temps donné.

  
On peut également obtenir une action prolongée des composés de formule II en formulant le composé dans une matrice qui empêchera la dissolution par voie physique. On injecte la matrice

  
formulée dans le corps où elle reste sous forme d'un dépôt à partir duquel le composé se dissout lentement. On formule des formulation de matrice, qui sont maintenant bien connues de la technique, dans des produits semi-solides cireux, tels que des cires végétales et des polyéthylène glycols à haut poids moléculaire.

  
On obtient une action prolongée même plus efficace en introduisant dans l'animal un implant contenant un des composés

  
de formule II. De tels implants sont maintenant bien connus en technique vétérinaire, et ils sont habituellement préparés à partir d'un élastomère contenant du silicone. On disperse le compose dans un implant de caoutchouc solide ou bien on l'introduit à l'intérieur d'un implant creux. Il faut prendre soin de choisir un composé qui est soluble dans l'élastomère qui servira à préparer l'implant,

  
 <EMI ID=173.1>   <EMI ID=174.1> 

  
efficace, avec une bonne précision par un ajustement approprié de la concentration du composé dans l'implant, par la surface externe de l'implant, et la formulation du polymère avec lequel on a fabriqué l'implant.

  
L'administration du composé au moyen d'un implant est un mode de réalisation plus particulièrement préféré. Une telle administration est très économique et très efficace, compte tenu de ce que un implant convenablement préparé maintient une concentration constante du composé dans les tissus de l'animal porteur. On peut calculer un implant de telle sorte qu'il fournisse le composé pendant plusieurs mois, et on l'insère facilement chez l'animal.

  
Après insertion de l'implant, il n'est pas nécessaire de pratiquer un traitement supplémentaire de l'animal ni de s'occuper de la dose..

  
On peut réaliser l'administration orale d'un composé de

  
 <EMI ID=175.1> 

  
de boisson de l'animal, ou par administration de formes de doses orales telles que des potions, des comprimés ou des capsules.

  
Lorsque l'on doit administrer un composé de formule II par voie orale à un ruminant, il est nécessaire de protéger le composé de l'effet nuisible des processus du rumen. L'art vétérinaire  connaît maintenant des procédés efficaces de revêtement et 

  
d'encapsulation des médicaments pour les protéger du rumen. Par  exemple, Grant et coll., dans le brevet des E.U.A. N[deg.] 3 697 640,  décrit des produits et des procédés de revêtements. Grant  enseigne un procédé de protection des substances de l'action du  rumen en recouvrant les substances avec une pellicule de propionate  3-morpholinobutyrate de cellulose. On peut utiliser une telle  pellicule pour protéger des composés de formule II. On recouvre  d'une manière convenable des comprimés ou des capsules contenant  un composé de formule II à l'aide d'une pellicule dans une 

  
cuve de revêtement ou dans un appareil de pulvérisation à lit fluidisë. On peut préparer des pastilles du parasiticide, les recouvrir d'une pellicule, et les charger dans des capsules. Dans une autre variante, on peut préparer un mélange solide du composé et de l'agent formant la pellicule et on peut les réduire ou les  broyer en petites particules, chacune comprenant le composé inclus  dans une matrice de l'agent formant la pellicule. On peut charger 

  
 <EMI ID=176.1>   <EMI ID=177.1>  transformer en une suspension orale. 0904 .000 et* 

  
La formulation des additifs vétérinaires dans l'alimentation animale est une technique extrêmement connue. Habituellement on formule les composés d'abord sous forme d'un prémélange dans lequel on disperse lé composé de formule II dans un liquide ou un support solide particulaire. Le prémélange peut contenir d'une manière commode d'environ 2,2 à 880 g de composé par kilo, en fonction de la concentration souhaitée dans l'aliment. De tels composés sont habituellement formulés dans des matrices protec-

  
 <EMI ID=178.1> 

  
formule à son tour le prémélange dans l'aliment en le dispersant dans le mélange d'aliments dans un mélangeur conventionnel. On calcule facilement la quantité convenable de composé, et par conséquent de prémélange, à mélanger à l'aliment, en prenant en compte le poids des animaux, la quantité approximative que chaque animal mange par jour, et la concentration du composé dans le prémélange.

  
De la même manière, on calcule la quantité de composé à administrer dans l'eau de boisson des animaux en prenant en compte le poids de l'animal et la quantité que chaque animal boit par jour. Il est très commode d'utiliser un sel soluble dans l'eau d'un composé de formule I comme agent de traitement dans l'eau de

  
boisson. Si on ne désire pas utiliser un tel sel, on peut préparer une formulation du composé souhaité que l'on peut mettre en suspension. La formulation peut être une suspension sous la forme concentrée, suspension que l'on mélange dans l'eau de boisson, ou bien elle peut être une préparation sèche que l'on mélange avec l'eau de boisson et que l'on y met en suspension. Dans l'un et l'autre cas, le composé doit être sous la forme d'une poudre finement divisée, et la formulation suit les mêmes principes que ceux discutés ci-dessus pour des suspensions injectables.

  
On peut facilement formuler les composés sous forme de comprimés et de capsules selon les procédés conventionnels, au sujet desquels il n'est pas nécessaire de fournir d'enseignement dans la présente description. Des formulations pour breuvages comprennent le composé dissous ou dispersé dans un mélange liquide aqueux. De même, il est très commode de préparer le breuvage en dissolvant un sel soluble dans l'eau d'un composé de formule II.

  
 <EMI ID=179.1>  &#65533;&#65533;&#65533;&#65533;&#65533; &#65533; &#65533; 

  
 <EMI ID=180.1> 

  
l'on prépare les formulations d'eau de boisson discutées précédemment.

  
Les exemples qui suivent montrent l'efficacité des composés de formule II dans la maîtrise d'un certain nombre de parasites qui affectent normalement des animaux rentables sur le plan économique. On examine les composés vis-â-vis des vers taraudeurs, qui sont des larves de lucilie noire, vis-à-vis des mouches des

  
 <EMI ID=181.1> 

  
américaine adulte du chien. La lucilie et la mouche des étables sont des insectes ; la tique du chien est représentative des acariens.

  
La mouche des étables est un parasite commun volant, qui suce le sang ; l'Amblyonna americanum est un parasite typique qui passe sa phase nymphaire et une partie de sa période adulte du cycle de vie fixée sur l'animal porteur, habituellement des bovins. Les larves de lucilies ou vers taraudeurs éclosent à partir d'oeufs déposés près d'une plaie de l'animal porteur,

  
par l'insecte volant. Les larves trouvent leur voie dans la chair en bonne santé exposée par la plaie et passent une partie de leur cycle de vie à l'intérieur, en se nourrissant la chair et du sang

  
de l'animal porteur.

  
La mouche des étables est un insecte parasitaire des chevaux, des mules, des bovins, des porcins, des chiens, des chats, des moutons, des chèvres, des lapins et des êtres humains. L'Amblyonna americanum est essentiellement un parasite des bovins, mais il s'attaque également aux chevaux, aux mules et aux moutons. Les larves de lucilie attaquent tout animal blessé, mais elles sont plus particulièrement néfastes vis-à-vis des bovins, des porcins, des chevaux, des mules, des moutons et des chèvres.

  
Les essais suivants illustrent l'efficacité des composés de formule II lorsqu'on les administre à des bovins. Dans la plupart des cas, on réalise les essais décrits ci-dessous sur des infestations induites par des parasites.

  
 <EMI ID=182.1> 

  
forme d'une injection sous-cutanée unique. On administre le composé sous la forme d'une dispersion dans de la polyvinylpyrrolidone

  
à 10 %.

  
On conserve des mouches des étables adultes dans des enceintes  <EMI ID=183.1> 

  
met en contact deux ou plusieurs chambres contenant entre 60 et 100 mouches des étables avec le dos tailladé du veau 24 heures après l'administration du composé. On laisse les mouches se nourrir

  
sur le veau pendant le temps indiqué, après quoi on observe les enceintes et on laisse les mouches se nourrir pendant une nouvelle période de temps. On détermine la mortalité des mouches en comptant le nombre de mouches en vie ou mortes après l'exposition. On réalise chaque essai séparément. Les résultats de mortalité sont les suivants :

  
Nombre d'heures Mortalité de la mouche Essai après le traitement des étables en %

  

 <EMI ID=184.1> 


  
Lorsqu'on répète le mode opératoire précédent en utilisant des moustiques, à la place des mouches des étables, les résultats sont :

  

 <EMI ID=185.1> 


  
1 96 100 

  
Lorsqu'on répète le mode opératoire précédent en utilisant 

  
 <EMI ID=186.1> 

  
sont 

  
Nombre d'heures  Essai Parasites après le traitement Mortalité % 

  

 <EMI ID=187.1> 


  
 <EMI ID=188.1>  

  
 <EMI ID=189.1> 

  
sësame vis-â-vis des mouches des étables sur le veau. On modifie le mode opératoire par rapport à celui décrit ci-dessus en ce que l'on place les enceintes en fils métalliques sur le dos du veau
24 heures après l'administration du composé. On donne dans le tableau suivant les résultats :

TABLEAU XI

  

 <EMI ID=190.1> 


  

 <EMI ID=191.1> 


  
Les derniers essais décrits ci-dessus montrent la maîtrise prolongée des insectes et des acariens parasitaires que l'on

  
 <EMI ID=192.1>   <EMI ID=193.1> 

  
que l'on tue des parasites tels que ceux qui se nourrissent sur les animaux traités même plusieurs jours après l'administration du composé. Il faut également noter que la maîtrise obtenue est très complète, en ce que, tous: les parasites, ou essentiellement tous les parasites qui se sont nourris sur les animaux sont morts.

  
Le mode opératoire suivant décrit des résultats représentatifs dans un essai biologique.

  
On utilise des larves de lucilie noire comme organisme d'essai dans un bio-essai. On réalise les essais en administrant le composé selon l'invention sous forme d'une injection unique sous-cutanée

  
à un veau. On prélève sur le veau des échantillons de sang les jours qui suivent l'administration du composé, et on nourrit des larves de lucilie avec le sang entier prélevé. On enregistre la fin de l'essai le dernier jour lorsque 90 % ou plus des larves de lucilie sont mortes. Les résultats sont donnés dans le tableau suivant : 
 <EMI ID=194.1> 
 <EMI ID=195.1> 
  <EMI ID=196.1> 

  
évaluer la maîtrise des parasites sur des mouches des étables adultes en utilisant les composés de formule II. On place des mouches des étables adultes privées de nourriture pendant 18 heures, dans une boite de Pétri ou une cage et on les expose à des tampons contenant des appâts de sang. On recueille le sang des tampons à partir de veaux traités, à des temps prédéterminés, après le traitement. On détermine la mortalité des mouches des étables à des intervalles de temps désignés après l'exposition aux tampons constituant des appâts de sang. On compare le pourcentage de mortalité pour ces périodes de temps par rapport à la mortalité normale obtenue dans des boites de Pétri, ou des cages contenant du sang venant de veaux non traités (témoins). Le

  
 <EMI ID=197.1> 

  
résultats sont donnés dans le tableau suivant : 

  

 <EMI ID=198.1> 


  

 <EMI ID=199.1> 
 

  
 <EMI ID=200.1> 

  
Dans les essais décrits ci-dessus, on expose les parasites d'une manière indirecte au sang d'un animal traité à la place

  
d'une exposition directe en nourrissant les parasites sur

  
l'animal. Cependant, la maîtrise obtenue est évidemment aussi significative que si les parasites avaient sucé le sang directement de l'animal. On démontre clairement par les essais la valeur de protection des animaux d'un parasite très néfaste, la lucilie, puisqu'on obtient la maîtrise du parasite plusieurs jours après une

  
 <EMI ID=201.1> 

  
En plus de leur activité herbicide, insecticide et parasiticide, les composés de la présente invention présentent une activité anthelminthique et nématocide.

  
L'activité anthelminthique est plus prononcée parmi les composés de formule II. Des composés représentatifs de formules I, II et III présentent l'activité nématocide.

  
En ce qui concerne l'activité anthelminthique, on peut administrer des composés de formule II à des animaux à sang chaud pour la maîtrise des parasites internes, plus particulièrement des parasites de l'appareil intestinal tels que Haemonchus contortus, Syphacia obvelata, et Nematospiroides dubius. On pratique l'administration d'une manière commode par voie orale, et elle peut prendre la forme d'introduction dans un aliment, ou la forme d'une administration séparée du composé envisagé seul ou formulé sous la forme d'un comprimé ou d'un bol pour l'administration. D'une manière typique, on obtient de bons résultats à des dosages de 5 à 500 mg/kg pour des doses uniques, et à des dosages de

  
0,001 à 0,05 % dans l'aliment. Dans des procédés représentatifs,

  
 <EMI ID=202.1> 

  
concentration de 0,01 %. On nourrit un groupe de quatre souris avec l'aliment modifié ; on nourrit un autre groupe de quatre souris avec un aliment non modifié pour servir de témoins. On infecte

  
les souris des deux groupes avec Nematospiroides dubius environ

  
7 heures après le début de l'alimentation. On continue l'alimentation pendant 8 jours ; le neuvième jour, on tue les souris et on 

  
 <EMI ID=203.1> 

  
nombre présent, de Nematospiroides dubius. Dans le groupe des  souris soumises à l'aliment modifié, on ne voit pas de larves ; et  dans le groupe témoin, on remarque une moyenne de 28 larves par

  
 <EMI ID=204.1>   <EMI ID=205.1> 

  
de formule II.

  
On peut utiliser les composés de formules I, II et III pour la maîtrise des maladies provoquées par des organismes fongiques et des nématodes tels que le nématode noueux de la racine, le nématode de la tige, la pourriture des racines par fusarium, et Rhizoctonia. En général, on obtient la maîtrise à des taux de 1,13 à 45,4 kg par hectare. Dans des modes opératoires d'essais normalisés, on trouve que les composés suivants ont donné une

  
 <EMI ID=206.1> 

  
la racine pour le taux d'application donné :

  
 <EMI ID=207.1> 

  
Les exemples suivants illustrent la synthèse des composés de formules I, II et III et permettront aux techniciens de mettre en oeuvre la présente invention.

Exemple 1

  
 <EMI ID=208.1> 

  
ensuite le mélange réactionnel résultant sous reflux, on le maintient sous reflux pendant 16 heures, on le condense par évaporation à 20 ml, et on sépare par filtration puis on recristallise dans

  
 <EMI ID=209.1> 

  
 <EMI ID=210.1> 

Exemple 2

  
 <EMI ID=211.1> 

  
phénylènediamine finement broyée, 1,0 ml de triéthylamine, et

  
10 ml de chloroforme tout en ajoutant 2 à 3 ml d'anhydride trifluoroacétique dans 20 ml de chloroforme. On réalise l'addition en discontinu pendant une période de 20 minutes à température ambiante. On filtre le mélange réactionnel résultant pour séparer

  
 <EMI ID=212.1> 

  
diamine souhaitée que l'on recristallise dans le benzène, pf

  
 <EMI ID=213.1> 

  
 <EMI ID=214.1> 

  
 <EMI ID=215.1>   <EMI ID=216.1> 

  
trouvé : C, 34,24 ; H, 1,60 ; 13,24

Exemple 3

  
 <EMI ID=217.1> 

  
diamine avec 15 ml de pyridine et on refroidit le mélange a 0[deg.]C.

  
On ajoute ensuite 3 ml de chlorure de chlorodifluoroacétyle sous agitation pendant une période de 20 minutes. Après avoir abandonné à 20[deg.]C pendant environ 1,5 heure, on mélange le mélange réactionnel avec 150 g de glace et 20 ml d'acide chlorhydrique,

  
ce qui entraîne la précipitation de la N -chlorodif luoroacétyl-3'-

  
 <EMI ID=218.1> 

  
sépare par filtration et on la recristallise dans le benzène, pf

  
 <EMI ID=219.1> 

Exemple 4

  
 <EMI ID=220.1> 

  
abandonne pendant une nuit. On évapore sous vide l'excès d'anhydride trifluoroacétique et l'acide correspondant qui est

  
 <EMI ID=221.1> 

  
recristallisation dans le benzène, fond à 193-195[deg.]C.

Exemple 5

  
On prépare facilement d'autres composés représentatifs de la présente invention dans les procédés des enseignements et des exemples précédents, en utilisant des produits de départ analogues.

  
De tels composés comprennent les composés suivants :

  
 <EMI ID=222.1> 

  
diamine, pf 194-195[deg.]C, préparée par réaction d'anhydride

  
 <EMI ID=223.1> 

  
diamine.

  
 <EMI ID=224.1> 

  
de 2,2-difluoro-3-iodopropionyle avec la N -propionyl-5- (sec-butyl- 

  
 <EMI ID=225.1>   <EMI ID=226.1> 

  
préparée par réaction du chlorure de 2,2-difluoro-3-bromopropionyle

  
 <EMI ID=227.1> 

  
diamine.

  
 <EMI ID=228.1> 

  
 <EMI ID=229.1>   <EMI ID=230.1> 

  
diamine.

Exemple 6

  
D'autres composés de formules I, II et III séparés par les procédés des exemples et de la discussion précédente sont :

  
 <EMI ID=231.1> 

  
129-30[deg.]C.

  
 <EMI ID=232.1>  

  
 <EMI ID=233.1>  

  
 <EMI ID=234.1> 

Claims (1)

  1. <EMI ID=235.1>
    <EMI ID=236.1>
    1. Composé choisi dans le groupe comprenant les composés de formule :
    <EMI ID=237.1>
    formules dans lesquelles
    <EMI ID=238.1>
    n
    -C-CF2-Y, formule dans laquelle Y est l'hydrogène, le chlore, le <EMI ID=239.1>
    ou un radical de formule
    <EMI ID=240.1>
    formule dans laquelle chaque Z est indépendamment de l'hydrogène ou un halogène et n est égal à 0 ou 1 ;
    <EMI ID=241.1>
    l'hydrogène, 0
    "
    un radical de formule -C-O-Y formule dans laquelle Y est
    <EMI ID=242.1>
    le groupement benzoyle,
    furoyle,
    naphtoyle, ou <EMI ID=243.1>
    <EMI ID=244.1>
    formule dans laquelle chaque Z' représente indépendamment un reste
    <EMI ID=245.1>
    <EMI ID=246.1>
    0 ou 1, et la somme de p et de q est comprise entre 1 et 3 ;
    R<2> est
    Ro
    R1,
    <EMI ID=247.1>
    un groupement alcénoyle en C3-C4
    un groupement alcynoyle en C3-C4
    un groupement alcanoyle en C2-C4 halogéné portant en une ou plusieurs positions un ou plusieurs atomes d'halogène, chacun choisi indépendamment, en étant soumis à la limitation que la position alpha porte au moins un substituant choisi dans le groupe comprenant l'hydrogène et un halogène de poids atomique compris entre 35 et 127, ces deux limites étant comprises ;
    <EMI ID=248.1>
    R 4 est un reste nitro ;
    R est un groupement trifluorométhyle, dif luoromêthyle, ou
    difluorochlorométhyle, et dans des composés de formule II, R et
    <EMI ID=249.1>
    <EMI ID=250.1>
    <EMI ID=251.1>
    <EMI ID=252.1>
    m est compris entre 0 et 4 ;
    n est égal à 0 ou 1 ; et dans les composés de formule I, la somme de m et de n est un nombre entier compris entre 1 et 4 ;
    avec la limitation supplémentaire que lorsque R ou R<2>
    est l'hydrogène, la position en ortho sur le noyau par rapport au
    <EMI ID=253.1>
    R6 désignées.
    2. Composé selon la revendication J qui répond à la
    <EMI ID=254.1>
    <EMI ID=255.1> <EMI ID=256.1>
    6. Composé selon la revendication 1 qui répond à la formule II.
    <EMI ID=257.1>
    <EMI ID=258.1>
    <EMI ID=259.1>
    21. Composé selon la revendication 1 qui répond à la formule III.
    <EMI ID=260.1> <EMI ID=261.1>
    25. Procédé-de préparation d'un composé choisi dans le groupe comprenant les composés de formule :
    <EMI ID=262.1>
    formules dans lesquelles les différents symboles sont définis comme dans la revendication 1, gui comprend la réaction d'un composé choisi dans le groupe comprenant les composés de formule :
    <EMI ID=263.1> <EMI ID=264.1>
    formules dans lesquelles les différents symboles sont définis comme dans la revendication 1, avec un agent d'acylation de formule 0
    IV. HOC-CF2-Y
    formule dans laquelle Y est défini comme dans la revendication 1, ou un de ses dérivés actifs.
    26. Composition pesticide comprenant comme compose actif un
    <EMI ID=265.1>
    27. Composition herbicide selon la revendication 26 comprenant comme composé actif un composé selon l'une quelconque des revendications 1 à 24.
    28. Composition insecticide selon la revendication 26, comprenant comme composé actif un composé selon l'une quelconque des revendications 2 à 20.
    29. Composition parasiticide selon la revendication 26 comprenant comme composé actif un composé selon l'une quelconque des revendications 6 à 20.
    30. Composition acaricide selon la revendication 26, comprenant comme composé actif un composé selon l'une a &#65533;lconque des
    <EMI ID=266.1>
    31. Composition anthelminthique selon la revendication 26 comprenant comme composé actif un composé selon l'une quelconque
    <EMI ID=267.1>
    32. Composition nématocide selon la revendication 26 comprenant comme composé actif un composé selon l'une quelconque des
    <EMI ID=268.1>
    <EMI ID=269.1>
    ' ws
    tion 1, pratiquement tels que décrits présentement en se référant
    <EMI ID=270.1>
    ment tel que décrit présentement en se référant plus particulièrement aux exemples.
    35. Composition telle que définie dans la revendication 26 pratiquement telle que définie présentement.
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