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fabrication et articles de bonneterie produits à partir de ce filament.
L'invention concerne des perfectionnements aux filaments filés à l'état fondu à partir de polyamides linéaires synthétiques et, plus particulièrement, aux filaments composites de polyamides à deux constituants.
Les filaments et fils de nylon prédominent depuis longtemps sur le marché de la lingerie pour femmes. Depuis quelques années, il existe une forte demande de bas dits extensibles qui cent beaucoup plue petits que les jambes destinées
à les porter mais s'allongent suffisamment pour s'adapter aux jambes.
Des filaments frisables convenant particulièrement
à cette lingerie extensible sont décrits dans le brevet des
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frisables de nylon formés de deux constituants excentriques adhérents et continus, l'un des constituants étant formé essentiellement d'un homopolyamide fibrogène cristallin, l'autre constituant étant formé essentiellement d'un copolyamide statistique fibrogène non isomorphe contenant au moins 20% en poids de chacune des dévot mailles ou unités du polymère. Les constituants du. filament peuvent être en une relation excentrique
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filaments de ce genre dans lesquels un constituant polymère nylon 6-6 et un constituant copolymère nylon 6-6/6-12 (50:50)
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cités comme exemples, on peut utiliser d'autres copolymères
non isomorphes cristallisables dans lesquels les unités de polymère 6-6 sont remplacées par d'autres unités, y compris celles
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amide).
Des filaments des compositions spécialement décrites dans le brevet précité ont été employés dans l'industrie pour fabriquer de la lingerie de bonne qualité, parce que ces filamente préfrisés sont susceptibles de redévelopper une frisure
à l'encontre des tensions et des retenues imposées par lès mailles dans une étoffe tricotée, ce qui confère de l'extensibilité à la lingerie préparée à partir d'une telle étoffe. Cependant, il est reconnu que l'on a besoin d'améliorer encore les qualités et l'aspect des étoffes extensibles actuelles. En particulier, on a besoin d'améliorations à la durabilité , à l'ajuste! ment et à la rétention de l'ajustement du bas. On. désire aussi
des lingeries plus extensibles qu'il n'était possible antérieurement, de manière à obtenir une réduction du nombre de tailles nécessaires pour la gamme normale des tailles de jambe.
L'invention fournit une amélioration aux filaments
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cité, obtenue en choisissant une combinaison particulière de constituants qui n'est pas spécifiquement décrite dans le bre-
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La présente invention concerne un filament de nylon oomportant deux constituants excentriques adhérents et continus, l'un des constituants étant. une gaine de poly-hexaméthylène-dodécanedioamide, de poly-hexaméthylène-adipamide ou de
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L'essence de l'invention réside dans l'emploi de 25 à 45% en.poids d'unités nylon 6 dans le copolymère de coeur, en association avec certains homopolyamides déterminés pour la gaine. A mesure que la quantité d'unités nylon 6 dans le oopolymère de coeur augmente, la ténacité diminue jusqu'à des niveaux Inacceptables, et, à mesure que la quantité d'unités nylon 6 diminue, l'allongement des frisures diminue aussi. Les
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mère de coeur donnent des niveaux utiles de frisure.
Bien que les trois espèces de gaine donnent des filaments ayant d'excellentes propriétés d'extensibilité, supérieures à ceux de la technique antérieure, on a trouvé que les filaments à gaine de 6-12 présentent le meilleur allongement des frisures et le meilleur équilibre général de propriétés
et que les bas fabriqués à partir d'eux ont la meilleure extensibilité. les filaments à gaine 6-6 ont l'avantage d'avoir la plus faible retrait de frisures de trois espèces. Les filaments à gaine 6-6 ou 6 ont l'avantage d'un prix de revient du polymère inférieur à celui des gaines 6-12. Ainsi, bien que les filaments comportant l'une quelconque des trois espèces de gaine aient de meilleures propriétés que ceux de la technique an-
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propriétés les plus désirables, mais à un prix de revient un peu plus élevé.
Pour fabriquer les filaments à deux constituants de l'invention, on file à l'état fondu les deux constituants en utilisant l'ensemble de filière représenté sur la figure 3 du.
brevet des E.U.A. n[deg.] 3 399 108 précité. A la sortie de la filière, on refroidit rapidement les filaments, on les sépare en fils d'un ou plusieurs filaments, puis on les enroule sur une bobine intermédiaire avant de les étirer ou bien on les fait avancer en continu jusqu'à une zone d'étirage.
Les filaments comportent une gaine continue de l'homopolyamide choisi qui entoure un coeur excentrique (présentant une forme en D en section) du copolyamide. La gaine, en son point le plus mince, est de préférence aussi mince que possible tout en recouvrant complètement le coeur. Dans les filaments décrits ici à titre d'exemples, cette épaisseur ra-
<EMI ID=11.1>
vention avant de les tricoter, autrement dit on peut tricoter directement le fil fartant de l'étirage pour former une étoffe. C'est là un avantage important. De façon surprenante, le fil de l'invention, sortant de l'étirage, assure des propriétés d'extensibilité et de récupération de la lingerie qui sont notablement supérieures à celles du même fil, même s'il est préfrisé (Tableau 14), lequel est à son tour supérieur au fil préfrisé du brevet précité (bien qu'on n'emploie pas dans os der-
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procédé couplé dans lequel on commence par fondre les constituants et on finit par emballer le fil, prêt à être tricoté ou tieeé. L'utilisation d'un fil non préfrisé est avantageuse dans une opération de tricotage et conduit à des propriétés de frisures plus uniforme et à des défauts moindres. Pour développer la frisure, il suffit de chauffer l'étoffe tissée ou tricotée à une température de l'ordre de 100[deg.]C, comme on en applique couramment pendant le finissage usuel des étoffes.
5 Les filaments frisables commerciaux antérieurs ne présentaient
pas un retrait différentiel suffisant pour développer une frisure suffisante pour la première fois à l'encontre des retenues qui existent dans des étoffes et, c' est pourquoi, antérieurement, il était nécessaire de préfriser les filaments à deux
3 constituants avec une fixation thermique sous une tension pra-
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vées de fixation thermique et de "mémoire" cristalline à des forces de rétrécissement plus faibles, comme c'est le cas dans le 'brevet des E.U.A. n[deg.] 3 399 108 cité. Contrairement aux filanents commerciaux antérieurs, les filaments à deux constituants
de l'invention ont la propriété de développer une frisure suffisante pour la première fois à l'encontre des retenues de l'é-
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frisage tout en développant encore une frisure plus que suffisante par retrait sous la forme de l'étoffe, cela résulte de
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Toutefois, on peut préfriser les filaments de l'invention si on le désire. On peut effectuer le préfrisage par une suite d'étapes énumérées dans le brevet précité et consistant à friser par la chaleur sous une faible tension (ce qu'on appelle parfois relâchement thermique), à refroidir, et à allonger pour éliminer la frisure. Dans une autre variante encore, on peut aussi soumettre les filaments de l'invention à une série similaire d'étapes mais en omettant l'allongement final dans lequel on supprime la frisure.
De façon bien connue dans le filage de filaments à deux constituants, la grandes de la différence des viscosités
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mina la RV pour chaque constituant en utilisant le même solvant et la même concentration de polymère, la RV du polymère de gaine est de préférence inférieure de 2 à 8 unités environ à celle du polymère de coeur. Bien que les file de nylon 6-12//6-12/6, 6-6//6-12/6 et 6//6-12/6 ici décrits (// sépare les constituants 5 de gaine et de coeur tandis que / sépare les unités du coeur
copolymère) conviennent spécialement bien comme fils pour jambes de bas, leur usage n'y est aucunement limité . On prépare facilement aussi des fils pour bordures de bas de titres et
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) les usuels (par exemple 40 à 150 deniers). D'autre part, on
peut couper les filaments de l'invention en fibres discontinues
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ou en mélange avec d'autres brins pour préparer des étoffes qui, par traitement thermique subséquent, acquièrent du gonflant quand les fibres discontinues de l'invention rétrécissent et frisent.
EXEMPLE
On prépare trois filaments à deux constituants 6-12//6-12/6 selon l'invention présentant différentes quantités d'unités nylon 6 dans le coeur et on compare leurs propriétés à celles d'un filament similaire dont la teneur en unités nylon 6 ne rentre pas dans l'invention, et on les compare aussi
<EMI ID=19.1>
précité et de filaments commerciaux de nylon à deux constituants.
Un homopolymère nylon 6-12 et quatre copolymères statistiques nylon 6-12/6 présentant des rapports en poids 80/20,
70/30, 65/35 et 60/40, préparés par des procédés classiques,
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fondu juste avant son entrée dans le bloc de filières pendant l'extrusion des filaments, sont filés comme suit en filaments à deux constituants présentant des sections comme celles des filaments du brevet précité, en utilisant une filière corne celle représentée sur la figure 3 dudit brevet. Les deux types
<EMI ID=21.1> séparément au moyen d'extrudeuses à vis sole vide. Les deux masses fondues sont amenées par des pompes à engrenages séparées
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manière à donner un rapport en poids de 40/60 entre polymères ? de gaine (6-12) et de coeur (6-12/6), et les filaments résultants ont une épaisseur de gaine représentant, sur la partie
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A leur sortie de la filière, on refroidit rapidement les filaments dans une cheminée de 1,52 m en utilisant un courant d'air
<EMI ID=24.1>
gence en fils à trois filaments, les fils passent à travers une chambre de 1,92 m de longueur contenant de la vapeur d'eau
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bobines et on les étire à un rapport de 3,933X sur une broche d'étirage non chauffée située entre les rouleaux d'alimentation et d'étirage d'un métier usuel à retordre et à étirer. La vi-
-tasse périphérique du rouleau d'étirage est de 352 m/mn et le 'bobinage avec anneau et curseur qui suit l'étirage se fait à une vitesse de broche de 5689 tours/un de manière à donner une torsion de 0,162 tour/cm.
On traite de trois façons différentes des échantil]on de chaque fil de l'invention, entra le rouleau d'étirage
et le bobinage. Dans le premier trai-tement, on bobine chaque fil immédiatement après l'étirage, sans traitement thermique additionnel. Des fils ainsi préparés sont appelés "étirés à froid seulement" et sont désignés par la lettre de code D (ainsi,
<EMI ID=26.1> <EMI ID=27.1>
médiatement le fil sous tension, comme indiqué plus haut. Ces fils traités thermiquement sont désignés dans les tableaux par la lettre de code H. Dans le troisième type de traitement, après le passage sur les tiges, on commence par faire passer chaque
<EMI ID=28.1>
rage. On ajuste la tension de bobinage de manière à supprimer tout juste la frisure engendrée dans la région à très basse tension, pendant le chauffage et immédiatement après. Ces fils prêtrises sont désignés par la lettre de code P. Ce sont des
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précité.
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<EMI ID=33.1>
seulement" ont la plus grande ténacité et que le traitement
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pour les essais d'extension et de récupération à effectuer, mais on les tricote respectivement avec 432 et 60 rangées. On tricote le haut de la jambe avec 672 rangées, la diminution commence pendant les 12 rangées suivantes, et le bas de la jambe comprend 516 rangées. On tricote alors le pied avec 372 rangées en insérant -un deuxième fil dans la première, sur quelques mailles, pour servir de marque de talon..
Dans cet exemple et les suivants, les fils de bordure utilisés sont des fils extensibles du commerce du type texture
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ootage de bas ou de collants, on 'utilise deux sortes de fil, un fil de bordure et un fil de jambe. Les fils de bordure sont normalement dos fils de 40 à 50 deniers, contenant 6 à 13 filaments. On les utilise pour tricoter la partie formant culotte et les extrémités des collants et la bordure, la sous-bordure et les extrémités des bas ordinaires. Dans ces exemples, seules les jambes de chaque type de lingerie sont tricotées à partir des fils décrits dans les exemples. La "marque de talou" est simplement constituée par un seul brin d'un, autre fil visible
<EMI ID=36.1>
on passe d'une région tricotée en fil de bordure à une région triootée en fil de jambe, ou vice versa, on. double les deux 5 fils sur une partie d'une rangée pour fixer les régions ensemble. Tous les bas et les collants décrits ici sont tricotés oiroulairement en joint jersey uni partout.
Après tricotage, on commence par traiter dans un tam-
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minutes, puis on les rince dans trois bains d'eau pendant 5 minutes à chaque fois et on les soumet au cycle d'essorage d'une machine à laver domestique. On. forme les sacs en pliant de la
5 mousseline et en formant de façon permanente trois cotes. Quand
il est vide et à plat, chaque sac mesure environ 45,7 x 40, 6 cm.
On ferme les sacs remplis en liant leur quatrième côte. les
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<1> heure 15 minutes dans un bain classique de colorant dispersé. Après plusieurs courts lavages visant à éliminer l'excès de
solution de teinture, on essore à nouveau le bas. On termine le séchage à la température ambiante, chaque bas étant soigneusement posé à plat sur un dessus de table.
<EMI ID=39.1> 2,27 kg que l'on attache à l'extrémité du bas et que l'on descend lentement jusqu'à ce que le bas le supporte sans choc de traction. On fait la moyenne de 5 à 8 mesures pour obtenir l'allongement, la récupération et l'allongement transversal, indiqués au Tableau 4.
A des fins de comparaison, on prépare des filaments
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méthylène dodécanedioamide (6-12). La viscosité relative (RV), <EMI ID=41.1>
due en un point juste avant son entrée dans le bloc de filières, est de 50 pour le polymère- de gaine et de 63 pour le polymère de coeur. Lors de l'extrusion, on- refroidit rapidement les : filaments dans une cheminée de 1,52 m de longueur en utilisant
un courant transversal d'air à 21,1[deg.]C. On les fait simultanément converger en fils à 8 filaments, chaque fil étant tiré hors de la cheminée par le moyen des rouleaux d'alimentation
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passe sur un premier rouleau d'étirage fonctionnant à une vitesse périphérique de 2457 m/mn. Ensuite, chaque fil vient successivement au contact des côtés opposés de deux broches d'étirage chauffées à 200[deg.]C -tout en avançant jusqu'à une paire de rou-
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son chauffé maintenu à 145[deg.]C. Chaque fil fait plusieurs fois le tour de ces rouleaux et en sort pour arriver à un jet de préfrisage arrivant sous une pression de 2,04 kg/cm<2> et à une température de 186[deg.]C, puis passe sur un rouleau de descente ayant une vitesse périphérique de 2191 m/mn, sur un rouleau
<EMI ID=44.1>
est enroulé sur un tube à une vitesse de rouleau bobineur de
2502 m/mn. Le fil à 8 filaments a un titre de 18,3 deniers
(20,3 dtex) et une ténacité de 3,3 g/denier (3,0 g/dtex).
Le tableau 5 indique l'allongement des frisures (CE*) et le retrait des frisures (OS*) du fil, et aussi les propriétés du tricot. Antérieurement, on mesurait toujours l'allongement des frisures (CE) et le retrait des frisures (CS) en utilisant la première variante des méthodes d'essai décrites plus loin. Il faut noter que les valeurs CE pour les fils de l'invention sont très inférieures à celles qu'on obtenait antérieurement en utilisant des fils extensibles à deux constituants prêtrises mais que, malgré un faible CE, les fils de l'invention donnent des bas ayant des propriétés d'extensibilité très supérieures. Pour tenter d'obtenir des valeurs d'allongement des frisures présentant une meilleure corrélation avec les propriétés d'allongement du bas, on a mis au point la troisième métho-
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La valeur CE* du Tableau 5 pour le fil à deux constituants de la technique antérieure est généralement aussi grande que les valeurs CE correspondantes des Tableaux 1 à 3 pour les
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ralement très inférieure à celle que l'on trouve au Tableau 4 pour les fils de l'invention. Les raisons de cela ne sont pas entièrement connues, mais l'expérience montre que la CE* n'est
pas seulement une meilleure indication, de l'allongement final du bas que la CE, mais encore une valeur beaucoup plus repro- . duotible.
On prépare deux fils supplémentaires de comparaison
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précité d'une façon similaire à ce qui a été décrit, si ce n'est que dans un cas, on omet le traitement par le jet de préfrisage (ce qui donne des fils analogues aux fils de la serie
H de l'invention), et que, dans l'autre cas, on omet à la fois le traitement dans le caisson chauffé et le jet de préfrisage
(ce qui donne des fils analogues aux fils de la série D de l'invention). Dans les deux cas, les valeurs d'extensibilité sont moins bonnes que pour le fil préfrisé de la technique antérieure indiqué au Tableau 5.
A des fins de comparaison, on tricote un autre bas
et on le finit identiquement, en partant d'un fil commercial
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de bas tricotés à partir du fil commercial. Bien que l'extensibilité soit fonction de la taille (extensibilité transversale), de petites variations de l'extensibilité transversale ont peu d'effet sur l'extensibilité et la récupération du bas, et l'ac-
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tion par rapport à celle d'un bas produit à partir de fils du commerce, est très supérieur à ce qui pourrait s'expliquer par de petites différences de taille.
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bas tricotés à partir de ces fils, qui sont autrement conformes à l'exemple 1. En nome temps, on prépare de la même façon
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on la file à une température de la masse fondue d'environ 290[deg.]C.
Dans les Tableaux 6 et 8, les propriétés indiquées sont la moyenne de 6 à 8 déterminations. Dans les Tableaux 7
et 9, les propriétés des bas sont La moyenne pour quatre bas, chacun étant tricoté à partir d'une bobine séparée du type de fil indiqué. Les propriétés "hors du bas" sont mesurées sur un fil retiré du bas après mesure des ES et ER.
Les filaments à coeurs 6-12/6 (50/50) (en dehors de l'invention) sont difficiles à préparer et de titre non uniforme: Un collage entre filaments est fréquent. Bien que des bas
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élevées, ce qui ne pouvait pas être prédit d'après les valeurs CE* des fils correspondants, la durabilité de ces bas à l'usage est médiocre. Une étude statistique des résistances à la rupture des fils hors du bas (Tableaux 7 et 9) indiquent que la résistance à la rupture de chaque fil diminue de façon pratiquement linéaire à mesure qu'augmente le pourcentage en poids de nylon 6 dans le coeur de chaque filament. Au-dessus d'environ
45% de nylon 6 dans le coeur, les fils deviennent trop faibles pour avoir une durabilité suffisante à l'usage.
Quand on utilise du nylon 6-6 comme polymère de gaine au lieu du nylon 6-12, on obtient -une extensibilité et une récupération légèrement moindres, mais la diminution est faible en comparaison des propriétés d'extensibilité réalisables antérieurement avec des fils de bonneterie cocons à filaments
à deux constituants. Dans les deux cas, l'influence du pourcentage de nylon 6 dans le coeur sur 3. 'extensibilité est pratiquement la même. En dessous de 25% de nylon 6 dans le coeur, l'extensibilité devient insuffisante. Au-dessus de 45% de nylon 6 dans le coeur, non seulement les fils deviennent difficiles
à manipuler lors du filage mais ils ont aussi une résistance
à la rupture insuffisante.
Les exemples 1 et 2 montrent que des filaments dont
<EMI ID=55.1>
Impropres aux buts de l'invention.
Les exemples 1 et 2 montrent encore que, bien que les fils "étirés à froid seulement" (D) de l'invention soient meilleurs que les fils traités thermiquement (H) et prêtrises
<EMI ID=56.1>
ment connus.
Pour que la durabilité des bas soit suffisante, il est dessable que les filaments aient une ténacité à la rupture
<EMI ID=57.1> peut le voir sur le Tableau 6, que dans le cas de filaments à gaine de nylon 6-6, pour des valeurs supérieures à 5,0 g/denier,
<EMI ID=58.1>
lon 6.
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EXEMPLE 3
Cet exemple montre l'effet obtenu lorsqu'on fait varier la rapport pondéral gaine :coeur. On. prépare les échantillons
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si ce n'est que l'on fait varier le rapport pondéral gaine: coeur en réglant les débits des deux masses fondues arrivant à l'ensemble de filières. Les propriétés des fils sont indiquées au Tableau 10.
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Dans la gamme étudiée, les rapporta pondéraux gaine: coeur ont peu d'effet sur les propriétés du fil. Pour des filaments pour bonneterie avec la gaine représentant en son point le plus mince environ 1% du diamètre du filament, on obtient la fréquence maximale de frisure quand le filament
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fréquence de frisure ne dépend pas beaucoup du pourcentage de coeur. Sauf à l'extrémité inférieure de la gamme utilisable de pourcentages d'unités nylon 6 dans le coeur, des filaments comportant 30 à 70% en poids de polymère de coeur peuvent fournir
des niveaux utiles de frisure.
<EMI ID=66.1>
Cet exemple compare des fils et bas de nylon 6//6-12/6 à des fils et bas de nylon 6-12//6-12/6 et 6-6//6-12/6 préparés de façon équivalente. Les RV des polymères, déterminées juste avant l'entrée dans la filière, sont les suivantes :
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Les températures des masses fondues sont de 260 +- 3[deg.]C
<EMI ID=68.1>
pour celles à gaines 6-6. On fait fondre séparément les deux polymères appropriés dans des extrudeuses à vis sous vide et on les introduit, au moyen de pompes doseuses séparées réglées
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comme celui de l'exemple 1. On file des monofilaments, on les refroidit rapidement, on les conditionne à la vapeur, et on les double pour former des fils à deux filaments juste avant de bobiner les fils non étirés à 457,2 m/mn. Le courant transversal d'air de refroidissement qui circule dans la cheminée de 1,52 m de longueur est à 9,4 � 0,5[deg.]C. Le conditionnement
à la vapeur se fait dans une chambre de 1,92 m de longueur avec de la vapeur d'eau saturée à la pression atmosphérique.
On étire ensuite les fila filés à deux filaments en utilisant une broche d'étirage non chauffée située entre les rouleaux d'alimentation et d'étirage. le rapport d'étirage est de 4,225X à une vitesse de rouleau d'étirage de 540 m/mn. On bobine immédiatement les fils étirés en utilisant un bobinoir à anneau et curseur qui exerce une torsion de 0,132 tour/cm.
les propriétés du fil obtenu sont indiquées au Tableau 11.
On tricote des bas et on les essaie comme dans l'exemple 1, si ce n'est que la charge appliquée pour la détermina-
<EMI ID=70.1>
seulement étirés de l'exemple 1 ont un titre nominal de 16 demers tandis que les fils de cet exemple ont un titre nominal de 20 deniers. l'ajustement de la charge est proportionnel à la différence de titre des fils. Les caractéristiques du bas sont indiquées au Tableau 12.
A part les propriétés mesurées hors du bas du Tableau
12, toutes les mesures notées sont la moyenne d'échantillons
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pour les espèces à gaine nylon 6-6 et 6-12. Les propriétés hors du bas sont mesurées sur quatre bas des fils à gaine de nylon 6 et sur 2 bas de chacun des fils à gaine de nylon 6-6 et 6-12.
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Il ressort du Tableau 12 que, bien qu.e les bas de fils à gaine de nylon 6-12 soient supérieurs, les trois espèces donnent d'excellentes propriétés d'extensibilité.
EXEMPTE 5
Cet exemple compare des bas formés de filaments de l'invention et des bas formés de filaments du commerce en nylon � deux constituants.
De façon similaire à. l'exemple 1, on prépare des fila
<EMI ID=74.1>
comportant une gaine de nylon 6-12 et un coeur de nylon 6-12/6
(rapport pondéral entre 6-12 et 6 égal à 70:30).
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tivement, et le rapport pondéral gaine:coeur est de 40:60. Le titre du fil est de 23,3 deniers (26 dtex).
On prépare un fil témoin de 30 deniers à 2 filaments de la technique antérieure en doublant deux monofilaments com-
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On prépare ces monofilaments avec un préfrisage, substantiellement comme décrit à l'exemple VIII du brevet précité.
Les propriétés mesurées sur le fil à l'essai et un brin du fil témoin sont indiquées au Tableau 13.
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<EMI ID=78.1>
de taille moyenne. Le finissage des tricots avant usage consiste à les traiter à la vapeur dans un tambour à l'état non serré
<EMI ID=79.1>
sique, à les teindre avec un colorant dispersé, et à les fixer thermiquement sur un gabarit moyen dans un caisson à vapeur
<EMI ID=80.1>
Une équipe de 20 femmes portant normalement des bas de soutien ordinaires portent pendant 5 jours le collant à l'essai de l'invention. Une paire se détériore avant la fin de l'essai et une essayeuse cesse l'essai à cause d'un mauvais ajustement. Sur les dix-huit autres, seize trouvent que leur collant est 'bien ajusté et deux estiment qu'il est trop lâche. Douze sur dix-huit indiquent aussi que leur collant est égal ou supérieur à. leurs bas usuels quant au soutien assuré.
Une équipe de dix-neuf des vingt femmes ci-dessus portent pendant cinq jours le collant témoin. Il y a deux défaillances précoces et trois essayeuses cessent l'essai à cause d'un mauvais ajustement initial. Quatre des quatorze qui terminent l'essai trouvent que leur collant est bien ajusté, mais
<EMI ID=81.1>
torze trouvent que le soutien assuré est égal ou supérieur à celui de leur bas usuel.
On mesure l'extensibilité (HS) et la récupération
<EMI ID=82.1>
(II P) prêtrise selon le 'brevet précité. On effectue des mesures de façon similaire à partir d'un collant porté pendant 5 jours et tricoté à partir du fil à l'essai de cet exemple
<EMI ID=83.1>
minations, on applique une charge de 3,46 kg à la jonction entre le pied et l'extrémité. les résultats moyens pour les deux jambes de chaque collant sont indiqués au Tableau. 14.
<EMI ID=84.1>
L'exemple 5 montre qu'un bas formé à partir de fils de l'invention donne un meilleur ajustement qu'un bas en filaments du commerce en nylon à deux constituants. Il montre aussi que des filaments de l'invention sortant de l'étirage assurent
<EMI ID=85.1>
@aura
Cet exemple compare un bas supplémentaire formé à partir de filaments de l'invention et un bas formé à partir le filaments selon le brevet préoité.
On prépare des fils supplémentaires similaires à ceux de l'exemple 5 mais comportant 8 filaments et ayant un titre total de 15,6 deniers (17,3 dtex) par un prooédé dans lequel
<EMI ID=86.1>
par ailleurs similaire. Les propriétés moyennes de ce fil et d'un fil témoin décrit ci-après sont indiquées au Tableau 15.
<EMI ID=87.1>
Le fil témoin est un fil de 8 filaments et 18, 3 deniers (20,3 dtez) préparé avec un préfrisage comme indiqué à l'exemple VIII du brevet précité. Il a une gaine de nylon 6-6
<EMI ID=88.1>
port pondéral gaine: coeur et une excentricité identiques au fil à l'essai.
On tricote des collants. en utilisant les fils cidessus pour les jambes. La partie culotte est formée de fil du commerce en nylon de 50 deniers à 10 filaments, texturé par . fausse torsion. On utilise une machine à tricoter du commerce à deux chutes produisant un point de jersey uni, et les nombres de rangées et de mailles par rangée sont identiques. Afin d'obtenir des taillas finales égales pour les jambes avec les deux fila, il est nécessaire de tricoter les jambes à partir du fil de l'invention avec des mailles plus grandes, ce qui compense leur retrait plus grand. On teint le bas grège dans un bain de odorant dispersé du commerce, le bas témoin à 71,1[deg.]C et le <EMI ID=89.1>
ment toue les bas sur des formes de jambe à 118,3[deg.]C dans un caisson à vapeur. Les bas finis ont pratiquement la même taille comme l'indiquent les mesures d'extensibilité transversale.
Les bas tirés des fils à l'essai ont une apparence
plus plate et sont plus exempta de défauts visuels que le bas témoin. On sélectionne une équipe de vingt femmes pesant 49
<EMI ID=90.1>
5 Jours. Deux d'antre elles trouvent que la partie oulotte du collant à l'essai est trop serrée à porter. Un des collante témoins se détériore avant l'achèvement de l'essai. Les utilisatrices donnent à chaque collant une note pour l'ajustement. les résultats sont indiqués au Tableau 16.
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Il est évident que le collant à l'essai conserve son ajustement mieux que le collant témoin.
On mesure l'allongement des frisures (CE**) sur des
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lants identiques à tous points de vue au collant Initial non porté, si ce n'est qu'on les a fixés thermiquement. à la vapeur
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de CE** sont indiquées au Tableau 17.
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Il est évident que des températures de fixage inférieures à celles qu'on utilise pour le collant à l'essai donnent encore une meilleure extensibilité et que, pour le fil retiré du collant fini, les fils à l'essai sont nettement amé-
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entièrement inattendue étant donné les valeurs CE obtenues sur les fila avant tricotage (Tableau 15).
DEFINITIONS ET DESCRIPTION DE ESSAIS
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port de la viscosité absolue de la solution à celle du solvant <EMI ID=97.1>
mère en poids dans le solvant. Pour le copolymère de coeur, le Nylon 6-12/6, on peut utiliser l'un ou l'autre solvant mais les valeurs indiquées dans les exemples sont obtenues avec le mélange d'acide formique et de phénol.
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d *une trace enregistrée sur un analyseur contrainte-déformation.
La longueur de l'échantillon est de 25,4 cm et L'allongement
se fait à raison de 15 2 cm/mn. Avant l'essai, on conditionne le fil bobiné pendant au moins 24 heures dans une atmosphère
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en grammes au point de rupture, divisée par le titre en deniers du fil conditionné bobiné. L'allongement (E) est le pourcentage d'augmentation de longueur de l'échantillon au point de rupture.
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divisée par le titre en deniers au point de rupture. On la calcule par la relation :
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3: Propriétés des frisures. Dans les exemples ci"dessus, on mesure les propriétés des frisures par trois variantes de la môme méthode générale.
Dans la première variante, qui est depuis de longues années la forme normale de cet essai, on prépare un faisceau
de fils de 750 deniers en enroulant le nombre voulu de tours sur un râtelier pour former un écheveau d'environ 55 cm de long lorsqu'il est suspendu et qu'un poids y est attaché. Bien entendu, le titre de 11 écheveau suspendu sera deux fois celui
du faisceau, c'est-à-dire 1500 deniers. Initialement, on accroohe un poids de 500 g à l'écheveau suspendu. Au bout d'une minute, on mesure la longueur (a) de ;'écheveau. On remplace alors
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périeure à celle que subit habituellement le fil dans une étoffe tricotée légère. On expose l'écheveau, avec le poids attaohé, à de la vapeur d'eau à 100[deg.]C à la pression atmosphérique pendant 2 minutes. puis on le laisse sécher à l'air pendant
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tion :
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On calcule le retrait des frisures (CS) par la relation :
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d'un bas fini. Pour déterminer l'allongement des frisures (CE**), on prépare un écheveau de 45 m comportant 40 tours, on le laisse pendre librement pendant 30 secondes, on accroche à l'écheveau un poids de 1,8 g pendant environ 5 minutes, on note sa
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la CE est grande, meilleure est l' extensibilité à prévoir. De fapon surprenante, toutefois, les fils de l'invention donnent généralement de faibles valeurs CE qui ne permettent pas de prédire leurs propriétés d'extensibilité remarquablement améliorées dans le bas. En conséquence, on a mis au point une méthode d'essai modifiée (troisième variante) donnant des valeurs de propriétés de frisure qui sont en meilleure corrélation avec les propriétés actives d'extensibilité du bas.
Dans la troisième variante, on forme un écheveau de fil à partir d'un nombre entier (n) de boucles tel que le titre total de l'écheveau (2nD, D étant le titre du fil) soit aussi proche que possible de 2084 deniers. L'écheveau suspendu a
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l'écheveau suspendu dans l'air sous une charge de 695 g. On retire la charge lourde en laissant seulement son support d'aluminium qui pèse 2,5 g. On suspend l'écheveau et le support dans
<EMI ID=109.1> développement de la frisure. Retiré de l'eau, l'écheveau sèche
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indiquant cette méthode révisée) par les relations :
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4: Propriétés des bas. On détermine l'extensibilité (HS) et
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d'un collant ou d'un bas à une pince fixée à la jonction de la bordure et de la jambe. On mesure d'abord la longueur ini-
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marque de talon (le collant de l'exemple 5 n' a pas de marque de talon et on la mesure jusqu'à la jonction avec l'extrémité).
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de jambe à laquelle peut convenir un bas donné, ce qui veut dire qu'il faut moins de tailles de bas tricoté pour s'adapter
à toutes les grandeurs de jambes. De grandes valeurs de HR indiquent une rétention améliorée de l' ajustement.
On mesure les grandeurs de bas avec un appareil d'extension transversale "Hifomaco" (décrit dans le brevet des E.U.A.
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sion transversale indiquée ici est mesurée sur un bas fini non fixé thermiquement, dans le haut de la jambe à environ 10,2 cm en dessous de la sous-bordure et à la cheville à environ 5,1 cm au-dessus de la marque de talon.
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filaments à deux constituants que l'on a étiré, frisé pratiquement en l'absence de tension dans une atmosphère chauffée, puis étiré :pour supprimer la frisure avant bobinage.
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étiré et bobiné sans préfrisage.
REVENDICATIONS
1. Filament de nylon frisable comportant deux constituants excentriques adhérents continus, caractérisé en ce que l'un des constituants est une gaine de poly-hexaméthylène-
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du filament.