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Procédé te dispositif pour la fabrication de feuilles tcellablta f à la chaleur.
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La présente invention z trait z un proc4dd et à un , dispositif pouf la fabrication de boîtes avec t.tm.tut.. 4ih'tà obtenues à partir de feuilles scellables à la chaleut- notu.à1c, . de matières thermoplastiques et destinée. par exemple au abndi-
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tionnement de lait condensé, de sardines conservées dans l'huile, de conserves de fruits et de légumes*
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Les boîtes sont composées le plue souvent 46 .Ó(., .1 éléments) à .a'1011' le tdtt le fond et le 'QÜ'è"1.";: ,q.' Des bottes en pellicule thermoplà!lt14'16 <$e!iè ou en matériaux enduits de couchée 5cellables,, .,t:-l W.
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complexe s, peuvent être fabriquées par association aties:
soudure des éléments constitutifs', Les boîtes de ce type connues Juif*'
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ici montrent cependant en général des rebords plus ou moins 3st ges, Il manque jusqu> ce jour un procédé e3apx 'aai.ement réalisables permettant d'obtenir des soudures étanchez, pour fa- briquer les boites en question* Parmi les trois éléments constitutifs ci-dessus Motion'
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nés des boites, le fût peut 5tr fabriqué séparément en manchon . tubulaire sans soudure, OU en éludant itz;.tuda3.emt une '.feuille forage en cylindre., mali on petit égal ,>et la tabriquer ensemble avec le fond, au avec 4.
couvercle par étirage profond ;de flans. Dans ce qui suit on daignera par ailleurs par le mot #-couverple le fond, aussi bien que le aoüeraLo proprement dit* Un des objets de la présente invention est la fabricart tion de boites avec des couvercles sertis avec une soudure ayant une profondeur relativement peu importante et affectant de ce fait une zone restreinte de l'intérieur du fût.
De ce fait les boîtes peuvent être gerbées avec des partes de volume réduites
Un autre objet de la présente invention est un procède
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aat ei't'et dans Slan matir3au aallabxe ea cet effet dans lequel un flan,plat de matériau toullable avec 'on diamètre supérieur au diamêt* intérieur du fût, est posé ' avec centrage par celui-ci, est chauffé et est poussé z chaud vert l'intérieur du fût, avec évasèrent primitif du bord du fût et rabattement du bord du flan, lés deux borda se soudant, puis In . continuant la poussée sur le couvercle les bords évasés soudés sont reformes en cylindre par 0--r4leuicheuent dans une bagatgentou- rrait le fût.
Un autre objet de l'invention est un dispositif pour la mise en oeuvre..dudit procédé et comprenant notassent une bague
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chanfreinée pour :'vase.ent primitif et le retormage ultérieur des borde soudés* L'iuvantion sera plus afoément comprtte,.i l'aide des, figures annexées 1 jusqu'à 7.
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Les figures en exemple, de 1 jusqu'à 4 représentent cha- cane, en coupe, la moitié gauche d'un dispositif pour la réalisa- tion du procédé mentionné dans quatre différentes phases succes- sives d'un cycle opératoire.
Les figures 5 et 6 montrent chacune un exemple de botte en coupe vue d'en bas,
La figure 7 représente une botte vue de face.
On peut utiliser des feuilles scellables simples,ou des complexes ayant au moins une face scellable* Ainsi on peut mettre en oeuvre des feuilles de polyéthylène de toute nature,ou des feuilles de polypropylène. Dans le cas où l'on désire assurer
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la possibilité de stérilisation en boite des II16t1ère. condition* nées, on doit se servir de polyolefines ayant un poli t de tau- $ion supérieur à la température de stérilisation, notamment eue"' rieur à 100*p par exemple de palyolétinca bann pression. Les feuilles peuvent contenir des additifs,.des charges, et*.
Par ailleurs on peut mettre en oeuvre aussi des
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feuilles d'aluminium avec un enduit seellable sur au moins une face, par exemple de polyéthyiène haute ou bas,le pression. De tel complexes comprenant du métal ont .'.wantage d'une imperméabilité absolue aux gaz.
On peut obtenir des 'bottes il. fenêtre transparente (pour
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l'inspection du contenu) en utilisant des fûts ou couvercles com- portant une t".n.t"--- - L'invention se prête à la fabrication de boites dont le fût ne comporte pas d'arêtes vives, avec une section circulai- re, ou carrée à coins arrondis, du type des bottes à sardines. On
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peut appliquer le procédé également à la fabrication do bdtea de hauteur plus petite que le diamètre, telles qu'on les etmpl1. POUX, le conditionnement de conserves d'oeufs, de poirsons, de plt t etc.
Dans la réalisation mécanique du procédé on se sert de ! préférence d'un dispositif qui permet le sertissage et la soudure,
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du couvercle dans le fût, et aussi l'estampage du flan pour le couvercle.
Dans ce qui suivra on se référera notamment à un tel dispositif, Mais, l'estampage des flans peut être effectua éga- lement dans une opération séparée.
Dans l'example de réalisation selon les figures 1 à 4 une boite est fabriquée à partir d'un complexe se composant d'une couche scellable hachurée et d'un support non-scellable en traits épais, par exemple à base d'aluminium.
Le fût 1 qui a été fabriqué préalablement par un pro- cède quelconque,est placé sur un rebord décolleté du piston de fond 2, et engagé dans un manchon dont le diamètre intérieur correspond exactement au diamètre extérieur du fût. Ce manchon se compose d'une partie supérieure 3 et d'une partie inférieure
4. Le bord supérieur de la partie 3 est intérieurement chanfrei- né.
Au-dessus de la partie supérieure 3 du manchon se place un piston de soudure 5, chanfreine en bas à l'extérieur de façon à s'adapter sur le chanfrein intérieur de la partie 3.
Entre la partie 3 du manchon et le piston 5 est centra un flan plat 6 qui a un diamètre un peu plus grand que le fût, de sorte que ce flan déborde uniformément. Le flan est du même matériau que le fût, la partie scellable étant en-dessous.
La confection et la mine en place du flan 6 s'effectue très simplement par un couteau annulaire 7 entourant le piston de soudure 5. Une famille 6a pouvant provenir d'un rouleau est posée sur l'ouverture de l'ensemble du manchon 4 et du fût 1 qui y est engagé et le couteau circulaire est descendu jusqu'à l'em- mancheuent extérieur sur la partie supérieure 3 du manchon, avec estampage d'une rondelle dans la feuille.
Dans la figure 1 le piston de soudure 5 est en position levé 1 et de même le couteau circulaire 7. La feuille est posée-- sur l'ouverture du fût et de l'organe 3,4 qui le supporte.
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Dans la figure 2 le couteau circulaire 7 est baisse #* est venu sectionner la feuille, laissant la rondelle 6 centrée*
Ensuite, comme on le voit dans la figure 3,le pi&ton de soudure 5 est abaissé et son chanfrein inférieur vient écraser
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la bordure du flan 6 et le bord supérieur du fût 1 contre 10 chanfrein supérieur de la partie supérieure 3 du manchon 3,p4,, Le piston de soudure est chauffé par un organe de chauffage 8 à une telle température que l'écrasement des bords du flan et du fût s'accompagne d'un scellage. '
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Il s'est avuré que la largeur de la soudure, 0,*et3t-à-0 dire des bords du flan et du fût qui sont soudés ensemble, peut . être étonnamment faible.
Pour des bottes destinées au condition-
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nement de lait concentré avec un contenu utile d'environ 100 grs.,'3 cette largeur peut être comprise entre 0,5 et 2 mm. Il convient de noter à ce sujet que dans les figures 1 à 4 cette largeur a été grossie seulement pour les besoins de la démonstration.
Enfin, la dernière opération du cycle de confection
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d'une boîte est mise en évidence dans la figure 4,,lue piston de 1 ti soudure 5 est a.xit.nnent creux et la tige d'un piston 9 la tra- verse. Celui-ci est descendu en même temps que le piston de fond
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9# la position du piston de soudure 5 restant fixe. Le piston 9 vient s'appuyer contre la partie centrale du flan 6 abouti
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par la précédent* opération et soudé au fût par son bord. Sa pour-] suivant sa course le piston 9 oblige la fût 1 et son couverale a 1 glisser vers le baeans le manchon 3,4 et de ce fait le double bord soudé avance, et, encore chaud, par écrasement, est redressé. cylindriquement et en même temps stabilisé.
En continuant sa descente sous l'influence de la poussée du piston 9, le fut 1 avec son couvercle maintenant solidement serti, est refroidi dans la partie 4 du manchon 3,4 qui cet munie à cet effet d'une chemise froide 10 et le fût quitte enfin le manchon 3,4 en bas ;il peut
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;ta -1 alors être retiré du piston de fond 2.
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Les mouvements des différents organes mobiles 2,3,4,
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7,9 peuvent être datent @ynchronisés par des Moyens mécanique' connus, qui peuvent être pilotée dans le temps par d'autres noyons connue.
La programmation des mouvements peut par exemple être réalisée par un jeu de cames.
Le procédé peut être utilisé tant pour le montage-ser- tissage du couvercle que celuidu fond, ou bien pour le ou* varcle, ou le fond seulement, alors que l'autre élément est si* en place par des moyens différents, ou encore le fût est fa- briqué d'une seule pièce, avec le fond, par étirage profond d'un flan.
Il est intéressant de souligner que le procédé per- met de fabriquer des boîtes à conserves à partir de feuilles métalliques dont une seule face- est enduite de matière thermoplas- tique scellable. Dans ce cas le- fût est confectionne a partir d' un format rectangulaire, qui est Modèle en cylindre, avec liane duit à l'intérieur, les deux bords sont plies vers l'extérieur lors de leur rapprochement et sont soudés en II. comme le mon- tre la figure 5.
Le double bord soudé est rabattu et est pressa vers l'intérieur pour rétablir l'exacte forme cylindrique du fût, suivant figure 6. Le procède permet d'utiliser efficacement de$ fûts cylindriques ainsi confectionnés et de réaliser des soudures absolument étanches avec le ou les couvercles*
Au !moyen du procédé selon l'invention on peut tabriquer mécaniquement et de façon très simple des boîtes, à partir de feuilles dont soit une face soulagent,, soit les deux faces.sont scellables, ces bottes pouvant être obturées éventuellement après le remplissage, avec l'assurance de parfaite étanchéité des soudures.
Cependant, dans le cas des feuilles métalliques, l'enduction sur une face est sensiblement plus simple que sur les deux,
Il est bien évident que les exemples de réalisation
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décrits ci-dessus ne sont point limitatifs de l'invention qui
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s'étend dialemeat 1 toute variante dans le même esprit.