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SOCIETE : A. G. FUR TECHNISCHE NEUHEITEN, résidant à
BINNINGEN (Baie) (Suisse).
(Mandataire : E. LAGUESSE-HAMAL).
MACHINE POUR TENDRE ET FERMER UNE BOUCLE PASSEE AUTOUR
D'UN PAQUET.
Lettre rectificative jointe pour valoir comme de droit à la date du 9/1/56: Page 5, ligne 3 du bas, changer figure 17 en "figure 16".
Page 10, ligne 17, changer "dents 34" en "dents 36".
Page 10, ligne 8 du bas changer "pivot 76" en "pivot 74".
Page 17, ligne 18, après "ressort d'accouplement" ajouter "96".
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On sait entourer des paquets avec du fil ou un ruban métallique et assembler les deux extrémités de la boucle après avoir tendu cette dernière. On connaît des machines actionnées à la main, ainsi que des machines à moteur, servant à tendre et à fermer la boucle. Les machines,. actionnées à la main sont facilement transportables et possèdent des leviers à main ou des manivelles à main pour actionner les dispositifs de tension et de fermeture du fil ou du ruban métallique. Leur maniement exige de
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l'opérateur une grande dépense de force et il est en conséquence très fatigant à la longues en particulier avec des paquets exigeant une course de tension relative- ment longue pour que la boucle soit serrée, par exemple des paquets dont le contenu est très souple.
En pareils cas, il faut souvent retendre la boucle à plusieurs reprises.
Cela demande beaucoup de temps. De plus, avec ces machines, le fil ou le ruban ne peut pas être toujours uniformément tendu, la tension à un moment donné dépendant de la force déployée à ce moment par l'opérateur. Il est cependant fâcheux qu'il intervienne dans ces conditions une trop forte tension du fil ou du ruban, car elle est la plupart du temps la cause de la brusque rupture de ce fil ou de ce ruban en cours de transport du paquet ou lorsqu'on le laisse tomber.
Parmi les machines actionnées par moteur, on connaît une machine à tendre le fil métallique facilement transportable qui ne présente toutefois qu'une course de tension limitée. Elle est pourvue de disques d'excentrique et de bras de tension et elle accomplit automatiquement le passage de l'opération de tension à l'assemblage en torsade des extrémités du fil métallique immédiatement après l'opé- ration de tension. Cette machine a l'inconvénient que la course de tension limitée sur laquelle est tendu le fil métallique passé autour du paquet ne suffit pas, avec de gros paquets et en particulier avec des paquets souples, à donner au fil métallique de ficelage la tension voulue avant que ses extrémités soient torsadées.
D'autres machines destinées à tendre et à fermer un ruban de fermeture à l'aide d'un moteur possèdent bien des dispositifs pour régler la tension du ruban; toutefois ,- on ne peut plus alors retendre la boucle du ruban avant la mise en train de l'opération de fermeture; la tension du ruban ne peut plus être réglée pendant l'opération de tension
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ou après son achèvement parce que l'opération de fermeture fait suite immédiatement à l'opération de tension. Par suite, la tension du ruban à un moment donné dépend de la limite le tension ajustée dans le dispositif de tension, limite après dépassement de laquelle l'opération de tension est automatiquement interrompue et entre aussitôt en jeu le dispositif de fermeture.
Il n'est cependant pas toujours possible d'évaluer exactement le réglage voulu de la tension avant que la boucle soit serrée. En conséquence, le travail avec ces machines ne donne pas toujours un résultat sa- tisfaisant.
La présente invention se propose de réaliser de telles machines actionnées par un moteur de manière que la tension de la boucle puisse encore être réglée, même après que l'opération de tension est achevée et avant le début de l'opération de fermeture. L'invention se rapporte à une machine actionnée par moteur en vue de tendre et de fermer une boucle passée autour d'un paquet, ladite machine pré- sentant un dispositif de tension actionné par l'Intermédiaire d'un accouplement à glissement et destiné à serrer la boucle et un dispositif de fermeture actionné par le même moteur et destiné à réunir réciproquement les extrémités de la boucle, le dispositif de tension étant automatiquement arrêté une fois atteinte une tension de la boucle déter- minée par le pouvoir de transmission de la force de l'accou- plement à glissement,
et caractérisée par le fait que le dispositif de tension, ainsi que le dispositif de fermeture, sont actionnés aveo l'inclusion d'un embrayage pour chacun.
L'accouplement a glissement peut être constitué en même temps en embrayage pour le dispositif de tension. Il peut se composer par exemple d'un accouplement électro-ma- gnétique aveo pouvoir de transmission de la force modi- fiable par une résistance de réglage et auquel un organe
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interrupteur est conjugué de manière à interrompre l'arrivée du courant à ltaccouplement sous l'effet de son glissement.
L'invention réunit les avantages des machines astuelles actionnées par moteur et des machines actionnées à la main, dans lesquelles les opérations sont séparées l'une de l'autre dans le temps entre la tension et la fer- meture, sans qu'on soit obligé de prendre son parti des incon- vénients indiqués de ces deux catégories de machines.
La boucle passée autour du paquet peut être retendue par -moteur après l'achèvement de l'opération de tension déter- minée par l'accouplement à glissement, avant que soit embrayé le dispositif de fermeture.C'est seulement,après qu'on a retendu la boucle une ou plusieurs fois et qu'on a trouvé de cette manière la tension optimum de cette boude que l'on actionne l'embrayage du dispositif de fermeture.
La machine peut être constituée de telle manière que cet embrayage puisse être actionné au choix automatiquement;ainsit dans le traitement d'une série de paquets de même nature, une fois trouvée et réglée la limite de tension exacte pour l'arrêt de l'opération de tension, l'embrayage du dispositif de fermeture est commandé automatiquement pour toute la série suivante.
Aux dessins annexés qui représentent des exemples de réalisation de l'objet de l'invention:
Fig. 1 est l'élévation d'une machine à tendre et fermer un ruban vue par devant.
Fig. 2 est une vue de profil dans la direction de la flèche 148.
Fig. 3 représente la mène machine vue en plan.
Fig. 4 est-la coupe transversale suivant la ligne A-A de la Fig. 1, avec embrayages dégagés à la main.
Fig. 5 représente de la même manière l'embrayage
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du dispositif de tension à l'état engagé.
Fig. 6 représente de la même manière cet embrayage à l'état dégagé par l'accouplement à glissement.
Fig. 7 est l'élévation vue par derrière, en partie en coupe suivant la ligne B-B de la Fig. 8, du més de commande.
Fig. 8 est une vue en plan correspondante
Fig. 9 représente de la méme manière que 1. la partie comprenant l'interrupteur de courant, l'excentrique et le poinçon de fermeture.
Fig. 10 est une vue en plan correspondante.
Fig. 11 est une coupe suivant la ligne C-C de la Fig. 10.
Fig. 12a est une vue en élévation de l'excentrique.
Fig. 12b est une vue en plan correspondante.
Fig. 13 représente dans sa moitié supérieure une cou- pe suivant la ligne D-D et dans sa moitié inférieure une coupe suivant la ligne E-E de la Fig. 14 qui représente de la mène manière qu'à la Fig. 4 une autre fo de réalisa- tion de la partie contenant l'accouplement à glissement.
Fig. 15 représente de la même manière que la Fig. 5 une autre tonne de réalisation de l'embrayage du dispositif de tension.
Fig. 16 est l'élévation d'une machine à tendre et torsader le fil métallique vue par devant.
Fig. 17 en est une vue de profil dans la direction de la flèche 149.
Fig. 18 est une coupe suivant la ligne F-F de la Fig. 17.
Fig. 19 est-une coupe partielle suivant la ligne G-G de la Fig. 18.
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Fig. 20 représente de la même manière que une forme de réalisation aveo dispositif de commutation actionné au choix automatiquement ou à la main.
Fig. 31-est une vue en plan correspondante.
La ma chine à fermer un ruban suivant les Fig. 1 à 12 comporte une plaque de base 1 ainsi qu'il ressort en parti- culier des Fig. 1 et 2. Sur cette plaque est fixée une enveloppe 2 fermée enhaut par une plaque de recouvrement 3.
Celle-ci présente un passage vertical dans lequel est en- foncée une douille taraudée 4 indiquée aux Fig.2 et 7.
Avec cette douille est en prise un axe 5. Sur la plaque de recouvrement 3 est fixé un carter d'engrenage 6 qui contient un engrenage démultiplicateur actionné par un moteur 7.
Le carter de ce moteur présente, ainsi qu'il résulte de la Fig. 7, une queue de centrage 14 qui est enfoncée dans une percée correspondante de la paroi adjacente du carter 6.
L'arbre 11 du moteur traverse en son centre une percée formant palier de la queue de centrage 14. Suivant la Fig. 8, l'arbre 11 du moteur est pourvu d'une vis sans fin 12 et il est monté dans la paroi opposée du carter 6 dans une douille 13. La vis sans fin 12 est en prise avec une roue hélicoïdal 10 qui est clavetée sur un arbre vertical 8. Conformément à la Fig. 7, l'arbre 8 est monté pour tourner, d'une part dans un palier à collets enfoncé dans le fond du carter 6 et d'autre part dans une douille 9 enfoncée dans la plaque de base 1. Sur l'arbre 8 est calée une vis sans fin 15 qui est' en prise avec deux roues hélicoïdales 16, 17. La roue.- ' hélicoïdale 17, conformément aux Fig. 4 et 6, est olavetée sur un moyeu 18a placé après une enveloppe d'accouplement 18.
Du côté opposé l'enveloppe 18 est ouverte et pourvue d'un taraudage dans lequel est vissé à demeure un couvercle 19.
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Celui-ci constitue en même temps une des moitiés d'un accouplement à glissement et il est pourvu sur sa face interne de dents obliques 20 qui sont en prise avec des dents obliques correspondantes 20 d'une moitié d'accouple- ment 21 disposée dans le palier 18 de manière à pouvoir se déplacer axialement par rapport à la première moitié* La moitié d'accouplement 21 se trouve sous l'influence d'un ressort d'accouplement 22 placé dans l'enveloppe 18 et s'appuyant d'autre part aufond de cette enveloppe. Ce ressort est un ressort hélicoïdal de pression placé sous une tension préliminaire déterminée d'avance. La moitié d'accouplement 21 est montée pour coulisser longitudinale- ment sur un arbre creux 23 sur lequel le moyeu 18a est monté fou.
L'arbre creux 23 est monté de son côté dans un palier 41 qui est placé dans une partie correspondante de l'enveloppe 2 de manière à pouvoir se déplacer dans la direction transversale dont il sera encore question ci-des- sous* Un anneau 24 placé contre le couvercle 19 de l'en- veloppe empêche l'arbre creux 23 de se déplacer axialement dans une direction* Une tige de commande 37 mobile longitudi nalement est montée dans l'arbre creux 23. A cette tige de commande est fixée la moitié mobile d'accouplement 21 au moyen d'une goupille transversale 25 qui traverse une saillie en forme de moyeu de la moitié d'accouplement 21; cette goupille 25 passe à travers deux trous ovales 26 de l'arbre creux 23 diamétralement opposés l'un à l'autre.
A son extrémité opposée, l'arbre creux 23 présente un autre trou ovale 39. Les axes des trous ovales 26 et 59 sont diri- gés dans le sens de l'axe de l'arbre creux. Une goupille transversale 38 passe à travers le trou ovale 39 ; cette goupille repose dans une percée transversale ajustée de la tige de commande 37 et traverse, extérieurement au trou oval.
39, un autre trou ovale 40 percé dans le manchon 27 d'un
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embrayage. Un :ressort de glissement 28 empêche ce manchon de tourner, maie celui-ci est posé sur l'arbre creux 23 de manière à pouvoir coulisser longitudinalement et présente sur sa face en bout interne des griffes 29 qui coopèrent avec des griffes 30 d'une moitié d'embrayage non coulissante constituée par une roue de tension SI* Cette roue est mon- tée pour tourner sur l'arbre creux 23 au moyen d'une douil- le 33 et elle est assurée contre tout déplacement longitudi- nal par une collerette 42 du palier 41 d'une part et par un collet de l'arbre creux 25 d'autre part.
Elle est pourvue de dents à griffe 32 sur toute sa périphérie; ces dents sont interrompues en leur partie médiane par une rainure circu- laire creusée à la fraise dans la roue 31. Du côté tourné vers la collerette 42, la roue 31 est pourvue d'un moyeu sur lequel est placée une roue d'arrêt 34 réuni à ce moyeu au moyen de goupilles 35. Un cliquet d'arrêt 70 est en prise avec les dents 54; suivant les Fig. 1 et 4, ce cliquet est monté pour pivoter sur un pivot constitué par un boulon 69 vissé à demeure dans l'enveloppe 2, et il est élastiquement maintenu en prise avec les dents 34 au moyen d'un ressort 71.
Ainsi qu'il ressort de la Fig. 1, un point d'appui 100 en forme de plateau est placé à demeure sur la plaque de base 1, au-dessous de la roue de tension 31; sur sa face supérieure ce point d'appui est pourvu de stries pointues qui, comme les dents 32, sont dirigées parallèlement à l'axe de la roue de tension. Le palier 41, assuré contre tout déplacement axial dans l'en... veloppe 2 par les collerettes 42 prévues à ses deux extré- mités, est monté pour pouvoir se déplacer en direction du point d'appui 100, c'est-à-dire donc dans le sens vertical, dans un guidage 43 que l'en peut voir à la Fig. 7. Il présente, sur sa face supérieure une cavité cylindrique centrale dans laquelle est monté pour tourner un disque 44.
Celui-ci est
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placé à l'extrémité inférieure de l'axe 5 et il est assuré contre tout déplacement axial par rapport au palier 41 par un disque de recouvrement 45 qui est fixé sur le corps du palier 41 par des vis (non figurées) et qui est pourvu d'une percée pour permettre à l'axe 5 de traverser un palier à collets 46 placé contre le carter d'engrenage 6. A l'ex- trémité supérieure de l'arbre 5 est fixé un volant à main 47.
En faisant tourner le volant 47 on peu,t ajuster l'axe et par conséquent la roue de tension 31 à des positions en hauteur différentes dans lesquelles cette roue est main- tenue par blocage automatique du fait du filetage*
Conformément à la Fig. 4, la roue hélicoïdale 16 est calée sur un arbre 48 parallèle à l'arbre creux 25 et qui est monté au moyen d'un coussinet 56 dans la même partie de l'enveloppe 2. Le coussinet 56 est fixé à demeure dans cette partie de l'enveloppe. La roue 16 est appliquée d'une part au coussinet 56 et d'autre part à un anneau de serrage 49 placé sur l'arbre 48. Du côté opposé du coussinet 56 est monté pour tourner librement sur l'arbre 48 un plateau d'excentrique 54 qu'un collet de cet arbre empêche de se déplacer longitudinalement.
Ce plateau pré- sente un segment denté 57 qui s'étend sur une partie de sa périphérie ainsi qu'on peut le voir sur la Fig. 12a. Sur sa face en bout opposée au coussinet 56, le plateau d'excen- trique 54 présente des griffes 53 avec lesquelles coopèrent des griffes correspondantes 52 formées sur un manchon d'em- brayage 50. Celui-ci est monté sur l'arbre 48 au moyen d'un ressort à glissement 51 pour pouvoir se déplacer longitudi- nalement mais non tourner, et un disque 55 calé sur l'arbre 48 par une vis centrale empêche de retirer le manchon 50.
Conformément aux Fig. 9 et 10, le segment denté 57 du plateau d'excentrique 54 coopère avec une petite roue dentée 59 qui est montée sur la partie rotative d'un t
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interrupteur 58 du courant du moteur-, partie présentant un bouton 6 que l'on actionne à la main. Conformément à la Fig. 11 ce'!; interrupteur est fixé après l'enveloppe 2 et il présente un organe ,de co@@@utation 58a qui coopère avec des contacts fixes correspondants pour connecter et déconnecter le courant du moteur
A l'enveloppe a paliers 2 est fixée de plus une enveloppe 60 en forme de boite qui forme un guidage vertical pour un poinçon de fermeture 62.
Celui-ci est pourvu de tenons 63 en saillie de part et d'autre et qui dé- passent chacun par un trou ovale 64 de l'enveloppe 60. A l'extrémité libre de chacun des tenons 63 s'accroche un ressort de rappel 65 qui est fixé d'autre part à une gou- pille 66. Les goupilles 66 sont fixées sur l'enveloppe 60 sur laquelle elles font saillie. Sur sa face inférieure l'enveloppe 60 est pourvue, conformément à la Fig. 9, d'un évidement 61 qui sert à guider une douille de fermeture destinée à être enfoncée dans cette enveloppe. Au-dessous est placée une matrice 67 introduite et fixée dans la plaque de base 1 et avec laquelle coopère en s'y ajustant un mentonnet à empreindre 68 posé à l'extrémité inférieure du poinçon.
Le mentonnet à empreindre 68 est adapté au mode de fermeture prévu à un moment donné, selon que la machine doit fonctionner avec ou sans douilles de fermeture-*
Conformément aux Figs. 1 et 2, une fourche à paliers 72 est fixée à l'enveloppe 2, et entre ses branches 73 èst- articulé au moyen d'un pivot 76 un levier à mains 75 dirigé vers le haut. Conformément à la Fig. 1, l'extrémité inférieure du levier à mains 75 est pourvue de branches de fourche demi-circulaires qui entourent à moitié le manchot* 27 et sont pourvues chacune d'un tenon concentrique 76 à leu partie extrême.
Ces tenons 76 sont engagés dans une rainure circulaire 77 fraisée dans la partie médiane du manchon 27, de telle manière qu'en faisant pivoter le levier à maine 75
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on, peut déplacer le manchon 27 axialement sur l'arbre creux
23 et mettre les griffes 29 en prise avec les griffes 30.
Une autre fourche à paliers 78 est fixée de façon analogue à l'enveloppe à paliers 2; entre les branches 79 est monté au moyen d'un pivot 80 un autre levier à mains
81, pourvu lui aussi de branches de fourche demi-circulaires pourvues de tenons d'entraînement 82 coaxiaux tournés l'un vers l'autre et qui sont engagés dans une rainure circulaire 95 fraisée dans le manchon d'embrayage 50. En faisant pivo- ter le levier à main 81 on peut en conséquence déplacer axialement sur l'arbre 48 le manchon d'embrayage 50, de telle manière que ses griffes 52 peuvent être mises en prise avec les griffes 53 du disque d'excentrique 54,
Conformément aux Fig. 1 à 3, sur chaque coté de l'enveloppe à paliers 2 est fixé un support avec une poi- gnée sphérique 97 à son extrémité.
En saisissant ces deux poignées, l'opérateur peut amener la machine à son lieu d'emploi et celle-ci est alors posée par sa plaque de base 1 sur le paquet à traiter comme tel est le cas à la Fig. 1 pour un paquet 99 indiqué seulement par sa face supérieure. Le ruban d'acier prévu est ensuite passé autour du paquet 99 en formant la boucle habituelle sur laquelle a été passé le cas échéant une pièce de fermeture qui vient s'appliquer sur les deux extrémités superposées de la boucle. Puis le ruban d'acier avec la douille est introduit par devant dans la machine de manière qu'il vienne s'appliquer au milieu sous la roue de tension 31 et sous l'enveloppe 60 du poinçon.
Foux tendre le ruban, on déplace alors en premier lieu vers le bas l'axe 5 et avec lui l'arbre creux 23 en même temps que toutes les pièces placées sur celui-ci en faisant tourner le volant 47, -le palier 41 glissant alors dans le guidage vertical 43. La roue de tension 31 vient alors en prise avec le ruban d'acier et le serre à fond contre la
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plaque d'appui striée 100. Dans o3 :-:.n;:,ve:Íd.. descendant, la roue hélicoïdale 17 roule sur la vis ss fis 15 !Figo7).
Pais on connecte le moteur 7 en tournant le ban tan d'interrupteur S dans le sens de la flèche représentée à la Fig. 9 et on fait ainsi démarres 1; acteur 7 dans le cas où celui-ci n'a pas déjà .=3 mis en r.arci-5 précédemment.
2ar l'intermédiaire de la vis sans f'. 7Z, de la roue hélicoïdale 10 et de la vis ssns fin :"0; le moteur fait tourner en sens contraire iss roues 1J.±::¯';c)ïj,ales 16 et ,:.'i selon les sens de ro tat : s indiqués y.;'r des flèches à la ]?ig. 7. L'enveloppe d'acccj:.l)19m.ant 1 - ûici pe à le = c tc,r''.on de la roue hélicoïdale in7 avec la mo:.,<. d'accouplement: 19.
Du fait du re ssort 22 qui =3 e:: <;;011'::,:;,'(3 G:rlit9 c1ern;;':.'2 la moitié d'accouplement 31 e3116ci :.-v ci pe au I.lv'\2;.:e<'t:;:;l1 t et entraîne avec elle l'arbre ersîîs f:c9 ç i.n.3i que la tige de commande 37, du fait de la goupille r-c=:.s.ve s:'1 e S5û L=- mouvement de rotation est transmis psi5 Pin.. ter11lélliair'3 de la goupille transversale 38 au nanchon 37 qui tourne dans le sens de la flèche indiquée à la Fig. 1 pour le roua de tension SI L'opérateur, saisissant alors la poignes fait pivoter le levier 75 dans la direction de la flèche indiquée à la Fig.
2, ce qui a pour conséquence un dépla- cement correspondant du manchon 27 et par- suite l'engagement de l'embrayage à griffes, les griffes 29 et 30 venant en prise entre elles.. De ce fait la roue de tension 31 est rigidement réunie au manchon 27 (Fig. 5). La goupille transversale' .
38 de la tige de commande 37 qui était antérieurement appli- quée, (Fig. 4), contre le flanc a du manchon 27 limitant le
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trou ovale 40, est appliquée maintenant (l?ig 5} contre le flanc opposé 1!.. Corn::le le- ruban d'acier repose par l'extré- mité inférieure de la boucle S {Fig. 1) sur la plaque d'appui striée 100 et que l'extrémité supérieure de la boucle est pressée d'autre part contre l'extrémité inférieure
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de la boucle E sous la pression des dents de la roue de tension 31, la rotation de la roue de tension dans le sens de la flèche indiquée à la Fig.
1 a pour conséquence un déplacement correspondant de ltextrémité supérieure de la boucle entraînée par la roue dentée par rapport à l'extré- mité E de la boucle maintenue par la plaque d'appui 100. De ce fait la boucle se serre autour du paquet 99 et ceci aveo une tension croissant en fonction de la résistance du pa- quet. Le couple moteur à transmettre à la roue de tension et qui lui est transmis par l'intermédiaire de l'accouple- ment à glissement 19, 21, croit en fonction de la tension croissante du ruban. Cet accouplement à glissement n'a toutefois qu'une capacité limitée de transmission de la force, déterminée par la tension préalable du ressort 22 et la hauteur des dents 20.
Si le couple de rotation dépasse cette valeur, les dents de la moitié d'accouplement 20 glissent sur celles de la moitié d'accouplement 21.Par suite de 1 {obliquité des flancs des dents, la moitié d'accouplement 21 est de ce fait impérativement repoussée vers le bas, et ceci d'une quantité correspondant à la hauteur des dents. Elle entraîne avec elle la tige de commande 37 par l'intermédiaire de la goupille transver- sale 25. La goupille transversale 38, en s'appliquant au flanc b du manchon 37, entraîne avec elle oe manchon et dé sage de oe fait de nouveau les griffes 29 des griffes 50 (Fig.6). Dans.cet,état, la goupille transversale 38 est, appliquée contre la limite inférieure du trou ovale 39.
Par suite, le manchon d'embrayage 27 ainsi que l'arbre creux et la tige de commande tournant à vide, de sorte que le ressort d'accouplement 22 ramené la moitié d'accouplement 21 à la position représentée à la Fig. 4, aveo les dents 20 enga- gées. La roue de tension 31 abandonnée à elle-même conserve
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sa position après rotation puisai élis est @@@@ëtée par le cliquet d'arrêt 70 engagé dans les dents 36 de la bague de
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blocage 54.
Le ruban reste en conséquence t3E::l,.:. dans la mesure prévue,
La machine tourne maintenant à vide, puisque le
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second embrayage avec les griffes 52, 5S tourne ..3;2.1en:::J.-: à vide et que par suite la vis sans fin bzz actionna en =.rc'¯-5. à vide la roue hélicoïdale vs et de ce :::o.i:; : SZ'blo3 S et le m.ncnon 50.
Par suite, l'opérateur peut alors exami- ner la tension du ruban obtenu.*- ..3 ,r t8-;:=:;C';.ine:' si celle-ci répond aux exigences, Si ce Il t e;3't rss le C:?.5 "'?t ql;. t'!.;:e. tension plus intense soit n.âca3E..lZ J l t O).i01- ur :tl 4 ccnfêrsr 1'laccou Pl ener,-t' i g7eES= f 1:'l'3 -:;s:;:;:"):r- ela?'- tiqu.e plus élevée en proportion 3:it es. ,)I:'2.:',;S-s.:r':; le res- sort .22 de l'accouplement soit en '.;;:"'0-l2 ¯l¯::::r.:.', 1 teucion préliminaire de ce ressort 81il est P::'5-, "t", des :,::):;-'2:-:8 , cet effet. Dans la forme de réalisation. $11 ocuis de description, ces moyens n'existent 1,:2::::' e:: c-.e...p", J#îOsS on décrira plus loin à titra ;t"'."Yl1"- 'in noyen de ce r-O""'1'' également utilisable dans le cas r5se,C:G..
Dès que l'opérateur a réalisa la sûs:':;':l it)l:]3- du ru. 1:><1: de cette manier?. $ en faisant varier '!.#,S ou plu- sieurs fois la tension du ressort et en rlsrôrajant sas-ait" le manchon 27 au moyen du levier à Min 75., il saisit avec la main le levier SI tandis que la machine recommence à tourner à vide et déplace ce levier dans le sens de la flèche indiqué pour le levier 75 à la Fig. 2, ce qui a pour conséquence un déplacement axial correspondant du manchon 50 sur l'arbre 48 et en conséquence d'engager cet embrayage en mettant en prise les griffes 52 avec les griffes 53, De ce fait, le disque d'excentrique 54 est accouplé avec le
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manchon 50 et en conséquence avec la co:anda par me': sur.
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Le disque d'excentrique 54 tourne dans le sens de rotation indiqué aux Fig. 1, 9 et 11 pour l'arbre 48. Sous l'in- fluence du disque d'excentrique 54, le poinçon 62 est repoussé vers le bas, le mentonnet à empreindre 68 déformant lors la partie médiane des extrémités superposées de la boucle suivant la forme de fermeture voulue, et ceci en même temps que la douille de fermeture passée sur lesdites extrémités, dans le cas où. une telle douille a été enfoncée dans le guidage 61. A la fin de la course du levier de poinçon, le segment denté 57 du disque d'excentrique 54 vient en prise avec la petite roue dentée 59 et amène ainsi l'organe interrupteur 58a à la position transversale représentée à la Fig. 11, position dans laquelle, contrairement à sa position verticale précédente, il n'est plus en contact avec les plots fixes de l'interrup- teur.
De ce fait, le courant du moteur est interrompu à l'interrupteur S et le moteur s'arrête en conséquence. La longueur périphérique du segment denté 57 est calculée de façon que ses dents se dégagent de la roue dentée 59 dès que l'organe interrupteur prend la position médiane entre les contacts fixes indiqués à la Fig. 11.
Cette position est de préférence assurée par une fermeture à déclic habi- tuelle dans les l@terrupteurs. Saisissant alors de nouveau le levier à main 81, l'opérateur dégage l'embrayage à griffes 29, 50. Le poinçon 62 est automatiquement ramené à sa position de départ représentée à la Fig. 11 par le res- sort de rappel 65, une fois libéré par le disque d'excentri- que 54, autrement dit du fait que celui-ci@@@ continué à tourner, et le mentonnet à empreindre 68 est dégagé de ce fait des extrémités de la boucle.
En ramenant le levier à mains 47 en arrière, on soulève alors l'axe 5 ainsi que le palier 41 et l'arbre creux 23 en même temps que toutes les pièces montées sur
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celui-ci pour les ramener à leur position initiale; de ce fait la roue de tension 51 libère la boucle de ruban, L'o- pérateur saisit alors de nouveau les poignées 97 et enlève la machine du paquet en la dégageant d'abord de la boucle vers l'arrière par de légers mouvements de va-et-vient et e la soulevant ensuite. La partie en excédent de l'extrémité supérieure de la boucle qui, en général, tient à un ruban d'acier torsadé, est alors séparée contre la douille de fermeture qui entoure les extrémités de la boucle, ou, s'il n'est pas prévu de douille de fermeture, au point corres- pondant, en la rompant ou en la coupant.
Cette rupture est effectuée en pliant énergiquement le ruban de côté et d'autre. En cas d'emploi d'un couteau, on utilise de prêter ace une machine comportant un appareil à couper, un couteau étant mécaniquement déplacé vers le bas, ce mouvement étant commandé de préférence par le poinçon 62 de manière que le ruban soit tranché en même temps qu'est effectuée sa fermeture par le mentonnet à empreindre 68.
La forme de réalisation suivant les Fig. 15 et 14 diffère uniquement de celle qui vient d'être décrite du fait qu'au lieu de l'accouplement à glissement prévu sui- vant les Fig. 4 à 6, qui, du fait du glissement dégage automatiquement le dispositif de tension, -il est prévu un accouplement à glissement sous la forme d'un simple accou- plement par frottement' et que-, de ce fait, l'embrayage du dispositif de tension doit être dégagé à la main dès..que . le glissement de l'accouplement à friction indique qu'est atteinte la tension de la boucle de ruban déterminée par le ressort de l'accouplement.
Conformément aux Fig. 15 et 14, une douille d'accou- plement 86 est placée dans une enveloppe cylindrique d'ao- couplement 83 réunie rigidement à la roue à -vis sans fin 17 et'qui peut tourner brement sur un arbre 85 monté direo- tement dans le palier 41; la douille d'accouplement 86 est
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fixée sur l'arbre 85 au moyen d'une clavette 89. Le manteau de l'enveloppe 83 est pourvu de quatre lumières longitudinales 84 et la douille 86 de quatre rainures longitudinales 88 sur sa face externe. Un paquet de lamelles est placé dans l'espace annulaire compris entre la douille 86 et le manteau de l'enveloppe 83.
Ce paquet se compose alternativement de lamelles 90 dites lamelles externes qui présentent quatre saillies 91 engagées dans les lumières longitudinales 84 et de lamelles dites lamelles internes 92 présentant vers l'intérieur des saillies 93 qui sont engagées dans les rainures longitudinales 88, et en outre de rondelles de frottement 94 intercalées chacune , entre des lamelles externe et interne voisines. Ces ron- delles sont pourvues de part et d'autre d'un revêtement de friction.
La lamelle la plus basse est posée sur la collerette de la douille d'accouplement, tandis que la lamelle la plus élevée est placée sous l'influence d'un ressort d'accouplement constitué en ressort hélicoïdal de pression; ce ressort est appliqué d'autre part contre un écrou 57 assuré par un contre-écrou et qui est vissé sur un filetage correspondant de la douille d'accouple- ment 86. En desserrant ou en serrant davantage 1* écrou et en le réassurant par le contre-écrou on peut modifier la tension du ressort 96.
Sur l'autre extrémité de l'arbre 85 est directement montée pour tourner la douille 33 placée dans la roue de tension 31; cette douille est assurée contre tout dépla- cement longitudinal d'une part par la collerette 42 du palier et par un collet formé sur l'arbre 85 d'autre part.
Le manchon d'embrayage est monté directement sans pouvoir tourner mais pour se déplacer longitudinalement sur l'arbre 85 au moyen du ressort de glissement 28 et il est encore en prise, ( de façon non représentée) avec le tenon d'entraî- nement 76 du levier d'embrayage 75.
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Pour l'emploi,- on procède de la mène façon qu'avec la forme de réalisation décrite la première, en action- nant d'aaord le levier à main 75 pour embrayer le manchon 27 et me-tre ainsi en prise les griffes 29 avec les griffes 50. Bar suite de la capacité de friction sous la, pression du ressort 96, l'enveloppe 83 est impérativement réunie par frottement avec le manchon d'accouplement 86 de telle manière que la commande de la roue hélicoïdale 17 par le moteur se transmet à l'arbre 85 jusqu'à ce que le couple de rotation à transmettre à la roue de tension 51 s'accroisse tellement que les lamelles de l'accouplement à glissement viennent à glisser l'une par rapport à l'autre.
L'opérateur constate ce phénomène en observant à l'oeil l'arrêt de la roue de tension SI et il ramène alors le manchon 27 à sa position initiale en actionnant le levier à main 75; de ce fait les griffes 29 se dégagent des griffes 30.
Si, par suite de tension insuffisante de la boucle de ruban, celle-ci doit être retendue, en manoeuvre de nouveau le levier à mains 75 après avoir tendu plus for- tement le ressort d'accouplement 96 dans la mesure convenable, ce qui a pour conséquence que l'arbre 85 est à nouveau entraîné par l'accouplement à glissement en fonction de la plus forte pression de frottement jusqu'à ce que l'accouplement glisse de nouveau en cas de couple de rota- tion accru dans des conditions correspondantes; l'opérateur dégage alors de nouveau l'embrayage à grimes au moyen du levier 75.
La forme de réalisation suivant la Fig. 15 ne diffère de celle que représentent les Fig. 1 à 12 qu'en ce qui concerne la partie représentée à la Fig. 5. Ainsi qu'il ressort de la Fig. 15 par comparaison avec cette dernière, le manchon d'embrayage ainsi que la goupille transversale 38 et le trou ovale 40 ont disparu, ainsi que les griffes
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30 de la roue de tension 31. Par contre, la roue de @@nsion
31, conformément à la Fig. 15, est fixée directement au moyen 'une clavette 150 sur l'arbre creux 25 sans possibili- té de tourner ni de coulisser.
La tige de commande 57 présente un trou ovale 151 qui est délimité du côté tourné vers l'extrémité de la tige par un flanc d qui est placé un peu obliquement par rapport à la direction transversale.
Le trou ovale 151 est traversé par un boulon 152 dont la tête, par un façonnage approprié, est montée dans un trou ovale 153 de l'arbre creux 23 sans pouvoir tourner mais de façon à pouvoir coulisser dans la direction longitudinale du boulon. Le boulon présente une tige cylindrique 154 qui passe à travers une percée correspondante de l'arbre creux 23 dans laquelle elle peut coulisser longitudinalement; à son extrémité placée extérieurement à l'arbre creux, cette tige 154 est pourvue d'un filetage sur lequel est vissé un capu- ohon taraudé 155 de manière à pouvoir être déplacé et fixé en différentes positions par des moyens (non représentés).
Entre le capuchon taraudé 155 et l'arbre creux 23 est disposé un ressort de réglage 156 constitué en ressort hélicoïdal de pression entourant la tige 154 du boulon.
A son extrémité tournée vers la tête, la tige 154 est pourvue d'un talon 157 qui est logé à 1 '.intérieur du trou ovale et qui est limité par une surface légèrement en pente e parallèle au flanc incliné d. Le talon 157 dépasse au-delà du flanc d d'une quantité! qui est un petit peu plus petite que la hauteur des dents 20 des moitiés 19, 21 de l'accouplement à glissement (Fig. 4 et 6). Contrairement aux Fig. 4, 6, le ressort d'accouplement doit être appuyé contre. un collet de l'arbre creux 23 au lieu de l'être contre l'enveloppe 18.
Dans la position initiale avec la roue de tension 31 non chargée, l'accouplement à glissement est engagé comme représenté à la Fig. 4. La tige de commande 37 est,
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par rapport à l'arbre creux 25, à la position représentée à la Fig. 15. Si, pendant l'opération de tension, la commande par moteur transmet, par l'intermédiaire de la roue héli- coïdale 17 et de l'accouplement à glissement, un couple de rotation à l'arbre creux 23 et de celui-ci directement à la roue de tension 31 du fait de la clavette 150, le boulon 152 n'y participe pas.
Des que, du fait de la résistance à la tension, le couple de rotation augmente assez pour que la moitié d'accouplement 21 commence à glisser par rapport à la moitié 19 et qu'en conséquence la tige de commande 57 se déplace dans le sens de la flèche figurée à la Fige 15, la distance diminue en conséquence* Dès que cette distance s'annule, la surface ± du talon 157 arrive en contact avec le flanc d du trou ovale 151, et du fait du ressort 156 bandé de manière convenable, elle est poussée dans le trou ovale 151 le long du flanc d, la tête du boulon glissant alors vers l'intérieur dans le trou ovale 153.
Par suite de la légère inclinaison du flanc Ci et de la surface e, la tige 37 est encore axialement déplacée de ce fait d'une faible distance au-delà dans le sens de la flèche, de sorte que les dents de la moitié d'accouplement L'Il par- viennent à se dégager complètement des dents de la moitié d'accouplement 19. Par suite, l'accouplement à glissement est totalement dégagé, de sorte que la moitié d'accouplement 21 avec l'arbre creux 25 et la tige de commande 37 ainsi que la roue de tension 31 s'arrêtent,cette dernière étant ici ' - encore empêchée par le cliquet d'arrêt 70 de tourner en sens inverse.On peut alors de nouveau procéder au réglage de l'état de tension du ruban d'acier.
Si celui-ci est insuf- fisamment tendu, on augmente la force de tension du ressort 22 de l'accouplement de la manière précédemment indiqués.
Puis on engage de nouveau l'accouplement à glissement, l'opérateur exerçant pour cela sur le capuchon 155 une pres- sion qui ramène le boulon à la position initiale indiquée à
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la Fig. 15 en surmontant la force du ressort 156. La dépense de force nécessaire à cet effet est diminuée par la pen/te indiquée du flanc d comme de la surface e, le ressort d'accouplement 22 agissant par action de coin dans le sens du déplacement du boulon da,ns cette direction. Dès que le boulon 152 atteint de nouveau sa position initiale suivant la Fig. 15, le talon 157 libère la tige de commande 37, de sorte que le ressort d'accouplement 22 engage à nouveau l'accouplement à glissement.
Celui-ci est alors à nouveau capable de transmettre le couple de rotation augmenté, de telle manière que le ruban peut être retendu dans la mesure appropriée, après quoi le dégagement de l'accouplement à glissement, a lieu de nouveau automatiquement.
Au lieu du boulon 152, on peut aussi placer éventuellement même en un autre point de l'accouplement à glissement, un autre organe d'embrayage, de telle manière qu'à cause du glissement de l'accouplement il débraye celui-ci jusqu'à oe qu'on l'engage de nouveau en actionnant l'organe d'embrayage en sens inverse. L'accouplement à glissement peut être constitué autrement que celui qui est représenté.
Un accouplement fonctionnant avec des organes élastiques à déclic par exemple, peut ici trouver son emploi, ou en- core un autre des accouplements à glissement connus.
Dans la machine à tendre un fil métallique suivant les Fig. 16 à 19, contrairement aux machines qui précèdent, l'arbre creux 23 est monté pour tourner dans un coussinet 101 mais sans possibilité de coulissement dans l'enveloppe 2 (Fig. 18). En outre, une roue de tension? 102 d'un fil métallique est montée, à la place de la roue de tension sur l'arbre creux 23, au-moyen d'une douille 33 et porte les griffes 30. La roue de tension 102 est pourvue de trous radiaux 103 destinés à l'introduction de l'extrémité du fil métallique.
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L'accouplement à glissement diffère uniquement de la forme de réalisation suivant les Fig. 4 à 6.du fait qu'il présente un moyen de modifier à volonté le bandage du ressort d'accouplement 22. A cette fin, le ressort d'accou- plement 22, conformément à la Fig. 18, est appliqué du côté opposé à la moitié d'accouplement 21 contre une cuvette de ressort 137 disposée pour pouvoir se déplacer axialement dans l'enveloppe 18, et qui est extérieurement pourvue de bras d'appui radiaux 138. Ceux-ci dépassent chacun à travers une lumière longitudinale 139 du manteau de l'enveloppe 18 'et sont appuyés à l'extérieur de cette enveloppe sur un écrou de réglage 140.
Celui-ci est vissé et ajustable sur le manteau fileté de l'enveloppe. En tournant cet écrou dans un sens ou dans l'autre, on peut déplacer axialement en consé- quence la cuvette de ressort 137 et modifier de ce fait le bandage du ressort 22.
Par opposition à la tourne de réalisation suivant la Fig. 4, dans la forme de réalisation du dispositif de ferme- ture suivant les Fig. 16 à 19, au lieu du disque d'excen- trique 54 est montée pour tourner librement sur l'arbre 48 une roue d'angle 104 qui présente un coussinet 155.
La roue d'angle 104 est en prise avec une roue d'angle 105 qui est olavetée au moyen d'une clavette 106 sur un arbre de renvoi 107. L'arbre 107 est monté de façon à pouvoir tourner mais sans pouvoir coulisser axialement dans un palier 109 par l'intermédiaire d'un coussinet 108. Le palier 109 est vissé à demeure avec la plaque de base 1. Une roue dentée 110 est fixée sur le moyeu de la roue d'angle 105 au moyen d'une clavette 111.
La roue dentée 110 présente du côté tourné vers le palier 109 une crapaudine 134 dans laquelle dépasse une goupille- d'arrêt 136 qui est montée pour se déplacer longitudinalement dans une percée axiale du palier 109 et qui est placée sous l'influence d'un ressort de réglage 133, constitué en ressort hélicoïdal de pression
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logé dans cette percée et qui sollicite élastiquement la goupille 136 dans la crapaudine 134.
La roue dentée 110 est en prise conformément à la
Fig. 16, avec un pignon à torsader 112 qui est pourvu d'une fente 128 ouverte vers l'avant. Le pignon 112 est monté de façon à pouvoir tourner de part et d'autre dans des paliers 113 et 114. Ces paliers sont également pourvus d'une fente ouverte vers l'avant et vissés sur la plaque de base 1. A distance du palier 114 et selon le même axe, un; pièce de guidage 115 du fil métallique est fixée sur la pla- que ae base 1, et de même, de l'autre côté, à distance du palier 113, est fixée une pièce de guidage 116. Du côté tourné à l'opposé du pignon 112 de chacune des pièces de gui dage 115 et 116 est monté à pivotement un levier à couteau 117 ou 118 coopérant avec ladite pièce de guidage; ce montage est réalisé au moyen d'un pivot 119.
Le levier à couteau 117 présente une lame de couteau 158 qui est dis- posée de façon que, sur deux fils d'aoier 159 et 160 serrés l'un à côté de l'autre dans la fente de la pièce de guidage 115 conformément à la Fig. 17, elle ne peut saisir, lors du pivotement du levier 117 en sens inverse des aiguil- les d'une montre, que le fil le plus éloigné du pivot 119, de manière que seul celui-ci est tranché, l'autre restant intact.
Le levier à couteau 118 est constitué et disposé d manière analogue par rapport à la pièce de guidage 116.
Sur la plaque de base 1 est encore placé à côté et à une certaine distance du couteau 117 un serre-fil 120 qui présente une fente de serrage dans laquelle on fait passer et on serre pour l'immobiliser le fil 160. Ce fil peut venir d'un rouleau et on le fait passer sur le serré- fil, à travers les paliers 114, 113 du pignon, le pignon 113 3t la pièce de guidage 116, puis autour du paquet à ficeler
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sur lequel on repose la machine par sa plaque de base 1, la partie extrême libre 159 du fil étant alors introduite d'abord dans la pièce de guidage 116 et ensuite la partie 160 venant du rouleau poussée à la suite.
On fait passer également la partie extrême 159 du fil dans les guidages des paliers 114, 113, le pignon à torsader 112 et on la pousse contre la partie 160 du fil dans la pièce de guidage 116.
Sur le chemin de la lame de couteau 158 du levier 118 est donc uniquement placée, contrairement au levier 117, la partie extrême libre 159 du fil tandis que sa partie 160 est hors de portée de la lame du levier 118. Après avoir nettement replié à 90 l'extrémité libre 159 du fil, on l'introduit, comme le montre la Fig. 16,dans un des trous 103 de la roue de tension 102 de manière que cette extrémité 159 du fil soit entraînée dans la direction indiquée à la Fig. 16 lors de la rotation de la roue de tension 102,,
Un bras,de commande 127 sert à actionner leméca- nisme de découpage comportant les leviers à couteau 117 et 118;
ce bras 127, conformément à la Fig. 17, est monté sur l'arbre intermédiaire 107 et coopère avec un levier de manoeuvre 123 monté sur un arbre de commande 121 et dont la partie extrême coopère avec le levier à couteau 117. L'arbre de commande 121 présente à son au-tre extrémité un levier de manoeuvre analogue 124, sur le chemin duquel est placé le levier à couteau 118. Sur l'arbre 121 est en outre monté un bras de commande 122 dirigé vers le haut qui coopère avec un bouton d'interrupteur 130 du courant du moteur. L'arbre de commande 121 est monté parallèlement à l'arbre intermédiaire 107 sur l'enveloppe 2 au moyen de paliers 125 et 126 de manière à pouvoir tourner mais sans possibilité de déplacement longitudinal.
A côté du bouton d'interrupteur 130 est placé après l'enveloppe du moteur un bouton d'interrupteur 129 du moteur, manoeuvrable à. la main.
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Sur l'arbre de commande 121 est monté de plus un bras de conmande 151 tourné vers le levier à main 81 et coopérant avec lui*
Pour se servir de la machine ainsi décrite, une fois la machine posée sur le paquet et celui-ci entouré par le fil d'acier ainsi qu'indiqué, on met d'abord le moteur en marche en enfonçant le bouton d'interrupteur 129, puis on engage l'embrayage à griffes 29, 30 comme dans le premier exemple de réalisation, en saisissant le levier à main 75; de ce fait la roue de tension 102 se met à tourner dans le,sens. de la flèche indiqué à la Fig. 16.
L'extrémité 159 du fil s'enrc- 'e alors sur la roue de tension 102 tandis que l'autre extrémité de la boucle est maintenue immobile du fait que le fil 160 est inséré dans le dispositif de serrage 120, de telle manière que la boucle se serre. D'une façon analogue à ce qui se passe dans la tension d'un ruban, la tension de la boucle est limitée par la capacité réglée de transmission de la force de l'accouplement à glissement 19,21, après quoi, de nouveau en raison du glissement de ce ' accouplement, l'embrayage à griffes 29, 30 se dégage auto- matiquement et la machine tourne à vide. Ensuite, on peut si l'on veut retendre le fil, etc...
Dès que la tension correcte du fil est obtenue, on engage l'embrayage à griffes 52, 53 en saisissant l'autre levier à mains 81; de ce fait l'arbre 48 actionne les roues dentées 104, 105, la roue den- tée 110 et le pignon à torsader 112, ainsi que l'arbre de renvoi 107. Ce dernier tourne dans le sens indiqué par une flèche à la Fig. 17, Le pignon 112 torsade l'un avec l'autre les fils 159 et 160 passés dans la fente 128.
Après achève- ment de cette opération de torsadage, le bras de commande 127 de l'arbre 107 arrive à portée du levier de manoeuvre 123 (Fig. 17). De ce fait le levier 123 pivote en entrai- nant le levier à, couteau 117, en faisant tourner en même temps en correspondance l'arbre de commande 121 qui actionne
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le levier de manoeuvre 124 synchroniquement avec le levier 123 et, de ce fait également le levier à couteau 118; les extrémités de la boucle sont ainsi coupées sur les fils 160 et 159.
Ensuite, le bras de commande 131 qui a parti- cipé à la rotation de l'arbre de commande 121 entre en contact avec le bras de levier 81a du levier à main 81 et fait pivoter celui-ci dans le sens des aiguilles d'une montre par rapport à la Fig. 17 autour de son pivot 80, ce qui a pour résultat de déplacer axialement le manchon d'embrayage 50 en conséquence et par conséquent de dégager l'embrayage à griffes 52, 53. La commande de la roue d'angle 104 est ainsi interrompue. Puis le bras de commande 122 vien en prise avec le bouton d'interrupteur 150 et coupe le courant du moteur, ce qui arrête toute la machine-
Pour ramener les parties déplacées du mécanisme de découpage, un ressort de rappel 132 est articulé au levier à couteau
117 conformément à la Fig. 17 et s'accroche d'autre part au palier 109.
Le levier à couteau 118 est placé de manière analogue sous l'influence d'un ressort de rappel. Ainsi qu'il résulte de la Fig. 17, le levier de .manoeuvre 123 est pourvu d'un nez c du côté tourné vers le bras de commande 127.
Le bras de commande 127 est ainsi disposé que dans sa rotation dans le sens de la flèche, 'il dépssse le nez c -lors de la déconnexion du moteur, de sorte que les ressorts de rappel 132 ramènent à leur position initiale les leviers à couteau et en mène temps les leviers de manoeuvre 123, 124, ainsi que l'arbre de commande 121 avec tous les organes de commande montés sur celui-ci.
La goupille d'arrêt 136 placée dans le palier 109 est disposée, et la crapaudine 154 de la roue dentée 110 décalée périphériqueent de telle sorte qu'après désaccou- plement du dispositif à torsader par l'embrayage à griffes
52, 53, la pupille 136 centre exactement la roue à torsa- der 110 de telle manière que la fente 128 du pignon à tor-
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sader 112 présente une position dirigée vers l'avant, telle qu'elle est nécessaire pour introduire dans cette fente les fils d'acier à torsader et en extraire les fils une fois torsadés. Au lieu de ce dispositif de centrage, on peut naturellement avoir recours à tout autre moyen connu, par exemple des cliquets à ressort de genre connu.
En la saisissant à la main,- on peut alors retirer la machine vers l'arrière, la boucle de fil métallique étant tirée hors du pignon à torsader 112, des guidages de palier 113, 114 ainsi que des pièces de guidage 115, 116.
La forme de réalisation suivant les Fig. 20 et 21 ne diffère des formes de réalisation précédentes que du fait qu'au carter à engrenage 6 est fixé un bras à paliers 141 qui présente une fourche à son extrémité libre. Dans cette fourche est monté au moyen d'un pivot 142 un levier de manoeuvre à deux bras 143. Celui-ci est articulé de part et d'autre,- et ceci avec possibilité de démontage à une extrémité au moins, avec un des deux leviers à main 75, 81.
A cet effet il est prévu.', tant dans le levier de,commande 75 que dans le levier de commande 81, une percée à travers laquelle passe une cheville 144, ou 145, qui est enfon- cée d'autre part dans une percée ajustée du levier 143.
Ces deux chevilles sont de préférence montées de façon à pouvoir être retirées. Ce levier de commande 143 accouple l'une avec l'autre pour agir en sens opposés les moitiés d'embrayage 29, 52. Dono si l'on engage à la main l'em- brayage à griffes 29, 30, en actionnant à la main le levier à. main 75 pour mettre la machine en marche, le levier à main 81 est actionné au moyen du levier de commande 143 dans le sens du dégagement de l'embrayage à griffes 52, 53.
Inverse- ment, dès que l'embrayage à griffe 29, 30 est automatique- ment dégagé après achèvement de l'opération de tension et qu'en conséquence le manchon d'accouplement 27 recule
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dans le sens de la flèche 146 (Fig. 21) le manchon de commande 50 de l'autre embrayage à griffes est poussé dans le sens de la flèche 147 et l'opération de fermeture est ainsi mise en train.
Dans cet état,la machine travaille de façon à réaliser un emballage en série après que la tension voulue de la boucle de fil métallique a été déterminée une fois pour toutes pour toute une série de paquets. Toutefois, si l'on doit passer à une autre série pour laquelle il faut d'abord déterminer par essais la force de tension nécessaire ,- on retire une des chevilles 144, 145, ou, le cas échéant,- ces deux chevilles, du levier de commande 143 et du trou correspondant du levier à main. On supprime ainsi 1! engage- ment automatique en sens contraire des embrayages à griffes.
On peut alors retendre selon les besoins, en modifiant une ou plusieurs fois la tension du ressort de l'accouplement à glissement jusqu'à ce qu'une tension appropriée du fil métallique ait été déterminée. On peut après cela rétablir l'engagement et le dégagement automatique réciproques des embrayages à griffes en remettant en place la ou les chevilles 144, 145.
Bien entendu, cet automatisme de fonctionnement, ou un autre semblable, peut aussi trouver son. emploi dans la forme analogue de la machine à tendre un ruban telle qu'elle a été décrite au début aveo référence aux Fig. 1 à 12 par exemple ...
Il en va de même du mécanisme découpeur qui a été décrit d'après la forme de réalisation suivant les Fig. 16 à 19.
Il est préférable de réunir au dispositif décrit d'a- près la Fig. 18 pour modifier les tensions préalables du ressort d'accouplement 22 un dispositif indicateur permet- tant de constater à toutmoment la force de tension préala-
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ble du ressort d'accouplement à ce moment. A cet effet, un des bras de soutien radiaux 158 de la cuvette de ressort 137 peut être pourvu d'une marque indicatrice coopérant avec une graduation prévue sur le manteau de l'enve- loppe d'accouplement 18.
Cette graduation peut indiquer directement, en kilogrammes par exemple, la tension préalable du ressort d'accouplement au moment considéré, ou encore indirectement, c'est-à-dire par rapport à la force de traction maximum correspondante pouvant être transmise par la roue de tension au fil métallique d'em- ballage avec la tension préliminaire en causedu ressort d'ac- couplement. Dans ce cas donc, le dispositif indique, pour chaque position du plateau du ressort, quelle force de tension la machine peut transmettre en cet état au fil métallique entourant le paquet,, Ce dispositif peut lui aussi être appliqué en combinaison avec un ruban au lieu d'un fil comme organe de tra c tion.
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