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MACHINE A LIER, AVEC DU FIL'METALLIQUE, DES BOTTES OU PAQUETS !La présente invention concerne une machine, à lier des bottes ou paquets, du genre dans lequel un fil métal lieue est tiré et attaché serré autour d'une botte, qui peut consister en un certain nombre d'articles de même genre rassemblés, d'une boite ou d'un genre quelconque de paquet de dimensions limitées que l'on désire lier avec un fil métallique.
Plus particulièrement elle con- cerne une machine de ce genre qui forme un noeud plat de fil métallique contre l'un des côtés du paquet, ce
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oui :Ul1,.Y'ir:le ainsi tous bouts de .i3.1. saillants .X..C:é3.î'c- bles ainsi que la nécessité 1e rentrer ces bouts "sous le fil métallique serresur la botte ou paquet. D'une façon générale,. l'invention comprend une couronne pour
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passer le fil nétallicue autour C 'un paquet, des moyens de tension pour le fil, des dispositifs pour tenir ou comprimer le. 'botte ou paquet pendant que le liage et des moyens pour tortiller le fil et le couper.
La cou-
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ronne passe-fil est réversible nprùs chaque opération et un raidisseur est prévu pour tenir le fil tendu
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en en prenant le 2011. Les différentes parties sont disposées pour fonctionner automatiquement aux moments voulus et sont actionnées par un moteur.
L'invention a pour objet d'offrir: une machine à lier avec du fil métallique dans laquelle le fil est lié serré autour du paquet, de sorte que celui-ci est
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lié sous compression; des moyens pour fomor, avec le fil métallique un noeud ou tortillon, plat s'appliquant à plat contre l'un des côtés du paquet; des dispositifs pour tenir l'extrémité du fil de façon que celui-ci puisse être tiré très -serré autour du paquet en pro- duisant ainsi un lien qui tiendra; une machine à lier dans laquelle la fil métallique qui est passé autour du
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pai ue 4 et y est assujetti est pris directement à un rouleau et n'est séparé de celui-ci qu'après que le fil a été lié autour du paquet;
un. dispositif tortilleur ou
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noueur-cui est contigu à l'un des côtés du caquet 3t -;ni est arrêté en position pour décharger le tortillon ou noeud vers le côtécontinu du paquet ce qui non seulement facilite l'enlèvement du lien du dispositif tortilleur mais évite aussi la production de mou dans lefil métal-
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lique de liaGe; une machine à lier dans laquelle le fil de lic.2e est courbé autour d'une mordache ce qui augmente
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grandement la prise de celle-ci et permet au fil en cours de passage autour du paquet d'être maintenu for- tement tendu ;
unmoyen pour passer un fil métallique autour d'un paquet, qui peut être actionné durent un cycle de son fonctionnement, pour passer un fil autour d'un; paquet dans une direction et peut'Atre actionné, dans un autre cycle de son fonctionnement, pour passer un fil métallique autour d'un autre paquet dans la direc- tion opposée; des perfectionnements, en général aux machi- nes de ce genre pour augmenter leur capacité de liage, amé- liorer les qualités de retenue du fil de liage et améliorer d'une façon générale* 'les caractéristiques de la botte ou paquet lié;
un mécanisme d'embrayage perfectionné. pour relier le moteur à la machine, qui se débraye automatique- ment lorsqu'un cycle de fonctionnement est terminé,qui peut être actionné d'un côté ou de l'autre de la machine et qui comporte un frein de disposition, nouvelle associé avec l'arbre mené que commande 1' embrayage un dispositif de tension, pour le fil, que l'on peut régler facilement par une opération simple et sansque l'on ait à enlever aucune pièce; des moyensassociés avec le dispositif de tension, pour empêcher le fil métallique de se nouer entre ce dernier et le rouleau d'où le fil est tiré; un raidisseur perfectionné pour tenir le fil tendu ;
et enfin une connexion élastique, entre les dispositifs qui tien- nent le fil, le tortillent et le coupent et éjectent le lien et l'arbre qui les actionne, disposée pour les dé- brayer si, pour une raison ou pour une autre, le fil métallique venait à coincer ou à se trouver enrayé dans ces dispositifs, de façon à éviter une détérioration de ceux-ci
Sur les dessins ci-joints, qui représentent, à titre d'exemple , une forme d'exécution de machine à lier
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des bottes ou paquets établie suivant l'invention, forme d'exécution à laquelle cette dernière n'est d'ailleurs pas limitée car elle peut être réalisée de plusieurs façons :
Fig. 1 est une/élévation latérale de la machine,
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ji'iç;. 2 est une #oupe horizontale suivent 2-, ri.l ::?ig. :3 et 4 sont des coupes verticales suivrnt 5-3 et 4-4,
Fig. 5 est une coupe verticale suivant 5-5 fig.l,
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Figo 6 est une vue en bout, en regardant de la droit- te de frigo5, représentant en lignes pointillées la con- nexion élastique entre l'arbre menant et les éléments menés;
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Fig. 7 est une coupe, suivant 7-7, fig.8, des cames et des parties y associées pour la commande des dispositifs qui tiennent, tortillent et coupent le fil métallique;
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Fig. 3 est une vue en bout en regardant de la droite de fie. 7;
Fis. 9 est une coupe horisontale, suivant 9-9, fi..10, représentant le mécanisme qui tient, tortille, coupe et éjecte le fil métallique ;
Fig. 10 est une coupe suivant 10-10, fig. 9 ;
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Figell est une coupe, suivant 11-11, fig. 12 de l'un des dispositifs coupe-fil et éjecte-fil;
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Fige 12 est un plan du mécni3De coupe -fil et éjecte-fil;
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Fig.13 est une vue en bout en regardant ce la droite de fin. 12;
Pi¯.14 est un détail il grande échelle du ;:lice.ni81:le de freinage de l'arbre mené auquel le moteur est relié;
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Fig. 15 est une vue en bout du dispositif de tor- tillement du fil: Fig. 16 en est une élévation latérale; Fige 17 est une élévation latérale d'une mordache
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serre-fil;
Fig. 18 en est un plan ;
Fig. 19 est une coupe suivant 19-19, fig. 18;
Fig. 20 est un détail, à grande échelle, du disposi- tif de tension;
Fig. 21 est un plan d'une partie de fig. 20;
Fig. 22 est une coupe suivant 22-22, Fig. 5;
Figé 23 est une coupe, suivant 23-23, fig* 24 repré- sentant le moyen de support du comprimeur sur la tige verticale ;
Fig. 24 est une coupe suivant 24-24,'fige 23;
Fig. 25 est un détail à grande échelle représentant les moyens qui actionnent le dispositif tortilleur et
Fig. 26 est un plan du mécanisme représenté à la fig. 25, en regardant dans une direction notmale à la ligne 26-26 dans cette dernière fige.
La machine qui fait l'objet de l'invention est cons- truite pour tirer du fil métallique d'un rouleau, mettre le fil sous tension et le passer autour d'une botte, paquet ou boite qui est de préférence tenu sous compression, et attacher le fil autour du paquet ou boite. Elle est pourvue d'un noueur, ou tortilleur de fil, dans lequel des parties, se recouvrant, du fil sont introduites par le moyen qui passe le fil autour du paquet. Le fil est sous tension et est saisi sur des côtés opposés du tortilleur et ce der- nier est ensuite actionné pour attacher le fil entourant le paquet. Des moyens sont prévus pour couper après cela le fil afin de le séparer de la longueur de fil tirée de la bobine et pour éjecter le lien du tortilleur.
Le tortil- leur est disposé de telle sorte, que le fil est introduit dedans à mesure qu'il est passé autour du paquet et, a la
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fin de son opération de tortillement, ce tortilleur occupe une position telle que sa sortie fait face du paquet, de sorte que le lien peut en être facilement éjecté.
Le moyen qui passe le fil métallique autour du paquet est actif dans les deux sens , c'est-à-dire que dans son mouvement dans un sens il passe le fil autour du paquet dans une direc- tien et que, dans son mouvement en sens inverse, il passe un fil métallique autour d'un paquet suivant dans la direc- tion opposée* Ce renversement de mouvement du moyen qui/'passe le fil autour du paquet non seulement oblige l'extrémité du fil a se courber autour de la mordache, ce qui augmente grandement la prise de celle-ci et permet au fil d'être fortement tendu, mais supprime également la nécessité d'avoir à ramener la couronne d'enroulement du fil à une position de départ pour chaque noeud afin de passer le 'bout libre du fil, du côté éloigné du tortilleur,
dans quelque tenaille fixe afin de distribuer le fil autour du paquet; cela évite ainsi des complications. La machine comprend également des moyens pour régler dans le temps le fonctionnement des moyens de renversement de l'entraînement du fil ainsi que le fonctionnement du tortilleur, des coupe-fil et des mor- daches. Des moyens sont également prévus pour maintenir le fil tendu en prenant tout mou qui peut être produit dedans par le renversement de la direction de fonctionnement des moyens passe-fil. D'autres caractéristiques de construction et de fonctionnement de la machine apparaîtront plus loin.
La machine comprend un bâti 1, de construction conve- ' nable pour aupporter les divers mécanismes qui la constituent,, Ce bâti consiste en une base 2, des parois extrêmes 3,4, des parois 5 et une paroi supérieure 7 qui forme une table sur laquelle on place les paquets ou bottes à lier.
Le bâti est de préférence' pourvu d'une cloison 8 entre les parois latérales 5, et 6, comme cela est représenté à la Fig. 2. Le dessus 7. est pourvu d'une série de rouleau:: ±, pour faciliter l'entrée des paquets dans la machine et leur
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sortie de celle-ci.
Sur la base 2 du bâti est monté un moteur 10 action- nant les divers mécanismes ci-après décrits. Ce moteur est relié, au moyen d'une chaîne 11, avec une roue de chaîne 12 qui fait corps avec un élément d'embrayage 13 fou sur un arbre 14 qui tourillonne dans les parois 5 et 8. Un élément d'embrayage, coopérant 15 présentant une gorge 16, est monté sur l'arbre 14 de façon à pou- voir effectuer sur celui-ci un mouvement axial afin d'être amené en prise avec l'élément 13, ou d'en être dégagé. A la figo 2, les éléments 13 et 15 sont représentés débrayés ou dégagés l'un de l'autre. L'élément ![ est déplacé aut moyen d'un levier fourchu 17 dont les branches prennent dans la gorge 16, comme on le voit le mieux à la fige 3.
Le levier 17 pivote, en un point intermédiaire de sa lon- gueur, sur un arbre 18, disposé à angle droit par rapport à l'arbre 14, et est actionné par une pédale 19 fixée perpendiculairement sur l'une des extrémités d'un arbre 20 qui tourillonne dans des paliers 21, 22 et à l'extré- mité opposée duquel est fixé un levier 23 relié, par une bielle 24, à l'extrémité du levier 17.
On voit d'après cela que, quand on appuie sur la pédale 19, cela fait tour- ner l'arbre 20 en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, si on le regarde de l'extrémité ou se trouve cette pédale, et que, au moyen du levier 23, de la bielle 24 et du levier 17, l'élément d'embrayage. 15}est amené en prise avec l'élément d'embrayage 13, ce qui embraye ainsi le moteur 10 à l'arbre 14, duquel les divers mécanismes de la machine dérivent leur commande comme ce sera décrit plus loin. Le débrayage s'opère d'une manière décrite ci-après. Cette disposition permet au moteur 10 d'être débrayé de la machine de sorte que celle-ci peut être arrêtée sans arrêter le moteur.
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Corne c'est représenté a le fie 2, la pédale 15 passe à traversla paroi 5, sur l'un des cotés de la machine. Pour permettre d'actionner l'embrayage de l'autre côté de la machine, il est prévu, sur ce dernier côté, une pédale similaire 25 qui passe à travers la paroi 2. et qui est également fixée perpendiculairement car l'une des extrémités d'un arbre 27 tourillonnant dans des
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paliers mi - :
39, à l'extrémité opposée de l'arbre 27 est fixé un levier 30 qui est relié, au moyen d'un bielle 31, à un point du levier 17 situé sur le côté du pivot 18 opposé à celui en lequel la bielle 24 est reliée à ce dernier levier. On voit que, de cette façon, l'élément ci. ' embrayage 15 peut être amené en prise avec l'élément
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13 au moyen de l'une ou l'autre des pédales 19 ou 35.
Pour empêcher la rotation, non désirée de l'arbre .
14 dans un sens ou dans l'autre, sauf aux moments où il
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est actionna par l3 moteur, il est prévu un 1Lll cEL11ÍS1:1C de freinage qui est le mieux représenté à la fig. 14 et qui comprend un tambour de frein, 32 fixé sur l'une des extrémités de l'arbre 14 en un endroit adjacent à la paroi ou cloison 8 et pourvu d'une garniture de frein
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53 et de sabots de frein " z 55,.
Ces sabots sont sensiblement semi-circulaires et sont pourvus à l'une
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de leurs extrémités,d'oreilles zig et 37 respectivement, qui sont assujetties élastiquement l'une à l'autre au moyen d'un boulon 38 qui les traverse et qui est entouré
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par un ressort 39 interposé antre l'oreille 57 et un écrou 0 yui agit pour serrer les sabots de frein, d'une manière facile à comprendre. L'extrémité opposée du sabot de frein 34 est reliée à l'une des extrémités d'une bielle 41 dont l'autre bout pivote sur un arbre
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z 'supporté dansis. cloison 8. Un ressort 43 agit sur la bielle 41 pour solliciter le sabot 54 vers la garni-
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ture 33.
L'extrémité opposée du sabot de frein M est
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.rtiC1.üée le, bielle ±1:. en un point situe sntre
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le pivot 42 de celle-ci et le point en' lequel le ressort 43 agit sur elle. De préférence, cette articulation est effectuée au moyen d'une cheville 44 travaillant dans une fente 45. de la bielle 41. La bielle 41 est pourvue d'une saillie 46. avec laquelle peut venir en prisé une came 47 fixée sur l'arbre 27.
D'après ce qui précède, on voit que les sabots de frein 34 et 35 serrent norma- lement sur la garniture de frein 33, sous l'action des ressorts 39 et 43, et empêchent l'arbre 14. de tourner; toutefois, lorsqu'on appuie sur l'une ou l'autre des pé- dales 19 ou 25 pour embrayer le moteur par l'intermé- diaire du mécanisme décrit-ci-dessus, l'arbre 27 est mis, en rotation ce qui amené la came 47 en prise avec la saillie 46 en relevant par cela même la bielle 41.en antagonisme à l'action du ressort 43; ceci écarte les sabots de frein et défreine l'arbre 14.
En supposant que le paquet ou botte a été placé sur les rouleaux 9. et que le moteur 10 a été embrayé à l'arbre 14 par le mécanisme décrit, l'arbre se trou- vant alors défreiné comme cela vient d'être dit, la pre- mière chose que fait la machine est de comprimer le pa- quet pendant que s'effectuent le passage du fil métal- lique autour de ce paquet et le liage de ce fil, de fa- çon que le paquet soit lié sous compression* Voici com- ment s'opère cette compression. (Figs; 1 3, 23 et 24).- Au-dessus de la table 7le bâtil est pourvu de parois verticales parallèles, 48, 49 entre lesquelles se trouvent les rouleau-7, 9 comme cela est représenté à la fig. 1.
Dans le bâti glisse une barre verticale 50 qui s'élève au-dessus du paquet et qui est tirée de haut en bas par le fort ressort 51, attaché par son extrémité inférieure au bâti et par son extrémité supé- rieure à la tête 5? de la barre, un mouvement ascendant pouvant être imprimé à ladite barre par une came 53 fixée sur un arbre 54. Un levier 55, pivotant sur
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un r.rbre 56, est relié par son extrémité libre, au moyen d'une bielle 57, à l'extrémité inférieure de la
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'barre 50 et porte un galet 5S¯ en prise avec la cerne 33, qui présente deux parties hautes semblables 59, 60 situées à 180 degrés l'une de l'autre.
Le ressort 51 sollicite la barre 50 de haut en bas et maintient le
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galet 58 contre la came 53 et la barre 50 est axe de bas en haut quand les parties hautes 59 et CC, de la came passent sous le galet . Le mouvement descen-
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danb de la barre 50 produit la compression du paquet tandis que son mouvement ascendant fait cesser cette
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compression et la crjns 5; et disposée de telle sorte que le paquet est tenu p3nd--..n' ls liage tandis que, lorsque cette spération est terminée, la compression cesse de s'exercer sur le paquet, à ce moment, les par- ties occupent la position représentée s. la fig. 3, qui est également la position normale lorsque la machine est arrêtée.
La case 53 reçoit son mouvement de l'arbre
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14 par l'intermédiaire des roues dentées 61, à 66 dont la dernière est également fixée sur l'arbre 54. Comme cela est clairement représentéà la figo 3, la roue 62 est fixée sur un arbre 62, sur lequel est également
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fixée la roue 6, et la roue 64 est fixée sur un arbre sur lequel est également fixée la roue 65.
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A la barre verticalement mobile &± qui est'. de préférence de section carrée, et assujetti un comprimeur 67 stétendnt/par dessus les rouleaux 9 et entre les parois 489 49¯, (figo 1). Comme cela est représenté aux figs. 23 et 54, le comprimeur 67 présente une fente 68, dans laquelle la barre 50 est reçue 3t où cette barre est tenue par des oreilles 69, 70 qui, assujetties entre
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les parois 71, 72 par des boulons 73, sont disposées de façon à pouvoir glisser sur la barre 50 pour supporter
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sur celle-ci le comprimeur 67.
Des linguets 74, 75, suppor- tés à pivot sur le comprimeur 67, entre les oreilles 69, 70, sont normalement tenus en prise avec la barre 50, pour faire serrage sur celle-ci par un ressort 76 defaçon supporter rigidement le comprimeur sur la. barre. En comprimant le ressort 76,en peut dégager les linguets de la barre 50 et ajuster le comprimeur 67 à diverses positions sur celle-ci, selon la grosseur des paquets que l'on a à lier,
Le paquet se trouvant comprimé par le comprimeur 67, l'opération suivante de la machine consiste à passer sous tension, le fil métallique autour du paquet de façon que des parties du fil se recouvrent, après quoi les parties se recouvrant ainsi sont tortillées ensemble pour lier ou attacher le fil métallique autour du paquet.
Le moyen pour passer le fil 77 autour du paquet consiste en une couronne 78 tournant dans le bâti 1,et entou- rant cette partie de la table qui supporte le paquet, c'est-à-dire les rouleaux 9. et les parois verticales 48 et 49 entre lesquelles le paquet se trouve, comme cela est représenté à la fige lo La couronne 78 est montée sur plusieurs galets espacés 79 tournant sur des axes assujet- tis au bâti, de telle façon que la couronne peut être mise en rotation facilement autour de son axe. Sur la courenne, sont montés plusieurs galets à gorge, 80 sur lesquels le fil métallique passe. Une des extrémités du fil est tenue fixement par une mordache complètement décrite plus loin de sorte que, à mesure que la couronne tourne, le fil est entraîné sur les galets 80 et est passé autour du paquet.
La couronne, à chaque cycle de fonctionnement, fait plus d'un tour pour amener des parties du fil entou- rant le paquet à se recouvrir l'une l'autre.
Le fil métallique 77 est tiré d'un rouleau disposé on un endroit, quelconque convenable, passe à travers un
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dispositif de tension 81 puis à travers un raidisseur
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ci-après décrit et, de 19., aux galets 80 montés sur la couronne , à mesure que la couronne tourne.
Le dispositif de tension 81, voir Figs. z0 et 21, comprend un bâti 32 sur lequel sont montes plusieurs
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galets à gorge, 8-85¯ espaces et parallèles. Entre les galets 13--et 8= et les galets 84 et 85 sont disposés des galets à oxe 5 et 87 qui tournent sur une pièce 88 articulée par un bout au bâti 82, en 89 comme cela est représenté à la fig. 21, et pourvue à son extrémité opposée d'une poignée 90. Le fil métallique pénètre dans le dispo- sitif de tension à travers un guide tubulaire 91 qui est situé sur l'extrémité d'entrée du bâti 82, en un endroit adjacent au galet 83. A son extrémité libre, le bord in- terne du guide 91 est arrondi, comme cela est représenté en 92 pour faciliter le passage du fil à travers lui.
Le guide est également situé de façon qu'il est dirigé vers le rouleau d'où le fil se déroule. Dans le présent cas, il est dirigé vers le bas, ce qui est la position voulue lorsque le rouleaude fil métallique se trouve quelque partau-des- sous de lui et à la droite de la machine quand on la voit
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comme à la f ig. 1. Lorsque du fil métallique se déroule d'un rouleau, il forme -ment une boucle qui si l'on ne l'enlève pas, s'era fréquemment cause que le fil se rosi- pra quand on le tendra ou qu'on le raidira. Dans la prati- que, lorsqu'il se forme des boucles de ce genre, le guide tubulaire 91 les enlève Le fil pénètre donc dans le disposi-
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tif de tension à travers le guide 91 et passe suce es s par-dessus et par-dessous les galets S S, 36, 34, S7, et 85¯.
En faisant varier la position des galets 86 et 87, on peut contrôler le degré de flexion du fil à mesure qu'il passe à travers le dispositif de tension et contrôler, par conséquent,
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le tension du fila On peut faire varier la position des galets 86 et 87 en saisissant la poignée 90 et en fai- ot saut mouvoir la pièce 88 autour de son/89. La pièce 88 est tenue dans la position de réglage voulue au moyen de 1écrou à oreilles 93 et du boulon 94.Cette disposi- tion permet de régler facilement la tension du fil métal- ligue puisqu'il suffit pour cela d'amener la partie
88 à la position voulue au moyen de la poignée 90 et de l'assujettir dans cette position au moyen de l'écrou 93.
On maintient habituellement la tension constante pour une grosseur donnée de fil; mais on peut la régler pour des grosseurs de fil différentes ou pour des bottes ou pa- quets d'une nature différente. Comme cela est représenté à la fig. 1, le dispositifde tension 81 est de préfé- rence supporté sur une plate-forme surélevée 95, sur l'une des extrémités- de la table 7.
Du dispositif de tension 81, le fil métallique passe plusieurs fois sur les poulies à gorge 96, 97,voir figo I. La poulie 96 tourne dans le bâti 1 et la poulie
97 tourne sur l'une des extrémités d'un.¯ levier 98 qui pivote sur un boulon 99 assujetti au bâti. Un ressort spi- ral 100, assujetti par un bout autour du boulon 99 et par son extrémité opposée au levier 98, en un point 101 situé entre le boulon 99 et- la poulie 97, repousse constamment le levier 98 vers le bas et maintient ainsi le fil tendu sur la couronne 78. pendant le fonctionnement de la machi- ne Dans ce fonctionnement, le sens de rotation de la couronne est renversé et ce renversement tend à produire du mou dans le fil métallique qui se trouve sur la cou- ronne;
lorsque ceci se présente, le ressort fait descen- dre la poulie 97, en prenant le mou et en maintenant le fil tendu ou raide. Un ressort 102, convenablement fixé sur le bâti, sert à amortir un mouvement descendant exces- sif du levier 98 et un ressort similaire 103, en ligne
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avec un bras 104 du levier 98,joue le même rôle en ce qui concerne le mouvement ascendant de ce levier.
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Cornue on l'a dit ci-dessus, le, couronne 78, tourne wc.ns un sens pour compléter un cycle de fonctionnement, puis tourne eu sens inverse pour compléter un autre cy- cle de fonctionnen-iento Voici copient cette couronne est cojamandée st 0':3111- ment son sens de rotation est renversé ( voir fig.3 et 4).
Le moteur 10 est embrayé, de la manière ci-dessus décrite, à l'arbre 14 sur lequel est fixée la roue den- tée 61 qui fait tourner toujoursdans le même sens, par l'intermédiaire du train d'engrenage 62 à 65, la roue
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dentée 66 fixée sur l'arbre 54 ( fig 4) La roue 66 est, corne cela est'représenté à la fige 4, reliée au
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moyen d'une bielle 04, avec un secteur denté 105 qui pivote sur un arbre 106 dans le bâti, ce qui fait que le secteur 105 oscille tantôt dans un sens tantôt dans l'autre
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à mesure cite la roue 6 tourne.
Le secteur 105 engrène zrec une roue dentée 107, montée sur un arbre 108 qui porte une roue dentée 109v Comme cela est représenté à.; la fig.3, la roue 109 engrène avec une roue dentée 110 montée sur un arbre 111 qui porte une roue dentée 112 engrenant, com- me on le voit à la fig. 1, avec une denture d'engrenage 113 existant sur la périphérie de la couronne 78. Il va,
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bien entendu, sans dire que les différents arbres en quels- tion sont convenablement supportés, et tournent, dans le bâti de la machine. Il est clair, d'après ce qui précède que la couronne 78 est d'abord mise en rotation dans un
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sens, puis dans le sens opposé.
Le rapport de transmis s ion des engrenages est tel quo le couronne 7S¯ fait un tour o.,J - b- -... -...J t.I- 1..::.,\,.",- 1.,."..... l......... -4".t."-# ..w"-..- \.w!s. v t... complet plue uneS'radion de tour, de façon h amener le
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fil a. se recouvrir-dans la dispositif tortilleur.
Le mécanisme tortiller et coupe-fil est :::"3111":;1'11é dans une cn-e liez située sur la table.7 avec sa paroi antérieure, 115 e, fleur avec la paroi verticale 48, CGE-
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me cela est représenté à la fig.1. Le tortilleur reçoit son mouvement d'un arbre 116, et le coupe-fil reçoit le sien d'un arbre 117. Ces deux arbres sont actionnés de la façon suivante, voir figs. 5 à 8 et 22. Ils portent ,res- pectivement, des roues d'angle 118 et 119 engrenant, res- pectivement, avec des roues d'angle 120et 121, folles sur l'arbre 56 fig.5.
La transmission du mouvement de l'arbre aux roues 120 et 121 se fait de la même facon et il suffira donc de dire comment elle s'opère pour la roue 121.Si, pour une raison ou pour une autre, le fil métallique vien à coincer dans le mécanisme tortilleur ou le mécanisme coupe-fil, il est désirable d'arrêter le fonctionnement de celui-ci afin d'en éviter la détério- ration.
Puisque ce mécanisme reçoit sa commande de l'ar- bre 56., comme on le verra plus loin; il est prévu, entre cet arbre et chacune des roues 120 et 121, un accouple- ment élastique qui rend normalement les roues solidaires de l'arbre mais qui les rend indépendantes de celui-ci lors- que des efforts excessifs s'exercent sur l'un. ou l'autre des arbres 116., 117 en raison d'un coincement du fils
Comme cela est représenté aux figs. 5,6 et 22, la roue 121 présente un rebord cylindrique ou jante 122 s'adap- tant dans un tambour 123 assujetti à l'arbre 56 et pourvu, dans sa périphérie interne, d'une dépression 124 dans la- quelle peut être reçu un galet 125 tournant, sur un axe parallèle à l'arbre 56., dans l'extrémité libre d'un levier 126, comme on le voit clairement à la fig. 22.Le levier est monté à pivot sur la jante 122 d'une manière quelcon- que convenable ;
par exemple, il peut être formé avec une extrémité arrondie 127 s'adaptant dans une fente correspon- dante pratiquée dans la jante de manière à permettre un libre mouvement du levier. Le galet 125 est repoussé dansla dépression 124 par un fort ressort 128 tenu sur uue saillie 129 de la jante et agissant contre l'extrémité libre du levier. De cette facon, la........................
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roue 121 est rendue normalement solidaire de l'arbre 56; mais, quand un effort excessif s'exerce sur l'arbre 116,le ressort 128 cède et le tambour 123 tourne fou autour de la jante 122. Un mécanisme identique est prévu entre l'arbre 56 et la roue 120.
L'arbre 56 reçoit sa sommande, toujours dans le même sens de l'arbre 54; maiscette commande est intermittente et n'a lieu qu'aux moments où les dispositifs tortilleur et coupe-fil doivent être actionnéso Cette commande intermit- -, :tente est effectuée par le mécanisme représenté aux Figs.
7et 8. A l'arbre 56 sont assujettis deux bras se croisant,
130, 131 disposés à angle droit l'un par rapport à l'autre.
Dans les extrémités Opposées du bras 130 tourillonnent des galets 132, 133. Des galets semblables, 134 et 135. sont prévus sur le., bras 131. Deux cames 136,137 sont clavetées à l'arbre 54 et assujetties ensemble par des boulons 138.Les galets 132, 133, 134 et 135 se trouvent dans le plan des cames 136 et 137, respectivement. Ces cames sont concentri- ques à l'axe de l'arbre 54 sur la majeure partie de leurs l'engager, mais elles présentent, en d'autres parties, des points hauts et des dépressions sur lesquels passent les galets associés avec l'arbre 56, La come 136 présente des dé- pressions 138,139 situées à 180 l'une de l'autre, qui sont immédiatement suivies de parties hautes 140, 141, respecti- vement. La came 137 présente des parties hautes, 142 et 143, et des dépressions, 144, 145 similaires.
Les deux cernes occupent des positions telles que les dépressions de l'une se trouvent en face des parties hautes de l'autre. De cette façon, lorsque l'arbre 54 tourne dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre à la fig. 8, le galet 132 est soulevé par la partie haute 140 et le galet 135 pénètre dans la dépression 144, ce qui fait par cela même tourner l'ar- bre 56 en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une mon-
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.1tre. Après que les galets ont quitté les'dépressions et les parties hautes respectives, ils passent sur les parties concentriques des cames et, à ces moments,
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l'arbre 56 reste immobile.
On voit d'après ce qui précè- de que l'arbre 56 est mis en rotation, d'une façon inter- mittente, deux fois pendant chaque tour/de l'arbre 54.
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Corra:"c cela est représenté aux fies..-5 et 7, le bras 150 fait de préférence corps avec le tambour- d'entraînement 125, correspondant, pour la roue 121.
Le mécanisme tortillour et coupe-fil est établi comme il suit, voir figs6 9 à 19 et 25 et 26* la cage 114, pour ce mécanismes comprend de préférence deux par-t ties 16,. 147, fig69, qui sont assujetties ensemble, à l'arrière, par un boulon 148 et laissent entre elles un espace 149 dans lequel la couronne 78 tourne.' Les moyens agissant pour tortiller le fil métallique et les dispo- sitifs qui tiennent ce fil sont renfermés dans la partie 146 tandis que le dispositif coupe-fil et d'expulsion.
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est renfermé dans la partie l-7 La paroi antérieure de la cage 114 présente une fente 150 qui s'étend vers l'arrière jusqu'à l'espace 149 et est située entre les parties 146 et 147.
Cette fente s'étend verticalement à travers la paroi frontale de la cage 114,dans le plan du fil métal- lique porté par la couronne 78, pour permettre à ce fil d'encercler le paquet. Le moyen qui tortille ensemble les parties se recouvrant du fil métallique est situé dans la fonte et sera décrit ci-après Dans la partie 146 sont disposées avec leurs têtes faisant face à la fen- te 150 deu-- mordaches serre-fil semblables qu'on appelle-
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ra la 1.1ordr'.,c10 3U!1GrÜmre et la mordache inférieure et dont l'une, -fe*i4ey.-e# e* la mordache supérieure 151,. est représentée à la fisc 9.
Ces mordaches sont espacées verticalement et se trouvent sur des côtés opposés, dans le sens vertical, du dispositif tortilleur. Comme cela est le mieux représenté aux figs. 17 à 19, chaque mor-
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dache présente une tête surplombante, 152 qui est "biseau- tée, ou T', ' n 8.:.7¯.i...? ,.. son out c::t2rn pour Taci- litsr le l;;OUV(;:L:::1t de le. saillie 153 'entre lc.fi..u011':; 5t le corps de la mordaolie le fil nétalliciiie ost situé. La '1;';.'';6 15 S de la mordaclia ;' 'tel1Ô, ':1.1' dessus un bloc de -j errer; 104 t le fil est serre, ou pincé, entre 1 tte et le bloc. La mordache occupe normalement la position J;'81J:!,'Ú:;::mté8 la fig.
9. Des moyens sont prévus pour faire mouvoir la morda-che afin de faire avancer 1v, tâte dans la fente 150. (1e fngon qu'elle s'interpose sur le chemin du fil en cours de pas- sage à travers celle-ci et que ce fil soit amené en posi- 'tion sous cette tête de façon à se trouver serré à mesure qu'elle recule à sa position normale.Les deux mordaches sont actionnées à des moments différents. En supposant que la couronne 78 tourne dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre, l'extrémité du fil métalli- que 77 est pincée par la mordache inférieure. A mesure que la couronne tourne, le fil passe de bas en haut à travers
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la fente 1 utaur du paquet et de,nouveau de 'bas en haut dans la fente 15 0 et ol étend au-delà de le. 1:;'0:-.:1.::-¯01L5 serre-fil supérieure.
Celle-ci est avancée pondant le temps que le fil se meut à travers la fente pour la seconde fois et elle est rappelée, ou recule, après que le fil a pris une position verticale dans le. tenter à ce moment, le fil
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se trouve sous la t0te de lamordache. Le recul de le. mor- dache supérieure serrera, ou pincera, clors l'autre bout du fil métallique. Ce fil est ensuite tortillé et soupe
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;:.u-e3:::OUS "î-.e la mordcclie supérieurs, un autre paquet est mis '311 oS 7.tiG'11 et le. couronne est Elise en rotation en sens inverse du llioUv2llint clés aiguillée d 'une contre pour passer le fil autour du l1C-'l1t; ainsi Mis en .:,or:,Í- tion.
Pcr suite de ce :renvers#:lent du sens de rotation de la couronne, le fil illtllilie 8st courbé autour de la. saillie 135, sous la tote de la Eicrclaclie, ce qui augmente ,nr"'''/''''''''''lk la prise /'" C-.11"-"" :aî 1 fil. Le -'il est C/S
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entraînépar la couronne en sens inverse du mouve- ment des aiguilles d'une montre et s'étend de haut en bas à travers la fente 15 09 puis autour du paquet et de nou- veau de haut en bas à travers la fente, de sorte qu'il y a deux parties de ce fil qui se recouvrent dans la fente.
La, mordache inférieure fonctionne alorspour pincer la partie descendante du fil de sorte que le fil encer- clant le paquet se trouve saisi,, ou pincée sur des côtés opposés du tortilleur. Ce dernier est ensuite actionnée le fil est coupé entrelesmordaches et le tortilleur et la couronne est remise en rotation dans le sens du mouvement des aiguillesd'une montre pour entraîner le fil autour du paquet dans cette direction.
Ce renverse- ment du mouvement de la couronne après l'achèvement de chaque opération, de liage courbe ou replie le fil autour de la saillie 153 de la mordache, de sorte que ce fil se trouve très fermement tenu par la@mordache, ce qui per- met de le soumettre à un maximum de tension.- Le mouve- ment des mordaches supérieure et inférieure, 151 est commandé par des cames 155 et 156 assujetties à l'arbre verticalement- disposé 116,le mieux représenté à la fig. 10.
Cet arbre porte la roue d'angle 118, dont le fonctionnement a été décrit précédemment. Avec chaque came 155,156 est en prise un galet 157 porté par un levier 158 pivotant sur l'arbre 159. L'extrémité libre du levier est reliée à la mordache par l'intermédiaire de forts ressorts amor- tisseurs 160, 161 ( fig.
9) dont le but est d'effectuer une compensation d'épaisseurs ou grosseurs différentes de fil métalliqueLe levier 158 est normalement, tiré en avant, en tendant à faire sortir la tête de la mordache dans la fente, par un ressort à boudin 162 et la posi- tion de la tête est contrôlée par la camedont la forme est telle qu'elle permet à la tête de se mouvoir légère- ment de dedans en dehors pour lâcher, ou desserrer, la
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petite partis recourbée ou repliée de fil ia.-itallic¯ue t¯v.l est tenue dedans, après le fonctionnement du coupa-fil, sans permettre cependant L 1s.
t3te de pontrer clans la f'3n- te, et le cette est pourvue d'une- T.utre dépression qui per- met à la tête de s'étendre de dsdens sa dehors dr.iib fente. Lorsque 1s ,;:',lt 157 est en contact evec le. ir.rtio îiaute àe la c::'..r.le, la tête est tirée en arrière hors de la tante, pour tenir le fil serre.
Le mouvement est ésaler.iont transmis (1 e ]. 'arbre 115 cm tortilleur de fil ( oui, 'dn'-; le présent cas, co'?r21 une pi0cs cylindrique fendue, 155) :..1.1 moyen d'une cT-jiie 154 montée sur le dit arbre et agissant sur un galet 165. tourillonucat dc.ns l'extrémité d'un bras de lJ:::'l1i:ellc
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' comme cela 166 ports par un arbre 67{ est assujetti un secteur denté estJ re1)re- sente a5" la 168 qui enrèr:G ,vec un pignon 1CS¯ faisant de ::.n..é:Lé:::'i1CC :fig1.25'.S,!,. l'arbreI6crps avëa la pièce cylindrique fendue IE3. On peut rG1er la position du secteur 1G8 sur l'arbre 1S7 au moyen de
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vis 170, 171o COL1ili.e cela est représente à. le fig.
H:3 une partie du secteur 18, cui entoure l'arbre lS¯7t est entaillée ou évidée en 168' et dans l'evidemest ainsi formé est place un. 1Ùca 1.3 S" faisant corps avec le 'bras * de manivelle 165 Les via 170 et 171 se vissent c;. ,2 ce bloc et ;' étendent %Il trc-vers les e::4rités opposées de celui-ci de façon a. otre en prisa c-vec les parais en- trâmes de I' ét. ir :a2 . P4 e moyen, on peut régler rccilo- ment le secteur 16 S sur l'.::.'b:!."e 1S7 (le façon "que, è.2"n:- cr. position retirée, la. fente bzz eu tortillsur ill, dont il sers. question plus loin, coïncide 7CC1=. f0l1.te 1[Q. Le secteur est tenu dns â¯. fL.:. .i.CI2 retirée centre un. erret C- le 13 7 co:n1.... cela es û ; w'.':, 4r w.L.v figs. S et 25, au moyen d'un ressort 172 qui 8.;t 3:.:jG'Gti è. 18. : :: 41 de la partis 146 de la 114 et 8. un 11=':-F de :..::I22;'s.;'L.
173 raont2 sur l'arbre 16-7. De cette 1w.niè:;re, durant cha- cue tour de l'arbre 1151 1-. cr.ue 164 oblige le secteur
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168 à se mouvoir deun fois en avant et à faire tourner le tortilleur 163, le secteur 168 étant ramené à sa posi- tion retirée, ou rentrée,par le ressort 172.
Le tortilleur 163 peut tourner autour d'un axe ver- tical, qui est dispose dans la fente 150et il tourne.
(-n'un endroit adjacent à la face de la paroi 115. Norma- lement, ce tortilleur occupe une position telle que sa fente 273 débouche dans la fente 150 dans une direction opposée à celle de la face de la paroi 115. Dans cette position, cette fente 273 forme un prolongement de la fente 150 de sorte que, au moment où le fil passe à tra- vers cette dernière, à mesure qu'il est passé autour du paquet, il est introduit dans la fente 27.1 du tortilleur.
Comme cela est représenté à la fig. 15, deux portions du fil sont disposées dans la partie étroite de la fente 273, de sorte qu'à mesure que le tortilleur tourne, ces por- tions sont tortillées ensemble. Le tortilleur est pourvu, de chaque coté de le, fonte 273, de cavités plus grandes 174, 175, à l'intérieur desquelles le fil peut être tortil- lé, la largeur de la partie étroite de la fente étant telle que le tortillement du fil dans cette partie est empêché.
Dans chacune des extrémités du tortilleur sont disposées des mâchoires fixes 273 à travers lesquelles les parties se recouvrant du fil métallique passent, çes mâchoires étant pourvues de fentes ayant sensiblement la même largeur que la fente 273 de sorte que, quand le tortilleur tourne, le tortillement du fil est limité aux fentes plus larges 174, 175.
Des moyens sont également prévus pour couper le fil métallique entre les mordaches et le tortillon afin de séparer le fil lié ou attaché du restant du fil tiré du rouleau. Dans la partie 147 de la cage 114, pivotent sur des axes vorticaux, en des points adjacents aux
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extrémités du tortilleur 16 S, des barres porte-couteau bzz, 177 fin.12, pourvues leurs extrémités de couteaux 178, 179 qui se meuvent de dedans en dehors dans la fen- te 150 au moment voulu pour couper le fil à l'extrémité du tortillon.. Puisque les deux couteaux, et les mécanis- mes qui les actionnent, sont les mènes, il suffira d'en
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décrire un .
savoir 173 ( figs* 9 à 11). La "barre 17C¯ est tenus dans sa position retirée de la fente par un res- sort 180 et est pourvue d'un galet 181 sur lequel agit
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une caue 1S3 elavetée sur l'arbre 117fcont le fonotiomT.o- ment a été décrit précédemment* Comme cela est représentée 1s. came est disposée pour actionner le couteau deux fois durant chaque tour de l'arbre 117, au moisent voulu après
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.u.e 10 1Üm a 4é or u.êo il est évident que le fil ractalli# que encerclant la boite ou paquet n'est pas coupé, Biais que le fil est coupé entre la partie tortillée et la mordache qui a fonctionné la dernière de sorte que la partie du fil qui est tortillée autour du paquet est-séparée du restant du fil, s'étendant autour de la couronne 78. Aussitôt que les couteaux ont fonctionné pour trancher le fil par cisaille- Lient de celui-ci, en coopération- avec des couteaux fixes non représentés, le noeud ou tortillon est éjecté du tortilleur par la continuation du mouvement du couteau 178. Ceci est effectué par le contour particulier de la came 182 et on le comprendra facilement en se reportant à la figo 9.
La barre perte-couteau 176 est inactive pendant que la surface 182'
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passa sur le galet 1.. Au moment voulu, la surface 1e2 Il vient en prise avec le galet et :[,:">i t .mouvoir la 'barre 176 pour presser positivement les deux fils n fiC:ii. ...ß ¯ 3,,zCli tor- tillour jusqu'à, ce que le i.Oj.' û7. ., ""' : :L ü soit tel'L1iné" Apre,": cela, une saillie ou partie liaute 1S2* ' Vient en pries r.vec le galet, ce qui fait avancer la 'barre 176 de manière à cou-
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per le fil et à éjecter le noeud de la fante 1 0.
Lors de l'achèvement de cette opération, le moteur 10 est débrayé automatiquement au moyen de saillies 184. 185 qui portées
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par la -de la came 136,voir figs 7 et 8, viennent alors en prise avec une saillie 186 existant sur le le- vier d'embrayage 17 comme cela est représenté à la fig. 3= ce qui sépare par cela même les éléments d'embrayage 13 et 15. Les saillies 184, 185 sont de préférence formées sur des plaques 184', 185' respectivement* qui sont assujet- ties à la came 136, en des points diamétralement opposés, par les boulons 138 qui passent à travers des fentes dont ces plaques sont pourvues.
Cette disposition permet de régler la position des saillies sur la face de la came, en sorte que le débrayage du moteur peut être convenable- ment réglé d'une manière simple*
Auprès la description détaillée qui précède, on compren- dra facilement le fonctionnement de la machine que l'on peut brièvement résumer de la façon suivante On met en marche le moteur 10 qui actionne l'élément d'embrayage 13.
On amène l'élément d'embrayage 15 en prise avec l'élément 13¯ en déprimant l'une ou l'autre des pédales 19 ou 25,opération qui défreine simultanément l'arbre 14, comme cela a été dit ci-dessus, et embraye cet arbre au moteur qui fait ainsi tourner, par l'intermédiaire de la transmission décrite, l'arbre 54 sur lequel la came 53 estmontée.
a ce moment, le comprimeur 67 est relevé et, à mesure quela came 53¯¯ tourne, il descend à sa position de compression- et y reste jusqu'à ce que le liage soit terminé. En même temps, la roue dentée 66, actionnéepar le pignon 65,fait faire à la couronne 78un tour complet plus une fraction de tour pour amener des parties du fil à se recouvrir dans le dispositif tortilleur, la rotation de la couronne passant le fil métallique autour duppa- . quête Comme cela 4 été dit ci-dessus, le fil passe du rouleau qui le fournit, à travers le dispositif de ten- sion et le raidisseur, à la couronne 78l'extrémité du fil étant tenue par une mordache 151.
Le fil pénètre'dans
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la fente 150 et le tortilleur 163, est passé autour du paquet et repénètre dans la fente et le tortilleur, après quoi l'autre mordache saisit le fil et le pinça. Le tor- tilleul est ensuite actionné et, lors de l'achèvement du tortillon, les couteaux 178, 179 sont actionnes pour couper le fil entre le tortillon ou noeud et la uorda- che qui a fonctionné la dernière, et éjecterle lien de la fente après quoi le moteur 10 est débrayé automatique- ]:;
lent. Lorsque l'en embraye à nouveau le moteur, la cati- ronne 78 tourne dans le sens oppose. A ce nouent, l'extré- mité du fil métallique est tenue par la mordache qui a fonctionna la dernière, le fil étant replié autour de la saillie de celle-ci, comme décrit, et le cycle de fonction- nement se répète, le fil étant passé autour du paquet dans la direction opposée, et ses extrémités étant ame- nées à se recouvrir dans le tortilleur. On voit ainsi que chaque rotation de la couronne agit pour lier un fil métallique autour d'un paquet et qu'il n'y a pas de retour à blanc de cette couronne à une position neutre..
En Résumé: l'invention comprend: une machine à lier, avec du fil métallique, des 'bottes ou Paquets, essentiellement caractérisée par l'association) avec un moyen de support pour le paquet à lier : d'une couronne qui, mise en rotation de manière à faire un tour complet plus une fraction de tour dans un &ens ou dans l'autre, porte des dispositifs qui pas- sent un fil métallique., autour- du paquet pour chaque mou- vement de rotation ainsi effectué par la couronne, cette machine pouvant d'ailleurs être caractérisée, en outre, par un ou plusieurs des points' suivants :
a ) La couronne est mise en rotation. alternativement dans des sens opposés, de sorte qu'un paquet est lié pour chaque mouvement de rotation effectuée par elle, et sa rotation est arrêtée à la fin de chaque cycle de fonction- nement Ce la :machine en même temps que les transmissions
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qui la font tourner sont inversées de sorte qu'au cycle de fonctionnement suivant -elle sera mise en rotation dans le sens oppose;
b ) dans une fente du moyen de supporta fente dans le plan de laquelle se trouvent les dispositifs qui, portés par la couronne, passent le fil autour du paquet, est disposé un tortilleur à travers lequel le fil est passé deux fois par la rotation de la couronne et qui est lui-même mis en rotation pour tortiller ensem- ble deux parties, se recouvrant, du fil métallique; c ) le tortilleur est pourvu d'une fente qui fai- sant face dans la direction opposée au paquet pour re- cevoir le fil à tortiller, est au contraire tournée vers le paquet, quand le tortilleur s'arrête une fois le lien attaché autour du paquet, pour laisser sortir le tortil- lon de fil qui est alors éjecté automatiquement de la fente, âpres quoi cette dernière est ramenée à la position de réception du fil;
d ) aux deux extrémités du tortilleur, sont prévus des mordaches, pour tenir le fil, et des moyens agissant, une fois le fil tortillé, pour couper ce fil entre le tortillon et les dites mordaches; e)un raidisseur maintient le fil raidi ou tendu dans les deux sens de rotation de la. couronne ; f ) un comprimeur agit sur le paquet pour le tenir comprimé pendant que la couronne passe le fil, sous ten- sion, autour de/lui et que le tortilleur tortille ensemble deux parties du fil pour attacher le lien ;
g ) un guide tubulaire, à travers lequel le fil pas- se pour pénétrer dans la machine et dont l'extrémité réceptrice est arrondie, empêche le bouclage et le nouage du fil arrivant qui, à sa sortie de ce guide, passe à travers un dispositif de tension avant d'être conduit à la couronne qui le passe autour du paquet;
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h l'arbre principale qui commande tous les mecs.- nises de la machine, reçoit son mouvement d'un moteur auquel un embrayage pernet de l'embrayer à volonté et duquel il est débrayé automatiquementà la fin de chaque cycle de fonctionnement, et un frein agissant sur ledit arbre est conjugué avec l'embrayage de telle sorte que lors du débrayage le frein se serre et vice versa.