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La présente invention est relative à un lanterneau pour toits plats.
Les verrières ou lanterneaux pour toits plats habituellement connus consistent en )au moins une surface plane formée par la juxtaposi- tion de plaques de verre réunies entre elles par des baguettes ou petits- bois métalliques, ou noyées dans une voûte de ciment armé ou de béton.
Ils sont plats, à pans inclinés ou en voûte.
Les lanterneaux du type susdit présentent l'inconvénient d'ab- sorber une partie importante de la lumière qu'ils sont chargés de trans- mettre, et de ne pouvoir être mis en place d'une seule pièce. De plus, les eaux, provenant de la condensation de vapeurs sur la face inférieure de ces lanterneaux et qui s'écoulent le long de celle-ci jusqu'à une arête transversale, tombent goutte à goutte à l'intérieure du local. Les lanterneaux habituels.spécialement ceux constitués de vitres assemblées par des baguettes ou analogues, sont d'un aspect peu, esthétique qui contraint parfois de les masquer par un --vitrail translucide, ce qui a pour conséquence de réduire plus encore leurs possibilités d'éclairage naturel.
La présente invention a pour objet de remédier aux inconvénients précipités par un lanterneau dont la voûte est réalisée en forme de dône aplati, d'uneeseule pièce, d'aspect esthétique et en matière synthé- tique, translucide ou transparente, possédant dans ce dernier, cas un coefficient élevé de transmission de la lumière, de densité inférieure à celle du verre et parfaitement résistante à l'action des agents atmosphériques, ledit lanterneau comportant, en outre, un moyen permettant l'évacuation vers l'extérieur des eaux provenant de la condensation des vapeurs intérieures.
Selon l'invention, un lanterneau, destiné à couvrir une baie ménagée dans un toit plat, se compose essentiellement d'un dôme consti- tué d'une feuille, ou de plusieurs feuilles formant corps entre elles, de matière synthétique, par exemple, thermoplastique, transparente ou translucide, tel un des produits connus sous le nom de "Plexigis" ou de "Perspex", et d'un cadre fixé à la toiture et comportant, sous ledit dôme dont il est solidaire, d'une part, une gouttière extérieure à ladite baie et percée à sa partie inférieure de petites ouvertures, et, d'autre part, une rigole solidaire du coté intérieur de ladite gouttière.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront plus clairement de la description d'une forme de réalisation d'un lan- terneau pour toits plats, donnée ci-après à titre d'exemple nullement limitatif et avec référence au dessin annexé qui est une vue en coupe verticale dudit lanterneau dont la voûte est représentée partiellement.
Le lanterneau selon l'invention est constitué essentiellement d'un dôme 1 et d'un cadre 2. Le d8me 1, dans l'exemple de réalisation choisi, est de contour quadrangulaire et présente, en section verticale une courbure à grand rayon ou en anse de panier, dont les extrémités sont sensiblement horizontales pour reposer sur un bord correspondant du cadre 2. Il est constitué d'une matière synthétique, par exemple, thermoplas- tique, transparente ou translucide, tel un produit connu sous le nom de "Prexiglas" ou de "Perspex", d'une densité fort inférieure à celle du verre, et présentant, en outre, l'avantage, dans des conditions normales d'utilisation, de ne point se fêler, se briser en éclats coupants ou s'altérer sous l'action des agents atmosphériques.
Le cadre 2 est formé d'une feuille de matière rigide inaltérable à l'action chimique de l'air et de l'humidité, par exemple, d'un métal tel @ le zinc.
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Le d8me 1 est rendu solidaire de la face plane du cadre 2 par des moyens de fixation connus, par exemple, des rivets 3.
Afin de permettre l'évacuation vers l'extérieur, c'est-à-dire vers la toiture, des eaux provenant de la condensation de vapeurs sur la face inférieure du d8me 1, dont la forme courbe et continue en facilite l'écoulement, le cadre 2 présente à sa périphérie une gouttière 5 hori- zontale disposée sous le dame 1 extérieurement à un muset 4, et raccordée intérieurement au lanterneau, à une rigole 6 dont le fond est sensiblement plat et le bord libre est relevé et par laquelle le cadre 2 repose sur le muret 4 d'un toit plat. A la partie inférieure de la gouttière 5 sont ménagées de petites ouvertures 7 par où s'écoulent les eaux de condensation .recueillies par la rigole 6 et la .gouttière 5.
L'ensemble formé, de chaque côté du lanterneau, par le cadre 2, la gouttière 5 et la rigole 6 est réalisé en une seule feuille profilée, par exemple, de métal emboutit.
A la partie inférieure de la gouttière 5 sont prévues des pattes ou languettes 8 pour la fixation du lanterneau au muret 4 par des moyens appropriés 9, tels que clous, vis ou analogues. Lorsque la couche de re- vêtement 10 du toit, ainsi que les pattes 9 sontenzinc, ces dernières peuvent être soudées à des solins.
Pour assurer un contact parfait entre le dôme 1 et le cadre2, ainsi que l'étanchéité entre ces deux pièces, on peut intercaler une matière compressible formant joint, par exemple, une couche de bitume armé 11. Avantageusement, les bords du dôme 1 peuvent déborder les bords extérieurs du cadre 2, afin d'éviter toute infiltration des eaux de pluie entre ces deux pièces et de protéger le b ord extrême du cadre 2.
Le lanterneau selon l'invention présente notamment l'avantage d'être d'un poids sensiblement inférieur à celui des installations analo- gaes utilisées habituellement. C'est ainsi qu'un lanterneau de 176 x 115 cm et dont le cadre est de zinc n 14 ne pèse que 18 kg environ. De plus, la matière dont est formé le dôme 1 n'est pas susceptible de se briser aisé- ment aux chocs. Il s'ensuit qu'étant;d'une manipulation,d'une mise en place et d'un transport aisés, le lanterneau suivant l'invention peut, avant son utilisation, être réalisé industriellement en séries relativement grandes; en conséquence, son prix de revient est inférieur à celui des lanterneaux habituels.
Il est évident que doit être considéré comme constitué d'un.\seule pièce quant à sa mise en place, un d8me 1 qui, enraison de ses grandes, dimensions, serait formé de plusieurs feuilles de matière, juxtaposées et réunies entre elles d'une façon indissoluble par une soudure ou moyen analogue, transparent ou translucide.
Il est bien entendu que l'invention n'est pas limitée à la seule forme de réalisation décrite ci-avant avec référence au dessin annexé, et que, sans sortir de son cadre, bien des modifications de détails pourraient y être apportées. C'est ainsi notamment que le lanterneau pourrait avoir un contour différent de la forme quadrangulaire et être fixé à la toiture par tout autre moyen que des pattes, avec ou sans prise d'appui sur un muret.
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The present invention relates to a skylight for flat roofs.
Usually known skylights or skylights for flat roofs consist of) at least one flat surface formed by the juxtaposition of glass plates joined together by metal rods or glazing, or embedded in a reinforced cement or concrete vault. .
They are flat, with sloping sides or vaulted.
Skylights of the aforementioned type have the drawback of absorbing a large part of the light that they are responsible for transmitting, and of not being able to be fitted in one piece. In addition, the water, coming from the condensation of vapors on the underside of these skylights and which flows along it to a transverse ridge, falls drop by drop inside the room. The usual skylights, especially those made up of panes assembled by rods or the like, are of a poor appearance, aesthetic which sometimes forces them to be masked by translucent stained glass, which has the consequence of further reducing their possibilities of natural lighting.
The object of the present invention is to remedy the drawbacks precipitated by a skylight whose vault is made in the shape of a flattened done, of a single piece, of aesthetic appearance and of synthetic material, translucent or transparent, having in the latter, case of a high coefficient of light transmission, of lower density than that of glass and perfectly resistant to the action of atmospheric agents, said skylight comprising, in addition, a means allowing the evacuation to the outside of the water coming from the condensation of interior vapors.
According to the invention, a skylight, intended to cover a bay formed in a flat roof, consists essentially of a dome made up of a sheet, or of several sheets forming a body between them, of synthetic material, for example, thermoplastic, transparent or translucent, such as one of the products known under the name of "Plexigis" or "Perspex", and of a frame fixed to the roof and comprising, under said dome to which it is integral, on the one hand, a gutter outside said bay and pierced at its lower part with small openings, and, on the other hand, a channel integral with the inner side of said gutter.
Other details and particularities of the invention will emerge more clearly from the description of an embodiment of a lattice for flat roofs, given below by way of non-limiting example and with reference to the appended drawing which is a vertical sectional view of said skylight, the vault of which is partially shown.
The skylight according to the invention consists essentially of a dome 1 and a frame 2. The d8me 1, in the exemplary embodiment chosen, has a quadrangular outline and has, in vertical section, a curvature with a large radius or in basket handle, the ends of which are substantially horizontal to rest on a corresponding edge of the frame 2. It is made of a synthetic material, for example, thermoplastic, transparent or translucent, such as a product known under the name of "Prexiglas "or" Perspex ", of a much lower density than that of glass, and having, in addition, the advantage, under normal conditions of use, of not cracking, breaking into sharp shards or s' alter under the action of atmospheric agents.
The frame 2 is formed from a sheet of rigid material unalterable to the chemical action of air and humidity, for example, of a metal such as zinc.
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The d8me 1 is made integral with the flat face of the frame 2 by known fixing means, for example rivets 3.
In order to allow the evacuation to the outside, that is to say to the roof, of the water coming from the condensation of vapors on the underside of the d8me 1, whose curved and continuous shape facilitates the flow, the frame 2 has at its periphery a horizontal gutter 5 arranged under the lady 1 on the outside of a muset 4, and connected internally to the skylight, to a channel 6 whose bottom is substantially flat and the free edge is raised and through which the frame 2 rests on the wall 4 of a flat roof. At the lower part of the gutter 5 are formed small openings 7 through which the condensation water flows. Collected by the channel 6 and the gutter 5.
The assembly formed, on each side of the skylight, by the frame 2, the gutter 5 and the channel 6 is made of a single profiled sheet, for example, of stamped metal.
At the lower part of the gutter 5 are provided tabs or tongues 8 for fixing the skylight to the wall 4 by appropriate means 9, such as nails, screws or the like. When the coating layer 10 of the roof, as well as the legs 9 are incised, the latter can be welded to flashings.
To ensure perfect contact between the dome 1 and the frame 2, as well as the seal between these two parts, it is possible to insert a compressible material forming a seal, for example, a layer of reinforced bitumen 11. Advantageously, the edges of the dome 1 can be inserted. overflow the outer edges of frame 2, in order to prevent any infiltration of rainwater between these two parts and to protect the extreme edge of frame 2.
The skylight according to the invention has in particular the advantage of being of a weight appreciably less than that of the analogous installations usually used. Thus, a 176 x 115 cm skylight with a zinc frame No. 14 weighs only about 18 kg. In addition, the material of which the dome 1 is formed is not liable to break easily on impact. It follows that, being easy to handle, put in place and transport, the skylight according to the invention can, before its use, be produced industrially in relatively large series; consequently, its cost price is lower than that of the usual skylights.
It is obvious that must be considered as consisting of a single piece as to its installation, a d8me 1 which, due to its large, dimensions, would be formed of several sheets of material, juxtaposed and joined together. in an indissoluble manner by welding or the like, transparent or translucent.
It is understood that the invention is not limited to the single embodiment described above with reference to the appended drawing, and that, without departing from its scope, many modifications of details could be made to it. Thus, in particular, the skylight could have a different contour from the quadrangular shape and be fixed to the roof by any means other than tabs, with or without support on a wall.
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