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PACKAGING MATERIALS CORP., résidant à NEW YORK.
MACHINE A FABRIQUER LE PAPIER ONDULE.
La présente invention concerne les machines à mouler les feuilles de papier ondulé.
L'invention se propose notamment de réaliser : - certains perfectionnements à de telles machines du type décrit en général dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 2.221.200 du 12 novem- bre 1940, d'après lequel on peut fabriquer une feuille ondulée moulée à un régime de production beaucoup plus élevé qu'avec les machines précédentes, - une machine du caractère décrit dans le brevet ci-dessus mention- né, au moyen de laquelle on peut fabriquer une feuille ondulée ayant différen- tes caractéristiques de rigidité et de densité en prévoyant certaine réglages simples de la machine, - une machine perfectionnée du caractère décrit, dans laquelle on extrait un pourcentage de l'humidité de la pulpe avant séchage beaucoup plus grand que dans les machines construites jusqu'à maintenant,
sans augmenter in- dûment la densité de la fibrede sorte que l'on réduit de beaucoup le prix de revient de la feuille moulée, - une machine qui produise à un prix inférieur à ceux pratiqués jusqu'à maintenant des feuilles ondulées ayant une feuille de renfort fixée par adhérence.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description de quelques formes particulières de réalisation données ci-après à titre d'exemples non limitatifs et avec référence aux dessins annexés, sur le sque ls
La fig. 1 est une coupe schématique du cylindre de la machine par un plan transversal à son axe de rotation, montrant une disposition préférée des différents éléments,
La figo 2 est une coupe partielle à grande échelle de la paroi du cylindre et de l'un des rouleaux presseurs représentés à la fig. 1,
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la fig.3 est une vue analogue montrant un autre rouleau pres- seur que l'on utilise dans la fabrication d'un type de papier ondulés, la fig. 4 est une coupe partielle, semblable à celle de la fig.
3, représentant une variante des parties qui y sont représentées,
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la figo 5 est une coupe partielle suivant la ligae 5-5 de la fig.4, la fig.6 est une vue en plan, à une échelle beaucoup plus grande, d'une partie de la paroi du cylindre,
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la figo 7 est une vue schématique montrant la disposition de l'ap- pareil pour sécher le papier ondulé et pour y coller une ou plusieurs feuilles de renfort, la figo 8 est une vue schématique d'une variante du mécanisme d'ap- plication des feuilles de renfort,
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la fi..
9 est une vue partielle en perspective montrant une va- riante du mécanisme d'application de l'adhésif, la figa 9a montre une autre variante, la frigo 10 est une vue schématique d'une autre variante d'appli- cation d'une feuille de renfort unique et aussi de marquage des plis de la feuille ondulée,
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la fig. 11 est un détail d'une forme de réalisation du rouleau de marquage des plis, la tig" 12 est une vue analogue montrant une autre fonne de réa- lisation du rouleau de marquage des plis, la figo 13 est une vue partielle du produit marqué par le rouleau de la figo 11, et la figo 14 est une vue analogue montrant le produit marqué par le rouleau de la figo 12.
En se référant aux dessins, 1 désigne le cylindre sur lequel est moulée la feuille ondulée,le cylindre ayant des cannelures 2. corres- pondant à la position des nervures de la feuille mouléeles cannelures 2. étant séparées par des nervures parallèles. les cannelures sont de préfé- rence de section rectangulaire et, de place en place, dans le fond dos can-
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nelures se trouvent des trous 3. communiquant avec l"1n"térieur du cylindre.
Une trémie d'alimentation 4. de tout modela convenable, est dis- posée à coté du trajet du cylindre, en un endroit situé au dessus du plan qui contient l'axe horizontal du cylindre et d'un coté du plan axial vertical du cylindre, du coté du cylindre où la surface de celui-ci se déplace vers le haut.
A l'intérieur du cylindre se trouve une boite d'aspiration 6 dont les bords sont munis, de la façon habituelle, de joints en contact avec la surface intérieure du cylindre, à l'intérieur de laquelle la pulpe est aspi-
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rée dans las cannelures z, et contre la surface du cylindre, et une partie substantielle de l'humidité de la pulpe est éliminée à travers les perfora- tions qui se trouvent dans le fond des cannelures, pendant le passage de la partie de la paroi du tambour qui se trouve au-dessus de la boîte d'aspiralion.
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La boite d'aspiration 6 est divisée en plusieurs chambres 6a9 6b9 6c et 6d ayant chacune une liaison distincte avec une pompe à vide convenable ou autre source d'aspiration. Les chambres sont séparées les unes des autres par des parois également munies de joints en contact avec la surface intérieu- re du cylindre 1.$ de façon que l'on puisse maintenir différents degrés de vi- de dans les diverses chambres. La chambre 6a entoure une zone qui se trouve en face de la trémie d'alimentation 4 et le degré de vide maintenu dans cette chambre est le plus faible, attendu, que la pulpe à ce stade est encore en sus- pension liquide et qu'un vide trop poussé entraînerait des quantités substan- tielles de pulpe avec l'eau.
On maintient un vide beaucoup plus poussé dans
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les chambres 6b, 6c et 6d.
La surface du tambour contenant les canneluresest recouverte d'une ou plusieurs couches d'une matière perforée telle qu'un grillage mé- tallique. Le grillage n'est pas représenté sur la fig. 1 du fait que cette figure est à petite échelle, mais il est entendu que le grillage recouvre toute la surface cannelée du tambour et l'on utilise de préférence deux gril- lages superposés. La construction et la disposition des grillages sont re-- présentées aux figs. 2,3, 4 et 6. le grillage inférieur 7. a des mailles rela- tivement grosses, tandis que le grillage extérieur 8 a des mailles relative- ment fines.
Les couches de grillage sont ondulées de façon que la surface ex- térieure du grillage 8 corresponde au profil désiré de la face du papier on- dulé terminé, contenant des creux dans lesquels les nervures du papier ondu- lé sont mouléeso Afin de faciliter l'écoulement convenable de l'eau de la pulpe, et aussi pour entraîner convenablement la pulpe dans les creux ou gor- ges du grillage métallique qui recouvre les cannelures 2 de la surface du cy- lindre, les cannelures du cylindre et celles du grillage métallique ont un profil différent. Ainsi, les cannelures du cylindre sont de section rectan- gulaire, tandis que les cannelures des grillages ont une forme et une dimen- sion différentes, par exemple de section demi-circulaire, comme représenté à la fig. 2.
Comme représenté ici, les sommets des nervures sur la face* in- férieure du grillage sont en contact avec les fonds des différentes cannelu- res 2 le long de leur ligne médiane, en laissant des espaces dans les coins de chaque cannelure angulaire pour laisser libre passage à l'eau extraite de la pulpe dans son passage à travers la machine, tout en procurant en même temps un large support au grillage
Il est prévu aussi, de préférence, une série de rouleaux presseurs entrant en contact avec la pulpe pendant qu'elle se déplace avec le cylindre depuis la trémie d'admission, jusqu'au transporteur sans fin 9, au moyen du- quel la feuille de pulpe moulée est enlevée du tambour. Au démarrage, on uti- lise un dispositif de soufflage d'air pour décoller du cylindre l'extrémité de la feuille de pulpe.
Le premier rouleau 11 de cette série est de préférence un rouleau recouvert de caoutchouc assez tendre et ayant une surface lisse Le rouleau 13. est monté dans des paliers soumis à l'action de ressorts, tels que repré- sentés en 12, avec des moyens pour régler la pression des ressorts. La pulpe qui se trouve sur le cylindre, lorsqu'elle s'approche du rouleau presseur 11, n'a été rendue que peu compacte par l'aspiration, en regardant la partie gau- che de la fig. 2, et contient une forte proportion d'humidité.
Pendant que la pul- pe passe sous le rouleau 11, elle est comprimée et une grande partie de l'eau entraînée est exprimée à travers le s grillages et aspirée dans la boite d'as- piration Après être passée sous le rouleau 11, la couche de pulpe se dilate énormément, comme indiqué sur la droite de la fig. 2.
La pulpe est de nouveau comprimée et on extrait encore de l'eau avant que la feuille atteigne le transporteur 9. Sur la fig. 1, on a repré- senté un rouleau presseur cannelé 13 disposé au-dessus du cylindre 1 à la suite du rouleau 11. On n'utilise pas nécessairement ce rouleau 13pour fa- briquer les feuilles flexibles souples d'emballage pour le squelle s la feuille est principalement utilisée, mais seulement pour les feuilles ayant une fibre largement dilatée à la fois dans les nervures et dans les parties intermédiai- res. Dans la fabrication du papier mou, on peut supprimer le rouleau 13 et le cylindre d'avancement transporte la couche de pulpe du rouleau 11 à un se- cond rouleau construit et disposé de la morne façon que le rouleau 11 et placé comme indiqué en 15 sur la fig. 1.
Le rouleau 15 se trouve au-dessus d'une autre- chambre d"aspiration et, en passant sous le rouleau 15 au-dessus de cette chambre d'aspiration, la pulpe est encore comprimée et de l'eau s'en échappe encore, qui est évacuée par l'aspiration.
On règle la pression des ressorts des rouleaux 11 et 15 et l'on maintient l'aspiration dans les chambres d'aspiration 6b, 6c et 6d de telle façon que le rapport eau/solides de la pulpe est modifié de l'ordre de
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99,5 - 0,5 à 78 - 22. Avec une teneur en humidité ains réduite la feuille de papier se tient d'elle-même et elle est facilement détachée du cylindre par le transporteur 9. L'enlèvement d'une quantité importante d'eau par les rouleaux 11 et 15 et par les chambres d'aspiration rendant lu pulpe compacte est du en grande partie à la construction des grillages décrias plus haut, qui permet à l'eau d'être éliminée librement au fur et a mesure qu'elle est exprimée du papier.
La pulpe humide ou la matière liquide qui s'écoulent éventuelle- ment à l'intérieur du cylindre 1 en dessous de la trémie d'admission 4 sont enlevées au moyen d'une auge 16 munie d'un couteau racleur 17 et d'une sortie 18. L'eau qui est laissée dans la pulpe lorsqu'elle quitte le cylindre doit être éliminée par évaporât ion. Dans les machines construites précédemment, le meilleur rapport eau/pulpe que l'on a pu obtenir jusqu'à maintenant était d'environ 83 - 17. La feuille terminée a une teneur d'environ 8 à 10% d'humi- dité et la réduction de la quantité d'eau que l'on doit évaporer pour chaque tonne de papier est d'environ une tonne et demie lorsqu'on utilise la nouvel- le machine Pour.fabriquer certains types de papier ondulé,on utilise de pré- férence un second rouleau 13. en plus du rouleau lisse 11.
En outre, de pré- férence,on fait sortir une pulpe plus épaisse de la trémie d'admission 4.
Ceci est indiqué par l'épaisseur de la pulpe$ P quand elle s'approche du rou- la au 13 après avoir quitté le rouleau 11 (fig. 3). Le roule ou 13 est muni de nervures 13' disposées de façon à coïncider en synchronisme avec les can- nelures 2. du cylindre, lorsque le cylindre et les rouleaux presseurs tour- nent, Dans la forme de réalisation représentée à la fig.
3, les nervures 13' ont une section sensiblement demi-circulaire, et les paliers du rouleau 13, qui sont réglables comme représenté, sont réglés de façon que la surface de la nervure soit espacée de la surface de la cannelure du grillage fin 8 qui recouvre les cannelures 2 du cylindres à peu près de la même distance au milieu des cannelures que le long des cotés
Grâce à cette construction, la pulpe qui se trouve dans les can- nelures et qui a été ramassée pendant le passage du cylindre devant la trémie d'admission est comprimée par le passage du tambour sous le rouleau 13, et toute la feuille est réduite à une épaisseur déterminée, qui est dans un rap- port donné avec l'épaisseur de la feuille terminée,.
Cependant, étant donné que la pulpe est par sa nature mëme tout à fait élastique,aussitôt qu'elle est passée sous le rouleau 13, elle se dilate notablement, comme indiqué à droite du roule au 13 sur la fig. 3. De ce fait, l'effet du rouleau 13 n'est pas de produire une fibre très comprimée dans les nervures de la feuille ter- minée, mais l'effet combiné résultant de la circulation d'une masse plus épais- se de pulpe sur le cylindre 1 et de l'utilisation d'un rouleau 13 à nervures est d'incorporer davantage de fibres dans les nervures formées dans les came- lures du grillage 8 que dans les parties intermédiaires, ce qui apparaît sur la face opposée de la feuille finie sous forme de nervures basses à som- mets aplatis.
De cette façon, la structure des nervures formées dans les canaux du grillage fin 8 est rendue plus dense que la fibre des nervures op- posées à sommets aplatis, en augmentant ainsi sensiblement la résistance et la rigidité de la feuille terminée. Etant donné qu'il y a davantage de fi- bres dans les nervures arrondies que dans les nervures opposées à sommets aplatis ou dans les parties intermédiaires, l'effet de compression du rouleau cannelé 13 est de rendre la fibre de ces nervures arrondies plus dense que la fibre des parties intermédiaires.
Le rouleau presseur 13 est, de préférence, entraîné positivement par des engrenages (non représentés) en synchronisme avec le cylindre 13 le rouleau et le cylindre ont donc la mëme vitesse périphérique,de sorte que les nervures du rouleau 13 s'engagent correctement dans les cannelures de la surface du cylindre, tout en étant en même temps maintenues à une distance convenable de la surface du cylindre.
Le rouleau à nervures 13 peut aussi être placé en un point situé au-dessus de l'une des chambres d'aspiration 6b ou6c, mais il est préférable
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de disposer ces chambres comme représenté, c'est-à-dire,, avec une chambre
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d'aspiration 6b d'un cote du point due contact entre le rouleau 1J. et le cylindre 1 et une autre chambre 6c de l'autre coté, de façon que l'aspira- tion ne soit pas susceptible de troubler la répartition de la pulpe dans les cannelures du cylindre pendant l'opération de compression de la pulpe.
Pour fabriquer cette feuille, on utilise aussi de préférence
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le troisième rouleau 15 à la suite du rouleau à nervures 13. La chambre d'aspiration 6c qui se trouve en-dessous du rouleau 15 sert à extraire de la pulpe l'eau exprimée par les rouleaux 1.2. et 15.
On peut aussi fabriquer la feuille ondulée perfectionnée en fai- sant couler une pulpe encore plus épaisse, c'est-à-dire encore plus épaisse qu'indiqué en P sur la fig. 3, à partir de la trémie d'admission, et en uti- lisant un ou plusieurs des rouleaux presseurs lisses 11, c'est-à-dire sans employer le rouleau à nervures 13.
La différence de densité des fibres dans les nervures et dans les parties intermédiaires de la feuille ne sera cepen- dant pas aussi importante que si l'on utilise le rouleau 13. et le pourcen- tage d'humidité sera plus élevé,
La feuille fabriquée sur la machine,comme décrit plus haut, pos- sède une résistance exceptionnelle au déchirement et constitue une feuille relativement rigide, en particulier dans la direction des ondulations, en raison de l'augmentation de la teneur en fibre à la fois dans les nervures
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et dans lespartles -intermédiaires et, lorsque les feuilles ainsi fabriquées sont munies de feuillesde renfort, on obtient une feuille ondulée forte 'et rigide, qui convient particulièrement à la fabrication des boites d'eajballa- ge en carton et analogues, aussi bien que des boites légères.
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Sur les figes.4 et 5, on a représenté une variante de construction' pour la fabrication de feuilles ayant des ondulations d section trapézoïdale, comme décrit dans le brevet des Etats-Unis d'améxiqua n 2.484.047 du Il oc- tobre 1949. Comme représenté ici, les cannelures du gros grillage 7. et du grillage fin 8 qui recouvrent la surface du cylindre 1 sont de section trapé-
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zoldala, tandis que les cannelures ?, qui se trouvent en dessous sont de sec- tion rectangulaire, en laissant ainsi des espaces libres dans les coins des cannelures pour recevoir l'eau au fur et à mesure qu'elle est extraite de la
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pulpe par aspiration dans la boîte 6 et exprimée par les rouleaux 11 et 15.
Afin de faciliter l'écoulement de l'eau des cannelures 2, on peut prévoir de chaque coté des trous .3 des rainures 20 peu profondes débouchant dans les es-
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paces ouverts des coins des cannelures 2Q Entre les trous 2¯9 le fond de la cannelure 2 est plat et constitue un support masif pour les surfaces extérieu- res des nervures des grillages 2 et qui reposent dans les cannelures 2,
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On peut utiliser un rouleau presseur 13a de la même construction que le rouleau presseur 12 décrit précédemment mais avec des nervures trapé- zoïdales, comme représenté à la fio ,, pour fabriquer des feuilles destinées à des emballages en général, afin d'obtenir des feuilles d'épaisseur'et de pro-
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fil superficiel uniforme Sur la fion 4,
on a représenté un tel rouleau uti- lisé pour la fabrication d'une feuille à nervures trapézoïdales On règle les paliers du rouleau de façon à comprimer la fibre dans les cannelures du cylin-
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dre à peu près de la me'me façon que décrit précédemment au sujet du rouleau 13.
Le rouleau nervure 13a assure la formation, au dos de la feuille., de rainures peu profondes en dessous des nervures moulées sur la face opposée
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de la feuille, de la mime manière que le rouleau 1.2.0 De telles rainures sont habituellement formées dans la surface de la feuille par l'aspiration seule, mais ils est avantageux de prévoir un rouleau presseur pour que les nervures soient uniforme s sur toute l'étendue de la feuille @
La machine décrite ici est utilisée pour la fabrication de la feuille ondulée utilisée pour faire la feuille d'emballage conforme au brevet belge n 510.306 du 29 mars 1952.
On peut enlever, en tous cas, le rouleau
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13 lors- de la fabrication de telles feuilles, maire il est préférable d'utili- ser le rouleaul2 réglé de façon à comprimer légèrement la feuille, afin que
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des variations de consistance de la pulpe et de l'aspiration maintenue dans
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les boite s d'aspiration ne modifient pas l'épaisseur de la feuille. -- -
On a indiqué précédemment que l'eau qui reste dans la pulpe 'lors- qu'elle quitte le cylindre doit être éliminée par évaporation. Ce résultat est obtenu au moyen de l'appareil de séchage représenté schématiquement à la partie supérieure de la fig. 7. Il comprend deux transporteurs sans 'fin disposés à l'intérieur d'un coffrage convenable.
L'un de ces transporteurs est le transporteur 9 précédemment mentionné, et le deuxième transporteur est
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indiqué par le numéro de référence 21 et il est disposé parallèlement au'trans- porteur 2., un peu en dessous de lui, les deux transporteurs ayant à peu près la même longasure Le coffrage de forme allongée 2a est en t.01s GOZlvenâ'ble#nt. ea1.orifu;;ée pour conserver la chaleur, et il est muni d'un nombre suffisant d'éléments chauffants 23 à réglage automatique pour maintenir l'air qui se trouve dans le coffrage 22 à la température désirée.
Il est prévu aussi des ventilateurs 24 pour faire circuler l'air chaud à l'intérieur du coffrage afin de l'amener continuellement en contact avec la feuille de pulpe en mouvement, pour aspirer la quantité désirée d'air frais et pour effectuer l'évacuation de l'air chargé d'humidité, par exempts à travers un ou plusieurs orifices de sortie comme indiqué en 25. On voit que la feuille de pulpe qui quitte le cylindre de moulage 1 est reprise par
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la surface supérieure du transporteur 9 et emportée vers la droite, en'regar- dant la fig. 7, jusqu'à l'extrémité de la chambre de séchage où la f8uj,lle quitte le transporteur pour descendre sur la partie supérieure du transporteur inférieur 21.
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le coffrage 2g et les transporteurs 9 et ont une longueur tel- le, et ils sont coordonnés en ce qui concerne la vitesse des transporteurs, la température de l'air -etc., d'une fagon telle que la feuille de pulpe ou feuille ondulée 26 est sensiblement sèche lorsqu'elle quitte la chambre à gauche, en regardant la fig. 7. Dans une installation particulière, la lon-
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gueur du coffrage 22 est de 30 mètres à 38 "mètre s environ. Il est entendu que la chambre 22 est une structure entièrement fermée, sauf aux endroits d'entrée et de sortie de la feuille de pulpe.
On peut munir d'une feuille de renfort, sur une face ou sur les deux faces, soit le type mou de feuille ondulée qui est obtenue à partir d'une pulpe d'épaisseur modérée s'écoulant de la trémie d'admission et
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sans utiliser les rouleaux presseurs 13. ou 12a, soit le type de feuille on- dulée dure qui est obtenue à partir d'une pulpe plus épaisse s'écoulant de la trémie d'admission, ou en utilisant les rouleaux presseurs nervurés 13 ou 13a,ou ben en utilisant à la fois une pulpe plus épaisse et ces rouleaux presseurs.
On applique habituellement une feuille de renfort en papier Kraft relativement léger sur une face seulement du type de papier ondulé mou pour constituer un article d'emballage élastique que l'on peut utiliser dans les magasins etc± comme tout autre papier d'emballage lorsqu'on désire protéger de la verrerie ou autres marchandises fragiles.
Le type de papier ondulé dur comporte sur chaque face un papier Kraft' un peu plus épais de fagon à obtenir un papier ondulé convenant pour être utilisé à faire des boites en carton d'emballage pour articles lourds, et seulement une feuille de renfort pour les boîtes légères.
Avec la machine suivant l'invention, on peut fabriquer du carton ondulé destiné à ces emplois à un prix de revient Inférieur à celui du car-
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ton ondulé que l'on utilise habituellement pour la confection des boites d'em- ballage en carton, du fait que la feuille de carton ondulée complète est pro- duite en une seule opération continue. Autrement dit, la feuille ondulée passe de la machine à mouler à l'appareil de séchage pour extraire l'humidité en excès et, de là, à l'appareil de feuilletage dans lequel une feuille de renfort est appliquée sur une ou deux faces de la feuille ondulée, le produit fini étant ensuite coupé en feuilles de dimension commerciale ou enroulé sur un rouleau.
Le produit progresse sans s'arrêter à partir du moment où la pul-
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pe coula sur le tambour de l'appareil de moulage jusqu'à ce qu'il sorte à l'état terminé. La feuille sèche 26 qui sort de l'extrémité inférieure de gauche de la chambre de séchage 22 est de préférence- emportée entre des sé-
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ries de rouleaux tendeurs ou de guidage .27.
Le rouleau inférieur 2'ï sert à diriger la feuille 62. vers l'appareil de feuillet âge Ce dernier est représenté à la partie inférieure de la tigo 7 et peut e'tre d'une construction courante comportant des courroies presseuses sans fin supérieure et inférieure 28, la courroie inférieure étant plus courte et laissant un espace en amont d'elle pour des éléments de chauffage 29 des- tinés à chauffer les couches assemblées et à accélérer le séchage. Une feuil- le supérieure de renfort 30 en papier Kraft de poids convenable et une feuil-
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le de renfort inférieure J1 du méme papier et habituellement de môme poids, sont tirées entre les courroies presseusesqui font adhérer les feuillesde renfort sur les faces opposées de la feuilla ondulée 26 au moyen d'un adhé- sif préalablement appliqué.
On peut appliquer un adhésif convenable tel que le silicate de sodium, soit sur la feuille ondulée 26, soit sur les feuilles
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de renfort 22 et 31o La feuille de papier de renfort 22 provient d'un rouleau débiteur la et passe sur un rouleau 3. d'application d'un adhésif, tandis qu'un adhé- sif est appliqué sur la face inférieure de la feuille ondulée 2Q au moyen d'un rouleau 3a. La feuille de renfort 31 provient d'un rouleau débiteur 3A et passe sur un rouleau chauffeur J2. et de là sur un rouleau presseur 6 situé en dessous de l'extrémité avant de la courroie supérieure 28.
Quelle que soit la façon dont on applique l'adhésif, et que l'on applique une ou deux feuilles de renfort sur la feuille ondulée 26, la feuille ondulée strati-
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fiée terminée 4 est emportée vers la droite sous un couteau 6/i disposé de façon à couper des tronçons de toutes longueurs désirées.
En se référant à la fig. 8, la disposition est ici telle que la feuille ondulée 26 reçoit l'adhésif à la fois sur la face inférieure et sur la face supérieure. La feuille 26 passe en contact avec le rouleau encol- leur inférieur 37 qui applique l'adhésif sur la face inférieure de la feuille ondulée, et avec un rouleau encollaur supérieur 38 qui applique l'adhésif sur la faae supérieure de la feuille 26.
Il est entendu que si l'on ne désire pas appliquer de feuilles de renfort sur lu feuille ondulée 26, on peut supprimer le mécanisme de feuil- letage et diriger directement la feuille ondulée sur un rouleau de reprise (non représenté) .
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Les figso 9 et. 9a montrent deux façons d'appliquer l'adhésif sur des surfaces espacées et limitées pour la fabrication de l'article d'emballa- élastique ci-dessus mentionné. Sur la frigo 9s l'adhésif est appliqué en des points .39. sur l'une des feuilles de renfort, par exemple la feuille de renfort supérieure 46 (figo 10), une seule feuille de renfort étant utilisée.
Ces points sont répartis uniformément sur la surface de la feuille 46 et ils sont très espacés et de dimension relativement petite. le but est de réaliser un article d'emballage élastique, beaucoup plus flexible que si l'on appliquait l'adhésif sur toute la surface de la feuille de renfort. On peut appliquer l'adhésif de cette fagon au moyen de tout mécanisme convenable tel que,par exemple, le rouleau 40 qui est muni de saillies 41 disposées convenablement pour imprimer les points 39 d'adhésif sur la feuille lorsqu'elle passe entre
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le rouleau 40 et le rouleau presseur 2. Il est entendu que l'adhésif est reçu par les saillies iL! à partir d'un rouleau de transfert 43.
On peut aussi appliquer l'adhésif en bandes, au lieu de l'appli- quer par points, les bandes étant orientées dans une direction perpendiculaire aux nervures et dans le sens de la longueur de la feuille ondulée. En fait
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il s'agit là du procédé d'application préféré, et la fin. 9.â montre un rouleau encolleur 40a destiné à appliquer l'adhésif selon une série de bandes à formée par les nervures circulaires aa Le rouleau 42s ou le rouleau 0a, peuvent être disposés de façon à appliquer l'adhésif soit sur la feuille 46
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comme représenté à la fig. 10, soit sur la feuille ondulée d'une manière
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assez semblable à la représentation de .a figo 8.
Bien que l'on puisse ap- pliquer la feuille unique de renfort 46 sur une feuille ondulée du type re- présenté en 26 sur les fige. précédentes, sur laquelle les nervures sur les deux faces de la feuille sont à peu près de la même dimension, il est pré- férable d'utiliser, pour l'article d'emballage élastique une feuille onglée telle que celle indiquée 47. La feuille ondulée 42 est moulée exactement de la même façon que la feuille ondulée 26, mais elle est munie sur une face d'une série de nervures arrondies 48 en fibres moulées relativement épaisses, reliées par des parties intermédiaires 49 qui apparaissent sur la face opposée comme des nervures relativement plates et plus minces.
On peut appliquer les points d'adhésif sur ces parties 49, de place
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en place, au moyen du rouleau 40, et la zizi 10 a pour but de montrer que les points 39 sont espacés sensiblement d'un multiple de l'espacement des nervu- res 8. e'est-à-âire qu'une rangée de point s d'adhésif est appliquée en tra- vers de la feuille, par exemple sur une partie !1l. seulement sur deux. Il est entendu que l'espacement latéral des point s d'adhésif 39 est,de préférence, à peu près le même que l'espacement longitudinal que l'on vient de décrire.
On peut faire varier l'espacement et la dimension des points 39 ou des bandes
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39 a dans une large mesure.
Lorsque l'article stratifié sort de l'extrémité de droite de l'ap- pareil de feuilletage , il passe entre un rouleau marqueur de plis 50 et un
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rouleau pre sseur conjugué 51. et il est ensuite repris par un rouleau à La roule au in de marquage de pli. est muni d'une série de couteaux circulaires 52 (figo 11) qui sont espacés les uns des autres le long du rouleau. Ces couteaux sont construits de façon convenable pour imprimer des dents 53 (figo 13) sur les surfaces Inférieures des nervures 48 en vue de faciliter le pliage de la matière dans la direction longitudinale des nervures.
Au lieu du rouleau marqueur de plis rectiligne 50, on peut em- ployer une variante de rouleau marqueur de plis 50a qui est muni d'une série
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de couteaux 2k et àl disposés en hélices se croisant (fig. 12). La disposi- tion de ces couteaux est telle qu'ils forment des paires que plis ou de dents doubles s 6 et 57. (fig. 14) dans les nervure s o Ce s doubles dents aident -à augmenter la flexibilité de la feuille nervurée dans deux directions ou da- vantage.
La feuille 46 est une feuille de papier Kraft léger ou relative- ment mince,tandis que du corps est conféré à l'article d'emballage souple au moyen de la feuille ondulée moulée 47 qui est fabriquée à partir de pulpe usée. En appliquant la feuille 46 de la manière décrite, de façon que la feuille n'adhère pas sur toute sa surface sur la feuille ondulée, mais seule- ment sur des surfaces limitées et espacéescomme indiqué, en combinaison avec le marquage de plis des nervures 48 de la feuille ondulée, on obtient
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un article demballage que l'on peut plier facilement autour d'objets fragi- les tels que de la verrerie et qui en même temps, assure une protection d'amor- tissement qui s'est révélée extrêmement efficace contre le bris.
Avec l'appareil de la présente invention, on peut fabriquer en une seule opération continue les différents articles indiqués, à savoir le papier ou carton ondulé renforcé sur les deux faces, le carton ondulé ren- forcé sur une seule face, l'article d'emballage souple et la feuille ondulée
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26 ou 42 en e1.1-mea C'est-à.-dire qu'on fait couler continuellement la pul- pe sur un cylindre de moulage 1 qui tourne d'un mouvement continu uniforme.
On actionne aussi d'une façon continue les transporteurs 9. et 21 de l'appareil de séchage 22, et à la même vitesse uniforme que la vitesse circonférencielle du cylindre 1. les courroies presseuses sans fin 28 de l'appareil de feuil-
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letage , aussi bien que les rouleaux de marquage de plis 2Q et 51, sont égale- ment actionnés à cette même vitesse.
La pulpe passe directement du cylindre de moulage 1 à la chambre de séchage 22, et de là directement au dispositif de feuilletage et au rouleau
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de marquage des plis, la cas échéant. Le mouvement de la feuille de pulpe est continu à partir du moment où elle commence à se former jusqu'au moment où l'article terminé est débité par les couteaux 45. ou enroulé sur le rou- leau de reprise 58 ou analogue. Par conséquent, l'appareil possède non seu- lement las avantages d'une production continue par opposition à une produc- tion discontinue, mais également les avantages résultant de la production de l'article terminé dans une seule opération continue au lieu d'une série de phasesdistinctes.
Il est entendu que l'on peut apporter différentes modifications dans la disposition et les détails de l'appareil, sans sortir pour cela du cadre de l'invention.