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COMBINAISONS CHAINES SANS FIN ET APPAREILS POUR TRAITER ET TRANSPORTER, EN MEME TEMPS, DANS DES LIQUIDES, TOUTES MATIERES TEXTILES QUELCONQUES.
La présente invention a pour objet de présenter et de revendi- quer un assemblage de chaines sans fin et d9appareils coopérant ensemble - d'une façon continue pour effectuer avantageusement les opérations de dé- gommage, de nettoyage de lavage parfaits, de blanchiment, des matières textiles, tiges, écorces, filasses ou fibres ou étoupes, ou fils provenant de toutes plantes fibreuses végétales, par leur passage automatique dans les différents bains utilisés à cet effet, et ce, au moyen de cuves, réser- voirs, ou bacs spécialement agencés pour les recevoir, et d'une combinai- son de chaînes sans fin, vibrante, travaillant dans ces cuves réservoirs ou bacs, cette combinaison de chaînes sans fin étant deux chalnes sans fin, à claire-voie, qui s'épousent, dont l'une, la première,
est destinée à re- cevoir d'une façon automatique ou par l'intervention d'un ouvrier, les ti- ges ou écorces ou filasses ou fibres, ou déchets ou étoupes, ou fils prove- nant des plantes fibreuses végétales généralement quelconques, telles le lin, le chanvre, le jute, la ramie et dont l'autre chaîne sans fin, la deuxième, est destinée à enserrer les dites matières textiles contre la première chaîne sans fin, en formant corps avec elle, en l'épousant, à l'effet de pouvoir transporter par continuité, sans arrêt, parallèlement placées sous une égale et faible épaisseur, toujours régulière, les dites tiges ou écorces, ou filasses ou fibres, ou déchets ou étoupes, ou fils, à l'effet de pouvoir les immerger sans les enchevêtrer dans les bains, dans le bur de les dégommer, de les nettoyer de les laver, de les blan- chir,
en coopérant mécaniquement dans ces cuves, bacs ou réservoirs spécia- lement agencés, par le frottement des liquides des bains sur les matières, provoqué au moyen du travail mécanique de cet-ce combinaison de chaînes, qui enserrent les dites matières textiles ; le passage de la combinaison vibrante des deux chaînes sans fin citées plus haut, dans les cuves, bacs ou réservoirs précités, réalise ainsi le travail d'ensemble voulu, de ces chaînes, avec les liquides des bains agités dans les dits bacs, réservoirs ou cuves, agencés dans ce but.
La combinaison susdite de ces deux chaînes sans fin peut être
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amployée identiquement de la même façon, pour travailler mécaniquement avec Inaction des liquides des bains dans les dits bacs, cuves ou réservoirs, qui se suivent, pour les opérations parfaites de dégommage, de nettoyage, et de lavages successifs et de blanchiment et de teinture pour le passage de la matière textile à traiter, d'une première combinaison de chaînes sans fin, à une deuxième combinaison de chaînes sans fin, et ainsi de suite, sans devoir manipuler les matières pour leur transfert d'une cuve, à une autre subséquente, munie également d'une combinaison de chaînes, que cette cuve soit un bac ou un réservoir.
La présente invention a aussi pour ob- jet l'emploi de cette combinaison susdite des deux chaînes sans fin, pour conduire les matières textiles dégommées, lavées, blanchies, teintes sur une faible épaisseur et sans enchevêtrement, entre des rouleaux exprimeurs de liquides et ensuite parce que toujours placée sur une faible épaisseur, et sans enchevêtrement, cela étant obtenu par l'emploi de cette combinai- son de chaînes sans fin, pour les conduire à une machine assouplisseuse des bandes ainsi pressées sortant des rouleaux exprimeurs des liquides ;
te machine assouplisseuse étant composée, comme décrite plus loin,d'un non- bre de rouleaux à cannelures diverses ou parties de rouleaux qui peuvent être en épaisseur des 1/2 ou des 1/3 de ces rouleaux, plus ou moins nom- breux, qui par un mouvement excentrique ondulant de ces dits rouleaux ou parties de rouleaux frottent les matières textiles entre leurs propres cannelures et les cannelures adhoc d'une chaîne sans fin, fabriquée à cet effet, entraîneuse des matières textiles traitées;
les dites cannelures de la chaîne sans fin qui épousent librement, follement, celles des rou- leaux ou parties de rouleaux ondulent, par le mouvement excentrique des rouleaux, et lissent en les ouvrant, les rubans des matières textiles sor- tant des rouleaux exprimeurs et permettent ainsi à ces rubans de matières, d'être moins compactes, et d'étre plus divisés pour aller au séchoir, où, désunis encore par le mécanisme du séchoir, à mouvement continu, il sera possible de sécher industriellement ces matières dégommées, lavées, blan- chies, teintes automatiquement, en un laps de temps, très court.
Les différentes expériences et les différents essais faits dans ce domaine du dégommage industriel, du blanchiment des filasses, des fibres textiles des plantes fibreuses généralement quelconques, ont dé- montré que l'assemblage d'appareils, dinstruments, à employer comme dit ci-dessus, était indispensable pour dégommer régulièrement et pour blan- chir ensuite les tiges ou écorces ou filasses ou fibres ou déchets, ou étoupes ou fils provenant de plantes fibreuses végétales, et ce, d'une fa- çon continue, vraiment industrielle, sans manipulation pendant le travail de dégommage, de blanchiment, et pour les sécher ensuite artificiellement et méthodiquement, d'une façon vraiment industrielle également, le tout étant exécuté par un travail mécanique de continuité, pour arriver,sans arrês dans la production,
à préparer régulièrement tous les jours, d'une façon rentable, des quantités importantes des fibres textiles végétales citées ci-dessus, propres pour les filatures de tous genres, sans devoir passer par un rouissage biologique dans des puits ou dans des eaux cou- rantes même stagnantes, sans devoir passer par un.rouissage à terre, sur champs, toujours très aléatoire, des matières textiles traitées.
Le prendrai comme exemple d'application de l'invention, la plante fibreuse végétale le lin, pour décrire le travail de la combinai- son des deux chaînes sans fin effectuant leur travail mécanique de coopé- ration avec les cuves, bacs, réservoirs précités et avec les divers bains de dégommage, de nettoyage, de lavage, de blanchiment, même de teinture pour la préparation d'une fibre textile propre pour les filatures ; jeprendrai comme exemple d'application, la même plante fibreuse, le lin, pour décrire le travail de la machine assouplisseuse des matières textiles dégommées, blanchies, même teintes à leur sortie des rouleaux exprimeurs des liquides, et à leur sortie du séchoir;
et de cette plante fibreuse végétale, le lin, je prendrai comme exemple d'application le traitement de la tige du lin, tout en disant comment on peut aussi opérer avec la
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filasse, avec les étoupes de lin, même avec les fils de lin.
Les tiges de lin venant directement des champs, après avoir été égrénées d'une façon généralement quelconque, mais sans être remises en bottes, sont placées automatiquement ou par un ouvrier sur la premiè- re chaîne sans fin transporteuse des matières qui les entraîne vers la - première cuve ou le premier bac ou réservoir des bains ;
avantcentrée des matières tiges dans cette cuve ou bac ou réservoir, la deuxième chaîne sans fin vient, en descendant pour faire son circuit, se placer sur les matières tiges prises par la première chaîne sans fin, enserre ces tiges, en faisant corps, en faisant combinaison, avec la première chaîne sans fin, et à elles deux, commencent leur circuit et leur travail de dégommage en coopérant, avec la première cuve, bac ou réservoir agencés en conséquence pour recevoir cette combinaison de chaines, et avec les liquides du bain de la première cuve, bac ou réservoir;
à la sortie de ce premier bac, réser- voir ou cuve, la matière tige dégagée des chaînes, automatiquement par des extracteurs, ou à la main par un ouvrier, passe vers une deuxième combinai- son de deux chaînes sans fin identiques aux premières et de la même façon la matière tige est emportée par cette deuxième combinaison de chaînes et passe dans un deuxième bac, réservoir ou cuve pour être immergée dans un deuxième bain et pour être travaillée, en coopération par les chaînes, bacs réservoirs ou cuves, et liquides, de la même façon, ce même travail de coopération entre chaînes, bacs, et liquides des bains, peut se répéter de la même façon pour un travail d'immersion dans une 3e ou 4e cuves ou bacs, même en plus grand nombre, placés les uns à la suite des autres,
jusqu'au finissement total du traitement pour l'obtention d'une tige de lin parfaitement dégommée, blanchie ; ou d'uneffilasse ou d'une étoupe ou d'une fibre parfaitement dégommée, blanchie, même teinte, et propre pour la filature à laquelle on la destine après que le séchage artificiel aura été opéré dans un séchoir adhoc, à mouvement continu.
Si on traite la filasse de lin, celle-ci est travaillée comme la tige de lin, après le décorticage de la tige opéré d'une façon généra- lement quelconque ; passe par les bains voulus comme a passé la tige de lin ; à la sortie du dernier bain, cette filasse est préparée en passant par des rouleaux exprimeurs du liquide des bains, ce qui peut aussi être fait pour les tiges, pour aller ensuite automatiquement au séchoir, alimenté également, sous une faible épaisseur, des matières textiles à traiter, à sécher. Si on traite la tige de lin, celle-ci après son passa- ge au séchoir, doit être décortiquée soit au moyen d'une broyeuse, turbine- veilleuse, soit de toute autre façon pour 1?obtention de la filasse de lin.
Si on traite les étoupes, celles-qi seront traitées comme les filas- ses de lin. Si on traite les fils de lins ou les rubans de filatures, ceux-ci seront traités comme les filasses de lin.
Cette combinaison des deux chaînes sans fin susdites, peut être vibrante dans son mouvement en avant ; entre mécaniquement dans les cuves, bacs ou réservoirs, et voyage en serpentant dans ceux-ci; soit horizontalement, soit verticalement ;
est agitée dans les cuves des bains, par les agitateurs ou par son mouvement de vibration qui lui est donné par un excentrique agissant sur les supports de cette combinaison de chaînes sans fin, ou sur les tiges directrices de la combinaison de chaînes susdite,se trouvant dans les cuves bacs ou réservoirs, pour pro- voquer son travail de coopération avec les liquides des bains par le dé- placement et le frottement entier de ces liquides sur toutes les parties des matières textiles à traiter, placées dans ce but, sous une faible épaisseur entre lesdites chaînes sans fin ;
travail de coopération de la combinaison des chaînes sans fin, des cuves bacs ou réservoirs, spéciale- ment agencés dans ce but, et enfin des liquides des bains,préparent ef-- ficament la matière textile traitée pour l'obtention d'une fibre propre pouvant aller vers les diverses filatures de lin, et aussi de coton, de laine, ou autres.
Je décris ci-après la combinaison de la double chaîne sans
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fin, porteuse des tiges, écorces ou filasses ou fibres, ou étoupes, ou fils, provenant des plantes fibreuses végétales à dégommer, à nettoyer, à laver, à blanchir, à teindre éventuellement, ainsi que 1?entrée et le passage de cette combinaison de chaînes, généralement quelconques, à claire-voie, dans des cuves, bacs ou réservoirs, ainsi que la sortie de cette combi naison de chaînes, des cuves, bacs ou réservoirs de dégommage, de nettoyage, de lavages, de blanchiment, de teinture chaque chaîne formant la combinaison eh question utilisée, exécute son circuit de chaîne sans fin.
La figure I représente une coupe de la combinaison des deux chaînes sans fin porteuse des matières/fibreuses à traiter, exécutant en serpentant ho- rizontalement son mouvement de chaîne sans fin agitée dans un bac, réser- voir ou cuve contenant les bains employés et recevant les matières à trai- ter, enserrées entre les deux chaînes, ces matières fibreuses arrivant de la table 1 et sortant du bain à la fin de leur traitement dans ce premier bain, par la sortie 2, après leur durée voulue dans le bain, la longueur du trajet de la chaîne sans fin, étant calculée en conséquence;
l'emploi de cette combinaison de double vhaine sans fin se répète identiquement de la même façon, chaque fois qu'il sera exécuté un travail subséquent de net- toyage, de lavage, de blanchiment, de teinture dans une cuve bac ou réser- voir subséquent, la matière à traiter passant de la sortie d'une combinai- son de chaînes sans fin, à l'entrée d'une autre combinaison suivante de chaînes sans fin, soit automatiquement, soit par le travail d'un ouvrier employé à cet effet. a)- chaîne supérieure à chaîne-voie. pour l'entrée des liquides des bains, faite d'une matière généralement quelconque, venant fixer la matière fi- breuse à traiter, en l'enserrant contre la chaîne inférieure b, aussi à claire-voie, et faite aussi d'une matière généralement quelconque, porteu- se de la dite matière fibreuse à traiter ;
b) - chaîne inférieure à claire-voie porteuse de la matière fibreuse à traiter, faisant corps et mouvement d'ensemble dans le travail à effectuer avec la chaîne supérieure a, aussi à chaire-voie; C. C.C.- Contour d'une des cuves bacs ou réservoirs de dégommage, de net- toyage, de lavage, de blanchiment de teinture;
D.D.D.- bâtis soutenant la cuve, bac ou réservoir, à une certaine hauteur du sol, afin que la chaîne inférieure b puisse effectuer librement son mouvement de chaîne sans fin, en-dessous de la cuve, bac ou réservoir; 1.- Table pour permettre l'entrée régulière de la matière fibreuse à trai- ter, entre la chaîne inférieure b, et la chaîne supérieure a, la première, b, recevant la matière fibreuse venant de la table 1, soit automatiquement, soit par l'intervention d'un ouvrier ; 2.- Sortie de la matière fibreuse à traiter dans la cuve, bac ou réservoir, où elle est extraite de la combinaison des chaînes sans fin, soit automa- tiquement par les extracteurs 4.4. soit à la main par un ouvrier, pour al- ler vers une combinaison de chaînes sans fin subséquente, ou bien, si la matière fibreuse subit son dernier bian, vers les rouleaux exprimeurs des liquidas ;
3.3'.- Agitateurs soulevant en chaînes a et b, combinées, en les basculant pendant leur mouvement en avant; 4.4.- Extracteurs fixes ou mobiles des matières fibreuses traitées, placés à la sortie de la cuve, bac ou réservoir, de la double chaîne sans fin, l'un placé et agissant sur la chaîne supérieure a, l'autre placé et agis- sant sur la chaine inférieure b; 5.5 - Poulies motrices des chaînes, à dents s'engrenant dans les maillons des chaînes; 6.6.6.- Cylindres guides moteurs de la chaîne supérieure a, dans son par- cours hors de la cuve, bac ou réservoir employé;
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6'.6'.6'.
Cylindres guides motaurs de la chaîne inférieure 6, dans son par- cours hors de la cuve, bac ou réservoir employé ;
7.70- Excentriques donnant le mouvement de bascule aux agitateurs 3,3';
8.8.- Cylindres ou petites barres rondes autour desquels serpente la com- binaison des chaînes sans fin dans son mouvement contint en avant ; cy- lindres ou barres attachés à un support, non représenté ici, mis en mouve- ment de,,va-et-vient à 1?intérieur de la cuve, bac ou réservoir, par un excentrique, donnent le mouvement vibrant à la combinaison de chaînes sans fin, si on veut faire agir cette combinaison de chaînes, par vibration, dans son mouvement en avant;
M.M.M.- Matière fibreuse à traiter, venant de la table 1 et se plaçant auto- matiquement ou à la main, entre les deux chaînes sans fin, a et b,,la sor- tie de cette matière traitée se faisant en 2.
Je décris ci-après,le passage de la matière M, venant de la table 2 à la sortie de la dernière combinaison des chaînes sans fin du der- nier bac, réservoir ou cuve, entre les rouleaux exprimeurs'des liquides, RE, RE, ainsi que le passage de la même matière fibreuse, venant des rou- leaux exprimeurs RE, RE, entre les rouleaux ou parties de rouleaux Cy. Cy.
Cy., à canneluresvibrants, et la qhalne sans fin à cannelures, 10, en vue de 1?assouplissement des bandes compactes des matières sortant des rouleaux exprimeurs RE, RE, ainsi que le passage de la matière assouplie vers le séchoir.
Lafigure II représente une coupe de la machine assouplissante.
Q- Contour de droite de la cuve, bac ou réservoir; (fig. I) M- Matière sortant de cette cuve, bac ou réservoir pour aller entre les rou- leaux RE, RE, exprimeurs des liquides, extraite automatiquement de la com- binaison de la double chaîne sans fin par les extracteurs 4.4. ou par un ouvrier (fig. I).
2. Table recevant la combinaison de la chaîne sans fin à sa sortie de la cuve, bac ou réservoir; (figo I). a. Chaîne supérieure de la combinaison de la chaîne sans fin; (fig. I) b. Chaîne inférieure de la combinaison de la chaîne sans fin ; (fig.I) 6.- un des cylindres guides moteurs de la chaîne supérieure a. (fig.
I) 6'.- un des cylindres guides moteurs de la chaîne inférieure b. (fige I) Figure II : 2'.- Table conduisant les matières fibreuses traitées, vers les rouleaux exprimeurs des liquides, RE, RE; RE ; RE ; rouleaux S et I, exprimeurs des liquides, entre lesquels passe la matière M, venant de la dernière combinaison de chaînes sans fin sortant de la cuve, bac ou réservoir, au moyen de la table 2' - A.A.- axe des rouleaux exprimeurs RE, RE ; rouleau inférieur I est ac- tionné par moteur et c'est son mouvement de rotation qui fait tourner le rouleau supérieur S, la matière fibreuse est entraînée par le rouleau in- férieur I; 2".- Table conduisant les matières exprimées vers la machine assouplisseu- se, à ondulations;
10.- Chaîne sans fin faite en une matière généralement quelconque, de pla- ques jointives à cannelures, qui reçoit les matières traitées exprimées, et qui, tout en les entraînant en avant, les assouplit et les ondule par le travail de ses cannelures et épaisseurs, conjointement avec les canne- lures et épaisseurs adhoc des rouleaux ou parties de rouleaux Cy Cy Cy vibrants, ondulants, qui opèrent le frottement voulu des matières fibreu-
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ses traitées;
Cy.-Cy.-Cy.- rouleaux ou parties de rouleaux soit 1/2 ou 1/3 d'épaisseur d'un rouleau, suivant son diamètre, faits d'une matière généralement quel- conque, à cannelures et à épaisseurs adhoc à celles des plaques jointives de la chaîne sans fin 10, qui coopèrent avec cette chaîne sans fin, à l'as- souplissement, au frottement des matières traitées par leur mouvement de va-et-vient tournant, opéré librement, par excentrique ; x.x.x., axe des rouleaux ou parties des rouleaux Cy,Gy,Cy, dont les extré- mités sont reliées à un excentrique, non représenté ; donnant leur mouvement de va-et-vient tournant, tout en les laissant opérer ce mouvement, librement ;
X.-X.- Cylindres mis en mouvement par moteur, et entraînant la chaîne sans fin 10, par 19engrènement à leurs extrémités de leurs dents dans les mail- lons de cette chaîne sans fin.
Il.11.11.- Cannelures de la chaîne sans fin 10; 12. 12.12.- épaisseurs de la chaîne sans fin 10, séparant les cannelures
11.11.11.
11',11',11',- épaisseurs des rouleaux cylindres Cy, Gy, Cy, séparant les cannelures 12'12'12' de ces rouleaux cylindres et qui viennent se placer pendant le travail de la machine assouplisseuse, dans les cannelures 11,11,11, de la chaîne sans fin 10.
12',12',12',- cannelures des cylindres Cy,Cy,Cy destinées à recevoir les épaisseurs 12,12,12 de la chaîne sans fin 10.- pendant le travail de la ma- chine assouplisseuse.
B- Toile sans fin recevant les matières assouplies, pour les conduire au séchoir SEC.SEC- S échoir industriel à mouvement continu. m'm'm'- dents des cylindres X.X. s'engrenant dans les maillons de la chaî- ne sans fin à ondulations 10.
La figure III, représente une coupe de la cuve, bac ou réservoir qui permet de voir les deux chaînes sans fin serpentant verticalement dans la cuve, bac ou réservoir lors de leur mouvement en avant ; ceschaînes peuvent aus- si, si on le juge nécessaire, être entraînées à 1?intérieur de la cuve, bac ou réservoir par des barres ou cylindres ronds a'a'a'.- b'b'b' si on garni leurs extrémités de dents s'engrenant dans les maillons des chaînes a, et b, mais ces barres ou cylindres ronds sont, avant tout, des guides des chaînes portés par un support Su et qui suivent celui-ci dans son mou- vement de vibration;
ce support et ses barres a'a'.-b'b' attachés à lui, sont agités dans la cuve, bac ou réservoir, par un excentrique mû par mo- teur qui donne le mouvement de vibration voulu, pour 1?agitation de la combinaison de la chaîne sans fin dans les liquides des bains et pour la pénétration et le frottement de ces liquides dans les matières textiles à traiter.
SU.- Support placé dans la cuve, bac ou réservoir CCC relié des deux côtés avant et arrière, à un excentrique mû par moteur, non représentés, pour donner à tout ce support roulant sur les roulettes 14.14.14, un mouvement de va-et-vient qui doit donner le mouvement de vibration dans sa marche En avant, à la combinaison des chaînes a.a.-b.b. enserrant entre elles les ma- tières textiles à traiter.
Tr.- Traverses du support SU, sur lesquelles sont fixés les barres rondes ou cylindres a'a'a'-b'b'b'- guides des chaînes, pour les faire serpenter dans les cuves, bacs ou réservoirs ; a'a'a'- barres rondes ou cylindres attachés aux traverses Tr et qui sont les guides de la chaîne a, dans son action en avant, pour lui permettre de serpenter dans la cuve, bac ou réservoir;
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b'b'b'- barres rondes ou cylindres attachés aux travers Tr et qui sont'les guides de la chaîne b, dans son action en avant, pour lui permettre de ser- penter dans la cuve, bac ou réservoir; 14.14.14.- rouleaux mobiles sur lesquels repose le support SU, pour facili- ter son mouvement de va-et-vient;
Les autres lettres et chiffres, sont ceux de la figure 1.
REVENDICATIONS.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.