BE506615A - - Google Patents

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BE506615A
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  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description


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  MACHINE POUR LE   TRAITEMENT VISUEL'DES CARTES   ENREGISTREUSES 
COLONNE- PAR   COLONNE=   
Dans le traitement des cartes perforées on place souvent sur la carte même des signes d'écriture selon lesquels des perforations correspon- dantes sont à faire dans la carte. La carte devient donc un document pour les signes écrits à la main ou à la machine qui s'y trouvent, et peut, grâ- ce aux perforations, servir en même temps comme élément de commande pour les machines à cartes perforées. 



     .Il   est donc extrêmement désirable, que, dans de telles cartes, la perforation (ou vérification) ait lieu lors de l'actionnement des touches, au-dessus ou en dessous des signes d'écriture correspondants et dans les me- mes colonnes. En dehors de maints autres avantages, le contrôle est facilité et il n'est souvent pas nécessaire d'effectuer une vérification par des ma- chines vérificatrices spéciales. Des opératrices de perforation habiles peu- vent en effet lire l'écriture par perforation aussi vite que   l'écriture   or- dinaire.

   Par conséquent si les signes d'écriture et les perforations se trou- vent dans la même colonne, la vérification des perforations peut facilement être réalisée visuellement, ce qui non seulement est possible sans machine vérificatrice, mais aussi est effectué plus rapidement que l'analyse par ma- chine. 



   Dans la plupart   des¯perforatrices   actionnées par touches qui sont actuellement utilisées et dans lesquelles la carte et le jeu de poinçons prévu pour une colonne ont un mouvement relatif colonne par colonne, ce but ne peut pas être atteint. En effet, le jeu des poinçons recouvre exactement la colonne à perforer, et le plus souvent un prolongement du bâti est prévu, au-delà du support des cartes, pour les électros de sélection et pour le cla- vier, lequel prolongement recouvre entièrement une grande partie de la carte perforée. Par conséquent on est obligé de perforer le signe écrit dans une 

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 tout autre colon.ne que celle qui correspond à la position du signe écrit.

   Le contrôle visuel de la concordance est par conséquent rendu si difficile, qu'en pratique il ne peut pas être pris en considération parce qu'il prendrait trop de temps et que, en outre, il serait trop peu sur à cause du danger de la confusion des colonnes. 



   Des machines perforatrices spéciales à mouvement relatif colon- ne par colonne entre la carte et le jeu de poinçons ont déjà été proposées, dans lesquelles un "poinçonnage à vue" est possible en ce sens que'le signe graphique attribué à une colonne peut être lu et la perforation correspondan- te réalisée immédiatement dans la même colonne par actionnement du clavier. 



  Mais ces machines sont sujettes à des limitations sous plusieurs rapports. 



  Dans la machine selon le brevet allemand 704.256 du 24 liai 1938 correspon- dant au brevet américain 2. 210.552 du   27   Avril 1939, la visibilité est obte- nue grâce au fait que le jeu de poinçons s'étend à partir du haut sur la co- lonne de perforations et laisse seulement visible l'espace sous cette colon- ne. Dans la machine selon le brevet allemand   547.676   du 31 Juillet 1930 la perforation est réalisée par le verso de la carte et la matrice s'étend à partir du bas par dessus la carte et jusqu'à la partie supérieure de la car- te, en laissant visible seulement l'espace au-dessus de la colonne à perfo- rer.

   Dans ces dispositions connues il n'est donc pas possible, comme il se- rait souvent nécessaire pour arriver à une meilleure délimitation des signes graphiques vis à vis les uns des autres, de disposer les signes graphiques entièrement à volonté au-dessus ou au-dessous de la colonne *ou à l'intérieur des emplacements de perforation.

   Mais l'inconvénient majeur de ces disposi- tions connues,relativement au "poinçonnage à vue", réside en ce que dans les machines perforatrices pour cartes à plusieurs étages, elles ne peuvent être appliquées que dans un seul genre de réalisation, dans lequel le jeu de poingons et la carte peuvent être déplacés l'un par rapport à l'autre, non seulement colonne par colonne, mais aussi dans une direction perpendi- culaire à la précédente pour le choix de l'étage, comme c'est le cas pour la réalisation selon le brevet allemand 704. 256 du 24 Mai 1938. Dans un au- tre type de machines pour cartes à plusieurs étages, ce déplacement relatif suivant l'étage de la carte et des poinçons peut être évité.

   Dans ce type de machine, il est prévu pour chaque étage de perforation un jeu de poinçons pro- pre (ou jeu d'organes explorateurs), qui se trouvent alignés sur les colonnes de perforation superposées des différents étages. Dans ce cas, la méthode con- nue susmentionnée de poinçonnage à vue n'est absolument pas praticable, par- ce qu'au moins un étage est couvert par les deux jeux de poingons (ou orga- nes explorateurs) accolés. 



   Contrairement aux réalisations connues susmentionnées, la pré- sente invention a pour objet une machine pour le traitement à vue colonne par colonne des cartes enregistreuses, pouvant fonctionner aussi bien comme perforatrice que comme vérificatrice, et dans laquelle les signes graphiques peuvent être disposés entièrement à volonté au-dessus ou en dessous des co- lonnes ou, si on le désire également, entre les emplacements de perforation d'une colonne. Il y a un avantage particulier à ce que la réalisation, selon l'invention, d'une machine à cartes perforées permette l'application du prin- cipe du poinçonnage "à vue" aussi à des machines à cartes à plusieurs étages de tout genre voulu, tant qu'il s'agit du traitement à vue (perforation ou vérification) colonne par colonne simultanément lors de l'actionnement des touches. 



   L'invention se rapporte à une machine perforatrice (ou vérifica- trice) dans laquelle la carte et le jeu de poinçons de perforation (jeu d'or- ganes explorateurs) sont avancés l'un par rapport à l'autre, colonne par co- lonne, par actionnement des touches, la colonne à perforer (vérifier) étant recouverte par le jeu de poinçons (jeu d'organes explorateurs), tandis que les colonnes restent visibles tout au moins   d'un   côté de ceux-ci.

   La machine conforme à l'invention permet alors, malgré le recouvrement de la colonne à perforer, de lire le signe graphique disposé en un emplacement choisi à vo- lonté au-dessus ou au-dessous ou dans la colonne, qu'il s'agisse de machines à un ou à plusieurs étages et néanmoins d'arriver à ce que, par actionnement 

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 de la touche correspondant à ce signe, la perforation soit effectuée dans la colonne même où se trouve le signe graphique. 



   Le résultat recherché par l'invention est obtenu en avançant la colonne de carte, se trouvant dans une position visible prédéterminée, automatiquement lors de l'actionnement du clavier, dans le sens de la cir- culation des cartes, sous la rangée des poinçons (rangée d'organes explo- rateurs), puis une fois la perforation (vérification) effectuée, en la ra- menant en arrière jusqu'à ce que la colonne de carte suivante arrive en po- sition visible. 



   L'invention peut, de préférence, être appliquée aux machines à progression relative colonne par colonne entre la carte et le jeu de poinçons (jeu d'organes d'exploration), dans lesquelles la parforation (l'exploration) a lieu colonne par colonne depuis la colonne extrême de gauche à la colonne extrême de droite. Lors de cette réalisation la place de préférence à la droi- te du jeu des poinçons (jeu d'exploration) reste visible sur la carte. Cette disposition représente donc une inversion des dispositifs connus; dans les- quels le clavier ou les électros de sélection sont disposés à la droite du jeu des poinçons (du jeu d'exploration) et par conséquent recouvrent la car- te. 



   Pour la disposition du clavier il y a une solution correspondant particulièrement au but et réalisable si le clavier est disposé à l'extrémi- té droite du chemin de carte dans le prolongement de celui-ci. Il en résulte une utilisation très simple, car alors on peut perforer avec la main droite et on peut surveiller la zone libre de la carte à droite du jeu des poinçons. 



   La machine peut être équipée de la manière usuelle avec un cha- riot à cartes qui entraîne la carte colonne par colonne sous le poinçon. De préférence.on choisit un mécanisme tel que lors de l'actionnement des tou- ches des poinçons (exploration pour la comparaison lors de la vérification) le chariot amène une colonne de la position visible dans celle de la perfo- ration (position de vérification); une fois la perforation réalisée (vérifi- cation) le chariot revient en arrière suffisamment pour que la colonne sui- vante vienne en position visible. 



   Une solution particulièrement simple résulte de l'utilisation d'un mécanisme fonctionnant pas à pas,à la manière d'un mécanisme d'échap- pement, pour commander le déplacement relatif. 



   Selon une réalisation préférée de l'invention, ce mécanisme est construit pour que son fonctionnement donne, par un nombre de pas conve- nable dans une même direction, un mouvement relatif correspondant à l'espace compris entre la position visible de la carte à perforer et le jeu des poin- gons et qu'ensuite grâce au dit mécanisme l'entraînement se produise dans la direction opposée avec un pas de moins. 



   L'invention peut s'appliquer non seulement aux cartes à systè- me de perforation unique mais encore à celles à système de combinaison de perforations. Elle peut même s'appliquer aux cartes dites à "étages multiples", (comme par exemple dans la machine selon les brevets américains N  1. 962.607 du 12 Juin 1934 et N  2. 031.569 du 18 Février 1936) pour lesquelles les jeux de poingons (jeux d'organes d'exploration) de plusieurs étages couvrent com- plètement les colonnes de perforations superposées des différents étages. 



   Enfin, il est aussi possible d'utiliser l'invention en liaison avec des perforatrices duplicatrices, dans lesquelles la perforation des données constantes déterminées est commandée par une carte maîtresse, tan- dis que les données variables sont perforées par un clavier. A cet effet, la carte maîtresse commande généralement les électros de sélection des poin- çons comme -il est prévu également dans l'exemple décrit par la suite. Dans l'entraînement de la carte depuis la position visible jusqu'à celle de per- foration et dans le mouvement de retour, la perforation dans la position de perforation peut aussi bien avoir lieu sous la commande de la carte maîtres- se que sous celle des touches. L'application de l'invention à une perfora- trice duplicatrice ne présente donc aucune difficulté. 

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   Dans ce qui suit, est un exemple préféré de réalisation, de machine perforatrice pour cartes à 80 colonnes actuellement utilisées, à sys- tème de perforation unique : 
Fig. 1 montre une perspective de l'exemple préféré susmentionné de réalisation de l'invention. 



   Figo 2 représente une coupe longitudinale de la machine, suivant la ligne 2-2 de la Fig. 3, munie du mécanisme de sélection des poinçons. 



   Fig. 3 est une vue en plan de la machine montrée en coupe à la Fig. 2. 



   Fig. 4 montre une coupe transversale de la machine, suivant la ligne 4-4 de la Fig. 3, avec l'ensemble du sélecteur des poinçons. 



   Fig. 5 est une coupe du clavier dans laquelle on voit la dispo- sition des contacts des électros de sélection commandés par les touches. 



   Fig. 6 montre une partie d'une carte perforée dans la machine. 



  Cette partie est subdivisée en différentes zones de perforation. Dans chaque zone de perforation sont placés des signes écrits à différentes hauteurs, d'une part pour illustrer cette possibilité et d'autre part, parce qu'à cau- se de cela les chiffres dans les zones séparées peuvent être lus plus faci- lement et que leur concordance avec les signes perforés peut être examinée aussi plus facilement. 



   Fig. 7 montre une coupe du clavier suivant la ligne 7-7 de la figure 5 avec une touche d'espacement, une touche de libération et une tou- che de rappel. 



   Fig. 8 est une coupe du clavier suivant la ligne 8-8 de la fi- gure 5 avec quelques touches à chiffres. 



   Fig. 9 et 10 représentent l'échappement du chariot à cartes en vue frontale et en vue en plan. 



   Fig. 11 montre l'engrènement de la roue dentée d'entraînement dans la crémaillère-du chariot à cartes, de même que le frein de vitesse, qui empêche un mouvement de retour trop rapide du chariot à cartes. 



   Fig. 12 montre la disposition du cliquet de transport pour le rappel en arrière du chariot à cartes, lequel cliquet est actionné par la touche de rappel au moyen d'un ensemble de leviers. 



   Fig. 13 et 14 montrent le mécanisme d'échappement et en parti- culier l'armature retombée et attirée. 



   Fig. 15 montre la fourche de recul, qui est actionnée par la touche de libération au moyen d'un ensemble de leviers. 



   Fig. 16 représente le schéma des circuits de la machine. 



   Fig. 17 montre le verrouillement mécanique d'un relais de véri- fication de la vérificatrice. 



   Fig. 18 montre le schéma des circuits pour une vérificatrice à cartes perforées, à laquelle l'invention est appliquée, comme à une perfora- trice. 



   Dans le dessin en perspective selon Fig. 1 on relève, que la carte 10 est entrainée de la manière habituelle dans la piste de cartes 11 du boîtier de la machine 12 par le chariot 13. La perforation a lieu par le clavier à chiffres 14 disposé d'une manière usuelle. Comme mentionné, la machine est construite de telle manière, qu'une carte à 80 colonnes peut ê- tre perforée conformément au système à perforation uniqueo La perforation a lieu par un mécanisme disposé dans un boîtier de perforatrice 'désigné d'u- ne manière générale par 15, mécanisme sous lequel la carte est avancée de telle manière, qu'une colonne après l'autre peut être perforée.

   Dans le boi- tier de la perforatrice se trouve le jeu des poinçons désigné en bloc par 16 (Fig. 2) et en-dessous de celui-ci, dans la piste de cartes de la machine, 

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 la matrice coopérante 17. La carte passe entre les deux. Le choix des poin- gons a lieu d'après l'actionnement des touches par les électros de sélection W prévus dans le boîtier de la perforatrice 15 au moyen de barres de sélec- tion 19   (Fig.   2 et 3). Le boîtier de la perforatrice 15 s'étend dans le cas présent, contrairement aux machines connues, à gauche de la rangée des poin- gons (Fig. 1), de manière que la carte soit visible avant qu'elle ne vienne sous le poinçon 21.

   La "position visible", c'est à dire la position dans la- quelle peuvent être lues les données de la colonne qui sera perforée lors de la prochaine pression de touche, peut être désignée par un trait 22. Confor-   mément   au but de l'invention, c'est la dernière colonne qui se trouve à là droite du boîtier du dispositif de poinçonnage, de manière que l'opérateur puisse juste lire le signe à perforer. Il peut aussi lire les signes qui viennent derrière, de sorte qu'il lui est possible de retenir aussitôt dans sa mémoire plusieurs signes successifs. Si la marque visible est placée de telle manière que la colonne se trouvant avant elle puisse aussi être lue, il est possible de vérifier visuellement l'exactitude de la valeur qui vient d'être perforée. 



   Outre le clavier à chiffres 14 il est prévu d'autres touches, notamment, une touche d'espacement pour faire avancer le chariot pas à pas sans qu'on soit obligé d'effectuer des perforations; ensuite, la touche de rappel usuelle pour ramener le chariot pas à pas vers la droite et enfin, la touche de libération qui libère le chariot de sa commande de manière que, sous l'action d'un ressort, il revienne de sa position du moment à sa posi- tion finale de gauche. 



   La disposition du mécanisme de perforation résulte des Figs. 



  2,3 et 4. Lors de l'actionnement d'une touche de chiffre un contact corres- pondant est fermé de la manière suivante . Chaque contact z (Fig. 5, 8) ferme le circuit d'un électro de sélection W correspondant (Figs 2 et 3). 



  Lors de l'excitation de celui-ci, son armature 25 qui a la forme d'un levier coudé est basculée dans le sens des aiguilles d'une montre et déplace de ce fait la barre de sélection 19, qui lui est coordonnée, contre l'action du ressort 26 vers la droite. Les barres de sélection 19, reposent sur les poinçons 21, maintenus soulevés par un ressort. Au-dessous du jeu des poin- gons se trouve la matrice 17. Lorsque la carte arrive en position de perfora- tion, l'étrier de   poinçonnage   28 (Fig. 2) est attiré vers le bas par l'élec- tro de poinçonnage et de transport T (Figs 4, 9, 13, 14) qui sera décrit plus loin. Cet étrier rencontre alors le bord supérieur des barres de sélection 19 déplacées et pousse de ce fait le poingon correspondant au travers de la carte.

   L'étrier de poinçonnage 28 reste sans action sur les barres de sélec- tion non déplacées, car dans ce cas, il engrène dans les entailles 19a des barres de sélection et ne peut pas entraîner les barres de sélection avec les poinçons. 



   L'étrier de poinçonnage 28 a la forme d'un U (fig. 3) et est mon- té à pivotement sur l'axe 29. Il est soutenu en position de repos par le res- sort 30. Au moyen de l'axe 40 et des tiges d'entrainement 31a et 31b disposées sur les deux jambes de l'étrier 28 de ce dernier est relié à l'étrier 32 (Fig. 



  9) qui se trouve dans le boîtier 11 de la machine. L'armature 33 de l'électro de poinçonnage et de transport T peut frapper avec son nez 33a l'étrier 32. 



   La disposition et le mécanisme du clavier se voient sur les Figs 5, 7 et 8. 



   La tige 35 de chaque touche de chiffre 14 est munie d'une sail- lie latérale 35a (Fig. 8). La tige de la touche 35 est, dans sa position de repos, tenue soulevée par la pression du ressort 36, le couvercle du boîtier du clavier servant de butée. Chaque touche de chiffre commande un contact de travail double z, dont les contacts sont fermés l'un après l'autre lorsde la pression de la touche par la saillie 35a de la tige. Le premier contact est affecté à l'électro de sélection   W,correspondant   à la touche (voir Fig. 16), tandis que les deuxièmes contacts de toutes les touches ferment le circuit vers l'électro de poinçonnage ou de transport T.

   De cette manière c'est l'é- lectro de sélection qui sera excité en premier et ensuite, par suite de la 

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 fermeture ultérieure du deuxième contact,   lélectro   de poinçonnage, qui, préalablement au poinçonnage, pousse la carte à partir de la "position vi- sible" dans   "la   position de perforation". Après la perforation, la carte est de nouveau ramenée à partir de la "position de perforation" dans la '?position visible". 



   L'effet du déclenchement de la touche de marche arrière 38 et de la touche de libération 39 sera expliqué en liaison avec le mécanisme d'échappement de la machine qui va être décrit. 



   Il est supposé dans l'exemple de réalisation, que la carte en "position visible" se trouve à cinq colonnes à droite de la position de per- foration. Par le mécanisme d'échappement la carte est maintenant, lors de l'actionnement des touches, déplacée d'abord de cinq colonnes vers la gauche, de sorte que la colonne de perforation qui se trouvait avant en position vi- sible vient se placer sous le poinçon. Une fois la perforation exécutée, la carte est ramenée en arrière., mais seulement de quatre colonnes, de sorte que maintenant la colonne suivante de perforation est en position visible. 



   Le chariot 13 est guidé dans son support 11 par les goujons 41 (Fig. 4). Le chariot a sa partie inférieure en forme de crémaillère avec la- quelle engrène la roue dentée 42. La roue dentée 42 est emmanchée à force sur le manchon 44 avec la roue de commande 43 associée à la touche de rap- pel (Fig. 10). Avec la denture frontale du manchon 44 engrène la denture frontale du manchon 45, sur lequel est fixée la roue à rochet 46. Les deux manchons peuvent tourner librement sur l'axe 47. Un déplacement du manchon 44 est empêché par l'insertion du support entre la roue dentée 42 et la roue de commande 43 (Fig. 4). Le chariot se déplace sous l'action du ressort 48, qui est fixé à la roue dentée 42 et au manchon 49. Le manchon 49 tourne fou dans l'étrier fixe 51 et est serré par un écrou 50.

   Ceci a été prévu pour rendre possible un réglage ultérieur de la tension du ressort 48. Si l'écrou 50 est desserré, le manchon 49 peut être tourné et de ce fait le ressort 48 peut être tendu. Le manchon 45 est poussé par le ressort 52 contre la douil- le 44, de manière que normalement, la denture frontale soit engrenée. L'axe 47 est monté sur l'étrier 51. 



   L'avance pas à pas est réalisée par l'électro T (Fig. 9, 10, 13, 14) au moyen de l'armature 33, qui ressemble à un cliquet. L'armature 33 est montée à pivotement grâce au goujon 55 passant dans le trou 53b de l'é- trier. L'avance pas à pas, particulière, s'effectue avec une grande course. 



  Par conséquent il a été prévu un électro avec une armature basculante. Dans sa position de repos (Fig. 13) l'armature 33 est maintenue par le ressort 54. Le ressort 54 doit être plus fort que le ressort de transport 48, car le ressort 54 doit à nouveau entraîner le chariot dans sa course de retour contre   Inaction   du ressort de transport 48. 



   Si l'électro T est excité, il attire l'armature 33 qui bascule. 



  La dent 33b de l'armature 33 se déplace alors vers la droite (Fig. 14), et la roue à rochet 46, commandée par le ressort de transport 48, suit. Après une certaine rotation, la dent 33c de l'armature arrive sur la roue   46   et empêche la continuation du mouvement. Au moment même où la dent 33c assume le verrouillage, le nez 33a de l'armature frappe contre l'étrier 32, qui en- traine avec lui l'étrier de   poinçonnage   28 par les tiges   d'entraînement   3la et 31b (Fig. 2 et 3), jusqu'à ce que la dent 33c touche le fond de la dent de la roue à rochet. Les poingons 21 sont alors poussés à travers la carte par l'étrier 28 et les barres de sélection 19   (Fig.   2).

   Simultanément l'é- trier 32 (Figs. 9 et 10) ouvre le contact t, sur lequel on reviendra plus tard lors de la description du circuit. La position de la dent 33c est choi- sie de manière que celle-ci entre radialement dans la roue 46 (Fig. 14). On obtient ainsi que la position de la carte lors de la perforation soit déter- minée exactement, indépendamment du   fait,   que la dent 33c a déjà atteint le fond de la dent de la roue à rochet 46. Si le courant est interrompu, l'arma- ture 33 retombe et le ressort 54 entraîne la dent 33b vers la gauche (Fig. 



  13, 14); de ce fait celle-ci reprend le verrouillage, tandis que la dent 33c sort de la roue à rochet. La dent 33b entraîne avec elle la roue à rochet 

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 jusqu'à la butée fixe 56 (comp. aussi Fig. 9) contre Inaction du ressort de transport, ce qui fait que le chariot 13 progresse vers la droite grâce à la roue dentée 42 (Fig. 4). La butée 56 est positionnée de manière, que la position à perforer maintenant vienne se placer sous la marque formée par un trait 22 (Fig. 1). 



   Si la touche de rappel en arrière 38 (Fig. 7) est actionnée, celle-ci pousse vers le bas le levier 57 qui tourne autour du pivot 60. A l'extrémité gauche du levier 57 (Fig. 12) le cliquet 58 est monté à pivote- ment; celui-ci par suite va vers le haut et, soutenu par le ressort 49, glisse de la butée 61 dans la roue à rochet 43 qu'il entraine avec lui. Le manchon 45 est de ce fait chassé'vers l'extérieur contre l'action du res- sort 52 (Fig. 4, 10) par la partie inclinée de la denture frontale du man- chon 44, et s'engage de nouveau dans le manchon 44 après une rotation d'un pas de la roue de commande. De ce fait le chariot 13 est déplacé d'un pas vers la droite (Figs. 1, 11) par la roue dentée 42.

   Le ressort 62 (Fig. 12) ramène le cliquet 58; le levier 57 et la touche de rappel 38 de nouveau dans leurs positions initiales,et le cliquet 58 est libéré de la roue de commande par la butée 61. La butée peut être ajustée.en la courbant légère- ment pour que le cliquet entre d'une manière exacte dans la roue de comman- de. 



   Si la touche de libération 39 est actionnée (Fig. 5, 7) elle bascule, par le levier à coude 63, le levier 64 qui pivote autour du bou- lon 65 (Fig. 15). Le levier 64 a son extrémité gauche en forme de fourche qui engrène sur le manchon 45, entre la roue à rochet 46 (Fig. 4 et 10) et la bague 66, celle-ci étant également montée fixe sur le manchon   45. 'Le   le- vier 64 chasse vers l'extérïeur le manchon 45 contre l'action du ressort 52, ce qui fait que le manchon 45 est désaccouplé du manchon 44. Le manchon 44 est libéré avec la roue dentée 42, de sorte que le ressort 48 peut se déten- dre. Le chariot 13 est par suite avancé vers la gauche.par la roue dentée 42 (Fig. 1, 11).

   Pour éviter de trop grandes vitesses du chariot, un frein à force centrifuge 67 d'un genre connu est actionné par la roue dentée 42 par l'intermédiaire d'une vis sans fin. La touche d'espacement 68 (Fig. 5, 7) est construite comme une touche normale, seulement avec la différence, qu'elle ne possède qu'un contact de travail 1 pour l'entraînement pas à pas. 



   Pour représenter les connexions pour la perforatrice de même que pour la vérificatrice,une forme simplifiée de représentation a été choisie comme celle qui est en général utilisée dans la technique de la té- léphonie. 



   Il y a souvent plusieurs unités analogues, comme des électros de sélecteurs et des contacts de touches; on n'a représenté qu'un seul de ceux-ci sur le schéma, en indiquant les autres seulement par les branche-   ments   de répartition. Le nombre des unités est indiqué en indice par un chiffre arabe; les relais et les électros sont caractérisés par des lettres majuscules et les contacts qu'ils actionnent par les lettres   ninuscules   correspondantes. Les contacts actionnés manuellement sont caractérisés par un crochet à l'extrémité supérieure de l'organe de contact mobile. En géné- ral, en ce qui concerne la désignation des électros, des relais et des con- tacts, leurs repères se trouvent à la droite ou au-dessus de l'élément du schéma.

   Les électros qui doivent fournir une certaine puissance (électros de commande ou électros de poinçonnage) sont caractérisés par un trait plus fort. 



   Si on abaisse une touche, elle ferme le contact de travail dou- ble qui établit le circuit par les électros de sélection   W.   Le courant pas- se du plus au moins par l'électro de sélection W et les   contacts.z   et t. 



  Peu après la fermeture du premier contact se ferme le deuxième contact, qui établit le circuit par les électros de transport T. Le courant passe du plus au moins par l'électro de transport T et les contacts z et t. L'électro de transport T s'excite et ouvre son contact t. Le courant des deux circuits (électro de sélection et électro de transport) ne passe plus maintenant par le contact t, mais par la résistance de protection R. La résistance de pro- 

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 tection a été prévue afin que le courant d'excitation élevé ne passe pa.s constamment par les enroulements des électros si on appuie pendant longtemps sur la touche.

   Si le contact t et la résistance de protection R n'étaient pas prévus, le courant d'excitation passerait par les électros tant que la touche serait pressée, ce qui pourrait amener facilement un échauffement exagéré des enroulements et leur destruction. Quand la touche retourne à sa position de repos; les deux lames de contact de z sont de nouveau séparées, et les deux circuits sont interrompus, de sorte que l'électro de sélection et l'électro de transport sont désexcités. Si la touche d'espacement est abaissée, elle ferme son contact de travail, ce qui excite l'électro T. 



   Comme il est mentionné dans le préambule, l'invention peut aussi être appliquée aux vérificatrices. Mais ici apparaissent quelques particularités en comparaison avec les vérificatrices mentionnées de cons- truction connue : dans les vérificatrices de construction normale une per- foration erronée est caractérisée par le fait, que le chariot n'est plus entraîné. Mais dans la machine qui est décrite ici, l'entrainement pas à pas a lieu préalablement à l'analyse, de sorte que, la signalisation connue doit être ici de préférence changée.

   L'entraînement a été modifié de cette manière pour que la machine soit, lors d'une perforation erronée,  complé-   tement verrouillée électriquement, de sorte que toutes les touches puissent, après l'analyse d'une perforation erronée, être actionnées sans que la ma- chine soit à nouveau mise en mouvement. Ce n'est que par la pression de la touche de libération que le chariot vient dans sa position gauche finale, ce qui déverrouille la machine en même tempso On veut ainsi qu'une carte à perforation erronée, puisse être retirée de la machine sans continuer à e- tre analysée. 



   Ensuite la vérificatrice diffère de la perforatrice ci-dessus décrite en ce que des relais d'analyse P (relais différentiels) de construc- tion connue (par exemple le brevet allemand ? 604.007 du 9 Septembre 1929) y sont incorporés. Les relais d'analyse actionnent leur contact de repos p, qui coupe le circuit par l'électro de transport T lors de la   non-concordan-   ce de la perforation et de l'actionnemen de la touche. Au lieu de poinçons 21 la vérificatrice est munie de contacts d'analyse b. L'électro de trans- port T actionne le contact de travail t1 et le contact .de repos t11. Le chif- fre romain signifie la succession dans laquelle les contacts sont actionnés. 



   Le verrouillage des relais d'analyse P, lors d'une perforation erronée, est obtenu par un mécanisme spécial qui est montré dans la Fig. 17. 



  Si le relais d'analyse P s'excite, son armature 81 est attirée et bascule en échappant au ressort 82. Si le courant du relais est de nouveau coupé ou si les deux enroulements sont excités l'un après l'autre, l'armature ne peut pas revenir en arrière car elle en est empêchée par le ressort 82. Les res- sorts 82 sont fixés à l'étrier 83. Un ressort 82 séparé est prévu pour chaque relais. L'étrier 83 peut être basculé par la touche de libération 84, qui n'est représentée ici que schématiquement, ce qui fait que les ressorts 82 libèrent les armatures 81 qui peuvent retourner à leur position de repos. Par l'armature 81 le contact p est ouvert, qui, comme mentionné ci-dessus, cou- pe le circuit passant par l'électro de transport.

   Par le mécanisme qui vient d'être décrit on obtient que, lorsqu'un relais d'analyse est excité, le cir- cuit passant par l'électro de transport reste interrompu jusqu'à ce que le contact p soit fermé par l'abaissement de la touche de libération 84 et par cela le circuit soit de nouveau établi par l'électro de transport. Par l'in- terruption du circuit passant par l'électro de transport la machine ne peut plus continuer son travail, et cela même si les autres touches, excepté la touche de déclenchement 84, sont actionnées, ce qui caractérise une perfora- tion erronée. 



   En premier lieu il faut supposer que la perforation et la valeur de la touche concordent. Si la touche est dans ce cas actionnée, elle ferme son contact de travail double z. Le courant passe maintenant du plus au moins, par l'électro de transport à travers le contact t11, les contacts p1, .....p10 connectés successivement et le contact z. L'électro de transport T s'excite, 

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 ferme son contact tI et ouvre le contact t11. Le courant passe maintenant jusqu.'au moins par les contacts lI, t1, par un enroulement du relais P à travers le contact d'analyse b et par le contact z. Mais en même temps le courant passe aussi du plus au moins par les contacts 11 et tI à travers le deuxième enroulement du relais d'analyse et par le contact z.

   Par con- séquent le relais d'analyse P ne   sexcite   pas, car le courant passe simul- tanément à travers les deux enroulements du relais d'analyse construit comme un relais différentiel. Ensuite le courant passe du plus au moins par l'électro de transport T à travers la résistance R, les contacts p1.......P10, z. De cette manière l'électro de transport T se maintient par un circuit de maintien. La résistance R a été prévue, pour protéger l'électro de transport contre un trop grand échauffement. 



   Si la touche revient de nouveau à sa position de repos, elle ouvre le contact de travail double z, ce qui fait que les trois circuits qui viennent d'être décrits sont coupés et l'électro de transport T est désexcité. 



   Dans tous les cas où il n'existe pas une entière concordance entre l'actionnement de la touche et la perforation, un ou plusieurs re- lais d'analyse sont excités par une voie de manière connue. Si l'un quel- conque des relais d'analyse s'est excité, il ouvre le contact p correspon- dant qui coupe le circuit passant par l'électro de transport. De ce fait l'armature de l'électro de transport retombe et le chariot vient dams la position visible. Si l'on continue à actionner les touches de signes cela est sans influence, car le contact p est tenu ouvert par le verrouillage mé- canique du relais d'analyse P qui vient d'être décrit, et ce n'est que par l'actionnement de la touche de libération que ce contact peut être fermé. 



   Si la touche d'espacement est actionnée, elle ouvre son con- tact de repos 11 et ferme le. contact de travail 111. Le courant passe main- tenant du plus au moins par l'électro de transport T à travers les contacts T11, P1.....P10, 111. L'électro de transport   s'excite   et ouvre son contact t11. Mais l'électro de transport ne peut pas se désexciter, car il est maintenu par un circuit de maintien passant par la résistance R. Les relais d'analyse ne peuvent pas s'exciter car, préalablement   à   la fermeture du con- tact III, le contact 11 s'est ouvert et a coupé tout le circuit passant par les relais d'analyse.

   Si la touche d'espacement retourne de nouveau à sa po- sition de repos, le contact   III   s'ouvre, ce qui fait que le circuit de main- tien passant par l'électro de transport T est coupé et ce dernier est désex- cité. 



   Il n'a été décrit ci-dessus que les exemples de réalisation pré- férées,qui sont susceptibles, naturellement, de modifications variées. En particulier il y a différentes solutions possibles pour le déplacement de la carte à partir de la position visible dans la position de perforation et son retour dans la position visible pour la colonne suivante. Au lieu du dis- positif d'échappement décrit, on aurait pu par exemple conserver le montage connu du chariot suivant lequel la carte n'est toujours avancée que   dune   .colonne.

   Le déplacement de la carte de la position visible dans la position de perforation et de nouveau dans la position visible est alors réalisé en faisant avancer et reculer la carte de la même quantité sur son chariot (par exemple par un électro aimant).Par exemple, la carte est, lors de l'action- nement de la touche, avancée de cinq colonnes dans la position de perfora- tion sur son chariot immobile. Une fois une perforation effectuée, la carte retourne (par exemple par suite de la désexcitation de son électro de dépla- cement) de nouveau de cinq colonnes dans sa première position sur le chariot. 



  Simultanément le chariot saute d'une colonne de carte dans le sens opposé, de manière que le mouvement relatif de la carte ne soit que de quatre colon- nes et par suite la colonne suivante vient en position visible.

Claims (1)

  1. RESUME.
    1. Machine à cartes perforées pour le traitement visuel colonne par colonne des cartes enregistreuses, en particulier perforatrice (ou véri- <Desc/Clms Page number 10> ficatrice) actionnée par touches, dans laquelle lors de l'actionnement d'une touche la carte et la jeu de poinçons de perforation (ou jeu d'organes d'ana- lyse) doivent progresser, l'un par rapport à l'autre, colonne par colonne, de manière que le jeu de poinçons (jeu d'organes d'analyse) recouvre la co-- lonne à perforer (à vérifier), tandis que les colonnes sont visibles tout au moins d'un côté, ladite machine étant telle que la colonne de la carte se trouvant dans une positidn visible prédéterminée est amenée automatiquement sous le jeu de poinçons (ou jeu d'organes d'analyse) et une fois la perfora- tion (vérification) effectuée,
    est ramenée suffisamment loin, pour que la colonne de carte suivante arrive en position visible.
    Ladite machine peut être encore caractérisée par les points sui- vants, pris isolément ou en combinaison : 2. L'entrainement colonne par colonne entre carte et jeu de poin- çons (ou jeu d'organes d'analyse) étant réalisé de manière que la perfora- tion (vérification) s'effectue colonne par colonne depuis la colonne extrême de gauche à la colonie extrême de droite, l'espace à droite du jeu de poin- gons (jeu d'organes d'analyse) est visible sur la carte.
    3. Le clavier se trouve à l'extrémité droite du chemin de la car- te et dans son prolongement.
    4. La position visible est suffisamment éloignée du jeu de poin- gons (jeu d'organes explorateurs) pour que dans la position visible la colon- ne de perforations voisine de la colonne en position visible et située après le jeu de 'poinçons (jeu d'organes d'anal;;se) soit encore visible, de sorte que la perforation produite dans la colonne précédente soit reconnaissable.
    5. Un chariot à cartes amenant la carte colonne par colonne sous les poinçons (organes d'analyse), ce chariot, lors de l'actionnement du clavier, effectue un tel mouvement avant la perforation (vérification), qu'une colonne passe de la position visible à la position de perforation (de:vérification) et ce chariot,-après perforation (vérification), effec- tue un mouvement en sens opposé, par lequel la colonne suivante arrive en position visible.
    6. Le mouvement relatif entre carte et jeu de poinçons (jeu d'organes d'analyse) étant obtenu par un mécanisme d'avance pas à pas fonc- tionnant comme un mécanisme d'échappement, les courses d'échappement sont calculées de manière que le mouvement relatif corresponde par un nombre de pas convenable dans une même direction à la distance entre la position visi- ble et le jeu de poinçons (jeu d'organes explorateurs) et ensuite il se pro- duit, grâce au mécanisme d'échappement, un mouvement en sens inverse qui com- prend un pas de moins.
    7. Dans une perforatrice où l'électro-aimant de commande pour l'avancement sert en même temps d'électro-aimant de poinçonnage, l'armature pivotante de l'électro-aimant de poinçonnage et de commande provoque, dans son mouvement de rotation, d'abord le mouvement de commande, qui agit, à la fin de ce mouvement, sur l'entrainement des poinçons.
    8. Dans une vérificatrice, une erreur au lieu d'être signalée par blocage du mouvement du chariot, est indiquée par la cessation de l'ac- tion des touches sur le dispositif de vérification.
    9. Les touches de vérification, après indication d'une erreur, peuvent redevenir opérantes par actionnement de la touche de libération, et libération consécutive du chariot.
    10. La carte, montée sur un chariot de cartes progressant colon- ne par colonne, peut se mouvoir en avant et en arrière de la distance entre la position visible et la position de perforation; elle se déplace dans un sens sur le chariot et de cette distance, lors de l'actionnement du clavier, et une fois une perforation effectuée, elle revient en sens contraire, de <Desc/Clms Page number 11> la même distance, jusqu'à la position de départ sur le chariot de cartes.
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