BE494586A - - Google Patents

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BE494586A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B27/00Control, indicating, or safety devices or systems for composing machines of various kinds or types
    • B41B27/28Control, indicating, or safety devices for individual operations or machine elements
    • B41B27/32Control, indicating, or safety devices for individual operations or machine elements for line-justification operations

Landscapes

  • Accessory Devices And Overall Control Thereof (AREA)

Description

       

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  MACHINE A COMPOSERa 
La présente invention concerne une machine à composer à carac- tères justifiés utilisant des moyens photographiques pour l'impression. 



   L'invention sera décrite élément par élément, pour en faciliter l'exposé, en relation avec les dessins annexés dans   lesquels :   la figure 1 est un schéma d'ensemble; la figure 2 représente 1-'enregistreur; les figures 3 et 4 représentent le chariot porte-film; les figures 5 à 9 représentent l'échappement variable; la figure 10 représente le décodeur; la figure 11 est un schéma d'ensemble des circuits électriques; les figures 12 et   13   représentent des circuits à 2 positions stables   (flip-flop);   les figures 14 et 15 représentent des circuits de comptage; les figures 16 à 21 représentent en détail les circuits corres- pondant à la figure 11; la figure 18 représente plus particulièrement le dispositif de correction s; la figure 22 est un diagramme de fonctionnement des cames;

   les figures 23 à 25 représentent un compteur mécanique; les figures 26 à 29 représentent une variante du décodeur ; les figures   30,   31 et 32 représentent des variantes du justifi- cateur; la figure 33 est un diagramme d'assemblage des figures 16 à 21; 

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 les figures   34   à 37 représentent une variante du dispositif pho- tographique. 



   Se référant à la figure 1, la machine décrite à titre d'exemple comprend un clavier CI associé à une machine à écrire donnant en même temps une copie facilement lisible sur laquelle l'opérateur peut se relire et faire des corrections, un enregistreur   ENR,   deux compteurs CP1 et CP2, un justificateur JUS, un chariot porte-film CHA, un décodeur DEC et une unité photographique PH. 



   Le clavier CL est muni de barres sélectrices CM (dites aussi de code ou de permutation) du genre utilisé dans les téléimprimeurs. Lorsqu'une touche du clavier est abaissée, une ou plusieurs de ces barres sélectrices sont actionnées suivant un code analogue à celui utilisé en télégraphie   Baudot. Dans l'exemple décrit on utilise un code à 7 éléments et par suite 7 barres sélectrices pouvant donner 2 soit 128 combinaisons différentes,   ce qui est amplement suffisant. 



   Chaque caractère est caractérisé par une combinaison de ce code et les barres de permutation transmettent les combinaisons à un enregistreur, de préférence mécanique, qui les enregistre au fur et à mesure de la frappe. 



   La partie inscriptrice de l'enregistreur est entraînée par le chariot de la machine à écrire de telle sorte que dans le cas d'une correc- tion on peut opérer comme avec une machine à écrire normale car le fait de ramener le caractère erroné en position de frappe amène l'élément inscrip- teur en place et un dispositif d'effacement qui peut être actionné pour re- mettre l'enregistreur à zéro. L'opérateur frappe ensuite le caractère correct à la place du caractère effacé, 
L'enregistreur est simultanément utilisé pour la frappe et le contrôle de l'impression au moyen d'un dispositif de lecture indépendant. 



   Pour justifier les lignes,c'est-à-dire pour augmenter la dis- tance entre les mots de façon à aligner la marge de droite il est nécessai- re de mesurer la longueur de la ligne et de compter le nombre d'espaces jus- tifiables.   A   cet effet, la largeur des différents caractères est exprimée en fonction   d'une   unité de longueur arbitraire et un compteur CP1 addition- ne ces largeurs au cours de la frappe. Un second compteur CP2 compte le nombre d'espaces justifiables. Ces deux compteurs sont associés au clavier pendant la frappe et pendant un court instant pour la fin de la ligne au justificateur JUS qui détermine l'incrément de justification à ajouter à chaque espace au cours de l'impression. 



    Suivant des caractéristiques de l'invention, la largeur des caractères est déterminée par un certain nombre des éléments du code d'enre-   gistrement, par exemple   les 4   premiers en numération binaire. Quatre élé- ments permettent de caractériser 16 largeurs différentes allant de 0 à 15, ce qui est suffisant en pratique. 



    Lorsque l'opérateur a terminé la frappe d'une ligne, le lecteur de l'enregistreur est associé à l'ensemble photographique et à un traducteur de largeur TL. L'ensemble photographique comprend un disque ou tambour portant les caractères-matrices qui tourne en permanence. Un décodeur DEC commande par l'enregistreur fait jaillir au moment propice un éclair lumineux excessivement bref qui photographie le caractère sélecté sur le film porté par le chariot CHA. Le chariot porte-film-est ensuite avancé d'une distance égale à la largeur du caractère sous le contrôle du traducteur de largeur TL.   cateur JUS. La longueur des espaces justifiables est choisie par le justifi-    Soit J la justification désirée (dans l'unité de longueur choisie). 



  Lorsque la composition est terminée, l'addition des largeurs individuelles des caractères (plus la largeur minimum des espaces justifiables) donne une valeur infériure de D à J, les espaces doivent être augmentés en distribuant   

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 D parmi eux, sous la condition toutefois que chaque espace ne peut être augmenté que par un nombre entier d'unités (cette condition est dictée par le mode de fonctionnement du chariot porte-film qui ne peut avancer que par nombre entier d'unités pour des raisons mécaniques). Si N est le nombre d'espaces, le rapport D/N ne sera pas en général un nombre entier. La dis- tribution des D unités entre les N espaces est faite en ajoutant un certain nombre Q d'unités à un premier groupe d'espaces et Q   +   1 unités à un deu-   xième groupe d'espaces.

   Le mécanisme de justification comprend le compteur dans lequel la longueur de la ligne non justifiée a été enregistrée et au-   quel on ajoute un certain nombre de fois en succession le nombre des es- paces. Le compteur enregistre ainsi en succession les totaux suivants : 
J - D (ligne non justifiée) 
J - D   +   N (première addition) 
J - D   +   2N (deuxième addition) etc... Ces additions sont répétées jusqu'à ce que le total atteigne ou dépas- se la valeur J assignée à la ligne justifiée. A ce moment, un mécanisme est actionné pour effectuer la répartition des unités entre les espaces. 



   Une caractéristique de l'invention réside dans l'emploi du sys- tème de numération binaire. Comme bien connu, ce système de numération a deux chiffres seulement C et 1, de telle sorte que les nombres entiers suc- cessifs sont représentés par 0, 1, 10, 11, 100, etc... (correspondant res- pectivement à 0, 1, 2, 3, 4,   etc...   dans le système décimal). Le système bi- naire est préférable pour un certain nombre de raisons : en premier lieu parce qu'il ne nécessite que des relais ou   commutateurs   à 2 positions, telles que attiré ou au repos, ou un circuit ouvert ou fermé, représentant seule- ment les conditions "oui ou non" ou   "0   ou 1".

   Un autre avantage réside dans le fait que les soustractions peuvent être faites plus facilement que dans les autres systèmes., Des soustractions sont nécessaires pour les corrections et peuvent être faites en système binaire par un procédé relativement simple d'inversion. 



   Une autre caractéristique de l'invention réside dans le système de composition photographique permettant de placer sur le film avec une très grande précision l'image d'un caractère animé d'un mouvement rapide, cette précision étant indépendante des variations de la position des carac- tères les uns par rapport aux âutres sur le disque porte-matrices. 



   Une autre caractéristique de l'invention réside en un système de correction automatique qui permet de remplacer dans une ligne enregistrée un caractère d'une certaine largeur par un caractère d'une autre largeur, sans agir sur la justification, et en même temps d'effacer mécaniquement de l'en- registreur le caractère à remplacer ou à supprimer. 



   D'autres caractéristiques et objets de l'invention apparaîtront dans le texte et les figures jointes 
L'enregistreur représenté sur les figures 2 et 18 est un enregis- treur à sept éléments. Il faut en conséquence pour enregistrer une ligne au- tant de rangées de 7 broches qu'il peut y avoir de caractères dans une ligne. 



  90 par exemple. Chacune de ces broches peut prendre deux positions, une po- sition avancée ou position de repos et une position enfoncée ou de travail. 



  L'enregistreur peut être divisé en trois parties, le champ de broches EB, le groupe de marteaux EM et le chariot explorateur EX. Le champ de broches com- prend deux groupes de 7 rangées. En le déplaçant dans le sens vertical de la distance qui sépare deux rangées consécutives de broches, on associe un desdits groupes de 7 rangées de broches avec les marteaux et l'autre avec l'explorateur. De la sorte, l'opérateur peut enregistrer une ligne pendant que la ligne précédemment tapée est photographiée. 



   Le champ de broches EB comprend deux flasques 100E et 101E re- liés par des entretoises 112E. Ces flasques sont munis d'ouvertures dans lesquels les broches B1..... B7 peuvent glisser. Ces broches peuvent prendre deux positions, une position de repos B'1 et une position de travail B1. On 

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 a représenté sur le dessin une seule rangée de broches pour la clarté du des- - sin, mais il y a en fait autant de rangées de   14   broches qu'il peut y avoir de caractères ou signes dans une ligne. La distance séparant deux broches consécutives dans le sens horizontal est égale au pas de la machine à écrire. 
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  Panai les 14 broches représentées sur le dessin, sept- coopèrent avec la ma- chine à écrire : B'l, B'2, B'3, B'4? B'5,B'6,B'et,sept(Bl..a..eB7) avec le chariot explorateur et le dispositif de photographie. Grâce à cet arrangement, il est possible de taper une ligne pendant que la précédente est photographiée, et cela avec un minimum d'éléments. 
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  Lorsqu'une touche de la machine à écrire est abaissêesun certain nombre de broches sont enfoncées suivant la combinaison de code attribuée audit caractère. Dans le cas de la figure, les broches B'2, B'4, B'6 et B'7 sont dans leur position de travail,   c'est-à-dire   que la combinaison correspon- dant au caractère est   1-4-6-7   qui est l'astérique dans l'exemple décrit (voir figure 10). Les broches sont enfoncées par des marteaux   Ml...M7   coulissant 
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 entre deux flasques 110E et IIIE. Ceux-ci sont normalement sollicités vers leur position de repos par des ressorts (non représentés). Le flasque 110E qui porte cet ensemble de marteaux est fixé sur le chariot de la machine à écrire afin qu'il suive positivement tous les déplacements dudit chariot. 



  Lorsque le chariot de la machine à écrire se déplace, il présente ainsi suc-   cessivement   les marteaux en face de chacune des rangées verticales des broches. 
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 Les marteaux sont actionnés par des palettes RPl.o. tP'ia Ces palettes piVOï tent sous la commande des barres de sélection CM, associées au clavier de la machine à écrire. Lorsqu'une touche du clavier est abaissée, les barres cor- respondant au code du caractère désiré sont actionnées et enfoncent les bro- 
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 ches. Dans la figure 2, les palettes de commande RP2, RPI, RP6 et RP7 sont représentées dans leur position de fonctionnement. La commande de ces palet- tes peut être soit électrique soit mécanique.

   Dans le cas d'une commande électrique, les barres de sélection actionnées ferment le circuit d'électro- 
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 aimants RPE1, RPEz u 00 U RPE qui font pivoter les palettes RB1 aa.aRB7. 



  Lorsque l'opérateur a fini de taper la ligne, il déplace le champ 
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 de broches dans le plan vertical le long de guides -U3E. Ce champ de broches peut prendre deux positions, une position basse et une position haute. Dans le cas de la figure 2, il est dans la position haute,   c'est-à-dire   que les 
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 lignes de broches impaires (en comptant à partir du haut BI.. 0 0" B7), sur lesquelles la ligne précédente a été enregistrée, sont associées au chariot explorateur, et les lignes de broches paires (B'1.... oB'ï) sont associées aux marteaux. Sur la figure 2, les broches   Bl,     B4   et B5 des rangées impaires ont été enfoncées pendant la frappe de la ligne précédente, cette combinaison correspond au caractère (voir figure   10 )   dans l'exemple de réalisation décrit.

   Les organes destinés à déceler la combinaison enregistrée ou palpeurs 
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 sont représentés en Plu .P8,. Ils peuvent pivoter autour.des axes 103E. Ces axes sont portés par des bras 115E fixés à une platine   104E.   Cette platine   104E   glisse dans des équerres 105E et est poussée vers le bras par un ressort   (non représenté). Pour la recherche de la combinaison, la plaque 104E est soulevée au moyen de la palette pivotante 109E commandée par l'électro PLP (figure 18).

   Les organes palpeurs sont ainsi poussés vers le haut et ceux qui   rencontrent des broches en position enfoncée sur leur course basculent dans le sens des aiguilles d'une montre et ferment les contacts qui leur sont as- 
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 sociés Cl----C8- Ce sont ces contacts qui commandent l'impression du carac- terre correspondant comme on l'expliquera en détail plus loin. Le chariot ex- plorateur lu est muni de galets 107E roulant sur des rails lOBE et d'un mé- canisme d'échappement du type -des chariots de machine à écrire, commandé par un- ' ectrOEXP. Apr's avoir été ainsi "explorée", les broches sont repoussées   dans leur position de repos par une barre verticale oscillante (non représentée).

   Les broches sont maintenues dans leur position par des ressorts à    
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 friction des ressorts   Bien que le chariot explorateur EX et l'ensemble des marteaux EM aient été représentes l'un en face de l'autre pour simplifier la figure, ils se déplacent absolument indépendamment l'un de l'autre. EM est commandé   par le clavier tandis que EX est commandé par l'ensemble photographique. 

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  Chariot et ses contrôles - La figure 3 montre une coupe partiel- 
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 le du mécanisme d.gentraînement du chariot porte-film sensible, et la figure 4 est une élévation de ce chariot proprement dit. 



   Le film sensible passe d'un magasin débiteur à un magasin ré- cepteur (non représentés), supportés par un organe immobile ou un chariot mo- bile mais de préférence non rigidement relié au chariot proprement dit re- présenté (figures 3 et 4).  L'indépendance   entre ces deux organes est assurée par une boucle suffisamment lâche formée par le film. A sa sortie du maga- sin débiteur le film fait une boucle, passe sur le débiteur   1-F,   puis sous le presseur 3-F, puis sous le débiteur 2-F et revient au magasin récepteuro 
Les déplacements du chariot sont déterminés par une vis irréver- 
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 sible à pas relativement fin 17-F dont la rotation est commandée par lséchap- pement variable décrit plus loin.

   La roue 37-F (figures 5 à 9) de   l'échappe-   ment variable tourne, après chaque impression d'un caractère,   d'un   angle dé- terminé par la largeur de ce caractère., Cette roue engrène avec un pignon débrayable 19-F (figure 3), qui est lui-même en prise avec un pignon 20-F goupillé sur l'arbre 29-F qui porte la vis 17-F. Des roulements coniques 21- F et 22-F maintiennent en translation l'arbre   29-F,   de sorte que sa rotation communique au chariot, grâce à un écrou E, un mouvement de translation dans le sens de la flèche F. 



   Pour assurer -Lui écart constant entre les caractères, les dépla- cements du chariot doivent se faire avec une grande précision, de l'ordre de 0,01 millimètre. Afin d'obtenir cette précision, il est nécessaire de rat- traper les jeux, ce que l'on réalise au moyen de deux ressorts qui sont éga- lement utilisés pour ramener en arrière le chariot après impression d'une lig- ne complète. L'un de ces ressorts est le ressort à barillet 23-F (figure   4)   
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 qui agit sur le chariot par 1-lintermédiaire du filin 24-F, et qui tend à rane- ner ce chariot dans le sens opposé au sens normal de déplacement. L'autre ressort agit sur la vis   17-F   grâce à un filin 25-F et tend à faire tourner cette vis dans le sens inverse du sens normal de rotation. 



   Chaque fois qu'un caractère a été photographié, le chariot se dé- place   d'une   distance variable en un temps relativement court, ce qui met en 
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 jeu des forces d-linergie importantes. Pour assurer la précision nécessaire, il est indispensable d'absorber la plus grande partie des chocs provoqués par l'arrêt du chariot.

   On a prévu dans ce but un dispositif élastique, cons- titué par une bague 26-F pouvant coulisser dans le bâti de la machine, et recevant le roulement à rouleaux coniques 22-F, cette bague étant mainte- nue en place par un ressort puissant 27-F, dont on peut régler la tension en agissant sur une pièce 28-F vissée dans le   bâti.,   
Ainsi, quand l'échappement variable termine son déplacement, la 
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 roue 37-F (figures 5 â 9) s'arrête brusquement et, du fait de l'inertie, le chariot a tendance à continuer son mouvement,ce qui applique un effort de translation sur la vis   17-F   et sur   l'arbre     29-Fa   Cet effort .se manifeste sur le roulement de butée 22-F par un choc, reporté sur ce palier par un épaule- 
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 ment 30-F de l'arbre 29-F,

   puis transmis à la bague 2C-F qui se déplace très légèrement en comprimant le ressort 27-Fe mant DEB Lorsqu'une ligne a été complètement photographiée, l'électro-ai- mant DEB est excité. Malgré   l'action   antagoniste du ressort 31-F cet électro 
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 attire le plongeur 32-F solidaire du pignon 19-roi, et ce dernier coulisse sur une tige 33-F fixée sur le bâti de la machine; il se dégage ainsi de 
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 la roue 37-F tout en restant en prise avec le pignon 20-F. Aussitôt que le pignon 19-F est dégagé de la roue 37-F, le ressort commandant le filin 25-F fait tourner la vis 17-F dans le sens inverse de son sens de rotation nor- mal, ce qui ramène le chariot en arrière afin de permettre l'impression de la ligne suivante. 
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  T Ue 37-P En marche normale, le pignon 19 F est maintenu en prise avec la roue 37-F par une tige 34-F qui coulisse librement dans un noyau fixe 35-F et qui est constamment poussée par un ressort réglable 31-F. 



   Le disque MP est utilisé pour la mise en position précise du cha- 

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 riot, comme il sera représenté plus loin. 



   On décrira maintenant un mécanisme d'échappement variable per- fectionné pour commander l'avance du chariot porte-film, en relation avec les figures 5 à   9.   



   Cet échappement variable comprend une roue dentée 37-F engre- nant avec le pignon 19-F qui commande la rotation de la vis 17-F d'avance du chariot. Cette roue avance d'un nombre de dents qui dépend de la lar- geur du caractère qui vient d'être reproduit, sous la commande d'une pièce en étoile 38-F dont le déplacement est limité par des butées 41-F en nom- bre égal aux différentes avances désirées. L'étoile 38-F est munie, en ou- tre, d'un secteur denté 39-F ayant le même axe que la roue 37-F et que l'étoile 38-F, et qui peut engrener avec un pignon   40-F.   



   Le traducteur de largeur de la machine TL met d'abord en place, à l'endroit approprié, une butée   41-F   par exemple au moyen d'un électro-ai- mant (non représenté). Puis l'électro-aimant principal 42-F est excité et attire une tige de commande 43-F. Cette tige est munie de deux butées   44-F   et 45-F et passe dans une ouverture ménagée dans la queue   46-F   du levier d'une griffe   47-F;

     ce levier peut pivoter autour d'un axe   48-F.   Au début du déplacement de la tige   43-F,   un ressort   49-F   pousse le levier de la griffe   47-F   en le maintenant appliqué contre la butée   44-F,   et les dents de la griffe   s'engagea   dans celles de la roue 37-F et immobilisent ainsi cette roue. 



   La tige   43-F   poursuit sa course, et sa butée   50-F   vient pousser la queue du support 51-F du pignon   40-F   (figure   6);   ce support bascule autour de son axe   52-F   et dégage le pignon 40-F de la roue dentée 37-F. Le pignon 40-F vient alors en prise avec les dents d'une butée 53-F qui le maintient en position. 



   En même temps, l'étoile 38-F dont le secteur denté 39-F était en prise avec le pignon   40-F   est libérée et se déplace dans le sens inverse des aiguilles   d'une   montre sous l'action d'un ressort (non représenté), jus- qu'à ce qu'une de ses branches rencontre la butée   41-F   (figure   7).   A ce mo- ment, la tige 43-F a terminé sa course et la butée   45-F   maintient la griffe 47-F, qui retient elle-même la roue dentée   37-F.   Le cliquet   54-F,   qui est normalement poussé dans les dents de la roue 37-F par un ressort 55-F, et qui s'est soulevé pendant la rotation de l'étoile, retombe dans une dent de la roue 37-F et empêche tout rebondissement de l'étoile. 



   Un amortisseur 56-F est normalement repoussé par la queue   57-F   de l'étoile. Lorsque celle-ci tourne, cet amortisseur tourne autour de   l'axe 58-F   sous l'action d'un ressort 59-F et vient buter contre une pièce d'arrêt 60-F. 



   Le mécanisme reste dans cette position jusqu'à ce que l'élec- tro-aimant 42-F relâche. A ce moment, la tige 43-F revient en arrière sous l'action du ressort 61-F (figure 8). Au début de ce retour, la partie 62-F de la butée   50-F   rencontre la queue 63-F de la pièce 51-F et cette pièce bascule; le pignon 40-F qu'elle porte engrène à la fois avec la'roue dentée 37-F et avec le secteur denté   39-F   de l'étoile. La partie 62-F glisse sous la queue 63-F et maintient ainsi engagé le pignon   40-F.      



  En continuant son mouvement de retour, la tige 43-F dégage la griffe 47-F dont les dents sortent de celles de la roue 37-F (figure 9). A ce moment, cette roue sollicitée par le ressort principal du chariot (non représenté) tourne dans le sens des aiguilles d'une montre et entraîne l'étoile 38-F jusqu'à ce que la queue 57-F de cette étoile vienne buter contre la pièce d'arrêt 56-F. En effet, la roue dentée 37-F et l'étoile 38-F se   déplacent en même temps, puisqu'elles sont toutes deux en prise avec le   pignon 40-F. Au passage, la queue 57-F cède une partie de son énergie cinétique à l'amortisseur 56-F qui, sous le choc, vient prendre la position 56'-   F.

   Pour   diminuer   la violence du choc, on prévoit également un ressort assez puissant dans la pièce d'arrêt   64-F.   L'objet de ce décodeur est d'engendrer au momentdu passage du caractère sélecté sur l'axe optique une impulsion re- 

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 lativement large qui agit sur un tube êl.ectroique "fenêtre" et laisse passer l'impulsion photo-électrique de position correspondant au caractère sélecte. 



  Ce décodeur est constitué par un cylindre comportant 7 rangées de parties i- solantes et conductrices sur lesquelles frottent 7 balais   Ba-l....Ba-7.   



   Les combinaisons de parties isolantes et de parties conductrices le long   d'une   génératrice du cylindre correspondent aux combinaisons de code des divers caractères à reproduire,comme le montre la figure 10,   où     1' on   a représenté   schéma ,   un cylindre décodeur développé. D'autre part, les 
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 balais BA sont reliés chacun a un contact des relais Tl a T7 (figure 17) qui, sous la commande de l'enregistreur, est ouvert ou fermé suivant le code du caractère considéré, ainsi qu'on l'a vu précédemment, ce code étant le même que celui des combinaisons de parties isolantes et de parties conductrices du cylindre décodeur. 



   Pour faciliter la compréhension du fonctionnement du décodeur, on décrira ce fonctionnement sur un exemple particulier, en considérant, à titre indicatif, que l'on veut reproduire la lettre t qui, dans la   disposi-   tion représentée sur la figure 10   où   les parties conductrices sont hachurées, occupe la génératrice 27 du cylindre. La figure montre que la combinaison 
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 correspondant à cette lettre est 1235, c'est â-dire que lorsque la génératri- ce 27 du cylindre qui se déplace dans le sens S passe devant les balais BA, les balais Boa-1, BA-2, BA-3 et BA-5 seulement frottent sur des parties con- ductrices du cylindre. 



  Si l'on suppose que les contacts ti, t2 , t et t sont ouverts, en actionnant les relais correspondants, l'examen e la figure 10 montre que, pendant que le cylindre se déplace devant les balais de la position zéro à   la position 27, l'un au moins des balais BA est en contact avec une partie conductrice à un instant donné. Par suite, le circuit allant de la masse M   du décodeur au point commun H (figure 10) est toujours fermé. Au contraire,   ce circuit est ouvert lorsque les balais passent sur la position 27. En ef fet, à ce moment, la combinaison des contacts ouverte est précisément la même que celle des parties conductrices du décodeur.

   Le circuit reste donc ouvert pendant la durée du passage des balais sur la rangée 27, et on utilise cette coupure, comme on le verra plus loin, pour laisser passer l'impulsion photoélectrique engendrée au moment précis du passage de la lettre t portée par le disque D devant la cellule photoélectrique; cette impulsion peut ain-   
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 si faire ponctionner le tube à éclairs et produire 3.9iz.presszon photogTaph1- que sur le film, du caractère désiré, ëpu-4   On remarquera que pour d'autres rangées suivantes du décodeur, on retrouve des combinaisons ouvrant à nouveau le circuit précité; ainsi, dans l'exemple choisi, on peut constater que ce circuit sera encore ouvert lors du passage sous les balais BA des génératrices 39, 50, 53, 58, 63, 65,   
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 fls 753 76, 79, 81, et 82.

   Pour éviter que les caractères correspondant à   ces génératrices ne soient également photographiés lorsqu'on désire la lettre t, on prévoit selon une caractéristique de l'invention, un dispositif ne permettant au tube a éclairs de fonctionner qu'une fois par tour complet du décodeur, de sorte que les impulsions qui surviennent après Impulsion correçue de déclenchement restent sans effet. u. L   
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 ls be. Compteur de ligne - Les touches de la machine a écrire actionnent   les barres de sélection qui ferment leurs contacts suivant le code attribué aux divers caractères, On considérera ici les 4 premiers contacts seulement    
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 qui caractérisent la largeur des caractères. Ces A premiers contacts sont reliés aux 4 sRtEe.es du compteur binaire.

   Il est clair que ces 4 entrées doivent pouvoir actionner simultanément puisque les contacts des barres sélectrices sont simultanées. Le résultat de l'addition de ces nombres dans le compteur est enregistré des relais dits accumUlateurs ou binaires, ou des combinaisons de relais, Ces relais ont deux positions stables et ils pas- sent dune position a lautre lorsque du courant leur est appliqué puis in- terrompu, et restent en cette position. Pour cette raison on les appelle aus- Si flip-flope La figure 14 représente un exemple de réalisation utilisant un mecanisme de commutateur pas-à-pas, COmm.tU1é.ment utilisé en téléphonie. Ce 

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 commutateur comprend -un cliquet   44   et une roue à rochet 46.

   Lorsque   l'élec-   tro 48 est excité, l'armature 50 rappelle le cliquet en arrière contre l'ac- tion d'un ressort   54   et lorsque le courant est interrompu, la roue à rochet fait avancer le disque à contacts   54   d'un pas. Un balai 56 fait   un   contact permanent avec le disque près de son centre et un autre balai 58 se trouve en contact avec une partie métallique, pour les positions où le circuit est fermé, et avec une partie isolante pour celle où le circuit est ouvert. Il s'ensuit que le circuit est fermé toutes les deux fois que l'électro   48   est excité, Un enroulement auxiliaire 60 peut être prévu dans un but qui sera ex- posé plus loin. 



   La figure 15 représente un circuit flip-flop qui donne les mêmes résultats mais utilise des relais téléphoniques normaux au lieu. de pas-à- pas plus onéreux. Dans la figure 15, lorsque la terre est appliquée à travers la clé S, le courant, passe à travers le relais 62 et un enroulement du re- lais   64   en série, mais   un   seul enroulement de 64 est trop faible pour ac- tionner le relais   64.   (Le terme actionner est ici utilisé pour dénoter le fonctionnement de l'armature du relais). Par suite,le relais 62 fonctionne seul. Lorsque la clé est ouverte, le second enroulement de   64,   qui pendant   l'impulsion   était à la terre des deux côtés, est alors excité.

   Ces 2 en- roulements de   64   et l'enroulement de 62 restent excités et les deux armatures sont attirées. Lorsque la clé est fermée, une seconde fois, les 2 extrémités de l'enroulement de 62 sont reliées à la terre et il relâche, mais 64 reste actionné par son 1/2 enroulement (ce relais est du type bien connu de relais à double enroulement dans lequel un seul enroulement est incapable d'action- ner le relais mais peut le maintenir actionné une fois qu'il a fonctionné). 



   Lorsque la clé S est ouverte,   64   relâche et le cycle peut se ré- péter. Les contacts 66 commandés par le relais 64 peuvent être utilisés dans un circuit extérieur. Ces contacts se ferment tous les deux fonctionnements de la clé S et par suite fonctionnent de la même manière que les balais 56 - 58 de la figure 14. 



   Si nous considérons maintenant   un   relais binaire d'un étage don- né, il est clair   qu'il   doit fonctionner lorsqu'une impulsion lui est appli- quée et qu'il doit transférer cette impulsion à l'étage supérieur s'il se trouve déjà dans sa position actionnée ou position   tilt!,   et qu'il ne doit pas transférer cette impulsion de retenue s'il se trouve dans sa position "0". Cependant si un étage reçoit à la fois une impulsion de retenue de l'é- tage inférieur et une impulsion directe, il ne doit pas fonctionner mais doit transmettre une retenue à l'étage immédiatement supérieur, quelle que soit la position sur laquelle il se trouvait initialement. 



    La figure 12 représente un compteur binaire remplissant ces conditions. Il comprend autant de circuits flip-flop qu'il y a d'étages (5). Ces circuits sont représentés en X1, X2, X3, X X5 et peuvent être du type représenté dans le cadre pointillé des figuras 14 ou 15. Chaque circuit flipflop est muni de contacts qui sont fermés lorsque le circuit flip-flop est en position "1" et ouvert lorsqu'il est en position "0". Les contacts sont représentes en 66. De tels simples contacts de fermeture sur le circuit flipflop seraient suffisants si les entrées dans les divers étages n'étaient pas simultanées mais se produisaient en succession. 



  Lorsqu'un circuit flip-flop reçoit un potentiel de retenue de l'étage précédent, et un potentiel de fonctionnement direct de son propre étage, il est peu pratique de faire fonctionner ce circuit flip-flop deux fois. Une méthode plus rapide et plus pratique est d'empêcher de fonctionner le circuit flip-flop d'un étage dans lequel il se produit une double entrée, et de lui faire envoyer à l'étage supérieur un potentiel de retenue. 



  Le circuit de la figure 12 remplit ces conditions. Tous les étages sont identiques, excepté le premier qui, naturellement, ne peut pas recevoir de potentiel de retenue. Chaque étage est muni d'un relais de retenue R2, R , etc.. 



  Ces relais ont deux enroulements en opposition et fonctionnant lorsque l'un quelconque de leurs enroulements est excité et restent au repos lorsque les deux enroulements sont excités à la fois. L'entrée vers le premier étage se   

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 fait par un fil 67 ayant un contact (représenté par la clé K1), le dit con- 
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 ducteur est relié directement â X 1 et aussi è. un des contacts 66. Un conduc- teur de retenue 68 va des contacts 66 de Xl à un enroulement de j  Le fil d'entrée 68 va des contacts 66 de X1 à un enroulement de IL.

   Le fil d'entrée 69 du second étage va à travers JS au deuxième enroulement de IL et aussi à travers un redresseur 70 et un fil 71 au contact 66 (mais pas au circuit flip-flop ]L lui-même) Un deuxième redresseur 72 est relié entre les fils 68 et r rJl   Le relais IL a ses contacts de travail 73 reliés par un fil 74 à X2 et ses contacts de repos 75 reliés au fil d'entrée 69 de son propre étage et à un fil de retenue 76 allant du contact 66 de X2 à un enroulement de   R3. 



   Le troisième et les étages suivants sont une simple répétition du deuxième étage. 



   On remarquera que le compteur de la figure 15 présente l'avanta- ge qu'une impulsion de retenue est transmise à travers tous les étages en jeu sans nécessiter le fonctionnement des relais. Par exemple si les trois cir- cuits flip-flop X sont en position "1" (correspondant à 111 dans le système binaire ou 7 dans le système décimal), la fermeture de K envoie une impul- sion de retenue directement à travers 66 de Xl,le redresseur   72,   le fil   71,   les contacts 66 et le fil 76 du second étage et par des connexions exac- tement similaires du troisième étage directement au quatrième étage. Les relais flip-flop des trois premiers étages passent ensemble en position "0". 



  Le relais E est prévu pour ne pas permettre aux circuits flip-flop de fonc- tionner avant que les relais de retenue aient pris leur position correcte. 



  Le résultat final dans le cas de cet exemple est 1.000, somme de 111 et 1 dans le système binaire. 



   Considérons maintenant le deuxième étage par exemple. 



   Dans le cas d'une entrée simple,, soit provenant de l'étage I à travers le contact fermé "position 1" du circuit flip-flop XI, ou d'un po- 
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 tentiel appliqué par la clé 1' le relais IL fonctionne puisqu'un seul de ses enroulements seulement es excité. Par son contact de travail il fait 
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 fonctionner le circuit flip-flop X2 Si le circuit flip-flop Xz est en po- sition "1" ce potentiel de fonctionnement est aussi transféré au relais IL de l'étage suivant et ainsi de suite. 



   Si au contraire il y a deux entrées simultanées, une retenue du premier étage provenant de K1 et du contact 66 du circuit flip-flop XI (en 
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 position "'Iie) et d'autre par% un potentiel direct par la clé E2. du deuxième   étage, le relais 'Ç2 ne fonctionne pas puisque ses deux enroulements sont excités et le potentiel est transmis par le contact de repos du relais IL au repos au relais IL de l'étage suivant.   



   La figure 13 représente un autre exemple de réalisation dans le- 
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 quel les barres de sélection actionnent les relais d'entrée CI, G2, C3, 04, 05. Dans cette réalisation le relaisde retenue IL a un seul enroulement. Les autres relais de retenue en ont deux, et fonctionnent si l'un ou l'autre ou les deux sont excités. Les connexions ne seront pas décrites en détail car le fonctionnement est clair d'après le dessin, étant donné les expli- cations   données si-dessus.  Prenons par exemple   le.circuit   flip-flop XI en po- sition "1" et supposons que les relais Cl et C2 sont actionnés par les bar- 
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 res de permutation.

   Le circuit XI est actionné par CI et le relais p2 fonc-   tionne,   le potentiel donné par le contact de travail   de IL   nest pas ap- pliqué au relais binaire X2 mais est transféré par le contact va-et-vient de C2 au relais R qui fonctionne par son premier enroulement.Par un con- 
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 tact de travail de f et le contact de repos du va-et-vient de C3 au repos, X3 est excité. Des redresseurs sont prévus pour empêcher un fonctionnement indésirable des relais des étages inférieurs. On voit ainsi que les relais de retenue peuvent être actionnés de deux façons, soit lorsque le circuit 

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   flip-flop   précèdent transmet un potentiel de retenue, soit lorsque le relais de retenue précédent est actionné et qu'une entrée directe se produit simul- tanément.

   Le relais E de la figure 13 a le même rôle que son correspondant de la figure 12. 



   Lorsque l'on désire faire une soustraction, par exemple dans le cas d'une erreur, il suffit d'inverser la position de tous les circuits flip-flop, d'ajouter le nombre à retrancher et d'inverser une deuxième fois tous les circuits flip-flop. Ceci peut être fait facilement avec des pas-à- pas tels que représentés sur la figure 14 car il suffit d'exciter un enroule- ment auxiliaire 60 prévu à cet effet. En excitant tous ces enroulements auxi- liaires en même temps la position de tous les   pas-à-pas   se trouve inversée. 



  La soustraction dans le cas de flip-flops à relais de téléphone simples a une procédure similaire et sera mentionnée plus tard au cours de la descrip- tion. 



   Schéma d'ensemble des circuits électriques- Les circuits seront décrits en se reportant au schéma d'ensemble de la figure 11. L'appareil re- présenté par le rectangle 10 sur le côté gauche en bas de la figure 11 com- prend une machine à écrire avec un clavier et les barres de sélections ac- tionnées par les touches ainsi que l'enregistreur destiné à enregistrer les informations codées correspondant aux caractères. Le système comprend de pré- férence un enregistreur dans lequel l'information codée déjà enregistrée peut être lue, décodée et transmise au dispositif de photographie à éclair et à l'échappement variable du chariot porte-film pendant que la ligne suivante est tapée sur le clavier. Suivant une technique usuelle, les différents ca- ractères d'une fonte donnée ont des largeurs exprimées en fonction d'une unité commune.

   Par exemple dans une fonte-type :la largeur de i et 1 est de 5 unités; celle de f et j de 6; a, g et les chiffres de 9; b,   h,   n et s de 10; J, F et L de 12, M, H et W de 15. Une valeur arbitraire est aussi as- signée à l'espace minimum entre mots qui peut par exemple être de 4 unités. 



   Par l'abaissement de la touche correspondant à un caractère, l'enregistreur est actionné et enregistre le code correspondant. En même, temps pour chaque frappe d'un caractère sa largeur est transmise au compteur de ligne 12. Dans ce but, quatre conducteurs relient le rectangle 10 au rectangle 12 (figure 11). On notera de ce qui précède que douze largeurs dif- férentes, allant de 4 (espace minimum) à W (15 unités ) sont en général suf- fisantes pour toutes les fontes possibles Pour cela il suffit de quatre fils 14 étant donné qu'avec quatre fils on a   2     =   16 combinaisons différentes, bien que si un plus grand nombre de valeurs de largeurs étaient désirables, un plus grand nombre de fils pourrait être utilisé. 



   L'abaissement de la barre d'espacement (SP), outre qu'il ajoute   4   unités au compteur de ligne, ajoute 1 au compteur d'espaces ou d'interval- les CI, de telle sorte que le compteur de ligne accumule le nombre d'uni- tés depuis le commencement de la ligne et le compteur d'espaces le nombre des espaces justifiables. Pour cela une connexion réunit un contact actionné par la barre d'espacement de la machine à écrire au compteur CI. 



   Outre les fils 14 reliant les barres sélectrices au compteur de ligne, se trouve un conducteur 20 excité par un contact dit "universel" de la machine à écrire qui fonctionne lorsqu'une touche quelconque est abais- sée et dont l'objet apparaîtra plus loin. 



   A la fin de la frappe d'une ligne, l'opérateur relit et s'il trouve la ligne correcte, il actionne la clé d'envoi 22 qui fait démarrer le mécanisme de justification et ensuite l'impression de façon automatique. 



  La justification sera maintenant décrite brièvement. 



   Soit J la justification désirée exprimée dans l'unité de lon- gueur choisie et L le total de toutes les largeurs des divers caractères et de l'espace justifiable minimum tels qu'enregistrés dans l'enregistreur. 



  Le déficit de la ligne est D tel que J - L = D. 



  L'objet de la justification est de distribuer entre les espaces justifiables 

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 le déficit D de telle sorte que la longueur de la ligne soit augmentée de L à exactement J. 



   Soit N le nombre d'espaces justifiables,la relation entre N et D s'exprime par :   D = N Q + R   (1) où Q est la partie entière du quotient de N par D et R le reste. Si l'on ajou- tait à chaque espace la quantité Q   +   R/N, il serait nécessaire que le chariot puisse se déplacer d'une fraction quelconque d'unité. De tels dispositifs ont le désavantage   d'être   d'un réglage délicat et que les erreurs s'ajoutent. 



  Au contrairedans les échappements variables qui se déplacent seulement par nombres entiers d'unités, les erreurs ne s'additionnent pas. Pour profiter des avantages de ce type d'échappement variable pour le chariot porte-film, le justificateur ajoute Q unités aux N- R premières espaces et   Q +   1 unités aux R dernières. Le nombre d'unités ainsi ajoutées est : (N - R) Q + R (Q   +   1) = NQ   +   R = D (2) 
Le fonctionnement du justificateur sera décrit en relation avec un exemple numérique. Supposons que D soit égal à   41   (c'est-à-dire que la ligne soit trop courte de 41 unités) et que le nombre d'espaces N soit égal à 12 (ligne de 13   mots).   



   On envoie dans le compteur 12, plusieurs fois de suite, le nom- bre N. Ceci se fait par les 5 conducteurs 23 reliant le compteur d'espaces CI avec le compteur de ligne 12. Dans 1'exemple choisi, le déficit D est par suite réduit de   41   à 29, puis à 17 et à 5. A la quatrième addition, la ca- pacité du compteur est dépassée (de 7 unités dans l'exemple choisi )o Le nombre de fois que N a été ajouté dans le compteur pour le faire "basculer" est égal à Q   +   1. Si nous écrivons l'équation générale (2) de nouveau et en-dessous les valeurs de l'exemple numérique on a : (N - R) Q   +   R (Q + 1) = NQ   +   R = D   (7   x 3)   +   (5 x 4) 12x3+5=41 
Un commutateur "de reste" PR est relié au compteur 12 par un jeu de 5 conducteurs 24.

   Le compteur, comme déjà noté, indique à ce moment 7 (ou de façon générale N - R)o Cette valeur de N - R est transmise par les fils   24   pour   commander   la mise en place du commutateur PR. 



   Il est également prévu un commutateur dit "de zone" SZ connecté au compteur d'espaces CI par un conducteur 25. Ce commutateur de zone enre- gistre   dabord   le nombre Q qui doit être ajouté aux N - R premières espaces. 



  Dans l'exemple décrit le commutateur SZ sélecte un incrément de 3 unités qui doit être appliqué aux 7 premières espaces.Un conducteur 26 relie le commu-   tateur   de reste PR au commutateur de zone SZ par lequel PR envoie à SZ une impulsion   lorsqu'il   a épuisé N - R en avançant de N - R pas. En d'autres ter- meslorsque l' échappement du chariot fonctionne au moment de   l'impression,   le commutateur de reste PR avance d'un pas vers sa position de repos pour chaque espace justifiable. En arrivant sur sa position de repos,   c'est-à-di-   re lorsque les N - R premières espaces ont été augmentées de Q, l'impulsion envoyée par PR fait passer le commutateur SZ de la zone Q à Q   +   1, ce par quoi les R espaces restantes seront augmentées de Q + 1 unités.

   (Dans   l'exem-   ple choisi, PR doit faire 7 pas pour arriver sur sa position de repos et fait passer alors le commutateur de zone de 3 à   4   unités pour les 5 espaces restantes. 



   Se reportant de nouveau au schéma de la figure 11, le -rectangle 28 représente le traducteur de largeur, traducteur de signaux et répétiteur. 



  Ce rectangle 28 est relié à 10 par deux jeux de fils, représentés par un jeu 30 de 4 conducteurs indicateurs de largeur et un jeu 32 de 3 conducteurs sélecteurs de caractères dans la même largeur. Ces conducteurs sont excités par le mécanisme de lecture de 1-'enregistreur. Les   4   fils 30 servent à sélec- ter la largeur du caractère et à assurer un fonctionnement correct de   l'échap-   pement variable. Les 3 fils 32 sélectent le caractère   voulu   parmi ceux ayant 

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 la même largeur. Par exemple b et h ont la même largeur,de telle sorte que les fils 30 transmettront pour les deux signaux identiques. Cependant, les fils 32 envoient des impulsions différentes. S'il n'y a pas plus de 8 ca- ractères de même largeur, les 3 fils 32 sont suffisants.

   En fait, dans la plupart des fentes, il y a plus de 8 caractères de certaines largeurs. On peut en tenir compte en augmentant le nombre de fils 32. De tels conducteurs supplémentaires ne sont pas nécessaires car les fils 30 ne sont pas utilisés de façon complète et certaines largeurs inutilisées peuvent être attribuées à d'autres,comme on le verra plus loin. Du tracteur de largeur 28, un câ- ble à 12 conducteurs   34   va à l'échappement variable 36. Ces impulsions de fils 30 et 32 sont transmises aussi à travers un traducteur de signaux et un répétiteur par 7 fils vers l'unité photographique   40,   dans laquelle le caractère sélecté est illuminé au moment où il passe en position photographi- que pour projeter une image sur le film. 



   Le sélecteur de zone SZ est relié par dix sept fils 42 au rec- tangle 36. Dans le cas où un signal d'espace apparaît dans les fils 30 et 32, le circuit à éclair n'est pas actionné mais un signal est envoyé par le traducteur de signaux au sélecteur de zone SZ par un fil 43. La largeur de l'espace est déterminée par la position du sélecteur de zone, et un signal est transmis à l'échappement variable par un des fils 42. La lar- geur minimum d'une espace justifiable est 4 unités et étant donné qu'en pra- tique on ne peut lui donner une largeur supérieure à 18, les fils 42 sont suffisants. Les espaces 0, 1, 2 et 3 unités ne sont pas utilisées et ces valeurs sont réservées à la justification entre caractères, comme on le ver- ra plus loin.

   Dans l'exemple choisi le sélecteur de zones donnera par l'échap- pement variable un incrément de justification de 3 unités pour les sept pre- mières espaces et un incrément de 4 unités pour les cinq dernières de telle sorte que la largeur des sept premières espaces sera 7 unités et 8 unités pour les cinq dernières. 



   Les principes mathématiques sur lesquels la justification est basée ont été exposés   comme   si les calculs étaient faits dans le système décimal. Les calculs réels sont cependant faits de préférence dans le sys-   tème   binaire. Les organes utilisés et le mode de calcul seront décrits main- tenant en détail. Cependant étant donné qu'un élément important du système est un compteur spécial, les principes du fonctionnement du compteur seront exposés en premier lieu, après quoi on décrira en détail les différents or- ganes du système. 



   Comptage de la longueur de ligne - Le fonctionnement du compteur de ligne sera décrit en détail en relation avec le circuit détaillé repré- senté sur les figures 16 à   21.   La machine à écrire est représentée à gauche en bas de la figure   18.   



   Lorsque l'opérateur abaisse une touche, il actionne un certain nombre de barres de permutation et ferme les contacts associés cdl,   cd2,   cd3, cd4 qui caractérisent la largeur des caractères et les contacts cd5, cd6 et cd7 qui différentient les caractères de même largeur et n'interviennent pas dans la justification. Etant donné que les contacts des barres de permuta- tion peuvent être fermés pour des durées légèrement différentes, des relais intermédiaires R11, R12, R13 et R14 sont introduits entre les barres de per- mutation et le compteur. Ces relais sont actionnés par les fils 14 et les con- tacts des barres de permutation et se bloquent par des circuits de maintien établis par leurs contacts fermeture avant rupture et un contact de travail fermé, à ce moment, d'un relais à retard spécial DR.

   De cette façon il est possible de maintenir ces relais actionnés pendant une durée suffisante quel- le que soit la durée de fermeture des contacts des barres de sélection., Les relais intermédiaires, lorsqu'ils sont actionnés, appliquent une batterie aux fils d'entrée du compteur à travers un relais aiguilleur cs au zéro. Le comp- teur (figure 19) comprend 5 étages avec 5 relais de retenue R2 à R6 et 5   com-   binaisons de relais binaires Al - Bl à A5 - B5 du type représenté sur la fi- gure 15Le compteur est identique à celui de la figure 15,les combinaisons de relais Al - Bl,   A2 - B2   étant les mêmes que   Xl,   X2, etc. de la figure 15. 

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  Quatre étages suffisent pour les largeurs des caractères mais il est dési- rable de prévoir un cinquième étage pour pouvoir avoir plus de 15 espaces justifiables étant donné que, comme précédemment exposé, le nombre d'es- paces N est envoyé dans le compteur par les fils 23. Toutes les fois qu'une touche quelconque du clavier CL est abaissée, un contact u, appelé contact universel, est actionné.Le contact actionne un relais RU qui se bloque éga- lement sur un contact de repos du relais   DR.   Un autre relais E est actionné par le contact de travail des relais RI-1 à RI-4 et RU en parallèle. Le but de ce relais E est de retarder   l'application   de la batterie aux relais bi- naires et de donner ainsi aux relais de retenue R2 à R6 le temps de fonc- tionner et de préparer le circuit. 



   Lorsque le compteur binaire dépasse sa capacité, une impulsion est envoyée au pas-à-pas ACS (pas-à-pas   d'accumulation)   qui avance   d'un   pas. 



  Le commutateur ACS est un pas-à-pas (figure 18) qui avance d'un pas chaque fois que le compteur binaire compte 32.On peut le considérer comme un comp- teur de base 32 ayant une capacité suffisante pour enregistrer le nombre to- tal   d'unités   de la ligne la plus longue. L'impulsion est transmise de la fa- çon suivante :Lorsque le compteur binaire bascule, un circuit est établi à travers le relais de retenue R6 de la même manière que les retenues se font dans un étage quelconque du compteur lui-même,   comme   expliqué en relation avec la figure 15.

   Lorsque le relais R6 ferme ses contacts, il transmet une impulsion par le fil 80, un contact du commutateur COS qui sera décrit plus loin et un fil 82 vers ACS.  L'excitation   de l'enroulement suivie par la coupure lorsque R6 retombe fait avancer d'un pas les balais de ACS. 



   On a remarqué que le relais RU est utilisé pour le cas où il y a plus de 8 caractères de certaines largeurs ;ainsi dans une fonte déter- minée, il y a 20 signes ayant 9 unités de largeur et 14 de 10 unités. Etant donné que les largeurs 0, 1, 2 et 3 ne sont pas utilisées dans une fonte normale (le signe le plus étroit étant l'espace minimum de 4 unités), ces valeurs sans emploi peuvent être utilisées pour augmenter le nombre de carac- tères de certaines largeurs. Ceci est réalisé de façon satisfaisante par le 
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 circuit représenté sur la figure 19.

   Le relais BU qui est actionné pour tous les caractères n'entre en jeu que lorsque les valeurs binaires 0, 1, 10 (deux) et 11 (trois) apparaissent sur les relais Rll et R12 .En d'autres termes, toutes les fois que   R13   et/ou R14 ne sont pas actionnés.Une connexion va de la batterie par le contact de travail de RU, les contacts de repos de R14 et R13, un va-et-vient de R12 au point de liaison des deux redresseurs rd3 et   rd4,   respectivement connectés aux fils d'entrée du compteur ayant les va- leurs de 1 et 8 (1000 en binaire).Ainsi lorsque aucun relais RI n'est ac- tionné un signal de valeur 9 est envoyé à travers les deux redresseurs dans le compteur. Lorsque le relais Rll est seul actionné, la même valeur est en- voyée dans le compteur, le redresseur rd3 étant alors shunté par le con- tact de travail de RI 1.

   Lorsque le compteur RI 2 est seul actionné, sa va- leur normale de deux est portée à dix par le va-et-vient en position action- née et relié au quatrième fil d'entrée du compteur. Finalement, il est clair que RI I et RI 2 sont tous les deux actionnés et une valeur de onze unités est envoyée dans le compteur., 
Représentation des combineurs et commutateurs - Pour certains com- mutateurs, en particulier ACS et SZ, on a représenté les contacts isolément, Pour les autres cependant on a adopté une représentation usuelle en télépho- nie. Ces différents niveaux (ou cames) sont désignés par des lettres majus- cules A, B, C, etc... Ainsi le combineur de correction COS (figure 18) a 7 niveaux désignés par les lettres A à G.

   Les contacts de ces différents sont désignés par : 
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 AeOVOGCOee0 1/4 Gaaaaam.aaamam. 3 D&oeoeeQ&006 0 Ee0CGQG.O.000 4 F a o o e o 0 0 o a a a o e 3 

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G ............2/4 
H ............ 2/3 Chaque nombre correspond à une position où le contact est fermé. Le signe signifie que le contact est fermé entre les deux positions, alors que le point signifie que le contact est ouvert entre les deux positions. Ainsi le niveau A est ouvert sur sa position de repos 0 mais fermé pour toutes les positions allant de 1 à 4. Le niveau C est fermé en position 3 seulement, D en position 0 seulement, E en position 4, F en position 3, G sur 2 et 4 mais ouvert en position 3 et H sur les positions 2 et 3. 



   Correction des erreurs - Avant de décrire le compteur d'espaces justifiables et organes associés, on expliquera la procédure employée pour corriger les erreurs. Si l'opérateur s'aperçoit qu'il a fait une erreur, il est nécessaire d'effacer le caractère erroné de l'enregistreur et de sous- traire sa largeur du-compteur de ligne, avant de le remplacer par le caractè- re correct. 



   Pour soustraire du compteur la largeur du caractère erroné sans avoir à retaper ce dernier, il est nécessaire de déceler la combinaison correspondant à ce caractère. A cette fin, après avoir ramené le chariot de la machine à écrire afin que le caractère à effacer soit dans la fenêtre de frappe, on   excite,   de la façon qui sera décrite plus loin, l'électro-aimant GOG qui attire son armature Y3 en la faisant pivoter en sens inverse à celui des aiguilles d'une montre autour du pivot   Y4.   Cette armature repousse vers le haut (figure 18) la plaque OP contre l'action du ressort Y2, ce mouve- ment étant guidé par les goujons Y6 coopérant avec des boutonnières de OP. 



  Cette plaque OP est munie de 4 petits leviers Y pouvant pivoter chacun au- tour d'un axe monté sur OP. Les extrémités de droite de ces leviers se pré- sentent sous les rangées de broches sur lesquelles on enregistre la ligne et leurs extrémités de gauche coopérant avec 4 contacts de correction   Y8.   



  Lorsque la plaque OP arrivera à sa position supérieure, il est clair d'après la figure que les leviers Y auront rencontré les broches qui n'étaient pas enfoncées, ce qui les obligera à ouvrir leur contact correspondant. Ainsi dans l'exemple représenté figure   18,   on a supposé que la plaque OP est lé- gèrement poussée vers le haut et l'on peut voir que tous les leviers Y, sauf le troisième en partant du haut, ont rencontré une broche non-enfoncée, de telle sorte que seul le troisième contact Y8 en partant du haut restera fer- mé, ce qui veut dire que la broche N  3 seulement a été enfoncée parmi les 4 premières broches, et que le caractère à effacer à 4 unités de largeur. 



  Le dispositif décrit permet donc de déceler la combinaison d'un caractère à effacer afin de le soustraire du compteur. Il est ensuite nécessaire d' effacer la combinaison du caractère mauvais de l'enregistreur,   c'est-à-dire   de remettre en position de repos toutes les broches de l'enregistreur se trouvant sur la rangée verticale où le caractère à effacer a été enregistré. 



  Ce résultat est obtenu en excitant l'électro EF de la façon qui sera décrite plus loin. Cet électro attire vers la gauche (figure 18) et contre l'action des ressorts la plaque Y5 pouvant coulisser sur des goujons Y7. Cette plaque porte des crochets tels que CF qui rencontrent les becs B C (figure 2) des broches enfoncées et ramènent ainsi en position de repos toutes les broches de la rangée verticale de l'enregistreur où se trouvait le caractère effacé. 



   La correction se fait d'une manière automatique. 



  Après avoir ramené le caractère   à   effacer en position de frappe, l'opérateur appuie sur la clé de correction COK. Ceci actionne le commutateur de correc- tion COS qui détermine la suite des opérations de correction. La soustrac- tion de la largeur du caractère est faite en inversant le compteur binaire (c'est-à-dire en changeant tous les I en 0 et les 0 en I), en ajoutant le nombre à soustraire, et en inversant une deuxième fois le compteur binaire. 



  Ceci est le procédé mathématique de soustraction par addition de compléments. 



  Par exemple, pour soustraire II de 1000 en système binaire, on peut inverser I000 ce qui donne OIII, ajouter II pour obtenir 1010 et inverser une deuxiè- me fois pour obtenir le résultat   0101.   Ceci est effectué par COS qui, lorsqu' 

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 on relâche COK, retombe et se trouve connecté par son niveau A à une source d'impulsions G comprenant une came Ca2 (figure 16) montée sur l'arbre à ca- mes de l'ensemble photographique. Le commutateur COS se déplace ainsi de 4 pas et retombe finalement sur la position 5 qui est aussi sa position de dé- part et sur laquelle il se trouve   déconnecté   de la source d'iompulsions.

   Pen- dant son déplacement, ce commutateur effectue les opérations suivantes : Tout   d'abord,   il déconnecte l'enroulement de ACS du contact de travail de R6 par son niveau D-0 (il est à remarquer que le niveau D ne donne un con- tact fermé qu'à la position   0).   A la position 2, par son niveau G, le com- mutateur COS envoie une impulsion par le fil 84 sur le relais INV (relais d' inversion). Ce relais ferme ses contacts et envoie une impulsion par chacun   des fils 120, sur tous les relais A1 à A et B à B du compteur binaire.

   En se reportant à la description du compteur, donée précédemment, on verra que   ceci, au moment où le relais   INV   retombera,inversera tous les étages binai- res, c'est-à-dire qu'il fera passer tous les étages qui sont à la position I de cette position à la position 0 et vice-versa. 



   A la position 3, le niveau C de COS connecte le commutateur SUS (commutateur de soustraction) au contact de travail du relais R6 par les fils 80 et 85. En d'autres termes, il déconnecte ACS du relais de retenues R6 et connecte SUS à sa place pour des raisons qui seront expliquées plus loin. Aux positions 2 et 3, COS fait fonctionner (par les fils 86 et son niveau H) l' électro de palpage COC qui détecte la position des 4 premières broches de l'enregistreur de la rangée initiale sur laquelle le caractère à effacer est enregistré et détermine ainsi la largeur du caractère à effacer, comme ex- pliqué ci-dessus. 



   En position 3t et par son niveau E, COS envoie une impulsion par le fil 87 sur les contacts de correction de   l'enregistreur.   Ces contacts de correction qui sont restés fermés (voir figure 18) correspondent à une broche enfoncée de l'enregistreur. Les contacts de correction Y8 sont connectés au compteur par les fils COR1....COR4 sur lesquels sont montés des aiguilleurs RY pour éviter les mélanges de circuits. Dans le cas de la figure, le troi- sième contact en partant du haut reste fermé, et l'impulsion arrivant par le fil 87 sera dirigée sur le relais R13 comme cela s'était produit au moment de la frappe du caractère effacé.

   En position 3, une impulsion est également   envoyée sur le fil universel 20 par le niveau E de COS (fil 88) ou par tout autre moyen afin de réaliser exactement les mêmes conditions qu'à la frappe   du caractère erroné 
Les aiguilleurs Y9 empêchent le fonctionnement des marteaux pen- dant la correction. 



   Si une retenue entre le compteur et le commutateur accumulateur se produit pendant la correction, il est nécessaire de la soustraire du com- mutateur ACS puisque cela veut dire que cette retenue se produirait si   l'on   ajoutait le caractère faux à ce moment au lieu de le soustraire, dans le cas où il n'aurait pas encore été enregistré. Les commutateurs pas-à-pas du commerce ne se prêtant pas en général à une marche arrière, on a prévu un com- mutateur de correction SUS. Ce commutateur reçoit toutes les retenues pro- venant du compteur et qui apparaissent pendant les corrections, et recule   d'un   pas à chaque retenue la borne "fin de ligne" du commutateur ACS.

   On peut   voir sur la figure 18 que ACS donne un signal lorsque son balai b1 arrive sur la borne f, ce qui a lieu lorsque la capacité du compteur est atteinte   ou dépassée.Mais on peut voir que si SUS s'est déplacé   d'un   pas, ACS aura un pas de plus à faireEn position   4,  COS, par son niveau F;, envoie une deuxième impulsion sur le relais   INV   qui inverse à nouveau la position de tous les étages du compteur binaire. La largeur du caractère à supprimer a été ainsi soustraite du compteur de ligne. En position   4,   par son niveau D, le commutateur COS actionne l'électro EF qui remet au repos toutes les bro- ches de la rangée sur laquelle le caractère à supprimer avait été enregistré. 



  A la fin de la quatrième impulsion, le commutateur COS retombe à la posi- tion 5 (qui est également la position de repos ou zéro) et il se déconnecte de la source d'impulsions. Le caractère erroné a été ainsi effacé à la fois 

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 sur l'enregistreur et sur le compteur et l'opérateur peut alors le remplacer par le caractère correct. 



   Compteur d'espaces justifiables - Pendant que la longueur de la ligne est enregistrée en nombres binaires dans le compteur de ligne,le comp- teur d'espaces justifiables (ou intervalles) CI enregistre le nombre d'es- paces (figure 20). Ce compteur CI est aussi un commutateur du type   pas-à-pas   et reçoit une impulsion toutes les fois que la barre d'espacement SB est ac- tionnée par l'opérateur. Il est muni de 5 niveaux A à E qui traduisent le nom- bre d'espaces en nombre binaire pour servir dans le calcul de justification et a une capacité de 25 points, suffisante en pratique. 



   Suivant la convention mentionnée ci-dessus, les différents ni- veaux de CI établissent leurs contacts comme suit : 
A . 1.3.5.7.9.11.13.15.17.19.21.23 
B   2/3 .  6/7. 10/11.   14/15 .     18/19 .    22/23   
C 4/7 .   12/15 .    20/23   
D 8/15 .23/24 
E   15/24   
Z   1/24   (retour à zéro) 
Calcul de la Justification - Le fonctionnement du justificateur sera décrit en relation avec un exemple numérique. Supposons par exemple que la ligne composée soit trop courte de 41 unités, ou en d'autres termes que le déficit de la ligne soit égal à 41, et   qu'il y   ait 13 mots et par suite 12 espaces justifiables.

   Dans ce cas, les relais binaires du compteur de lig- ne sont tous en position "1" excepté les relais   A4-B4   (8 unités) et le pas-   à-pas   accumulateur ACS à un pas de sa position "f" (32 unités). Quarante im- pulsions sont nécessaires pour amener tous les relais binaires en position "1" et pour amener ACS en position f plus une impulsion pour envoyer un sig- nal de retenue et ramener tous les relais binaires à 0" dénotant ainsi que la capacité du compteur a été dépassée, soit un total de 41 impulsions. 



   Le nombre d'espaces N a été enregistré dans le compteur CI qui a avancé de 12 pas sous le contrôle de la barre d'espacement de la machine à écrire. Il est donc sur la position 12. 



   Les niveaux A à E du compteur d'espaces peuvent être considé- rés comme un convertisseur pour transformer le nombre de pas en nombres bi-   naires.   Ainsi un contact fermé sur le niveau A représente 1; sur le niveau B, 2; sur C,   4;   sur D, 8 et sur E, 16. Ainsi dans l'exemple choisi on voit que sur la position 12, les contacts des niveaux C et D sont fermés, corres- pondant respectivement à 4 et 8, c'est-à-dire à 12 dans le système décimal. 



   La succession des opérations mises en jeu par la justification est commandée par un combineur   pas-à-pas   FLK. Ce commutateur FLK a les contacts de ses différents niveaux établis comme cuit : 
A 1 
B   4/5   
C 2 
D 2 
E 3 
F 5 
G 4 
H 5 
1 2 
J 0/3 .5 
K 2 
Lorsque l'opérateur abaisse la clé d'envoi 22, l'enroulement de FLK est excité et lorsque la clé est relâchée FLK passe en position 1, où par son niveau A son enroulement est connecté par le fil 90 à une source d' 

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 impulsions G, donnant un courant interrompu à la cadence de 10 par seconde 
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 par exemple. FLK passe immédiatement en position 2 où il s'arrête.

   Dans cet- te position, il actionne le relais aiguilleur CS qui connecte au compteur de ligne les 5 niveaux A à E de CI et par son niveau C, FLK dirige les impulsions G au point commun 94 de ces cinq niveaux binaires du compteur d'espaces CI. 



  Comme expliqué ci-dessus ceci a pour effet d'ajouter 12 au compteur de ligne à chaque impulsion. Le déficit D est par suite successivement réduit de 41 à 29, 17 et 5.A la quatrième impulsion, la capacité du compteur est dépas- sée et le relais de retenue R6 est actionné de la manière qui a été décrite précédemment.

   Une impulsion est alors transmise par les fils 80 et 100 au niveau D de ACS qui est à ce moment sur la broche F, qui représente la po- sition de   '?ligne   complète" ou   "fin   de   ligne".   A noter que si des corrections ont été faites qui ont entraîné une avance de SUS, la ligne complète sera représentée par un contact à droite de   1 .d'un   nombre de pas égal.   L'impul-   
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 sion se propage à travers un contact du niveau D de SUS, fil loe, niveau D de FLR vers l'enroulement de FLK. A la fin de l'impulsion FLK passe en po- 
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 sition 3 et en ouvrant les contacts de son niveau C arrête l'envoi deimpul- sions dans le compteur de ligne à travers CI.

   A ce moment, le compteur de ligne a f1'basculé!! et enregistre la différence entre 12 et 5, c'est-à-dire 7. Pendant que FLK était en position   2,   le commutateur de zone SZ avait son en- roulement relié au point commun 94 des niveaux A à E de CI par le fil 25 et 
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 le niveau C de FLK. Le sélecteur SZ a donc avancé de Q + 1 pas, soit dans 1' exemple choisi de 4 pas et se trouve sur position 4. 



   En position 3 de FLK, deux choses se passento.Ën premier lieu CI est renvoyé   à   sa position de repos, étant donné qu'il n'est plus utile, au moyen de son niveau de retour Z qui est fermé pour toutes les positions de CI sauf la position zéro, le contact rz de CI, le fil 104, le niveau E de FLK de la manière bien connue d'avance en sonnette. En second lieu,   l'en-   registreur de reste se met en place sous la commande du compteur de ligne. 



  On a expliqué comment le compteur de ligne a enregistré N - R, 7 dans l' exemple numérique décrite Ceci signifie que les relais binaires Al, A2 et A3 
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 sont dans leur position "Il'. Ces relais, par leurs contacts de travail éta- blissent un circuit de fonctionnement en sonnette pour PR.

   Ce commutateur PR est un pas-à-pas dont les divers niveaux établissent les contacts suivants 
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 A fel.j.eVaoloool4.aJ.0al0 20. 22. 24 B   2/3 .   6/7   10/11 .    14/15 .    18/19 .    22/23   
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 C 2/5 o 10/13 18/21 
D 1. 10/17 
E 1/9   F 24    
Z 1/24 (Retour à zéro) Le circuit de fonctionnement en sonnette de P va de la batterie à travers 
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 le niveau E de FLK (en position 3 ) , le fil 106, un contact normalement fermé d'un relais NJ (qui sera décrit plus loin), le fil 108 au point commun des niveaux- A à E de PR, les fils 24 aux relais flip-flop du compteur de ligne. 



  On peut voir que ce circuit est fermé jusqu'au moment où PR atteint la posi- 
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 tion 18 (dans l'exemple numérique choisi) où il s'arrête, c9est-à-dire qu' il s'arrête à 7 pas de sa position neutre   25.   Pendant ces deux opérations, l'enroulement de FLK a été maintenu excité à travers les redresseurs 110 et   112.  Lorsque CI et PR ont tous les deux atteint leurs positions respecti- ves comme décrit ci-dessus, la batterie est déconnectée de FLIC, qui tombe alors en position 4.

   où par son niveau B son enroulement est de nouveau re- lié à la source d'impulsions G, de telle sorte qu'il passe immédiatement en position 6,qui est aussi sa position de reposo En position 4 de FLK, les relais binaires dont le fil de batterie passe à travers le niveau J de FLK retombés et en position 4, FLK fait fonctionner le relais JR par son ni- veau G et le fil 114, dont le rôle sera exposé plus loin. 

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   En position 5 de FLK une impulsion est envoyée par le niveau H de FLK et le fil 116 à 1-'électro-aimant EM qui commande l'échappement du chariot de la machine à écrire de façon à placer celui-ci en face de la pre- mière rangée de broches de l'enregistreur, c'est-à-dire en position pour com- mander-la frappe de la ligne suivante. En effet, avec l'enregistreur à deux rangées de broches représenté sur la figure 2, il est nécessaire de ramener le chariot de la machine à écrire à un point où il est dégagé des broches de l'enregistreur pour permettre de passer d'une rangée de broches à la   suivan-   te en déplaçant verticalement le champ de broches. 



   La justification est alors préparée et la machine prête pour la composition photographique de la ligne pendant qu'une nouvelle'ligne sera en- registréeo 
Lignes non justifiées - Si l'opérateur désire ne pas justifier une lig- ne, il abaisse la clé NJK avant d'actionner la clé d'envoi 22. Ceci fait fonctionner le relais NJ et le bloque sur le niveau B de FLR. Le relais   NJ   reste donc actionné pour la durée du calcul de justification et pendant la photographie de la ligne et un peu plus dans les mêmes conditions que le re- lais   SE.   En position 2 de FLK, le relais NJ envoie une impulsion à l'enrou- lement de FLK de telle sorte que celui-ci ne   s arrête   pas sur cette position et n'envoie qu'une impulsion à travers CI.

   En position 3 de FLK, le relais NJ ouvre les fils 106 et 108 et empêche ainsi PR de fonctionner. CI seulement, fonctionne dans cette position 3 de FLK (par le fil 104) et retourne au zéro. 



  FLK passe sur les positions 4 et 5 comme précédemment décrit. SZ a reçu une seule impulsion et se trouve par suite en position "1" et sélecte le piston   4   de l'échappement variable. Toutes les espaces justifiables reçoivent la même largeur de 4 unités. 



   Effacement d'une ligne - Si l'opérateur désire effacer une ligne, il actionne la clé KLK qui bloque les relais NJ et KL avant d'actionner la clé d'envoi 22. Le calcul de justification n'a pas lieu comme expliqué plus haut et le relais de chariot CR est empêché de fonctionner par un contact de travail de KL actionné qui coupe la batterie du fil   134.   Le va-et-vient du relais KL fournit une batterie à la partie du fil 120 qui va au contact w du circuit traducteur pour permettre au signal de "fin de ligne" d'agiro Un contact de repos de CR au repos met hors service le circuit de prise de vue par le fil 136 qui court-circuite le décodeur. Lorsque le lecteur de l'enregistreur rencontre le signal   t'fin   de ligne", une batterie est appliquée par le traducteur de signaux à l'enroulement de FLR par un contact de tra- vail de KL.

   Le dispositif d'avance du film est mis hors service par un con- tact de repos de KL sur le fil 138. FLR fait un tour complet et maintient le relais SE de l'explorateur de l'enregistreur actionné assez longtemps pour effacer complètement la ligne. 



   Par le moyen d'un va-et-vient sur le relais NJ, on peut sélecter   un   niveau différent de FLR pour l'avance du film après une ligne non justi- fiée, c'est-à-dire changer automatiquement l'espacement entre lignes à la fin d'un paragraphe. 



   Réglage de la justification - Le relais de justification JR (fi- gure 19) a été mentionné au cours de la description. Ce relais possède 5 jeux de contacts 118 en série avec 5 clés à fonctionnement manuel JK1. Les con- tacts   118   sont connectés aux entrées des circuits flip-flop du compteur de ligne par les fils 120. Si aucune des clés JK1 n'est fermée, le compteur res- tera vide lorsque le relais JR est actionné. Si une quelconque des clés est fermée, on enregistrera avant la frappe de la ligne une valeur initiale lors- que FLK envoie une impulsion en position 4. Ceci réduit d'autant la capacité disponible du compteur.

   Si par exemple la capacité totale du système de comp- tage de ligne (12 et ACS) est, par exemple, 512 et si l'on désire une ligne de 504 unités de longueur seulement, on enverra 8 dans le compteur binaire au commencement de chaque ligne, en maintenant la clé correspondante JK1 fer- méeo Si la longueur de la ligne doit être réduite de plus de 31 unités en dessous de la capacité du compteur, on modifiera la position initiale en dé- plaçant une barre d'une clé JK2 (figure 18) qui ferme tous les contacts, sauf 

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 un, du niveau de retour à zéro du   paa-à-pas   ACS. 



   Composition photographique - Lorsque la ligne est prête à être photographiée, un contact bs (figure 17) est ouvert temporairement et le relais RS (figure 17) qui était au repos, car les deux extrémités de ses enroulements étaient reliées à la batterie, fonctionne et se bloque sur la résistance rb. Le relais RS prépare le circuit de fonctionnement du relais CR qui fonctionne lorsque la came de démarrage Ca7 ferme son contact à un instant approprié du cycle. Le relais SE qui commande le fonctionnement du chariot explorateur EXP de l'enregistreur, fonctionne également par le même circuit que CR mais se bloque sur le niveau B d'un commutateur FLR (figure 20) dont les contacts sont montrés sur le dessin. Ce commutateur, également du type   pas-à-pas,  commande diverses opérations auxiliaires telles que l' avance du film.

   Le relais   CR   complète le circuit de fonctionnement de l'échap- pement variable du chariot porte-film qui comprend un électro-moteur E et dix-huit solénoïdes qui déterminent le nombre de dents échappées et par sui- te   l'a.vance   du film, Simultanément CR applique une batterie au fil   119   par un contact, normalement fermé, d'un, relais KL décrit à propos de l'efface- ment   demie   ligneoLe fil va du contact w du circuit traducteur de largeur comprenant le relais Tl à T7 (figure 9). Le contact   w est   le premier d'un jeu de va-et-vient constituant le circuit en éventail 121 des relais T. Par les fils 30 et 32, ces relais sont actionnés par les contacts du lecteur ou palpeur de l'enregistreur Cl à C7 représentés de façon schématique sur la figure 18.

   Lorsque le relais SE fonctionne, il ferme le circuit de l'élec- tro EXP qui commande l'échappement du chariot explorateur par les fils   122   et la came Ca8. Le relais SE ferme le circuit de l'électro PLP par les fils 124 et la came Ca9. L'électro PLP pousse vers le haut la plaque 104 E et les contacts de lecture qui correspondent aux broches enfoncées pendant la frappe de la ligne sont fermés un instant. Les relais correspondants T fonc- tionnent et se bloquent à travers un circuit de blocage comprenant la came Gala, un fil 126 et les contacts du relais CR.

   Ces relais T ont plusieurs objets, en premier lieu, ils sélectent le caractère à photographier par leurs contacts de repos 128 qui commandent le fonctionnement du décodeur 130 et du circuit à éclairs   40   par les fils 38, en second lieu, par leurs contacts va-et-vient   121,   ils choisissent un piston de l'échappement va- riable par les fils   34   et commandent ainsi le déplacement du chariot porte- film suivant   la'largeur   attribuée à chaque caractèreoLorsque, par exemple, les broches 1, 3 et 4 de l'enregistreur sont dans leurs positions enfon-   cées, les relais T , T et T sont actionnés et le fil sélecté est celui du piston d'arrêt l' étant donné que la valeur binaire de la combinaison de   broches   1-3-4   est   1 + 4 + 8,

       c'est-à-dire   13. En troisième lieu enfin, les relais T traduisent certains signaux tels que "espace justifiable", "fin de ligne", "justification entre caractères" et "changement de fonte" par les fils ji, f1, jc et cf. 



   Lorsque les contacts de lecture trouvent dans l'enregistreur la   combinaison "3", le relais T seul est actionné et le potentiel dirigé par le fil 43 au balai de SZ qui se trouve, dans l'exemple numérique choisi, sur   la position 4. Les broches de SZ sont reliées aux pistons d'arrêt de l'échap- pement variable comme suit : broche 0 et 1 au piston   4,   broche 2 à piston 5, broche 3 à piston 6, broche 4 à piston 7 et ainsi de suite.Dans le présent exemple,SZ étant sur sa position 4 sélecte le piston 7 et l'échappement va- riable échappe 7 dents et fait avancer le chariot porte-film de 7 unités pour chaque   espaceo     Simultanément   PR avance aussi d'un pas pour chaque espace étant aussi connecté au fil 43.

   Un fil 130 relié à 43 passe par le niveau F de PR et un contact de repos de NJ vers le fil 25. Lorsque PR atteint sa po- sition 24, il envoie par son niveau F une impulsion sur le fil 130 vers SZ qui avance d'un, pas. Etant donné que PR se trouvait à 7 pas (de façon généra- le à   N -   R pas) de sa position 24, les premières espaces auront une valeur de 7 unités. Les R ou 5 espaces suivantes auront une valeur de 8 unités. Ce- ci fait un total de 7 espaces à 7 unités, soit   49   plus 5 espaces à 8 unités, soit 40 unités et un total de 89. Etant donné que le compteur a enregistré 4 unités pour chaque espace, la. longueur'de la ligne a été augmentée de 89 - 

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   48   seulement soit   41   unités.

   Etant   donné     que.   ceci était la valeur du défi- cit dans l'exemple choisi, la ligne est justifiée. 



   A la fin de la ligne, les contacts de lecture trouvent sur l'en- registreur la combinaison 3 -.5 que l'opérateur a enregistrée en actionnant la clé 22. Les relais T3 et T5 sont actionnés et dirigent la batterie au point Commun de la résistance rb et du relais RS. Les relais RS et CR ont alors les deux extrémités de leurs enroulements à la batterie et retombent. 



  Le relais SE au contraire reste actionné pendant un certain temps par le niveau B de FLR,car il faut déplacer encore le chariot explorateur de quel- ques pas pour remettre en place les dernières broches de l'enregistreur. 



  Lorsque CR relâche, il applique une batterie par un de ses contacts de repos au débrayage DEB qui relie normalement l'échappement variable EV au chariot porte-film. Le chariot est ainsi libéré de l'échappement variable et retourne à sa position de repos sous l'action de ses ressorts de rappel. Lorsqu'il at- teint sa position de départ, le chariot actionne les contact RT. Ceci décon- necte la batterie   dit   débrayage et le chariot porte-film est réengagé à l'é- chappement variableD'autre part, la batterie qui était appliquée à l'enrou- lement du pas-a-pas FLR est coupée par le fonctionnement des contacts RT si bien que FLR avance d'un pas, son enroulement se trouve relié par son niveau A à là source d'impulsions G et il commence à tourner.

   En se fermant, le con- tact de travail de RT a relié le moteur de l'échappement variable EV à la batterie à travers la came Ca6 et a excité le piston 1 de l'échappement va- riable. Le chariot porte-film qui, sous l'effet de son inertie, a dépassé sa position exacte de départ, se met en marche pas par pas jusqu'à ce que le circuit se trouve coupé par la came MP qui a une position isolée correspon- dant à la position exacte de départ. Le pas-à-pas FLR qui maintient le re- lais SE actionné, envoie aussi des impulsions au dispositif d'avance du film FF qui actionne le débiteur entraînant le film. Le nombre d'impulsions envoy- ées peut être changé au moyen d'un commutateur à plusieurs positions FFK dont chaque position sélecte un niveau de FLR, chacun de ces niveaux envoyant un nombre différent d'impulsions. 



   Circuit   à   éclair - Le circuit à éclair (figure 16) fonctionne comme suit : 
L'unité photographique comprend un disque D sur la périphérie duquel se trouvent les caractères CY, par exemple transparents .sur fond opaque, un objectif 0 projetant une image de ces caractères sur le film sensible F et un tube à éclair L. Le disque tourne continuellement et les caractères sont photographiés en envoyant une impulsion électrique dans le tube à décharge qui s'illumine pour une durée excessivement brève, de quel- ques   millionièmes   de seconde. En dépit de la grande vitesse linéaire des ca- ractères on obtient des images parfaitement nettes.

   Pour assurer une mis en place des caractères sur le film, l'instant auquel se produit l'éclair doit être déterminé avec une extrême précision, également de l'ordre du million- ième de seconde. Ceci est obtenu au moyen d'une impulsion photoélectrique en- gendrée par une fente F associée à chaque caractère. Etant donné qu'il est possible de disposer une fente correspondant à un caractère donné avec une précision absolue, par exemple en les photographiant simultanément., la pré- cision ne dépend pas de la position des caractères sur le dique mais seule- ment de la position relative du caractère et de la fente qui lui est associée. 



  L'impulsion photoélectrique est obtenue au moyen d'un lecteur de film P, du type couramment utilisé dans le cinéma parlant, qui projette une fente lumi - neuse très fine sur le trajet des fentes F et sur la cellule photoélectrique PH. Les impulsions photoélectriques qui se produisent à raison de une pour chaque caractère sont inopérantes tant que le décodeur (figure   10)   ne leur a pas ouvert   -un .passage   pour actionner la lampe à éclair L. 



   Le décodeur 142 engendre au moment où le caractère passe en posi- tion de prise de vue une impulsion relativement large qui agit sur une lam- pe fenêtre et laisse passer l'impulsion photoélectrique correspondante. Les impulsions provenant de la cellule photoélectrique PH sont amplifiées par une lampe pentode   144   et apparaissent avec une polarité positive dans le cir- 

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 cuit d'anode.

   Elles sont alors appliquées à la grille de commande de la lam- pe fenêtre 145, également une pentode avec un potentiel de polarisation con-   venable   fourni par une batterie   146.   Cette lampe 145 est normalement blo- quée car sa grille écran est reliée à la masse par une résistance 147.

     D'au-   tre part, le circuit du décodeur comprend une inductance 148 et une batterie 1490 Aussi longtemps que le circuit du décodeur est fermé, il circule dans cette inductance un courant de quelques milliampères limité par la résistan- ce   150.   Lorsque les broches du décodeur trouvent dans le décodeur la même combinaison que celle de   10 enregistreur,   le circuit est ouvert comme exposé en relation   avec   la figure Il et un courant induit de rupture apparaît aux bornes de la self. L'amplitude et la forme de cette impulsion dépendent du circuit   résonant   constitué par l'inductance 148 et le condensateur 151.

   Cet- te tension induite, de polarité positive, est appliquée à la grille écran de la lampe fenêtre 145 et la rend conductrice et amplificatrice pendant la du- rée du passage du caractère devant   1-'objectif.   A l'instant précis où le ca- ractère est en position de prise de vue, l'impulsion photoélectrique se pro- duit, passe à travers la lampe 145 et est transmise à la lampe 152 qui in- verse sa polarité et limite son amplitude. L'impulsion résultante de polari- té positive est envoyée à la lampe 153, de préférence du type commercial Sylvania CAS, et un condensateur 154 se décharge, à travers cette lampe 153 ainsi amorcée dans la bobine d'induction 155 du type utilisé dans le circuit d'allumage des automobiles.

   Cette décharge engendre une impulsion de plu- sieurs milliers de volts qui amorce la lampe à décharge L et le condensateur 143 se décharge provoquant un éclair lumineux. 



   Pour empêcher la lampe à décharge de fonctionner plus d'une fois par tour, les condensateurs 143 et 154 sont déconnectés de la source de po- tentiel au début du cycle actif du décodeur par une came Ca3.Ces condensa- teurs se chargent à travers des résistances appropriées dans la partie du cy- cle suivant attribuée au déplacement du chariot porte-film. 



   Contrôle des temps - La photographie   d'un   caractère comprend deux phases ou cycles, un cycle photographique pendant lequel le caractère est photographié et un cycle d'avance pendant lequel le chariot porte-film se déplace, Les cames commandant ces opérations sont représentées sur la figue-- re 16 et sont entraînées par le même arbre que le disque porte-matrices. 



  Chacun ouvre et ferme un contact dans   1-1 ordre   et pendant les temps relatifs représentés sur le diagramme de la figure   22.   Le disque porte les caractè- res matrices sur la moitié de sa périphérie. Les deux cycles successifs se produisent pendant un seul tour du disque.Il y a 10 cames, la came Cal com- mande le retour du chariot porte-film à sa position précise de départ, la ca- me Ca2 est un générateur   d'impulsions   (source G) utilisé dans la justifica- tion, la came Ca3 court-circuite le décodeur pendant le cycle des avances et empêche la production d'éclairs de prise de vues, la came Ca4 charge le con- densateur 143 de la lampe à décharge et évite qu'il se produise plus d'un éclair par tour, la came Ca5 commande le fonctionnement des pistons de sé- lection d'avance de l'échappement variable,

   la came Ca6 commande le fonc- tionnement de l'électro-moteur de l'échappement variable EV, la came   Ca7   est la came de démarrage qui lance l'impression en fermant le circuit de fonc- tionnement des relais CR et SE à l'instant convenable, la came Ca9 comman- de les contacts PLP de l'explorateur (palpeurs) et la came calo ferme le circuit de blocage 126 des relais Tl à   T7   de   façon   à libérer les contacts de   l'enregistreur   aussitôt que les relais T sont bloqués pour le reste du cy- cle. 



   Changement de fonte - Plusieurs fontes de matrices peuvent être placées sur un disque, par exemple une sur la première moitié de la périphé- rie du disque et une autre sur l'autre moitié. Comme exposé ci-dessus, la photographie se produit pendant la première demi-révolution et l'avance du chariot pendant l'autre moitié. Le passage d'une fonte   à   l'autre nécessite dans le fonctionnement de certaines cames un décalage d'un demi-tôura Ceci peut être fait, par exemple par le relais ACFe Chaque came de Ca3 à Ca10 a deux jeux de contacts décalés de 1/2 tour et reliés   à   la lame centrale des   va-et-vient   du relais ACF. Lorsque ce relais fonctionne, il transfère le cir- 

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 cuit d'un contact de la came à l'autre.

   Il en résulte que le cycle de prise de vue prend la place du cycle des avances et vice-versa. 



   Le relais ACF est commandé de l'enregistreur. Lorsque les contacts palpeurs trouvent la combinaison 3-6 (correspondant au signal de changement de fonte) dans l'enregistreur, un potentiel est appliqué par les relais T3- T6 actionnés aux relais ACF et BCF (figures 16 et   17).   Les relais ACF et BCF et les résistances rc et rd constituent un circuit flip-flop. En même temps, le potentiel de commande est appliqué au piston "zéro" pour éviter le fonc- tionnement de l'échappement variable pendant le changement de fonte. Lorsque l'impulsion de changement de fonte est terminée, le circuit flip-flop passe sur sa deuxième position et y reste jusqu'à ce que l'explorateur retrouve la combinaison 3-6 dans l'enregistreur, sur quoi la machine repasse à la pre- mière fonte. 



   Compteur mécanique - Les figures 23, 24 et 25 représentent un e- xemple de réalisation d'un compteur binaire mécanique pouvant remplacer les compteurs électro-mécaniques précédemment décrits. Ce compteur comprend es- sentiellement des trains épicycloidaux à double entrée reliés entre eux par des organes de transfert transmettant un déplacement élémentaire pour deux déplacements élémentaires reçus. Le compteur représenté à titre d'exemple comprend cinq trains dont quatre à double entrée. Les indices des organes du train comptant "1" sont suivis de A; les organes du train comptant "2" sont suivis de B; les organes du train comptant "4" sont suivis de C, etc... 



  Chaque train est composé des planétaires IM et 2M et les satellites 3M. Les entrées se font par les bras porte-satellites 10M et la transmission des re- tenues par les planétaires 8B. Le planétaire 2M est solidaire d'un manchon 7M sur lequel est montée la roue de transfert 6B qui reçoit les retenues de l'étage inférieur, celui des unités dans le cas de la figure. Le planétai- re 1M est solidaire de la roue dentée 8M et transmet les retenues à l'éta- ge supérieur . Les entrées se font par les roues à rochet 5A.... 5E calées sur les axes   4A....4E   qui sont solidaires des axes 10M sur lesquels sont montés tous les satellites tels que 3M.

   Le fonctionnement est le suivant : trois cas sont à considérer. 1  Retenue simple : une retenue provenant de l'étage inférieur est transmise par les organes de transfert 9A, T et 6B et provoque une rotation   élémentaire #   du planétaire 2M; le pignon de trans- fert 9B avance d'un pas   #.   Entrée simple : elle s'effectue en faisant tour- ner la roue à rochet 5B de l'angle "U" =   #   et le pignon de transfert 9B dans ce cas tourne également d'un angle 2 dans le même sens que dans le cas précédent. Entrée et Retenue simultanées, dans ce cas le pignon de trans- fert 9B tourne de deux pas, soit de l'angle   2 ci)   dans le même sens que dans l'exemple précédent.

   Chaque train   épicycloidal   provoquant une inversion du sens de rotation , le sens dans lequel on fait tourner les roues à rochet 5A, 5B.... est alterné d'un train au suivant. Les couples d'engrenages   8A-9A   et les pignons de transfert T-6B sont choisis de telle façon que les déplace- ments angulaires élémentaires successifs des planétaires IM soient transmis une fois sur deux seulement en valeur absolue et en signe au planétaire des retenues de l'étage supérieur, un système à croix de Malte ou dérivé étant de préférence utilisé pour éviter la transmission d'un étage   à   l'autre des jeux et bloquer chaque train en position de repos.

   Dans l'exemple de la   figu-   re, les roues à rochet 5A....5E comportent 20 dents et sont actionnées par un cliquet et un électro-aimant représentés schématiquement sur la figure 25. 



  Un déplacement angulaire "U" ou 2 W correspond donc à   1/20ème   de tour ou 18 degrés. On a vu que le déplacement élémentaire des planétaires est de plus ou moins 2U, c'est-à-dire de 36 degrés, alternativement dans un sens et dans l'autre, de manière à ce que les déplacements élémentaires provenant d'une retenue ou d'une entrée s'additionnent. Chaque élément de transfert se com- pose de deux pignons dentés 8A et 9A et d'un couple de transfert   T-6B.   Le rapport des engrenages 8-9 est tel que chaque rotation   élémentaire #   du pla- nétaire 8A correspond à une rotation de 90 degrés du pignon T.

   Ce pignon ne comporte que deux dents 27M et 28M dans un même niveau T6 et sa forme est telle que, conjuguée avec le profil de la roue 6A, cette dernière se trouve verrouillée par le profil en creux 20M jusqu'au moment où une dent 27M trou- 

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 ve un creux 19M et entraîne cette roue 6A jusqu'à ce que la dent se dégage du creux, le verrouillage de la roue étant assuré immédiatement. La roue SA comporte 10 creux tels que 19M et le pignon T ayant deux dents diamétra- lement opposées et tournant de 1/4 de tour à chaque pas, la roue 6A sera entraînée une fois sur deux et tournera de 1/10ème de tour, soit de 36 de- grés, pour chaque demi-tour du pignon T.

   Chaque pignon T peut donc occuper   l'une   ou l'autre de deux positions, la position I si, au prochain déplace- ment de 90 degrés, il doit entraîner la roue 6A, et la position 0 si, au prochain déplacement élémentaire, il ne doit pas   l'entraîner..   Ce pignon étant relié par engrenages au planétaire 2M,il s'ensuit que ce planétaire occupera également une position 0 ou une position I, la position 0 correspon- dant à la position "non retenue'! et la position I à la position   "retenue".   



  Ces positions sont également représentées par les doigts 11M de roues 8B ca- lées sur les planétaires 1M qui ferment les contacts 30A, 30B.... lorsque l'élément est en position de retenue et l'ouvrent lorsqu'il est sur la posi- tion 0. 



   Les soustractions peuvent se faire avec ce compteur suivant le même principe qui a été décrit antérieurement, en inversant la position de tous les pignons de transfert   T,   en ajoutant le nombre à retrancher et en inversant une deuxième fois la position de tous les éléments T.Ces inver- sions reviennent à mettre en position 0 tous les éléments T qui se trouvent en position I et en position I tous ceux qui sont en position 0.

   Dans   l'exem-   ple décrit, cette inversion est obtenue en actionnant l'électro-aimant "d' inversion!! qui, par l'intermédiaire de la tige 1614 qu'il tire vers la droi- te et des leviers 17M articulés en 18M sur le bâti, provoque le déplacement vers le haut des axes   12A-12C   et vers le bas des axes 12B et 12D, qui sont les axes portant les pignons de transfert T, libres en rotation mais main- tenus en translation. Ces pignons en plus du niveau normal Tb ont un niveau inférieur Tc comportant deux dents 23M et 29M diamétralement opposées, comme 27M et 28M du niveau   Tb,mais   décalées de 90 degrés par rapport à celle de Tb.

   Le fonctionnement de cet électro aura donc finalement pour effet   d'ame-   ner les niveaux Tc des pignons en position d'engagement avec les roues 6A et, du fait du décalage des dents de ces pignons, les étages qui étaient en position 0 se comporteront comme s'ils étaient en position I et inver- sement tant que l'électro d'inversion restera actionné. Le retour en posi- tion normale est assuré par les ressorts 13M. 



   Pour la mise en place au départ du compteur, afin de changer la justification, il est nécessaire de changer la position de certains étages du compteur sans réagir sur les étages suivants. La figure 25 représente comment ce résultat peut être obtenu. Le compteur représenté comporte cinq étages comportant des roues à rochet 5A...5E par lesquelles se font les en- trées et qui sont actionnées, les électrodes 24A..24E pour les entrées al- lant de   1   à 16 unités. Les doigts 11-1....   11-16   contrôlent les positions des   "va-et-vient"   30-1, 30-2, .... 30-16. Une série d'interrupteurs 25A.... 



  25E permet de choisir les étages qui seront actionnés. La mise en place est obtenue en actionnant l'électro de "mise en   place!!,   ce qui provoque le dé- placement vers la gauche de la tige   161,1,   la descente des axes 12A-12C et la montée des axes 12B-12E. De cette façon, les pignons de transfert T se dé- placent par rapport aux roues 6A tout en maintenant celles-ci verrouillées et les niveaux Ta dépourvus de dents remplacent les niveaux   Tb   pour se met- tre en contact avec les roues 6A et les retenues ne seront plus transmises. 



  Les pignons dentés   9A-9E   ont une largeur suffisante pour rester constamment en prise avec les roues 8A...8E. Les interrupteurs   25A...25E   peuvent occuper   l'une   ou l'autre de deux positions, la position haute correspondant sur la figure à la position 0.   On   a supposé sur la figure que tous ces interrup- teurs sont sur la position 0,   c'est-à-dire   que   1-'on   désire mettre le compteur à 0. Sur la figure 25, le compteur marque 25, les étages 1, 8 et 16 étant en position I   comme     l'indique   la position des contacts 30A, 30D et 30E.

   La mise en place du compteur s'effectue en actionnant l'électro de mise en pla- ce, en abaissant   la.   clé K qui applique une batterie aux électros 24A,   24D   et 24E, en relevant la clé K, ce qui provoque l'avance d'un pas de ces élec- 

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 tros qui remettent leurs étages à 0, et enfin en relâchant l'électro de mise en place. 



   Le compteur mécanique qui vient d'être décrit étant muni des mê- mes contacts que le compteur électrique précédemment décrit peut remplacer celui-ci sans modification au circuit et la description du fonctionnement du circuit d'ensemble ne sera pas reprise. 



   Il est clair que ce compteur peut également être utilisé pour d'autres buts dans des applications différentes. 



   Décodeur lumineux - Les figures 26, 27, 28 et 29 représentent une variante du dispositif photographique. Selon 'cette variante, la fente as- surant la photographie du caractère à l'instant précis auquel il passe en po- sition de prise de vue par le moyen d'une cellule photoélectrique, est combi- née avec le décodeur. A cet effet, il est prévu pour chaque caractère non pas une seule fente coopérant avec un décodeur, mais un système de plusieurs raies opaques arrangées selon un code. Un dispositif optique projette au lieu d'une seule fente lumineuse, une combinaison de fentes lumineuses inverse de celle . des raies opaques correspondant au code du caractère à photographier. Lorsque les combinaisons sont identiques,il ne passe plus aucune lumière et la cel- lule photoélectrique donne une impulsion   déclenchant   le tube à décharge.

   La figure 26 représente la disposition des fentes et des caractères correspon- dants sur une portion du disque (ou tambour). Le fond est transparent et à chaque caractère est associée une série de raies opaques M. Les caractères sont de préférence transparents sur un fond noir (voir figure 29). Les raies opaques M sont disposées en sept rangées Tl à T7 d'une façon similaire à celle représentée sur la figure 10 pour les parties isolantes et conductri- ces du décodeur, Coopérant avec ces raies opaques, se trouve une fente lumi- neuse SL qui, au cours de la rotation du disque (vers la droite dans le cas de la figure ), balaie les raies opaques. Cette fente lumineuse peut être ob- turée partiellement par sept obturateurs S1...S7. L'arrangement mécanique correspondant est représenté sur la figure 27.

   L est une lampe à filament filiforme, Cl un condensateur cylindrique faisant une image du filament sur une fenêtre ou fente FY de forme allongée. Cette fente normalement éclairée peut être obturée en partie par des volets Sl, S2, S3, S4, S5, S6,   S7   com- mandés par des solénoïdes ou électro-aimants MS1...MS7 contre l'action du ressort de rappel Sp. Un objectif C2 fait une   image   de la fente FY sur le disque D au niveau des raies opaques   M.   PC est une cellule photoélectrique et FL le tube à décharge lumineuse. Supposons par exemple que les volets S2,   S4   et   S7   soient tirés par les électros correspondants.

   On peut voir (figure 26) que, lorsque le disque tourne, la première position pour laquelle il y a obturation complète de lumière, est le caractère "x" qui possède la combi- naison opposée, et empêche la lumière de passer aux niveaux Tl, T3, T5, T6. 



  Le système optique projetant de la lumière sur ces mêmes niveaux, il y a ob- turation complète, D'autres obturations pourront se produire pour des ca- ractères suivant le "x", mais comme exposé précédemment, elles resteront sans effet, car le circuit de la lampe à éclairs ne peut donner qu'une déchar- ge par passage de l'alphabet. La figure 28 représente la disposition d'ensem- ble des organes. En plus des organes déjà mentionnés et qui sont désignés par les mêmes indices, on voit sur cette figure l'objectif de prise de vue C3 fai- sant une image du caractère sur le film sensible SF porté par le chariot FC dont l'avance est commandée par le mécanisme à avance variable EV sous le con- trôle du traducteur de largeur TL et d'une came Cal. L'enregistreur   ENR   com- mande les obturateurs   MSl-MS7   à travers la came Ca2.

   La machine à écrire té- moin et ses barres de sélection sont représentées en CL et CM et le circuit d'alimentation du tube à décharge en PH. En outre, comme représenté figure 29, le disque porte deux alphabets de fontes différentes F1 et F2 occupant chacun une moitié de la périphérie du disque. Le passage de l'un à l'autre se fait au moyen de l'électro-aimant FSE qui obture l'un ou l'autre de deux demi-cercles transparents FIT ou EST coopérant avec la fente lumineuse SL. 



  Il est clair que lorsque le demi-cercle   EST   est obturé, la cellule photo- électrique recevra de la lumière pour toute la durée du passage des caractè- 

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 res F2 correspondant au demi-cercle FIT et, par conséquent, il ne pourra se produire   aucun   éclair de prise de vue pour aucun des caractères correspon- dants. Au contraire, les caractères Fl correspondant au demi-cercle F2T pour- ront être projetés. La commande du passage d'une fonte à l'autre se fait sous la commande d'un signal spécial de l'enregistreur qui agit sur l'électro de changement de fonte FS. 



   Les raies opaques peuvent être portées sur un disque ou tambour indépendant du porte-matrice, mais rigidement relié à lui. 



   Première variante de justification - Les figures 30 et 31 repré- sentent une première variante du dispositif de justification. 



   Dans cette réalisation le compteur commande le fonctionnement de relais   RC1-RC5   par les fils CO reliés aux divers étages. Lorsque l'opérateur abaisse la clé   FLC   (figure 30) le commutateur pas-à-pas passe en position.1. 



  Dans cette position les relais RC1-RC5 qui reçoivent une batterie par les étages du compteur qui sont dans la position "0" se bloquent sur FLK et li- bèrent le compteur. La position des relais représente en numération binaire le déficit de la ligne (supposé pour simplifier la figure ne pas dépasser 31, mais que l'on peut porter à toute valeur désirée en augmentant le nombre d'é- tages), et ils servent à commander la mise en place d'un pas-à-pas DS à 32 positions dont chaque niveau comprend deux couronnes de broches comme il est bien connu.

   Le premier relais RC1 sélecte un des balais de la couronne de mi- se en place, les autres relais sélectent une des 16 broches dans chaque de-   mi-couronneo   Suivant la position des relais   RC1-RC5   une des broches du pas- à-pas DS reçoit une terre dont la position correspond précisément à la valeur du déficit. Le pas-à-pas DS se met en marche en sonnette par la batterie don- née par FLK à son enroulement, à travers la résistance rs, son contact de re- pos, et le relais à relâchement lent RA. Lorsque le balai Bal ou Ba2 rencon- tre la broche reliée à la terre par les relais, le pas-à-pas s'arrête car son enroulement se trouve alors relié à la terre des deux côtés. On supposera à -titre d'exemple que le déficit de la ligne est de 19 unités. Le balai Ba2 s' arrêtera donc sur la broche 19.

   Pendant la marche du pas-à-pas DS, FLK a été maintenu actionné par le contact de travail du relais à relâchement lent RS à travers lequel passe le courant de fonctionnement de DS, Lorsque DS   s'arrê-   te, FLIC retombe et passe en position 2. Simultanément FLK en position 1 a appliqué une batterie aux balais   Bbl,   Bb2 Bb3 et Bb4 du pas-à-pas compteur d' intervalles   CI.   Celui-ci se trouve sur la position correspondant au nombre d'intervalles que l'on supposera être de 8. On peut voir que cette batterie est transmise aux broches 7, 15 et 23 de la rangée correspondant au balai Ba3 de DS. Aucune autre broche ne reçoit de potentiel.

   On peut vérifier que sui- vant la position de CI une batterie est appliquée aux broches N-l, 2N-1, 
3N-1, etc.. des niveaux correspondant aux balais Ba3,   Ba4   ou Ba5, N étant le nombre   d'intervalles.   Lorsque sous le contrôle des relais RC1-RC5 les balais de DS se sont déplacés de la position zéro à la position 19, le balai Ba3 a passé sur les broches 7 et 15 qui étaient reliées à la batterie, et l'a trans- mise.au pas à-pas SZ qui a ainsi avancé de deux pas, et se trouve ainsi   séec-   ter le piston de l'avance variable 6,soit deux unités de plus que l'espace normal de 4 -unités. Exposition 2 de FLK, les relais RC1-RC5 retombent. Dès le fonctionnement de ces relais le compteur a été libéré pour la frappe de la ligne suivante.

   La justification se fait d'une manière analogue à celle exposée précédemment. Une batterie est pour chaque intervalle appliquée au fil jus par les relais traducteurs T1-T7 (voir figure 4 à 9) et un piston de l'échappement variable sélecté par le commutateur SZ (fils pist) en même temps le   pas-à-pas   DS avance d'un pas à chaque fois. A la fin de la 4ème im- pulsion d'intervalle, DS passe sur la position 23 dans laquelle son balai trou- ve une batterie appliquée par CI, SZ est attiré. SZ reste ainsi attiré jus- qu'à ce que DS soit retombé en position 24, à la fin de la 6ème impulsion. 



   A ce moment SZ passe en position 3 où il sélecte le piston 7, soit l'inter- valle normal plus trois unités. Les cinq premières impulsions se trouvent ê- tre ainsi de 2 unités et les trois dernières de 3, donnant un total de 19. 



   Le signal de fin de ligne arrivant par le fil fl fait passer FLK 

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 en position 3. Dans cette position, FLK relié à la source d'impulsions G et complète sa rotation, Pendant ce retour au zéro il remplit les fonctions dé- vo-lues au commutateur FLR dans la description des figures 4 à 9 telles que l'avance du film, le maintien du relais SE, et renvoie en outre les commu- tateurs DS et CI à leur position de repos, par leurs circuits bien connus de retour en sonnette. 



   Deuxième variante de justification - La figure 32 représente une seconde variante du dispositif de justification. Dans cet exemple, le pas-à-pas ES est mis en place par les relais   RCl-RC5   commandés par les fils Co venant du compteur comme dans le cas de l'exemple précédent. Lorsque l' opérateur actionne la clé FLC, le combineur FLK passe en position 1 où il four- nit la batterie de blocage des relais   RCl-RC5,   libérant le compteur pour la frappe de la ligne suivante. Supposons que, dans ce cas encore, le déficit de la ligne soit de 19 unités. Le   pas-à-pas   ES s'arrête en position 19. A chacune de ses positions ce commutateur introduit deux résistances dans un circuit allant de la batterie à la terre et constituant un potentiomètre par lequel un potentiel est appliqué au fil k.

   Ce potentiel est choisi propor- tionnel au nombre d'unités dans le déficit de la ligne (plus une), par exemple de 1 volt par unité. Dans l'exemple choisi le point k serait donc   porté à un potentiel de : 19+ 1 soit 20 volts.   



   Par ailleurs, le compte-intervalles CI se trouve sur la position correspondant au nombre d'intervalles dans la ligne, par exemple 8. Par l'in- termédiaire de résistances reliées à ses divers plots, ce commutateur envoie dans un jeu de résistances Rf, un courant tel que dans chaque résistance Rf la chute de potentiel soit précisément égale à N volts, N étant le nombre d' intervalles. Dans l'exemple choisi, cette chute de potentiel sera de 8 volts dans chacune des résistances Rf. 



   Dès que ES a atteint sa position, 19 dans l'exemple numérique choisi, FLK qui était maintenu actionné par le contact de travail du relais à relâchement lent RA, retombe et passe en position 2 où il envoie une batte- rie sur le circuit de marche en sonnette du pas-à-pas SZ à travers le contact de travail du relais polarisé Rpl. En effet, ce relais, branché entre le point k à 20 volts et le balai Bc de RP2 à la terre, fonctionne. SZ se met en mar- che et le potentiel du balai Bc passe successivement à 8, 16 et 24 volts. A ce moment le relais Rpl relâche car le courant change de sens et le relais Rp2 fonctionne. Le pas-à-pas SZ s'arrête sur sa troisième position reliée au piston 6 donnant une avance de l'espace normale plus 2 unités.

   FLK qui était maintenu par le contact de Rpl au travail retombe et passe en position 3 où il reste pendant l'impression de la ligne. Le signal d'espace justifia- ble arrive par le fil jus et est appliqué au commutateur ES qui avance cha- que fois d'un pas. En même temps, un piston de l'échappement variable fonction- ne, celui-ci étant sélecté par le commutateur SZ comme expliqué précédem- ment.Le pas-à-pas ES passe ainsi à la position 20, puis 21,22 et 23 et le potentiel du point K croît de 1 volt à chaque pas, il atteint 24 volts au moment où ES passe en position 23 à la fin de la quatrième impulsion, à ce moment, le relais Rp2 retombe car il se trouve de chaque côté au même po- tentiel (24 volts), et il ferme son contact de repos.

   La cinquième impulsion actionne donc à la fois SZ et FLK à travers Rp2 au repos et SZ passe en po- sition 4 où il sélecte une avance supplémentaire de 3 unités pour les inter- valles suivants. FLK passe en position 4 où il reste. Les impulsions sui- vantes donneront donc des intervalles ayant une unité de plus, soit au total 5 fois 2 et 3 fois 3, soit au total 19 unités. Lorsque le signal de fin de ligne arrive sur FLK par le fil fl, FLK passe en position 5 où il est pris par la source d'impulsion G et termine sa rotation pendant laquelle il rem- plit les fonctions auxiliaires de l'avance du film etc.. et ramène le comp- teur CI au zéro. 



   - Les figures 34 et 37 représentent une variante du dispositif photographique due à   Mr.   Samuel H.   Caldwell.   Selon cette variante, le film photographique au lieu d'être porté par un chariot mobile qui se déplace après la photographie de chaque caractère, est immobile pendant   l'impres-   

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 sion de la ligne, et l'image est déplacée au moyen   d'un   système optique pla- cé entre le disque porte-matrices et le film sensible, sans que ses dimen- sions soient changées et sans que la netteté soit altérée d'une extrémité à l'antre de la ligne. 



   Se reportant à la figure 34, le disque porte-caractère est repré- senté en D et tourne en permanence dans le sens de la flèche. La lampe à éclair L illumine le caractère sélecté au moment de son passage devant une   lentille 1-P de distance focale f1. Cette lentille est placée à une distance du disque, égale à sa distance focale et agit à la façon d'un collimateur   donnant une image du caractère à l'infini. Sur l'axe' optique de cette len- tille 1-P, se trouve une deuxième lentille   2-P   de distance focale F2 asso- ciée à un prisme   3-P   et montée dans un support mobile 4-P, qui peut se dé- placer le long de l'axe optique de la lentille 1-P dans le tube 5-P. Cette deuxième lentille forme une image du caractère à son foyer.

   Le film sensible 
FP est placé au foyer de cette lentille   2-P,   pour cela, la distance optique entre le film FP et la lentille 2-P, en tenant compte de la réflexion dans le prisme 3-P, est égale à la distance focale de la lentille 2-P. On peut voir que, dans toutes les positions que peut prendre l'ensemble lentille   2-P   prisme 3-P, entre la position extrême de droite représentée en traits pleins et la position de départ représentée en traits pointillés, il se fera tou- jours une image nette sur le film, image dont la dimension reste constante et ne dépend que des distances focales des deux lentilles. En effet, appelons 
Dl la distance, supposée extrêmement grande, à laquelle la lentille 1-P fait une image du caractère porté par le disque.

   Cette image est, pour la lentil- le   1-P,   une image réelle inversée située sur la droite de la figure et le grossissement est égal à   Dl/fl.   Cette image est pour la lentille   2-P   un objet virtuel situé à une distance D2, également très grande, dont elle donne une image réelle de même sens à son foyer avec un grossissement égal à f2/D2. 



   Lorsque le caractère porté par le disque est exactement au foyer de la len- tille 1-P, les distances Dl et D2 deviennent infinies et peuvent par consé- quent être considérées comme égales, la distance entre les lentilles deve- nant négligeable par comparaison, et par suite le grossissement résultant, qui est le produit des deux grossissements des deux lentilles est égal à 
D1 X f2 = f2 c'est-à-dire constant pour toutes les positions de la len- f1 D2 f1 tille 2-P lorsqu'elle coulisse dans le tube   5P.   Du fait de la présence du prisme l'image se trouve retournée par rapport au montage précédemment dé- crit, mais on peut donner aux caractères la position désirée en disposant de façon appropriée les caractères matrices sur le disque D. 



   On peut changer le grossissement, et par suite la grosseur des caractères, en changeant la distance focale de la lentille 1-P ou de la len- tille 2-P. Pour obtenir des caractères plus grands par exemple, il suffira d'augmenter la distance focale f de la lentille 2-P ou de diminuer celle de la lentille 1-P. En pratique, il paraît plus simple de changer la lentil- le 1-P. La nouvelle lentille sera placée de telle façon que les caractères du disque se trouvent dans son plan focal. L'image continuera dans ces con- ditions à se faire sur le film FP et conservera une dimension constante quel- le que soit la position donnée à la lentille mobile   2-P   et au prisme   3-P   as- socié dans le   tube 5-P.   



   La figure 35 est une vue de profil du dispositif schématique-- ment représenté sur la figure   34..   Le film sensible FP provient   dune   bobi- ne débitrice   6-P   et arrive sur le débiteur-récepteur 8-P qui est actionné à chaque fin de ligne pour espacer les lignes entre elles, puis le film est   emmagasiné   sur la bobine réceptrice 9-P. Cet ensemble, ainsi que le système lentille-prisme mobile est monté sur un bâti 10-P et le tout est protégé de la lumière extérieure par un dispositif approprié non représenté 
Les figures 36 et   37   montrent comment le système qui vient d'ê- tre décrit peut se monter à la   place   du chariot porte-film représenté sur la figure 4.

   La vis   17-F,   qui est contrôlée par   l'échappement   variable (fi- 

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 gures 3 et   4)   est utilisée de la même façon qu'il a été décrit en relation avec les figures 3 et 4, pour déplacer un écrou E. Le prisme   3-P   est monté dans un support 11-P muni de galets 12-P portant sur des rails 13-P. La fi- gure 36 est une coupe médiane verticale du chariot porte-prisme. 



   Le système optique qui vient d'être décrit présente l'avantage de rendre possible l'emploi d'une surface sensible immobile. Les pièces mo- biles se réduisent à une lentille et à un prisme de poids comparativement extrêmement réduit qui peuvent être déplacés facilement, plus rapidement, et sur de plus grandes distances, qu'un chariot portant un magasin de film forcément d'un poids bien plus élevé. Il devient également possible de pré- voir avec ce dispositif des magasins pouvant contenir de grandes quantités de film et de munir ceux-ci de dispositifs accessoires tels que couteaux, pour couper le film exposé, poinçons, carters d'obturateur, été... 



   Bien que la présente invention ait été décrite en relation avec des exemples de réalisation, il est clair   qu'elle   n'est en rien limitée aux dits exemples et est susceptible de nombreuses variantes et modifications sans sortir de son domaine.



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  COMPOSER MACHINE
The present invention relates to a typed typing machine using photographic means for printing.



   The invention will be described element by element, in order to facilitate the description, in relation to the appended drawings in which: FIG. 1 is an overall diagram; FIG. 2 represents the recorder; Figures 3 and 4 show the film carrier; Figures 5 to 9 show the variable escapement; Figure 10 shows the decoder; FIG. 11 is a general diagram of the electrical circuits; FIGS. 12 and 13 represent circuits with 2 stable positions (flip-flop); Figures 14 and 15 show counting circuits; FIGS. 16 to 21 represent in detail the circuits corresponding to FIG. 11; FIG. 18 more particularly represents the correction device s; Figure 22 is an operating diagram of the cams;

   Figures 23 to 25 show a mechanical counter; FIGS. 26 to 29 represent a variant of the decoder; Figures 30, 31 and 32 show variations of the justifier; Figure 33 is an assembly diagram of Figures 16 to 21;

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 FIGS. 34 to 37 represent a variant of the photographic device.



   Referring to Figure 1, the machine described by way of example comprises a CI keyboard associated with a typewriter giving at the same time an easily readable copy on which the operator can read himself and make corrections, an ENR recorder, two counters CP1 and CP2, a JUS justifier, a CHA film carrier, a DEC decoder and a PH photographic unit.



   The CL keyboard is fitted with CM selector bars (also called code or permutation) of the kind used in teleprinter. When a key on the keyboard is lowered, one or more of these selector bars are actuated according to a code similar to that used in Baudot telegraphy. In the example described, a code with 7 elements is used and consequently 7 selector bars which can give 2 or 128 different combinations, which is more than sufficient.



   Each character is characterized by a combination of this code and the permutation bars transmit the combinations to a recorder, preferably mechanical, which records them as you type.



   The writing part of the recorder is driven by the carriage of the typewriter so that in the event of a correction one can operate as with a normal typewriter since the fact of returning the erroneous character to position keystroke brings the writer into place and an erasing device which can be actuated to reset the recorder to zero. The operator then types the correct character instead of the deleted character,
The recorder is simultaneously used for typing and printing control by means of an independent reading device.



   To justify the lines, that is to say to increase the distance between the words so as to align the right margin, it is necessary to measure the length of the line and to count the number of spaces within. - tifiable. To this end, the width of the various characters is expressed as a function of an arbitrary unit of length and a counter CP1 adds up these widths during typing. A second counter CP2 counts the number of justifiable spaces. These two counters are associated with the keyboard during typing and for a short time for the end of the line with the JUS justifier which determines the justification increment to be added to each space during printing.



    According to features of the invention, the width of the characters is determined by a certain number of the elements of the registration code, for example the first 4 in binary numbering. Four elements make it possible to characterize 16 different widths ranging from 0 to 15, which is sufficient in practice.



    When the operator has finished typing a line, the reader of the recorder is associated with the photographic assembly and with a translator of width TL. The photographic assembly comprises a disc or drum carrying the matrix characters which rotates continuously. A DEC decoder controlled by the recorder causes an excessively brief flash of light to emerge at the right moment which photographs the selected character on the film carried by the CHA carriage. The film carriage is then advanced a distance equal to the width of the character under the control of the width translator TL. cator JUS. The length of the justifiable spaces is chosen by the justifi- Let J be the desired justification (in the chosen unit of length).



  When the composition is complete, the addition of the individual widths of the characters (plus the minimum width of justifiable spaces) gives a lower value from D to J, the spaces must be increased by distributing

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 D among them, on the condition, however, that each space can only be increased by a whole number of units (this condition is dictated by the operating mode of the film carrier which can only advance by whole number of units for mechanical reasons). If N is the number of spaces, the D / N ratio will generally not be an integer. The distribution of the D units between the N spaces is done by adding a certain number Q of units to a first group of spaces and Q + 1 units to a second group of spaces.

   The justification mechanism comprises the counter in which the length of the unjustified line has been recorded and to which the number of spaces is added a number of times in succession. The counter thus records the following totals in succession:
J - D (line not justified)
J - D + N (first addition)
J - D + 2N (second addition) etc ... These additions are repeated until the total reaches or exceeds the value J assigned to the justified row. At this time, a mechanism is actuated to effect the distribution of the units between the spaces.



   A feature of the invention resides in the use of the binary numbering system. As well known, this numbering system has only two digits C and 1, so that successive integers are represented by 0, 1, 10, 11, 100, etc ... (corresponding to 0 respectively , 1, 2, 3, 4, etc ... in the decimal system). The binary system is preferable for a number of reasons: first, because it only requires 2-position relays or switches, such as pulled in or idle, or an open or closed circuit, representing only the conditions "yes or no" or "0 or 1".

   Another advantage is that subtractions can be done more easily than in other systems. Subtractions are necessary for corrections and can be done in binary system by a relatively simple inversion process.



   Another characteristic of the invention resides in the photographic composition system making it possible to place on the film with very great precision the image of a character animated by a rapid movement, this precision being independent of the variations in the position of the characters. - teres with respect to each other on the die-carrying disc.



   Another characteristic of the invention resides in an automatic correction system which makes it possible to replace in a recorded line a character of a certain width by a character of another width, without affecting the justification, and at the same time to mechanically delete the character to be replaced or deleted from the recorder.



   Other characteristics and subjects of the invention will appear in the text and the accompanying figures.
The recorder shown in Figures 2 and 18 is a seven element recorder. In order to register a line, it is therefore necessary to have as many rows of 7 pins as there can be characters in a line.



  90 for example. Each of these pins can take two positions, an advanced position or rest position and a depressed or working position.



  The recorder can be divided into three parts, the EB spindle field, the EM hammer group and the EX scout carriage. The pin field consists of two groups of 7 rows. By moving it in the vertical direction by the distance which separates two consecutive rows of pins, one of said groups of 7 rows of pins is associated with the hammers and the other with the explorer. In this way, the operator can record a line while the previously typed line is photographed.



   The field of pins EB comprises two flanges 100E and 101E connected by spacers 112E. These flanges are provided with openings in which the pins B1 ..... B7 can slide. These spindles can take two positions, a rest position B'1 and a work position B1. We

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 has shown in the drawing a single row of pins for clarity of the drawing, but there are in fact as many rows of 14 pins as there can be characters or signs in a row. The distance separating two consecutive pins in the horizontal direction is equal to the pitch of the typewriter.
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  Panai the 14 pins shown in the drawing, seven- cooperate with the typewriter: B'l, B'2, B'3, B'4? B'5, B'6, B'et, sept (Bl..a..eB7) with the explorer cart and the camera. Thanks to this arrangement, it is possible to type a line while the previous one is photographed, and that with a minimum of elements.
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  When a typewriter key is depressed a number of pins are depressed depending on the code combination assigned to that character. In the case of the figure, pins B'2, B'4, B'6 and B'7 are in their working position, that is to say the combination corresponding to the character is 1-4 -6-7 which is the asterisk in the example described (see figure 10). The pins are driven by hammers Ml ... M7 sliding
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 between two flanges 110E and IIIE. These are normally urged towards their rest position by springs (not shown). The flange 110E which carries this set of hammers is fixed on the carriage of the typewriter so that it positively follows all the movements of said carriage.



  As the carriage of the typewriter moves, it thus presents the hammers successively in front of each of the vertical rows of spindles.
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 The hammers are operated by RPl.o. tP'ia These palettes work under the control of the CM selection bars, associated with the typewriter keyboard. When a keypad key is depressed, the bars corresponding to the code of the desired character are actuated and depress the pins.
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 ches. In Figure 2, the control paddles RP2, RPI, RP6 and RP7 are shown in their operating position. The control of these pallets can be either electrical or mechanical.

   In the case of an electric control, the actuated selection bars close the electro-
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 magnets RPE1, RPEz u 00 U RPE which rotate the pallets RB1 aa.aRB7.



  When the operator has finished typing the line, he moves the field
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 of pins in the vertical plane along guides -U3E. This field of pins can take two positions, a low position and a high position. In the case of figure 2, it is in the high position, that is to say that the
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 odd pin lines (counting from the top BI .. 0 0 "B7), on which the previous line was recorded, are associated with the explorer carriage, and even pin lines (B'1 .... oB 'ï) are associated with the hammers. In figure 2, pins B1, B4 and B5 of the odd rows were inserted during the typing of the previous line, this combination corresponds to the character (see figure 10) in the exemplary embodiment described.

   Organs intended to detect the registered combination or feelers
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 are represented in Plu .P8 ,. They can rotate around the axes 103E. These axes are carried by arms 115E fixed to a plate 104E. This plate 104E slides in brackets 105E and is pushed towards the arm by a spring (not shown). For the search for the combination, the plate 104E is lifted by means of the pivoting pallet 109E controlled by the electro PLP (figure 18).

   The feelers are thus pushed upwards and those which meet the pins in the depressed position on their travel tilt clockwise and close the contacts which are assigned to them.
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 companies Cl ---- C8- It is these contacts which control the printing of the corresponding character as will be explained in detail later. The explorer wagon read is provided with rollers 107E running on rails lOBE and an escape mechanism of the typewriter wagon type, controlled by an electrOEXP. After having been "explored" in this way, the pins are pushed back into their rest position by a vertical oscillating bar (not shown).

   The pins are held in their position by springs.
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 friction of the springs Although the explorer trolley EX and the set of EM hammers have been shown opposite each other to simplify the figure, they move absolutely independently of each other. EM is controlled by the keyboard while EX is controlled by the photographic assembly.

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  Truck and its controls - Figure 3 shows a partial section -
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 the of the drive mechanism of the sensitive film carrier, and FIG. 4 is an elevation of this carriage itself.



   The sensitive film passes from a debtor magazine to a receiving magazine (not shown), supported by a stationary member or a movable carriage but preferably not rigidly connected to the actual carriage shown (figures 3 and 4). . The independence between these two organs is ensured by a sufficiently loose loop formed by the film. When it leaves the debtor magazine, the film loops, passes over debtor 1-F, then under presser 3-F, then under debtor 2-F and returns to the receiving magazine.
The movements of the carriage are determined by an irreversible screw.
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 relatively fine pitch sible 17-F, the rotation of which is controlled by the variable escapement described later.

   The wheel 37-F (figures 5 to 9) of the variable exhaust turns, after each printing of a character, by an angle determined by the width of this character., This wheel meshes with a disengageable pinion 19-F (figure 3), which itself engages with a 20-F pinion pinion on the 29-F shaft which carries the 17-F screw. Tapered bearings 21-F and 22-F keep the shaft 29-F in translation, so that its rotation communicates to the carriage, thanks to a nut E, a translational movement in the direction of arrow F.



   To ensure a constant gap between the characters, the movements of the carriage must be done with great precision, of the order of 0.01 mm. In order to obtain this precision, it is necessary to make up the clearances, which is achieved by means of two springs which are also used to bring the carriage back after printing a complete line. One of these springs is the 23-F barrel spring (figure 4)
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 which acts on the carriage by 1-lintermediate the rope 24-F, and which tends to rane- ner this carriage in the direction opposite to the normal direction of movement. The other spring acts on the screw 17-F by means of a 25-F wire and tends to turn this screw in the opposite direction to the normal direction of rotation.



   Each time a character has been photographed, the cart will move a varying distance in a relatively short time, which highlights
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 play of important energy forces. To ensure the necessary precision, it is essential to absorb most of the shocks caused by stopping the truck.

   A resilient device is provided for this purpose, consisting of a ring 26-F which can slide in the frame of the machine, and accommodating the tapered roller bearing 22-F, this ring being held in place by a spring. powerful 27-F, the tension of which can be adjusted by acting on a 28-F part screwed into the frame.,
Thus, when the variable escapement finishes its movement, the
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 wheel 37-F (figures 5 to 9) stops abruptly and, due to the inertia, the carriage tends to continue its movement, which applies a translational force on the screw 17-F and on the shaft 29-Fa This force manifests itself on the thrust bearing 22-F by an impact, transferred to this bearing by a shoulder.
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 ment 30-F of shaft 29-F,

   then transmitted to the ring 2C-F which moves very slightly compressing the spring 27-Fe mant DEB When a line has been completely photographed, the electromagnet DEB is excited. Despite the antagonistic action of the spring 31-F this electro
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 attracts the plunger 32-F integral with the pinion 19-king, and the latter slides on a rod 33-F fixed to the frame of the machine; it emerges from
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 wheel 37-F while remaining in mesh with pinion 20-F. As soon as the pinion 19-F is released from the wheel 37-F, the spring controlling the rope 25-F turns the screw 17-F in the opposite direction of its normal direction of rotation, which brings the carriage back into position. back to print the next line.
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  T Ue 37-P In normal operation, the pinion 19 F is kept in engagement with the wheel 37-F by a rod 34-F which slides freely in a fixed core 35-F and which is constantly pushed by an adjustable spring 31- F.



   The MP disc is used for the precise positioning of the cha-

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 riot, as will be shown below.



   An improved variable escape mechanism for controlling the advance of the film carrier will now be described with reference to Figures 5 to 9.



   This variable exhaust comprises a toothed wheel 37-F meshing with the pinion 19-F which controls the rotation of the screw 17-F to advance the carriage. This wheel advances by a number of teeth which depends on the width of the character which has just been reproduced, under the control of a star part 38-F whose movement is limited by stops 41-F named - bre equal to the various advances desired. Star 38-F is provided, in addition, with a toothed sector 39-F having the same axis as wheel 37-F and star 38-F, and which can mesh with a pinion 40- F.



   The width translator of the TL machine first places, at the appropriate location, a stop 41-F, for example by means of an electromagnet (not shown). Then the main electromagnet 42-F is energized and attracts a control rod 43-F. This rod is provided with two stops 44-F and 45-F and passes through an opening made in the tail 46-F of the lever of a claw 47-F;

     this lever can pivot around a 48-F axis. At the start of the displacement of the rod 43-F, a spring 49-F pushes the lever of the claw 47-F, keeping it pressed against the stop 44-F, and the teeth of the claw engage with those of the wheel 37-F and thus immobilize this wheel.



   The rod 43-F continues its course, and its stop 50-F pushes the tail of the support 51-F of the pinion 40-F (FIG. 6); this support swings around its axis 52-F and releases the pinion 40-F from the toothed wheel 37-F. The pinion 40-F then engages the teeth of a stop 53-F which holds it in position.



   At the same time, the star 38-F whose toothed sector 39-F was engaged with the pinion 40-F is released and moves counterclockwise under the action of a spring ( not shown), until one of its branches meets the stop 41-F (figure 7). At this time, the rod 43-F has finished its travel and the stopper 45-F maintains the claw 47-F, which itself retains the toothed wheel 37-F. The pawl 54-F, which is normally pushed into the teeth of the 37-F wheel by a 55-F spring, and which has risen during the rotation of the star, falls back into a tooth of the 37-F wheel and prevents any bouncing of the star.



   A 56-F damper is normally repelled by the star's 57-F tail. When the latter rotates, this damper rotates around the axis 58-F under the action of a spring 59-F and abuts against a stop piece 60-F.



   The mechanism remains in this position until the electromagnet 42-F releases. At this moment, the rod 43-F comes back under the action of the spring 61-F (figure 8). At the start of this return, the part 62-F of the stop 50-F meets the tail 63-F of the part 51-F and this part tilts; the pinion 40-F which it carries meshes both with the toothed wheel 37-F and with the toothed sector 39-F of the star. The part 62-F slides under the shank 63-F and thus keeps the pinion 40-F engaged.



  Continuing its return movement, the rod 43-F releases the claw 47-F, the teeth of which protrude from those of the wheel 37-F (figure 9). At this moment, this wheel urged by the main spring of the carriage (not shown) turns clockwise and drives the star 38-F until the tail 57-F of this star abuts against stop piece 56-F. This is because gear 37-F and star 38-F move at the same time, since they are both in mesh with pinion 40-F. In passing, the tail 57-F gives up part of its kinetic energy to the shock absorber 56-F which, under the shock, takes the position 56'-F.

   To reduce the violence of the impact, a fairly powerful spring is also provided in the stop piece 64-F. The object of this decoder is to generate, when the selected character passes over the optical axis, a re- pulse.

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 laterally wide which acts on a "window" el.ectroic tube and allows the photoelectric position pulse corresponding to the selected character to pass.



  This decoder is made up of a cylinder comprising 7 rows of isolating and conducting parts on which 7 Ba-l .... Ba-7 brushes rub.



   The combinations of insulating parts and of conductive parts along a generator of the cylinder correspond to the code combinations of the various characters to be reproduced, as shown in FIG. 10, where the diagram shows a developed decoder cylinder. On the other hand, the
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 BA brushes are each connected to a relay contact Tl to T7 (figure 17) which, under the control of the recorder, is opened or closed according to the code of the character considered, as we have seen previously, this code being the same as that of the combinations of insulating parts and conductive parts of the decoder cylinder.



   To facilitate understanding of the operation of the decoder, this operation will be described on a particular example, considering, as an indication, that we want to reproduce the letter t which, in the arrangement shown in Figure 10 where the conductive parts are hatched, occupies the generator 27 of the cylinder. The figure shows that the combination
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 corresponding to this letter is 1235, that is to say that when the generator 27 of the cylinder which moves in the direction S passes in front of the brushes BA, the brushes Boa-1, BA-2, BA-3 and BA -5 only rub on conducting parts of the cylinder.



  If it is assumed that the contacts ti, t2, t and t are open, by actuating the corresponding relays, examination of figure 10 shows that, while the cylinder moves in front of the brushes from the zero position to the position 27, at least one of the brushes BA is in contact with a conductive part at a given instant. Consequently, the circuit going from the mass M of the decoder to the common point H (FIG. 10) is always closed. On the contrary, this circuit is open when the brushes pass to position 27. In fact, at this time, the combination of the open contacts is precisely the same as that of the conductive parts of the decoder.

   The circuit therefore remains open for the duration of the passage of the brushes on row 27, and this cut-off is used, as will be seen later, to allow the photoelectric pulse generated at the precise moment of the passage of the letter t carried by the disk D in front of the photocell; this impulse can thus
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 if puncture the flash tube and produce 3.9iz.presszon photogTaph1- que on the film, of the desired character, ëpu-4 It will be noted that for other subsequent rows of the decoder, there are combinations which again open the aforementioned circuit; thus, in the example chosen, it can be seen that this circuit will still be open when passing under the brushes BA of the generators 39, 50, 53, 58, 63, 65,
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 fls 753 76, 79, 81, and 82.

   To prevent the characters corresponding to these generators from also being photographed when the letter t is desired, according to one characteristic of the invention, a device is provided which allows the flash tube to operate only once per complete revolution of the decoder. , so that the pulses which occur after Correct trigger pulse have no effect. u. L
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 ls be. Line counter - The keys of the typewriter activate the selection bars which close their contacts according to the code assigned to the various characters, We will consider here the first 4 contacts only
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 which characterize the width of the characters. These A first contacts are connected to the 4 sRtEe.es of the binary counter.

   It is clear that these 4 inputs must be able to actuate simultaneously since the contacts of the selector bars are simultaneous. The result of the addition of these numbers in the meter is recorded so-called accumulator or binary relays, or combinations of relays. These relays have two stable positions and they move from one position to another when current is applied to them and then in. - interrupted, and remain in this position. For this reason they are also called flip-flope. FIG. 14 represents an exemplary embodiment using a step-by-step switch mechanism, COmm.tU1é.ment used in telephony. This

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 switch includes a pawl 44 and a ratchet wheel 46.

   When the electro 48 is energized, the armature 50 urges the pawl back against the action of a spring 54 and when the current is interrupted the ratchet wheel advances the contact disk 54 of. a step. A brush 56 makes permanent contact with the disk near its center and another brush 58 is in contact with a metal part, for the positions where the circuit is closed, and with an insulating part for that where the circuit is open. It follows that the circuit is closed every two times that the electro 48 is energized. An auxiliary winding 60 may be provided for a purpose which will be discussed later.



   Figure 15 shows a flip-flop circuit which gives the same results but uses normal telephone relays instead. step-by-step more expensive. In figure 15, when earth is applied through key S, current, passes through relay 62 and one winding of relay 64 in series, but a single winding of 64 is too weak to actuate the relay. relay 64. (The term actuate is used here to denote the operation of the relay armature). As a result, the relay 62 operates alone. When the key is opened, the second winding of 64, which during the pulse was grounded on both sides, is then energized.

   These 2 windings of 64 and the winding of 62 remain energized and the two armatures are attracted. When the key is closed, a second time, the 2 ends of the 62 winding are connected to earth and it releases, but 64 remains actuated by its 1/2 winding (this relay is of the well known type of double relay winding in which a single winding is unable to actuate the relay but can keep it actuated once it has operated).



   When the S key is opened, 64 releases and the cycle can repeat. The contacts 66 controlled by the relay 64 can be used in an external circuit. These contacts close every two operations of the key S and therefore function in the same way as the brushes 56 - 58 of figure 14.



   If we now consider a binary relay of a given stage, it is clear that it must operate when a pulse is applied to it and that it must transfer this pulse to the upper stage if it is found. already in its actuated position or tilt! position, and that it must not transfer this restraining pulse if it is in its "0" position. However, if a stage receives both a carry pulse from the lower stage and a direct pulse, it should not operate but must transmit a carry to the next higher stage, regardless of which position it is in. initially found.



    FIG. 12 represents a binary counter fulfilling these conditions. It includes as many flip-flop circuits as there are floors (5). These circuits are represented by X1, X2, X3, X X5 and can be of the type shown in the dotted box of figures 14 or 15. Each flipflop circuit is provided with contacts which are closed when the flip-flop circuit is in position "1 "and open when in position" 0 ". The contacts are shown at 66. Such simple closing contacts on the flipflop circuit would be sufficient if the inputs to the various stages were not simultaneous but occurred in succession.



  When a flip-flop circuit receives a hold potential from the previous stage, and a direct operating potential from its own stage, it is impractical to operate that flip-flop circuit twice. A faster and more convenient method is to prevent the flip-flop circuit of one stage in which there is a double input from operating, and to send it to the upper stage a carry potential.



  The circuit of FIG. 12 fulfills these conditions. All stages are identical, except the first which, of course, cannot receive any holding potential. Each stage is fitted with an R2, R, etc. restraint relay.



  These relays have two windings in opposition and operate when any one of their windings is energized and remain at rest when both windings are energized at the same time. The entrance to the first floor is

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 made by a wire 67 having a contact (represented by the key K1), the said con-
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 driver is directly related to X 1 and also to è. one of the contacts 66. A restraining conductor 68 runs from contacts 66 of X1 to a winding of j. Input wire 68 goes from contacts 66 of X1 to a winding of IL.

   The second stage input wire 69 goes through JS to the second winding of IL and also through a rectifier 70 and wire 71 to contact 66 (but not to the flip-flop circuit] L itself) A second rectifier 72 is connected between wires 68 and r rJl The relay IL has its working contacts 73 connected by a wire 74 to X2 and its rest contacts 75 connected to the input wire 69 of its own stage and to a retaining wire 76 going from contact 66 of X2 to a winding of R3.



   The third and subsequent floors are a simple repetition of the second floor.



   Note that the counter of Figure 15 has the advantage that a carry pulse is transmitted through all stages in play without requiring the operation of the relays. For example if the three flip-flop circuits X are in position "1" (corresponding to 111 in the binary system or 7 in the decimal system), the closing of K sends a carry pulse directly through 66 of X1, rectifier 72, wire 71, contacts 66 and wire 76 of the second stage and by exactly similar connections from the third stage directly to the fourth stage. The flip-flop relays of the first three stages go together in position "0".



  Relay E is designed so that the flip-flop circuits cannot be operated until the restraint relays have taken their correct position.



  The end result in the case of this example is 1.000, sum of 111 and 1 in the binary system.



   Now consider the second floor for example.



   In the case of a single input, either coming from stage I through the closed contact "position 1" of the flip-flop circuit XI, or a po-
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 tential applied by key 1, the IL relay operates since only one of its windings is energized. Through his work contact he makes
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 operate the flip-flop circuit X2 If the flip-flop circuit Xz is in position "1", this operating potential is also transferred to the relay IL of the next stage and so on.



   If, on the contrary, there are two simultaneous inputs, a carry-over from the first stage coming from K1 and from contact 66 of the flip-flop circuit XI (in
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 position "'Iie) and the other by% a direct potential by key E2. of the second stage, relay' Ç2 does not work since its two windings are energized and the potential is transmitted by the rest contact of relay IL to the rest at the IL relay of the next floor.



   FIG. 13 represents another exemplary embodiment in the-
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 which the selection bars activate the input relays CI, G2, C3, 04, 05. In this embodiment the restraint relay IL has a single winding. Other restraint relays have two, and will operate if either or both are energized. The connections will not be described in detail as the operation is clear from the drawing, from the explanations given above. Let us take for example the flip-flop circuit XI in position "1" and suppose that the relays Cl and C2 are actuated by the bar-
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 permutation res.

   Circuit XI is actuated by CI and relay p2 operates, the potential given by the NO contact of IL is not applied to binary relay X2 but is transferred by the two-way contact of C2 to relay R which operates by its first winding.
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 working tact of f and the rest contact of C3's to-and-fro movement at rest, X3 is energized. Rectifiers are provided to prevent undesirable operation of the lower stage relays. It can thus be seen that the restraint relays can be actuated in two ways, namely when the circuit

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   Previous flip-flop transmits a hold potential, ie when the previous hold relay is actuated and a direct input occurs simultaneously.

   Relay E in figure 13 has the same role as its correspondent in figure 12.



   When you want to make a subtraction, for example in the case of an error, it suffices to reverse the position of all the flip-flop circuits, to add the number to be subtracted and to reverse a second time every flip-flop circuits. This can be done easily with steps as shown in Fig. 14 because it suffices to energize an auxiliary winding 60 provided for this purpose. By energizing all of these auxiliary windings at the same time the position of all the stepping is reversed.



  Subtraction in the case of simple telephone relay flip-flops has a similar procedure and will be mentioned later in the description.



   General diagram of the electrical circuits - The circuits will be described with reference to the general diagram of figure 11. The apparatus represented by the rectangle 10 on the left side at the bottom of figure 11 comprises a machine to be written with a keyboard and the selection bars activated by the keys as well as the recorder intended to record the coded information corresponding to the characters. The system preferably comprises a recorder in which the encoded information already recorded can be read, decoded and transmitted to the flash photography device and to the variable exhaust of the film carriage while the next line is typed on the screen. keyboard. According to a usual technique, the different characters of a given font have widths expressed as a function of a common unit.

   For example in a typical font: the width of i and 1 is 5 units; that of f and j of 6; a, g and the digits of 9; b, h, n and s of 10; J, F and L of 12, M, H and W of 15. An arbitrary value is also assigned to the minimum space between words which can for example be 4 units.



   By pressing the key corresponding to a character, the recorder is activated and records the corresponding code. At the same time, for each keystroke of a character its width is transmitted to the line counter 12. For this purpose, four conductors connect the rectangle 10 to the rectangle 12 (figure 11). It will be noted from the foregoing that twelve different widths, ranging from 4 (minimum space) to W (15 units) are generally sufficient for all possible castings For this, four threads 14 are sufficient, given that with four threads there are 2 = 16 different combinations, although if more width values were desirable, more threads could be used.



   Lowering the space bar (SP), besides adding 4 units to the row counter, adds 1 to the spaces or CI interval counter, so that the row counter accumulates the number of units from the beginning of the line and the space counter the number of justifiable spaces. For this, a connection brings together a contact actuated by the space bar of the typewriter at the counter CI.



   In addition to the wires 14 connecting the selector bars to the line counter, there is a conductor 20 excited by a so-called "universal" contact of the typewriter which operates when any key is depressed and whose object will appear later. .



   At the end of the typing of a line, the operator reads again and if he finds the correct line, he activates the send key 22 which starts the justification mechanism and then the printing automatically.



  The rationale will now be described briefly.



   Let J be the desired justification expressed in the chosen unit of length and L be the total of all the widths of the various characters and the minimum justifiable space as recorded in the recorder.



  The line deficit is D such that J - L = D.



  The object of justification is to distribute between justifiable spaces

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 the deficit D such that the length of the line is increased from L to exactly J.



   Let N be the number of justifiable spaces, the relation between N and D is expressed by: D = N Q + R (1) where Q is the integer part of the quotient of N by D and R the remainder. If the quantity Q + R / N were added to each space, it would be necessary for the cart to be able to move by any fraction of a unit. Such devices have the disadvantage of being delicate to adjust and that errors are added.



  In contrast, in variable escapes which move only in whole numbers of units, the errors do not add up. To benefit from the advantages of this type of variable exhaust for the film carrier, the justifier adds Q units to the N- R first spaces and Q + 1 units to the last Rs. The number of units thus added is: (N - R) Q + R (Q + 1) = NQ + R = D (2)
The operation of the justifier will be described in relation to a digital example. Suppose that D is equal to 41 (that is, the line is too short by 41 units) and the number of spaces N is equal to 12 (13 word line).



   The number N is sent to the counter 12 several times in succession. This is done by the 5 conductors 23 connecting the space counter CI with the line counter 12. In the example chosen, the deficit D is consequently reduced from 41 to 29, then to 17 and to 5. At the fourth addition, the capacity of the counter is exceeded (by 7 units in the example chosen) o The number of times that N has been added in the counter to make it "switch" is equal to Q + 1. If we write the general equation (2) again and below the values of the numerical example we have: (N - R) Q + R (Q + 1) = NQ + R = D (7 x 3) + (5 x 4) 12x3 + 5 = 41
A "rest" switch PR is connected to counter 12 by a set of 5 conductors 24.

   The counter, as already noted, at this time indicates 7 (or in general N - R) o This value of N - R is transmitted by the wires 24 to control the installation of the switch PR.



   Also provided is a so-called "zone" switch SZ connected to the space counter CI by a conductor 25. This zone switch first registers the number Q which must be added to the first N - R spaces.



  In the example described the switch SZ selects an increment of 3 units which is to be applied to the first 7 spaces. A conductor 26 connects the remainder switch PR to the zone switch SZ by which PR sends a pulse to SZ when it exhausted N - R by advancing from N - R not. In other words, when the carriage exhaust is operating at print time, the remainder switch PR advances one step to its home position for each justifiable gap. On reaching its rest position, that is to say when the first N - R spaces have been increased by Q, the pulse sent by PR causes the switch SZ to switch from zone Q to Q + 1, whereby the remaining R spaces will be increased by Q + 1 units.

   (In the example chosen, PR must take 7 steps to reach its home position and then change the zone switch from 3 to 4 units for the 5 remaining spaces.



   Referring again to the diagram of Figure 11, rectangle 28 represents the width translator, signal translator and repeater.



  This rectangle 28 is connected to 10 by two sets of wires, represented by a set 30 of 4 width indicator conductors and a set 32 of 3 character selection conductors in the same width. These conductors are excited by the readout mechanism of the recorder. The 4 threads 30 serve to select the width of the character and to ensure correct operation of the variable exhaust. The 3 wires 32 select the desired character among those having

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 the same width. For example b and h have the same width, so that the wires 30 will transmit for the two identical signals. However, the wires 32 send different pulses. If there are no more than 8 characters of the same width, the 3 threads 32 are sufficient.

   In fact, in most slots there are more than 8 characters of certain widths. This can be taken into account by increasing the number of wires 32. Such additional conductors are not necessary because the wires 30 are not fully utilized and some unused widths can be allocated to others, as will be seen later. . From tractor width 28, a 12 conductor cable 34 goes to variable exhaust 36. These wire pulses 30 and 32 are also transmitted through a signal translator and a 7 wire repeater to the photographic unit 40. , in which the selected character is illuminated as it moves to the photographic position to project an image onto the film.



   The zone selector SZ is connected by seventeen wires 42 to the rectangle 36. In the event that a space signal appears in wires 30 and 32, the flash circuit is not actuated but a signal is sent by the signal translator to the zone selector SZ by a wire 43. The width of the gap is determined by the position of the zone selector, and a signal is transmitted to the variable exhaust by one of the wires 42. The width minimum of a justifiable space is 4 units and given that in practice it cannot be given a width greater than 18, the threads 42 are sufficient. Spaces 0, 1, 2 and 3 units are not used and these values are reserved for justification between characters, as we will see later.

   In the example chosen the zone selector will give by the variable escapement a justification increment of 3 units for the first seven spaces and an increment of 4 units for the last five so that the width of the first seven spaces will be 7 units and 8 units for the last five.



   The mathematical principles on which the justification is based were stated as if the calculations were made in the decimal system. However, the actual calculations are preferably done in the binary system. The components used and the method of calculation will now be described in detail. However, since an important element of the system is a special counter, the principles of the operation of the counter will be explained first, after which the various parts of the system will be described in detail.



   Line Length Counting - The operation of the line counter will be described in detail in connection with the detailed circuit shown in Figures 16 to 21. The typewriter is shown at the bottom left of Figure 18.



   When the operator lowers a key, he activates a number of permutation bars and closes the associated contacts cdl, cd2, cd3, cd4 which characterize the width of the characters and the contacts cd5, cd6 and cd7 which differentiate the characters of the same width and do not intervene in the justification. Since the contacts of the changeover bars can be closed for slightly different times, intermediate relays R11, R12, R13 and R14 are inserted between the changeover bars and the counter. These relays are actuated by the wires 14 and the contacts of the permutation bars and are blocked by holding circuits established by their closing contacts before breaking and a closed working contact, at this time, of a special delay relay. DR.

   In this way it is possible to keep these relays actuated for a sufficient time regardless of how long the selector bar contacts are closed., The intermediate relays, when actuated, apply a battery to the input wires. counter through a cs switch relay to zero. The counter (figure 19) comprises 5 stages with 5 restraining relays R2 to R6 and 5 combinations of binary relays A1 - Bl to A5 - B5 of the type shown in figure 15 The counter is identical to that of figure 15, the combinations of relays Al - Bl, A2 - B2 being the same as Xl, X2, etc. in figure 15.

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  Four stages are sufficient for the widths of the characters, but it is desirable to provide a fifth stage in order to be able to have more than 15 justifiable spaces since, as previously stated, the number of spaces N is sent into the counter by the wires 23. Whenever any key on the keypad CL is pressed, a contact u, called a universal contact, is actuated. The contact activates a relay RU which also locks on a closed contact of the DR relay. Another relay E is actuated by the working contact of relays RI-1 to RI-4 and RU in parallel. The purpose of this relay E is to delay the application of the battery to the binary relays and thus to give the restraining relays R2 to R6 time to operate and to prepare the circuit.



   When the binary counter exceeds its capacity, a pulse is sent to the ACS (Accumulation Stepper) stepper which advances one step.



  The ACS switch is a step-by-step (Figure 18) which advances one step each time the binary counter counts 32. It can be thought of as a base counter 32 with sufficient capacity to record the number to - number of units of the longest line. The pulse is transmitted in the following way: When the binary counter toggles, a circuit is established through the carry relay R6 in the same way that the holds are made in any stage of the counter itself, as explained in relation to figure 15.

   When the relay R6 closes its contacts, it transmits a pulse through wire 80, a contact of the COS switch which will be described later and a wire 82 to ACS. The excitation of the winding followed by the cut when R6 falls again pushes the ACS brushes forward by one step.



   It has been noticed that the RU relay is used for the case where there are more than 8 characters of certain widths, so in a given font there are 20 characters having 9 units of width and 14 of 10 units. Since widths 0, 1, 2, and 3 are not used in a normal font (the narrowest sign being the minimum space of 4 units), these unused values can be used to increase the number of characters. teres of certain widths. This is done satisfactorily by the
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 circuit shown in figure 19.

   The relay BU which is actuated for all characters only comes into play when the binary values 0, 1, 10 (two) and 11 (three) appear on the relays Rll and R12. In other words, every time that R13 and / or R14 are not actuated A connection goes from the battery through the make contact of RU, the rest contacts of R14 and R13, a back and forth from R12 to the connection point of the two rectifiers rd3 and rd4, respectively connected to the input wires of the counter having the values of 1 and 8 (1000 in binary). Thus when no relay RI is actuated a signal of value 9 is sent through the two rectifiers in the counter. When relay R11 is only actuated, the same value is sent to the counter, rectifier rd3 then being shunted by the work contact of RI 1.

   When the counter RI 2 is only actuated, its normal value of two is brought to ten by the two-way switch in the actuated position and connected to the fourth input wire of the counter. Finally, it is clear that RI I and RI 2 are both activated and a value of eleven units is sent to the counter.,
Representation of combiners and switches - For some switches, in particular ACS and SZ, the contacts have been represented in isolation. For others, however, a usual representation in telephony has been adopted. These different levels (or cams) are designated by capital letters A, B, C, etc. Thus the COS correction combiner (figure 18) has 7 levels designated by the letters A to G.

   The contacts of these different are designated by:
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 AeOVOGCOee0 1/4 Gaaaaam.aaamam. 3 D & oeoeeQ & 006 0 Ee0CGQG.O.000 4 F a o o e o 0 0 o a a a o e 3

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G ............ 2/4
H ............ 2/3 Each number corresponds to a position where the contact is closed. The sign means that the contact is closed between the two positions, while the dot means that the contact is open between the two positions. Thus level A is open in its rest position 0 but closed for all positions ranging from 1 to 4. Level C is closed in position 3 only, D in position 0 only, E in position 4, F in position 3, G on 2 and 4 but open in position 3 and H on positions 2 and 3.



   Correction of errors - Before describing the justifiable space counter and associated devices, the procedure used to correct errors will be explained. If the operator notices that he has made a mistake, it is necessary to erase the erroneous character of the recorder and to subtract its width from the line counter, before replacing it with the character correct.



   To subtract from the counter the width of the erroneous character without having to retype the latter, it is necessary to detect the combination corresponding to this character. To this end, after having brought back the carriage of the typewriter so that the character to be erased is in the typing window, one excites, in the manner which will be described later, the GOG electromagnet which attracts its Y3 armature. by rotating it anti-clockwise around pivot Y4. This frame pushes the plate OP upwards (FIG. 18) against the action of the spring Y2, this movement being guided by the studs Y6 cooperating with the buttonholes of the OP.



  This OP plate is fitted with 4 small Y levers that can each pivot around an axis mounted on the OP. The right-hand ends of these levers are found under the rows of pins on which the line is recorded and their left-hand ends cooperate with 4 Y8 correction contacts.



  When the OP plate gets to its upper position, it is clear from the figure that the Y levers will have encountered the pins that were not depressed, which will force them to open their corresponding contact. Thus in the example shown in figure 18, it has been assumed that the plate OP is slightly pushed upwards and it can be seen that all the Y levers, except the third from the top, have encountered a non-pin. pressed, so that only the third contact Y8 from the top will remain closed, which means that only pin N 3 has been inserted among the first 4 pins, and that the character to be deleted is 4 units wide .



  The device described therefore makes it possible to detect the combination of a character to be erased in order to subtract it from the counter. It is then necessary to erase the bad character combination from the recorder, that is to say to return to the rest position all the pins of the recorder located on the vertical row where the character to be erased was checked in.



  This result is obtained by exciting the electro EF in the way which will be described later. This electro attracts to the left (figure 18) and against the action of the springs the Y5 plate which can slide on the Y7 studs. This plate carries hooks such as CF which meet the jaws B C (figure 2) of the depressed pins and thus return to the rest position all the pins of the vertical row of the recorder where the deleted character was located.



   The correction is done automatically.



  After returning the character to be erased to the typing position, the operator presses the COK correction key. This activates the COS correction switch which determines the sequence of the correction operations. Subtracting the width of the character is done by inverting the binary counter (i.e. changing all I's to 0's and 0's to I's), adding the number to be subtracted, and inverting a second times the binary counter.



  This is the mathematical process of subtraction by addition of complements.



  For example, to subtract II from 1000 in a binary system, we can invert I000 which gives OIII, add II to obtain 1010 and invert a second time to obtain the result 0101. This is done by COS which, when

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 COK is released, falls back and is connected by its level A to a source of pulses G comprising a cam Ca2 (FIG. 16) mounted on the camshaft of the photographic assembly. The COS switch thus moves 4 steps and finally falls back to position 5 which is also its starting position and on which it is disconnected from the source of pulses.

   While moving, this switch performs the following operations: First of all, it disconnects the ACS winding from the working contact of R6 by its level D-0 (note that level D does not give a con - closed tact only at position 0). In position 2, by its level G, the switch COS sends an impulse via wire 84 to the INV relay (inversion relay). This relay closes its contacts and sends a pulse through each of the wires 120 to all the relays A1 to A and B to B of the binary counter.

   By referring to the description of the counter, given previously, it will be seen that this, when the relay INV drops, will invert all the binary stages, that is to say it will pass all the stages which are to position I from this position to position 0 and vice versa.



   At position 3, COS level C connects the SUS switch (subtraction switch) to the working contact of relay R6 through wires 80 and 85. In other words, it disconnects ACS from restraint relay R6 and connects SUS in its place for reasons which will be explained later. In positions 2 and 3, COS operates (by wires 86 and its level H) the COC probing electro which detects the position of the first 4 pins of the recorder of the initial row on which the character to be deleted is recorded and thus determines the width of the character to be erased, as explained above.



   In position 3t and by its level E, COS sends an impulse via wire 87 to the correction contacts of the recorder. These correction contacts which remained closed (see figure 18) correspond to a pressed pin of the recorder. The Y8 correction contacts are connected to the meter by the COR1 .... COR4 wires on which RY switchers are mounted to avoid mixing of circuits. In the case of the figure, the third contact starting from the top remains closed, and the impulse arriving by the wire 87 will be directed on the relay R13 as had occurred at the time of the striking of the erased character.

   In position 3, a pulse is also sent on the universal wire 20 by the level E of COS (wire 88) or by any other means in order to achieve exactly the same conditions as for typing the wrong character.
Y9 switchers prevent hammer operation during correction.



   If a carry between the meter and the accumulator switch occurs during the correction, it is necessary to subtract it from the ACS switch since this means that this carry would occur if the false character were added at this time instead of subtract it, if it has not yet been saved. Since the commercial step-by-step switches are generally not suitable for reverse gear, an SUS correction switch is provided. This switch receives all carry from the counter that appear during corrections, and moves the "end of line" terminal of the ACS switch back one step for each carry.

   We can see in figure 18 that ACS gives a signal when its b1 brush arrives on terminal f, which takes place when the capacity of the counter is reached or exceeded. But we can see that if SUS has moved by a step, ACS will have one more step to do In position 4, COS, by its level F ;, sends a second pulse on the INV relay which again inverts the position of all the stages of the binary counter. The width of the character to be deleted has thus been subtracted from the line counter. In position 4, by its level D, the COS switch activates the electro EF which resets all the spindles of the row on which the character to be deleted had been recorded.



  At the end of the fourth pulse, the COS switch returns to position 5 (which is also the home or zero position) and disconnects from the pulse source. The erroneous character was thus deleted at the same time

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 on the recorder and on the meter and the operator can then replace it with the correct character.



   Justifiable Space Counter - While the line length is recorded in binary numbers in the line counter, the CI justified space (or interval) counter records the number of spaces (Figure 20). This counter CI is also a step-by-step type switch and receives a pulse whenever the space bar SB is actuated by the operator. It is provided with 5 levels A to E which translate the number of spaces into a binary number to be used in the justification calculation and has a capacity of 25 points, sufficient in practice.



   According to the convention mentioned above, the different levels of CI establish their contacts as follows:
AT . 1.3.5.7.9.11.13.15.17.19.21.23
B 2/3. 6/7. 10/11. 14/15. 18/19. 22/23
C 4/7. 12/15. 20/23
D 8/15. 23/24
E 15/24
Z 1/24 (return to zero)
Calculation of Justification - The operation of the justification will be described in relation to a numerical example. Suppose for example that the composite line is too short by 41 units, or in other words that the deficit of the line is equal to 41, and that there are 13 words and therefore 12 justifiable spaces.

   In this case, the binary relays of the line counter are all in position "1" except the relays A4-B4 (8 units) and the ACS accumulator stepping one step from its "f" position (32 units). Forty pulses are necessary to bring all the binary relays to position "1" and to bring ACS to position f plus one pulse to send a carry signal and return all the binary relays to 0 "denoting as well as the capacity of the device. counter was exceeded, for a total of 41 pulses.



   The number of spaces N was recorded in the CI counter which advanced 12 steps under the control of the typewriter space bar. It is therefore in position 12.



   The levels A to E of the space counter can be thought of as a converter to transform the number of steps into binary numbers. Thus a closed contact on level A represents 1; on level B, 2; on C, 4; on D, 8 and on E, 16. Thus in the example chosen we see that in position 12, the contacts of levels C and D are closed, corresponding respectively to 4 and 8, that is to say to 12 in the decimal system.



   The succession of operations brought into play by the justification is controlled by a step-by-step combiner FLK. This FLK switch has the contacts of its different levels set as fired:
A 1
B 4/5
C 2
D 2
E 3
F 5
G 4
H 5
1 2
J 0/3 .5
K 2
When the operator lowers the sending key 22, the FLK winding is energized and when the key is released FLK goes to position 1, where by its level A its winding is connected by wire 90 to a source of

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 G pulses, giving an interrupted current at the rate of 10 per second
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 for example. FLK immediately switches to position 2 where it stops.

   In this position, it actuates the switch relay CS which connects the 5 levels A to E of CI to the line counter and through its level C, FLK directs the pulses G to the common point 94 of these five binary levels of the counter of CI spaces.



  As explained above this has the effect of adding 12 to the row counter for each pulse. The deficit D is consequently successively reduced from 41 to 29, 17 and 5. At the fourth pulse, the capacity of the counter is exceeded and the restraint relay R6 is actuated in the manner which has been described previously.

   A pulse is then transmitted through wires 80 and 100 to level D of ACS which is at this time on pin F, which represents the position of “full line” or “end of line.” Note that if any Corrections were made which resulted in an advance of SUS, the full line will be represented by a right contact of 1. of an equal number of steps.
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 Zion propagates through a contact from level D of SUS, wire loe, level D of FLR to the coil of FLK. At the end of the pulse FLK changes to po-
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 sition 3 and by opening the contacts of its level C stops the sending of pulses in the line counter through CI.

   At this time, the line counter has switched !! and records the difference between 12 and 5, that is to say 7. While FLK was in position 2, the zone switch SZ had its coil connected to the common point 94 of levels A to E of CI by the thread 25 and
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 FLK level C. The selector SZ has therefore advanced by Q + 1 step, that is to say in the example chosen by 4 steps and is in position 4.



   In FLK position 3, two things happen. First, CI is returned to its rest position, since it is no longer needed, by means of its Z return level which is closed for all CI except the zero position, the contact rz of CI, the wire 104, the level E of FLK in the manner well known in advance. Second, the remainder recorder takes place under the control of the row counter.



  It has been explained how the row counter recorded N - R, 7 in the digital example described. This means that the binary relays A1, A2 and A3
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 are in their "II" position. These relays, through their working contacts, establish a bell-like operating circuit for PR.

   This PR switch is a step-by-step switch whose various levels make the following contacts
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 A fel.j.eVaoloool4.aJ.0al0 20. 22. 24 B 2/3. 6/7 10/11. 14/15. 18/19. 22/23
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 C 2/5 o 10/13 18/21
D 1.10/17
E 1/9 F 24
Z 1/24 (Return to zero) The bell operating circuit of P goes from the battery through
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 level E of FLK (in position 3), wire 106, a normally closed contact of an NJ relay (which will be described later), wire 108 at the common point of levels A to E of PR, wires 24 line counter flip-flop relays.



  It can be seen that this circuit is closed until the moment when PR reaches the posi-
 EMI17.9
 tion 18 (in the numerical example chosen) where it stops, ie it stops 7 steps from its neutral position 25. During these two operations, the FLK winding was kept energized. through rectifiers 110 and 112. When CI and PR have both reached their respective positions as described above, the battery is disconnected from FLIC, which then drops to position 4.

   where by its level B its winding is again linked to the source of pulses G, so that it immediately passes to position 6, which is also its rest position o In position 4 of FLK, the binary relays of which the battery wire passes through level J of the dropped FLK and in position 4, FLK operates the relay JR by its level G and wire 114, the role of which will be explained later.

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   In position 5 of FLK an impulse is sent by the level H of FLK and the wire 116 to 1-electromagnet EM which controls the exhaust of the carriage of the typewriter so as to place it in front of the first row of pins of the recorder, that is to say in position to command the typing of the next row. Indeed, with the recorder with two rows of pins shown in Figure 2, it is necessary to return the carriage of the typewriter to a point where it is clear of the pins of the recorder to allow switching from one row of pins to the next by moving the pin field vertically.



   The justification is then prepared and the machine ready for photographic composition of the line while a new line is recorded.
Lines not justified - If the operator wishes not to justify a line, he lowers the NJK key before activating the send key 22. This operates the NJ relay and locks it on level B of FLR. The NJ relay therefore remains actuated for the duration of the justification computation and during the photography of the line and a little longer under the same conditions as the SE relay. In position 2 of FLK, the relay NJ sends a pulse to the winding of FLK so that the latter does not stop at this position and only sends a pulse through CI.

   In position 3 of FLK, relay NJ opens wires 106 and 108 and thus prevents PR from operating. CI only, works in this position 3 of FLK (through wire 104) and returns to zero.



  FLK goes to positions 4 and 5 as previously described. SZ has received a single pulse and is therefore in position "1" and selects piston 4 of the variable exhaust. All justifiable spaces are given the same width of 4 units.



   Deletion of a line - If the operator wishes to delete a line, he activates the KLK key which blocks the NJ and KL relays before activating the send key 22. The justification calculation does not take place as explained below. high and the CR cart relay is prevented from operating by an actuated KL make contact which cuts the battery of wire 134. The push-pull of the KL relay supplies battery to the portion of wire 120 that goes to contact w of the translator circuit to allow the "end of line" signal to agiro A rest contact of CR at rest disables the camera circuit via wire 136 which bypasses the decoder. When the reader of the recorder encounters the signal "end of line", a battery is applied by the signal translator to the winding of FLR by a working contact of KL.

   The film advance device is turned off by a KL rest contact on wire 138. FLR makes one full turn and keeps the recorder explorer SE relay actuated long enough to clear the picture completely. line.



   By moving back and forth on the NJ relay, a different level of FLR can be selected for the advance of the film after an unjustified line, i.e. automatically changing the spacing. between lines at the end of a paragraph.



   Adjustment of the justification - The JR justification relay (figure 19) was mentioned during the description. This relay has 5 sets of contacts 118 in series with 5 manually operated keys JK1. The contacts 118 are connected to the inputs of the flip-flop circuits of the row counter by the wires 120. If none of the JK1 keys are closed, the counter will remain empty when the relay JR is actuated. If any of the keys is closed, an initial value will be recorded before striking the line when FLK sends a pulse to position 4. This reduces the available capacity of the counter accordingly.

   If, for example, the total capacity of the line counting system (12 and ACS) is, for example, 512 and if you want a line of only 504 units in length, 8 will be sent to the binary counter at the start of each line, keeping the corresponding key JK1 closed o If the length of the line must be reduced by more than 31 units below the capacity of the counter, the initial position will be modified by moving a bar of a key JK2 (figure 18) which closes all contacts, except

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 one, the rollback level of the ACS paa-stepper.



   Photographic composition - When the line is ready to be photographed, a bs contact (figure 17) is temporarily opened and the RS relay (figure 17) which was at rest, because both ends of its windings were connected to the battery, is working and hangs on resistance rb. The RS relay prepares the operating circuit of the CR relay which operates when the start cam Ca7 closes its contact at an appropriate time in the cycle. The relay SE which controls the operation of the explorer trolley EXP of the recorder, also operates by the same circuit as CR but is blocked on the level B of a switch FLR (figure 20) whose contacts are shown in the drawing. This switch, also of the step-by-step type, controls various auxiliary operations such as film advance.

   The CR relay completes the operating circuit of the variable exhaust of the film carrier which comprises an electro-motor E and eighteen solenoids which determine the number of escaped teeth and subsequently the advance of the film. film, Simultaneously CR applies a battery to wire 119 by a contact, normally closed, of a relay KL described in connection with the half-line erasure o The wire goes from contact w of the width translator circuit comprising the relay Tl to T7 (figure 9). The contact w is the first of a back-and-forth set constituting the fan-shaped circuit 121 of the relays T. By the wires 30 and 32, these relays are actuated by the contacts of the reader or sensor of the recorder C1 to C7 shown schematically in figure 18.

   When the relay SE operates, it closes the circuit of the electric EXP which controls the exhaust of the exploration carriage via the wires 122 and the cam Ca8. The relay SE closes the circuit of the electro PLP by the wires 124 and the cam Ca9. The electro PLP pushes up the plate 104E and the read contacts which correspond to the pins inserted during the strike of the line are closed for a moment. The corresponding relays T operate and are blocked through a blocking circuit comprising the Gala cam, a wire 126 and the contacts of the CR relay.

   These T relays have several purposes, firstly, they select the character to be photographed by their rest contacts 128 which control the operation of the decoder 130 and the lightning circuit 40 by the wires 38, secondly, by their va- contacts. and back and forth 121, they choose a variable exhaust piston through the wires 34 and thus control the movement of the film carrier according to the width assigned to each character. When, for example, pins 1, 3 and 4 of recorder are in their depressed positions, relays T, T and T are actuated and the wire selected is that of the stop piston l 'since the binary value of the pin combination 1-3-4 is 1 + 4 + 8,

       that is to say 13. Finally, thirdly, the relays T translate certain signals such as "justifiable space", "end of line", "justification between characters" and "change of font" by the wires ji, f1 , jc and cf.



   When the read contacts find the combination "3" in the recorder, relay T alone is actuated and the potential directed by wire 43 to the brush of SZ which is, in the digital example chosen, in position 4. The pins of SZ are connected to the stop pistons of the variable exhaust as follows: pin 0 and 1 to piston 4, pin 2 to piston 5, pin 3 to piston 6, pin 4 to piston 7 and so on. In the present example, SZ being in its position 4 selects the piston 7 and the variable exhaust escapes 7 teeth and advances the film carrier by 7 units for each space. At the same time PR also advances by one step for each space being also connected to wire 43.

   A wire 130 connected to 43 passes through the level F of PR and a rest contact of NJ towards the wire 25. When PR reaches its position 24, it sends by its level F a pulse on the wire 130 towards SZ which advances. of one, no. Since PR was 7 steps (usually N - R steps) from position 24, the first spaces will have a value of 7 units. The following R or 5 spaces will have a value of 8 units. This makes a total of 7 7-unit spaces, or 49 plus 5 8-unit spaces, or 40 units and a total of 89. Since the counter has recorded 4 units for each space, the. line length has been increased by 89 -

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   48 only or 41 units.

   Given that. this was the value of the deficit in the example chosen, the line is justified.



   At the end of the line, the read contacts find on the recorder the combination 3 -.5 that the operator has recorded by actuating key 22. Relays T3 and T5 are actuated and direct the battery to the Common point. of resistor rb and relay RS. The RS and CR relays then have both ends of their windings to the battery and drop out.



  The SE relay, on the other hand, remains actuated for a certain time by level B of FLR, because it is necessary to move the explorer carriage a few more steps to replace the last pins of the recorder.



  When CR releases, it applies a battery via one of its rest contacts to the clutch DEB which normally connects the variable exhaust EV to the film carrier. The carriage is thus released from the variable exhaust and returns to its rest position under the action of its return springs. When it reaches its starting position, the truck activates the RT contacts. This disconnects the so-called clutch battery and the film carrier is re-engaged to the variable exhaust. On the other hand, the battery which was applied to the winding of the FLR stepper is cut by operation contacts RT so that FLR advances by one step, its winding is connected by its level A to the source of pulses G and it begins to rotate.

   On closing, the RT work contact connected the variable exhaust motor EV to the battery through the cam Ca6 and energized the piston 1 of the variable exhaust. The film carrier which, under the effect of its inertia, has exceeded its exact starting position, starts up step by step until the circuit is cut by the MP cam which has a corresponding isolated position. - dant to the exact starting position. The FLR stepper, which keeps the SE relay actuated, also sends pulses to the film advance device FF which actuates the debtor driving the film. The number of pulses sent can be changed by means of a multi-position switch FFK, each position of which selects an FLR level, each of these levels sending a different number of pulses.



   Flash Circuit - The flash circuit (Figure 16) operates as follows:
The photographic unit comprises a disc D on the periphery of which are the characters CY, for example transparent. On an opaque background, an objective 0 projecting an image of these characters on the sensitive film F and a flash tube L. The disc rotates continuously and the characters are photographed by sending an electrical impulse through the discharge tube which lights up for an exceedingly brief duration, a few millionths of a second. Despite the high linear speed of the characters, perfectly clear images are obtained.

   To ensure character placement on film, the instant at which the flash occurs must be determined with extreme precision, also in the order of a millionth of a second. This is obtained by means of a photoelectric pulse generated by a slit F associated with each character. Since it is possible to arrange a slot corresponding to a given character with absolute precision, for example by photographing them simultaneously., The precision does not depend on the position of the characters on the disc but only on the relative position of the character and the slot associated with it.



  The photoelectric pulse is obtained by means of a film reader P, of the type commonly used in talking movies, which projects a very fine light slit on the path of the slits F and on the photoelectric cell PH. The photoelectric pulses which occur at the rate of one for each character are inoperative as long as the decoder (figure 10) has not opened to them -a passage to activate the flash lamp L.



   The decoder 142 generates at the moment when the character passes into the shooting position a relatively large pulse which acts on a window lamp and lets the corresponding photoelectric pulse pass. The pulses from the PH photocell are amplified by a pentode lamp 144 and appear with positive polarity in the cir-

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 anode fired.

   They are then applied to the control grid of the window lamp 145, also a pentode with a suitable bias potential supplied by a battery 146. This lamp 145 is normally blocked because its screen grid is connected to the battery. mass by a resistance 147.

     On the other hand, the decoder circuit comprises an inductor 148 and a battery 1490 As long as the decoder circuit is closed, a current of a few milliamperes limited by the resistor 150 circulates in this inductance. of the decoder find in the decoder the same combination as that of the recorder, the circuit is opened as explained in relation to figure II and an induced breaking current appears across the choke. The amplitude and the shape of this pulse depend on the resonant circuit formed by the inductor 148 and the capacitor 151.

   This induced voltage, of positive polarity, is applied to the screen grid of window lamp 145 and makes it conductive and amplifying while the character passes in front of the lens. At the precise instant when the character is in the shooting position, the photoelectric pulse occurs, passes through the lamp 145 and is transmitted to the lamp 152 which reverses its polarity and limits its amplitude. . The resulting pulse of positive polarity is sent to the lamp 153, preferably of the commercial Sylvania CAS type, and a capacitor 154 is discharged, through this lamp 153 thus started in the induction coil 155 of the type used in the ignition system of automobiles.

   This discharge generates a pulse of several thousand volts which ignites the discharge lamp L and the capacitor 143 is discharged causing a flash of light.



   To prevent the discharge lamp from operating more than once per revolution, capacitors 143 and 154 are disconnected from the potential source at the start of the decoder active cycle by a Ca3 cam. These capacitors are charged through appropriate resistances in the part of the next cycle attributed to the movement of the film carrier.



   Time control - The photograph of a character consists of two phases or cycles, a photographic cycle during which the character is photographed and a forward cycle during which the film carriage moves, The cams controlling these operations are shown on the fig-- re 16 and are driven by the same shaft as the die-carrier disc.



  Each opens and closes a contact in 1 - 1 order and for the relative times shown in the diagram of Figure 22. The disk carries the die characters on half of its periphery. The two successive cycles occur during a single revolution of the disc. There are 10 cams, the Cal cam controls the return of the film carrier to its precise starting position, the Ca2 cam is a pulse generator (source G) used in the justification, the Ca3 cam bypasses the decoder during the feed cycle and prevents the production of flashes of pictures, the Ca4 cam charges the capacitor 143 of the discharge lamp and prevents more than one flash per revolution from occurring, the Ca5 cam controls the operation of the variable exhaust advance selection pistons,

   the Ca6 cam controls the operation of the electro-motor of the variable exhaust EV, the Ca7 cam is the start-up cam which starts printing by closing the operating circuit of the CR and SE relays at the appropriate moment, the Ca9 cam controls the PLP contacts of the explorer (probes) and the calo cam closes the blocking circuit 126 of the relays Tl to T7 so as to release the contacts of the recorder as soon as the relays T are blocked for the rest of the cycle.



   Changing the Font - Multiple die fonts can be placed on a disc, for example one on the first half of the disc periphery and another on the other half. As discussed above, the photograph occurs during the first half-revolution and the carriage advance during the other half. The change from one cast iron to another requires in the operation of some cams an offset of half a tôura This can be done, for example by the ACFe relay Each cam from Ca3 to Ca10 has two sets of contacts offset by 1 / 2 turn and connected to the central blade of the ACF relay back and forth. When this relay operates, it transfers the cir-

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 fired from one cam contact to another.

   As a result, the shooting cycle takes the place of the feed cycle and vice versa.



   The ACF relay is controlled from the recorder. When the feeler contacts find the combination 3-6 (corresponding to the cast iron change signal) in the recorder, a potential is applied by relays T3-T6 actuated to the ACF and BCF relays (figures 16 and 17). The ACF and BCF relays and the rc and rd resistors constitute a flip-flop circuit. At the same time, the control potential is applied to the "zero" piston to prevent the operation of the variable exhaust during the change of cast iron. When the cast change pulse is complete, the flip-flop circuit switches to its second position and remains there until the explorer finds the 3-6 combination in the recorder, whereupon the machine switches back to first cast.



   Mechanical counter - Figures 23, 24 and 25 show an exemplary embodiment of a mechanical binary counter which can replace the electro-mechanical counters described above. This counter essentially comprises double-entry epicyclic gears interconnected by transfer members transmitting an elementary displacement for two elementary displacements received. The counter shown by way of example comprises five trains, four of which have double entry. The indices of the components of the train counting "1" are followed by A; the components of the train counting "2" are followed by B; the components of the train counting "4" are followed by C, etc ...



  Each train is made up of IM and 2M planets and 3M satellites. The inputs are made by the planet carrier arms 10M and the transmission of the restraints by the planetary 8B. The sun gear 2M is integral with a sleeve 7M on which is mounted the transfer wheel 6B which receives the retainers from the lower stage, that of the units in the case of the figure. The planetarium 1M is integral with the toothed wheel 8M and transmits the restraints to the upper stage. The entries are made by the ratchet wheels 5A .... 5E wedged on the axes 4A .... 4E which are integral with the axes 10M on which all the satellites such as 3M are mounted.

   The operation is as follows: three cases are to be considered. 1 Simple restraint: a restraint coming from the lower stage is transmitted by the transfer members 9A, T and 6B and causes an elementary rotation # of the planetary 2M; the transfer pinion 9B advances one step #. Simple entry: it is made by turning the ratchet wheel 5B by angle "U" = # and the transfer pinion 9B in this case also turns by angle 2 in the same direction as in the case previous. Simultaneous Entry and Hold, in this case the transfer pinion 9B turns two steps, ie by angle 2 ci) in the same direction as in the previous example.

   Each epicyclic train causing a reversal of the direction of rotation, the direction in which the ratchet wheels 5A, 5B, etc. are rotated, alternate from one train to the next. The pairs of gears 8A-9A and the transfer pinions T-6B are chosen in such a way that the successive elementary angular displacements of the planets IM are transmitted only once in two in absolute value and in sign to the planetary of the retainers of the upper floor, a Maltese cross or derivative system preferably being used to prevent the transmission from one floor to the other of the sets and to block each train in the rest position.

   In the example of the figure, the ratchet wheels 5A .... 5E have 20 teeth and are actuated by a pawl and an electromagnet shown schematically in figure 25.



  An angular displacement "U" or 2 W therefore corresponds to 1 / 20th of a turn or 18 degrees. We have seen that the elementary displacement of the planets is plus or minus 2U, that is to say 36 degrees, alternately in one direction and the other, so that the elementary displacements coming from a reservoir or an entry add up. Each transfer element consists of two toothed gears 8A and 9A and a transfer torque T-6B. The ratio of gears 8-9 is such that each elementary rotation # of planetary 8A corresponds to a 90 degree rotation of pinion T.

   This pinion has only two teeth 27M and 28M in the same level T6 and its shape is such that, combined with the profile of the wheel 6A, the latter is locked by the hollow profile 20M until a tooth 27M hole-

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 ve a hollow 19M and drives this wheel 6A until the tooth emerges from the hollow, the wheel being locked immediately. The SA wheel has 10 hollows such as 19M and the pinion T having two diametrically opposed teeth and turning 1/4 of a turn at each step, the 6A wheel will be driven every other time and will turn 1 / 10th of a turn, or 36 degrees, for each half-turn of pinion T.

   Each pinion T can therefore occupy one or the other of two positions, position I if, at the next movement of 90 degrees, it must drive the wheel 6A, and position 0 if, at the next elementary movement, it must not drive it. This pinion being connected by gears to the sun gear 2M, it follows that this sun gear will also occupy a position 0 or a position I, the position 0 corresponding to the "not retained" position! and position I to the "retained" position.



  These positions are also represented by the fingers 11M of wheels 8B cast on the planets 1M which close the contacts 30A, 30B .... when the element is in the retaining position and open it when it is in the position. - tion 0.



   The subtraction can be done with this counter following the same principle which was described previously, by inverting the position of all the transfer gears T, by adding the number to be subtracted and by inverting a second time the position of all the elements T. These reversals amount to putting in position 0 all the elements T which are in position I and in position I all those which are in position 0.

   In the example described, this inversion is obtained by actuating the "inversion" electromagnet which, by means of the rod 1614 which it pulls towards the right and levers 17M articulated in 18M on the frame, causes the upward movement of the axes 12A-12C and downward of the axes 12B and 12D, which are the axes carrying the transfer gears T, free in rotation but kept in translation. more than the normal level Tb have a lower level Tc comprising two diametrically opposed teeth 23M and 29M, like 27M and 28M of the level Tb, but offset by 90 degrees with respect to that of Tb.

   The operation of this electro will therefore ultimately have the effect of bringing the Tc levels of the pinions to the position of engagement with the wheels 6A and, due to the offset of the teeth of these pinions, the stages which were in position 0 will behave. as if they were in position I and vice versa as long as the reversing solenoid remains actuated. The return to the normal position is ensured by the springs 13M.



   For the installation at the start of the meter, in order to change the justification, it is necessary to change the position of certain stages of the meter without reacting on the following stages. Figure 25 shows how this result can be obtained. The counter shown has five stages comprising ratchet wheels 5A ... 5E by which the inputs are made and which are actuated, the electrodes 24A..24E for the inputs ranging from 1 to 16 units. The fingers 11-1 .... 11-16 control the positions of the "back and forth" 30-1, 30-2, .... 30-16. A series of 25A switches ....



  25E allows you to choose the stages which will be activated. The positioning is obtained by activating the electro of "positioning !!, which causes the displacement to the left of the rod 161,1, the descent of the axes 12A-12C and the rise of the axes 12B- 12E. In this way, the transfer gears T move relative to the wheels 6A while keeping the latter locked and the levels Ta without teeth replace the levels Tb to come into contact with the wheels 6A and deductions will no longer be transmitted.



  The toothed gears 9A-9E have sufficient width to remain in constant mesh with the wheels 8A ... 8E. The switches 25A ... 25E can occupy one or the other of two positions, the high position corresponding in the figure to position 0. It has been assumed in the figure that all these switches are in position 0, that is to say that 1-'we want to put the counter to 0. In figure 25, the counter marks 25, stages 1, 8 and 16 being in position I as indicated by the position of contacts 30A, 30D and 30E.

   The meter is put in place by activating the installation electro, by lowering it. key K which applies a battery to the electros 24A, 24D and 24E, raising the key K, which causes the advance of one step of these electro-

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 tros who reset their floors to 0, and finally by releasing the electro setting up.



   The mechanical meter which has just been described being provided with the same contacts as the electric meter described above can replace the latter without modifying the circuit and the description of the operation of the overall circuit will not be repeated.



   It is clear that this counter can also be used for other purposes in different applications.



   Light decoder - Figures 26, 27, 28 and 29 show a variant of the photographic device. According to this variant, the slit ensuring the photograph of the character at the precise instant at which it passes into the shooting position by means of a photoelectric cell, is combined with the decoder. For this purpose, there is provided for each character not a single slot cooperating with a decoder, but a system of several opaque lines arranged according to a code. An optical device projects instead of a single light slit, a combination of light slits the reverse of that. opaque lines corresponding to the code of the character to be photographed. When the combinations are identical, no light passes through and the photoelectric cell gives a pulse triggering the discharge tube.

   Figure 26 shows the arrangement of the slots and corresponding characters on a portion of the disc (or drum). The background is transparent and each character is associated with a series of opaque M lines. The characters are preferably transparent on a black background (see Figure 29). The opaque lines M are arranged in seven rows T1 to T7 in a manner similar to that shown in figure 10 for the insulating and conductive parts of the decoder. Cooperating with these opaque lines is a light slit SL which , during the rotation of the disc (to the right in the case of the figure), sweeps the opaque lines. This light gap can be partially blocked by seven shutters S1 ... S7. The corresponding mechanical arrangement is shown in figure 27.

   L is a filamentary filament lamp, Cl a cylindrical capacitor making an image of the filament on an elongated window or FY slit. This normally illuminated slot can be partially closed by shutters Sl, S2, S3, S4, S5, S6, S7 controlled by solenoids or electromagnets MS1 ... MS7 against the action of the return spring Sp. An objective C2 makes an image of the slit FY on the disk D at the level of the opaque lines M. PC is a photoelectric cell and FL the light discharge tube. Suppose for example that the shutters S2, S4 and S7 are pulled by the corresponding appliances.

   It can be seen (figure 26) that, when the disc rotates, the first position for which there is complete blockage of light, is the character "x" which has the opposite combination, and prevents light from passing to the Tl levels. , T3, T5, T6.



  The optical system projecting light on these same levels, there is complete blockage. Other blockages may occur for characters following the "x", but as explained previously, they will have no effect, because the flashlamp circuit can only give one discharge per passage of the alphabet. FIG. 28 shows the overall arrangement of the organs. In addition to the components already mentioned and which are designated by the same indices, this figure shows the C3 shooting objective making an image of the character on the sensitive film SF carried by the carriage FC, the advance of which is controlled by the variable advance mechanism EV under the control of the width translator TL and a Cal cam. The ENR recorder controls the MS1-MS7 shutters through the Ca2 cam.

   The control typewriter and its selection bars are represented in CL and CM and the supply circuit of the discharge tube in PH. In addition, as shown in FIG. 29, the disc carries two alphabets of different fonts F1 and F2 each occupying one half of the periphery of the disc. The passage from one to the other is made by means of the electromagnet FSE which closes one or the other of two transparent semi-circles FIT or EST cooperating with the luminous slit SL.



  It is clear that when the EST semi-circle is closed, the photocell will receive light for the duration of the passage of the characters.

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 res F2 corresponding to the semicircle FIT and, therefore, no flash of shooting can occur for any of the corresponding characters. On the contrary, the characters Fl corresponding to the semi-circle F2T can be projected. Switching from one cast to another is controlled by a special signal from the recorder which acts on the FS cast change electro.



   The opaque lines can be carried on a disc or drum independent of the die holder, but rigidly connected to it.



   First variant of justification - Figures 30 and 31 represent a first variant of the justification device.



   In this embodiment, the counter controls the operation of relay RC1-RC5 by the CO wires connected to the various stages. When the operator lowers the FLC key (figure 30) the step switch goes to position 1.



  In this position the RC1-RC5 relays which receive a battery by the counter stages which are in position "0" are blocked on FLK and release the counter. The position of the relays represents in binary numbering the deficit of the line (supposed to simplify the figure not to exceed 31, but that one can bring to any desired value by increasing the number of stages), and they serve to order the placement of a 32-position DS stepper, each level of which comprises two crowns of spindles as is well known.

   The first relay RC1 selects one of the brushes of the positioning crown, the other relays select one of the 16 pins in each half-crown o Depending on the position of the RC1-RC5 relays, one of the stepping pins DS receives land whose position precisely matches the value of the deficit. The DS stepper is activated by the battery supplied by FLK to its winding, through the resistor rs, its rest contact, and the slow release relay RA. When the Bal or Ba2 brush meets the pin connected to the earth by the relays, the stepping stops because its winding is then connected to the earth on both sides. For the sake of example, it will be assumed that the line deficit is 19 units. The broom Ba2 will therefore stop on pin 19.

   During the DS stepping operation, FLK has been kept actuated by the working contact of the slow release relay RS through which the DS working current passes, When DS stops, FLIC drops out and passes in position 2. Simultaneously FLK in position 1 has applied a battery to the brushes Bbl, Bb2 Bb3 and Bb4 of the step by step interval counter CI. This is in the position corresponding to the number of intervals which will be assumed to be 8. It can be seen that this battery is transmitted to pins 7, 15 and 23 of the row corresponding to the Ba3 brush of DS. No other pin receives potential.

   It can be checked that depending on the position of CI a battery is applied to pins N-1, 2N-1,
3N-1, etc. .. levels corresponding to the brushes Ba3, Ba4 or Ba5, N being the number of intervals. When under the control of the RC1-RC5 relays the DS brushes moved from the zero position to the 19 position, the Ba3 brush passed over pins 7 and 15 which were connected to the battery, and transmitted it. . to the step by step SZ which has thus advanced two steps, and is thus separating the piston of the variable advance 6, that is to say two units more than the normal space of 4 -units. FLK show 2, RC1-RC5 relays drop out. As soon as these relays were in operation, the counter was released for entering the next line.

   The justification is done in a manner analogous to that explained previously. A battery is for each interval applied to the juice wire by the T1-T7 translator relays (see figure 4 to 9) and a variable exhaust piston selected by the SZ switch (pist wires) at the same time the stepping DS takes a step forward each time. At the end of the 4th interval pulse, DS goes to position 23 in which his brush finds a battery applied by CI, SZ is attracted. SZ thus remains attracted until DS has fallen back to position 24, at the end of the 6th pulse.



   At this moment SZ goes to position 3 where it selects piston 7, ie the normal interval plus three units. The first five pulses are found to be 2 units and the last three to 3, giving a total of 19.



   The end of line signal arriving through the fl wire causes FLK to pass

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 in position 3. In this position, FLK connected to the source of pulses G and completes its rotation. During this return to zero it fulfills the functions de- veloped at the FLR switch in the description of figures 4 to 9 such as advance of the film, maintaining the relay SE, and further returns the switches DS and CI to their rest position, by their well-known doorbell return circuits.



   Second variant of justification - FIG. 32 represents a second variant of the justification device. In this example, the step-by-step ES is set up by the relays RCl-RC5 controlled by the wires Co coming from the counter as in the case of the previous example. When the operator actuates the FLC key, the FLK combiner goes to position 1 where it supplies the blocking battery for the RCl-RC5 relays, freeing the counter for typing the next line. Suppose that, in this case again, the line deficit is 19 units. The step-by-step ES stops in position 19. At each of its positions this switch introduces two resistors in a circuit going from the battery to the earth and constituting a potentiometer by which a potential is applied to the wire k.

   This potential is chosen to be proportional to the number of units in the line deficit (plus one), for example 1 volt per unit. In the example chosen, the point k would therefore be brought to a potential of: 19 + 1, ie 20 volts.



   Moreover, the interval counter CI is in the position corresponding to the number of intervals in the line, for example 8. By means of resistors connected to its various pads, this switch sends in a set of resistors Rf , a current such that in each resistor Rf the potential drop is precisely equal to N volts, N being the number of intervals. In the example chosen, this potential drop will be 8 volts in each of the resistors Rf.



   As soon as ES has reached its position, 19 in the numerical example chosen, FLK, which was kept actuated by the work contact of the slow release relay RA, drops back and goes to position 2 where it sends a battery to the control circuit. step-by-step SZ bell operation through the contact of the polarized relay Rpl. Indeed, this relay, connected between point k at 20 volts and the brush Bc of RP2 to the ground, works. SZ starts up and the potential of the brush Bc passes successively to 8, 16 and 24 volts. At this moment the Rpl relay releases because the current changes direction and the Rp2 relay operates. The SZ stepper stops in its third position connected to the piston 6 giving a normal space advance plus 2 units.

   FLK which was maintained by the contact of Rpl at work falls and goes to position 3 where it remains during the printing of the line. The justifiable space signal arrives through the juice wire and is applied to the ES switch which advances one step each time. At the same time, a variable exhaust piston operates, this one being selected by the switch SZ as explained previously. The step-by-step ES thus goes to position 20, then 21, 22 and 23 and the potential of the point K increases by 1 volt with each step, it reaches 24 volts when ES goes to position 23 at the end of the fourth pulse, at this moment, the relay Rp2 drops because it is on each side at the same potential (24 volts), and it closes its rest contact.

   The fifth impulse therefore actuates both SZ and FLK through Rp2 at rest and SZ goes to position 4 where it selects an additional feed of 3 units for the following intervals. FLK goes to position 4 where it remains. The following pulses will therefore give intervals having one more unit, that is to say in total 5 times 2 and 3 times 3, or in total 19 units. When the end of line signal arrives on FLK through the wire fl, FLK goes to position 5 where it is taken by the pulse source G and ends its rotation during which it fulfills the auxiliary functions of the film advance. etc. .. and returns the CI counter to zero.



   - Figures 34 and 37 represent a variant of the photographic device due to Mr. Samuel H. Caldwell. According to this variant, the photographic film, instead of being carried by a movable carriage which moves after the photograph of each character, is stationary during the printing.

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 line, and the image is moved by means of an optical system placed between the die-carrier disc and the sensitive film, without its dimensions being changed and without the sharpness being altered by a end of the line.



   Referring to Figure 34, the character disc is shown at D and continuously rotates in the direction of the arrow. The L flash lamp illuminates the selected character as it passes in front of a 1-P lens of focal length f1. This lens is placed at a distance from the disc, equal to its focal length and acts like a collimator giving an image of the character to infinity. On the optical axis of this 1-P lens, there is a second 2-P lens of focal length F2 associated with a 3-P prism and mounted in a 4-P mobile support, which can be removed. - place along the optical axis of lens 1-P in tube 5-P. This second lens forms an image of the character at its focus.

   The sensitive film
FP is placed at the focus of this 2-P lens, for this, the optical distance between the FP film and the 2-P lens, taking into account the reflection in the 3-P prism, is equal to the focal length of the 2-P lens. It can be seen that, in all the positions that the lens 2-P prism 3-P assembly can take, between the extreme right-hand position shown in solid lines and the starting position shown in dotted lines, it will always be a clear image on the film, an image whose dimension remains constant and depends only on the focal lengths of the two lenses. Indeed, let's call
Dl the distance, supposedly extremely large, at which lens 1-P makes an image of the character carried by the disc.

   This image is, for the 1-P lens, an inverted real image located on the right of the figure and the magnification is equal to Dl / fl. This image is for the 2-P lens a virtual object located at a distance D2, also very large, from which it gives a real image in the same direction at its focus with a magnification equal to f2 / D2.



   When the character carried by the disc is exactly at the focus of the lens 1-P, the distances D1 and D2 become infinite and can therefore be considered as equal, the distance between the lenses becoming negligible by comparison, and therefore the resulting magnification, which is the product of the two magnifications of the two lenses is equal to
D1 X f2 = f2 that is to say constant for all the positions of the len f1 D2 thread 2-P when it slides in the tube 5P. Due to the presence of the prism, the image is turned over in relation to the assembly described above, but the characters can be given the desired position by arranging the matrix characters in an appropriate manner on the disk D.



   You can change the magnification, and hence the size of the characters, by changing the focal length of the 1-P lens or the 2-P lens. To obtain larger characters, for example, it will suffice to increase the focal length f of the 2-P lens or to decrease that of the 1-P lens. In practice, it seems easier to change the 1-P lens. The new lens will be placed so that the characters on the disc are in its focal plane. Under these conditions, the image will continue to be made on the film FP and will retain a constant dimension whatever the position given to the moving lens 2-P and to the associated 3-P prism in the tube 5- P.



   Figure 35 is a side view of the device schematically shown in Figure 34. The sensitive film FP comes from a 6-P feeder reel and arrives on the 8-P feeder-receiver which is actuated at each end. line to space the lines between them, then the film is stored on the take-up reel 9-P. This assembly, as well as the movable lens-prism system is mounted on a 10-P frame and the whole is protected from external light by a suitable device, not shown.
Figures 36 and 37 show how the system which has just been described can be mounted in place of the film carrier shown in Figure 4.

   Screw 17-F, which is controlled by the variable exhaust (fi

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 gures 3 and 4) is used in the same way that it has been described in relation to Figures 3 and 4, to move a nut E. The prism 3-P is mounted in a support 11-P provided with rollers 12- P bearing on 13-P rails. Figure 36 is a vertical center section of the prism carriage.



   The optical system which has just been described has the advantage of making it possible to use a stationary sensitive surface. The moving parts are reduced to a lens and prism of comparatively extremely low weight which can be moved easily, more quickly, and over greater distances, than a cart carrying a film magazine necessarily of considerable weight. higher. It also becomes possible to provide with this device magazines that can contain large quantities of film and to provide them with accessory devices such as knives, for cutting the exposed film, punches, shutter housings, summer ...



   Although the present invention has been described in relation to exemplary embodiments, it is clear that it is in no way limited to said examples and is capable of numerous variations and modifications without going beyond its scope.


    

Claims (1)

RESUME. ABSTRACT. La présente invention concerne une machine à composer en carac- tères justifiés, dans laquelle sont décrits les différents éléments consti- tutifs d'une telle machine : enregistreur, compteur, décodeur, chariot ins- cripteur, système d'échappement variable et système de corrections, ainsi que des variantes de décodeur, de justification, de dispositif photographi- que, et un système de comptage mécanique ainsi que les différents circuits de liaison de ces'éléments. The present invention relates to a typing machine in justified characters, in which are described the various constituent elements of such a machine: recorder, counter, decoder, writing carriage, variable exhaust system and correction system. , as well as variants of decoder, justification, photographic device, and a mechanical counting system as well as the various circuits of connection of these elements.
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