BE485217A - - Google Patents

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BE485217A
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  • Machines For Manufacturing Corrugated Board In Mechanical Paper-Making Processes (AREA)

Description


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   pt   Perfectionnements apportés aux machines pour fabriquer du papier de rembourrage à l'aide de plusieurs bandes de papier ". 



   On connaît déjà plusieurs procèdes et   machines   pour fabriquer du   papier de   rembourrage dont on se sert pour l'emballage de produits sensibles à la pression. Ln dehors des papiers de rembourrage qui   comportent   une garniture ou couche de cellulose ou analogue, on a constate qu'il était   particulièrement     avantageux   d'avoir recours à un cous- sin   rembourré     formé     par   des couches de papier   superposées   et constituées   alternativement   par des bandes   niâtes   et des bandes   estampées,   gaufrées ou embouties, reliées entre elles par   points,   Le   procédé,

     utilisé pour la fabrication des coussins de   rembourrage   de ce genre, est   perfectionné   par la présente invention en ayant recours à une machine qui 

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 comporte une presse   estampeuse   mobile à   l'aide   de   laquelle   on obtient le collage et   1 'estampage   des différentes ban- des de papier suivant le dessin voulu.

   Jusqu'ici on a utili- sé pour la fabrication du papier de   rembourrage   un gommage par -points de bandes plates et un   estampage   par points des bandes plates avec les bandes embouties en relief à l'aide de   rouleaux     estampeurs   spéciaux sur lesquels étaient prévues des pointes disposées suivant un cliché ou dessin détermine   comme   pour les rouleaux de   avec   cliché des encolleuses. Conformément a l'invention on obtient avanta- geusement la liaison entre les différentes bandes de panier   l'aide   d'une bande gaufrée . Les bandes de   papier     traver-   sent   l'estampeuse avec   une pression uniforme età une vitesse constante avec intervention de chaleur.

   De cette manière on obtient une réunion permanente des   différentes   bandes sur un trajet relativement long pour obtenir finalement le papier de rembourrage . La nouvelle machine peut être   compa-   rée à une   estampeuse     constituée   par la   combinaison   d'une presse emboutissause plate et d'une presse emboutisseuse tournante. 



   Jusqu'ici on a   donné la     préférence,   pour la   fabrica-   tion   de   papier de   rembourrage,   avant tout à des presses plates car celles-ci pouvaient être utilisées pour obtenir des dessins ou motifs divers lors du   collage et   de   l'estam-   page des différentes   bandes     de     papier   entre elles,   riais     comme   ces   ne chines   n'avient qu'un rendement réduit, on s'est servi   ensuite   de presses rotatives avec rouleaux   estampeurs.   



    Celles-ci     avaient   un débit   plus élevé   mais la diversité des   applications -cessibles   était   fortement     diminuée .   Les rou-   leaux   estampeurs ne   convenaient   qu'à un seul modèle ou dessin bien   déterminé   et on était obligé de se contenter d'un   gommage     par   points pour la raison qu'en se servant de rouleaux   estampeurs les   couches intermédiaires,   munies   de   bossages   ou   gaufrages en     relief,     s'aplatissaient   facile- [,

  lent ce qui se   manifestait   préjudiciablement   par   une 

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 modification de la longueur des bandes correspondantes de sorte que les endroits gommés   suivant   un dessin   déterminé   n'étaient plus exactement en concordance avec les   parties   embouties de ces couches. 



     Avec' une   estampeuse   mobile,   au contraire, on peut diminuer progressivement et de manière telle la section trans-   versale   de l'entrée par laquelle les différentes bandes de papier pénètrent dans la machine pour que le planger d'une disparition par laminage des parties en relief n'existe plus, mais au contraire ces   parties, a     l'opposé   de ce qui se produit Dour l'obtention des bossages ou gaufrages en'relief, sont franchement et   simplement     égalisées     ou   nivellées aux endroits où se trouvent ces parties, il est donc possible de se/servir d'un   gommage   par lignes et d'avoir recours   également   à des dessins ou modèles en forme de bandes,

   Gomme on se doit plus   craindre   une modification de la longueur des bandes   intermé-   diaires bosselées ou gaufrées, les parties gommées suivant un dessin des différentes bandes se présentent maintenant exactement sous les parties correspondantes du modèle de   l'estampeuse   mobile ce qui n'était pas toujours exactement possible avec des rouleaux estampeurs malgré   qu'on   se conten- tait d'un gommage par   points*   L'égalisation des bossages ou gaufrages en relief présente également cet avantage que l'on peut donner aux parties relevées une hauteur plus grande pour la raison que ces parties conservent leur hauteur origi- nale complète directement à côté des parties égalisées et ne sont plus aplaties en partie par laminage. 



   Pour la nouvelle machine avec estampeuse mobile, les parties de   l'estampeuse   proprement dite, qui comportent le modèle du cliché à reproduire, se déplacent dans la machine en même temps que les différentes bandes de papier de sorte que celles-ci peuvent être réunies entre elles d'une manière permanente à l'aide du   gommage   suivant le modèle prévu. Il 

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 est, toutefois, à   recommander   que les bandes de papier soient 
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 entraînées sous pression par les organes de l'estampeuse qui portent le dessin ou cliché.

   Alors que la pression de courte durée, nécessaire pour obtenir l'estampage par des rouleaux emboutisseurs,   obligeait à   prévoir une vitesse de travail relativement réduite pour que l'on dispose tout au moins d'un temps suffisant pour que le collage puisse se faire, tout on obtenant malgré tout un rendement plus élevé qu'avec les   estampeuses   plates, on fait comporter à la machine, établie selon l'invention, une   partie   supérieure et une par- tie inférieure qui coopèrent entre elles comme un poinçon et une matrice   et}   qui traversent la   machine   en même temps que les bandes de   papier   de sorte   que/celles-ci   subissent plus   longtemps   l'effet de la pression et de la chaleur. 



  Au lieu de faire intervenir des périodes de courte durée pour le collage et l'estampage, on prolonge ces périodes 
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 considérablement, ir'ar exemple, dans les nachines connues pour fabriquer des coussins de rembourrage en panier les bossages ou ":0.UfrA.ro;E'S occupent chacun un espace de 3 à 5 L1in et passent à une vitesse de o à 10 m/min entre 1er- rouleaux   estampeurs,   on   neuf     maintenant     prolonger   à   volonté   la zone 
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 d'emboutissage, par exemple jusqu'à 500 mm, alors que la vitesse doit toutefois   être     augmentée   en   même     temps     jusqu'à   
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 30 a 5u m/min, même si l'on augmente la vitesse de cinq fois, le trajet :

  Jour   l'estampage   et la durée   correspondante   
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 dont on dispose nouer le collage sont augmentés d'une centaine de fois de sorte qu'on est certain QUE' la liaison entre les bandes se fait dans de bonnes conditions et qu'à la sortie de 
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 la machine les parties collantes se sont COT11 tement natta- chées et ont séché. Le papier de rembourrage sort de la ma- chine en étant prêt à   l'usage-     Suivant     un   mode de réalisation particulièrement   avanta-   
 EMI4.7 
 ;;eux de l'invention, on fait comporter èl l y est8dDeus e deux 

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 bandes sans fin sur lesquelles lesorganes estampeurs sont montés d'une manière amovible .

   Cette disposition a pour avantage principal que des bossages ou gaufrages, suivant les modèles les plus divers, peuvent être obtenus sur la même machine puisqu'il suffit d'établir sur les organes estampeurs les clichés voulus. Bien entendu, il est nécessaire d'avoir recours à des rouleaux de gommage dont les dessins doivent correspondre aux cli- chés utilisés et qui servent au gommage des bandes plates en papier avant leur introduction dans   l'estampeuse   mobile . Par conséquent, il n'existe, en pratique, aucune limitation en ce qui concerne la forme des modèles ou clichés que l'on peut utiliser. Avantageusement on se ser- vira donc, de préférence, de gommages en forme de bandes ou de lignes pour lesquelles la durée du collage est maintenant' suffisante.

   Pour pouvoir   appliquer   le   gommage   par bandes ou lignes en pratique, il est avantageux d'interrompre les lignes d'emboutissage . On évite ainsi, lorsque les organes estampeurs se rejoignent, que les bandes de papier puissent se coincer entre des organes voisins avant que ceux-ci aient atteint, en passant sur les poulies qui servent à leur entraînement et à leur renvoi, la position définitive nécessaire à l'estampage. 



  La ligne d'emboutissage interrompue donne en même   temps   aux endroits, où se fait le collage, l'aspect de coutures à points espacés de sorte que le papier de   rembourrage   peut être utilise non seulement comme coussin amortisseur mais également pour d'autres applications, par exemple pour des revêtements niqués. 



   Une pression peut être exercée sur les bandes ou courroies portant les organes estampeurs et il est à recommander de rendre la pression, exercée sur ces organes, variable et réglable. A cet effet on peut presser le brin inférieur de la bande supérieure, par 

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 des appuis à rouleaux soumis à une pression, sur le brin supérieur de la bande inférieure, chaque paire de rouleaux voisins ayant un   écartèrent   plus petit que la largeur des organes estampeurs pour que ceux-ci aient un   apnui     stable .   Les rouleaux des appuis, agissant sur la chaîne supérieure, peuvent être décalés par paires entre eux en étant supportés par des étriers en forme de U.

   Pour la bande inférieure il suffit que le brin supé- rieur de celle-ci glisse sur une table à rouleaux, la distance encre deux rouleaux consécutifs étant également plus petite que la largeur d'un organe emboutisseur. 



   La réalisation constructive des bandes, supportant les organes   estampeurs,   peut être faite de diverses manières. On peut les constituer, par   exemple,   par des chaînes à maillons, les différents maillons, qui   s'éten-   dent   transversalement   par rapport    la   direction d'avance- ment et qui sont, de préférence, articulés entre eux, portantles dessins ou clichés   d'emboutissage .     Les   des- sins ou   clichés   peuvent être formés ou gravés directement dans les maillons de la chaîne ou ils peuvent être   rappor-   tés sur   ceux-ci.   Dans le premier cas on doit, pour l'ob-   tention   d'un dessin différent,

     remplacer les   maillons eux-mêmes et dans l'autre cas il suffit de démonter les motifs ou clichés amovibles. 



   On peut   également constituer   les   bandes   par une courroie en acier sur laquelle les organes, sortant les mo- tifs ou clichés, sont fixés d'une manière amovible sous   forme de planches transversales. Suivant la largeur de forme de planches transversales. Suivant la largeur de     l'estampeuse   on   neuf     prévoir   plusieurs bandes   séparées   qui sont   actionnées   par des poulies entraîneuses , les   organes     estampeurs   étant   fixés     d'une     manière     amovible   sur les bandes séparées. 



   Les   organes     estampeurs   sont toujours disposés   trans-   

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   versalement   par rapport à la direction   d'avancement   des bandes qui les supportent, qu'il   s'agisse   de maillons de chaîne ou de traverses portées par des courroies en acier. 



    Pour   obtenir des dessins nu clichés, servant à   un     usae   dé- termine, il suffit de   remplacer   les organes d'estampage et les rouleaux   encolleurs     correspondants.   L'utilisation de courroies en acier, pour   supporter   les organes estam- peurs, àla place   de     chaînes   à caillons, est   préférable   non seulement par ce qu'on   diminue le   poids   mais   aussi parce qu'elles permettent, à   cause     de   leur   épaisseur   moin-   dre   pour une   même   résistance,

     d'aplatir     davantage   les points   d'articulation     reliant   les   organes     d'estampage   consécutifs   quand   ils massent sur les poulies de renvoi et   d'entraînement,

     un autre 'Joint important est que   l'allonge-   ment de courroies tendues en acier est moindre que celli obtenu par le jeu   existant   entre les   maillons     d'une   chaîne de sorte qu'on   écarte   le   danger   que les organes   estampeurs   des bandes   supérieure   et   inférieure   se   déplacent   les uns par   rapport     aux   autres ce qui   donnerait   des   bossages   ou saufrages irréguliers ou même un   estampage     décalé     par   rapport aux endroits prévus   au.     cas où   le 

    mouvement     relatif   entre les deux bandes deviendrait   excessivement     rand.   



   Pour la production de la chaleur,   nécessaire à   la   fabrication,   on peut chauffer directement les organes   :,or-   tant les motifs ou clichés, il est préférable de se servir d'un   chauffage     électrique   et   dans     ce     cas     lE.     courant     peut     être   fourni aux   organes     estampeurs   par des   balais     frottants     qui   glissent sur des rails   établis   à   l'intérieur   du trajet   fermé   suivi car les bandes qui   supportent   ces   éléments.

   Les   deux extrémités des fils   chauffants   électriques   d'un   élément estampeur aboutissent, de   préférence,   d'un même côté de cet   élément,   à des balais collecteurs   séparés. Comme     balais   collecteurs   au   courant on   neuf   utiliser plusieurs contacts 

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 frottants qui se   déplacent     avec   les   organes   estampeurs dans la machine. 



     D'autres   avantages , détails et   possibilités   d'appli- cation de la machine, faisant l'objet de l'invention,   apparaîtront   au cours de la description de deux modes de réalisation, de cette   uachine,   et qui sont montrés, à titre   d'exemple,   sur les dessins ci-annexés. 



   La fig. 1 montre, en vue de côté schématique, une machine   souvenant à   la fabrication du papier de rembourrage et établie selon l'invention. 



   Les   figs. 2     et 3   montrent, à   nlus   grande échelle et respectivement en vue de côté- (la paroi avant étant enlevée) et en coupe transversale selon III-III fig. 2, la presse   estamneusede   cette machine. 



   Les   fies-   4, 5 et 6   Montrent,   respectivement on cou-   pe   transversale, en plan et en vue de cote, une partie des   chaînes   portant les organes estampeurs. 



     Les   figs. 7   et Û   montrent des plaques avec des motifs ou dessins différents pour l'estampage. 



   Les fig. 9 et 10 montrent, respectivement en vue de côté(parties en coupe) et en coupe transversale selon x-X fig.   9, une   autre   machine   du   même   genre. 



   Les figs. 11 et 12 montrent, à   plus     grande   échelle et respectivement en coune   longitudinale   et en coupe transversale,   une   partie des   supports     des     organes   d'estam-   page   de   cette machine.   



   Les figs.   13,     Il..   et 15 montrent, respectivement   en   vue de   côté,   en élévation et en plan, les   organes     d'amenée   du   courant   pour le chauffage   électrique   de ces organes. 



   Les figs. 16 à 18   montrent     différents     modèles     des   papiers de   rembourrage   que l'on peut fabriquer selon l'invention. 



   La   machine,     montrée   sur la fig.1, convient à la   fabrication   de   papier   de   rembourrage   constitué par des cou- 

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 ches alternées et   superposées   de bandes plates et de bandes à reliefs, par exemple en forme de bossages ou de gaufrages, ces bandes étant collées entre elles. La trans- formation du papier plat jusqu'à l'obtention d'une feuille découpée et prête à l'usage se fait en une opération non- interrompue. 



   Sur un bâti 1, dont le contour n'est indiqué que   schématiquement   et en spectre, on monte trois rouleaux de papier 2, 3 et 4, les uns au-dessus des autres, ces rou- leaux fournissant la matière première, nécessaire à la fabrication du papier de rembourrage, sous la forme de bandes de papier plates. Les bandes 5 et 7, débitées par les rouleaux 2 et 4, sont humectées par des jets de va-   peur 8'   et 10 pour pouvoir résister davantage a   l'estampage   ultérieur et permettre, par conséquent, une fabrication plus rapide . Les bandes 5 et 7 passent entre les rouleaux entraîneurs 11 et 12 et ensuite entre les rouleaux estam- peurs 13 et 14 pour recevoir des bossages ou gaufrages. 



  La bande intermédiaire 6 est amenée par des rouleaux entraîneurs, à un mécanisme encolleur   16,   qui applique sur ses deux faces de la colle suivant un motif ou dessin déterminé. La bande gommée 6 rejoint ensuite les deux bandes estampées 5 et 7 dans un dispositif tendeur 17 qui comprend un rouleau oscillant 18 et un rouleau fixe 19 et par lequel on donne à l'ensemble des trois bandes une tension préalable afin qu'elle arrive exactement avec les motifs gommés aux endroits où se présentent les points d'appui de l'estarnpeuse principale 20,   qui/fait   l'objet de l'invention.

   Avant de pénétrer dans   l'estampeuse   20, on applique de part et d'autre sur l'ensemble des trois couches ainsi réunies, des bandes plates de couverture 21 et   22,   en papier et qui sont débitées par les rouleaux 23 et 24 après que ces bandes ont été gommées à l'aide des encol-    leuses 161 et 162. Après avoir traversé l'estampeuse princi-   

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 pale 20, dans laquelle les cinq couches sont définitive- ment réunies sous forme d'une seule bande 27, on découpe dans celle-ci, à l'aide de couteaux longitudinaux 25 et transversaux   26,   des feuilles 27' prêtes à la vente ou à l'usage et que l'on dirige, par une courroie transporteuse 28, vers une table collectrice 29. 



   L'estampeuse principale 20   (figs.   2 et 3) comprend deux paires de rouleaux 30,30' et   31,   31' sur lesquels passent des chaînes   32   et 33. Les différents maillons de celles-ci sont constitués par des plaques étroites 34 articulées entre elles par des charnières 34 et dont la face dirigée vers les rouleaux, est plane (fig. 5). Sur la face, dirigée vers l'extérieur, sont établies des saillies 36 qui correspondent au modèle ou dessin   à   obtenir, et qui sont en concordance avec les parties gommées des bandes 6,   21 et   22. Dans les extrémités des plaques 34 sont ména- gées des encoches latérales 37 dans lesquelles pénètrent des dents montées sur les rouleaux 38 pour entraîner les chaines.

   L'entraînement se fait par l'axe 39 du rouleau inférieur et celui-ci transmet sa rotation par les roues   dentses   40 et 41 au rouleau supérieur. 



   Les brins continus des chaînes, entre lesquelles passent les bandes superposées en panier, reposent sur des rouleaux 42 avec coussinets à billes et qui sont   engagés,   en étant embriqués, sur des axes fixes 43. Au-dessus de ces brins on établit   également   des rouleaux 44 avec coussinets à billes et qui sont montés sur des appuis 47 fixés sur une traverse 40. belle-ci neuf être   déplacée   en hauteur dans des guides 48, établis de part et d'autre du bâti de la machine et elle est soumise à la pression de ressorts 49 dont la tension peut être modifiée par des tiges   filetées   50 et à l'aide d'un volant 51 afin que cette pression convienne à celle nécessaire à l'estampage suivant la   qualité   du papier.

   

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 EMI11.1 
 Pour obtenir un estét d.yar:e convenable il est nécessaire que les points   d'appui   des   modèles   ou   clichés   de deux chai- nes soient exactement en concordance . A cet effet on établit aux   extrémités   des   ..taillons   d'une chaîne des doigts 
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 de réclame, 5k qui pénètrent dans des trous correspondants 53 des caillons de l'autre chaîne quand les   brins.de   ces chai- 
 EMI11.3 
 nes se rejoignent. Une déviation des chaînes est E:ilï7P¯^,'1GP pour la raison que les bords   internes   des encoches 37 sont en contact avec les dents 38 ce qui   empêche   tout déplace- ment latéral de la chaîne .

   Un   rouleau   tendeur 54 avec un poids 55, qui repose. sur le brin de   retour   de la   chaîne   
 EMI11.4 
 inférieure 3- ( 1 iy )? assure une marcha régulière de celle-ci. 



   Les figs. 7 et b   Montrent     deux     exemples     des     motifs   ou   dessins     utilises  pour   l'estampage.   Les points  d'appui   36 des plaques   34 de     la   fig. 7   forment   un nid   d'abeilles   et 
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 eaux 3 ' de la ¯W u montrent que le motif n'est ")as en forme de bandes ou lignes niais bien en forme de points.

     i''our     accélérer   le   collage,     vendant   que les   bandes   
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 passent dans l'estampeuse principale, on neut avoir recours à un dispositif de   chauffage     approprie     quelconque, par   le-   quel   on   chauffe     les     chaînes     ou     leurs     maillons,     un   peut,par   exemple,

     introduire par les bouts creux   des   axes des rou- leaux de la valeur   chaude ou   l'on   neuf     monter   sur les   mail-   lons des fils chauffants   électriques     auxquels   le   courant   est 
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 fourni -')8.r des contacts ou balais qui frottent sur oes rails conducteurs établis l<l'(r81ei.(-mt le 10n:2: des chaînes. 



  Un autre mode de réalisation 'e 1 Yest[-:11;f11..;.Se est montré sur les fins. 9 '<-# 12 pour laquelle à la Place des chaînes à   maillons     on   se   sert   de   bandes     minces     en   acier   sur les-     quelles   on fixe les   plaques     d'estampage .    . On     obtient   ainsi   1 'avantage     d'une réduction   en poids. 



   Dans un   carter   56, qui fait   partie- du     bâti   de la 
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 machine, on loge un moteur c;loctriuL8 57 qui entraîne r 

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 une vis sans fin 58, un arbre 59. Un   interrupteur   60   ainsi   qu'un   embrayage   à cône 61, commandé par un levier 62, servent à la comlande de la   presse .     Latéralement par   rao- Dort au   bâti   on fixe des   rouleaux dentés   65, 65' et 66, 66' sur   ries,     axes   67, 67' et 68, 66', ces axes étant   supportas,   en leur milieu, entre chaque paire de rouleaux par des pa- liers 69,   69'   et 70, 70'.

   L'entrainement des rouleaux a lieu par un arbre 59 qui sort du   carter   56 et par un couple conique 71 qui actionne un arbre vertical 72.   Par   les   pi-   snons coniques 73 et 74 on transmet la rotation de   l'arbre   72 aux rouleaux 65 et 66.   Les     Paliers 69'     et 70' des   axes 67' et 68' des rouleaux de gauche de la fig. 9 peuvent coulisser dans leurs appuis 75 à   l'aide     des   tiges   filetées   76, pour tendre les bandes en acier 63 et 54. La   bande   supé-   rieure   63 est tendue par des ressorts. A cet effet, on établit , au-dessus du bâti, un châssis 77 qui repose sur des leviers 78 à deux bras pivotant dans des paliers 79 du bâti.

   Les leviers, qui reposent par des galets 80 sur le châssis, refoulent celui-ci vers le haut à   l'aide   des ressorts de traction 81 accroches en 82 au bâti. La face supérieure du châssis comporte des nervures 83 qui portent des rouleaux 84 avec coussinets à billes et sur lesquels passe la bande 63. 



   Le brin supérieur de la bande inférieure 64 passe sur des rouleaux analogues 83 qui sont portés par des nervures 86 fixées au carter 56. La bande   supérieure   63 est pressée contre son appui à l'aide d'une plaque 87, réglable en hauteur et dont le bord inférieur porte des galets 88 soutenus élasti   quement.   Ces galets sont décalés par paires entre eux et sont montés sur des étriers 89 en forme de U, alors que leurs axes sont guidés dans des fentes 90. Un ressort 91, qui appuie entre les branches de l'étrier sur une traverse 92 reliant les deux axes, refoule les rouleaux vers le bas (figs. 11 et 12) .

   La plaque 87 est suspendue à des tiges filetées 93 qui peuvent être déplacées   angulaireent   à l'aide 

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 d'un volant 94, de couples coniques 95 et de roues dentées 96 pour régler la tension des ressorts 91. 



   Les bandes 63 et   64   portent des plaques d'estampage 97 qui sont fixées à des bandes minces en acier 98, par exem- ple au nombre de quatre, à l'aide de vis   99.   A la jonction des plaques, des bandes en acier comportent des encoches 100 dans lesquelles pénètrent les dents des rouleaux afin que ceux-ci puissent entraîner les bandes. Sur leur face externe les plaques portent un motif ou dessin 101 qui correspond à celui des parties en relief du papier de rembour- rage. 



   Les plaques sont chauffées par des fils électriques 
102 qui sont logés dans des rainures 103 de ces plaques et isolés par des perles en porcelaine . Le courant leur est fourni par des balais 104 et   104'   qui sont montés, aux extrémités des plaques, sur des cornières 105.

   Ces balais frottent sur des rails 106 et 106' qui sont montés sur des appuis 107 fixés au bâti en étant isolés de ceux-ci.   'Jomme   ces rails sont interrompus aux endroits   où les   bandes pas- sent sur les poulies d'entraînement   e:.     do   renvoi, on prévoit plusieurs balais sur chaque bande et on les   répartit   de ma-   nière   telle qu'au moins un balai soit en contact avec les rails afin que le   contact   ne soit   jamais     interrompu.   



   R E S U M E 
L'invention a pour objet des   perfectionnements   appor- tés   aux     machines   pour fabriquer du papier de   rembourrage   a l'aice de   plusieurs   bandes de   papier,   dont certaines sont   niâtes   et d'autres portent des   .saillies ou     parties   en relief, alors   que les     bandes   plates sont munies   préalable-     ment d'un   goamage   suivant   un   motif     ou   dessin prédéterminé, lesquels   perfectionnements,   utilises   séparément   ou en   com-     binaison,

     consistent   notamment :   - à faire comporter,   eux     machines   du   renre     en     question,  

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