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es les systèmes hy460-méoariqaes turan prixip,7.emont les changements de vitesse autotetlquelo ou asser,lop éôntinus ou à cascade ,, où l'un se sert de la pression et du dëbîtl d'ùn, fluide pr Otonit- des effets mëôànîqueg Ivoul-doe on saint quiti-léot de pu' r mntrtier d'futîe r,an prêôïoe ,a ,is 'a ti ox de ce fluide* on arrive t .b.ari à tégle-r à la. malzi le débit du fluide, pour le rg3e r automatiqueuient, on se sert des variations de vitesse du moteur, ce qui permet dtobtexut- des .- ' variations de pression et de débita azet -7.er ittott mécaniques Voulus, en l'o carence, le changexott de vitesse.
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on n'est cependant pas arrivé pratiquement, avec les variations de pression et de débit, à obtenir le débrayage automatique de toutes les vitesses, lorsque l'allure du moteur tombe au régime de ralenti. cependant, le changement de vitesse: automatique ne peut donner entière satisfaction que si ce dernier point cet pleinement acquis.
Les difficultés de cette réalisation proviennent du fait que, d'une part, il est indispensable de conserver au fluide - dans certains cas - une pression élevée lors de la marche au ralenti et que, d'autre part, la viscosité du fluide, surtout à froid, donne même aux basses allures, des pressions trop fortes, qu'on ne peut automatiquement faire varier.
Il ressort de tout ceci que , pour obtenir le débrayage automatique dans tous les cas (fluide épais, haute pression aux basses allures du moteur) il est indispensable de se servir d'un agent autre que la pression ou le débit du fluide.
La présente intention concerne un perfectionnement apporte à la distribution du fluide dans des organes tournants ayant pour but de couper automatiquement la distribution de ce fluide à une vitesse prévue, quels que soient la pression, le débit, et la viscosité du fluide utilisé.
La figure 1 représente, en élévation-coupe, une forme de réalisation du dispositif en question.
La figure 2 est une vue de profil, coupée suivant la lieue A. B. C. O. de la figure 1.
Sur ces figures, 1 représente un plateau distribu- teur, dans lequel le fluide arrive par le centre pour se diriger, par le canal 2, vers une soupape de forme spéciale, dont la tête 3 repose sur un siège; la queue 4 de cette soupage est de petit diamètre, et se prolonge, du côté opposé
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à la tête 3, par une partie cylindrique 5 de diamètre sensible- me n t égal au siège de la tête 3.
Cette partie cylindrique se continue par une tige 6 de petit diamètre, dont l'extrémité opposée au cylindre 5 est filetée pour recevoir une rondelle et écrou servant d'appui à un ressort 7 de rappel de soupape. La tête :5 de la soupape commande un canal 8 lequel est en communication avec le cla- pe t 9 d'un type déjà connu.
Le fonctionnement du dispositif est le suivant :
Le fluide arrive par le canal 2, pénètre dans la chambre 10 et, par sa pression, agit aussi bien sur la tête 3 de la soupape, que sur la face opposée, formée par la partie cylindrique 5, ces deux sections étant sensiblement les mêmes, il s'ensuit que la pression du fluide n'a aucune influence sur la soupape, puisque cette pression se trouve équilibrée par les deux surfaces précitées. Le ressort 7 maintiendra donc la soupape fermée, quels que soient la viscosité, la pression ou le débit du fluide.
Si maintenant le système se met à tourner, la force centrifuge de la soupape dont la partie cylindrique 5 est d'une masse déterminée une fois pour toutes, s'ajoutera à la force centrifuge de la colonne d'huile, Ces deux forces auront pour effet de vaincre la tension du ressort, en obligeant la soupape à s'ouvrir et à laisser passer le fluide, qui viendra alimenter normalement le clapet 9 de distribution.
Le fonctionnement de ce dernier est déjà connu par les demandes de brevet belges du 27 Août 1936 N 417.197, pour: "Embrayage hydraulique multiple, automatique et asservi, en particulier pour changements 'de vitesse, applicables
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aux automobiles" et du 30/1/57 N Z26862, pour: ,mbta1age à disques comprimés hyàraul1qlement",
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Comme on le voi t, le fonctionnement de la soupape 3-5 dépendra uniquement de la force centrifuge, c'est-à-dire de la vitesse du système tournant ; le tarage du ressort 7, d'une part, et le poids de la soupape, d'autre part, permettront de déterminer d'une façon précise le régime d'ouverture et de fermeture de la soupape, ce qu'il était impossible d'obtenir avec les distributions à clapets déjà connue s.
Comme on le voit, le fonctionnement du système est absolument automatique. Il ne permettra au fluide d'entrer en action qu'à la vitesse rigoureusement voulue, pour laquelle il a été réglé, Il permettra également d'interrompre l'action hydraulique, des que la vitesse du système tournan t tombera au-dessous d'une valeur déterminée.
Les dessins ci-annexés montrent un seul système distributeur. Il est bien entendu que chaque organe tournant peu t constituer un véritable distributeur e t comporter, par exemple , deux, trois, quatre systèmesanalogues.
Il est de même possible de réaliser plusieurs dispositifs semblables sur plusieurs plateaux montée, soit t sur le même arbre, soi t sur desarbres différents, le nombre et la disposition des systèmes tournants restant toujours dans le cadre de l'invention.