BE414483A - - Google Patents

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BE414483A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B65CONVEYING; PACKING; STORING; HANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL
    • B65BMACHINES, APPARATUS OR DEVICES FOR, OR METHODS OF, PACKAGING ARTICLES OR MATERIALS; UNPACKING
    • B65B13/00Bundling articles
    • B65B13/18Details of, or auxiliary devices used in, bundling machines or bundling tools
    • B65B13/24Securing ends of binding material
    • B65B13/34Securing ends of binding material by applying separate securing members, e.g. deformable clips
    • B65B13/345Hand tools

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Basic Packing Technique (AREA)

Description


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  B R E V E T   D'   I N V E N T   ION   Procédé et appareil pour l'agrafage de bandes métalliques cercler et autres liens semblables. Adolf   PRAEMASSING   et Ludwig PRAEMASSING 
Dans la production d'agrafages de bandes métalliques, on a jusqu'ici placé sur les bandes à agrafer, qui se recouvrent toujours, une chape ou douille confectionnée d'avance, et l'on a soumis cette douille à des changements de forme, en produisant une liaison résistant à la traction et à la pression.

   Ces changements de forme peuvent ici ne   s"étendre   qu'à la douille elle-même qui, par suite du changement de forme, se trouve serrée solidement aux bandes métalliques à agrafer, en assurant une jonction qui tient par frottement; ou bien les bandes à réunir sont aussi soumises à des changements de forme, par exemple par application en commun d'empreintes, de renfoncements, d'entailles, 

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 et par déplacement subséquent ou simultané des parties résultant des coupes, de sorte qu'il en résulte un agrafage par l'engagement des parties déformées, les unes dans les autres. 



  Dans tous les cas il se présente la difficulté que, pour que la douille puisse se glisser facilement sur la bande métallique et se déplacer sur les parties en recouvrement de cette bande, elle doit présenter une forme différente de celle donnée aux bandes métalliques elles-mêmes. Des différences se présentent particulièrement aux bords de la douille qui, par suite de leur forte courbure, présentent une résistance et une rigidité relativement grandes, de sorte que même avec les changements de forme qui se produisent lors de l'agrafage, il h'est pas possible d'atteindre une adaptation complète. 



  On a bien essayé de supprimer les inconvénients inhérents à ce mode de procéder en donnant à la douille, aux bords, des rayons de courbure différents. Mais le bord au rayon de courbure le plus grand conduit, après comme avant, aux difficultés déjà mentionnées, de sorte que l'on ne peut pas, par ce chemin, arriver à une solution complète des problèmes qui se présentent dans la jonction ou l'agrafage de bandes métalliques. 



   D'après la présente invention on arrive à une solution complète du problème en enroulant une bande de métal autour des bandes métalliques à agrafer. On ne glisse donc plus sur les bandes métalliques à lier, une douille plus ou moins terminée d'avance et dressée comme pièce de fermeture par des changements de forme ultérieure, mais on enboule autour des bandes métalliques à agrafer, une bande de métal de préférence sous forme de bande allongée.

   Il se présente alors l'avantage immédiatement perceptible que, lors de l'enroulement, on pourra de la façon la plus parfaite suivre la forme des bandes métalliques à entourer, sans que par suite de 

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 changements de forme déjà opérés on ait provoqué un raidis- sement de la bande de métal servant à la confection de la ,pièce de jonction ou d'agrafage, raidissement qui empêche- rait l'adaptation de la forme de cette pièce à celle des bandes métalliques à relier. La bande de métal servant à la confection de la pièce de jonction pourra avec cela, simul- tanément ou dans la suite, être soumise à des changements de forme qui assurent l'agrafage déjà mentionné, résistant à la pression et à la traction. 



   En ce qui concerne la forme et le mode de forma- tion de l'enroulement, on est entièrement libre. Notamment, la bande de métal à enrouler pourra se placer par couches simples juxtaposées, ou bien se recouvrant totalement ou partiellement. On a pourtant trouvé que, pour atteindre le but principalement en vue avec ces agragages de bandes mé- talliques, dans les cerclages au moyen de feuillards, par exemple pour emballage de caisses, balles, etc.., il suffit parfaitement d'enrouler la bande dë métal sous forme d'une douille fendue autour des bandes métalliques à relier ;    onpropose donc, en poursuivant plus loin l'idée de l'invention,   d'enrouler des bouts de bande de métal autour des bandes métalliques à relier, en formant des pièces de fermeture en forme de chape ou douille.

   En utilisant les appareils connus, dans lesquels une pièce de fermeture, entourant à la façon dtune douille les bandes métalliques, est dans la position de recouvrement des dites bandes à relier soumise à des changements de forme avec production d'un joint qui résiste à la pression et à la traction, le nouveau procédé se carac- térise donc principalement en ce que, dans ces appareils mê- mes, la bande de métal est transformée, à partir de sa forme de bande, de manière à prendre celle d'une pièce de jonction. 



   Dans l'appareil pour la production de la pièce de fermeture, 

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 on introduit convenablement une bande de métal qui   corres-   pond à la bande métallique à joindre par la pièce de jonction. De cette façon disparaît la tenue en magasin jusqu'ici nécessaire des chapes ou douilles excessivement coûteuses, et aussi la tenue en magasin de bandes de métal particulières pour la formation des pièces de jonction ou de fermeture; un autre avantage est la possibilité d'introduire dans l'appareil des morceaux de bande de métal qui tombent comme déchets du cerclage au feuillard. Car dans ce cerclage, il est toujours nécessaire de serrer les bandes métalliques, convenablement à l'aide de dispositifs de serrage spéciaux, afin de tenir la marchandise à cercler sous une certaine tension initiale.

   Dans ces conditions il se produit des longueurs superflues qui, selon la présente invention, trouveront une utilisation de la façon la plus avantageuse pour la confection des pièces de jonction ou de fermeture. Si au contraire il s'agit d'une main-d'oeuvre relativement coûteuse, ou bien d'une accélération du travail aussi forte que possible, l'économie à réaliser par l'utilisation des pièces de déchet est plus faible que celle que l'on fait par l'accélération du travail, et dans ce cas il est proposé d'introduire dans l'appareil, en vue de la production des pièces de jonction, une bande de métal placée sur un rouleau d'alimentation. 



  Une accélérqtion encore plus grande est obtenue par des dispositions grâce auxquelles la bande de métal est introduite automatiquement dans l'appareil, convenablement en dépendance des mouvements nécessaires pour la production de la pièce de jonction. 



   Le procédé lui-même se déroule convenablement de la façon suivante. La bande de métal introduite dans l'appareil, préférablement en position allongée, est d'abord coupée à la longueur nécessaire pour la production des piè- 

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 ces de jonction; elle   est/ensuite   portée à la position dans laquelle elle embrasse la bande métallique, et elle est finalement soumise à des changements de forme qui assurent la jonction ou l'agrafage de bandes métalliques ou feuillards de façon à lui permettre de résister à des efforts de pression et de traction.

   Si la bande de métal, convenablement coupée à la longueur voulue et avant de subir les changements de forme nécessaires pour l'établissement de la position d'embrassement, est soumise à des forces de pression plus grandes que les forces qui tendent à bomber la bande de métal au moment où elle est portée à ladite position d'embrassement, alors on est dans une mesure particulièrement forte assuré de l'accomplissement d'une adaptation parfaite de la pièce de jonction à la forme des bandes métalliques à joindre. La bande de métal est convenablement exposée à ces forces de pression pendant toute la durée des changements de forme qu'elle aura à subir. 



   Les appareils pour l'exécution du nouveau procédé pourront être établis des façons les plus variées. Ces appareils selon l'invention - appareils dans lesquels une pièce de fermeture qui embrasse les bandes métalliques est soumise à des changements de forme, dans la position de recouvrement desdites bandes, avec production d'un agrafage résistant à des efforts de pression et de traction -, se caractérisent avant tout   pqr   la disposition d'outils qui portent la bande de métal de la forme initiale, en bande préférablement allongée, à la forme de la pièce de jonction. De plus, les appareils se caractérisent par la disposition d'outils coupants qui détachent de la bande de métal introduite dans l'appareil le bout de bande de métal nécessaire pour établir la jonction.

   Avec cela il est pratique que les outils qui portent les bandes de métal de la forme pré- 

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 férable de bande   allongée,/à   la forme constituant la pièce de jonction, soient en même temps établis comme outils coupants. 



  Mais ces outils pourront en outre présenter le dispositif qui soumet à des changements de forme la pièce de jonction qui embrasse à la façon d'une douille les bandes métalliques dans la position de recouvrement, en créant la liaison ré- sistant à la pression et à la traction. 



   Les outils sont avantageusement exécutés sous for- me de leviers montés à articulation, et les articulations elles-mêmes sont de préférence disposées de façon à pouvoir se déplacer, dans une direction perpendiculaire au plan des bandes métalliques dans la position de recoupement. Si l'on exécute sous forme de pied, la partie de l'outil qui attaque la pièce à travailler, on obtient des possibilités particu- lièrement simples pour l'exécution des tâches imposées aux outils en vue de la mise en pratique de l'idée qui est à la base de l'invention.

   Il convient de disposer d'abord deux leviers qui peuvent tourner et se déplacer et qui sont pla- cés de façon que les pointes des parties en forme de pied des   outils se font vis-à-vis ; la position de départ, la   distance entre les pointes correspond à la largeur de la bande de métal . augmentée de la double épaisseur de cette bande.

   Le mécanisme de commande de ces outils est convenable- ment établi de façon que, par l'action de ce mécanisme, les outils se meuvent d'abord dans la direction perpendiculaire au plan des bandes métalliques, vers la jonction de celles- ci, jusqu'à ce que la semelle des pieds d'outil atteigne sa position extrême (la plus basse);   ensuie   les outils tour- en nent/dedans autour des articulations, en réalisant d'abord le rapprochement réciproque des pointes des pieds d'outils puis le passage des dos de ces pieds dans la position horizontale;

   on a ainsi la possibilité, en déplaçant les pieds dans la 

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 direction perpendiculaire au plan des bandes métalliques, de plier d'un angle droit, par les faces de semelle des outils, les pattes de la bande de métal, déjà découpée à la longueur de la pièce de jonction, qui font saillie chacune d'une moitié de largeur de douille sur les bandes métalliques dans la position de recouvrement. De cette façon, la bande de métal coupée à la longueur voulue passe de la position primitive allongée à une position en forme d'U, dans laquelle l'âme de l'U repose sur les bandes métalliques à agrafer, dans la position de recouvrement.

   Lorsque les outils sont tournés autour des articulations, les pointes des pieds d'outil viennent s'appuyer contre les branches libres de la pièce en U, de sorte que par suite du rapprochement déterminé par le mécanisme de commande, lésdites branches libres viennent s'appuyer sur la face des bandes métalliques à joindre non recouverte par l'âme de la pièce en U. Par le fait que les pointes des pieds d'outil possèdent dans la position de départ une distance correspondant à la largeur de la bande métallique, augmentée de la double épaisseur de cette bande, on obtient déjà lors du déplacement des outils un pliage net des pattes de bande de métal libre autour des bords des bandes métalliques à agrafer occupant la position de recouvrement.

   Le mouvement tournant subséquent des outils et le rapprochement réciproque des pointes des pieds d'outil renforcent encore l'effet,   vù   que ces pointes se déplacent par rapport aux pattes, en partant du coude et vers leurs extrémités. Les extrémités libres des pattes s'appuient avec une tension donnée par l'élasticité de la matière contre les pointes des pieds d'outil, et avec cela des forces de traction correspondantes s'exercent sur les pattes libres; ces forces tirent le coude fermement contre les bords des bandes métalliques à joindre dans leur position de recouvrement. 

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  Finalement, par le fait que les dos des pieds d'outil sont   patés   à la position horizontale, ces dos s'appliquent fermement aux pattes libres qui, à leur tour, sont appliquées aux bandes métalliques dans la position de recouvrement, de sorte que la jonction des bandes métalliques est soumise à une forte pression de fermeture dans la direction perpendiculaire au plan des bandes. 



   Dans la gorge formée entre le dos de pied et les appendices du corps d'outil servant à la fixation des pieds, on a convenablement disposé des talons, saillies, bourrelets, tranchants, etc.., pour produire les changements de forme de la pièce de jonction ou d'agrafage des bandes métalliques, changements de forme qui servent à établir une liaison résistant à la traction et à la pression. Quant à la forme et la disposition de ces saillies, on est entièrement libre, de sorte que l'on peut produire sans difficulté les changements de forme simples ou multiples qui permettent d'atteindre aussi parfaitement que possible le but proposé. Il paratt seulement pratique de disposer les talons, saillies, bourrelets, tranchants, etc., symétriquement par rapport aux plans du milieu des outils, afin d'éviter des   effBrts   unilatéraux. 



   Si l'arête la plus profonde (arête de talon) de l'un des pieds d'outil est établie sous forme de tranchant, on aura la possibilité la plus simple de couper de longueur la bande de métal nécessaire pour la formation des pièces de jonction. 



   Le support des outils est convenablement établi sous forme d'un chariot pouvant se rapprocher et s'écarter du plan des bandes métalliques dans la position de recouvrement, les outils eux-mêmes étant disposés dans le chariot de façon à pouvoir tourner sur des boulons d'articula- 

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 tion. Le chariot présente en coupe transversale de préféren- ce la forme d'un H; les outils étant placés dans les évide- ments du chariot, tandis que la face de la barre du milieu dirigée vers la pièce à travailler peut être établie sous forme de matrice par rapport aux talons, saillies, bourre- lets, tranchants, etc.., agissant comme poinçons et disposés dans la gorge entre les dos des pieds et les appendices du corps d'outil servant à la fixation des pieds d'outil. 



   Il y aura encore lieu de disposer un poinçon de pression, préférablement installé entre les outils. Sa com- mande est établie de façon que la bande de métal, avant de subir les changements de forme nécessaires pour l'établisse- ment de la position d'embrassement, est soumise à des for- ces de pression qui sont plus grandes que les forces qui tendent à bomber la bande de métal au moment où elle est portée à ladite position d'embrassement; convenablement la commande maintient ces forces de pression pendant tous les changements de forme auxquels est soumise la bande de métal. 



   Avec cela la commande peut être automatique. Il est pourtant plus simple de disposer une connexion par force du poinçon de pression avec le chariot qui porte les outils et par le- quel ledit poinçon est commandé. Une disposition avantageuse consiste à placer le poinçon de pression dans la traverse médiane du chariot, entre les deux outils. En effet, lorsque le chariot avec les outils est avancé vers la pièce à tra- vailler, le poinçon de pression qui se meut avec le chariot se pose sur la pièce, en produisant un effet de pression correspondant à la connexion par force.

   Puisque le chariot reste immobile pendant le mouvement tournant des outils qui se produit ensuite, l'action du poinçon de pression est donc maintenue pendant tous les changements de forme auxquels est soumise la bande de métal servant à former la pièce de fer- 

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 meture, de sorte que l'adaptation parfaite de la pièce de fermeture à la forme des bandes métalliques à réunir est garantie. 



   Pour le chariot on a convenablement disposé une commande par excentrique. Ainsi qu'il a déjà été mentionné, c'est par ce chariot qu'est produit le mouvement des outils vers la pièce à travailler. Pour rendre aussi simple que possible la commande nécessaire pour les mouvements tournants des outils, ceux-ci sont convenablement établis sous forme de leviers à deux bras, coopérant à la façon d'une pince; l'un des bras attaque la pièce, tandis que l'autre bras sert pour transmettre le mouvement tournant au bras en forme de pied qui attaque la pièce.

   Entre les bras d'outil qui servent à la transmission du mouvement tournant, on a convenablement placé une pièce cunéiforme ajustable, de sorte que suivant les positions de ladite pièce cunéiforme, lesdits bras sont plus ou moins écartés, et les bras qui attaquent la pièce à travailler sont par conséquent tournés plus ou moins par rapport à la position initiale. En disposant la pièce cunéiforme sur le plateau excentrique pourvu d'une poignée, par le bord de limitation duquel le chariot lui-même est déplacé, la pièce cunéiforme étant convenablement courbée concentriquement par rapport à l'axe du boulon de fixation, et disposée symétriquement par rapport au plan médian du plateau excentrique, on obtient qu'en actionnant une poignée unique, on détermine tous les mouvements nécessaires pour la production de la pièce de jonction ou de fermeture.

   La cage qui guide le chariot et qui reçoit le boulon de fixation du plateau excentrique peut être ajourée en forme de T, de sorte que les parois de cage qui limitent la branche du milieu de l'ouverture servent de guides au plateau excentrique. La pièce cunéiforme passe à travers 

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 l'évidement de la cage formant un angle droit avec la fente de guidage. Les têtes des corps d'outil qui prennent appui sur la pièce cunéiforme, pourront avec cela facilement recevoir une forme dessinée de façon que le point de contact entre les corps d'outil et la pièce cunéiforme soit toujours situé dans un plan passant par le milieu des outils. 



   Si les ressorts pour ramener le chariot à la position d'origine sont suspendus aux outils de façon que la direction de traction des ressorts soit en dehors des axes d'articulation, ces ressorts de rappel du chariot ramènent également les outils à la position d'origine, de sorte que l'on pourra se passer de ressorts spéciaux pour ramener les outils. On pourra encore renforcer cette action en prolongeant vers les ressorts de rappel les têtes des corps d'outil qui prennent appui sur la pièce cunéiforme, de faqon que, dans les positions dans lesquelles les outils sont tournés vers l'extérieur, les têtes d'outils détournent les ressorts de la direction de tension, et qu' ainsi les ressorts qui cherchent à se raccourcir, attaquent directement.les têtes d'outil, c'est-à-dire le bras de levier le plus long, en activant ainsi le retour. 



   Dans la construction de l'appareil, il fallait particulièrement veiller à la fixation correcte des bandes métalliques à joindre. La bande métallique à joindre constitue en effet l'enclume qui, dans tous les appareils connus à ce jour était toujours inévitablement employé pour la production des changements de forme de la chape ou douille. Si cette enclume ou cet appui n'occupe pas la position correcte, il   n'est,paB   suite du guidage prédéterminé des outils, pas possible d'adapter pleinement, comme on le désire, le façonnage de la pièce de jonction aux contours que les bandes métalliques à agrafer présentent dans leur position de re- 

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 couvrement.

   Puisqu'en   vue(de   faciliter l'introduction des bandes de métal dans l'appareil, il est nécessaire que cette introduction ait lieu par le côté, c'est-à-dire perpendiculairement au sens longitudinal des bandes, on ne pourra pas utiliser des butées fixes. Selon l'invention on a donc disposé des butées mobiles pour fixer les bandes métalliques ou feuillards à embrasser par la bande de métal, dans la position dans laquelle l'agrafage doit se faire. Une seconde butée sera nécessaire pour limiter la longueur de la bande de métal à introduire dans l'appareil, à une mesure avec laquelle la longueur de bande placée entre la butée et le tranchant concorde rigoureusement avec la longueur de la pièce de jonction.

   Cette butée doit également être mobile, puisqu'elle ne peut être disposée que sur le côté de l'appareil où la bande métallique à agrafer elle-même s'introduit. 



  Si la butée était disposée de l'autre côté, il faudrait que la fente d'introduction pour la bande de métal soit ménagée du côté où s'introduisent les bandes métalliques à agrafer. 



  Dans ce cas, le guidage de la bande de métal formant la pièce de fermeture ne pourrait pas être assuré d'une manière suffisante. Mais si la butée pour la longueur de bande de métal est située du côté d'introduction des feuillards à agrafer, elle en gêne l'introduction. En conséquence, il y a lieu de disposer une butée mobile pour la fixation de la longueur de bande de métal à introduire dans l'appareil, à une mesure à laquelle la longueur de bande de métal se trouvant entre la butée et le tranchant correspond exactement à la longueur de la pièce de jonction.

   Mais puisque deux butées occasionneraient des difficultés de service, les deux butées seront convenablement constituées par une pièce commune qui est avantageusement fixée sur le bâti de façon à pouvoir tourner., et qui est arrêtée dans la position finale 

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 constituant butées ; dans la position de cette pièce dans laquelle l'une des butées fixe les bandes métalliques à réunir dans la position où   l'agrafage   doit se faire, l'autre butée prend automatiquement la position dans laquelle la longueur de bande de métal placée entre la butée et le tranchant correspond exactement à la longueur de la pièce de jonction. 



   La fente d'introduction elle-même demande une disposition spéciale afin d'assurer le guidage rectiligne parfqit et la position allongée de la bande de métal servant à la confection de la pièce de jonction. A cet effet on a tiré en avant au moins une plaque de couverture de la fente par laquelle la bande de métal est introduite aux outils, et on a donné à cette plaque la forme d'une languette qui s'appuie élastiquement sur la bande de métal et qui pourra convenablement s'ajuster perpendiculairement au plan de la bande de métal. 



   Le bâti portant l'appareil pourra aussi de manière en soi connue recevoir les dispositifs de tension et de guidage de la bande métallique à agrafer. 



   L'invention s'applique aussi aux phases intermédiaires entre la position allongée d'une bande de métal continue, destinée à être utilisée pour la confection des pièces de jonction, et une chape ou douille finie. On ne s'écarte notamment pas du principe de l'invention dans le cas où les parties de la bande de métal formant la pièce de jonction sont introduites dans l'appareil, déjà coupées à la longueur voulue ou éventuellement portées à la forme intermédiaire en U.

   Car dans ce cas également on ne fait que résoudre le problème pour la première fois traité par la présente invention, à savoir la possibilité d'obtenir par embrassement des bandes métalliques ou feuillards à l'aide d'une bande de métal, 

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 une adaptation complète de/La forme donnée à cette dernière bandexà la forme des bandes métalliques ou feuillards dans leur position de recouvrement. On ne s'écarte pas non plus du principe de l'invention dans les cas où les dispositifs de tension et de guidage sont éventuellement disposés sépa- rément de l'appareil pour l'agrafage résistant à la pression et la traction, ou lorsque cet appareil est utilisé sans les dispositifsmentionnés en premier lieu. 



   Les dessins ci-joints montrent à titre d'exemple une exécution de l'objet de l'invention sous forme d'un appareil à fermer les caisses. 



   Fig.l est une vue de côté de l'appareil. 



   Fig. 2 en est un plan, la poignée de commande avec des parties annexes étant enlevées. 



   Fig.3 est une coupe verticale suivant la ligne III-III de la figure 1, toutes les parties occupant leur position de départ. 



   Fig. 4 montre,la position des organes étant celle représentée dans la figure 3, la position correspondante des pièces à travailler. 



   Fig.5 montre une position intermédiaire. 



   Fig.6 montre la position la plus basse du chariot et des outils. 



   Fig. 7 montre la position correspondante des piè- ces, 
Fig. 8 représente en coupe, selon les figures 3 et 6, la position finale atteinte à l'exécution de la ferme- ture de bande de métal. 



   Fig.9 montre la position correspondante des piè- ces à travailler, conformément aux figures 4,5 et 6. 



   Fig.10 est une coupe suivant la ligne X-X de la fig.1. 



     Fig.ll   est un plan des têtes d'outil, la pièce cunéiforme étant entrée. 

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   Fig.12 représenté une légère modification du chariot. 



   Fig.13 montre un dispositif où la bande de métal servant à la fabrication des pièces de jonction est prise d'un rouleau spécial. 



   Fig.14 est une vue de côté d'un agrafage de bande métallique fini, représenté à titre d'exemple. 



     Fig.15   est un plan de cet agrafage. 



     Fig.16   est une coupe de l'agrafage suivant la ligne XVI-XVI de la figure 15. 



   Dans toutes les figures, 1 est le corps de l'appareil, lequel se compose de deux plaques de base 1',1", réunies par une paroi 1'" perpendiculaire en substance aux plaques de base. Tandis que la plaque de base 1" renferme essentiellement les dispositifs de guidage, sous forme d'un évidement 2 qui monte en coin, pour la réception de la bande métallique à agrafer, la plaque de base 1' porte le dispositif de   tension,3,   établi sous forme de commande à double rochet. Un excentrique 5 ajustable par une poignée 4, permet de déplacer les roues à friction 6 en hauteur, de sorte que ces roues peuvent être portées à s'appliquer à la bande métallique à recouvrement placée au-dessus.

   Une enclume 7, à surface gainée, tient sous la pression de   1 t excentrique   5 la bande métallique à recouvrement de dessous dans une position fixe, de sorte qu'en actionnant maintenant la manette 8, on peut mettre en action la commande à rochet, laquelle donne alors au cerclage métallique la tension nécessaire. 



  Toutes ces opérations sont pourtant connues en soi, et elles ne font pas l'objet de la présente invention. 



   Outre le dispositif 3, la plaque de base 1' porte un appareil à l'aide duquel une bande de métal est enroulée autour des bandes métalliques à agrafer et est soumise à des changements de forme, lesquels assurent une liaison.des di- 

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 tes bandes métalliques à la position de recouvrement,liaison qui résiste à la pression et à la traction. 



   L'appareil se compose d'un bâti dont les joues latérales 9,10 sont venues de fonte d'une pièce avec le corps 1 de l'appareil. Les nervures 11, dans lequellesest disposé le dispositif de tension 3,forment aussi une partie du corps de machine. Entre les joues de bâti 9 et 10, et entre les parois latérales 12 et 13 - la paroi latérale 12 étant encore formée par le corps de machine - se trouve guidé le chariot 14. Ce chariot, comme le montrent particulièrement les figures 2 et 11, présente en coupe transversale la forme d'un H. Dans les   évidemehts   du chariot 14 on a monté les outils 15 et 16, s'articulant en 17 et 18. Les outils 15 et 16 consistent en des leviers à deux bras qui tournent autour des boulons d'articulation 17 et 18.

   Les bras infé- rieurs sont établis à la façon d'un pied, de sorte que l'on puisse distinguer une semelle d'outil 15',16', une pointe d'outil 15",16", un dos d'outil 15'", 16"' et un talon d'outil
15"",16"". L'exécution des pieds d'outil est parfaitement semblable, à la seule exception que le talon d'outil   15"",   contrastant avec le talon d'outil 16"", est fait sous forme de tranchant. Les deux pieds d'outil présentent dans la gor- ge entre les dos 15'", 16'" et les appendices 19,20 qui établissent la connexion avec le corps d'outil 15,16, des saillies 21,22 qui sont disposées au milieu de la gorge, donc symétriquement par rapport aux axes d'articulations 17,18. 



   Les bras supérieurs des corps d'outil 15,16 se terminent par des têtes fortes 23,24, dont la figure 2 fait voir la construction de plus près. La barre ou traverse du milieu 25 du chariot 14 est en   26,27   établie comme matrice pour les saillies 21,22 qui agissent comme poinçons. Le même bon ré- sultat pourrait être obtenu en disposant les poinçons 21,22 

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 sur la traverse du milieu 25 du chariot 14, et en ménageant les matrices 26,27 sous forme d'évidements correspondants dans les dos 15"', 16'  des pieds d'outil. Dans un évidement central 28, la traverse du milieu 25 du chariot 14 reçoit le poinçon de pression 29. La connexion entre ce poinçon 29 et la traverse du milieu 25 se fait par force, ledit poin- çon 29 étant soumis à l'action d'un fort ressort de pression 30.

   Un boulon transversal 32 qui passe à travers le trou long 31 du poinçon de pression, empêche celui-ci d'abandonner sa position. La surface 33 du poinçon de pression qui vient s'appliquer sur la pièce à travailler est rendue rug gueuse, afin que la pièce soit tenue sans pouvoir se déplacer. Des évidements 34,35 du poinçon de pression permettent une entrée des pointes d'outil   15",16",   de sorte que cellesci ne risquent pas de s'abimer par suite d'un maniement inexpérimenté de l'appareil. Par là, les flancs   3,37   des outils s'appliquent à la traverse du milieu 25 avant qu'il puisse y avoir un contact entre les pieds d'outil et le poin- çon de pression. 



   La commande du chariot 14 se fait par l'intermé-   diire   d'un plateau excentrique 38, qui est monté de façon à pouvoir tourner sur le boulon de fixation 39, lequel est tenu dans des forures des parois transversales 12,13. Ainsi que le montre la figure 1, le plateau excentrique se termine par une poignée 40. Sous l'action des ressorts de rappel 41, 42, le   chariot 14   s'applique constamment contre le bord de limitation 38', 38" du plateau 38. Perpendiculairement à son plan ledit plateau 38 porte des pièces cunéiformes, courbées en arc de cercle 43,44, qui sont établies tout à fait symétriquement par rapport au plan du milieu du plateau.

   Ainsi que le montre la figure 1, l'excentricité du plateau 38 est établie de façon que ce n'est que dans la zone 38' que le bord de limitation du plateau possède une distance allant en 

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 augmentant du centre de rotation. Au contraire, le bord de limitation 38" dans la zone des pièces cunéiformes est parfaitement concentrique par rapport au centre de rotation. 



   Les ressorts de rappel 41,42 ne sont pas suspendus au chariot 14 mais suspendus au corps d'outil 15,16, par l'intermédiaire des chevilles 45,46, de façon que la direction de traction soit située à l'extérieur des boulons d'articulation. De cette façon, les ressorts 41,42 non seulement tirent le chariot 14 contre le plateau 38, mais ils tendent aussi à tirer les outils l'un contre l'autre et avec cela contre la direction de mouvement déterminée par l'introduction par force des parties cunéiformes 43,44 entre les têtes d'outil 23,24. Ainsi que le montre la figure 8, les têtes pourront par les talons   23', 24@   être tirées en avant vers les ressorts 41,42, de façon que ceux-ci soient déviés de la direction de traction et tendent par leur effort de raccourcissement à repousser les têtes 23,24 à l'intérieur du bâti.

   De cette façon l'effet des forces de traction des ressorts qui attaquent par les chevilles 45,46 est renforcé par suite de l'action sur les bras de levier plus longs   15,16.   



   Comme le montrent particulièrement les figures 2 et 10, on a attaché par articulation à la paroi de bâti 10 un butoir 47 qui peut tourner, et qui présente en premier lieu un talon 48 qui sert pour tenir les bandes métalliques à agrafer 49,50, d'une manière ferme en position de recouvrement. Pour faciliter l'introduction des bandes métalliques à agrafer dans l'appareil, les parois du bâti 9 et 10 présentent une fente latérale 51 (voir   fig.10).   Puisqu'il y a le risque que les bandes métalliques 49,50 quittent spontanément leur position,il faudra qu'elles en soient   empe   

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 chées par une butée 48. On a déjà ci-dessus mentionné les raisons pour lesquelles la position exacte des bandes 49,50 est nécessaire.

   Afin que le butoir 47,48, actionné par l'intermédiaire de la tête 52, n'abandonne pas spontanément sa place, la fente 53 de la plaque de base l'est légèrement élargie en 54, de façon que la face étroite 55 de la butée 48 s'applique à la butée 56 ainsi formée. Un ressort 57 assure le serrage de la partie 47 dans la direction vers la paroi 10 du bâti. Outre la butée 48, le dispositif 47 présente une butée 58 pour la bande de métal à introduire dans l'appareil.; cette butée 58 est connectée avec la pièce 47 par l'intermédiaire des pattes 59.

   Par la butée 58, la longueur 60 (fig. 4) de la bande de métal 62, introduite dans l'appareil par la fente 61, est limitée à une mesure calculée de façon que la longueur de bande de métal placée entre la butée 58 et le tranchant 15"" corresponde exactement à la longueur nécessaire pour confectionner la pièce de jonction. Lorsque donc, après l'introduction des bandes   métalli-   ques 49,50 se trouvant dans la position de recouvrement, la plaque de butée 47 est portée à la position que montre la figure 10 et dans laquelle la position des bandes métalliques à agrafer 49,50 est fixée comme l'exige la confection de la pièce de fermeture, la butée 58 occupe aussi une position dans laquelle elle établit correctement la longueur 60 de la bande de métal 62 servant à la formation de la pièce de jonction.

   La fente d'introduction 61 présente (comme le montrent particulièrement les figures 2 et 3) une plaque de couverture 63, qui est tirée en avant jusqu'aux outils sous forme de languette 64 s'appuyant élastiquement sur la bande de métal 62. La hauteur de la fente d'introduction 61 pourra se régler avec précision à l'aide de vis 65,66. Le support 

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 67 qui limite par le bas 'la fente d'introduction, est exécuté sous forme de coulisseau et disposé de façon à pouvoir se déplacer à l'aide de la vis 68, de sorte que sa face de limitation 69 puisse s'ajuster dans une position rigoureusement verticale au-dessous du tranchant 15"" de ltoutil 15. 



   Ainsi que le montre particulièrement la figure 11, les bords de limitation intérieurs   70,71   des têtes d'outil 23,24 présentent une forme dessinée de façon que les points de contact avec les bords actifs   72,73   des parties   eunéifor-   mes 43,44 appartiennent toujours à un plan central à travers les outils. De cette façon on évite complètement des efforts unilatéraux des outils. 



   Les parois de bâti 9 et 10 qui guident le chariot 14 sont en 76 et 77 ajourées en forme de T, comme le montre   particulièrement la figure 10 ; parties des parois de   bâti 9 et 10 qui limitent les branches du milieu   76'   et   77'   respectivement, s'appliquent directement aux faces de limitation du plateau 38 et servent ainsi à le guider. 



   Aux endroits où de forts frottements se produisent, il peut être pratique de disposer des appuis à rouleaux ; on pourra ainsi par exemple disposer dans les   ttes     23,24   des corps d'outil 15,16, des rouleaux 78 (fig.ll) qui viennent s'appliquer aux faces actives 72, 73 des parties cunéiformes 43,44. Il est également possible de disposer sur le chariot 14, des rouleaux 79 (fig.12) par lesquels le plateau-came 38 opère la commande du chariot. 



   Voici le mode de fonctionnement de l'appareil qui vient d'être décrit. Après que la bande métallique,   convenablement prise d'un roulesauu aura été enroulée autour du colis à @@cercler de façon que la partie de commencement   de la bande se recouvre avec la bande prise du rouleau, la bande, après ouverture de la plaque de butée 47, est, au 

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 moyen de la fente d'introduction 51, placée dans la position que montre la figure 10, et ensuite la butée 47 est portée à la position que montre également la figure 10, dans la- -quelle la butée 48 fixe les bandes métalliques à agrafer 49,50 dans la position de recouvrement. Une butée 80   (figs.l   et 10) empêche un trop grand mouvement tournant de l'organe 47 pouvant occasionner des troubles.

   Après cela, l'excentrique 5 est abaissé assez pour que les roues à friction 6 viennent s'appliquer fermement sur la bande métallique supérieure 50. En actionnant la manette 8, on pourra déplacer la pièce de bande métallique supérieure 50 par rapport à la bande inférieure 69, de façon que la tension désirée s'établisse dans le cerclage. La longueur de bande devenue libre par suite de la tension est de nouveau enroulée sur le treuil, et la bande qui s'y trouve est séparée du cerclage. 



   Ensuite la bande de métal 62 est introduite par la fente 61, jusqu'à ce qu'elle rencontre la butée 58. La figure 4 montre cette position. La bande de métal 62 peut concorder avec la bande métallique utilisée pour le cerclage, Grâce à ces dispositions, toutes pièces de déchet provenant du cerclage des   c@@sses,   etc.. pourront être utilisées, puisque ces pièces auront toujours au moins la longueur 60 nécessaire pour la confection de la pièce de jonction. Pour accélérer l'opération d'agrafage, on pourra pourtant aussi dérouler la bande de métal d'une bobine spéciale 81, comme cela est montré dans la figure 13.

   On a alors la possibilité d'utiliser une matière première relativement douce d'une forte ténacité, tandis que généralement on préfère pour le cerclage métallique des matières plus dures et par conséquent plus cassantes. 

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   On tourne maintenant la poignée 40 dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant de la position représentée par la figure 1. Le bord de limitation 58' du plateaucame ou plateau excentrique 38, dont la distance de l'axe du boulon de rotation 39 augmente progressivement, pousse le chariot 14 et avec lui, par l'intermédiaire des boulons d'articulation   17,18,   les outils 15 et 16 dans la direction du point d'agrafage des bandes métalliques 49,50,62, vers le bas, en surmontant l'action antagoniste des ressorts 41 et 42. Immédiatement après, le tranchant 15"", établi convenablement en forme de croissant, se pose sur la bande de métal 62 qui est cisaillée lorsque le mouvement continue. 



  Le support 67 forme contre-tranchant avec sa face de limitation 69. La longueur du morceau découpé 60 correspond exactement à la longueur de la pièce de jonction, c'est-àdire à la double largeur de la bande métallique augmentée de la   quadruple   épaisseur de cette bande. Le mouvement continuant, les semelles 15',16' des outils 15 et 16 viennent s'appliquer aux pattes libres 62',62" du morceau de bande de métal détaché. Encore avant que ce premier changement de forme dudit morceau de bande s'opère, le boulon de pression 29 avec sa face d'extrémité grainée 33 s'est posé sur l'assemblage des bandes métalliques.

   Cet assemblage se comporte comme une butée fixe ou enclume par le fait que, d'une part, il est renfermé d'un côté entre le bord de limitation 82   (fig.10)   et la butée 48, et que, d'autre part, sur toute sa surface, sauf sur la largeur de la bande de métal   62,   il est appuyé sur la plaquedde base 1' (voir les faces de limitai tion polygonales 83-86 de l'évidement en forme d'étampe 87 de la plaque de base), de sorte qu'aucuns changements de forme de puissent se produire, sauf eaux des pattes libres 62',62". La figure 5 montre l'appareil dans la position qui 

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 vient d'être décrite. Le mouvement tournant étant continué, le chariot 14 atteint sa position la plus basse au moment où la poignée 40, partant de la position montrée dans la figure 1, aura en tournant parcouru un angle de 90 .

   En même temps les pattes libres   62',62"   auront été portées à une position dans laquelle elles sont placées perpendiculairement à la partie de bande de métal qui est serrée entre les bandes métalliques 49,50 formant support ou enclume et le poinçon de pression 29. Le morceau de bande de métal 62 découpé a donc pris une forme en U à branches libres dirigées en bas. Si l'on tourne maintenant la poignée 40 encore plus loin, le bord de limitation 38" vient en contact avec le chariot 14. Puisque ce bord de limitation 38" est concentrique par rapport à l'axe du boulon de rotation 39, la position du chariot 14 reste sans changement.

   Dans cette position le ressort 30 du poinçon de pression 29 est comprimé de façon que la pression exercée par ce poinçon est plus forte que les forces qui tendent à bomber la branche centrale ou âme du morceau de bande de métal 62 plié en U. 



   Mais entre temps, les parties cunéiformes 43,33 sont avec leurs bords de limitation   72,3,   entrées entre les têtes 23,24 des outils 15,16, comme le montre clairement la figure 6. Par l'action des pièces cunéiformes qui entrent, les têtes 23,24 sont écartées l'une de   ltautre,   les corps d'outil 15,16 tournant autour des boulons d'articulation 17,18, de sorte que ces têtes pénètrent dans les évidements 88,89 des parois de bâti 12,13.

   Par suite du mouvement tournant des outils 15,16, les pointes 15",1 6" des pieds d'outil qui   @@@@entre   temps, vers la fin du déplacement du chariot vers le plan des bandes de métal, sont arrivées en contact avec les pattes   62',62",   se rapprochant l'une de l'autre, de sorte que lesdites pattes, sous l'ac- 

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 tion de ce rapprochement, sont tournées en dedans. Puisque les pointes des pieds d'outil, jusqu'au moment où les outils sont tournés, se trouvaient écartées ltune de l'autre d'une distance qui correspondait à la largeur de la bande de métal augmentée de la double épaisseur de la bande, il   s'opè-   re un pliage vif des pattes libres   62',62"   autour des bords de limitation des bandes métalliques 49,50 dans la position de recouvrement.

   Puisque les pointes   15",16"   des pieds d'ou- .til se déplacent, pendant le mouvement tournant des outils, vers les extrémités libres des pattes 62',62", et puisque ces pattes d'un autre côté s'appliquent aux pointes d'outil avec une tension initiale résultant de l'élasticité de la matière première, le mouvement que les pattes libres exécutent vers l'intérieur est accompagné d'un effort de traction sur ces pattes ; cette traction part des endroits de pliage aux bords des bandes métalliques 49,50, de sorte que lors du mouvement vers l'intérieur des pattes libres, l'application parfaite du morceau de bande de métal 62 aux bandes métalliques 49,50 est maintenue. 



   La figure 8 montre la position finale de ce mouvement, à laquelle les dos de pied 15'", 16'" des outils 15,16 auront atteint une position entièrement horizontale. 



  L'assemblage des bandes métalliques   49,50,62   est donc en dernier lieu exposé à une forte pression de fermeture, dirigée perpendiculairement au plan des bandes et établissant l'assemblage à friction entre le morceau de bande de métal 62, constituant maintenant pièce de jonction, et les bandes métalliques   49,50,   reliées ensemble.

   Pour réaliser aussi une liaison tenant par la forme des pièces engagées les unes dans les autres, il se trouve dans la gorge entre les parties 19,20 et les dos d'outil 15'", 16'", des saillies 21,22 qui, en faisant fonction de poinçons, repoussent des 

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 parties marginales 90,91 de l'assemblage en les refoulant hors des plans des bandes métalliques, ou les cisaillent en formant des endroits de coupe décalés perpendiculairement aux plans des bandes, des évidements 36,37 du chariot 14 agissant ici comme matrice et recevant la matière repoussée ou découpée.

   Avec cela on établit une liaison métallique qui tient par la forme des pièces engagées les unes dans les autres et qui résiste parfaitement à la pression et à la traction, comme la montfent les figures 14,15 et   16.   Après l'exécution de cet assemblage, la pièce de butée 47 est placée dans la position qui dégage la fente d'introduction 51, en tirant la tête 52 contre l'action du ressort 57, de manière à mettre la butée 48 hors de portée de la face de butée 55. On pourra ensuite retirer la plaque de base 1' entre la caisse d'emballage et le cerclage métallique. Le levier 40 est ramené dans la position d'origine représentée dans la figure 1.

   Les ressorts tendus et éventuellement déviés 41,42 se raccourcissent alors, de façon qu'aussi bien le chariot 14 que les outils 15,16 soient ramenés dans la position d'origine par les chevilles 45,46. 



   Il est dans le principe de l'invention qu'avec l'appareil qui vient d'être décrit, on pourra exécuter aussi des pièces de jonction qui diffèrent totalement de celles selon les figures 14 à 16. On pourra obtenir tout assemblage quelconque, par friction ou par la forme, particulièrement par une modification des pieds d'outil et notamment par une modification de construction et de disposition des matrices et des poinçons, qu'ils soient ménagés dans les outils euxmêmes ou dans le chariot;.

Claims (1)

  1. - REVENDICATIONS - 1- Procédé d'exécution de jonctions de bandes métalliques, caractérisé en ce que l'on passe une bande de métal autour des bandes métalliques à joindre.
    2- Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la bande de métal passée autour des bandes métalliques à joindre, est en même temps ou dans la suite soumise à des changements de forme qui assurent une jonction résistant à la pression et à la traction.
    3- Procédé selon l'une des revendications 1,2, caractérisé en ce que des morceaux de bande de métal sont passés autour des bandes métalliques à joindre, en formant des pièces de fermeture en forme de chape ou douille.
    4- Procédé selon l'une des revendications 1-3, avec utilisation d'appareils dans lequels une pièce de jonction qui embrasse en forme de chape les bandes métalliques, est dans la position de recouvrement de ces bandes soumise à des changements de forme en créant une jonction résistant à la traction et à la pression, caractérisé en ce que dans l'appareil lui-même, une bande de métal en forme de bande préférablement allongée est portée à la forme constituant la pièce de fonction.
    5- Procédé selon l'une des revendications 1,4, caractérisé en ce que dans l'appareil pour la production de la pièce de jonction, on introduit de la bande de métal qui correspond à la bande métallique à joindre à l'aide de la pièce de jonction.- 6- Procédé selon l'une des revendications 4-5, caractérisé en ce que dans l'appareil pour la production des pièces de jonction, on introduit des morceaux de bande de métal qui tombent comme déchets du cerclage métallique.
    7- Procédé selon l'une des revendications 4-5, caractérisé en ce que dans l'appareil pour la production <Desc/Clms Page number 27> des pièces de jonction, in introduit une bande de métal placée sur un rouleau fournisseur.
    8- Procédé selon l'une des revendications 1-5 et 7, caractérisé en ce que la bande de métal est introduite automatiquement dans l'appareil, convenablement en dépendance du mouvement nécessaire pour la formation de la pièce de jonction.
    9- Procédé selon l'une des revendications 1-8, caractérisé en ce que la bande de métal introduite dans l'appareil, préférablement en position allongée, est d'abord coupée à la longueur nécessaire pour produire la pièce de jonction, est ensuite portée à la position dans laquelle elle embrasse la bande métallique, et se trouve finalement soumise aux changements de forme qui assurent la jonction résistant à la pression et à la traction, des bandes métalliques embrassées par la pièce de jonction.
    10- Procédé selon la revendication 9, caractérisé en ce qu'avant de subir les changements de forme nécessaires pour la production de la position d'embrassement, la bande de métal, convenablement déjà coupée de longueur, est soumise à des forces de pression qui sont plus grandes que les forces qui tendent à bomber la bande de métal au moment où elle est portée à la position d'embrassement.
    11- Procédé selon la revendication 10, caractérisé en ce que la bande de métal reste exposée aux forces de pression pendant tous les changements de forme auxquels elle est soumi.se.
    12- Appareil pour l'exécution du procédé selon l'une des revendications 1-11, dans lequel une pièce de jonction qui embrasse en forme de chape ou douille les bandes métalliques à joindre, est dans la position de recouvrement de ces bandes soumise ' à des changements de forme en créant une jonction résistant à la traction et à la <Desc/Clms Page number 28> pression, appareil caractérisé par la disposition d'outils qui portent les bandes de métal de la forme de bande préférablement allongée, à la forme constituant la pièce de jonction.
    13- Appareil selon la revendication 12, caractérisé par la disposition d'outils coupants qui détachent de la bande de métal introduite dans l'appareil, la longueur de bande nécessaire pour la formation de la pièce de jonction.
    14- Appareil selon les revendications 12 et 13, caractérisé en ce que les outils qui portent les bandes de métal de la forme de bande préférablement allongée à la forme constituant la pièce de jonction, sont établis en même temps comme outils coupants.
    15- Appareil selon la revendication 14, caractérisé en ce que les outils qui portent les bandes de métal de la forme de bande préférablement allongée à la forme constituant la pièce de jonction, et qui en même temps sont établis comme outils coupants, présentent des dispositifs qui soumettent à des changements de forme la pièce de jonction qui embrasse en forme de chape les bandes métalliques dans la position de recouvrement, en créant une jonction résistant à la pression et à la traction.
    16- Appareil selon les revendications 12-15, caractérisé en ce que les outils sont établis sous forme de leviers montés à articulation, les articulations ellesmêmes étant disposées de façon à pouvoir se déplacer, de préférence, dans une direction perpendiculaire au plan des bandes métalliques dans la position de recouvrement.
    17- Appareil selon la revendication 16, caractérisé en ce que les parties des outils qui attaquent la pièce à travailler sont établies en forme de pied.
    18- Appareil selon l'une des revendications 16 <Desc/Clms Page number 29> et 17, caractérisé en ce -que l'on a prévu deux leviers qui peuvent tourner et se déplacer, dont la disposition est faite de façon que les pointes des parties en forme de pied des outils se font vis-à-vis, la distance des pointes des pieds dans la position de départ correspondant à la largeur de la bande métallique augmentée de la double épaisseur de la bande.
    19- Appareil selon l'une des revendications 16-18 caractérisé par un dispositif de commande des outils, sous l'influence duquel ceux-ci se déplacent d'abord vers l'assemblage des bandes métalliques, dans la direction perpendiculaire aux bandes, jusqu'à ce que la semelle des pieds d'outil atteigne sa position extrême (la plus basse), après quoi les outils, d'abord avec rapprochement réciproque des pointes des pieds d'outil, puis avec passage des dos des pieds d'outil dans une position parallèle au plan des bandes métalliques, sont tournés en dedans autour des articulations.
    20- Appareil selon les revendications 16-19, caractérisé en ce que dans la gorge entre le dos de pied et les appendices du corps d'outil servant à la fixation des pieds d'outil, on a disposé des ergots, des saillies, bourrelets, tranchants, etc.., pour la production des changements de forme de l'agrafe des bandes métalliques qui servent pour la production d'une jonction résistant à la pression et à la traction.
    21- Appareil selon la revendication 20, caractérisé en ce que les ergots, saillies, bourrelets, tranchants, pointes, etc., sont disposés symétriquement par rapport à un plan central passant à travers les outils.
    22- Appareil selon la revendication 14, caractérisé en ce que le bord le plus bas (bord de talon) de l'un des pieds d'outil est établi comme bord coupant. <Desc/Clms Page number 30>
    23- Appareil selon l'une des revendications 12-22, caractérisé en ce que le support des outils est établi sous forme d'un chariot qui peut se rapprocher et s'écarter en direction du plan des bandes métalliques placées dans la position de recouvrement, tandis que les outils eux-mêmes sont disposés de façon à pouvoir tourner sur le chariot.
    24- Appareil selon la revendication 23, caractérisé en ce que le chariot présente en coupe transversale la forme d'un H, les outils étant placés dans les évidements du chariot, tandis que la surface de limitation de la branche centrale tournée vers la pièce à travailler est établie comme matrice par rapport aux ergots, saillies, bourrelets, tranchants, pointes, etc., lesquels agissent comme des poinçons et sont disposés dans la gorge entre le dos de pied et les appendices du corps d'outil servant à la fixation des pieds.
    25- Appareil selon l'une des revendications 12-24, caractérisé par la disposition d'un poinçon de pression, préférablement placé entre les outils.
    26- Appareil selon la revendication 25, caractérisé par une formation de la commande du poinçon de pression par l'intermédiaire de laquelle ce poinçon est soumis à des forces de pression avant les changements de forme de la bande de métal nécessaires pour l'établissement de la position d'embrassement, lesdites forces de pression étant plus grandes que les forces qui tendent à bomber la bande de métal au moment où elle est portée à la position d'embrassement, la commande maintenant convenablement le poinçon dans la position où il exerce la pression, pendant tous les changements de forme auxquels la bande de métal est soumise.
    27- Appareil selon l'une des revendications 25-26, caractérisé par une connexion par force du poinçon de pression avec le chariot qui porte les outils et par lequel ledit poinçon est commandé. <Desc/Clms Page number 31>
    28- Appareil suivant l'une des revendications 25- 27, caractérisé par la disposition du poinçon de pression dans la traverse médiane du chariot, entre les deux outils.
    29- Appareil suivant l'une des revendications 12- 28, caractérisé par une commande à plateau-came du chariot.
    30- Appareil suivant l'une des revendications 12- 29, caractérisé par l'exécution des outils sous forme de leviers à deux bras coopérant à la manière d'une pince, l'un des bras attaquant la pièce à travailler, tandis que l'autre bras sert pour transmettre le mouvement tournant au bras qui attaque la pièce et qui est fait en forme de pied.
    31- Appareil selon la revendication 30, caractérisé par la disposition d'une partie cunéiforme déplaçable entre les bras d'outil qui servent à la transmission du mouvement tournant, de sorte que suivant les positions de la partie cunéiforme, lesdits bras soient plus ou moins écartés, et que par conséquent les bras attaquant la pièce à travailler soient tournés plus ou moins par rapport à la position de départ.
    32- Appareil selon la revendication 31, caractérisé par la disposition de la partie cunéiforme sur le plateaucame se terminant par une poignée et par le bord de limitation duquel le chariot est déplacé, la partie cunéiforme étant convenablement courbée concentriquement par rapport à l'axe du plateau-came et formée symétriquement par rapport au plan médian de ce plateau.
    33- Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que le bâti qui guide le chariot est ajouré en forme de T, les évidementsdu bâti qui limitent la branche médiane servant de guides au plateau-came.
    34- Appareil selon l'une des revendications 30-33, caractérisé en ce que les têtes des corps d'outil qui viennent s'appliquer à la partie cunéiforme, présentent une forme <Desc/Clms Page number 32> dessinée de façon que le point de contact entre le corps d'outil et la partie cunéiforme appartiennent toujours à un plan médian mené par les outils.
    35- Appareil selon la revendication 32, caractérisé en ce que la ligne de limitation du plateau-came possède dans la partie située à l'extérieur des parties cunéiformes une distance croissante de l'axe de rotation, tandis qu'elle est concentrique avec cet axe dans la zone des parties cunéiformes 36- Appareil selon l'une des revendications 12-35, caractérisé en ce que les ressorts de rappel pour le retour du chariot à sa position de départ sont suspendus aux outils et cela convenablement de façon que la direction de traction des ressorts soit située à l'extérieur des axes d'articulation, de sorte que les ressorts de rappel du chariot ramènent aussi les outils dans la position de départ.
    37- Appareil selon la revendication 36, caractérisé en ce que les têtes des outils qui viennent s'appliquer à la partie cunéiforme, sont prolongées vers les ressorts de rappel de façon que dans les positions où les outils ont subi une oscillation, les ressorts sont déviés de la direction de tension de sorte que les forces de rappel des ressorts, en attaquant le bras de levier plus long, arrivent à produire un effet renforcé.
    38- Appareil selon l'une des revendications 12-37, caractérisé par la disposition d'une butée mobile pour la fixation des bandes métalliques à entourer par une bande de métal, dans la position dans laquelle la jonction doit se faire.
    39- Appareil selon l'une des revendications 12-38, caractérisé par la disposition d'une butée mobile pour la fixation de la longueur de bande de métal à introduire dans l'appareil à une mesure à laquelle la longueur de la bande de <Desc/Clms Page number 33> métal se trouvant entre la butée et le tranchant, correspond exactement à la longueur de la pièce de jonction.
    40- Appareil selon les revendications 38,et 39, caractérisé en ce que les @deux butées sont formées par une partie commune qui est convenablement fixée de façon à pouvoir tourner sur le bâti de guidage du chariot et qui est ar- rêtée dans la position finale formant les butées ; la position de la partie dans laquelle une butée fixe les bandes métalliques à joindre dans la position dans laquelle la jonction doit se faire, l'autre butée limite la longueur de bande de métal à introduire dans l'appareil, de façon que le morceau de bande de métal se trouvant enfermé entre la butée et le tranchant possède la longueur de la pièce.de jonction.
    41- Appareil selon l'une des revendications 12-40, caractérisé en ce qu'une plaque de couverture de la fente d'introduction de la bande de métal est établie sous forme d'une langue qui s'applique élastiquement contre la bande, tirée en avant jusqu'aux outils et convenablement disposée de façon à pouvoir s'ajuster en vue du changement de la hauteur de la fente,d'introduction.
    42- Appareil selon l'une des revendications 12-41, caractérisé en ce que le support qui limite la fente d'introduction du côté opposé à celui où se trouve la plaque de couverture, est disposé de façon à pouvoir se déplacer vers les outils, de sorte que sa face de limitation du côté de l'outil pourra se disposer verticalement sous le bord coupant d'un outil.
    43- Appareil selon l'une des revendications 12-42, caractérisé en ce que la plaque de base qui porte l'appareil est évidée en forme d'étampe et présente convenablement des faces de limitation polygonales dont la distance les unes des autres correspond exactement à la largeur de la bande de métal <Desc/Clms Page number 34> servant à former la pièce de1 jonction. TRENTE QUATRE PAGES.-
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