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Procédé de distribution et appareil distributeur de liquide .
La présente invention se rapporte aux procédé* et aux appareils destinés à être utilisés: dans les bars* les restaurants, et les endroits analogues et servent à diatri.. buer la bière et d'autres boissons analogues pour la con- sommation.
Bien que hart du brasseur produise de la bière d'excellente qualité, cette boisson, qui s'abime facilement, s'altère généralement pendant le temps qui s'écoule entre le moment où elle quitte le tonneau et celui où elle atteint le dernier consommateur . Cette altération est due à un certain nombre de causes dont l'une est l'état de malpropreté des tuyaux documentation et des serpentins de refroidissement de la bière dans lesquels des dépôts visqueux d'ingrédients collants de nature écailleuse de la bière ont accumule et développé des cultures de germes qui tendent à gâter
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la saveur de la bière distribuée qui s'écoule aur eux sinon à infecter le contenu du tonneau par le retour dans ce dernier de
la bière éventée et chargée de germes venant des tuyaux . On a également trouvé que même la bière de Qualité supérieure qui s'est échauffée dans le tonneau se trouble et perd sa qualité si on la refroidit brusquement,, suivent la pratique usuelle.. pendent la distribution, et que cet état est particulièrement aggravé dans le cas où la bière est préparée par les procédés rapides modernes, Une troisième cause d'altération de la qualité parait résider dans le mélange, avec la bière à distribuer, des gaz dégagés dans les opérations antérieures de distribution et emprisonnés dans les conduits de refroidissement et de distribution,
Le but de la présente invention est de donner des procédés, dea installations et des appareils servant à distribuer, sans perte,
comme par exemple celle due au débordement d'écume du récipient dans lequel on tire la boisson, et à la température optimum, de la bière claire exempte de trouble, calme et ayant un col épais et crémeux désirés, possédant toute la saveur qui lui est donnée par la brasserie, sans aucun goût étranger ou sans aucune perte de qualité, entraîné par exemple, par l'infection ou par un.
refroidissement trop rapide ou encore par le mélange, avec la bière à distribuer, des gaz dégagés pendant les opérations antérieures de distribution,
Un autre but de l'invention est d'effectuer une simplification considérable de l'appareillage de refroidissemant et de distribution et de son prix initiale l'installation comprenant des éléments grossiers, tous d'un type
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usuel, étant dépourvue d'organes réglables délicats;
, et en particulier éliminant les tuyaux pour la bière, les serpen- tins de refroidissement ,les réservoirs ou autres réci- pients, les soupapes de commande à flotteur, les soupapes chargées et autres dispositifs compliqués et coûteux géné- ralement utilisés dans les installations de distribution de bière .
L'invention a également pour but un procédé et une installation du type indiqué ci-dessus dans lesquels on évite l'emploi de glace faite avec de l'eau. ou de "glace sèche" et dans lesquels, bien que la bière ne traverse pas des serpentins de refroidissement, le refroidissement est, cependant, effectué sans recourir à une chambre froide de réserve .
.L'invention vise, en outre, une installation et un procédé de refroidissement d'une boisson, de construc- tion et de fonctionnement simples et sensiblement à l'abri des dérangments, qui dispensent de la nécessité d'un ser- vice de nettoyage ou de l'emploi de produits de nettoyage des tuyaux, la bière étant maintenue- immobile à la tempéra- ture désirée à l'intérieur du tonneau de transport primitif..
sans qu'on la fasse circuler ou qu'on la déplace d'une autre manière pour la refroidir et sana en séparer ou en isoler aucune partie, à l'intérieur ou à l'extérieur du tonneau primitif de transport,
Un autre bu de l'invention est de réaliser un procédé et une installation du type indiqué ci-dessus, dont le coût d'installation et d'entretien ne soit qu'une petite partie du coût correspondant des installations ou systèmes de refroidissement d'un usage courant, qui soient cependant efficaces: pour amener promptement la boisson à toute tempé-
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rature désirée pour laquelle l'installation peut être établit et qui soient sensiblement à l'abri de tout refroidissement exagéré de la bière .
Un autre but de l'invention est de réaliser un procédé et une installation de ce type grâce auxquels on empoche sensiblement la bière en tonneau livrée à l'établis- sement distributeur., de stabimer ou de s'aigrir et on supprime les frais importants de la brasserie pour remplacer cette bière abimée, ainsi que la perte qui en résulte des timbres fiscaux correspondants: .
L'invention vise également des procédés et des installations du type indiqué ci-dessus par lesquels la qualité de la bière n'est nullement modifiée. quelle que soit la température du magasin ou de la pièce dans lequel on la garde en réserve et sensiblement quel que soit le temps pendant lequel on garde la bière dans le tonneau on le baril avant son emploi, que ce soit avant ou après la mise en perce*
L'invention a encore pour but de donner des procédés, des installations et des appareils grâce auxquels la bière qui a été chauffée à des températures d'été est amenée en état d'être distribuée à la température désirée pour la boire sans aucune perte de sa qualité de son goût et de son cel primitifs et sans trouble ou sana effervescence .
L'ivention a pour objet une installation du type indiqué ci"dessus qui, dans le cas rare de dérangement du système de refroidissement, est à l'épreuve d'application de chaleur plutôt que d'enlèvement de chaleur à la bière, évitant ainsi que la température correcte désirée pour boire soit troublée pendant la réparation, et qui prévient automa- tiquement et rapidement le serveur de la nécessité de son
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service .
L'installation du type ci-dessus visée par l'invention permet l'enlèvement commode d'un tonneau ou baril lorsqu'il est vide et l'installation commode d'une nouvelle unité dans le système, sans fuite du liquide de refroidissement pendant cette opération.
L'invention vide également un récipient de transport, baril ou tonneau, qui, bien qu'il soit spécialement utilisé dans l'installation suivant l'invention, est sensiblement usuel par son aspect extérieur, qu'il soit en bois ou en métal, peut être rempli par les appareils usuels de brasserie, mis en perce par les appareils usuels de soutirage et nettoyé par les appareils usuels Utilisés dans ce but, et qui est dépourvu de toutes parties délicates pouvant être abîmées pendant la manipulation rude usuelle de tels récipients lors de leur chargement pour venir de ou revenir de la brasserie .
L'invention a également pour but d'utiliser toute la construction principale, douves, cercles, nielles et fonda des tonneaux de bière en bois ueuela actuellement en usage, pour les buts visés par la présente invention, simplement en remplaçant le fond supérieur par un fond de remplacement dont l'emploi ne modifie pas la capacité volumétrique du tonneau et laisse entière son efficacité pour tous les buts .
Un autre but de l'invention est de réaliser un équipement simple de soutirage pour amener la bière de l'intérieur du récipient ou tonneau de transport primitif au verre ou à la cruche par un trajet court, dépourvu d'appareils refroidissants et qui se vide ou se débarrasse de bois- son par lui-même.
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Suivant une caractéristique de l'invention on re- froidit la bière et on la maintient froide à l'intérieur du récipient ou tonneau de transport primitif par la circula- tion permettant la transmission de chaleur avec la bière d'un fluide préalablement refroidi, de l'eau par exemple. qui, en vertu de sa circulation, prend de la chaleur à toute la masse de boisson qui se trouve à l'intérieur du récipient d'une manière beaucoup plus efficace que dans le cas des: systèmes comprenant une masse froide immobile, telle que de la glace .
Suivant une autre caractéristique, la circulation du fluide de refroidissement s'effectue suivant un cycle continu, à partir d'un réservoir d'alimentation, par dea conduits ou serpentins de refroidissement, reliés en paral- lèle, à l'intérieur de plusieurs récipients ou tonneaux, cette circulation se produisant sans modifier le nature -des tonneaux, en ce qui concerne leur propriété d'isolant themique et leur propriété dten exclure l'air, et sans qu'il soit nécessaire démettre en perce aucun tonneau jusqu'un moment voulu .
une autre caractéristique de l'invention réside dans le contrôle automatique grâce auquel , dans le cas d'un dérangement dans l'efficacité du refroidissement, le moteur électrique qui fait circuler le fluide à partir de la source centrale est mis automatiquement hors d'action, un signal avertissant le serveur de la nécessité de son service . une autre caractéristique de l'invention réside dans la construction simple du tube de mise en perce ou de soutirage pour délivrer directement la boisson qui se trouve immédiatement au-dessus du tond du tonneau et pour éliminer
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toutes dispositions de séparation de la bière , de sorte que l'ensemble se nettoie essentiellement par lui-même et peut, de plus, être rapidement démonté pour le nettoyage .
D'autres caractéristiques de l'invention résulteront de la description qui va suivre .
Aux dessins annexés, qui montrent un ou plusieurs des modes d'exécution possibles des diverses caractéristiques de l'invention : la figure 1 est une vue en élévation, avec arrachement partiel, d'une installation préférée ; la figure 2 en est la vue en plan ; la figure 3 est une coupe longitudinale d'un tonneau en bois modifié suivant l'invention ; la figure 4 est une coupe longitudinale du raccord du serpentin à l'intérieur du tonneau en bois ; la figure 5 est une coupe longitudinale d'un tonneau métallique modifié suivant l'invention ; la figure 6 est une vue en perspective de la cabine de contrôle et de son appareil de réfrigération ; la figure 7 est une vue en coup e longitudinale,, à plus grande échelle, de la cabine de contrôle ;
la figure 8 en est une coupe transversale suivant la ligne 8-8 de la figure 7 ; la figure 9 en est une coupe longitudinale suivant la ligne 9-9 de la figure 7 ; la figure 10 est dne vue de détail, à plus grande échelle, suivant la ligne 10-10 de la figure 7 ; la figure 11 est un schéma du circuit de contrôle de l'eau de refroidissement ; la figure 12 est une vue partielle, en coupe Iongitudinale, de l'équipement de soutirage et de ses connexions;
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la figure 15 est une vue en coupe partielle mentrant une construction préférée de fausset et la figure 14 est une coupe d'un détail montrant l'emploi d'un organe de liaison servant à éliminer un tonneau du circuit de refroidissement .
Dans ses lignes générales l'installation comprend une série de tonneaux, de barils ou de récipients de bière pour le transport , en bois ou en métal, qui peuvent avoir la dimension normale et eflnt combinés chacun avec des moyens pour refroidir et maintenir sensiblement à la température voulue pour boire la bière ou autre boisson qui y est conte- nue .
Dans.ce but, un fluide de refroidissement, de l'eau de préférence, est amen4 d'une source représentée par la cabine C, voisine des tonneaux, par un conduit principal 20 et ramené à cette source par un conduit principal: 21. ces deux conduits sont enfermés dans une enveloppe commune isolante thermique 22 s'étendant sur la longueur de l'instal lation et dont une partie 23 se trouve sur la cabine C.
Des branchements 241 et 242, de préférence en caoutchouc, et de préférence revêtus de caoutchouc spongieux, partent des conduits respectifs et sont roués à plusieurs tonneaux de bière B1,B2,B3, etc.. , pour faire circuler l'eau en parallè- le, de manière à ce qu'elle échange de la chaleur avec la boisson enclose, comme, par exemple, dans des serpentins 25 qui seront décrits ci-dessous .
L'eau de refroidissement est pompée par les conduits 20 et 21 et par les conduits des divers tonneaux en parallèle, par un système de circulation dans lequel la propulsion et la température de l'eau sont automatiquement contres lées à partir de la cabine C pour maintenir à tous moments
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la bière contenue dans chacun dea tonneaux sensiblement à la température correcte pour boire .
Par conséquent, on peut mettre en perce directement n'emporte lequel des tonneaux pour distribuer la bière au consommateur dans autre refroidissement à l'extérieur du tonneau Dans ce but, et comme représenté grossièrement à la figure 1, les tonneaux B1 et B2 sont représentés mis en perce, tandis que les tonneaux restants B3, etc.., qui sont en ligne, sont représentés refroidis mais en réserve jusqu'à ce qu'il soit nécessaire de lea mettre en perce .
Le dispositif de soutirage 26 peut être d'un type plus ou moins usuel, mais il est de préférence de la construction représentée à la figure 12 et qui sera décrite ci-dessus. Il y a simplement lieu de noter maintenant que le tube de soutirage 26 porte un fausset F à son extrémité supérieure et est aussi muni d'une connexion 28 usuelle de gaz sous pression venant de la branche 29 du tuyau 30 d'amenée de gaz ce qui permet d'élever la bière jusqu'au fausset pour la distribution . Une auge d'écoulement semi-circulaire 181 est, de préférence, disposée sur chaque tonneau en perce, directement au-dessous du tuyau du fausset.
Quelques-uns des éléments de l'installation dans son aspect général ayant été mentionnés, la description dé- taillée qui va suivre de chacun des éléments constituants de cette installation sera mieux comprise dans son rapport avec l'ensemble .
Tonneau de distribution
On a représenté à la figure 3 le tonneau de bière usuel en bois dont le fond inférieur habituel 31 s'ajuste dans la nielle ou rainure 32. La bonde de soutirage usuelle
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38 du fond supérieur 33 peut être obturée par le bouchon de liège usuel 155 après remplissage du tonneau. Toutefois le fond supérieur est modifié de façon à supporter l'élément de refroidissement à circulation de liquide, de préférence un serpentin 25, en tube métallique approprié. Le serpentin de refroidissement peut comporter plusieurs spires 34 ,s'élevant sous une forme hélicoïdale depuis un point situé légèrement au-dessus du fond du tonneau, et dont le diamètre externe est un peu plus petit que celui du fond, comme représenté.
La pièce unttatre constituant le tube 25 comporte à une extrémité une partie montante 35 partent de la spire la plus basse et à l'autre extrémité une partie montante plus courte 36 partant de la'spire la plus haute, ces deux parties montantes étant reliées à leurs extrémités supérieures, d'une façon étanche au liquide à des douilles correspondantes 57 logées dans le fond du tonneau .
A titre d'exemple, le système de tube décrit peut être en cuivre plaqué d'argent ou en acier inoxydable, d'environ 1,6 centimètre de diamètre et 4,3 mètres de longueur, ce qui présente une surface de refroidissement notable à la bière, surface qui est supérieure à 1900 centimètres carrés, En supposant que le contenu soit chaud lorsqu'on branche initialement le tonneau au système de refroidissement, on peut soutirer la bière dudit tonneau à la température désirée pour la boire après quelques minutes, puisque le serpentin produit son effet de refroidissement maximum près du fond du tonneau, endroit d'où l'on tire la bière. Le serpentin de refroidissement étant hors de l'axe du tonneau ne peut gêner le tube de soutirage qui traverse la bonde 38 et s'étend sur toute la hauteur du tonneau.
Les douilles; 37 supportant les parties: montantes
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du serpentin de refroidissement sont, de préférence, disposées dans un plan diamétral perpendiculaire à l'axe de la bonde de remplissage 39 et les serpentins de refroidissement se trouvent entièrement au-dessous de la bonde de la partie bombée du tonneau . Par conséquent, cela ne gène pas l'in- troduetion du tube usuel de remplissage du brasseur, qui traverse généralement tout le diamètre du tonneau, pour la charge ou le remplissage .
Le serpentin de refroidissement disposé dans le tuyau rempli est fermement maintenu, par le contenu liquide incompressible, contre les -vibrations, même dans le cas de manipulations rudes .Afin d'empêcher tout dégât du serpentin par des manipulations rudes lors du :retour du tonneau vide à la brasserie, des manchons de garde 40, solidaires des douilles 37, entourent les parties montantes 35 et 36, au- dessus des spires 85, ce qui donne une rigidité suffisante pour le but envisagé .
A la figure 4 on a représenté une disposition préférée pour fixer au fond du tonneau l'extrémité du serpen- tin de refroidissement et le manchon de garde . Dans ce but la douille métallique 37 est, de préférence,vissée en 42 dans le fond de bois du tonneau. cette douille comporte un siège oblique 43 sur lequel repose l'extrémité supérieure évasée correspondante 44 des parties montantes 35 ou 36 du serpentin.
Un raccord métallique 45, dont l'extrémité inférieure 46 est taillée en biseau de façon correspondante, est vissée dans la partie supérieure de la douille 37 et comporte des pattes 47 par lesquelles elle peut être serrée étroitement, au moyen d'une clé appropriée, de façon à serrer ltextrémit6 évasée 44 du tuyau, comme représenté à la figure 3, l'extrémité supérieure du raccord 45 est fraisée dans la dépression corres-
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pondante 37' de la douille 37 et un chapeau 182 est vissé.. sur elle et peut être facilement enlevé lorsque le tonneau doit être introduit dans le circuit de refroidissement.
Le manchon d'accouplement 48 du tuyau. souple peut être fixé sur le raccord 45 au moyen d'un manchon enveloppant pouvant tourner 49, vissé sur ledit raccord , la pression de serrage étant exercée par l'intermédiaire d'une rondelle compressible 50. Chaque manchon de garde 40 constitue, de préférence, une partie unitaire de la douille correspondante 37 et entoure aisément la partie montante de tuyau correspondante 35,36.
De préférence , le manchon de garde 40 est refoulé vers l'intérieur en 54 pour former des nervures 55 à l'intérieur de la partie montante du tuyau de manière à ce que la liaison soit effective sans effort exagérés sur la connexion évasée 44,
On voit que le fond 33 équipé avec le serpentin de refroidissement indiqué ci-dessus peut être appliqué aux constructions usuelles des nouveaux tonneaux de bière qui auraient un volume légèrement plus grand que le volume normal, de manière à compenser l'espace occupé par le serpentin et à donner un volume net égal à celui des tonne aux usuels .
Toutefois l'invention est applicable aux tonneaux de bière de capacité normale actuellement en usage dont le capacité effective, suivant l'invention, n'est pas modifiée malgré l'espace occupé par le serpentin de refroi- dissement . Dans ce but, au lieu du fond de tonneau usuel, dont l'épaisseur principale atétend au-dessous de la nielle usuelle 55, on donne au fond 33 la forme représentée à la figure 3 de manière que la plus grande partie de son épaisseur se trouve au-dessus de cette nielle . Par conséquent, le tend du tonneau est aussi épais et aussi fort que le fond usuel,
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mais on ajoute ainsi au tonneau une capacité effective suf- fisante pour compenser la présence du serpentin.
Pour monter l'élément de refroidissement à l'inté- rieur d'un tonneau usuel, il est simplement nécessaire d'en- lever les deux cercles, supérieurs 56 et 57, de desserrer le troisième cercle 58 sans déranger le quatrième cercle 59 qui retient les douves ensembles, dtappliquer ensuite le nouveau tond 33 avec le serpentin de refroidissement qui y est attaché et d'appliquer et de resserrer à nouveau les cercles .
Les tonnaaux de bière ont été remplacés, jusqutà un certain point, par des tonneaux métalliques et on a re- présenté, à la figure 5, Inapplication de l'invention à une construction de tonneau métallique de ce type pour refroidir et maintenir froide la bière dans ce tonneau. Le tonneau représenté à titre d'exemple comprend des moitiés de tonneaux complémentaires internes 60 et 61, soudées ensemble sur leurs borda de contact, et des moitiés de tonneaux complémentaires: externes 62 et 63, soudées ensemble de la même manière. ce qui détermina entre ces tonneaux une enveloppe isolante thermique d'air en repos ou de vide partiel, mais qui est ordinairement remplie d'un bourrage isolant approprié 64.
Le fond inférieur du tonneau comporte une structure de rai- dissement 65 disposée entre les éléments interne et externe du fond et en contact avec cea éléments . Le fond supérieur est de même pourvu d'une structure de raidissement 66 dis- ponde entre les éléments 67 et 68 du fond . La bonde 69 de perce ou de soutirage relie de façon fixe lea milieux des éléments du fond -supérieur et elle est obturée par le bouchon usuel de liège 70 après remplissage du tonneau . De préfé- rence la structure est renforcée par des membrures métalli-
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ques 71 disposées entre les éléments de paroi externe et interne du tonneau .
La construction du tonneau d'acier qui, telle qu'elle vient d'être décrite, est connue et ne fait pas. partie de l'invention, est modifiée pour s'adapter au serpentin de refroidissement 85 en cuivre plaqué d'argent ou en acier inoxydable, ayantla même forme que celui représenté dans le tonneau de bois de la figure 3.
Dans ce but le fond supérieur externe 68 comporte des dépressions 72 à l'endroit desquelles lea éléments 66, 67 et 68 du fond sont amenés en contact comme représenté et qui sont percées d'oùverturea dans lesquelles s'avancent des manchons de garde 73, chacun de ces manchons étant pourvu d'une joue 74 rencontrant le fond interne 67 sur lequel elle est soudée et étant, de plus, rigidement fixé au tonneau par un écrou 75 vissé sur l'extrémité saillante qui est logée à l'intérieur de la dépression 72.
A son extrémité supérieure le manchon de garde 75 supporte l'extrémité 76 évasée vers l'extérieur de la partie montante du serpentin de refroidissement et il est refoulé vers l'intérieur, aux nervures 73', autour de la partie montante, pour diminuer la force de tension agissent sur l'extrémité évasée 76. Si on le désire, on peut visser de façon amovible un chapeau 77 sur l'extrémité supérieure accessible du manchon 75, ce chapeau étant enlevé lorsqu'on branche le tonneau dans le circuit de refroidissement. On voit que l'on relie au tonneau les manchons d'accouplement des tuyaux en vissant les manchons de connexion rotatifs 49, représentés à la figure 4, sur les extrémités supérieures filetées des manchons de garde 73.
Dispositif de refpoidissement et de contrôle
L'équipement qui, l'exception de l'ensemble usuel
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U du compresseur et du condenseur, peut être disposé à l'intérieur de la cabine C, est représenté aux.-.figures 6 à 10. La cabine C renferme un réservoir 80 pour l'eau de refroidissement dans laquelle est immergé le serpentin de réfrigération 81.
On peut employer tout appareil et tout cycle de réfrigération appropriés dont un exemple préféré est donné ci-après.. Le réservoir d'eau 80, qui est enfermé dans une isolante enveloppe/thermique, comporte, près du fond, une pompe 82 de circulation d'eau, de préférence du type centrifuge et pourvue d'une admission axiale 83 en communication directe avec l'eau du réservoir et d'un échappement 84 partant en s'élevant de ladite pompe et relié par un tuyau 85 au con- duit d'alimentation 80 d'où l'eau en circulation retient à nouveau au réservoir 80 par le conduit de retour 21 lequel se décharge par un tuyau terminal 86 débouchant à un niveau situé bien au-dessous des douilles 37 des tonneaux.
La pompe 82 est entraînée par un moteur électrique 87 disposé dans le compartiment de contrôle 88 de la cabine, de préférence en avant du réservoir t'eau 80 dont il est séparé par une paroi épaisse 89 isolante thermique. Tous les éléments de contrôle de la cabine sont, de préférence$ disposés dans ce compartiment de contr81e auquel on a un accès facile par une porte 90 situéa â l'avant . Le moteur électrique est relié, de préférence par une courroie 91, à une poulie 92 montée sur l'arbre 93 de la pompe, comme re- présenté à la figure 10. Cet arbre93 comporte un palier étanche à l'eau disposé dans la paroi épaisse 89 composée de plaques de tôle 891 et 892 séparées par un isolant ther- mique 89.
L'arbre 93 tourne dans un palier 94 comprenant un prolongement axial du boîtier de la pompe et supporté dans
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une douille de calage 95 qui traverse 1'isolant et qui est attachée rigidement aux plaquée 891 et 89 de la paroi.
De préférence la douille de calage 95 comporte une joue 96 qui lui est solidaire, prenant appui contre la plaque 891 et elle est maintenue en place par un écrou 97 prenant appui contre la plaque 892.Le palier 94 porte une rondelle compressible 98 qui est appliquée contre la douille de calage 95 par un écrou 99 vissé sur l'extrémité avant de ce palier .
Le moteur électrique 87 fonctionne d'une manière continue pendant que le système eat en service et aussi longtemps que l'eau qui se trouve dans le réservoir 80 est maintenue dans les limitea de températures permises pour refroidir la bière. Toutefois, on prévoit un contrôle pour arrêter automatiquement la circulation d'eau de refroidissement, de préférence en séparant le circuit du moteur 87, au cas où le système de réfrigération se dérangerait et où. la température de l'eau de refroidissement dans le réservoir s'élèverait au-dessus du maximum toléré. Au même instant un signal normalement inactif avertit l'opérateur du défaut .
Un appareil préféré approprié à ce but comprend un interrupteur thermostatique 100 disposé dans le compartiment de contrôle et actionné par une poire thermostatique 101 disposée dans le réservoir d'eau 80, la tige de cette poire traversant une garniture de caoutchouc 102 logée dans la paroi .isolante 89.
Le thermostat 100, dont les détails peuvent être entièrement usuels, comprend un diaphragme métallique souple 103 actionné par la dilatation du fluide contenu dans la poire 101 de manière à faire basculer un tube de mercure 104
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(figure 11) de sorte que, pour une position, lea contacta
105 de ce tube sont relies électriquement et les contacta
106 sont séparés. tandis que, dans la position opposée de basculement, la situation de cea contacts est inversée.
Le signal, de préférence une lampe électrique de signalisation 107 disposée derrière un verre lenticulaire rouge 108 placé à l'avant de la cabine, est mis en circuit avec le moteur 87 et l'interrupteur thermostatique 100 de la manière repré.. sentée à la figure 11 et qui va être maintenant déorite.
Dans la position de la figure 11 le circuit de la fiche usuelle 109 est fermé par le moteur 87 par l'intermé- diaire des contacta 105; mais le circuit de la lampe de si- gnalisation 107 est normalement ouvert à l'intervalle compris entre les contacts 106 du tube de mercure 104 de l'interrupteur thermostatique 100.
Lorsque le tube de mercure bascule dans la position opposée, en raison de la dilatation à l'intérieur de la poire thermostatique 101, sous l'effet de l'élévation de la température de l'eau de refroidissement, par exemple à 4,5 C. environ, on voit que le circuit du moteur est interrompu aux contacta 105, mais que le circuit de la lampe de signalisation est maintenant fermé par le mercure qui réunit les contacta 106. L'installation est ainsi à l'abri de la circulation dans les tonneaux de bière, par pompage, d'eau chaude venant du réservoir 80. Dès que la température de l'eau de refroidissement dépasse la limite tolérée la pompe cesse de fonctionner et la lampe de signait** sation s'éclaire pour avertir l'opérateur de la nécessité de son service .
On peut utiliser dans le même but, si on le désire, une lampe d'éclairement thermostatique. La bière qui se trouve dans les tonneaux étant sensiblement à la température désirée pour la boire au moment où la lampe qui indique le défaut s'éclaire, le serveur peut, malgré l'inter- ruption de la circulation de refroidissement, continuer à
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servir de la bière venant de ces tonneaux dans une condition sensiblement parfaite pendant une période -de temps notable; durant la réparation.
En avant du compartiment de contrôle on prévoit,' de préférence, un interrupteur 110 actionné à la main qui est aussi représenté schématiquement à la figure 11. cet interrupteur sert à isoler à la main le circuit du moteur 87 de la pompe ainsi qu'il est nécessaire , naturellement, chaque foie que l'on désire remplacer un tonneau vide. Comme représenté à la figure 11, lorsqu'on déplace l'interrupteur 110 de la position normale représentée pour fermer le contact 111, le circuit du moteur est coupé en 112 tandis qu'un circuit direct de la lampe de signalisation 107 est établi par le bras de l'interrupteur 110, sans, cependant, gêner la mise en position normale représentée du tube de mercure 104.
Naturellement, ltéclairement de la lampe 107 rappelle à l'opé- rateur qu'il doit agir à nouveau sur l'interrupteur 110 dès qu'il a branché le nouveau tonneau. De préférence,, l'interrupteur 110 est du type rappelé par un ressort, de sorte qu'il ne peut pas rester dans une position autre que celles- pour lesquelles il se trouve sur le contact 111 ou sur le contact 112.
Un cycle approprié de réfrigération pour maintenir l'eau de refroidissement dans le réservoir 80 à la température convenable, comprend un système compresseur usuel généralement disposé au-dessous de l'installation de distribution, ce système comprenant un compresseur alternatif 113 entraîné à partir d'un moteur électrique 115 par une courroie 114 et refoulant le réfrigérant par un serpentin condenseur contigu 116 dans lequel la chaleur est enlevée par rayonnement . Du condenseur le réfrigérant passe par un petit tuyau 117 à
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l'orifice d'admission 118 d'une soupape de détente 119 et de l'orifice de sortie 180de cette soupape au serpentin de réfrigération 81 qui se trouve dans le réservoir d'eau de refroidissement 80.
Le retour du serpentin de réfrigération 81 au compresseur s'effectue par le tuyau 181 de plus grand diantre que le tuyau d'arrivée 117 et, dans ce compresseur,$ la vapeur est ramenée à l'état liquide et refroidie dans le condenseur 116 pour recommencer le cycle de réfrigération décrit .
La température du réfrigérant est contrôlée thermos tatiquement par des moyens comprenant une poire thermostat!. que 122 fixée en 123 près de la sortie du serpentin de réfrigération 81 et reliée par un tube 124 à une liaison motrice souple à soufflet (non représentée) disposée dans la soupape de détente 119.
Ainsi, lorsque la température dans le serpentin de réfrigération tend à tomber au-dessous du minimum pour lequel le dispositif est établi, la contraction du fluide thermostatique oblige l'orifice de sortie de la soupape à se fermer' sensiblement. :En. conséquence , pendant la,suite du fonctionnement du compresseur 113, il se produit une. dépression qui surmonte la puissance du ressort 128 et ouvre l'interrupteur électrique 125 du moteur 115 du compres- aeur. On peut employer, dans ce but, tout interrupteur actionné par une dépression.
Le dessin représente à titre d'exemple un soufflet métallique 126 en communication par un tuyau 121' avec le boîtier 113= du compresseur et actionnant l'interrupteur 125 par l'intermédiaire des biellettes 127.
Le cycle de réfrigération étant maintenant inter- rompu, à mesure que le serpentin de réfrigération 81 se chauffe le fluide thermostatique contenu dans le poire 122 se dila-
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te pour ouvrir à nouveau la soupape de détente 119, l'aspiration dans le tuyau 121 devient, moins efficace jusqu'à ce que le ressort 128 ferme à nouveau l'interrupteur 125 du moteur de sorte que le cycle de réfrigération recommence,
Les divers éléments comprenant le compresseur, le condenseur, la soupape de détente, le contrôle thermostatique de cette dernière et l'interrupteur électrique 125 actionné par la dépression, peuvent être de toute conatrue- tien connue ou usuelle désirée et leur liaison mutuelle générale pour effectuer le cycle et l'opération de contrôle indiquée ci-dessus, prise en elle-même,
ne fait pas non plus partie de l'invention Cependant* la liaison particulière des éléments du système de réfrigération, ainsi que son mode de coopération avec le système de circulation d'eau, rentrent dans le cadre de l'invention. Suivant l'invention, la soupape de détente 119 est montée dans un boitier 129 isolant ther- mique pour la protéger contre les possibilités de givrage et cette soupape est disposée comme représenté, de préférence près de la partie supérieure du compartiment de contrôle de la cabine, à travers la paroi 89 duquel sont faites, les dit- Tarses connexions étanches aux liquides avec le serpentin de réfrigération 81-et les poirea thermostatiques 101 et 122.
Comme représenté aux dessins, la cabine est avait d'un tube de trop-plein horizontal 130 qui traverse aussi la paroi isolante 89 près du sommet du réservoir d'eau 80 et débouche en avant de la cabine, en 131, au-dessus de la porte 90 qui s'encastre, de préférence, dans le fond, en 90'. Gr#ce à la disposition du tuyau de trop-plein, on évite la nécessite de soupapes à flotteurs ou autres organes de contrôla du niveau, le serveur étant averti par l'écoulement de l'eau par le tuyau que le réservoir est suffisamment rempli.
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On évite le chauffage du moteur électrique ou des autres éléments à l'intérieur de la chambre de contrôle en arrangeant une circulation d'air par des rainures 132 pratiquées dans le fond du compartiment de contrôle et des fentes en persienne pratiquées dans la porte 90 directement en avant du moteur 87.
Le couvercle 134 de la cabine, qui est, de préférence, monté à charnière par sa partie avant, porte, de préférence, une planche de bois appropriée (non représentée) servant pour couper du pain en tranches et pour des usages analogues .
Appareil de soutirage comme la bière ou autre boisson est maintenue à la température désirée pour la boire dans le tonneau de transport, elle peut être distribuée directement sans avoir à passer par aucun moyen de refroidissement . On a donc rsprésenté aux figures 12 et 13 un tube de soutirage combiné avec un fausset de sortie attache à ce tube dans le but in.. diqué . Le tube de soutirage 26 est entouré par un manchon.
147 pourvu d'une bride 148 près de son extrémité Inférieure., supportant un collier rotatif 158 pourvu d'oreilles 153.
Lorsqu'on met en place le tube de soutirage , on serre le collier 152 par son extrémité filetée 154, à l'intérieur de la douille 38, pour forcer la rondelle souple 149 contre le rebord 150 de cette douille et pour dégager occasionnelles ment le bouchon 155 qui y est ajusté étroitement . sur l'extrémité supérieure du manchon 147 est vissé le manchon usuel 141 d'entrée de gaz de propulsion qui est étroitement maintenu en place par un écrou à oreilles 142 sur lequel est monté pivotante en 143 une bague 144 aval)
* pliquant contre une rondelle de caoutchouc 145 logée dans une
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douille 146 du manchon 141 et servant ainsi à verrouiller le tube de soutirage à sa place après qu'il a été abaissa jusqu'à la position représentée à la figure 1.
La partie supérieure du tube de soutirage 86 qui se trouve au-dessous du fausset F monté sur son extrémité supérieure est, de préférence, entourée par une enveloppe d'air J isolante thermique afin de maintenir froid le tube de soutirage et d'empêcher l'exsudation* Dans ce but, une douille 156 de matière isolante telle que la bakélite on la vulcanite, ayant un diamètre considérablement plus grand que celui du tube de soutirage, repose à son extrémité in- férieure sur un coussinet 157 disposé autour d'une section supérieure 86' du tube de soutirage,
sur laquelle il peut être collé . Les sections 26 et 26' sont maintenues étrcitement appliquées bout à bout en vissant la bague 157 sur la collerette complémentaire 156' qui est fixée au tube 26, l'effort étant absorbé élastiquement par une rondelle compressible 157'.
Une bague métallique 158 est: vissée en 158' sur l'extrémité supérieure de la section 26' du tube desoutirsge et exerce une pression sur l'extrémité supérieure de la douille 156 à laquelle elle est aussi collée,, de préférence* Dana la bague 158 est vissé le pivot 159 du fausset F. De préférence un tamis métallique 160 à maille fine et à deux couches est disposé dans une chambre de tamis entre l'épaulement 161 de la bague 158 et l'extrémité inférieure du fane* set F et sert à arrêter tout fragment libérée toute écaille ou corps analogue qui pourrait entraîné par la bière venant du tonneau .
Bien entendu, le tube de soutirage 26 peut être fait en une seule pièce continue, mais on préfère la cona*
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truction en sections représentée car elle facilite le démontage pour le nettoyage et facilite aussi le remplacement économique de n'inerte quelle petite section ou partie qui a été endommagée ,
Dans son allure générale, le fausset peut être sensiblement d'un type usuel.
Il comprend un bottier 162 partant du pivot vertical 159, comportant une chambre 163 pourvue d'une valve coulissante 164 dont la tige axiale 165 est guidée à son extrémité arriéra dans un palier 166 et porta à son extrémité avant, près de la valve, un collier perforé de guidage 166;, cette valve étant actionnée par l'extrémité intérieure 167 du levier de manoeuvre qui traverse une entaille correspondante 169 de la tige 165, est monté pivotant en 170 sur le boîtier et comporte tma poignée ' de manoeuvre 168 dirigée vera le haut .
La valve compeorte une tâte d'appui sphérique 171, en caoutchouc, appliquée, dans: la position de fermeture, contre un siège sphérique 172 qui se trouve dans l'extrémité supérieure de tuyau 175 de la valve, assemblé avec le boîtier 168 par un chapeau fileté 174.
Le passage allant du siège de la valve au pivot vertical du fausset s'étend longitudinalement vers le bas en 175 d'une façon continue du siège de la valve à l'extrémité inférieure du pivot . De même, la paroi 176 du tuyau 173 ae prolonge d'une façon continue vers le bas dans sa direction, longitudinale depuis: le siège 172 de la valve jusque la sortie .
Les parties en forme d'auge des passages du fausset servent donc de gouttière. pour enlever complètement et rapidement toute reste de boisson qui s'y trouve, sans qu'il soit possible que de la boisson reste logée ou isolée dans ledit fausseté
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Installation det fonctionnement
On peut refroidir et maintenir n'importe quel nombre de tonneaux de bière compris dans les limitée, correspondant à la dimension de la cabine de contrôle C.
Suivant le dimensien de l'installation, on peut ainsi maintenir froids six, douze. vingt ou un plus grand nombre de tonneaux de bière contig@s Chacun de ces tonneaux , de préférence aussitôt qu'il arrive de la brasserie, est branché dans le circuit de refroidissement en relient les extrémités accessibles du serpentin de refroidissement 85 dudit tonneau respectivement aux conduits d'entrée et de sortie 20 et 21 par-fermeture et serra. ge des connexions représentées aux figures 1 et 4.
Par la circulation continue de l'eau de refroidissement dans les divers tonneaux de bière, les contenus de ces tonneaux aont main.. tenus, à tout moment, sensiblement à la température désirée pour boire . Lors de l'usage réel quelques-uns de ces tonneaux seulement sont à tout instant en perce .
A la figure 1 on a représenté, à titre d'exemple, deux des tonneaux B1 et B2 en perce, le tube de soutirage 26 s'étendant sensiblement sur toute la hauteur du tonneau et le fausset se prolongeant audessus du tonneau à la hauteur usuelle des faussets usuels des bars . Les éléments métalliques 147 et 141 qui sont immédiate- ment au-dessus du fond du tonneau sont maintenus froids par l'eau froide qui est sur le sommet du fond du tonneau et l'en* veloppe d'air isolante J, située au-dessus, sert à empêcher réchauffement du tube de soutirage à la partie supérieure,
Le tuyau de gaz propulseur 30 est relié par des branchements 29 aux robinets 28 d'admission de gaz des tonneaux qui aont en perce,
mais bien que l'on puisse appliquer une pression de gaz de toute valeur désirée, un des avantages du système réside en ce qu'il admet l'emploi de pressions bien
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inférieures aux pressions usuelles, en pratique d'environ 3,2 ou 3,7 kilog. L'invention admet l'emploi de toutes les pressions propulsives d'une échelle étendue, pressions qui peuvent être aussi élevée* que celles pratiquement employées avec les autres systèmes ou n'être seulement qu'une fraction de ces dernières .
±fin d'obtenir les meilleurs résultats la pression doit être suffisamment élevée pour provoquer la sortie hors du fausset dans les mêmes conditions sensiblement, que le tonneau soit presque plein ou presque vide, et indépendamment de la perte de col de la bière à mesure que le tonneau se vide . La pression doit aussi être élevée pour surmonter effectivement la résistance de frottement à l'intérieur du tube de soutirage et du fausset, résistance qui à son tour doit être suffisamment élevée pour permettre de soutirer un verre de bière buvable lorsqu'on met le tonneau en parce et qu'on libère d'abord la pression initiale du gaz donnée lors du remplissage original du tonneau , la pression du gaz appliquée, qui, naturellement,
est sensiblement celle maintenue dans la bière après que l'on a libéré la pression initiale, doit aussi, de préférence, être telle que le gaz acide carbonique dissous dans la bière y reste en solution tant qu'il n'y a pas d'agitation sensible de la bière, comme par le versage de la bière d'un verre dans un autre ou par son passage à travers un orifice étroit .
Une pression propulsive désirable par laquelle on a obtenu tous les résultats désirés est de 3,2 ou 3,7 kilog.
Le ressort 128 de la soupape 135 actionnée par dépression peut etre facilement réglé, si on le désire, pour élever ou abaisser la température contrôlée du fluide de refroidissement afin de l'adapter à des exigences particuliè-
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rea. Par exemple, dans lea jours très chauds, en partie culier dans. les grands établissements où les clients sont à quelques centaines de mètres du bar de distribution. il peut être désirable de refroidir la bière jusqu'à 2 C. eu 3 C. environ pour compenser l'élévation de température entre l'instant du soutirage et celui où l'on sert.
Le système de soutirage avec son fausset ne comportant pas de partie horizontale, de partie formantrappe ou de partie formant poche dans laquelle la bière pourrait s'amasser, se draine de lui-même ainsi qu'on l'syndiqué ci-dessus, Comme aucun résidu de bière n'est intercepté ou séparé dans le système de soutirage, comprenant le tube de soutirage et le fausset,,
le dépôt visqueux ou de nature écailleuse et l'accumulation de germes dans ce système sont complètement éliminés . L'infection de la bière qui se trouve dans le tonneau par le retour goutte à goutte de bière éventée portant une accumulation visqueuse porteuse de germes et provenant des serpentins de réfrigération de la bière ou par l'amenée de cette bière éventée des serpen- tins de réfrigération au tuyau du fausset se trouve empêchée .
Bien que le gaz dégagé dans les opérations de distribution antérieures puisse se trouver emprisonné dans le tube de soutirage et dans le fausse%, derrière la valve fermée de ce dernier, il eat expulsé rapidement en avant de la bière qui s'écoule et par le tuyau 173 lorsqu'on ouvre le fausset. Il ne peut pas y avoir de mélange du gaz emprisonné dans le système de soutirage avec la bière et l'on évite l'altération de la qualité qui serait due à un tel mélange.
La bière se trouvant sous une pression de gaz relativement faible, comme on l'a dit ci-dessus, est relativement tranquille ou inerte lorsqu'on la distribue et la
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formation de bulles ou l'effervescence excessive lorsqu'on tire la bière aux pressions de gaz élevées usuelles. est évitée . Le col de la bière est épais et crémeux et les petites bulles qui le constituent ne sont pas détruites comme elles le seraient avec les systèmes de refroidissement et de distribution usuels par le choc de la bière se mélan- géant avec les gaz préalablement dégagés et le choc supplé- mentaire dû à la détente brusque de la pression élevée d'air ou de gaz lorsque la bière tirée est exposée à l'atmosphère.
Plus faible est le degré d'ouverture du fausset, plus haut est le col d'écume formé et ceci est facilement contrôlé par le serveur .
La bière étant maintenue à tout moment à la tempe* rature convenable à l'inférieur du tonneau, sans résidu éventé et infecté dans le circuit de soutirage en avant du tonneau,la perte de bière généralement produite pour enlever ce résidu éventé de l'équipement de refroidissement usuel est évitée et la bière peut être distribuée du tonneau jus- qutà ce que ce dernier soit sensiblement vide et ceci sans altération de sa qualité ,
Lorsqu'un tonneau est vide, on met simplement en perce un autre des tonneaux refroidis B3 en réserve et qui se trouve déjà dans le circuit de refroidissement, de pré- férence en employant un tube de soutirage de réserve propre et ce tonneau est prêt pour la distribution.
Four enlever et remplacer un tonneau vide on pla- ce l'interrupteur 110 sur le contact 111 ce qui met hors d'action le moteur 87 de circulation de l'eau, sans troubler le dispositif mécanique de réfrigération qui continue à fonctionner . Lorsqu'on sépare maintenant les accouplements souples de tuyaux 241 et 242 du tonneau vide il n'y a pas
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de perte d'eau du système de circulation puisque le tuyau terminal 86 et le tuyau d'alimentation 85 à l'intérieur du réservoir 80 ae prolongent toue les deux considérablement au-dessous de ces accouplements et exercent une dépression de siphon sur les extrémités maintenant ouvertes dea branchements que l'on relie facilement au nouveau tonneau,
le niveau de l'eau dans le réservoir 80 étant aussi au-dessous du niveau de ces accouplements de tuyaux Avant de brancher le nouveau tonneau dans le circuit de refroidissement, il est préférable de verser sur le fond dudit tonneau de l'eau qui remplit le serpentin de refroidissement 25 de ce tonneau afin de compenser l'eau enlevée avec le tuyau de refroidissement 25 du tonneau vide qui a été enlevé.
La lampe de signalisation 107 étant en circuit tant que le moteur de circulation 87 reste hors circuit rappelle au serveur qu'il doit ramoner l'interrupteur 110 à la position de fonctionnement après qu'il a mis en place le nouveau tonneau, à la suite de quoi le signal devient inactif, ce qui montre que la circulation de l'eau de refroidissement ( qui a été maintenue froide par le fonctionnement ininterrompu du compresseur) a repris.
Il ne peut se produire d'arrêt par l'air dans le système de circulation pendant le remplacement d'un tonneau ou à tout autre moment ear une connexion d'extrémité à résistance élevée 177, disposée entre les conduits d'alimentation et de retour 20 et 21, empêche les poches d'air inertes dans le système de circulation et assure ainsi l'évacuation de l'air .
.Après usage, il est évident que le dispositif de soutirage peut être facilement démonté, nettoyé, assemblé
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à nouveau et maintenu prêt pour un emploi ultérieur .
Avec le système suivant l'invention on évite le gaspillage de consommation de puissance résultant de l'application répétée d'un couple de démarrage relativement élevé au moteur de circulation 87, car ce moteur fonctionne continuellement et, comme on l'a noté ci-dessus, le circuit n'est interrompu que lorsqu'on doit remplacer un tonneau ou lorsqu'un défaut se produit dans le dispositif mécanique de réfrigération.
Les frais du fonctionnement pour le refroidis- sèment ne constituent qu'une petite fraction des frais entrainés par les systèmes usuels avec suppression totale du gâchis usuel et des trais de produits de nettoyage des tuyaux, ainsi que d'un service de stérilisation étudié, avec, cependant, l'assurance devoir de la bière dans un état par- fait .
La grande économie de consommation de puissance est expliquée en grande partie par le fait que l'eau de refroidissement, circulant rapidement dans le tuyau de refroidissement à grande surface à l'intérieur du tonneau, enlève de la chaleur à la bière beaucoup plus rapidement que ne le fait de la glace immobile à une température beaucoup plus basse disposée dans un récipient présentant une surface de contact beaucoup plus petite, ceci étant complètement à part du perfectionnement dans lobtention de la température correc-, te de la bière sans refroidissement exagéré .
En pratique, la brasserie litre la bière dans un état très refroidi, c'est-à-dire approximativement àC C., afin de permettre l'élévation de température pendant le transport à l'établissement qui la distribue. Le serveur peut s'assurer facilement que cette précaution a bien été prise par le brasseurs, car on peut introduire un thermomètre dans
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les extrémités du serpentin de refroidissement 85 du tonneau qui vient d'être livré afin de s'assurer de la température de la bière qu'il renferme sans qu'il soit nécessaire de mettre d'abord le tonneau en perce ou. de l'ouvrir d'une autre manière .
A la livraison, le tonneau doit être rapidement branché dans le circuit de refroidissement comme il a été indiqué. Bien entendu si la bière se trouve plus froide que l'eau de circulation, elle est réchauffée rapidement par celleci après l'installation jusqu'à la température désirée pour boire .
Par l'emploi du système suivant l'invention, la bière du tonneau n'est pas abimée ,pourvu' que le tonneau soit étanche à l'air, quand bien même elle serait livrée relativement chaude ou qu'on l'aurait laissée se réchauffer avant de faire la branchement dans le circuit de refroidissement, par exemple jusqu'à 18 C. ou 21 C. environ.
Dans le cas où la bière contenue dans le tonneau serait à cette température élevée on préfère maintenir ce tonneau chaud branché dana le circuit de refroidissement, non pas seulement pendent la période de temps, relativement courte nécessaire poue le ra- froidir à la température désirée pour boire, main au moins pendant vingt-quatre heures avant de le mettre en perce.Par un tel refroidissement prolongé on rend sensiblement à la bière sa qualité primitive et on évite le trouble du l'altération de qualité que l'on rencontre généralement dans la bière qui a été trop rapidement refroidie à partir d'un état excessivement chaud.
Dans le cas où l'on n'a pas à sa disposition 'un tonneau frais de bière lorsqu'un tonneau a été vidé, cela n'entraîne aucun préjudice ou aucune perte de puissance de
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conserver le tonneau vide dans le circuit de refroidissement puisqu'aucune dissipation de chaleur ne se produit à travers l'air contenu dans le tonneau vide .
Cependant, on peut prompte cent débrancher/le tonneau, si on le désire, et on peut relier directement les- extrémités des tuyaux d'arrivée et de sortie pour le système de refroidissement de ce tonneau, de pré- férenoe par un élément 178 à résistance élevée ( figure 14) ayant un passage longitudinal rétréci 179 et des extrémtés filetées 180 sur lesquelles se vissent les manchons rotatifs 49 de chacune des paires de tuyaux de branchements: 241 et 242. L'élément 178 présente une résistance à l'écoulement de préférence de l'ordre de celle du serpentin de refroi- dissement d'un tonneau, de manière à ne pas court-circuiter le conduit de refroidissement des autres tonneaux qui se trouvent sur le circuit.
Au lieu de l'élément 178 on pour- rait utiliser un bouchon de bakélite, de vulcanite ou d'une autre matière, à deux extrémités, pour interrompre le pas- sage entre les deux branchements de l'un à l'autre des deux conduite .
Comme, dans le système suivant l'invention, la bière qui se trouve en circuit est maintenue dans le tonneau à la température convenable et qu'elle est hermétiquement isolée de l'air extérieur, sa qualité n'est nullement mo- difiée, que la distribution soit effectuée rapidement après la livraison ou plusieurs jours ou plusieurs semaines plua tard.
Tout trouble, de quelque nature qu'il soit, dans le système, fait que la température de l'eau de refroi- dissement de circulation qui se trouve dans le réservoir 80 atteint la température maximum permise, par exemple 4,5 C.
Que cette élévation de température résulte de la fusion
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d'un fusible, d'un défaut du dispositif de condensation, d'une fuite dans le réservoir 80 ou d'un défaut dans le cycle de réfrigération ou qu'elle soit due à toute autre cause, le verre lenticulaire 108 qui se trouve à l'avant. de la cabine fonctionne rapidement pour avertir le serveur qu'il y a lieu d'apporter de l'attention.
Tant que ce signal fonctionne il n'y a pas d'eau pompée à travers les tonneaux qui, par conséquent, ne sont pas chauffés par une circulation éventuelle d'eau chaude, mais restent froids un certain temps après, car les tonneaux sont isolés ther- iniquement, ce qui permet de distribuer de la bière provenant de ces tonneaux dans un état agréable au goût, pendant la réparation.
On préfère employer de l'eau comme agent de refroidissement à faire circuler dans les tonneaux de boisson,non seulement à cause de son faible prix, mais aussi parce qu'elle n'a pas d'action corrosive ou nuisible sur les conduits des tonneaux et, de plus, parce qu'elle peut circuler sous une faible pression et qu'elle permet ainsi d'employer des tubes à paroi mince, de poids léger et de faible prix.
Il est bien entendu, toutefois, que rentre dans le cadre de l'invention l'emploi de tout fluide de refroidissement destiné à circuler à travers les conduits des tonneaux de boisson, que cet agent fluide soit une saumure ou un agent vaporisable et quels que soient les moyens par lesquels on enlève la chaleur à la saumure ou autre réfrigérant après qu'il a circulé dans les tonneaux .
Il faut-noter que, dans le cas extraordinaire où. un conduit intérieur au tonneau présenterait une fuite, la pression du gaz qui règne dans le tonneau entrainerait un peu de bière par cet se fuite dans le conduit de refroi..
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dissement, mais que la bière restant dans le tonneau contenant le serpentin qui présente une fuite n'est nullement abimée ou diluée et qu'elle peut être servie sensiblement intacte .
Bien entendu, bien que l'on préfère, après chaque opération de distribution, enlever tout reste de boisson du fausset et du tube de soutirage par drainage, l'invention embrasse, dans sa portée la: plus étendue, le dégagement ou évacuation de tout conduit d'amenée de bière *ni conduit de la bière du tonneau au tuyau du fausset, en recourrant à d'autres moyens comprenant, par exemple, l'application d'une pression de gaz dans ce but .
Le champ principal d'application de 1'invention rédide dans le refroidissement et la distribution de "biè- re", ce terme n'étant pas interprété êtroitement, mais embrassant des boissons de la même espèce, qu'elles renferment une quantité d'alcool plus élevée ou plus faible, et comprenant les boissons généralement connues sous les dénominations de ::
ale, porter, atout, weissbier, saki et des termes analogues. Dans son application la plus étendue, l'invention vise aussi le refroidissement et/ou la distri- bution d'autres boissons, liquides ou produits,
On a décrit un procédé et un appareil comportant les diverses caractéristiques de l'invention, qui réa- lisent, dans leur effet .et dans leur emploi,les divers buts de l'invention et qui satisfont aux exigences de la. pratique usuelle.
Comme on peut apporter, à la construction cidessus, diverses modifications et que l'on peut réaliser de nombreux modes dtexécution,, en apparence très différente, sans sortir du cadre de l'invention, il est bien entendu que les exemples décrets et représentés sont illustratifs et non limitatifs.