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"Perfectionnements au moulage d'objets en béton ou autres matières plastiques".
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La présente invention se rapporte au procédé et moyens de moulage d'objets en béton et autres matières plastiques.
L'invention est applicable à la fabrication d'articles
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oreux,6viclée ou pourvus d'un noyau,cylindriques ou. prismatiques, symétriques ou non par rapport à un plan axial longîtaàina.l,tels par exemple,des taQXltubesloonduitsloo11eoteurs dtégonts$aolon- neslpilierslPoQtresltraverses de chemin de fer ou corps analogues (le section transversale;circulaire,ovale,rectangulaire ou piygona- le,régulière ou non.
La présente invention a pour objet un procédé perfection- né de fabrication des produits de 1'espèce susdite et des moyens de le réaliser de manière à obtenir un pxoduit oohérant d'une soli-
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dite et d'une résistance aux ohoos plus élevées et dont l'armature ou les éléments de liaison sont plaoés d'une manière exaote.
L'invention a également pour but une fabrication élimi- nant ou réduisant à un minimum la formation des fissures superfi- oi'elles ou de défauts analogues dans les articles fabriqués.
L'invention a en outre pour but de permettre la fabrioa- tion d'articles composites ,par exemple,des objets dans lesquels est incorporée intégralement une couche imperméable ou bien une couche présentant une propriété particulière,que le béton ou autre matière formant le corps de l'objet ne possède pas ou bien seule- ment dans un degré moindre.
L'invention poursuit également le but de la fabrication de corps tels que les conduits pour câbles électriques comprenant chacun plusieurs tuyaux entièrement enrobés et non seulement im- perméables et résistants à l'humidité mais aussi robustes et capa- bles de résister aux efforts qu'ils subissent normalement lors de leur pose sous terre.
Bien que l'invention,vise,en premier lieu,des objets Creux ou éviàés,elle peut s'appliquer également à la fabrication d'objets massifs,renfermant un noyau,un corps, intérieur ou une armature.
L'invention consiste à mouler les objets de l'espèce sus- mentionnée à l'aide d'un noyau réductible ou susceptible d'être re- tiré ou bien d'un noyau restant enrobé dans le produit fini,à prévoir des fils ou d'autres éléments longitudinaux(de préférence tendus) placés indépendamment du noyau ou de la matière à mouler à une oertai- ne distance du premier et adaptés de manière à servir de moyen de ren- forcement ou d'assemblage pour la matière à mouler,et,au cas où une armature supplémentaire devrait y être enrobée,comme moyen permettant le plaoement de cette dernière,et à appliquer,racler ou déposer de la matière à mouler progressivement autour des fils et du noyau.
L'invention consiste également à mouler des articles de l'espèce susdite comportant un nombre de canaux ou conduits longitudi- naux, en supportant des tuyaux formés d'avance, entre deux têtes de tam- bour ou éléments de bout,à remplir les espaces ou interstices entre ces tuyaux d'une matière appropriée(telle qu'une composition à base
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de pierre ponce)en formant ensuite un corps composite ou noyau, à pla- cer des fils ou. autres éléments longitudinaux entre les têtes de tam- bour à distance du corps ou noyau et à, enduire ou. racler la matière à mouler progressivement autour du noyau et des fils ou autres élé- ments susdits de manière à former une enveloppe moulée armée pour le noyau.
composite*
L'invention consiste,en outre,en un appareil pour le mou- lage d'objets de l'espèce susmentionnée par la déposition de la matiè- re à mouler,comportant un noyau réductible ou bien un noyau devant rester enrobé dans le produit fini,monté de manière à pouvoir être détaché entre une paire de têtes de tambour ou éléments de bout oo- axiaux rotatifs et comportant au voisinage de leur périphérie des moyens permettant le placement des fils ou éléments longitudinaux sur lesquels et autour desquels on place progressivement la matière à mouler,avec ou sans armature additionnelle reposant sur les élé- ments longitudinaux.
Des éléments de renforcement et/ou des éléments de liaison et de support peuvent être ajoutés au cours du moulage et l'ouvrage peut être réalisé en couches de matière d'une même nature ou de na- tures différentes.
Ltapplication de la matière à mouler s'opère de préférence ! graduellement autour du noyau soit en le faisant tourner soit en tra- vaillant autour de celui-ci.
D'autres caractéristiques de l'invention ressortiront de la description et des revendications ci-après.
L'invention sera décrite avec référence aux dessins ai-an- nexés'dans lesquels: Fig, 1 est une coupe en élévation d'une forme de réalisation de l'ap- pareil selon l'invention pour le moulage des tuyaux,conduits ou d'autres objets creux analogues.
Fig. 2 est une vue de bout d'un des disques ou têtes de tambour vi- sibles à la figure 1, Fig.3 est une coupe transvers le d'un noyau réductible.
Fig.4 est une vue en élévation du noyau représenté à la figure 3.
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Fig. 5 montre une variante de l'appareil* Fig. 6 est une vue de la face interne d'une variante de tête de tam- bour ou disque* Fig.7 est une coupe d'une tête ou disque de gauche de la forme de réalisation de la figure 6.
Fig.B est une coupe analogue d'une tête de tambour ou disque de droi- te de la forme de réalisation de la figure 6.
Fig. 9 est une coupe d'un disque ou tête de tambour provisoire à uti- liser pour le moulage d'une doublure bitumineuse destinée à être in- oorporée dans le produit fini.
Figé 10 montre en vue latérale en élévation un noyau réductible desti- né à être employé avec les têtes ou disques visibles dans les figures 6,7,8 et 9.
Fig. Il montre un procédé de mise sous tension des fils longitudi- naux de support ou d'assemblage.
Fig. 12 est une coupe transversale d'un tuyaux ou conduit réalisé se- lon l'invention et pourvu d'une doublure imperméable.
Fig.13 est une section oblique d'un tuyau ou conduit moulé selon l'invention et dans lequel est incorporée une couche de matière im- perméable.
Fig. 14 montre un collecteur réalisé selon l'invention, Fig. 15 est une coupe transversale d'un collecteur à câbles.
Fig. 16 est une coupe d'une colonne ou tuyu composite moulé vertica- lement ou horizontalement avec un bout métallique à flasques.
Fig.17 est une vue latérale d'une forma de réalisation de racloir à main.
Fig. 18 est une vue en élévation avec une brisure partielle de l'ou- til représenté à la figure 17.
Fig. 19 est une vue en bout d'une installation de moulage selon l'invention.
Fig. 20 est une vue en élévation de l'inst llation de la figaro 19.
Fig. 21 représente en élévation un dispositif de raclage mécanique* Fig. 22 montre un outil à lisser à employer avec le dispositif de raclage représenté à la figure 21.
Les figures 1-4 montrent un appareil permettant de mettre en oeuvre l'invention pour fabriquer des articles creux.tels,par ex-
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emploies tubes ou. les tuyaux.Cet appareil comprend un arbre 1(dis- posé horizontalement ou sous un angle convenable)d'une longueur ap- propriée monté de manière à pouvoir tourner dans des paliers à oha- aune de ses extrémités ou. au voisinage de ces dernières'Deux disques ou testes de tambour 2 sont placés à une certaine distante l'un de l'autre sur l'arbre 1 et un noyau cylindrique 3 (ou un autre organe central profilé suivant la section transversale de l'article- à.
fabri- quer) est enserré entre les disques 2 et réalisé de manière à se lais- ser réduire pour pouvoir être retiré de l'intérieur de l'article mou- lé. L'arbre 1 est de section carrée et les disques 2 sont munis oha- cun d'une ouverture centrale 4: d'un contour correspondant de sorte qu'ils peuvent tourner avec l'arbre. Ce dernier est également pour- vu de moyens amovibles ou déplaoables permettant de fixer sur l'arbre les disques distants entr'eux d'une longueur exigée{ainsi qu'il est visible,l'arbre comporte une rainure 5,et des clavettes de section décroissante 6 sont employées dans ce but.
Une tête de tambour forme , de préférence, la contre-partie de l'autre.Elles comportent sur leur partour ou à proximité de leur périphérie une ou plusieurs séries de fentes ou encoches radiales 7 servant à loger des éléments longitudinaux de support,de renforcement ou d'assemblage 8,lesquels ont, de préférence la forme d'un fil.
Ainsi qu'il est visible aux fig. 1 et 3,il est fait usage le deux séries d'encoches de profondeurs radiales différentes .Les languettes laissées entre les fentes 7 sont pourvues de rainures ou encoches @ réalisées sur le pourtour des disques 2. Plus près du aen- tre ou entre les fentes sont réalisés des trous 10 dans lesquels peu- vent être introduites des chevilles de manière à faire saillie à l'ex- térieur des disques .Les fils ou éléments longitudinaux 8 sont passés à. travers les fentes 7 dans les disques 2 et peuvent être enroulés au- tour des chevilles.pour être tendus d'une manière appropriée.
Ainsi qu'il est visible,les têtes de tambour 2 peuvent être formées par des bras radiaux ou bien être massives.
La surface interne des tâtes de tambour 2 comporte une cou- ronne ou rebord annulaire 11 ou bien des saillies pour le placement ou la mise en position de l'élément de noyau 3 cylindrique ou autre.
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Ainsi qu'il est visible aux fig. 1,3 et 4, le noyau consiste en an cylindre en acier fendu longitudinalement en 12 et muni de mo- yens permettant de replier vers l'intérieur ou de déformer une partie du pourtour oa bien de faire subir un retrait à la périphérie d'une autre manière connues Ainsi qu'il est visible,une cornière 13 et une cornière 14 sont fixées au cylindre de part et d'rutre de la fente 12 ; entre ces dornières est logée une pièce 15 qui les maintient écartées et un boulon 16 on un autre moyen analogue traverse la dite pièce 15 et les. ailes des cornières de manière à les solidariser.
On conçoit aisément que le boulon et la pièce 15 enlevés, la cornière 14 peut être repoussée vers ltintérieur contre la cornière 13 de manière à diminuer la section du cylindre. Plusieurs barres(cornières ou fers T) 17 faisant saillie hors des bouts du cylindre sont fixées sur la sur- face intérieure de ce dernier. Les extrémités de ces barres 17 sont ré- alisées de manière à pouvoir être placées dans des ouvertures 18 mé- nagées dans les têtes de tambour ou. disques 2 ,pour permettre de réa- liser la construction rigide représentée à la figure 1 et combinant les ttes de tambour 2,l'arbre 1 et le noyau 3.
Des tirants 19 sont prévus pour relier les disques entr'eux et pour tenir le noyau enser- réentre ces derniers,et des raidisseurs 20 peuvent tre employés pour accroître la rigidité et maintenir les disques ou têtes de tambour à la distance exacte.
Dans une autre forme de réalisation représentée à la figure les ttea de tambour 21 sont munies de séries ooaxiales de troua 22 disposés en oouronnes et possédant un même diamètre ou des diamètres différents et servant au placement de fils ou éléments longitudinaux de support ou de renforcement réalisés de manière à s'étendre dtune tête de tambour à l'autre,dont la périphérie comporte des encoches ou rainures 23.A l'intérieur des couronnes de ces trous sont ménagées des ouvertures pour de longs boulons 24 reliant les ttes de tambour en- tr'eux pour assurer la rigidité de l'ensemble et l'immobilisation on le '-.terrage du noyau dans sa position .
Le noyau réductible représenté à la fig. 5 comprend une plu- ralité de barres 25 placées entre les tûtes de tambour 21 à l'intérieur de la rangée annulaire d'ouvertures réalisées dans les ttes de tambour'
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Ces barres sont,de préférenoe,fixées,étant tendues d'une manière.ap- propriée grâce à leurs bouts filetés et les écrous 26; elles peuvent, cependant,être aussi fixées à l'aide de clavettes ou autre moyen ap- proprié. Ces barres 25 sont susceptibles de servir de support à la macylindrique tière de recouvrement de manière à constituer une surface de noyau/ou autre.
Ainsi qu'il est montré,par exemple,dans les dessins,un moyen de ' liaison oiroonférentielle 27 est pl,.oé en hélice sur l'ensemble des bar- res de support. Ce moyen peut consister en un ruban en papier, étoffe ou autre matière.
La. figure 10 représente une variante de noyau réductible.Cet- te dernière comprend un cylindre métallique subdivisé par des fentes parallèles 28, 29 et 30 en trois seotions 31,32 et 33,l'arc de cercle de la section 31 ne formant qu'une fraction réduite de la périphérie totale du cylindre.
Sur la face intérieure de chaque section est fixé un raidisseur 34 ayant la forme d'une barre se projetant au-delà des extrémités de ces sections.Les bouts de ces raidisseurs traversent des 'ouvertures ménagées dans les têtes de tambour ou disques.Les raidis- seurs 34 sont,de préférence, fixés, par exemple par soudure,uniquement à la partie centrale des sections de manière à permettre un léger jeu entre leurs extrémités et les extrémités des seotions en vue de l'as- semblage du noyau aux disques ou têtes de tambour. On comprend facile- ment que le volume d'un noyau réalisé de cette manière se laisse aisé- ment réduire par l'enlèvement de la section étroite 31.
Les figures 6 à 9 montrent des variantes de disques ou des têtes oonvenant particulièrement pour être employées avec le noyau ré- ductible ou contractile représenté à la figure 10. La tête de tambour ou disque visible à la figure 6 est pourvue sur la périphérie d'une seule série d'encoches 35 destinées à loger les fils horizontaux de sup port, d'assemblage ou de renforcement mentionnés précédemment A l'in- térieur de la série d'encoches 35 une série de trous 36 est pratiquée; servant de logement aux chevilles autour desquelles peuvent être enrou- lés les fils qui seront par conséquent tendus.
La face interne de la ' tête comporte une rainure'annulaire 37,servant de logement à l'extré- mité du noyau:représenté à la figure 10, et des ouvertures 38 permet-
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tant le passage des bouts de raidisseurs 34. Il y est ménagé égale- ment.une ouverture 39,pour le passage d'un arbre,tel que,par exemple l'arbre 1 de la figure 1.
Les têtes de tambour sont,de préférence,fournies par paires composées d'une tête de gauche ayant une section représentée à la fi- gure 7 et d'une tête de droite de section visible à la figure 8. La différence entre la tête gauche et la tête droite réside en ce que le contour de la face interne de la tête de gauche complète celui de la face interne de la tête de droite,tel qu'indiqué en 41,de sorte due les extrémités droites des tronçons de tuyaux,conduits ou analo- gues sortant du moulage présenteront des saillies recourbées alors que leurs extrémités gauches comporteront des rainures,ce qui permet- tra l'assemblage aisé de ces tronçons.
La présente invention permet de mouler des articles creux avec un recouvrement intérieur imperméable. A cet effet ,on peut d'a- bord,fixer des têtes provisoires au noyau réductible ou contractile et mouler la doublure imperméable en matière à base de goudron,après quoi les têtes provisoires peuvent être remplacées,avant le moulage de la matière à mouler.par des têtes pourvues de fentes pour loger des fils longitudinaux de support,d'assemblage ou de renforcement.
La figure 9 représente une belle tête provisoire pour le moulage du re- vêtement intérieur imperméable ,cette tête présentant de la similitu- de avec les têtes représentées aux figures 6,7 et 8 en ce sens qu'el- le aussi comporte une ouverture 39 pour le passage de l'arbre central, des trous 38 et une rainure annulaire 37 permettant l'assemblage de la tête au noyau contractile représenté à la figure 10. Ces têtes provi- soires ne sont toutefois pas pourvues de fentes destinées aux fils ou éléments de support,d'assemblage ou de renforoement longitudinaux, com- me les têtes représentées aux figures 6,7 et 8.
Lorsque le noyau est destiné à rester enrobé dans l'article moulé pour en former une partie intégrale,le noyau contractile est remplacé par un tube ou cylindre préparé d'avance en une matière im- perméable,papier ou carton oubien papier goudronnéou autre substance.
On introduit chaque extrémité de ce tube dans, une rainure pratiquée
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dans chacune des têtes de tambour,telle,par exemple,la rainure 37 (fig.6) ou bien dans une variante, en faisant reposer ces extrémités sur des saillies ou rebords tel que le rebord 11.Le tube-noyau ou a- nalogue peut être provisoirement supporté pendant le moul:ge par des organes ou tirants auxiliaires longitudinaux.
Dans certains cas, l'arbre central peut être supprimé et les têtes de tambour peuvent être supportées par des paliers connus par leur utilisation dans les broyeurs à boulets ou à cylindres de ma- nière à pouvoir tourner dans ces paliers.
Là où. l'on fait usage d'un noyau entièrement ou partielle- ment rigide,on.peut mettre le noyau en position,en le plaçait sur . l'arbre 1 ou entre des têtes de tambour.La construction d'un noyau. peut,si on le désire,faire partie de l'opération du moulage;
ainsi par exemple,plusieurs tubes ou barres peuvent être provisoirement placée à une certaine distance l'un de l'autre dans les têtes de tambour,les interstices peuvent être bouchés et les tubes entourés d'une matière plastique telle,par exemple, lorsqu'on vise à la légèreté,du platre mélangé à la pierre-ponce ou à d'autres matières de charge,la. surface extérieure recevant au moulage la forme exacte de manière à servir de noyau, en vue de l'application subséquente de la matière à mouler et de l'armature selon l'invention.
Dans une autre forme de réalisation utilisée pour la fabri- aation des tubes ou oonduità extrémités munies de flasques, l'une ou les deux têtes de tambour peuvent être remplacées par une pièce cylin- drique réalisée d'avance et comportant des rebords,ces rebords on l'un d'eux comportant des fentes ou ouvertures pour supporter: : l'arma- tare.Le noyau provisoire ou permanent peut reposer sur la partie cy- lindrique de cette pièce à rebords ou bien entre les dites parties.Il est à remarquer que,dans ce cas,l'article fini comprendra la pièce cylindrique à rebords employée au cours de sa. fabrication.
Selon une forme de réalisation avantageuse de l'invention, dans laquelle le noyau est supposé avoir été assemblé entre les têtes de tambour placées sur l'arbre,ainsi qu'il est,par exemple,représenté à la figure l,une série d'éléments longitudinauxlégers 8(fig.1), par
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exemple,des fils,sont constamment enroulés entre les têtes de tambour 2 dans les encoches 7 à travers les trous 22(fig.5).
Ces fils de sup- port sont tendus,par exemple,en contournant des chevilles placées dans les trous 10 ou bien par d'autres moyens décrits ci-après;ils peuvent être entourés d'un fil 42 enroulé en hélice de manière à former une cage à olaire-voie placée à une certaine distanc du noyu. Les fils en hélice peuvent,si on le désire,être fixés aux fils longitudinaux par soudure ou par ligature .D'autres fils de support longitudinaux 43 et/ou éléments principaux de renforoement peuvent être introduite mime de la/Manière et fixés à un fil en hélice 44,lequel à son tour,peut être soudé ou lié à l'armature longitudinale 43.
Il va de soi,que la position des éléments longitudinaux est exactement déterminée par la, position des encoches ou des trous dans les ttes de tambour et que les ; ils,une fois mis en position et tendus de la manière appropriée,ne peuvent pas changer leur posi- tion sous lteffet du traitement ou des opérations de moulage subsé- quentes*
Dans certains cas,la tension des fils de renforcement ou de support peut être rendue invariable en plaçant le fil de liaison de manière qu'il tend les fils longitudinaux vers l'intérieur.
La figure 11 représente schématiquement un procédé de mise sous tension des éléments longitudinaux de support,d'assemblage ou de renforcement dans lequel les fils longitudinaux 45 sont reliés en groupes à l'aide des noeuds serrés 46 qui par endroits peuvent être soudés aux fils longitudinaux.
Les fils de support et leurs liaisons susmentionnés,sont destinés à constituer une base ou support placé à une oertaine dis- tance du noyau pour.recevoir la matière à mouler plastique et main- tenir ou fixer celle-ci sur le noyau.
Selon un mode d'exécution on applique du ciment,du béton ou d'autres matières à mouler,lorsque le fil de support ou de fixation a été placé. La matière peut être débitée par une rigole inclinée on une gouttière s'étendant sur toute la longueur du noyau ou bien,ce qui est préférable,par une rigole ou plan incliné animé d'un mouvement
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transversal et réalisé de manière à débiter de la matière progres- sivement sur toute la longueur du noyau et vers un coté de celui-ci.
L'opérateur travaille la matière débitée entre les fils de support pendant la rotation du noyau à l'aide d'un outil ,,Ce dernier doit de préférence,tourner de manière à entraîner la matière appliquée vers le haut pour que le poids de oelle-ci ne pèse pas sur les fils . non recouverts et qu'il empêche les fils de liaison de prendre la forme concentrique qu'ils prendraient si le noyau tournait de maniè- re à entraîner la matière appliquée vers le bas.
Lorsque la matière a été bien travaillée.et consolidée tout autour du noyau et autour des fils de support ou la cage,elle est raclée à l'aide d'un racloir déorit ci-après,et les armatures ou éléments longitudinaux principaux sont insérés dans les fentes ou ouvertures des têtes de tambour et entourés d'un fil de liaison pla- cé en hélice lequel-.,si on le désire,peut être soudé par endroits ou relié par ligatures. Lorsque les éléments de renforcement se trou- vent dans leur position,une nouvelle couche de béton est ajoutée à la première pendant que celle-ci est encore humide;cette couche est raclée par un racloir de jauge approprié.Des armatures auxiliaires peuvent être ajoutées et une ou. plusieurs nouvelles couches,placées et travaillées.
Une forme de réalisation d'un racloir à main pour l'ati- lisation dans le procédé de moulage selon l'invention est représentée dans les figures 17 et 18. Cet outil comporte une partie pour égali- ser ou. calibrer la matière comprenant d'un coté de son bord inférieur une lèvre recourbée 47 et de l'autre coté une portion recourbée 48 ser- vant à lisser la surface. L'outil comporte des projections 49 à bords inférieurs semi-circulaires 50 destinés à reposer sur la périphérie des têtes de tambour ou disques et de servir de guides pendant le tra- vail de l'outil.
La lèvre 47 et la portion 48 sont raccordées par une courbe 51 de rayon R(fig.17) ayant pour centre,le centre des portions
50 des projeotions 49.Il y a lieu de remarquer qu'on fournit des jeux de raoloirs qui diffèrent l'un de l'autre par la valeur du rayon R, de sorte qu'il est possible de calibrer exactement, d'égaliser et
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de lisser convenablement les couches de matière à mouler de différen- tes épaisseurs. En employant cet outil,on place les projeotions 49 sur la périphérie des disques on têtes de tambour, la lèvre incurvée 47 dirigée vers l'intérieur, et l'on imprime à l'outil un mouvement alternatif ou orbital pour amener la couche de matière à mouler à l'épaisseur exaote.
L'outil est ensuite retourné et la couche est lis- sée par la portion 48 pendant que l'outil exécute un mouvement simi- laire à son mouvement précédent. Pour empêcher l'usure,la surface de l'outil ou certaines portions de cette dernière peuvent être recouver- tes de métal.
La fig. 21 représente un dispositif de raclage mécanique.
Ce dispositif comprend un outil-racleur en forme d'une plaque ooupante 97 fixée,d'une manière réglable,à des consoles 98 portées par des coulisseaux rectangulaires 99,placés à une certaine distance l'un de l'autre. L'outil-racleur 97 comporte une ou plusieurs fentes 100 tra- versées par des boulons 101 fixés aux consoles 98. Le montage de l'ou- til-racleur 97 sur les consolés 98 est tel que l'outil peut être réglé par rapport aux consoles et fixé dans se position convenable par le ser- rage des dorons 102.
Chaque coulisseau 99 est monté de manière à pouvoir cou- lisser dans une console de guidage 103 réalisée de façon à pouvoir être immobilisée dans une position déterminée par rapport à la pièce à.travailler,la face supérieure de la dite console comportant une mor- taise ou rainure 104 dans laquelle s'engage le coté inférieur du cou- lisseau 99 de manière à pouvoir y coulisser. Chaque console de gui- dage 103 possède une portion 106 se projettant vers le haut et for- mant support pour une tige filetée 107 vissée à travers le paroi ar- rière 108 du coulisseau rectangulaire 99.
L'extrémité avant de la ti- ge 107 est placée dans un trou allonge 109 du coulisseau et comporte wne tête 110 ayant pour fonction de limiter le déplacement de ce der- nier par rapport à la console de guidage. Les tiges filetées 107 sont pourvues de colliers lllet 112 permettant de pl cer ces tiges dans les portions 106 et'd'empêcher leur mouvement longitudinal;uns manivelle 113 ou analogue est attaohée à l'extrémité arrière de chaque tige. Chaque
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glissière 99 est pourvue à proximité de son extrémité avent d'une pla- quel 14 dirigée vers le bas et formant un palier dans lequel peut li- brement tourner un galet 115.
La longueur de oe galet est telle, qu'il peu.! se placer entre les têtes de tambour de manière à venir en con- tact sur toute la longueur du noyau avec la matière appliquée sur ce dernier.
Les deux consoles de guidage sont maintenues immobiles étant par exemple,fixées à unepoutrelle 116 s'étendant parallèlement au noyau 3 monté entre le;3 tûtes de tambour 2.
Il résulte de ce qui précède que lorsqu'on tourne les ma- nivelles 113,les tigs filetées 117 tournent en déplaçant les cou- lisseaux 99 sur les consoles de gaidge 103, de manière que le rouleau 115 et l'outil 97 portés par les consoles peuvent être ajustés par rapport à la pièce à travailler.
Le manivelles 113 peuvent être solidarisées au point de vue de rotation par une chaîne de sorte que la commande des deux boulons 107 peut s'effectuer simultanément par l'une ou l'autre ma- nivelle.
L'outil de raclage 97 est adapté de manière à calibrer et égaliser la couche de matière appliquée sur le noyau,et le rouleau 115 a pour fonction d'opérer un lissage préliminaire de la surface de cette couche. Dans ce but,le rouleau 115 peut être avancé légè- rement par rapport au bord ooupant de l'outil de raclage 97. Le lis- sage final de la surface de la matière appliquée peut être opéré par un outil tel que Représenté à la fig. 22.Cet outil de lissage comprend une plaque 117 fixée,par exemple,par soudure à une pièce de support 118. La face avant 119 de la palque 117 est réalisée de ma- nière à venir en contact aveo la, surface de la couche de matière 'appliquée et à lisser cette dernière.
La pièce 118 supportant la pla- que 117 est munie de trous ou fentes 120 grâce auxquels 1outil de lissage peut être immobilisé par des boulons 101 et des écrous 102 dans la position convenable sur 1'outil racleur 97. Avant été fixé de cette manière, il peut être ajusté par rapport à la pièce à tra- vailler par le déplacement des manivelles 113.
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Lorsqu'on travaille autour du noyau,la couche annulaire ou la matière armée tend à s'écarter légèrement du noyau,ce qui offre l'avantage de créer un jeu grâce auquel la matière à mouler plasti- que peut se rétrécir sans se fendiller au cours de sa prise.
Si l'armature doit rester à découvert,on place d'abord, les fils de support et les armatures et l'on applique en suite, en une seule opération dans les interstices tout autour du noyaudu béton ou autre matière.
Une couche imperméable de matière à base de goudron ou de toute autre matière appropriée voulue peut être introduite et in- corporée (aveo ou sans armature)dans la pièce à mouler à n'importe Qusl stade du travail, et reoouverte ultérieurement par du béton on. autre matière à mouler principale.
Fig. 12 est une section transversale d'un tuyau ou. oon- duit moulé,selon l'invention et comportait un revêtement intérieur imperméable 52 en matière à base de goudronnes fils longitudinaux de renforcement, d'assemblage ou de support étant indiqués en 53 et les fils hélicoïdaux de liaison et de renforoement en 54.
Fig. 13 représente en coupe transversale un tuyau, un con- duit ou analogue moulé selon l'invention et dans lequel est inoorpo- rée une couche imperméable 55 en matière à base de goudron. 56 repré- sente les fils longitudinaux de support ou d'assemblage, 57 les fils hélicoïdaux de support ou de renforcement et 58 et 59 désignent res- peotivement les renforcements longitudinaux et hélicoïdaux.
Une pièce métallique V incorporée dans ce tuyau ou conduit peut servir de logement à un robinet ou analogue; cette pièce est fi- xée entre les fils de support 56 et 57 avant le moulage.
Pour le moulage. des traverses de chemin de fer, les têtes de tambours peuvent être remplacées par des pièces rectangulaires et l'on peut faire usage d'un noyau à côtés parallèles avec extrémités arrondies,lequel noyau peut être supporté pn.r l'intérieur,par des barres longitudinales de section en T ou autre,glissées dans les trous correspondants des pièces de bout. Ces derniers comportent ,dans leurs ooins ou au voisinage de ces derniers,des fentes et/oa
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(Les* ouvertures pour le plaoement des pièces de support longitudinaux ou des fils de support ou d'assemblage.
Là où les armatures ne passent pas.à travers les pièces de bout .elles peuvent être maintenues en position par des armatures plus légères disposées de chaque côté de ces darnières. Des liaisons hélicoïdales peuvent être placées dans une ou plusieurs zones.
Dans la fabrication des collecteurs pour câbles électriques qui doivent comporter plusieurs canaux séparés pour les câbles ou fils distincts,des tubes en papier goudronné ou en fibre vulcanisée ou asphaltée,moulés d'avance entre les disques ou.têtes (le tambour sur un noyau réductible ou rétractile, sont placés à une distance dé- terminée l'un de l'autre dans les têtes de tambour ou organes analo- guss ou bien montés dans une enveloppe de moulage provisoire dont les extrémités sont formées par des têtes de tambour.
Ces tubes sont en- suite entourés de pierre ponce ou d'une matière poreuse ou bien de la palpe de bois imprégnée de goudron ou d'une autre matière de rem- plissage appropriée, cette opération de moulage étant effectuée de ma- nière qu'il se forme une surface extérieure convenant pour la con- stitution d'un noyau autour duquel peut être placé un revêtement aon- tinu en béton comme décrit ci-dessus. Un tel collecteur pour câbles réalisé selon la présente invention est représenté dans la fig. 15, dans laquelle 60 indique les tubes,61 la pierre ponce ou une matiè- re analogue,62 le revêtement en béton et 63 et 64 resp. les fils lon- gitudinaux et ceux de liaison.
Dans la fabrication de longues colonnes,il convient d'opé- rer le moulage verticalement;dans certains cas, des manchons d'accou- plement à flasques ou des bouts de tuyaux peuvent remplacer les testes de tambour.
La fig. 16 représente en coupe un tronçon de colonne ,tu- yau ou analogue moulé verticalement ou bien horizontalement,et dans lequel est incorporé un manohon de raccordement à flasques,ce manchon 65 étant employé à la place d'une tête de tambour,66 indique dans aet- te figure les fils longitudinaux de support et de renforcement,67 les -,fils de . liaison, hélicoïdaux et 68 une couche de matière imperméable.
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Selon le procédé de moulage vertical, le travail s'opère progressivement vers le bas depuis l'extrémité supérieure de la ma- trice, en soulevant le noyau verticalement à travers une plate-forme sur laquelle se trouve l'ouvrier. Le mode de travail consistant à commencer à opérer à partir de l'extrémité supérieure du noyau au lien de son extrémité inférieure a pour but d'empêcher l'eau de se déposer par gravité dans la partie de l'ouvrage déjà achevée et de lui permet- tre,au contraire,de s'écouler de la pièce à travailler au far et à me- sure du moulage progressif autour du noyau.
Le contour extérieur de le pièce moulée peut varier suivant la forme finale exigée de l'objet achevé* Ainsi,par ex., en cas des collecteurs d'égout (culvert) ou d'autres objets asymétriques,une base ou partie plane peut être moulée dans sa position.La fig.l4= montre un objet de cette espèce comportant une base plane 69 et une ouverture d'en trée ou de sortie 70. Une plaque métallique 71 y est incorporée,cette plaque étant plaoée avant le moulage en dessous des fils longitudinaux de support,d'assemblage ou de renforoement. 73 indique les fils de liaison et 74 les armatures longitudinales additionnelles.
Toute pièce accessoire,telle qu'un regard ou un raccord d'entrée ou de sortie peut y être placée entre les armatures et introduite dans le noyau de la ma- nière désirée,de sorte que la matière puisse être moulée autour de oel- le-ci.
Les fig. 19 et 20 représentent une installation de moula- ge selon l'invention,dans laquelle les têtes de tambour,entre lesquel- les est placé le noyau réductible ou contractile 3,sont montés sur un arbre 1 de la manière déjà déorite à l'occasion de la fig. 1. La réfé- rence 75 indique les chevilles mentionnées précédemment.
L'arbre 1 est monté dans les pliers 76 portés par des montants 77 pourvus d' une fente verticale.
Ces paliers peuvent être placés dns les montants 77 à des hauteurs différentes de manière à permettre de mouler convenablement des objets de différentes grandeurs. Lnvre ces montants 77 et des mon- tants verticaux 78,plus courts,sont fixés des pièces d'angle 79 munies d'une rangée de trous ou de fentes 80 destinés à recevoir des boulons: 81
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traversant les pièces de support 82. Grâce aux trous 80 dans la piè- oe 79,les pièces de support 82 peuvent être immobilisées dans dif- férentes positions le long de la dite pièce 79 par les boulons 81 introduits et serrés dans des trous 80 choisis.
La pièce de support
82 porte une tige filetée 83 sur laquelle est vissé un chariot 84, portant une poulie 85, qui guide le fil de liaison 86)la disposition étant telle que lorsque la'tige filetée 83 tourne,le chariot 84 se déplace le long de la pièce à travailler en transportant avec lui le fil de liaison. Le chariot 84 est guidé dans son déplacement par une barre 96 le traversant librement et fixée à la pièce de support 82.
Une roue à chaîne est fixée à une extrémité de. la tige filetée et est oommandée par une chaîne 88 passant sur une roue à chaîne 89 calée sur l'arbre 1. Ce dernier peut être mis en rotation par tout moyen approprié,tel,par ex., un moteur à renversement de marche et un mécanisme de changement de vitesse(non représentés) ou bien il peut être tourné à la main à l'aide de la manivelle 90.
En plaçant cette dernière sur un arbre 91 qui est disposé transversalement à l'abre 90 et porte une vis sans fin 92,tournant dans des paliers 93, fixés à l'un des montants verticaux 77,et coopérant avec une roue hélicoïdale 94 calée sur l'arbre 1, on peut imprimer à ce dernier un mouvement de rotation plus lent.Pour contrôler la rotation des.têtes de tambour et du noyu on peut prévoir un frein approprié ooopérant aveo l'arbre 1. La matière à mouler est débitée d'une rigole(non re- présentée)disposée au-dessus du noyau.
Au cours du moulage à l'aide de cet.appareil,les fils de support longitudinaux 8 sont placés d'une manière continuelle entre les têtes de tambour 2 grâce aux fentes dé- jà mentionnées et sont tendus d'une manière appropriée,par ex., par des fils de liaison qui les encerclent au voisinage des faces internes des têtes de tambour ainsi qu'il est,par ex, visible en 95,ces fils de cerolage exerçant sur les fils longitudinaux une pression dirigée vers le centre du tambour de manière à mettre ces derniers sous tension* Lors- que ces fils longitudinaux ont tendus, on tourne l'arbre 1, qui grâce à la. transmission par chaîne 88 oblige la tige filetée 83 à tourner.de manière que le ohjriot 84 se déplace tout le long du noyau,
qui tourne
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en ce moment,et enroule le fil de liaison,dont le débit est de préfé- .rance contrôlé ,en hélice sur les fils de support longitudinaux 8. Si nécessaire., les fils de liaison hélicoïdaux peuvent être fixés aux fils longitudinaux/avant que la matière soit débitée par la rigole inclinée.
Une couche de béton ou de matière à mouler @n logue est ensuite appli- quée sur le noyau et les fils et ensuite raclée et lissée par le ra- oloir décrit précédemment. Dos fils de renforcement supplément aires et des couches de matière additionnelles peuvent être ajoutées, selon la résistance exigée de l'objet achevé.
Lorsqu'on utilise le dispositif de raclage mécanique repré- senté dans les fig. 21 et 22 en combinaison avec l'appareil représen- té aux fig. 19 et 20,la poutrelle 116 peut être fixée aux pièces d'an- gle 79 par des boulons passés à travers les trous 80 et les extrémités de cette poutrelle; des blocs 121,tels que représentés en traits mix- tes dans la fig. 21, peuvent être interposée, si besoin,entre ces piè- ces* La position des poutrelles 116 par rapport à la pièce à travail- ler se laisse ajuster par le choix des trous 80 appropriés.
Le réglage latéral de l'outil racleur par rapport à l'oa-- vrage peut s'effectuer grâce à une série .de trous de boulon réalisés sur la longueur de la poutrelle 116, ce qui permet de fixer les consolée dans la position désirée.
Apres que les fils longitudinaux ont été pièces autour du noyau et les fils de liaison hélicoïdaux enroulés autour des fils longitudinaux,l'outil racleur 97 et le rouleau 115 sont amenés en po- sition par la manoeuvre des manivelles 113 de manière que le bord cou- pant de l'outil et la portion périphérique avant du rouleau 115 se trouvent à une distance du noyau égale à l'épaisseur qu'on désire con- ner à la couche de matière à mouler,qui sera appliquée ;il va de soi, que le réglage de la position de l'outil par rapport au rouleau, est rendu possible par le montage de l'outil sur les coulisseaux 99.
On tourne ensuite l'arbre 1 et l'on dépose de le matière près de la por- tion supérieure du noyau;la matière est d'abord déplacée par le noyau vers le haut et se dirige ensuite vers le bas pour venir en contact avec l'outil racleur qui égalise la couche de la matière et lai donne ' l'épaissieur désirée; la surface égalisée de la couche de matière su-
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bit ensuite le lissage préalable à son contact avec le rouleau 115.
' L'outil racleur et le rouleau sont ensuite retirés de la pièce à tra- vailler par le manoeuvre des manivelles 113 et l'outil de lissage re- présenté à la fig. 22 est fixé sur la face supérieure de l'outil ra- cleur. On le déplace ensuite de manière qu'il vienne en contact avec la surface de la coucshe de matière appliquée et qu'il lisse cette sur-
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a4e. Préalablement au lissge par l'outil 117,la surface de la matière appliquée déjà lissée par le rouleau 115 peut être saupoudréed'une àa- tière ebohe.,tel que du ciment. REVENDICATIONS.
1. Procédé de moulage des objets de l'espèce décrite avec armature en-
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robée,à. l'aide d'an noyau amovible,réduatibl: ou contractile ou bien atun noyau restant enrobé d.3.ns l'objet fini caractérisé 6 en ae qu'on place des fils longitudinaux ou d'autres pièces longitudinal- les ( de préféronae,tenàas) disposés indépendamment du noyau au de la matière à mouler,à une certain-, distance du noyco. et susceptibles d'agir comme élément de renforcement et d'assemblage de la matière mon- 166patelorsque une armature additionnelle doit être enrobée,aomme élé- ment de support pour celle-ci, et qu'on applique et racle ou que l'on dépose de la matière à mouler progressivement autour des fils et du no- yau.