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Perfectionnements apportes aux macnines a laver le linge un sait tout a'aoora que les macnines a Laver fabriquees jus- qu'alors comportent en principe soit une cuve en bois reposant sur des pieds appropries, soit une cuve en cuivre reposant sur des colonnes supportant un loyer de chauffage. Mais tous les mo- dèles connus,de machines pourvues d'un loyer,présentent l'incon- venient de ne pas permettre un démontage facile de la cuve afin de la separer du foyer. De plus ce dernier est généralement cons- truit en tôle qui subit Inaction du reu ou des fumees et s'use, de ce fait, très rapidement.
L'invention prévoit un premier perfectionnement qui, au con- traire, assure au ioyer une très grande robustesse tout en per- mettant un aemontage facile de la cuve qui peut dès lors être en tôle galvanisee puisque l'on peut la démonter et la faire re- galvaniser.
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Ce premier perfectionnement consiste donc a adapter la ma- cnine à laver sur un poële du type de ceux utilises pour le chauf- age des cuves de puanderie et dont la lorme extérieure est mo- difiee de façon a suppprter la cuve dela machine en même temps qu'a la maintenir dans son axe, par u:. rebord special conçu à la peripherie du foyer et permettant la fixation par boulons de la cuve sur le foyer sur une partie exterieure à la paroi de la cuve ou simplement son emboîtement dans le foyer. De plus, le loyer entierement realise en fonte peut resister au t'eu et aux fumées.
De même les machines possedant un battoir a palettes, pre- sentent ce défaut commun de comporter une course fixe du mecanis- me de commande et par suite du dit battoir. ur, il est certain que les conditions de lavage varient selon qu'il s'agit de pie- ces lourdes et volumineuses comme les draps, ou ue pièces lege- res comme lesmouchoirs et exigeant une grande agitation de l'eau. ans le premier cas, si la machine est reglee avec une trop grande course,sa commande a la main devient peniole et le fonc- tionnement au moteur pousse ce dernier a sa limite. Dans le se- cond cas, si la course est trop réduite, le lavage s'effectue de façon imparfaite. Une macnine a course cons tante ne peut donc repondre aux divers besoins de la pratique.
L'un des perfectionnements vises par l'invention consiste à prevoir sur les machines à laver le linge un dispositif' permet- tant de regler l'amplitude du mouvement angulaire du battoir à palettes pour l'adapter à volonté a ces besoins varies, en mo- diriant soit la course du pied de bielle, soit la position du point d'application de la tête de bielle, l'axe d'articulation de l'une ou l'autre de ces parties etant monte sur la piece à laquelle il relie la bielle de manière à pouvoir être deplace radialement sur cette pièce.
Cette disposition peut être realisee en fixant l'axe en question sur une règle coulissante, ou en le montant dans une coulisse, ou par tout autre moyen approprie: trous de réglage, etc...
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j)autres perfectionnements prevus par l.' inlent ion concernent en. core le mouvement de commande du battoir. Sont ainsi prevus: un dispositif de multiplication de mouvement de rotation de l'arbre du battoir au moyen de bielles, de pignons, etc..., un
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dispositif de transformation de mouvement rotatif continu ue l'arbre de commande en un mouvement rotatif alternatif de l'ax- bre du Daiieur.
L'invention prevoit encore une poignee ou manivelle articulée,
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facilement escamotable et permettant de comoander ou de lancer la machine a la main et a'être erracee apres mise en marche du mo- teur. un autre perfectionnement vise par l'invention consiste a
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prevoir un dis positif permettant deux angles à'ouverture du couvercle de la cuve de lavage. un sait, je plus, que dans les machines a cnat1Ii'age auto- nome, pour obtenir un bon bouillage au linge, il est necessaire de placer dans la cuve un champignon semblable à celui utilise
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dans les lessiveuses.
ur pendant ce bouillage, il n1J1 a pas battage et le batteur pourrait donc être supprime car il est difficile avec sa presence d'emplir la cuve dans de bonnes con-
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aiitons pour le Touillage j'une part et a'aaapt.er, a'autre part, un cnampignon aonnant ae bonnes conaitions de circulation.
Mais dans les macnines existantes, le batteur est lie u'une
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l'açon constante à la dernière partie au aouvenent de commande (engrenage de secteur, levier de cominande, etc...) et le demon- tage rqpide du batteur est, de ce fait, toujours incommode.
La presente invention prévoit donc un mode de montage du batteur qui permette de le monter et de le demonter rapiaement
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et, à cet e1'I"et, procure aivers moyens ae realiser le ait monta- ge sans avoir à enlever entièrement le couvercle et le re-placer par un autre comme il est procede avec certaines macnines.
On sait egalement qu'après chaque operation: battage, rinça- ge du linge, la menagère doit essorer.
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cet eifet, Les constructeurs ont prevu ces essoreuses a rou- laaux ou centrifuges s'aaaptani aux CoaVel'c'es .les macnines.
.L..8 -lupa..-t 2 ces essoreuses, quel que soit j-eur type, sent com- mandées à la main et peu d' entre elles sont comoandees au mo- teur. zanis ce dernier cas, il Iaut, t-our pass.er au ciouvemen-L de battage à celui à'essorage, debrayer le premier mouvement pour embrayer le second et ce cnangenent doit slet'fectuer a la. main.
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invention prévoit donc aussi un dispositif operant automa- tiquement le ciebi-ayage et l'embrayage aes deux systèmes de bat- tage et c'essorage. A cet eil:-eT,, llinvention pro cur e un nouve- ment d'ouverture du couvercle embrayant la commande de l'esso- reuse et débrayant le mouvement au batteur et vice-versa debra-
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yant l'essoreuse pour embrayer le batteur , 1 : s de la lermeture du couvercle.
Un autre objet, de l'invention concerne encoreun dispositif de verrouillage du couvercle qui consiste a munir d'une poignée le verrou oscillant assurant ce verrouillage, et à prevoir sur le moyeu de ce verrou un ergot limitant son mouvement angulaire
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apres le aeverrouillage, de telle sorte eu-'on puisse successive- ment, en manoeuvrant la poignée, produire le deverrouillage et opérer le relevage au couvercle.
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.ni'in, l'invention prévoie également des perfectionnements dans la construction des palettes du battoir.
Suivant l'un des perrectionnementa vises par l'invention, les palettes du battoir sont avantageusement construites en tôle ou fonte emaillée. De telles palettes presentent l'avantage d'être parfaitement inoxydables. D'autre part, leurs parois sont beaucoup plus lisses que celles des palettes en bois, de sorte que les
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mouvements ce l'eau se trouvent facilites et les pertes de t'rot- tement diminuées, ±n outre, elles se prêtent iacilement a rece- voir toute conformation desirable.
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indépendamment.. ae la matiere utilisée pour La construction de ces palettes, l'invention vise d'ailleurs la construction ae palettes propres a favoriser au maximum la production ae remous.
A cet effet, suivait l'invention, les palettes, prevues de pre- ference au nombre de quatre, possèdent une t'orme convenablement incurvee et sont opposées deux à deux par leurs concavites.
Les diverses particularites qui viennent a'être exposees seront a'aieurs mieux comprises a l'aide du complément ae description fait ci-après en référence au dessin annexe, lequel montas, - titre d'exemples seulement: fig.l, une machine à laver montée sur un l'oyer de chauffage; fig., la même vue e:- plan ; fig.3, un mode de fixation de la cuve sur le foyer de chauf- fage; fig.4 et 5, des vues en coupe verticale et en plan a'un dis - positif de réglage du pied ae bielle ; fig.6, une coupe suivant la ligne 6-6 de la figure 4; fig.7, un dispositif de réglage du point d'application de la tête ce la bielle;
fig.8 et 9, des vues en elevation et en plen a'un dispositif de multiplication du mouvement du battoir; fig.10, une représentation schematique des mouvements obtenus avec le dispositif susdit; fig.11, une variante d'execution de l'une des pieces au dispositif represente sur les figures. 8 et ; fig.12 et 13, des vues en élévation et en plan d'une variante de ce dispositif; fig.14, une vue en elévation d'une autre variante ; fig.15, une représentation schématique des mouvements obtenus dans ce dernier cas; fig.16 et 17; des dispositifs de transformation du mouvement rotatif par pignons;
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fi,g.18 et 19, une variante de transformation du mouvement rotatif par cames;
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fig.a0, une forme d'execution de l'axe du battoir permettant Inamovibilité de ce dernier; une variante du dispositif ci-dessus;
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iig.22, une vue en elévation d'un dispositif ce montage de la poignée du volant; 1'ig.j, une coupe suivant la ligne '::,j- de la figure ,; fig.4, une vue en elevation d'une variante; fiv.25, une coupe suivant la ligne .::b-:::J5 de la figure 4; fig.26, une vue en coupe d'une autre variante; fin.27 et 28, des vues de aetail relatives a cette variante; fig.9 et 30, des vues en elévation et en plan d'un disposi-
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tif de cnamiere permettant aeux angles ci 'ouverture au couver- cle de la cuve; f'ig.3l et bzz, des vues en coupe verticale et de face du dis- positif de verrouillage prevu par l'invention;
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rig.,3j à 41, des dispositifs permettant d'obtenir l'embrayage de l'essoreuse et le débrayage du battoir et vice-versa; zig.42, le dispositif d'etanchéité dm couvercle vu en coupe; fig.43, une vue schématique d'une forme d'exécution des pa- lettes du battoir, ces palettes étant vues en projection plane sur leur cylindre enveloppe exterieur;
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rig.44 et 45, des coupes du battoir suivant les lignes 44- 44 et 45-45 de la figure 43.
Dans la forme d'exécution d'une machine à laver selon l'inven- tion, la dite machine comporte une cuve 1 reposant preferable- ment sur un foyer autonome 45 (fig.l et 2).
Le foyer est du type dit de buanderie, en fonte et tres robus- te. La cuve peut être realisee en cuivre ou, mieux, en tôle gal- vanisée qui est d'un entretien relativement facile si l'on peut enlever ou démonter aisement la cuve du royer.
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A cet effete la cuve 1 est fixee sur le loyer 4 grâce à un rebord 45a (fig.3) aménage sur le foyer et comportant quelques oreilles correspondant à des equerres à oreilles 47 fixees sur la boraure ae la base de la cuve 1. Les oreilles au foyer et celles de la cuve sont solidarisées au moyen de boulons 46 ou de tout autre organe racile à demonter: clavettes, goupilles, etc... et même de rivets.
La fixation de la cuve se rait ainsi par l'extérieur de cel- le-ci, et permet un démontage facile et rapiae sans le moindre
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risque de aeterioration, ce qui aubrise l'emploi rationnel de la tôle galvanisee. n outrei elle'donne toute iacilite de dila- tation à la cuve : organes de fixation 40 ne servant cula la fixation de la cuve en orientation qui, en realite, repose de sont propre poids alors que les cuves existantes sont encerclees sur toute leur nauteur et ne peuvent se dilater facilement.
A l'intérieur de la cuve se trouve un battoir à palettes 3,
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d'axe 0,(fiv.1). Ue battoir reçoit un mouvement angulaire al- ternatit' par l'intermédiaire d'un dispositif quelconque.
Dans les ligure 1 et é, donnees à titre ce simple exemple, un pignon ) est cale sur l'axe U et engrene avec un secteur oente 4 tourillonne sur un axe 0'. ue dernier subit un t-iouvement al- ternatit' qui lui est communique par une bielle 6 articulée sur un engrenage conique '7 formant plateau manivelle et commande par un pigno n u calé sur l'axe 9a du volant d'entraînement 9.
Ce volant peut être actionne soit à la main par une poignee 13, soit par un moteur electrique place a proximite avec inter- meàiaire d'une courroie, la poignee 13 servant alors au lancement de la machine.
Suivant l'un des perfectionnements vises par l'invention, cn
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munit la machine d'un dispositif permettant de regler l'aopiitu-
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de du mouvement angulaire alternatif du battoir à palettes 3.
A cet effet (fig.4 à ci) le pied 6a ue la bielle 6 est porte par une reglette 19 fixee diametralement sur l'engrenage conique 1 par deux vis 20, 21. Cette reglette est pourvue de deux coulisses 19a, 19b que traversent les vis 20, 21 et qui permettent ae mo- dit'ier sa position sur le pignon / de manière à rapprocher plus ou moins le pied de bielle 6a de l'axe au ait pignon et, par suite, à reduire plus ou moins la course ae ce pied de bielle.
Ce dispositif permet de regler à volonté l'amplitude du mouve- ment du battoir quel que soit le mode d'entraînement adopte soit parsecteur plan avec denture extérieure, comme dans le cas des figures 1 et 2, ou avec denture intérieure, soit par secteur conique, soit par leviers articules comme dans le système dont il sera parle ci-après, c'est-à-dire d'une maniere générale, dans tout dispositif actionne à partir alun organe cornant mani- velle excentrique.
Au lieu de modifier la position du pied de bielle, on peut obtenir un resultat identique en modifiant la position de la tête de bielle sur le secteur 4. La figure 7 montre une appli- cation de cette disposition dans le cas d'un secteur plan à den- ture extérieure. 4 désigne le secteur tourillonne autour d'un axe 0' et engrenant avec le pignon o calé sur l'arbre 0 du bat- toir. L'axe 6b de la ête de bielle est rixe dans une coulisse 22 pratiquee radialement dans le secteur 4, et dans laquelle sapo- sition peut être reglee à volonte.
Ces dispositifs ne sont d'ailleurs cites qu'a titre de simples exemples et peuvent être remplaces par tout autre dispositif con. nu susceptible de faire varier l'amplitude du mouvement alterna- tif soit par modification du diamètre de rotation du pied de bielle, soit par modification du point d'application de la tête de bielle (coulisses, boulons coulissants, etc...), en un mot par tout dispositif susceptible de raire varier la longueur de course.
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Un autre perfectionnement vise par -'invention concerne le remplacement du dispositif de multiplication de mouvement a sec- teur dente par un dispositif à leviers articules assurant pour un mouvement d'amplitude donnee de la bielle de commande une grande amplitude du mouvement angulaire de l'axe u du battoir à palettes. une premiere t'orme d'exécution de ce dispositif est representee sur les figures 8 et 9. Sur ces figures, la bielle 6 est representee en traits mixtes. Sur la tête de bielle 6b @ est articulé un levier 26 dont l'extrémité opposée tourneautcur d'un axe 0' correspondant l'axe du secteur cente dans les systèmes connus.
La bielle 6 'est reliee d'autre part par une biellette 27 et un levier 28 à l'axe 0 du battoir auquel elle transmet ainsi un mouvement de rotation alternatif. La figure 10 montre schematiquement les mouvements angulaires accomplis simultanement par la tête de bielle 6a autour ae l'axe 0' et par l'axe 0 du battoir. Un constate que lorsque la tête de biel- le passe de la position à à la position d, c'est-à-dire effec- tue une rotation nettement inférieure à 1/2 tour, le levier 28 entraînant l'axe 0 passe de a' à d', effectuant une rotation d'environ 6/8 de tour.
Le dispositi- qui vient d'être décrit pourrait egalement être realise en remplaçant le levier 26 par un levier a deux bras 26' tourillonné en 0' (fig.11) sur lequel la oielle de commande 6 et la bielLette 27 seraient alors articulees par deux axes distincts 6a et 27a. Cette disposition permettrait de pre- voir des rayons r et R différents, en vue par exemple de réduire la course de la bielle de commanae.
Une autre variante de ce dispositif est représentée par les figures 12 et 13. Dans ce cas la bielle de commanae 6 est articu- lee en 6b à l'extremite a'un levier 29 à deux bras tourillonne sur l'axe 0', Le bras opposé du dit levier est pourvu d'une coulisse 29a dans laquelle peut se deplacer un curseur 30 solidaire d'un levier 31 calé sur l'axe 0 du battoir. Lorsque la tête de bielle
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db passe de a à dy ayant parcouru autour de l'axe ü' un angle inférieur à 1=Ô , le curseur 3U entraînant l'axe 0 en rotation est passe de a' à d' ayant parcouru un angle voisin de 25 .
La figure 14 montre une autre variante dans laquelle le mouvement circulaire de la tête de bielle est remplace par un mouvement rectiligne alternatif. A cet effet, l'axe 6b de la tête de bielle
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est solidaire d'un curseur j2 glissant sur une reglette 33 et relié, par l'intermédiaire d'une biellette 34 à un levier 35 ca-
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.le sur l'axe U du battoir. Comme le montre le schéma de la t'igu- re 10 lorsque l'axe db passe de a à d, le levier dô eàt passé de a' à ayant entraîne l'axe U 'sur un angle voisin de a25 .
Toutefois on peut observer que, dans ce mouvement, le levier 35 aurait un mouvement beaucoup plus rapide par .'apport a celui
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de l'axe àb dans la partie a' ci de sa course, ce qui amènerait une rotation irregulière du battoir. Pour éviter cet inconve- nient, le mouvement a d du curseur devra être obtenu à l'aide d'une came de profil convenable.
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Dans une autre forme d'execution ae la cmmanae du battoir, l'axe 0 de ce dernier porte deux pignons 419 et aO (fig.16) calés sur lui.
D'autre part, sur un axe 9a commande directement par le volant 9 (fig.l) ou par l'intermédiaire d'engrenages ou autres disposi- tifs semblables, est cale un engrenage particulier 48. Cet engre- nage n'est taillé que sur une portion de circonierence inferieu-
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re à lbO 0 .
L'axe 9a tourne d'un mouvement continu dans le même sens. lorsque la partie taillee du pignon engrène avec l'engre- nage supérieur 49 celui-ci et par suite l'axe du batteur, se trouvent entraînes dans un sens. fuis la denture du pignon 48 quitte celle du pignon 49 et, après un temps mort pendant lequel l'axe du batteur perd sa vitesse, attaque la denture du pignon 50. Ce pignon et par suite l'axe du batteur, se trouvent entrai- nés en sens contraire du précédent cteant le mouvement alternatif nécessaire.
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Dans une autre l'orme d'exécution au aisposi til de comntanae du battoir \Î1gl'l) l'arDre a est porteur de a eux pignons 8 et 4f3' dont les deux dentures 1complètes sont decalees de Sur l'axe U est alors cale le seul pignon 49 ou oO avec lequel en- grenent alternativement les pignons 4ts et 48' qui font tourner l'axe 0 tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre.
Enfin, ce mouvement alternatif peut encore être obtenu au moyen d'un dispositif à cames agissant sur le secteur 4, que celui-ci soit à denture interne ou externe, et remplaçant la bielle o décrite plus haut.
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Dans ce cas, une came-rainure d'axe ol ylg.lb) tournant sur un axe 0'' agit sur un tourillon ou un galet o-d fixe sur le sec- teur 4. Lorsque la came tournera dans le sens de la flèche,
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elle entraînera le tourillon a4 du point u au point T' et le ramènera dans le sens 1:3 1 dans l'autre demi-revolution. L'angle '.L' 0'' ï'' étant inférieur a lc'0", il conviendra aansce cas de multiplier ce mouvement par un secteur ou un autre moyen connu pour obtenir une plus grande revolution.
Cependant cette multiplication peut être supprimée en employant le dispositif montre en figure 19 et dans laquelle l'axe de la rai. nure de la came est montre par le trait mixte ol. Dans ce cas le mouvement rotatif continu est transforme sans autre intermediai-
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re en mouvement rotatif dternatif d'amplitude suffisante.
Inversement, la rainure-came pourrait être pratiqueedans le
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secteur 4 et le tourillon ou galet oG être porte par l'axe 0".
Un autre perfectionnement consiste à permettre le démontage facile du battoir sur tout dans le cas de la cuve à foyer auto- nome. Il y a evidemment de nombreuses solutions permettant ce demontage et les dispositirs suivants ne sont donnes qu'à titre de simples exemples.
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Dans une première l'orme c'execution (fig.20) l'axe du battoir 53a est termine à son extremite par une partie conique s'emman- chant dans le corps du battoir.
En tournant le faux-ecrou à oreilles 54b rive sur la vis 54 dans le sens convenable, le corps du battoir oo vient se coincer sur la partie conique de l'axe 53a. Ce coinçage suffit pour l'en- traînement normal, cependant deux ergots de securite 53e assurent la solidarisation des deux pièces dans le cas où l'effort exerce sur le faux-ecrou serait insuffisant. En desserrant la vis 54 on obtient facilement la liberation du corps du battoir 55 de son axe d3a.
Dans une autre lorme d'exécution (fig.21) la fixation est rea- lisee au moyen d'un emmancnement à baïonnette 61 d'une partie de l'aebre U dans sa partie supérieure. On ressort 62 peut comple- ter le dispositif de manière à tirer constamment l'axe U vers le fond de la baïonnette. Ce ressort peut d'ailleurs être remplace par un écrou remplissant le même rôle.
Il est évident que de nombreux autres dispositifs permettant le démontage facile du battoir et son amovibilité pourraient être egalement realises tout en restant dans l'esprit de l'invention.
Suivant un autre perfectionnement vise par l'invention, la poignée 13 prevue sur le volant d' entraînement pour le lance- ment du moteur est monzee de manière à pouvoir être effacée ou enlevee en marche normale. Dans 1.' exemple represente sur les fi- gures 22 et 23, la poignee 13 est articulée a l'aide d'un axe ;36 dans un moyeu 37 prevu sur l'un des bras du volant 9.
La pat- te d'attacne 13a de la poignée est susceptible d'être déplacée dans une fente 37a du moyeu, soit pour prendre la position figu- ree en traits pointilles qui correspondà la position de marche nor- male et vers laquelle elle est sollicitée par un ressort 38, sojt
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gnee 18 de la figure 1. un autre perfectionnement encore vise par l'invention consiste doter les machines à laver, sur lesquelles on adapte une esso- reuse, 3'un dispositif permettant d'embrayer la commande ce l'es- soreuse et simultanément de deorayer le mouvement du oatteur, et vice-versa, lors de l'ouverture ou de la fermeture du couvercle de la cuve.
Ce dispositif peut être realise de laçons ires differentes, on citera les suivantes à titre de simples exemples:
Dans une première l'orme d'exécution la partie mobile 14 du cou- vercle est articulee sur la partie rixe 16 au moyen de deux charnières 15 et 15' (rig.33 à 35).
Les deux charnières 15 et 15' sont traversas par l'arbre de commande 9a ou par tout autre arbre commande par l'intermédiaire de pignons ou organes appropries.
La première moitie de la charnière 15 (fig.33 et 34) fixée sur la partie fixe 16 du couvercle comporte donc aeux bras 15a et 15b traverses par l'arore 9a ou similaire. L'arbre est chausse entre les bras susdits, d'une douille 64 dont le centre o1 est decale du centre o2 de l'arbre 9a. Un ergot 0'il fixe dans la douille 64 et s'engageant dans un alveole pratique dans le bras 15a, ou dans l'autre bras, empêche la rotation de la douille au- tour de l'arbre 9a.
Sur la douille 64 peut tourner le bras 66 de l'autre moitié de charnière fixee sur la partie mobile 14 du couvercle. Cette moitie de charnière porte un palier 67 dans lequel est monte un axe 68. Sur cet axe peut tourner un pignon recepteur 69 servant a la commande du battoir et engrenant, lors ae la fermeture du couvercle, avec un pignon /0 calé sur l'arbre 9a.
L'excentricité de la douille 64 et la distance entre les cen- tres o2 de l'arbre 9a et o3 de l'axe 68 sont telles que, lorsqu' apres ouverture du couvercle et que par suite le centre o3 est venu en o'3, on ait la relation:
01 0'3 > 02 03 + hauteur d'une dent.
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Vautre part la cuve 1 (fig.1 et 2) est pourvue à'un couver- cle ayant une partie mobile 14 articulee a l'aide a'une charniè- re la sur la partie l'ixe 16. un verrouillage 17 assure la ierme- ture de la partie mobile et une poignee lo permet le relevage de cette partie.
Ur, l'invention prevoit egalement un dispositif (fig.29 et 30) qui permet deux angles d'ouvertures différents de la partie mo- bile 14 du couvercle* - cet effet, la partie mâte de la cnarniè- re la comporte deux bossages 15a, 15b. Sur la Partie femelle de cette charniere est prevu un bossage 15c correspondant au bossage 15b et une c@e amovi4le 42 correspondant au bossage 15a Lorsque cette cale est en place, l'ouverture est limitee à la position 1 de la charnière dans laquelle le bossage 15a vient buter contre la dite cale. L'et angle d'ouverture,soit 115 envi- ron, est suffisant dans la majorité des cas.
Si l'on enlève la cale 42, le mouvement d'ouverture est alors limite par le porta- ge du bossage lob sur le bossage ioc (.position 11), assurant l'ou- verture presque complète du couvercle et facilitant l'essorage.
Les figures 31 et 32 montrent le dispositif de verrouillage du couvercle également prevu par l'invention. 17a désigne la plaque de verrouillage fixée sur la paroi de la cuve 1, et 17b le verrou pivotant tourillone dans une chape 17c fixée sur la partie mobile 14 du couvercle. Lorsque le verrou 17b est rabattu et engage dans la fente de la plaque 17a l'ensemble est maintenu en place grâce à l'elasticite du bois. suivant l'invention, le verrou 17b est muni d'une poignee 17,d et il porte sur son moyeu un ergot 17e auquel correspond un bossage 17f sur la patte de fixation de la chape 17c. En exerçant une traction convenaole sur la poignee 17d on provoque tout d'abord le dégagement du verrou 17b, puis un mouvement angulaire de cé verrou amenant l'ergot 17e en contact avec la butee 17f.
A ce moment la poignee 17d peut être utilisee pour le relevage de la partie mobile 14 du couvercle. Cette dis- position assure donc le deverrouillage et l'ouverture d'un couver- cle en une seule opération, ce quipermet de supprimer la poi-
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On cnoit dès lors qu'après ouverture su couvercle, les deux pignons 69 et 70 n'égrènent plus et que le battoir est ueoraye.
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D'autre part, la moitie fixe de la cne.rniere ld' \,l'ig.d5) est fixée :ur la partie rixe Là du couvercle et comporte cieux olaf paliers Il et traverses par llarore a de commande ou son si- milaire. Elle comporte encore deux autres cras paliers 73 et 74 traverses par l'arbre 76 ce commande jie l/e.so'euse de type con- nu ou autre adaptée à la macnine a laver par un moyen approprie.
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Des engrenages convenaclea commandes par le pignon cale sur zazoue /o assurent 1'entraine:ent de l'essoreuse. dur 1'arbre 10 est cale un autre pignon /7 engrenant avec un pignon id fou sir ilarore a. Ce pignon ib comporte, laterale- ment, une denture 7da susceptible d'entrer en prise avec une Jenture '/9 realisee latéralement sur un OanCl1on coulissant qu'une clavette 80 logee dans une rainure 81 soliaarise ae l'arbre 9a.
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.Le manchon t9 présente, sur la race opposée à sa den-iure un bossage 79b susceptible d'entrer en contact avec une rampe 82a pratiquée sur le bras 82 de la moitie mobile de la charnière fixée sur la partie mobile 14 du couvercle. une douille 64', de même excentrement que la douille 64 de la charniere 15, chausse l'arbre 9a et est maintenue rixe par rapport au dit abre au moyen d'un ergot 65' engage dans le palier 71. Le bras 82 tourne donc autour de cette douille 64' comme le bras 66 de la charniere 15 tourne autour de la douille 64, le mouvement de la partie mobile 14 du couvercle peut donc s'opérer normale- ment. Mais en tournant, le bras 82 agit, par sa rampe 82a sur le bossage 79b du manchon 79 qu'il repousse et la denture 79a vient alors engrener avec la denture 78a du pignon 78.
Ce pignon se tro-u ve donc entraîne par l'arbre 9a et l'essoreuse est ainsi embrayee.
Au contraire, lorsque l'on abaisse le couvercle, le manchon 79, repoussé par un ressort 83 s'écarte du pignon 78 qui se trou-
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ve débraye, candis que dans le mouvement de la cnarniere 15, le pignon 69 revient en prise avec le pignon 70 qui peut entraîner alors le battoir des que le couvercle est lerme.
Un voit donc que ces embrayages et débrayages se produisent
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automatiquement par la seule manoeuvre du couvercle 14.
11 est évident que la disposition des criarnieres aurait Nu être inverse sans que le ronctionnanent subisse la rnoimre modi- fication. e nombreux autres dispositifs peuvent d'ailleurs être utili- ses et atteindre le même but.
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(:'est ainsi que 1.'on reuZ ols?oser un levier couae c:4 (ii6.3ô) qui agisse sur les organes ulemorayage eu de débrayage par lour- cne1:.l:.es, rringlerie, oowden,etc... et qui oscille sous le poids du couvercle 14 lorsqu'il est leve.
L'axe 85 de pivotement du levier peut être parallèle à celui des charnières ou perpendiculaire comme en rieur-e 37.
Un levier 84' peut d'ailleurs être solidaire de la partie mo-
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bile de la cnarnière 15 (2'i.;is) et agir cornue les leviers inde- pendants ou bien encore -être remplace sur la charniere par une
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poulie a gorge b4l' (l'ig.J9) ou un pignon dénie susceptible de recevoir un câble métallique bowden ou une chaîne de commande. un autre procède pourrait encore consister en un bras 84''' sol daire de la cnarnière ou mû par le couvercle et agissanr, par un
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galet ào (fig.40)sur la courroie Je com,-lancte b7 de l'essoreuse qui patine lors ue la fermeture du couvercle.
.:nt'm on peut encore utiliser le i:1Ouvewent. ue retournement du couvercle pour provoquer, au moyen uleneenages7 l'eabrayage de l'essoreuse.
Dans ce cas, un engrenage 88 (rig.41) est cale sur l'arbre de commande a et reste toujours en prise avec un autre pignon dente 89 tournant sur un axe porte par la partie mobile de la charnière 15. L'arbre a sert de pivot a la charnlere. Enfin une autre roue dentée 90 est calée sur l'arbre de commande de l'es-
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soreuse porle par un oras ='l 11X s,w -Le). Parul,3 lixe lo àu coa- vercle. un conçoit que lors du renversement de la partie mobile 14
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du couvercle, 1,engrenage =" vienne en prise avec la roue :::'0 et que l'essoreuse se trouve, de ce l'aiL, ennrayee.
En un moi, l'invention prévoie coût disposi-tii7 apte à assurer l'embrayage automatique àe l'essoreuse en 1.,êl:J.e temps que le ae- brayage du battoir et vice-versa, par oroanes mécaniques ou même par organes de contrôle électrique tels que les contacteurs com- mandes par des moyens appropries afin ue mettre en route l'esso-
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reuse ou la niachine possédant cnacùne son Í.1ot.eur d'entraînement.
L'invention 'comporte encore un perfectionnenent rendant la i'erneiure de la cuve complètement etancne. . cet e!'1'et la cuve presente sur le pourtour ae sa partie supérieure, un drageoir
92 (fig.4) fixe au bord de la cuve 1. une corniere 93 adaptee sous le couvercle 14 penètre dans le drageoir 92 et empêche l'eau d'être projetee en dehors.
Des trous 92a perces dans le' drageoir )ramènent l'eau dans la cuve.
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Anfin, suivant un autre per1'ecT.ionneL1eni. vise par l'invention, les pales au battoir 3 sont avantageusement construites en tôle
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ou l'onze emaillee. 4n outre, en vue de favoriser- la production des .émous., ces pales, prévues de preierence au nomore ae quatre, ,;
os.3èàent une l'orme incurvée et sont opposees deux CI. deux par leurs concavités ainsi que le montrent La I16lli'e -3, qui repre- sente sctiematicuement, ces pales projetées sur leur cylindre enve- loppe extérieur, celui-ci étant suppose devel@ppe sur un plan, et les figures 44 et 45 qui sont deux coupes horizontales- du battoir
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à des niveaux diri'erentas Si l'on suppose que le sens de aeplacement des palettes soit
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celui de la llecne zon, (llg.4J), on conçoit qu'il se l'orme derrière la pale 3a des remous très importants;
d'une pari, a l'avant et vers sa partie inférieure, cette pale projette l'eau vers l'ex- terieur (fig.44) tandis qu'à sa partie superieure qui est incli- nee radialement en sens inverse (fig.45), elle tend à produire
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un appel d'eau. Pour la pele 8b, qui presente un bon angle d'attaque, l'eau tend a monter vers le naut, n'autant plus que l'inclinaison raciale ae la pale produit une action uaris le même sens' l'eau appelée vers le haut se trouve rabattue par la par- tie supérieure de la pale 3b, ce qui empêche les giclages contre Le couvercle, et, en même temps, elle est projetée radialement vers l'extérieur.
Derrière cette pale 3b exisce une zone de re- mous violents pour les mêmes raisons que precedemment. L'eau arrive ensuite contre la pale 3c où elle suDit un cnoc; travail- lee dans le même sens radialement, elle est projetée vers la partie basse provoquant ces remous'dans cette zone. Les phenome- nes ci-dessus se produisent dans le même orare aes le derriere de la pale 3c. Lorsque la rotation du battoir cnange de sens, ces phénomènes se repètent mais en ordre inverse. Le brassage de l'eau est donc très energique en tous les points de la cuve.
Bien entendu, l'invention n'est pas -imitée dans sa realisa- tion aux exemples representes et décrus, mais pourra donner lieu à des variantes constructives. En ce qui. concerne notamment le dispositif permettant :le régler la course au battoir, on con- çoit qu'il pourra être aisement adapte aj cas ou .La multiplica- tion du mouvement angulaire de ce battoir est ootenu a l'aide d'un système de leviers articules tel que celui prevu par l'in- vention. 'Jans ce cas, on pourra prevoir soit un reglage du point d'application de la tête de bielle, soit un reglage de la longueur des leviers ou biellettes intermediaires.
D'autre part, on conçoit également que la t'orme ces palettes du battoir pourra être différente de celle representee et que ces palettes, au lieu d'être executees en tôle ou fonte emaillee pourront être etablies sous une forme presentant les caracteris- tiques de l'invention au moyen de toute matière coulable inoxy- dable.