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APPAREIL AUTOMATIQUE POUR ETALAGES DE MAGASINS"
La présente invention a pour obet un@ appareil automati- que pour étalages de magasins et d'une manière générale pouvant être appliqué à des installations à usage de publicité, d'exposi- tion et d'attractions pour fêtes feraines.
Comme on peut le voir les objets dans les magasins sont toujours, à de rares exceptions près, psésentés aux passants de la même façon, c'est-à-dire posés sur des glaces ou des accessoires où ils restent fixes, plus ou moins à la portée de la vue des a- cheteurs éventuels qui souvent, les voyant mal, et toujours dais la même position et le même sens, n'en apprécient pas immédiate- ment les avantages.
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Cette invention a pour but de remédier aux divers incon- vénients rappelés oi-dessus et elle a pour objet un appareil doté de mouvements de rotation spéciaux donnant aux étalages des maga- sins où il sera mis en usage, une animation constituant pour la clientèle un attrait qui l'incitera à s'arrêter plus longuement et plus fréquemment aux devantures des magasins et permettra aux em- ployeurs de cet apareil, par le fait même de sa disposition, aménagée spécialement, pour certaines catégories de commerces, d'exposer un non bre plus considérable d'objets, de varier continuellement (par sui- te du mouvement circulaire continu ou intermittent, qu'il soit ver- tical,'.oblique ou horizontal, mais toujours lent, attribué suivant sa destination à chaque type d'appareil),
la présentation des dits objets, tout en les rapprochant automatiquement de la vue du public au fur et à mesure de leur passage et en les montrant sous diverses faces.
En ce qui concerne les étalages, il n'a été mis en usage, à ce jour, que des dispositifs en forme de plateaux ronds, tournant à plat horizontalement ou des tabliers roulants, sans fin tournant obliquement ou parallèlement au plancher de l'étalage, en passant tantôt dessus,tantôt dessous, d'où le grave inconvénient de ne pou- voir poser sur ces tabliers que des objets légers et de très faible hauteur, puisqu'il est indispensable de les attacher soigneusement du fait que dans leur passage sous le plancher de l'étalage ils se trouvent placée sens dessus dessous.
L'appareil faisant l'objet de la présente invention peut être actionné aussi bien à la main, que par tout autre moyen rudi- mentaire (ressort, contrepoids, etc...) mais généralement, par toute force motrice quelconque, dont la nature sera déterminée par l'im- portance et la puissan ce du.dit appareil et en raison du poids to- tal des objets qu'il sera destiné à supporter et de la plus ou moins -grande place dont on disposera pour l'emplacement du matériel de la
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forae motrice.,
Dans le plus grand nombre de cap, il sera actionné par l'électricité.
A titre d'exemple, cette invention va être décrite ci- après enréférence au dessin schématique annexée dame lequel la fige 1 est une coupe vertisal transversale de l'ap- pareil.
La fige 2 estune vus de détail de côté d'un dispositif de suspension entrant dans l'appareil.
La fige 3 est une vue de face, du même détail.
La fig. 4 montre une partie du même appareil de face.
La fige 5 est une vue en perspective.
La fige 6 représente de côté une première variante d'ap- pareil.
La fige 7 montre de taos une partie de la même variante.
La fig. 8 représente de face une variante d'appareil.
Les figs. 9,10,11,la sont des détails de la variante représentée fig. 8 .
La fig. 13 est une vue par bout de l'appareil représenté fig. 8.
La fige 14 est un plan de la fige 13.
La fig. 15 montre de face une variante d'appareil.
La fige 16 est une va de côté.
La fige 17 représente de face une variante d'appareil.
La fig. 18 est un détail de la variante représentéefig 17.
La fig. 19 est une variante en coupe verticale transver- sale.
La fige 20 est une variante en coupe verticale transver- sale.
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Comme on le voit dans ce dessin fige. 1 à 5 le type d'ap- pareil destine à servir d'exemple pour la présente invention et dont la description va suivre, est actionné, pour les besoins et la. bonne compréhension de la description, par un moteur électrique.
Ce moteur est relié à un train d'organes de transmission (équipages de roues dentées, courroies, ou ,autres) permettent d'ob- tenir, par démultiplication, une forte réduction de vites.., indis- pensable à la marche satisfaisante de l'appareil, qui dans ce cas, doit être plus ou moins lente et est réglée par une r@éostat.
Le mouvement est ensuite transmis par le train d'organe, à un arbre de transmission actionaant à son tour, soit un engrenage droit, ou un engrenage d'angle, soit une poulie, suivant que l'appa- reil est entraîné par chaîne, vis sans fin, courroie, câble, enclique- tage, cardan ou de toute autre manière.
Le mouvement est alora transmis à l'appareil lui-même.
Cet appareil a pour mission de faire passer successivement sous les yeux du public, par un mouvement de rotation, douze plan- ches par exemple chargées d'objets qu'il supporte.
La marche peut se produire indifféremment, suivant Je mon- tage, de haut en bas ou de bas en haut.
Ici$ il est admis que la marche a lieu de haut en bas.
A chaque tour complet, les douze planches seront passées l'une après l'autre et très lentement devant le public intéressé et. bien à portée de la vue de chacun. De plus, par suite des différen- ces de niveau de chaque planche, au cours de sa marche, on pourra mieux voir, et sous différents aspects, les objets exposés.
Ainsi qu'il est dit ci-dessus, le mouvement est tranamis à l'appareil lui-même, par un arbre de transmission 1, fige. 1 et 4, actionnant un engrenage 2 - lequel est relié lui-mme à un en- grenage double 3 placé au-dessus de lui ;
la chaîne 4, fixée à
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1 . l'ongrenage 2, est reliée à la roue 6 "engrenage double a par, &'Dar* tie de plus petit diamètre 5 de oet eRgreaagg Ces mdeanlemes sont fixés sur un grand bâ%1 vertlual 6 lequel soutient l.ui>us traversée horîzontaloa 7 et, 8 p$r$t -2.èles l'une à l'antre, mais de longueur différente:.,' , Sur le grand bâti et sur les deux traversa,, ô p2àes quatre roues dantéea 3-9-10-11 reliées entre elles par une ahane sans fin 12, placée sur la partie de plus grand diamètre de l'engre- nage double 3 - et sur chacune des roues dentées 9-10-11.
La chaîne étant divisée en douze parties égales, par exem- ple, il est fixé à chacune de ces di@isiona un dispositif spécial fila 2 et 3 monté sur les rivets 13 et 14 de la chaîme et destiné à soute! nir un autre dispositif mobile 15 formant étrier devant toujours res- ter vertical quelle que soit la po@itiom de la chaîne au cours de sa course.
C'est ce dernier dispositif ou étrier 15 qui supporte la planche 16 sur laquelle sont placés les objets exposés. La planche 16 est, en conséquence, entraînée par le mouvement de rotation dans la direction et sur le chemin que suit la chaîme 12.
Mais par suite de la mobilité des étriers 15 et de leur po- sition toujours verticale par rapport à la marche;, les planches 16 conservent toujours la position horizontale lorsqu'elles montent, des- cendent, ou passent sous la traverse 7 ce qui constitue un des avant> ges de l'invention.
La description qui vient d'être faite, pour être complète doit comprendre deux parties semblables à celle décrite ci-dessus, la droite et la gauche, reliées entre elles par une traverse fixée aux deux bâtis à la partie supérieure de ces derniers 17.
Un paravent 18 peut être placé' à volomté sur la traverse in férieure et en retrait, ai l'on désire que le publie n'ait sous les
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yeux que les quatre planches qui sont toujours sur le devant de l'é- talage et cacher celles qui montent pour réserver la surprise de ce qu'elles portent.
La disposition de làppareil est conçue de telle façon qu'à aucun moment de leur course les planches ne puissent s'accrocher. Leus dimensions et leur écartement sont calculas à cet effet.
Le plan qui se trouve directement sous les yeux du public est, de préférence, oblique pour laisser plus de champ à la vue et a mener plus près des yeux et détacher la planche la plus à portée de ceux-ci.
L'arbre de transmission et la roue dantêe d'entraînement 3 sont, avec le moteur et le train d'organes, placés généralement sous le plancher de l'étalage 19. La vitre de ce aernier est figurée en 20.
Le dispositif 13 et l@ spécialement créé pour l'usage qui lui est destiné dans cet appareil (indépendamment de tous autres aux- quels il pourra convenir par la suite}, est fixé aux deux oôtés de la chaîne, de façon à ne pas porter entièrement l'effort et le poids d'un @eul côté.
En cas de rupture de la chaîne, ou tout autre accident de marche, et même pendant l'arrêt, un cran d'arrêt par encliquetage 21 est prévu pour retenir les plans de l'appareil et éviter que les plus chargea entraînent les plus légers.
La marche est suffisamment lente pour laisser au public le temps nécessaire pour pouvoir ex@miner attentivement les objets expo- aés et, d'autre part, les chaînes sont silencieuses afin d'éviter le bruit.
D'une manière générale, ces appareils peuvent être établis pour fonctionner par simple courant électrique. toujours à titre d'exemple, il va être succintement décrit quelques variantes choisies parmi d'autres types d'appareils pouvant
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servir au même usage que celui dont la description détaillée vient d'être faite ci-dessus.
La variante représentée figs. 6 et 7 est établie sous forme d'ailes de moulin à vent, avec vis aans fin, on avec chaînes; ellee distingue de l'appareil fige 1, par sa forme et sa disposition d'a- bord et par son mouvement ensuite,
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La marche de cet appareil est commandéopar un arbre se ter- minant par un engrenage oonîqtie (à lantermie, à'angle,ou hehb.i- que) à lanterne, dana l'exemple décrit, aetionnaMt tm autre arbre sur lequel sont montées une ou plusieurs via sana fin 23, engrenant avec une ou plusieurs rouea dentées 24 sur lesquelles sont fixée des bras 25, quatre sur chacune, endorme de croix, partageant chaque roue en quatre parties 'gales.
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A l'extrémité de chacun de ces bram, est fixé le dlopooltit mobile ou étrier 15 qui doit toujours rester vertical pendant la mar-
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che, auquel est fixé la planche eor e#ponààiis@ 16 sppDDtaat lace ob- jets exposés.
Les vis sans fin 23 impriment aux huit bras 25, par les
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roues dentées 2.4, un mouvement de rotatio cîroulaire sans que les planches 16, qui restent toujours dans la position horizontale, ne
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puissent jamais se rencontrer, chaque planche repast3ant à son tour sous les yeux du public, après avoir décrit un tour complet., Cet appareil peut fonctionner indifféremmsmtQ par la sy8è tême à vis sans fin, ai-dessus décrit, ou par de@ roues dentées en- tralnées par chaine, Dans ce cas, la roue inférieur@ 84 à double ram- gée de dents est reliée, par son plus petit diamètre, à la roue den-
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tée 26 par la chaîne zie et pae son plus grand diamètre, à.
la roue 4 supérieure par la ahahe 8a La variante représentée go 8 avec rails sans fin, à ee- là de spécial que le mouvement circulaire, continu ou intermittent
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au lieu de se produire comme dans les cas précédents, fig. 1 et va- riante 6 et 7, de bas en haut ou de haut en bas, se fait horizonta- lement et de droite à gauche ou de gauche à droite.
Cet appareil à l'avantage de tenir moins de place en pro- fondeur que les deux premiers, fige -1 et variante 6 et 7.
L'appareil est constitué par six btis verticaux 29 posés en forme de rectangle sur le plancher 30 de l'étalage, reliés par traie traverses horizontales 31. Sur ces bâtis, sont fixés trois rails cir-, culaires horizontaux sana fin 32, ceinturant les six bâtis, la plus grande longueur de ce@rails formant une ligne droite 33, les extrémi- tés 34 sont arrondies, pour permettre les virages.
L'appareil estmis en marche par un engrenage d'angle 35 actionnant un arbre vertical 36 fixé aux bâtis et au rail, aux points
37 et 38, arbre sur lequel sont montées deux roues dentées horizonta- les 39 et 40.
A un second arbre vertical 41, conforme à l'arbre 36; mais sans engrenage d'angle, sont fixées deux roues dentées 42 et 43.
Les roues 39 et 42 et les roues 40 et 43 sont respective- ment reliées l'une à l'autre par une chaîne (ou câble ou courroie etc...) 45 et 46.
Sur chacune de ces chaînes, sont fixées, aux points 47-48 plusieurs tiges 49, dix, dans l'exemple cité ici, descendant du rail supérieur au rail inférieur.
Ces tiges sont reliées à des roulettes 50 qui roulent res- pectivement sur les rails correspondante, il en est de même pour les neuf autres tiges.
Sur chacune de ces tiges, aux points 47 et 48, ou légère- ment au-dessous, sont montés des étriers 15 destinés à supporter les planches 16 sur lesquelles sont posés les objets exposés.
Lorsque l'arbre 36 est mis en mouvement, les roues dentées
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59'et 40 entraînent les chaînes 45 et 46 lesquelles à leur tour, en-! traînent dans leur mouvement circulaire les dise figea 49 et autres et avec elles les vingt planches qu'elles supportent.
Ces vingt planches passent successivement deux par deux, celles du haut et celles du bas devant le public à la devanture.
En plus qu'il tient moins de place en profondeur, cet ap- pareil a par sa disposition spéciale, l'afantage de laisser voir les objets exposés, sous toutes les face, de face, de côté, et de dos, chaque planche montrant les objets d'un. côté puis du côté opposé.
Les rails 32 peuvent être creusés en ornière fig..g, en la-! me de couteau, ou câble, fig.10, suspendue, en deux pièces, rail et contre rail, la roulette à l'intérieur, roulant entre les rails fig.1 11, ou suspendus en deux pièces également, la roulette à l'intérieur- en forme de boule, avec roulement à billes à l'intérieur fige 12. pour les roulettes supportant les tiges et qui sont desti- nées à rouler sur ou dans les rails, pour entraîner les dites tiges, ' il peut être employé différents systèmes parmi lesquels, ceux repré- sentés ici : roulette simple fig. 9, roulette incurvée fig:
10, rou- lette à suspension, une face roulant sur le rail, l'autre sur le con- tre-rail, la tige suspen@ue au centrefig. 11, ou roulette boule avec roulement à billes fig. 12.
La variante fig.15 et 16 sous forme de roue, est destinée, lorsqu'elle s'appliquera aux étalagea, à servir dame les cas où l'emplacement sera encore plus restreint que dans les précédents.
En effet, sa disposition ne demande place que devant l'ap- pareil, alors que les autres en ont besoin devant et derrière par suite du débordement des planches qui passent sur les deux faces.
Là les planches 16 ne tournent due devant l'appareil,dans un mouvement de rotation circulaire;, en forme de cercle,
L'appareil est formé de deux bâtis 51 et 52 (ou d'un seul
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central reliée par une traverse supérieure 53, sur laquelle tour- ne sur un exe central une roue 54, reliée à cet axe par quatre bras 55, lesquels est fixé un cercle 56.
Sur la roue 54 et sur le cercle 56 sont fixés des disposi- tifs mobiles 15 ou étriers devant toujours rester verticaux pendant la marche et auxquels sont fixées les planches 16 sur lesquelles sont plates les objets expoéés. Une @utre planche 57, est fixée par un dis- positif mobile à l'axe central ae la roue 54 et de la roue dentée 58.
Cette planche reste toujours horizontale, mais ne tourne pas comme les autres, elle reste toujours à la même place.
L'appareil est mis en marche par ure roue dentée double d'entraînement 59 actionnant par chaîne 60 la roue dentée 58 laquel- le entraîne la grande roue 54 et avec elle le cercle 56.
Les dispositifs 15 et autres, étant mobiles, les planches 16, qu'elles soient en haut ou en bas, gardent toujours la position horizontale.
Le mouvement de ce type d'appareil est bien particulier et attrayant pour le publia, Il peut se prêter mieux que d'autres la présentation de certains articles.
La roue 59 peut être également actionnée par un engrenage d'angLe, ou par courroie, ou, tout autre moyen.
La variante fige,15 et 16, peut s'établir indifféremment de face, avec une seule roue, ou avec deux roues placées de côté, une à. droite lfautre à gauche, reliées l'une à l'autre, par des plan- ches donnant um mouvement circulaire semblable à celui du Modèle ty- pe fig.1, mais absolument en rond, au lieu d'être oblique, perpendi- culaire et horizontal.
Cette roue peut également être placée horizontalement, les planches suspendues à la roue, qui tourne horizontalement ,au. sommet d'un bâti, et chaque planche animée d'un mouvement tournant propre,
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en plus du mouvement général de la roue,, représente
La variante/fige. 17 et 18 est sous forme de cadre rectan- gulaire pour espacée réduits en profondeur ,ce type d'appareil ne tenant pas plus de place que celui de la variante fige.15 et 16 mais destiné à la présentation d'autres articles,, ayant plus de h@ hauteur ou de largeur, les planches pouvant être beaucoup longues.
Son mouvement est horizontal et vertical,,
Le bâti à trois faces 61 est divisé en quatre partiel par la traverse 62 et le montant 63.
La traverse 62, la partie horizontale du bâti 61 formant traverse, et les deux parties supérieures verticales de gauche et de droite du bâti,61, jusqu'à, leur rencontre avec la traverse 62 formant un rectangle.
AUX quatre coins ce ce rectangle, sont fixées quatre roues dentées 64 et une autre semblable 65, au centre du bâti supérieure horizontal formant traverse 61, au sommet du montant, 63. Ces cinq roues dentées sont reliées entre elles par une chaîne 660
Cette chaîne est divisée pour l'exemple servant à la pré- sente description,en sept parties égalasse, chacun de ces sept points est fixé, mais seulement sur le côté face de la chaîne 66,un disposi- tif mobile ou étrier 15, qui doit toujours pendant la marche, rester dans la position verticale. Le dispositif spécial ou étrier fige.2 et 3 ce la fig. 1 peut être également employé en modifiantl'emplacement de la roue dentée 67.
A ce dispositif mobile est fixée une tringle 68 légèrement infléchie en 69 à une certain point de sa longueur et qui supporte une planche 16 destinée à recevoir les objets exposés.
Une double roue dentée d'entraînement 70 reliée à la partie de plus faible diamètre d'une autre double roue dentée 67, par une chaîne 71 commande tout le moulement ce l'appareil,la partie ce
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plus grand diamètre de la :boue. 67 engrenant la chaîne circulaire 66, reliée elle-mima aux roues dentées 64.
Les plateaux défilent donc de droite à gauche ou inversement d'abord horizontalement, puis remontent le long du bâti supérieur de gauche, suivent ensuite parallèlement le bâti supérieur horizontal formant traverse, pour redescendre le long du bâti supérieur de droite et suivre parallèlement la traverse médiane horizontale et ainsi de suite.
La variante fig. 19 est à marche verticale perpendiculaire montante et descendante.
Même principe de mouvement que le premier modèle type ser- vant pour la description principale, sauf que la marche, au lieu d'ê- tre oblique. perpendiculaire et horizontale, est seulement perpen- diculaire et horizontale.
La variante consiste dans la disposition du bâti 72 et des traverses 73 et 74 et dans l'usage d'un train d'engrenages dont il est parlé ci-après.
Le bâti est central, les traverses, la supérieure 73 et l'in férieure 74 sont de même longueur,, sortant autant, à droite et à gau- che du grand bâti.
Cette disposition resserre beaucoup plue les planches., ce qui permet d'employer ce système d'appareil dans le cas d'emplacement$ réduits où. ne pourrait tenir le modèle type fig. 1.
La principale différence entre le mécanisme de cet appareil et celui du modèle type fig. 1 réside dans le système d'engrenage des roues doubles d'engrenage et dentées 75-76-77.
La roue double principale et centrale 75 actionnée par la roue dentée 78, à laquelle elle est reliée par une chaîne 79, engre- nant qur la partie dentée déplus faible diamètre de la roue 75, cette; roue entraîne à son tour, par les de@ts d'engrenage de son plus grand
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diamètre, les roues doubles 76 t, 7fl placées l'une à sa drOit6.1tatl-' tre à sa gaucho, par les engrenages de plus grand diamètre de ces roues. ;
Les roues doubles 76 et 77 sont reliées aux roues dentées simples 80 et 81, par une chaîme 82.
Cette chaîne est engrenée sur la partie dentée de plus fai- ble diamètre des roues doubles 76 et 77.
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La chaîne 8' divié pour cet exemple, en dix parties é- gales, supporte par des étrier@ moile 15, les mêmes que ceux de la fig, l, toujours verticaux, dix plateaux 16 destimén à recevoir les objets devant être exposas.
Dès que l'appareil est mis en marche,, les plateaux montent
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et descendent, le publie ayant toujours dîrentement aoua les yeux les; cinq plateaux, mais surtout l'un deaux, longeait la glace de l'étala-/ ge, mais également/,a! l'on veut, les cinq plaoés à 1?opposê.
Si l'on prière ne voir à la fois que les cinq planches du devait, un paravent 83 pourra être placé, sur la traverse 74, lequel cachera les planches de l'arrière.
La variante fig. 20 est à marche oblique double et horizon4 tale et de plus à deux faoeso '
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Ce type d'appareil ne diffère du pred et que par trois particularités;
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1 - Les traverses 84 et 85--ne sont paa d9ga1 longueur Elles sont fixées au bâti 86;la traverse inférieure 84 est plus longue que la traverse supérieure 85.
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8 - De ce fait, le mouvement an lieu d'tro perpeediec5la3. re et horizontal.,est oblique et horizontal.
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30- Les engrenages directe des roues 75-T6-77 de la varias, te fige 19 sont supprimam.
Ils sont remplacés 10- par une roue dentêe double 87;rLte
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par les dents de sont plus petit diamètre à la roue dentée d'entraîne- ment 88 par une chaîne 89 ; 2 - par deux roues dentées simples@ 90 eit 91 fixées l'une, 90, à l'extrémité droite ae la traverse 85, l'autre, à l'extrémité gauche de la même traverse.
Deux autres roues dentées simples 92 et 93 sont fixées l'u- ne 92, à l'extrémité gauche, l'autre 93, à l'extrémité droite.
Une chaîne 94 relie les quatre roues 90-91-92-93 tout en e@- grenant la roue conductrice double 87 par son plus grand diamètre.
Des dispositifs mobiles ou étriers 15, pareils à ceux de la variante et du modèle type fig. 1, soutenant des planches 16, sont fixés à la chaîne 94.
Un paravent 95, peut être placé sur la traverse 84 pour dès- simuler les objets placés sur les planches au coté opposé à la glace de l'étalage.
Ce système peut servir pour une vitrine double face, le pu- blic pouvant voir des deux cotés.
L a roue d'entraînement 88 étant en marche, entraîne tout le système.
Les appareils modèle type fig. 1 variantes fige.19 et 20 peuvent être combinés de façon à supporter un nombre considérable de planches, permettant de varier à l'infini, pendant un temps déteBmi- mé, pouvant être très long, les objets exposés. pour cela, il suffira d'allonger suivant l'espace dont on disposera, la course de la chaîne sans fin supportant les planches, en faisant passer le tout sous l'étalage et dans le sous-sol, hori- zontallement pour revenir en fin de course, après avoir franchi le plan long trajet possible, (50 où. 100 mètres, par exemple, si l'on veut) au cas où on disposerait de cette longueur d'espace.
Bien que l'invention n'ait été décrite ci-dessus que dans son application à la fabrication d'appareils et de dispositifs
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aatomatiçuess pour à%a1agQa de magaminc, il est bien entendtl qutell peut être applique à la fa'bfieati@Ë de aystâmea 'in8halàQ%Sona sepp elales basses sur les prlualped et mesB8m@8 e$,"Q$8&a µXp0@É8 âée# tinds servir à lluaage de la ,b,li et à oona8$%OEP $e attro- Il tiens pour eetes foraines ou tam au%2ee usages,;
la 868$ .8s à talls, la forme et les dimenalme des corps entrant dans le tabria a- tion de ces diverses îneâallatteau poinvant ovtdobmt 191[tie W6U±fiéoà 13ans nuire à son priaeipe ao.i'9'aRt às destînatten de oe M'a.'es, Ainsi par exemple, on @e rêmerve de remplaeer les Otrâffl pao %0ft dispositif de suspension rempliasant le nsmo bulbe ' .' aurai munir l'appareil d'un changement de 71tesse eh d'Ufl 1t de re, veraement de marche. UnfJm, cet appaP8i#pùPka$É #ie dans tous les sens.
EESCNSS 10- un appareil alternative pour àbG1agoS de mge4staeet d'une manière général pongant gtre applîqad b dee àna%al1ohSona à sage de publicité et dlexpooltleme caraetdrlfê par fllfi 6éP$fi ào dis- pesitifs mobiles parallèica 1, sont pIS040 1,tt à pré- senter au publîe,- oea diaposltlfq6oblleedtent a6N%Îb$ÉO±h g8P la combinaison d tr ir syopenàile à âeas eue fla parai- j
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ibles aminées d'un mouvmtd 4e)fllemut Wl1t"DU et,4' plaachosla reposant sur oes étrierag- ces planehea 4tarat dee1.6e8 ê. hevo1r
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les objets quel s'agit de prêne-uter eucoss1vemea' au publie,- les étriers comaervaat toujoura une bnaîtîon vertteale "tee à leur pointa d'attaohe et de pivotement sur la oha%e pendant le d,plersmt de cette dernière sur des rozeke 2 - linvention oomprend également les varias tes suivan- tee ;
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