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"Perfectionnements aux bouteilles à lait en papier ou récipients analogues ainsi qu'au procédé et à l'ins- tallation servant à les remlir, fermer et cacheter"
La. présente invention concerne la préparation au chargenent, le chargement ou remplissage, la fermeture et le cachetage des paquetages ou récipients tels-que les bouteilles eu bottes à lait en papier .
Le récipient sur lequel elle porte en premier lieu est applicable comme paquetage ne servant qu'une seule fois, par exemple @ pour du lait frais, et l'installation qu'elle englobe en
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même tempe peut être exploitée par un laitier désirant conditionner son' lait de façon à l'empaqueter directe- ment en vue de la consommation finale ,
En se reportant aux dessins annexés :
Fig. 1 est une vue en plan d'une installation de bouteilles ou bottes à lait en papier ou fibre ne ser- vant qu'une seule fois, pour traiter l'ébauche plate, pour la redresser en un tube à extrémité ouverte , la conformer en un récipient à une extrémité bien fermée pourvu d'un prolongement, rendre ce récipient étanche aux fuites, le charger ou remplir et le fermer et cache- ter prêt pour la évente au détail directement par le laitier, certaines parties étant supposées arrachées .
Fig. 2 est une vue latérale du mécanisme de l'ins- tallation servant à fermer l'extrémité de l'ébauche, en regardant ce mécanisme de la droite de la figure 1 .
Fig. 3 est une coupe suivant la ligne III-III de la figure 1 .
Fig. 4 est une vue de détail. en coupe partielle, montrant l'embrayage commandant le mécanisme de fermeture et cachetage de l'extrénité.
Fig. 5 est une coupe suivant la ligne V-V de la figure 2 .
Fig. 6 est une vue de détail, en plan, du dispo- sitif d'application de colle du mécanisme de cachetage , suivant la ligne VI-VI de la figure 2 .
Fig. 7 est une coupe suivant la ligne VII-VII de la figure 6 .
Fig. 8 est une coupe suivant la ligne VIII-VIII de la figure 5 .
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Fig. 9 est une vue en protection des castes de commande des plieurs de bottes ou bouteilles,* montrant le plieur en plan et lrdre de succession des opérations de pliage de 1.extrémité de la bouteille ou boîte .
Fig. 10 est une coupe suivant la ligne X-X de la figure 5.
Fig. Il est une vue, à plus grande échelle, sui- vant la ligne XI-XI de la figure 5.
. Fig. 12 est une vue en plan du plieur de l'extré- mité de la botte ou bouteille à la première position de pliage au cours du cycle de pliage de la bouteille ,
Fig. 13 est une coupe suivant la ligne XIII-XIII de la figure 5,
Fig. 14 est une coupe suivant la ligne XIV-XIV de la figure 12
Fig. 15 représente le méoanisme de l'installation servant à assurer l'étanchéité et empêchant les fuites, vu de la gauche de la figure 1 ,
Fig. 16 représente le mécanisme servant à assurer l'étanchéité contre les fuites., vu de la droite de la fi- gure 15
Fig. 17 est une coupe suivant la ligne XVII-XVII de la figure 16 .
Fig. 18 est une coupe suivant la ligne XVIII-XVIII de la figure 17 .
Fig. 19 est un plan du couloir destiné à recevoir les bouteilles ou bottes du mécanisme servant à assurer l'étanchéité contre les fuites
Fig. 20 est une coupe suivant la ligne XX-XX de la figure 19 ,
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Fig. 21 est une vue latérale de la partie de ré- ception du transporteur du mécanisme servant à assurer l'étanchéité contre les fuites, ce transporteur étant prévu pour recevoir les bouteilles du couloir de la fi- gure 19
Fig. 22 est une vue de faoe du mécanlsme de rem- plissage et de fermeture finale des bouteilles ou bottes.
Fig, 23 est une coupe suivant la ligne XXIII-XXIII de la figure 22 .
Fig. 24 est une vue suivant la ligne XXIV-XXIV de la figure 22 .
Fig. 25 est une coupe suivant la ligne XXV-XXV de la figure 22 .
Fig. 26 est une coupe suivant la ligne XXVI-XXVI (Fig. 22) montrant le dispositif d'aplatissement ou pliage du prolongement de la botte ou bouteille pour amorcer la pliure avant la fermeture finale ,
Fig. 27 est une vue de faoe du dispositif de la figure 26, abaissé à la position où il attaque la bou- teille, en venant de celle représentée dans la figure 82.
Fig. 28 est une vue similaire à la figure 27, montrant le dispositif écrasant le prolongement de la bou- teille .
Fig. 29 est une coupe suivant la ligne XXIX-XXIX de la figure 26 .
Fig. 30 est une coupe suivant la ligne XXX-XXX de la figure 26 .
Fig. 31 est une coupe suivant la ligne XXXI-XXXI de la figure 22 .
Fig. 32 est une vue du tube plat ou de l'ébauche
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aplatie de la bouteille ou bofte Fige 33 est une vue latérale de l'ébauche de la bouteille ou botte dans la position redressée ou ouverte, sous forme d'un tube carré à extrémité ouverte .
Fige 34 représente l'ébauche de la bouteille vue de la gauche de la figure 33 et orientée prête à être mise en place sur un bloc prévu dans le mécanisme de fermeture et cachetage de l'extrémité.
Fig. 35 est une vue de l'ébauche avec les petites et pattes du fond pliées#de oette ébauche sous la forme où elle est poussée sur le bloc dans le mécanisme encolleur ou de cachetage de l'extrémité .
Fig. 36 est une vue montrant la position de l'é- bauche dans le mécanisme prévu pour recevoir la colle sur les pattes principales de l'extrémité devant Être fermée.
Fige 37 est une vue de l'ébauche avec une des grandes pattes enoollées repliée sur les petites pattes d'extrémité.
Fige 38 est une vue de l'ébauche avec la seconde grande patte repliée, ayant reçu la troisième formation de la fermeture complète d'une extrémité du récipient, bouteille ou botte
Fig. 39.est une vue de la bouteille plongée pour recevoir un revêtement dans le bain assurant l'imperméa- bilité et l'étanchéité contre les fuites ,
Fig. 40 est une vue montr¯ant la course de la lion- . teille à partir du bain de plongée du mécanisme de revê- tement .
Fig. 41 est une vue en perspective de la bouteille ou boîte avec les pliures de son prolongement de fermeture @
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rétablies après le revêtement . lige 42 est une vue en perspective des prolonge- ments de fermeture de la bouteille rabattue et serrée dans la position de fermeture de la bouteille ou botte .
Fig. 43 est une vue en perspective de la bouteille terminée, remplie, fermée et cachetée .
COMMANDE PRINCIPALE .-
Le moteur 1 est relié, pour le commander en conti- nu, avec l'arbre 2, portant une poulie 3 entraînant une courroie de commande 4 passant sur une autre poulie 5 mon- tée sur l'arbre 6 (Fig. 1, 2) . Sur cet arbre 6 est monté un pignon 7 engrenant avec la roue tentée 8, en assurant ainsi une rotation continue de cette roue 8 . Au moyen de la pédale 9 à axe d'articulation fixe 10, monté sur la plaque de fondation Il du bâti 12 on peut, en abaissant cette pédale 9, tirer vers le bas la barre 13 (Fig. 4) malgré l'anagonisme du ressort 14 coopérant avec le cel- lier 15 . Dans ce mouvement de descente, cette barre 13 est dirigée par la console 16, portée par le bâti 12 .
Ce tirage vers le bas de la barre 13 et de sa tête 17 pour la dégager de la voie 18 permet, de ce fait, au ressort 19 de pousser le piston 20 axialement dans le siège laissé vide par la tête 19 pour accoupler la roue dentée 8 à l'é- lément d'embrayage ou collier coopérant 21 calé sur l'arbre 22 . Un tour complet de l'arbre 22 est ainsi assuré à cha- que abaissement de la pêdale ou levier 9 .
Cet arbre 22 s'étend à travers le bâti 12 et, à son extrémité opposée, il porte la roue à chaîne 28 (Fig. 3) de laquelle s'étend une chaîne de transmission 24 formant mécanisme réducteur de vitesse avec la roue à chaîne 25
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calée sur l'arbre 26, monté dans le bâti 12, pour donner un rapport de réduction de vitesse de rotation de quatre à un à l'arbre 26 .En conséquence, à chaque abaissement de la pédale 9, il peut y avoir un mouvement de 90 de l'arbre 26
REDRESSEMENT DE L'EBAUCHE, FERMETURE ET CACHETAGE DE
L'EXTRÉMITÉ .- l'ébauche aplatie 27 (Fig. 32) reçue sous forme d'article plat compact par le laitier est ouverte pour former un tube ou botte rectangulaire (Fig.
33) par le conducteur de cette machine à fermer l'extrémité, Cet ouvrier dispose cette ébauche tubulaire redressée 27 pour la faire coulisser sur un bloc 29 (Fig. 1, 5) ; il est placé pour cela au poste d'opérataur situé près de la pé- dale 9 . Cette poussée de l'ébauche tubulaire sur le bloc
28 se fait avec le prolongement 29 de l'ébauche rabattue vers le bas sur le tube et l'extrémité du bloc en place pour avoir, par rapport! l'ouvrier, la position représen- tée dans la figure 34 .
L'ouvrier, avec cette ébauche poussée vers le bas sur le bloc 28, replie les petites pattes d'extrémité opposées similaires 30 l'une vers l'au- tre sur le bloc 28, en les disposant ainsi à proximité de l'extrémité du bloc 28 .En dirigeant ainsi ces petites pattes 30, il les a à proximité telle du bloc 28 qu'il peut les faire passer sous la barre non rotative 81, mon- tée dans des consoles 32 prévues sur le bâti 12 .
DISPOSITIF D'APPLICATION DE COLLE .-
Une roue à chaîne 33 (Fig. 2, 4) fixée à la roue ! dentée 8 peut tourner en continu et est reliée par une
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chaîne de transmission 34 à la roue à chaîne 35, solidai- re de la roue dentée 36 et montée librement sur la barre 31 . Cette roue dentée 36 est en prise avec le pignon 37 (Fig. 1, 5, 6) calé sur l'arbre 38, porté par les conso- les 32 pour pivoter sur la barre 31. Ces consoles 32 sont reliées par la plaque 39 portant des poches ou pots de colle 40, réglables au moyen de vis 41 (Fig. 7) pour faire varier leur dégagemen t vis à vis des rouleaux 42 d'application de colle ou produit adhésif, calés sur l'arbre 38 .
Les rouleaux 42 constituent en conséquence des fermetures pour les pots à colle respectifs 40 et, quand ils tournent par rapport à ceux-ci sur leur surfa- ce, ils portent une mince couche de matière adhésive ,
L'arbre 26, quand il passe dans l'enveloppe 12, porte, calé sur lui, une bride 43 (Fig. 5) reliée par des boulons 44 à la bride 45 fixée au manchon 46, monté à ro- tation sur l'axe 47, maintenu par la vis de réglage 48 dans la console 49 fixée au bâti ou enveloppe 12 . Om voit ainsi que l'axe 47 ne tourne pas et forme un support pour le manchon 46 .
Celui-ci , adjacent à la console 49, porte un collier 50 maintenu par une vis de réglage 51 pour l'empêcher de tourner par rapport au manobon46 . Ce collier 50 est en conséquence réglable angulairement par rapport au manchon 46 et porte, calé sur lui, un disque à came 52, comportant des sièges 53 (Fig. 2) . Un galet 54 roule sur ce disque 52 et est porté par le prolongement 55 d'une console 32 . Ce prolongement 55 est de longueur telle que normalement l'arbre 38 est placé, quand le galet 54 est sur la came 52, de façon à maintenir les galets 42 hors de la position de travail .
Cependant, quand le galet
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54 roule dans un évidement 53 de la came, les rouleau 42 portant,la colle pivotent radialement vers 1'intérieur et sont en position de travail
Lorsque le bloc 28 approche de la position supérieure, l'opérateur peut placer une ébauche tubulaire 27 sur le bloc 28 avec les petites pattes 30 dirigées sur l'extrémi'' té du bloc 28 .
De ce poste de chargement, il y a un mou- vement du bloc porté 28 de 90 parcenque ce bloc 28 est dirigé par le bras 56relié (Fig. 5, 10) par des boulons 57 aux brides 43, 45 . Dans ce mouvement, des ailes 58 écar- tent les grandes pattes 59 de la position s'étendant ra- dialement à l'arbre 86 et de la position relative parallè- le (Fig. 35) à la position relative étendue (Fig. 86) con- tre les parties surélevées 60 (Fig. 5, 12, 14) prévues sur des organes 21, ayant des paliers ou ouvertures tubulaires 62, montés sur Ses tubes 63, fixés par des écrous 64 vis- sés dans des supports circulaires à bras en étoile 65, 66.
Le support 65 est relié par des boulons 67 aveo le manchon 46 (Fig. 5) . Le support 66 est relié par la vis de réglage 68 avec l'arbre 26 , Il s'ensuit que les parties ou pla- teaux surélevés 60 se déplacent angulairement avec l'arbre 26 et le bloc 28, et, dans ce mouvement, à la position où le disque-came 52 a un évidement 53 qui vient en regard du galet 54, les rouleaux à colle 42, par gravité, pivo- tent radialement vers l'intérieur sur la barre 31, servant daxe, pour toucher les pattes 59 prévues sur le côté tourné radialement vers l'extérieur et recouvrir ainsi ces pattes de colle, en raison de la rotation de ces rouleaux 42 par rapport aux pattes .
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'L.Ll4sL'
Le bloc 28 est pourvu d'une tige 69, guidé?dans un bras tubulaire 56 (Fig. 5) et attaqua par le ressort de compression 70, dont la compression est déterminée par le piston 71, quand il reçoit l'action de la came fixe 72 portée par l'arbre non rotatif 47 . Sur cette tige 69 est fixé un collier 73 contre lequel bute un ressort de compression 74 disposé dans la région à claire voie du bras 56 et qui bute extérieurement contre la partie 75 .
Ce ressort 74 est plus fort que le ressort 70 de sorte qu'il maintient normalement le bloc 28 en arrière contre Inaction de la came 72, mais lorsque celle-oi exerce une poussée vers l'extérieur, il y a une compression telle du ressort 70 qu'il place le bloc 28 dans la position radiale désirée au stade de chargement, approximative- ment au niveau des plateaux 60 .
Dans le mouvement effectué en partant de cette posi- tion de chargement, dans le sens des aiguilles d'une mon- tre (Fig. Il) la came 72 a une partie 76 qui maintient le bloc 28 dans cette position à niveau jusqu'après que le dispositif ou les rouleaux encolleurs 42 aient agi ; ensui- te l'évidement 77 de la came 72 permet à la tête ou bloc 28 d'être retiré en arrière par le ressort 74 , radiale.. ment vers l'intérieur . Ceci écarte légèrement vers l'ex- térieur les deux pattes 59 . Les éléments 61 (Fig. 9) sont pourvus de galets 78, 79 .
La came 80 coopérant avec le galet 78 permet le libre déplacement du plateau 60 et de l'élément 61 par rapport au bloc 28, parce que l'élé- ment 61 porte la broche 81, passant par la fente 82 du tube 63 (Fig. 14), pour être attaquée là par le ressort ,
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de compression 83 poussant normalement un galet 78 ou 79 contre la came 80 coopérant avec ce galet pour déplacer éléÎfl0nt l'élément 61 .
Au stade de collage, avant que la tête 28 ait été retirée vers 1'intérieur, des parties de came 84 coopè- rent aveo des galets 78, 79, en amenant les éléments 61 à proximité du tube de l'ébauche placé sur le bloc 28.
Après l'opération de collage, il '1 a dégagement de cette position maintenue par les parties 85, 86 des cames . De la partie 85 de la came, le galet 78 se déplace sur la partie 87 de la came vers et nous une patte partiellement relevée se* en effectuant ainsi le pliage de cette patte 59 sur la paire de pattes 30 (Fig. 9) . Quand cette opé- ration est terminée, la partie 88 de la came retire l'élé- ment ou support plieur 61 en arrière et la partie 89 de la came coopère avec le galet 79 pour pousser l'élément noopérant 61 vers le bloc abaissé 28 pour plier la secon- de patte 59 sur la première patte 59 en complétant ainsi l'opération de cachetage de la fermeture de l'extrémité.
Le galet 79, en coopérant avec la partie 89 de la came, maintient cette seconde patte et, en conséquence, les deux pattes 59 dans la position de fermeture pour transformer cette ébauche tubulaire en un récipient à une extrémité fermée ,
A la position de pointe pour quo la came 87 effectue le pliage de la première patte 59, le galet 78, quand il place le support 61 dans la position de pliage, est sur le bloc 28 et la partie 90 (Fig. 11) de la came 'la pousse ce bloc 28 radialement vers l'extérieur en position de serrage;
ce qui ajoute à l'action de fermeture du support
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61 sur la première patte, 59 . Ensuite, la partie 91 de la came permet au bloo 28 d'être abaissé légèrement pendant la période pendant laquelle travaille la partie 88 de la came . Dans la région de la partie de came 89, cette came 72 a une partie de came 92 servant comme dispositif de maintien pour serrer étroitement les deux grandes pattes 59 contre les petites pattes pliées 30 dans la position fermée, pendant le retour vers la position de chargement, où cette partie 92 de la oame se termine par la partie 93 de la came en relâchant le bloc 28 .
ÉJECTEUR . -
Dans le chargement de l'ébauche tubulaire sur le bloc 28, la distance intérieure de l'ébauche par rapport à son prolongement 92 (Fig. 36) aboutit à la butée 95 (Fig.
8, 10, 13) . Cette butée 95 est une barre réglée par une vis et portée par une traverse 96 s'étendant dans des fen- tes 97 des supports circulaires à bras en étoile 65, 66 .
Cette traverse 96 porte à ses extrémités des galets 98 qui, dans la région partant de la partie de came 93, le long de la partie de came 99 (Fig. Il) de la came 72, coo- père avec le guide 100, 101 (Fig. 10, 13) fixé sur le bâti 12, en déplaçant ainsi cette barre 95 radialement vers l'extérieur le long du bloc 28 et en poussant le ré- oipient fermé à une extrémité vers l'extérieur, radiale- ment hors du bloc 28, de façon que l'opérateur puisse fa- cilement retirer par en haut ce récipient ainsi terminé et mettre à sa place une ébauche tubulaire pour recommeu- cer le cycle des opérations dans les quatre stades de cet- te commande intermittente,
ces stades se produisant à par tir du mouvement supérieur de 90 dans le sens des aiguil-
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les d'une montre du chargement (Fig. 10) jusqu'à la ger- mature de la première patte comme prêter stade ; immé- ditement après il y a la fermeture de la deuxième grande patte, comme second stade ; le troisième et le quatrième stades sont le maintien pour permettre à la colle eurent de collage de s'appliquer .
MECANISME DE REVÉTEMENT .-
L'ouvrier en prenant l'ébauche, terminée à Une extrémité, du mécanisme d'encollage, la dépose de son poste d'opérateur près de la pédale 9 dans la poche rec- tangulaire tuhulaire 102, dont les extrémités sont ouver- tes en haut et en bas . Ces poches sont portées par la courroie sans fin 103 (Fig. 1) ;chacune d'elles (Fig. 1,
15, 18) comporte un oliquet 104, normalement actionné par un ressort de torsion 105, pour limiter la descente de l'ébauche 106 à une extrémité fermer dans cette poche .
Ce transporteur sans fin 108 est représenté comme compor- tant une section de séchage ou de dursissement pour le récipient collé et venant d'être formé, pendant un inter- voue de temps Comme ce transporteur 103 est actionné en synchronisme avec le mécanisme de collage de l'extré- mité de l'arbre 26, il est relié par un accouplement 107 à l'arbre 108, sur lequel est monté le pignon conique 109 engrenant avec un pignon conique 110 monté sur l'arbre vertical 111 portant la roue droite 112, qui engrène aveu la roue intermédiaire 113, coopérant avec la roue 114 fixée avec! le galet 115 monté sur l'arbre vertical fixe 116 . Ce galet 115 est le galet de commande du transport teur 103,
ce transporteur 103 passant de ce galet ils autour du galet fou Il'1 monté sur l'arbre vertical 118.
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Ce transporteur , quand il conduit les récipients
106 en partant du tour du galet 117 (Fig. 1) pour une opération de durcissement ou séchage de la colle, amène ces récipients, pas à pu,, 4 la trémie 119 comportant un bord de butée 120 coopérant avec le cliquet pendant 104 (se déplaçant vers la gauche en Fig. 15), pour dégager ce cliquet de la position de fermeture du fond de la poche
102, quand elle vient en position sur la trémie 119 . Le récipient 106 tombe ainsi, l'extrémité fermée tournée vers le bas, par la trémie 119 (Fig. 17) dans une poche à clai- re voie 121 (Fig. 17) portée par un bras 122 calé sur l'arbre 108 .
Ce dispositif tourne reprise par reprise en direction négative dans l'enveloppe 123, sous laquelle se trouve la chambre 124 du bain de revêtement d'imperméabi- lisation pour rendre étanche et empêcher les fuites, re- présentée ici comme étant remplie de paraffine fondue 125, l'état fondu de cette paraffine étant maintenu par une chemise d'eau chaude 126 disposée dans le socle 127 por- tant l'enveloppe 123 . Les bras 122, outre qu'ils portent les poches à claire-voie 121 comportant des extrémités fermées 128, sont pourvus de bras 129, ayant des prolon- gements opposés 130 .
Ces bras, sur le coté des poches 21, coopèrent avec des butées, en partant de la position de la poche adjacente à la trémie 119, telle que maintenue par une broche 131, pour faire culbuter la poche 121, con- tenant un récipient 106, en passant de chacune des posi- tiens à l'autre .
L'orientation complète de la poche est empêchée par le itbn 132, dé sorte que, quand le mouvement en direc- tion négative du bras 122 continue., la poche 121 est
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dirigée, avec son extrémité fermée lu tournée vers le haut, dans le bain de paraffine fendue 125 .
Cette po- sition est une position de plongée pour l'extrémité ou- verte au récipient 106 pour que ce récipient s'emplisse de paraffine fondue quand il se déplace à travers le bain, ce mouvement étant dirigé par le piton fixe 133 coopérant aveo les prolongements 130 , La suite du mou- vement du bras 122 fait sortir la poche, ainsi que son récipient 106 quelle contient et qui est rempli de pa- raffine, hors du bain . Au cours de cette montée, le pi- ton 184 attaque la barre 130 et fait culbuter la poche 121 pour tourner l'extrémité ouverte du récipient vers le bas pour renverser la charge de paraffine fendue contenue dans le récipient, qui retombe dans le bain 124 . Dans ce mouvement de montée, le ressort 135,
passant par l'extré- mité fermée à claire voie 128 de la poche 121, pousse élas- tiquement ce récipient 136 plongé dans la paraffine et recouvert de façon à le .rendre étanche aux fuites, hors de la poche 121, pour le faire tomber sur le couloir la'! (Fig. 18, 19, 20, 21) .
Des tuyaux de circulation d'eau chaude 138, passant par des supports 139 et un U tubulai- re 140 adjacent au couloir 137 maintiennent une tempêra-
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turne amo.ssanto pour la substance d'impennéabilisation, de sorte que le récipient revêtu 136, quand il frappe le couloir 137-140, glisse librement le long de ce couloir incliné pour être déposé sur le transporteur 141 .
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±lIiévXlENi DU RÉCIPIENT RENDU II2 ..
La nature figeable du revêtement imperméabilisant a une tendance adhésive ; afin d'éviter tout encombrement
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de l'appareil, des dispositifs sont donc prévus pour assu- rer l'enlèvement du récipient revêtu 136 du mécanisme imperméabilisant .
Une roue à chaîne 142 (Fig. 1) est oa- lée sur l'arbre 108 et une chaîne de transmission 143 va de cette roue à la roue 144 montée sur l'arbre 145, porté par la console 146 . Cet arbre 145 porte, calé sur lui, un pignon 146', engrenant avec un pignon 147, monté fixe- ment à l'extérieur du bâti du transporteur sur l'arbre horizontal 148 (Fig. 1, 21) portant, à l'intérieur du bâ- ti une poulie 149 qui est la poulie de commande du trans- porteur 141 . Ce transporteur, à l'opposé de la poulie 149, passe autour de la poulie 150, portée par la console 151 montée sur le bâti du transporteur . En conséquence, ce transporteur reçoit un mouvement de rotation reprise par reprise, en synchronisme avec le mouvement du mécanis- me enoolleur de même que du mécanisme de revêtement .
Sur l'arbre 148 est calée une roue dentée 152 qui engrène avec le pignon 154 porté par l'arbre 155 . Cet arbre 155 passe (Fig. 1) transversalement derrière le transporteur 141 et porte un bras 156, d'où part une biel- le 157 (Fig. 1, 21) articulée au leader 158, pivoté en un point fixe 159 . Ce levier 158 est également articulé à une bielle 160 reliée à son autre extrémité à un maneton 161, dirigé par la came rhomboldale fraisée 162 . Ce ma- neton 161 porte un prolongement élastique 163 s'étendant vers l'intérieur au delà de la bielle 160, un mécanisme semblable étant placé sur chacune des faoes opposées de cette partie supérieure du transporteur 141 .
Dans cette rotation reprise par reprise de l'arbre 155, les manetons 161 se déplacent le long des cotés
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extérieurs des cames 162; ils s'approchent ensuite l'un de l'autre, suivant la direction des odes inclinés de la came 162, vers l'arbre 148 (Fig. 1) et obligent les bras élastiques (Fig. 40) à attaquer le récipient revêtu 136 légèrement au-dessus de son centre de gravité et, ainsi, dans le cycle de rotation de cet arbre 155, avec les ma- netons 161 s'éloignant de l'arbre 148 le long des parties intérieures des cames 162, dirigées par des doigts à res- sort 164, à saisir ce récipient 136 pour le tirer hors de la machine à revêtement et essayer le fond de ce réci- pient sur un fil racleur 165 (Fig. 19, 20, 40) .
Dans le cycle du fonctionnement complet unique de . la rotation de l'arbre 155 à sa multiplication de vitesse de quatre à un par rapport à l'arbre 108, les manetons 161 arrivent à la hauteur des parties divergentes des oa- mes 162 et sont dégagés des ressorts 164, ce qui fait ainsi déplacer ces manetons vers l'extrérieur du transpor- teur 141, les bras élastiques des ressorts 163 relâchant ainsi le réoipient recouvert dressé sur la bande trans- porteuse 141.
Cette bande transporteuse est d'ailleurs d'une longueur suffisante jusqu'à la poulie 160 pour per- mettre à la paraffine recouvrant la matière de se figer , Ce transporteur 141 vient en contact à son retour, sur sa face de dessous, aveo un raoloir à fil 166, placé près de la canalisation d'eau chaude 167 pour enlever tout excès de matière de revêtement, de façon que selle-ci puisse être déposée dans un récipient 168 placé en dessous.
Ainsi, la bande transporteuse 141 est maintenue libre de toute accumulation de substanoe de revêtement, de sorte que les articles ne peuvent pas ooller sur elle ou être
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culbutés pendant leur déplacement le long de cette bande et qu'en se déplaçant le long du transporteur 141 ils arrivent au couloir 169 et s'accumulent dans un récepta- cle 170 (Fig. 1) .
CHARGEMENT ET FERMETURE FINALE
La poulie 171, portée par l'arbre de commande 2, est reliée par une courroie 172 à la poulie 173, compor- tant un mécanisme réducteur de vitesse 174 le reliant à la roue dentée 175 tournant en continu et montée sur l'ar- bre 176 (Fig. 1, 22) . Au second poste d'opérateur, la pédale 177 peut être abaissée pour commander la barre 178 et dégager ainsi l'embrayage 179, analogue à l'embrayage de la roue 8 . Ceci permet à la roue dentée 175 d'impri- mer un mouvement d'un tour complet à l'arbre 176 .
REPLIEMENT PARTIEL DE FERMETURE DU PROLONGEMENT DE LA BOUTEILLE .-
Une came 180 montée sur l'arbre 176 (Fig. 22, 31) coopère aveo deux tiges pistons 181, dirigées par le guide 182, porté par la barre transversale 183 du bâti 184, pour descendre malgré la résistance de ressorts de tension 185 portés par la barre supérieure 186 montée dans le bâti 184 . Ces tiges 181 passent derrière la pièce de guidage 182 . Ders prolongements 187, 188 sont des guides fixes pour la barre de guidage 187', fixée avec des piè- ces transversales 189, 190 (Fig. 26, 27, 28) .
Ces barres 181 s'étendent respectivement jusqu'aux bielles 191, re- liées aux bras 192 de levier ayant leurs pivots 193 et leurs prolongements 194 en dessous , La traverse 190 com- porte, en positions relatives opposées, des montures
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pivotantes 195 et des languettes 196 s'étendant vers le haut en forme de V (Fig. 29) attaquées par les extrémités libres tournées vers l'intérieur des bras 194 de leviers coudés 192, 194 . Ces languettes 196 en forme de V, s'é- tendant vers le haut et montées à pivot, comportent des parties inférieures chargées'descendantes 197, tendant normalement 4 maintenir ses languettes 196 dans une posi- vion déviant légèrement vers le haut des montures pivo- tantes 195 .
L'opérateur, à la place où se trouve la pédale 177, peut enlever le récipient 136 du récepteur 170 et le pla- car sur la lateforme 198 (Fig. 1, 22) en position au- dessous de la traverse 190 et venant buter contre le doigt 199 de la barre 200 . L'abaissement de la pédale 177 met en marche l'arbre 176 pour un tour complet et il abats. se ainsi cette tête 180 dans la position voulue pour ame- ner les languettes 196 en positions relatives opposées près des prolongement opposés 201 .
En outre, la rotation de cet arbre 176 amène la partie de came 202 à coopérer avec la barre intermédiaire 203, en déplaçant ainsi cette barre par rapport aux barres 181 entre lesquelles la bard re 203 est guidée, de sorte qu'il y a un basculement des leviers coudés 192' 194, pour faire tourner les languettes 196 l'une vers l'autre et rétablir ainsi les pliures en vue de replier les prolongements de fermeture d'extrémité, pliures qui étaient devenues rigides par suite de 1 topé- ration de revêtement . Il y a donc initialement un prolon- gement partiellement rabattu 204 du récipient 136.
La fin du tour de l'arbre, après de commencement de rabattement du prolongement a pour résultat de disposer la
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cane 180, 202 de façon que la partie de plus petit rayon soit tournée vers le bas et que les ressorts 185 puissent assurer le retour ou montée du dispositif briseur dégage du récipient 136, à seule fin que l'opérateur puisse sai- sir le levier 205 et faire coulisser la barre 200 dans les paliers 206 vers la droite, en déplaçant ainsi le récipient 136 à pliure rétablie du prolongement pour le dégager de sa position sous le briseur pour l'amener à une seconde position le long de la,plate-forme 198 .
Quand le tout est ainsi disposé, l'arbre 200 peut être basculé pour dégager le doigt 199 de la ligne de la plate-forme 198 et la barre 200 peut être déplacée vers la gauche pour revenir à la position initiale .
REMPLISSEUR L'arbre 176 est représenté étant muni d'une came 207 (Fig. 22,23) coopérant avec une barre 208, dirigée par un guide 209 . Cette barre 208 porte un collier fixe 210 contre lequel porte un ressort 211 pour pousser le oylin- dre 212 dans le réservoir 213 autour du tube de sortie 214 . Ce cylindre 212 est équipée à sa partie inférieure, de soupapes de retenue 215 s'ouvrant librement pour lais- ser couler le lait dans le cylindre 214 et se fermant pour empêcher la sortie . Un volume mesuré est ainsi chargé dans le réservoir 213 au moyen du tuyau 214 pour maintenir un certain niveau du liquide dans ce réservoir .
La montée de ce cylindre 212 fait monter la quantité mesurée de li- @ guide dans le cylindre 212 et lui permet de déborder par le tube 214 dans le récipient 136 qui se trouve en dessous.
La fin de la rotation de l'arbre 176 et de la came 207 per- met au cylindre 212 d'être replacé dans sa position infé-
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de rieure et#descendre ainsi pour Être empli de nouveau avec la majeure partie du liquide dans le remplisseur pour la seconde opération de chargement .
On déplace de nouveau le levier 205 d'un seul mouve- mant pour évacuer le récipient rempli 136 du poste de rem- plissage par l'action du doigt 216 analogue au doigt 199 , RECOUVREMENT FONDANT POUR FERMETURE FINALE .-
L'arbre 176 porte la came 217 (Fig. 22, 24) peu- vaut abaisser la barre 218 suivant la direction qui lui est donnée par le guide 219 .
Sur cette barre 218 est fixé un collier 220 avec lequel coopère un ressort de compres- sien 221 la maintenant normalement relevée contre la came 217 . Cette barre 218 porte à sa partie inférieure une résistasse électrique entourée d'une enveloppe et excitée par du courant électrique auquel elle est raccordée (non représenté) . Cette résistance forme un élément de chauf- fage 22 servant comme réchauffeur pour amollir la oolle'de revêtement du prolongement 204 du récipient 136.
Cet amollissement ou fusion partielle du revêtement de paraf- fine sur le récipient 136 amène à peu près à un état tel que l'opérateur, après que le réchauffeur a monté, peut de nouveau commander la barre 200 par le levier 205 pour ame- ner le doit 223, analogue au doigt 199, à se déplacer au troisième poste ou quatrième poste sur la plâtre-forme 198 A cet endroit, l'opération finale de fermeture peut être effectuée mécaniquement, ou, coma décrit ici, par l'opé- rateur et l'action de l'opérateur est représentée ici comme étant en ordre . Les prolongements sont ainsi amenés en position complètement repliée et de cachetage primaire (Fig.
42) avec la paraffine amollie créant un état adhésif, de @
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sorte qu'on obtient ainsi la fermeture complète du réel- pient . De ce quatrième poste, le récipient fermé peut être placé contre le doigt 224 prévu sur ltarbre 200 pour être amené au poste ou poste additionnel , FERMETURE CACHETEE FINALE ,-
L'arbre 176 porte une came 225, représentée ici comme affectant la forme excentrique générale (Fig. 22, 23) . Un galet 226 monté sur le levier 227 à pivot fixe 228 coopère avec cette came 225 .
Le bras du levier 227 descendant sous le pivot 228 est articulé à une barre 229 entourée par un ressort de compression 230., tendant norma- lement à faire culbuter ce levier pour maintenir le galet 226 contre la came 225 . Cette barre 229, dirigée par le bâti 184, à travers lequel elle passe, se termine par un jeu de leviers articulés 231, dont la bielle supérieure est montée dans la console 232, portée par le bâti 184 .
La bielle inférieure de ce jeu de leviers articulés est limitée par la console 233 avec le prolongement de levier 234 venant de cette console qui font face à la butée 235 portée par le bâti 184 .
Cette butée 235 et ce prolongement 234 forment deux mâchoires opposées, qui reçoivent entre elles la nervu- re ou barrette' ,verticale 236 du prolongement replié ou fermeture de l'extrémité supérieure pour la bouteille 136 . En conséquence,, pendant la rotation de la came 225, le levier 227 est basculé contre la résistance du ressort 230 pour assurer, par l'intermédiaire du jeu de leviersartioulés 231, le déplacement de la mâchoire mo- bile 234 vers la butée 235, afin de serrer la barrette
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236 entre ces éléments dans une opération finale de pres- sage .l'une de ces mâchoires (représentée ici comme étant la mâchoire mobile 234)
est pourvue d'un dispositif de brochage ou d'agrafage pour tirer au fil de la bobine 237 et, au moyen duplongeur 238 commandé par le mécanisme et mobile par rapport à la mâchcire 234 ,il effectue l'opération d'agrafage à travers le prolongement 236, en formant un point de couture ou agrafe 239 (Fig. 43).
Ce dispositif d'agrafage ou de couture à fil métallique peut être d'une forme générale, comme représentée par exemple dans le brevet américain No 1.113.879 en date du 13 Octobre 1914 .
FONCTIONNEMENT .-
On voit donc qu'on peut effectuer en partant de la réception des récipients aplatis la préparation de ces récipients pour la fermeture et leur fermeture en récipients destinés à contenir une substance représenta ici comme étant au lait frais devant être débité au con- sommateur définitif .Deux ouvriers peuvent conduire cet appareil ,l'un étant placé à la pédale 9 pour -,ouvrir les ébauches plates 27 et les mettre dans la forme tubu- ladre, puis pour pousser ces ébauches sur le bloc 28, pour que là les pattes 59 soient encollées et fermées con- tre ce bloc .
Ce récipient 106 est enlevé du bloc 28 quand un autre tube est placé dessus .Le récipient enlevé est placé dans la poche 102 du transporteur 103, conduit pour une période de séchage puis déchargé automatiquement dans la machiné à revêtement, pour y être plongé dans la pa- raffine, et ensuite transporté par le transporteur 141
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à proximité du poste du second opérateur où l'article peut être maintenu en synchronisme avec les machines pour é vi- ter toute accumulation excessive .
Cet ouvrier peut placer le récipient terminé à lait en position pour briser la rigidité du revêtement et ré- tablir la cassure initiale ou l'état initial de'pliage de l'extrémité de fermeture. L'ordre de succession de ces récipients, dans ces opérations reprise par reprise, amène ce récipient à prolongement replié en position de charge- ment, ensuite pour avoir l'état adhésif produisant la fu- sion du revêtement, pour le cachetagepréliminaire de la fermeture finale d'extrémité, pour terminer le cachetage et même pour agrafer ou coudre, si on le désire, l'article étant ainsi complètement fermé et de nouveau déplacé le long de la plate-forme 198 pour être déposé dans des car- tons ou autres dispositifs de livraison à l'endroit d'em- magasinage ou de transport .
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