BE358916A - - Google Patents

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BE358916A
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Publication of BE358916A publication Critical patent/BE358916A/fr

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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A43FOOTWEAR
    • A43DMACHINES, TOOLS, EQUIPMENT OR METHODS FOR MANUFACTURING OR REPAIRING FOOTWEAR
    • A43D11/00Machines for preliminary treatment or assembling of upper-parts, counters, or insoles on their lasts preparatory to the pulling-over or lasting operations; Applying or removing protective coverings
    • A43D11/14Devices for treating shoe parts, e.g. stiffeners, with steam or liquid
    • A43D11/145Devices for treating shoe parts, e.g. stiffeners, with steam or liquid with means, e.g. transport chains, for continuously transferring the shoe parts through the machines

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  • Treatment Of Fiber Materials (AREA)

Description


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  "Appareil pour la mise en humeur des bouts durs et raidisseurs analogues" 
Cette invention, relative à la mise en humeur des raidis- seurs pour chaussures, est appliquée ici à un appareil spécialement destiné au traitement des bouts durs. 



   Les bouts durs auto-durcissants se composent en général d'un morceau d'étoffe imprégné de celluloïd, ou autre substance indurante, et capable d'être rendu souple et plastique en l'imbibant d'un liquide approprié tel, par exemple, que de   l'acétone.   Une fois assouplie, la fourniture est mise à sa place dans la chaussure, puis celle-ci est présentée à la machine à mettre sur forme qui étire l'empeigne et   1 arrête   dans la position ou elle est tendue, la pièce de   râidissage   y incorporée épousant alors parfaitement le dessus du bout de la forme et devenant dure et élastique après   l'évaporation.   du liquide qui a servi à l'assouplir. 

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   Jusqu'à présent, cette mise en humeur s'est effectuée ordinairement à la main, l'ouvrier plongeant chaque fourniture dans un bain ad hoc, puis la laissant essorer en un endroit convenable, ou l'exposant parfois aux fumées du liquide pour achever de   l'assouplir".   Or, une telle façon de procéder a ses inconvénients'. En effet, certains raidisseurs absorbant l'humidité' plus rapidement que d'autres, en raison par exemple de leur moindre épaisseur, il n'est pas pratique de traiter toutes les sortes indifféremment de la même manière quant à la durée de leur immersion, car les plus minces acquerraient alors par trop de souplesse ou perdraient un peu de leur substance indurante par dissolution, tandis que les plus épais seraient encore trop durs pour se bien mouler sur la forme. 



  L'ouvrier doit donc se rendre compte tout d'abord de la nature des fournitures à traiter, puis voir à ne les tremper que le temps qu'il faut dans le liquide assouplisseur, choses qui lui font perdre du temps et rendent sa tâche laborieuse. 



  De plus, il n'est jamais sûr de toujours obtenir de bons résultats et, en dépit des précautions qu'il aura prises, il arrivera quelquefois que certaines fournitures ne seront pas exactement dans l'état désiré. 



   En vue de remédier aux inconvénients dont il vient d'être parlé, une particularité de la présente invention comporte la combinaison, avec des moyens destinés à accroître la porosité des fournitures, d'un dispositif servant à les soumettre à l'action d'un agent de ramollissement. Dans l'appareil illustre' ci-contre, chaque fourniture s'empale sur un rouleau hérissé de pointes à sa périphérie, lequel la plonge ensuite dans un liquide assouplisseur et l'en retire au bout de quelques instants pour la placer à la portée de l'opérateur. 



  De préférence, il est prévu une brosse qui passe sur la surface de la pièce en traitement pour en enlever le surplus de liquide dont elle peut être recouverte. Grâce à ce système, 

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 la mise en   humeur   des fournitures s'opère rapidement et donne des résultats pour ainsi dire uniformes, quelle que soit leur porosité originaire (dans certaines limites, bien entendu), car les trous perces par les pointes du rouleau empaleur permettent à n'importe quelle sorte de fourniture d'absorber le liquide assouplisseur pendant le court intervalle qu'elle y reste plongée. 



   On sait que le liquide employé communément aujourd'hui pour le ramollissement des raidisseurs dont s'agit est volatile et inflammable, la présence d'une grande quantité de ce liquide dans le récipient où ils sont plongés, et qu'il faut remplir de temps à autre, constituant des lors un danger imminent d'incendie. Ce danger est aggravé par le fait que l'ouvrier laisse quelquefois tomber, par mégarde, des gouttes du liquide inflammable autour de lui et peut oublier aussi de couvrir le récipient, son travail achevé.

   Or, il est paré ici à ce fâoheux état de choses (et c'est là une autre particularité de l'invention) par   l'emploi,,avec   une cuvette contenant une quantité relativement faible de liquide assouplisseur et un réservoir de plus grande capacité alimentant ladite cuvette, de moyens interposés entre eux dans le but d'empêcher une flamme de passer de l'un dans l'autre.

   On verra que, dans le présent appareil, ces moyens pare-feu comprennent une cloison séparant cuvette et réservoir l'un de l'autre, mais permettant cependant au liquide de passer à travers ladite   oloison,   la disposition étant telle que le réservoir demeure hermétiquement clos sauf à l'endroit où il oommunique aveo la cuvette, le niveau du liquide dans cette dernière étant maintenu par la pression atmosphérique. ' 
D'autres particularités de l'invention portent sur certaines formes nouvelles de construction et sur diverses combinaisons inédites dont les avantages ressortiront clairement du mémoire descriptif qui va suivre en regard du dessin ci-joint: 

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Fig. 1 représente, en perspective, le nouvel appareil de mise en humeur; 
Fig. 2 en est une coupe verticale longitudinale ;

   
Fig. 3 illustre en détaul son mécanisme moteur; 
Fig. 4 est une variante de ce même mécanisme. 



   On expliquera d'abord succinctement le mode général de fonctionnement de l'appareil. L'opérateur introduit chaque fourniture entre un rouleau 10 hérissé de pointes (fig. 2) et un rouleau presseur 64. Les pointes du rouleau 10 empalent la fourniture qui est plongée aussitôt dans le liquide assou- plisseur contenu dans une cuvette 18, et qui en est retirée un instant après'. La fourniture est arrachée ensuite du rouleau 10 par des dents de peigne 126, puis déposée sur le brin supérieur d'une courroie sans fin 144 qui l'entraîne sous une brosse   158   pour l'essuyer et qui la dépose finalement sur une surface horizontale formée par le côté dessus d'une rangée de doigts arracheurs 168, où l'opérateur peut la prendre aisé- ment pour la mettre dans la chaussure.

   On verra par la suite de ce mémoire que l'appareil peut être adapté à fonctionner de deux manières différentes. Dans les deux systèmes prévus par l'invention, le rouleau empaleur 10 tourne continuellement, tandis que le rouleau presseur ne tourne que lorsqu'une fourniture passe entre lui et le rouleau empaleur. Dans un des systèmes prévus, la courroie d'entraînement 144 est actionnée continuellement elle aussi, en sorte qu'une fourniture présentée aux deux rouleaux susdits est, dans l'espace de quelques'..secondes, immergée dans le liquide assouplisseur et déposée sur les arracheurs 168, cette fourniture étant assemblée sans retard à l'empeigne de la chaussure.

   Dans l'autre système de commande de l'appareil, la courroie 144 n'est pas entraînée directement, mais elle est reliée par un engrenage au rouleau 64, ce qui fait que lorsqu'une fourniture passe entre les rouleaux 10 et 64, ladite courroie avance d'une distance égale 

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 à la longueur de cette fourniture. Quand l'appareil fonctionne ainsi, il y a toujours plus d'une fourniture sur la courroie, chacune reposant pendant quelque temps dessus avant de venir se placer à la portée de l'opérateur. Les fournitures gardent cependant la souplesse qu'elles ont acquise, car le carter dans lequel opère la courroie   d'entraînement   est presque entièrement clos et saturé d'humidité par le liquide qui fume.

   La figure 2 est supposée représenter, non pas quatre fournitures distinctes, mais quatre positions successives prises par une même fourni- ture durant son entraînement dans l'appareil. 



   Voici maintenant comment est construit l'appareil. Sur une plaque de fond 2 est fixé un carter oomprenant,   d'une   part, deux parois latérales 4 jointes. à une paroi postérieure 5 et, d'autre part, deux plaques 6 qui constituent les parois latérales de la partie-avant, plus étroite, du carter. Dans les parois latérales 4 est tourillonné un arbre transversal % qui porte un rouleau 10 hérissé de pointes à sa périphérie. 



  Ce rouleau se compose d'éléments juxtaposés consistant chacun en un petit nombre de lames de scie circulaires qui sont espacées l'une de l'autre par des organes de plus faible diamètre afin de ménager des interstices entre lesdites lames, les organes d'espacement étant liés fermement ensemble par des boulons 12 et la tête des verrous de chaque élément   s'encas-   trant sàns vide dans des perforations pratiquées dans l'élément voisin pour éviter toute torsion par glissement de deux éléments quelconques. Les dents de   scie..qui   accrochent les fournitures sont orie ntées dans le sens de rotation du rouleau qui, vu fig. 



  2, tourne en sens contraire des aiguilles d'une montre. Des trous 14, qui peuvent être agrandis au besoin, sont perces dans chaque élément pour recevoir les boulons des   éorous   12 de l'élément attenant, ainsi qu'il est montré fig. 2. Ces divers éléments dont se oompose le rouleau 10 sont serrés tous ensemble entre un collier de butée (venu de fonte avec   l'arbre   8) et un 

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 écrou 16 taraudé sur le même arbre. Ce mode de construction a été reconnu préférable à celui dans lequel les lames de scie et leurs organes d'espacement forment un même tout car, dans ce dernier cas, il est plus difficile d'obtenir une pression de serrage assez forte pour assujettir ensemble le long de l'arbre 8 les lames de scie et les pièces intermédiaires.

   Ces pièces sont constituées également par des lames de scie circulaires dont les dents sont orientées aussi dans le sens de rotation, dans un but qui apparaîtra tout à ltheure. 



   La cuvette 18 repose sur deux tiges transversales 20 implantées dans les parois 4 du carter. Un couvercle 22, formant corps avec la cuvette et s'étendant en travers de la partie centrale de celles-ci, se prolonge vers le bas pour former une cloison 24 qui divise la cuvette 18 en deux compartiments: un compartiment avant 17 et un compartiment arrière 19. La cloison 24 ne se rend pas jusqu'au fond de la cuvette 18, mais elle descend tout de même assez bas pour plonger dans le liquide et isoler complètement les compartiments 17 et 19 l'un de l'autre, la seule communication entre eux étant fournie par un passage sous la cloison 24. Si on emploie, pour l'assouplissement des fournitures, un liquide qui dégage un gaz inflammable et que le feu éclate dans un compartiment, la cloison 24 empêchera la flamme d'envahir l'autre compartiment.

   La partie en saillie inférieure de cette cloison est pourvue d'un creux transversal 26   où   s'engage une tige 28 dont chaque bout est muni d'un excentrique 30, les deux excentriques pouvant être   tournés   par l'opérateur dans les parois opposées 4, à l'aide d'un bouton molette' 31 (fig, 1), monté sur l'extrémité dehors de l'un d'eux, pour avancer ou reculer la cuvette 18 sur les tiges 20 dans le but expliqua   oi-après.   



   Dans les parois 4 est monté' un réservoir 33 dont l'em- bouchure 32 descend jusque dans le compartiment arrière 19 de la cuvette 18, le liquide contenu dans, ledit réservoir sortant 

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 par des ajutages pour se répandre dans la cuvette où il est maintenu automatiquement à un niveau constant détermine' par la hauteur à laquelle les ajutages sont   placés   par rapport au fond de la cuvette, cette disposition donnant un distributeur barométrique. Ici, la hauteur du liquide est ainsi réglée et la cuvette 18 située en position telle relativement au rouleau 10 que ce dernier trempera un peu dans le liquide contenu dans le compartiment avant 17 de la ouvette, C'est pourquoi ce compartiment est dénommé   ci-aprés   le bain de mise en humeur. 



  Les compartiments 17 et 19 sont simplement assez grands pour remplir les fonctions qui leur sont assignées et, comme on ne compte pas sur eux pour approvisionner de liquide l'appareil, leur capacité* est relativement faible comparée à celle du réservoir 33. De cette manière, la surface du liquide laissée à découvert se trouve réduite au minimum. 



   Une plaque 34, fixée par des vis 36 aux parois latérales 4 du carter,   s'étend   d'un bord à l'autre de la partie principale de celui-ci et descend jusqu'au niveau de la face supérieure   du   couvercle 22 de la cuvette 18. Dans les mêmes parois latérales 4 est fixée aussi par des vis 40 une plaque 38 qui s'Étend en travers de la partie principale du carter, depuis le bas de ce dernier jusqu'au bord inférieur de la plaque 34, et qui est évidée pour faire de la place pour la cuvette 18.

   Les plaques 34, 38 divisent en deux compartiments distincts l'intérieur de la partie principale du carter et l'extérieur de la cuvette, le réservoir 33 étant installé part- derrière lesdites plaques et le rouleau 10 (avec le mécanisme y associe*) par devant, ce qui, en cas d'ignition accidentelle du liquide assouplisseur, rend absolument impossible la propagation du feu d'un compartiment à   l'autre,   par en dehors de la cuvette 18, les plaques 34 et 38 constituant en effet, avec le couvercle 22 et la cloison 24,un écran pare-feu. 

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   Sur le haut des   cotes   4 du carter repose une membrure transversale 42 (fig. 1) munie dtune paroi supérieure 44 (fig. 



  2) qui est percée de deux trous 46 (fig. 1) pour des goujons verticaux servant à placer ladite membrure dans la position voulue. D'autre part, les deux   cotes   4 de l'appareil sont pourvus de ressauts 48   tournes   en dedans et situés en dessous de l'avant-bord de la paroi supérieure 44, ces ressauts fournissant un appui audit bord et portant des goujons qui s'enfilent dans les trous 46. Les ressauts 48 sont plutôt courts, ce qui laisse une grande brèche entre eux, tandis que l'étendue de leur prolongement vers le bas est déterminée par le rouleau 10 pour lequel il faut faire assez de place.

   Quant à la paroi supérieure 44, elle appuie, près de son bout arrière, sur le haut de la plaque 34, aussi bien que sur les côtés   4   du carter, près de ses bords   latéraux.   Le milieu de la paroi 44, qui est plus haut que les portées susdites, comprend une portion supérieure plate, une portion inclinant vers le bas et vers l'arrière, enfin une portion 50 inclinant vers le bas et vers l'avant, cette dernière portion s'introduisant dans l'espace compris entre les deux ressauts 48 et se terminant par une paroi verticale 52. De chaque côté de la paroi inclinée 50 et de son prolongement 52 sont des rebords verticaux 54 (fig. 



  1) formant corps avec ladite paroi et   accotant   respectivement sur les ressauts adjacents 48 des parois latérales 4 du carter. 



  De la paroi supérieure 44 de la membrure 42 descendent des chapes, solidaires de ladite membrure, dans lesquelles sont enfiles les deux bouts d'un axe transversal 56 (fig. 2), les chapes en question étant placées en dedans des parois latérales 4 et tout prés d'elles. 



   Sur l'axe 56 est articulé un étrier porte-rouleau 58, oblong, dont les branches dirigées de bas en haut et vers l'avant, sont accouplées ensemble par une barre 60, Dans les extrémités du porte-rouleau 58 est tourillonne* (entre 

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 l'axe 56 et la barre 60) un arbre 62 sur lequel est monté un .rouleau en bois 64 dont la principale fonction est de serrer les fournitures oontre le rouleau empaleur 10, la Surface du rouleau 64 étant recouverte de papier de verre. Un ressort 
66, appuyant par un bout contre un collier 68 et, par l'autre,   contre   une butée formée sur la barre 60, pousse vers le rouleau empaleur 10 l'étrier 58 et le rouleau 64 monté dessus.

   La force de pression exercée sur le rouleau 64 par le ressort 66 est réglée au moyen d'une vis 70 (fig. 2) qui est montée dans la face de la paroi 44 inclinant vers   l'arrière   et vers le bas, et qui porte un collier de butée 68. Sur la paroi 50 inclinant vers l'avant et vers le bas est formé un bossage 72 qui se prolonge vers l'avant aussi bien que vers l'arrière et présente des plats verticaux dans un plan transversal de l'appareil. 



   Une oreille 74 remontant de la barre 60 accote sur le plat postérieur du bossage 72 pour déterminer le minimum d'écarte- ment des rouleaux 64 et 10   l'un   de l'autre. On peut les écarter davantage par la manoeuvre d'une vis de réglage 76 se taraudant dans le bossage   72   et munie d'un écrou 78, qui accote sur le plat antérieur dudit bossage, le bout dedans de la vis 76 appuyant sur l'oreille   74   pour écarter autant qu'il faut du rouleau 10 le rouleau 64. 



   Le bon empalement des fournitures sur le rouleau 10 est assuré par un deuxième rouleau presseur, 90. Le support 80 de ce rouleau est constitue, d'une part, par des bras jumelés 82 dirigés de haut en bas et vers l'avant et pivotant sur l'axe 56 et, d'autre part, par deux bras montants 84 formant corps avec les bras 82 et joints ensemble par une barre 86 qui, de préférence, fait corps, elle aussi, avec les bras 82. Dans ces derniers est monté un arbre rotatif 88 portant un rouleau en bois 90, moins gros que le rouleau 64 et   revêtu   de papier de verre.

   Entre une butée 92, formée sur le haut de chacun des bras 84, et des colliers 94 enfiles respectivement sur 

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 les bouts dedans de deux vis de réglage 96 (qui traversent des bossages formes sur la paroi supérieure 44 et munis de faces inclinant de haut en bas et vers l'avant) est un ressort 98 qui pousse vers le rouleau 10 le support 80 et le rouleau 90 monté dessus. Un autre bossage, 100, formé sur la cloison 24, accote sur une saillie 102 de la barre 88 pour déterminer le minimum d'écartement à ménager entre les rouleaux 90 et 10. On peut obtenir un plus grand écartement au moyen d'un crochet 104 engageant une broche   106   sertie dans deux oreilles 108 espacées l'une de l'autre et remontant de la barre 86 pour se diriger vers l'avant de l'appareil.

   La queue du crochet 104 passe à travers la paroi inclinée 50 et sur son extrémité dehors se taraude un   eorou   110 qui appuie contre une saillie de la paroi 50 et permet d'obtenir entre les rouleaux un   écartement   supérieur à l'écartement minimum. Une plaque 112, montée auprès du rouleau empaleur 10 pour remplir presque tout le vide entre les rouleaux 64 et 90, guide le devant de la fourniture durant son introduc- tion entre le rouleau 90 et le rouleau 10. La plaque 112 est montée sur les extrémités de l'étrier-support 58 et y est assujettie par des vis 114. 



   Pour couvrir la portion supérieure du rouleau empaleur 10 et faciliter en même temps la présentation des fournitures à l'appareil, un toit en croupe 116   s'étendant   en travers de la machine et surplombant une partie du rouleau empaleur est monté sur deux barres transversales 118 implantées dans les parois latérales 4. Les versants 120 et 122 du toit en question mettent le rouleau empaleur 10 à   l'abri   et complètent la fermeture du carter recouvert déjà par les parois 4, 48, 34 et. 



  38. La partie 120 du toit est tangente au rouleau empaleur 10 et orientée dans le sens de rotation de celui-ci. Elle sert aussi de goulotte pour la présentation des fournitures   à   ce même rouleau. ' 

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   Apres   avoir été plonge dans le bain de mise en humeur par le rouleau empaleur, la fourniture en est arrachée et déposée sur la courroie d'entraînement 144 par un peigne dont les dents 
126 pénètrent entre les rangées de pointes dudit rouleau.

   Dans le devant du toit 116 s'enfilent, en travers de l'appareil, deux broches 124 sur lesquelles sont montées les dents 126 du peigne arracheur, Ces dents sont orientées à rebours du sens d'entrai- nement des fournitures et ainsi disposées qu'elles pénètrent dans les interstices du rouleau   empaleur   10 sans venir en contact avec les bords aigus des organes d'espacement. Avec chaque interstice du rouleau 10 va une dent de peigne 126 dont la partie arracheuse est plutôt mince, tandis que la partie attachée aux   broches '124   est relativement épaisse pour bien espacer les dents l'une de l'autre et les placer juste en regard des interstices du rouleau 10. 



   Il est bon d'essuyer les deux   côtes   de la fourniture à sa sortie du bain de mise en humeur pour en enlever l'excès de liquide qui y adhère. Ici, cet essuyage est effectué par une plaque frottante 130 et par la brosse 158   susmentionnée.   



    Voici:.comment   la plaque frottante est montée dans l'appareil: 
A l'intérieur du bain 17, prés de son extrémité-avant, est fixée une cale 128 à laquelle est articulée la plaque 130 qui penche de bas en haut et vers   l'avant   et qui s'étend d'un bord à l'autre dudit bain. Un ressort 132, enroulé autour du pivot de la plaque 130 et passant entre celle--ci et la paroi antérieure du bain 17, pousse le bord libre de ladite plaque vers le rouleau 10. La plaque 130 est orientée dans le sens de rotation du rouleau 10 et frotte sur la fourniture, empalée sur ce dernier, pour enlever du côté dehors de ladite fourniture le liquide qui peut y adhérer. La tension du ressort 132 est réglée en   avançant   ou reculant la cuvette 18 à l'aide des excentriques 30, tel qu'expliqua plus haut.

   Un loquet   à   ressort, de type courant, empêche le bouton de manoeuvre 31 

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 de se déranger après ce réglage. Enfin, la paroi antérieure 134 du bain   17   incline de bas en haut et vers l'avant à l'effet indiqué   ci*-après....   



   Dans la partie arrière des parois 6 est monté, en travers de l'appareil, un-arbre rotatif 136 portant un rouleau 138. 



  D'autre part, dans la partie antérieure des parois 6 est monté un autre arbre rotatif, 140, parallèle à l'arbre 136. La courroie d'entrainement 144, préférablement en tissu caoutchouté, glisse sur les rouleaux 138 et 142, sa face externe étant garnie d'une multitude de fils d'acier ressemblant à ceux d'un ruban de carde.

   Les rouleaux 138, 142 tournent dans le même sens que les aiguilles d'une   montre,.vus   fig. 2, et le bout supérieur des fils susdits est recourbé dans le sens d'entraînement de   la courroie 144 ; et,comme les rouleaux 138 et 142'sont pour   ainsi dire au même niveau, la courroie est virtuellement horizontale, le dessus des fils de la courroie se trouvant .tant soit peu en contre-bas des extrémités des dents de peigne 126, ce qui fait que lorsqu'une fourniture est arrachée du rouleau 10, elle tombe sur les fils surmontant la courroie. 



  L'inclinaison de la paroi 134 vers l'avant permet de placer le rouleau 138 assez près du rouleau empaleur 10, assurant par là que les fournitures tomberont comme il faut sur la surface d'entraînement 144 au fur et à mesure qu'elles seront arrachées du rouleau 10. 



   Il a été dit que la brosse 158 sert à essuyer le côté de la fourniture opposé à celui essuyé auparavant par le frotteur 130. 



  Cette brosse est montée comme suit en dessus du brin supérieur de la courroie 144. 



   Sur chacune des parois 6 est rapporta un coulisseau horizontal 146 pour une glissière transversale 148. Un cadre 150 est articule' de manière à pouvoir osciller sur une broche transversale 152 implantée dans la glissière 148. Une lame de ressort 154, enroulée par un bout autour de la broche   152,   

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 appuie par son autre bout sur le cadre 150 pour l'amener à sa position la plus basse. Une vis 156, qui se taraude dans une traverse du   cadre.150   et dont le bout appuie sur une traverse de la glissière 148, détermine le degré d'abaissement du cadre 
150 par le ressort 154. La brosse 158 s'étend en travers du cadre 150 et   s'emmanche   de chaque côté dans l'extrémité libre de ce cadre.

   Un couvercle 160,   mont'é   à charnière dans chaque bord du cadre 150, peut être amené' par-dessus chaque côté de la brosse pour la fixer en place. Les crins 162 de la brosse 158 inclinent de haut en bas vers l'avant de l'appareil, c'est- à-dire dans le sens où les fournitures sont entraînées par le brin supérieur de la   courroie   144. En dessous de la brosse 158 est fixée, par chaque bout, à une des parois 6 une plaque transversale 164 qui soutient le brin supérieur de la courroie 144. Enfin, pour tenir compte des variations de longueur des fournitures à traiter, la brosse 158 peut être avancée ou reculée plus ou moins par le déplacement de la glissière 148 dans ses coulisseaux 146.

   Quand la fourniture est longue, il est bon de mettre la brosse 158 plus en avant pour qu'elle ne se chiffonne pas en tombant sur la courroie 144. Une vis (non représentée), taraudée dans une des parois latérales 6 et traversant le coulisseau adjacent 146, permet de fixer la glis- sire 148 en place, le bout de cette vis venant buter oontre le cote' de la glissière 148. 



   Dans les côtés 6 de l'appareil est montée, en travers du devant de celui-ci, une paroi verticale 168 (fig. 2). Le bord supérieur de cette paroi est échancré de point en point pour recevoir les doigts 168 d'un arracheur, ces doigts étant échancrés aussi pour les adapter à la paroi 166 et   s'introdui-   sant par derrière entre les fils surmontant la courroie 144. 



  Le dessus des doigts 168 forme un prolongement de la surface créée par le dessus des fils du brin supérieur de la courroie 144. De plus, lesdits doigts sont biseautés légèrement à 

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 l'arrière pour leur permettre de s'engager sous la fourniture reposant sur la courroie d'entraînement. Une moitié à peu près des doigts 168 se projette vers l'avant et l'autre moitié vers l'arrière (voir fige 1), les portions antérieures 170 formant comme une table   où   l'opérateur peut prendre sans peine les fournitures traitées par l'appareil. En travers de celui- ci, et en dessus de la paroi 166, est montée une tige   172   dont les bouts sont enfilés dans les parois 6. Cette tige passe à travers tous les doigts 168 pour les tenir fermement en place. 



  Une plaque   174,   qui appuie de chaque cote* sur les parois 6, recouvre complètement la courroie   144   et la brosse 158, avec les pièces y associées; et, dans le devant de cette plaque est ménagée une ouverture assez grande pour permettre aux fournitures de venir se placer sur la table dont il a été parlé. 



   Le rouleau empaleur 10   et,la   courroie   d'entraînement   144 sont actionnes par une poulie 176 (fig. 1) montée sur une console à   l'arriére   de l'appareil. Un arbre 178, relié activement à l'arbre de la poulie 176, traverse la paroi postérieure 5 et peut être accouplé par un embrayage 180 (fig. 3)   à   un arbre 182 qui se prolonge vers l'avant. L'embrayage 180 se compose de deux déments dont l'un est calé sur l'arbre 178, tandis que l'autre est rendu capable de glisser sur l'arbre 182 par une clavette. Pour embrayer ou débrayer l'arbre 178, il est prévu une fourche logée dans une gorge de l'élément glissant et qu'on peut avancer ou reculer à   l'aide d'une   poignée 184 (fig. 3) mobile dans une coulisse 186 ménagée dans une des parois latérales 4.

   Le réservoir 33 est évidé pour faire de la place pour les arbres   179,   182 et pour le mécanisme d'embrayage. Sur 1'extrémité-avant de l'arbre 182 est calé un pignon d'angle 188 en prise avec un engrenage conique 190 qui est fixe sur l'arbre 8, à proximité d'un bout de cet arbre. Le bout opposa de l'arbre 8 porte une roue dentée 192 qui conduit une roue 194 tournant sur un court arbre monté dans une des   paro.is   4 ; la roue 194 conduit 

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 à son tour une roue 196 tourillonnée de même manière; enfin, la roue 196 conduit un pignon   19   cale' sur un bout de l'arbre 136 commandant la courroie 144. 



   Il convient de fournir   à   l'opérateur le moyen de tourner lui-même le rouleau 10. A cette fin, un bout (non représenté) de l'arbre 8 est fait pour recevoir la béquille d'une mani- velle. Il est bon aussi que l'opérateur soit capable d'entraîner la courroie 144 à la main pour le cas où le système d'engrenage susdécrit ne serait pas employé. A cette fin, un court arbre 200 (fig. 1 et 2) est tourillonné' dans l'une des parois 6 et muni, à chaque bout, d'un volant 202. 



  Sur l'arbre 200 sont montées des roues à chaîne, 204, et des roues similaires plus petites sur l'arbre 136, les chaînes 208 tournant respectivement sur les deux jeux de roues. De la sorte, la manoeuvre du volant 202 fera avancer la courroie 144   à   une vitesse relativement grande. 



   La roue d'engrenage 192 est montée en bout de l'arbre 8 de manière à pouvoir en être démontée et remplacée facilement. 



  Quand on veut que chaque fourniture présentée à l'appareil soit   entraînée   par intermittences par la courroie 144, la roue 192 est ôtée de   l'arbre %   et une roue d'engrenage 210 (fig. 4) est montée sur un court arbre 212 tourillonné dans les parois latérales 4. Dans la forme préférée de l'invention, l'arbre du rouleau 64 porte, à une de ses extrémités, une roue dentée 214 et, lorsqu'une fourniture s'introduit entre le rouleau empaleur 10 et le rouleau presseur, elle fait tourner ce dernier. Cette rotation est transmise d'abord à la roue 214, puis   à   la roue 194 par l'entremise de la roue 210 et, enfin, au rouleau 138 par l'entremise des roues 196 et 198.

   Ainsi, la courroie 144 avancera durant le passage de chaque fourniture entre les rouleaux 10 et 64, mais elle restera au repos en tout autre temps, sauf quand 1'opérateur tourne le volant 202. 

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     Mode   d'emploi de   l'appareil -   Une fourniture B est introduite entre le rouleau presseur 64 et le rouleau empaleur 10 en la poussant dans la goulotte 120. La pression du rouleau 64 sous l'action des ressorts 66 est généralement suffisante pour empaler la fourniture sur le rouleau 10. Si elle est trop épaisse ou trop raide pour se prêter aisément à la courbe de ce rouleau, le rouleau 90 la pliera autour du rouleau empa- leur et l'accrochera. La plaque 112 guidera le devant de la fourniture, de manière à le faire passer entre le rouleau 90 et le rouleau 10, stil n'est pas déjà empalé par ce dernier. 



  -Non seulement les pointes du rouleau 10 stimplantent dans la fourniture B pour augmenter sa porosité, mais elles lacèrent aussi la substance indurante dont elle est imprégnée, ce qui la rend encore plus poreuse. Les dents des organes d'espacement du rouleau 10 servent   à   recueillir du liquide dans le bain de mise en humeur 17, ce liquide remplissant les vides entre l'organe empaleur et entre les dents des organes d'espacement, et y adhérant par capillarité'. Le fait d'orienter dans le sens de rotation du rouleau 10 les dents des organes d'espacement leur fait jouer jusqu'à un certain point le rôle de godets pour faciliter le puisage du liquide.

   Dés que la fourniture est empalée sur le rouleau 10, le liquide contenu dans celui-ci se répand 'sur la face adjacente de la fourniture et pénètre dans les fissures faites par les pointes d'empaiement. 



    D'autre   part, quand la fourniture plonge dans le bain, son côté dehors est mouilla par suite de la rotation du rouleau 10, ce qui fait entrer une nouvelle quantité de liquide dans les interstices dudit rouleau. De même, quand la fourniture passe devant la plaque 130, le liquide qui est de trop, c'est- à-dire celui adhérant   à   sa surface extérieure, est enlevé. 



  Enfin, quand la fourniture est arrachée du rouleau 10 par les dents de peigne 126, le liquide entré dans les interstices du rouleau 10, de même que le liquide adhérant à la face inti- 

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 rieure de la fourniture, remplit les trous perces par les pointes du rouleau 10. La fourniture tombe ensuite sur le brin supérieur de la courroie d'entraînement 144, appuyant alors sur le ruban de fils d'acier dont ladite courroie est munie, puis elle passe sous la brosse 158 dont les crins 162 essuient le liquide adhérant à sa surface supérieure. La paroi montante 134 du compartiment 17 du bain soutient l'arrière-bout de la fourniture et, si l'entraînement de celle-ci s'effectue par intermittences, ladite paroi empêche ledit bout de replonger dans le liquide quand la fourniture fait une halte à un endroit où elle pourrait tomber.

   La fourniture est amenée finalement jusqu'aux doigts arracheurs 168 par le brin supérieur de   la   courroie 144, son extrémité antérieure venant reposer sur le devant 170 desdits doigts, où l'opérateur peut la prendre aisément pour la mettre dans la chaussure. 



   A noter que l'intérieur du carter est virtuellement étanche à l'air, les ouvertures par où la fourniture B entre et sort étant en effet relativement petites. Il en résulte que le liquide contenu dans la cuvette 18   s'évapore   lentement. De plus, comme les gaz inflammables ne peuvent s'échapper dans l'atmosphère, le danger d'inoendie est beaucoup moins à craindre. Il y a plus. L'intérieur du carter est saturé d'humidité' par les émanations du liquide, ce qui permet (quand l'appareil fonctionne par intermittences) de laisser la fourniture sur la courroie 144 aussi longtemps qu'il le faut pour achever de l'assouplir. 



   Il est clair aussi que lorsque l'appareil est étudié pour fonctionner continuellement, les fournitures peuvent être traitées aussi rapidement qu'on le voudra. Toutefois, pour l'obtention des meilleurs résultats, il est préférable de ne pas en traiter plus d'une à la fois.

Claims (1)

  1. RESUME @ Appareil pour la mise en humeur des raidisseurs avant leur incorporation à la chaussure, caractérisé par un ou plusieurs des points suivants 'ou tous ces points:- 1 La porosité de chaque raidisseur à traiter est accrue par un dispositif qui le soumet ensuite à l'action d'un liquide assouplisseur; 2 Le dispositif suivant 1 est constitue' par un rouleau étudié de façon à empaler le raidisseur et à le tremper dans le liquide assouplisseur;
    3 Le rouleau empaleur est fait en plusieurs sections juxtaposées sur un même axe,-chaque section comprenant des lames de scie circulaires espacées l'une de l'autre, préférablement par d'autres lames de scie circulaires de plus faible diamètre, la disposition étant telle que toutes les sections sont serrées fermement l'une contre l'autre en long de leur axe commun et ainsi reliées qu'une section quelconque est incapable de glisser sur sa voisine et empêchée par conséquent de se tordre sur elle-même; 4 Les raidisseurs sont arrachés du rouleau empaleur par des dents de peigne qui s'introduisent dans les interstices dudit rouleau, sans cependant venir en contact avec les dents des lames de scie intercalaires ; 5 Un frotteur et une brosse enlèvent respectivement le liquide qui est de trop sur les faces opposées des raidisseurs après leur sortie du bain;
    6 Chaque raidisseur est déposé sur une courroie d'entraînement qui le conduit à un endroit où l'opérateur peut le prendre aisément pour le mettre dans la chaussure; <Desc/Clms Page number 19> 7 En vue de parer à tout danger d'incendie lorsque le liquide assouplisseur employé est volatile et inflammable, la cuvette alimentée de ce liquide est divisée en deux compartiments séparés l'un de l'autre par une cloison pare- feu, le liquide à fournir au bain de mise en humeur pour le maintenir constamment au même niveau passant à travers ladite cloison par une ouverture située en dessous de la surface du liquide contenu dans la cuvette; 8 Le mécanisme de commande de la courroie d'entraînement peut être organisé de manière à lui imprimer un mouvement soit continu, soit intermittent durant le fonctionnement de l'appareil.
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