BE354792A

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Publication number: BE354792A
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Description

Machine pour le découpage au chalumeau.

L'invention a pour objet une machine pour le découpage au chalumeau permettant d'effectuer directement toutes coupes droi- tes, éléments de ligne de coupe à angles droits, coupes circu- laires. La même machine permet avec l'emploi de gabarits de découper suivant n'importe quel tracé ce qui rend son emploi extrêmement avantageux pour tous les ateliers de construction et notamment pour les ateliers de constructions navales et de ma- tériel de chemins de fer.

Dans toutes les machines pour découpages au chalumeau réa- lisées jusqu'ici pour les découpages de grande largeur rectili- gnes, d'équerre circulaire ou suivant gabarits, le dispositif de guidage du chalumeau était monté sur un chariot et la com - mande mécanique des déplacements du chalumeau était placée sur un deuxième chariot se déplaçant parallèlement au premier. La transmission mécanique des mouvements entre les deux chariots était faite par des flexibles. Les machines étaient équipées de

telle sorte qu'il n'était possible que d'effectuer la coupe pour laquelle la machine était montée, toute modification dans le déplacement du chalumeau exigeant l'arrêt préalable de la machine.

La machine faisant l'objet de la présente invention est caractérisée par un chariot unique comportant même la commande mécanique permettant d'effectuer des grandes lignes de coupe au moyen d'un chalumeau se déplaçant avec une vitesse uniforme.

Le premier avantage d'un semblable mode de réalisation est de donner des machines beaucoup moins encombrantes et d'un maniement beaucoup plus simple que toutes les machines utilisées jusqu'ici.

Avec la machine décrite dans le précédent brevet tous les modes de déplacement des chalumeaux peuvent se succéder sans arrêt ni aucun démontage.

Chaque mode de déplacement du chalumeau est commandé par un enclanchement spécial. Des lignes de découpage constituées par des éléments d'un tracé quelconque peuvent donc s'effectuer sans aucune interruption ce qui réduit dans de très grandes proportions le temps nécessaire à l'exécution d'une ligne de coupe assez complexe.

Des lignes de coupe formant entre elles des angles se succédant sans interruption ou coupées de lignes courbes ou circulaires sont donc effectuées en une seule opération. Cette adaptation de la machine aux tracés de coupe les plus divers réalisables sans aucune interruption constitue son avantage essentiel et rien d'analogue n'existe sur aucune autre machine.

Les dessins annexés à la présente demande de brevet per - mettent de suivre à titre d'exemple un mode de réalisation de cette machine nouvelle pour le découpage au chalumeau.

Fig.l représente la machine vue de côté.

Fig.2 représente la machine vue au-dessus de la plate - @ forme du dispositif d'entraînement.

@
Fig.2' est une vue du dessus de la machine.

Fig. 3 représente une vue de détail.

Fig. 4 représente une coupe verticale montrant le détail du mécanisme pour le déplacement rectiligne.

Fig. 5 représente une coupe verticale suivant le plan V-V de la fig.6.

Fig. 6 représente une coupe horizontale suivant le plan VI-'
VI de la fig.5.

Fig. 7 représente une coupe longitudinale et verticale suivant le plan VII-VII de la fig.5.

Fig. 8 représente une coupe horizontale suivant le plan
VIII-VIII de la fig.5.

Fig. 9, représente une coupe horizontale suivant le plan
IX-IX de la figure 5.

Fig.10 représente une vue en dessus du chariot porte chalumeau.

Fig.11 représente un dessin descriptif d'un découpage.

Fig.12-13-14 montrent d'après le sens des flèches un dispo- sitif d' enclanchement dans différentes posi- tions pour des travaux différents.

Le dispositif d'entraînement (dont le plateau est la pièce 1 portée par les galets 2 ) se déplace sur les rails de guidage 3.

Le guidage latéral est assuré par quatre autres galets - 114 -portant sur les rails. Un rouleau 112 empêche que la machine ne vienne à basculer. Les rails 3 sont solidement fixés sur un bâti 4. Le plateau 1 du dispositif d'entraînement porte un moteur électrique 5 et un embrayage à friction. Le galet 7 est monté sur l'arbre du moteur prolongé à cet effet ; l'extré- mité libre de cet arbre pénètre dans un petit palier solidaire d'un ressort qui applique toujours le galet 7 contre le cône 6.

Les déplacements du galet 7 sur l'arbre 10 et par suite le réglage de la vitesse de l'axe 12 du cône 6 peuvent être obtenus par la manoeuvre du volant 14 dont les mouvements se

transmettent par la tige 15 et les roues coniques 16 à une vis sans fin 17 sur laquelle se déplace une douille 18 solidai- re du galet 7.

Sur l'axe 12 est montée une roue à chaîne 19 qui par 1' intermédiaire d'une chaîne Vaucanson 20 entrafne le mouvement d'une deuxième roue dentée 21 placée à l'extrémité de l'arbre principal 22 qui est creux et qui est porté par les paliers 23 et 24.

Sur l'arbre creux 22 sont montées deux roues coniques 27 et 28 qui, par l'intermédiaire d'une fourchette 26 (voir fig.3 ) peuvent être mises en prise à volonté avec une roue conique 29 commandée au moyen d'un levier 93 mobile autour du pivot 94 et dont les déplacements sont rendus solidaires de la poignée 98 placée latéralement (et cela par l'intermédiaire de la tige de manoeuvre 97 ).

Le volant 93 est relié à la fourchette de commande des roues 27 et 28 par le pivot 95.

La roue conique 29 est solidaire d'un axe vertical 99 (voir fig.l ) qui porte à sa partie basse une roue à chaîne 30 accouplée à la roue dentée 32 par une chaîne 31 (voir fig. 4 ).

Cette dernière roue dentée est montée sur le même axe 34 qu' une roue cylindrique 33. L'axe 34 repose à sa partie basse sur le plateau 1 et à sa partie supérieure dans un palier porté par un bras 35.

Le carter 36 seul se déplace autour de l'axe 34 ; car- ter renferme les pièces 32-33. Le pivot 37 est monté libre sur le carter ; il porte une roue dentée 110 engrenant avec la roue 33 et à sa partie basse grâce à une ouverture du plateau une roue moletée 38.

Le carter 36 porte un bras 39 commandé par un ressort 40 fixé sur le plateau 1 ; ce bras sous l'action du ressort 40 applique le galet moleté 38 sur la face intérieure du rail de guidage 3.

Pour libérer le galet 38 du rail il a été prévu un deuxième

bras 41 solidaire du carter 36 ; sur ce deuxième bras vient agir une roue à excentrique 43 placée à l'extrémité d'un le- vier 42 oscillant autour du pivot 44 placé sur le plateau 1.

Lorsque le moteur électrique est mis en marche, une des deux roues 27 et 28 étant en prise avec la roue conique 29,le dispositif d'entraînement se met en marche si le galet moleté 38 est appliqué sur le rail, et après le réglage de l'embrayage à friction ce mouvement peut être plus ou moins rapide.

La vitesse de déplacement du chalumeau est indiquée par un indicateur de vitesse 13 relié au cône 6 par une courroie 40 Cet indicateur donne les vitesses de tous les déplacements du chalumeau, déplacements qui proviennent du dispositif prin- cipal de commande mécanique. Si les roues 27 ou 2B ne sont pas en prise avec la roue conique 29 la machine s'arrête. Le sens du déplacement dépend du choix de la roue dentée 27 ou 28 ame- née en prise avec la roue conique 29.

Si l'on dégage du rail le galet moleté 38 par la manoeuvre du levier 42, la machine permet tous les déplacements à la main ou d'après un gabarit fixé sur les rails.

Le dispositif logé dans le corps du porte chalumeau et destiné à assurer les déplacements de ce dernier est commandé par l'arbre 47 qui glisse dans l'arbre creux 22 mais la rota- tion de cet arbre est empêchée par un dispositif approprié, il transmet au porte chalumeau le mouvement de rotation de l' arbre 22 à l'axe principal 54.

Le porte chalumeau 46 se compose d'une enveloppe à faces planes et perpendiculaires entre elles, fermée à la partie supérieure par la plaque 49 et à la partie basse par'la plaque 50.

Les deux plaques 49 et 50 dépassent d'un côté le bâti 48, elles portent les galets 51 et 52 qui portent sur les barettes de guidage 53 du bras 45 (fig.5 ).

L'arbre de commande 54 placé dans le porte chalumeau 46 et

qui est relié d'une manière rigide à l'arbre principal 47 ré - glant les déplacements du chalumeau permet les déplacements rectilignes de ce dernier sur le bras 45 grâce à la roue den- tée cylindrique 55 engrenant avec une deuxième roue analogue 56 (fig.7) l'axe 57 de cette dernière roue porte du côté inté- rieur du bâti une roue d'engrenage conique 58 clavetée sur cet arbre. La roue 58 peut engrener avec les roues dentées 60 et 61.(fig.5 et 6 ). L'arbre 59 porte en outre une roue dentée cy-
62 lindriqueYengrenant avec la roue 63 montée sur un axe 64 qui est porté lui-même par le bras 66 pouvant se déplacer autour de l'arbre 59. L'axe 64 porte du côté externe de la machine une roue moletée 65.

Le bras mobile 66 est poussé de bas en haut par un ressort 67 (fig.10) fixé sur un bossage 68 du bâti 48 ; en résulte que la roue moletée 65 est appliquée sur le guide 69 fixé sur le bras 45. Si l'arbre de commande 54 tourne, une des deux roues 60 ou 61 étant en prise avec la roue conique 58 , le porte chalumeau se déplace par suite de la friction qui s'établit entre la roue moletée 65 et le guide 69. La direction de ce déplacement rectiligne dépend de la roue en prise avec la roue conique 58. Si le relais d'engrena- ges 58 -60- 61 est débrayé le porte chalumeau demeure immobile, mais il peut encore être commandé à la main par la manivelle 113.

La roue moletée 65 peut être dégagée du guide 69 par le déplacement d'un levier 70 ce dernier déplace un axe 72 porté par un excentrique 71 (fig.6 ) qui, par la rotation de l'axe 72 s'applique sur le mentonnet 111 du bras mobile 66 et ce der - nier appuie sur le ressort.

Dans ces conditions, les déplacements du porte-chalumeau sur le bras sont rendus complètement libres. L'embrayage du relais 58- 60- 61 s'effectue par le levier 73 (fig.5 et 8 ) qui commande la fourchette 109 fixée sur la tige de commande 74.

Pour effectuer des déplacements du chalumeau suivant des

courbes la roue cylindrique 75 (fig.7) solidaire de l'arbre principal 54 engrène avec une roue 76 par l'intermédiaire du dispositif de commande formé par les deux roues 160-161.

L'axe de la roue 76 porte une vis 79 actionnant une roue hélicoïdale 80. La roue 75 se trouve continuellement en prise avec la roue 160, celle-ci avec la roue 161 et ces trois roues sont logées dans un cadre plat 163 que l'on peut déplacer au moyen de la poignée 162 et de l'arbre 54 de telle sorte que, soit la roue 160, soit la roue 161, ou aucune des deux ne puisse venir en prise avec la roue 76 (fig.12-13-14). Le cadre 163 est pourvu d'un pointeau 165 poussé vers l'extérieur par le ressort 164, ce pointeau, à chacune des positions de la commande par roues d'engrenages décrite ci-dessus pénètre dans un logement ménagé dans la paroi du porte-chalumeau et main - tient aussi le cadre 163.

Par suite, si la roue 160-161 ou aucune de ces roues n'est en prise avec la roue 76, l'arbre commandé par cette roue se déplace suivant le mouvement cirou- laire obtenu par la roue hélicoïdale dans une direction ou dans l'autre.

L'axe 80 de la roue hélicoïdale porte à son extrémité in- férieure et hors de l'enveloppe du porte-chalumeau une coulisse 81 dans laquelle les rails 82 portant le chalumeau 83 peuvent être déplacés (voir fig.3)
Pour faire décrire un cercle au chalumeau il suffit de déplacer les rails d'une quantité correspondant au rayon du cercle à décrire. Le mouvement du chalumeau peut, au lieu d'être assuré mécaniquement être effectué à la main pour cela les roues dentées 160 et 161 sont dégagées de la roue 76 et commandées par la manivelle 84 placée de l'autre côté de la vis.

Enfin, le porte-chalumeau est pourvu d'une tourelle 86 qui rend possible de conduire d'après un gabarit et suivant une ligne aussi irrégulière et aussi compliquée que l'on veut.

La tourelle 86 porte une roue moletée 86a, qui se trouve

maintenue en contact avec le gabarit par l'intermédiaire d'un contre-galet. Ce contre-galet est commandé par un très fort ressort de telle sorte que le porte-chalumeau est obligé de se déplacer uniquement suivant le gabarit. Sur l'axe 87 de cette tourelle est placée une roue conique 88 (fig.7 ) qui peut être amenée en prise avec les roues coniques 89 et 90 suivant la direction désirée Ces deux roues étant comme nous l'avons vu solidaires de l'arbre 54.

Les roues 89 et 90 par l'intermédiaire de la fourchette 91 (fig.9 ) solidaire de la poignée 92 permettent donc tous les déplacements prévus sur le gabarit. La manoeuvre de la fourchet- te s'obtient par la tige de manoeuvre 150 portant un évidement 151 dans lequel tombe un pène 152, tandis qu'une douille file- tée 153 solidaire de la poignée 92 par l'intermédiaire de la partie filetée de la tige de commande 150 peut être déplacée par la rotation de la tige par l'intermédiaire de la lame por- tée par la noix 154. Suivant la position adoptée par la four - chette, on peut commander les roues 88-89 et 90.

Si le chalumeau doit être conduit au moyen d'un gabarit les leviers 42 et 70 (fig.2 et fig.6 ) sont déplacés de telle sorte que le dispositif d'entraînement et le porte-chalumeau sont rendus libres sur leurs rails de guidage.

La machine possède d'autres dispositifs qui permettent d' interrompre à volonté, soit le déplacement du dispositif d'en- traînement, soit celui du porte-chalumeau sur son bras, à la position que l'on désire.

Pour arrêter le dispositif d'entraînement ou obtenir 1' arrêt de la machine, (voir fig.3 ) les pièces suivantes ren - trent enjeu : arbre vertical 100, tige de commande 97, bras 101, barre de commande 102, guidages 103 et 103 A.

L'arrêt du déplacement en équerre du porte-chalumeau s' obtient (voir fig.3) par les pièces 106 ,107 et 109( fige '7 ).

Comme il résulte de cette description la machine est

conçue pour permettre tous les mouvements du chalumeau par des organes placés à proximité du chalumeau 83, et n'importe quel mouvement peut être arrêté indépendamment d'autres déplacements du chalumeau qui peuvent subsister.

La possibilité de déplacer en cercle ou en équerre le porte-chalumeau à la main par l'intermédiaire des poignées 113 et 84 permet de mettre en place très rapidement le chalumeau sur la pièce à. découper.

Un exemple simple permet de suivre d'ailleurs le mode de travail de la machine : Supposons par exemple qu'il s'agisse de découper une tête de bielle en une seule opération dans une plaque d'acier (voir fige 11 ).

La tête de bielle étant tracée sur la plaque et cette der- nière placée sous la machine, la coupe sera commencée en a par le déplacement rectiligne du dispositifd'entrainement commandé par la poignée 98.

Au point b, la manoeuvre du levier 73 permettra de couper, suivant une ligne perpendiculaire à la première coupe ; cette deuxième coupe sera arrêtée au moment voulu par la poignée 98.

La manoeuvre inverse sera effectuée au point c de la même manière et de proche en proche le chalumeau sera amené au point d. A ce point le déplacement circulaire sera embrayé et le dé- placement rectiligne arrétéo
Au point E l'opération inverse sera effectuée et au point f un nouveau découpage rectiligne permettra de retrouver la première coupe a. b. Le chalumeau est alors éteint et le porte - chalumeau arrêté.

REVENDICATIONS.

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims

@ En résumé, je revendique commemon invention 1 ) Une machine transportable pour découpage au chalumeau comportant au moins deux modes de déplacements entièrement indépendants l'un de l'autre ; cette machine est caractérisée <Desc/Clms Page number 10> par l'emploi d'une seule source de force motrice pour tous les déplacements du chalumeau et toutes les commandes mécaniques de la machine.

2 ) Machine transportable d'après la revendication 1, caractérisée par la possibilité d'assurer sur une grande lon- gueur rectiligne le déplacement du chalumeau avec une vitesse réglable à volonté suivant la nature du travail, cette vitesse . restant néanmoins constante au cours de l'exécution d'un même travail.

3 ) Machine transportable pour découpage d'après les re- vendications 1 et 2, caractérisée par le fait que le chalumeau découpeur peut être déplacé dans le sens de la longueur de la machine, en équerre avec cette dernière, suivant des cercles ou des lignes irrégulières au moyen d'un gabarit, chaque sorte de déplacement du chalumeau étant commandé par un embrayage dis - tinct ce qui rend indépendant chacun des mouvements élémentai- res, l'un quelconque de ces derniers pouvant être embrayé ou débrayé.

4 ) Machine suivant les revendications de 1 à 3, caracté- risée par ce que toutes les directions de déplacement et toutes les sortes de déplacements du chalumeau sont indépendants des déplacements supplémentaires déterminés par des embrayages re- versibles, qui, bien qu'indépendants des embrayages principaux, peuvent être également mis en prise avec la commande principale.

5 ) Machine suivant les revendications de 1 à 4 , carac- térisée par le fait que tout déplacement secondaire du chalumeau indépendant des autres déplacements peut être commandé au voi- sinage du chalumeau découpeur par des poignées ou manettes dis- tinctes de façon à être dirigé sur n'importe quelle direction.

6 ) Machine suivant les revendications de 1 à 5, caracté- risée par le fait que tous les embrayages'correspondant aux différents modes de déplacement du chalumeau peuvent être commandés de l'extérieur, que ces derniers soient ou non <Desc/Clms Page number 11> dépendants de l'arbre principal (54)placé à l'intérieur du porte chal umeau.

L'arbre principal (22)pour les déplacements en équerre du porte-chalumeau commandant l'arbre intermédiaire(47), ce dernier étant protégé contre toute rotation.

7 ) Machine caractérisée par le fait que le dispositif d'entraînement se déplace sur des rails et se trouve protégé contre tout effet de bascule ou de renversement par un guidage à galets 9112) 8 ) Machine caractérisée par une commande par friction par roue lisse, cette commande étant réalisée par un galet de friction(7), mobile suivant l'axe prolongé de la machine motrice et qui, par un ressort agissant sur un palier(9)plaoé à l'ex- trémité du dit axe, applique continuellement le galet sur le cône (6 ).

9 ) Machine suivant revendication 8,caractérisée par le fait que la machine motrice peut se déplacer autour d'un axe vertical (10).

10 ) Machine suivant revendication 8, caractérisée par le fait que le galet de friction (7 ) peut être déplacé sur son arbre (17 ) au moyen de l'embrayage conique (16 ), 1 'arbre (15 ) et un volant (14).

Il ) Machine caraotérisée par le fait que l'arbre principal (22 ) peut être actionné par l'embrayage à friction 6,7 au moyen d'une chaîne et des roues à chaîne (19 ) et (21 ).

12 ) Machine d'après la revendication 11, caractérisée par le fait que l'arbre principal (22 ) peut être commandé à la main par l'embrayage réversible (27-28-29).

13 ) Machine caractérisée par le fait que le dispositif d'entraînement peut être relié à un rail de guidage (3 ) au moyen d'une roue moletée (38 ) commandée par un ressort.

14 ) Machine d'après la revendication 13, caractérisée par le fait que la commande de la roue moletée (38 ) est placée dans une enveloppe mobile (36 ) commandée par un ressort. <Desc/Clms Page number 12>

15 ) Machine d'après la revendication 13 , caractérisée par le fait que la roue moletée (38 ) peut être dégagée du rail de guidage par un dispositif (42-43 ) commandé à la main.

16 ) Machine caractérisée par le fait qu'un indicateur de vitesse commande par l'axe (12) de l'embrayage à friction per - met de suivre la vitesse de tous les déplacements du chalumeau.

17 ) Machine caractérisée par le fait que, sur le plateau (1) du dispositif d'entrafnement, se trouve placé un bras (45 ) sur lequel le porte-chalumeau (46 ) peut se déplacer.

18 ) Machine caractérisée par le fait qu'une roue moletée (Se) pouvant se déplacer à l'intérieur du,porte-chalumeau pour relier celui-ci au bras (45 ) peut être séparée de ce dernier par l'intermédiaire du volant à main (70 ).

19 ) Machine caractérisée, par le fait que le porte-chalu- meau peut être commandé à la main.

20 ) Machine caractérisée par le fait que le dispositif d'entraïnement est commandé par la tige (99) commandée elle - même par l' arbre principal (22) 21 ) Machine d'après la revendication 5, caractérisée par le fait que la fourchette d'embrayage du dispo sitif de commande est fixée sur une tige de commande dont les crans sont commandés par ressort.

22 ) Machine d'après la revendication 21 , caractérisée par le fait que les fourchettes d' embrayages peuvent être déplacées sur leur tige de commande au moyen d'un filetage pour la mise en prise correcte des roues coniques.