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BRE7 ETD'IMPORTNTION
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Raison So ci at e: 3rahtiî du stri e Péter Darmstadt et Ci e Go m b H. à Francfort s/Main.
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Maebines à tréfiler pour fils fins
On commit des machines 1 tréfiler pour fils fins, ayant deux tambours ci' étirage analogues à des cylindres qui sont commandés uniformément dans le même sens et entre lesquels sont placés les rilières.
Le fil est tiré d'une bobine alimentrice par l'un des tambours passe à travers une filière, est conduit.. ensuite vers l'autre tambour, et revient de celui-ci vers la premier tambour;il est ensuite conduit par un rouleau de guidage tournant autour d'un axe vertical dans la filière suivantp, pour passer sur le deu- xième tambour Le fil passant par les trous de plus en plus étroits des filières arrive finalement sur une bobine d' enrou- lament. Comme ce fil par son passage àtravers les filières s'allonge et devient continuellement plus mince, l'un des tambours
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ne peut pas le recevoir et le faire avancer dans la même mesure qu'il sort de l' autre tambour.
Il se produit, en conséquence,
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des pertuxtations dans l'étirage dJ1 fil, occasionnant la rupture de celui-ci.
Conformément à la présente invention, ces inconvénients sont évités grâce au fait que le fil n'est pas conduit directement, sur des cylindres de transport formant les tambours d'étirage,
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mais bien sur des bagues séparées montées sur les cylindres et pou" vant tourner indépendamment de ceux-ci. Ces bagues servant de tambour d'étirage sont mises en rotation par les cylindres d'une manière correspondante 1 la tension du fil sur chaque bague,par friction entre les cylindres et les bagues.
De cette facon chaque spire du fil devient pour ainsi dire indépendante des spires voisines toutes perturbations éventuelles n'affectent jamais qu'une bague séparement, laquelle y remédie
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par ce fait ci u a-1. e s 1 arrtte p en dant que les cylindres continuent leur rotation d'une manière uniforme et sans interruption.
Le mouvement des différentes bagues est d'autant plus lent que ces bagues sont placées plus près de la bobine de déroulement du
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fil, et est proportionnél à la tension croissante du fil, qui est dépendante de la diminution de son allongement, tension à laquelle correspond, à son tour, un frottement croissant, entré la surface interne de chaque bague et la surface externe des cylindres. Chaque
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1:,.,c; A."" nô@4, a . - à 118 -¯&yage à frottement glissant constamment et cela dans une mesure croissante de la bobine d'enroulement a la bobine de déroulement.
Les cylindres tournent à une vitesse correspondante à=-- xu4-tciÉ'jme caxoepnàm4s à la vitesse de rotation de la dernière bague, située près de la bobine d' enroulement.
Le dessin représente, à titre cl' exemple, une forme dlèxécut:Lon de la machine, suivant l' inv ention.
La fig.1 est une vue en plan et
La fig.2, une coupe entravers de la machine.
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La machine comprend deux cylindres d et d2,de tranport qui sont mis en rotation, dans le même sens, par les 'poulies i1 et i2
Entre les deux cylindres se trouvent les rouleaux de guidage pouvant tourner autour d'un axe vertical, et les filières e.
Vis à vis de l'une des extrémités du cylindre d1 se trouve la bobine alimentatrice r1 et vis à vis de l' extrémité opposée de l'autre cylindre d2 la bobine d' encoulement r2, pour le fil déoité, a
Stries cylindres d1et d2 se placent les bagues bl,b2 pouvant tourner librement sur ces cylindres et sur lesquelles les diffé- rentes spires du fil sont conduites.
Les bagues peuvent avoir, ainsi qu'il est indiqué au présent exemple, des rainures de guidage du fil a,mais dont on peut très bien se passer.
Le cylindre d2 tire vers le bas le fil a venant de la bobine alimentatrice R1 librement au-dessus du cylindre d1 et de ses bagues b1. Le fil a passe sur la première bague b2,puis saisies filières e et les rouleaux de guidage f, sur la première bague b1 du cylindre d1 et ensuite devant le rouleau de guidage f et à travers la première filière, sur la seconde bague b2 du cylindre d2 et ainsi de suite.
Grâce a ce fait que les différentes spires du fil passent sur les bagues b1 b2 tournant librement sur les cylindres de transport d1,d2 au lieu de passer directement sur les cylindres, ces spires sont préservées de toute nxpture.
Le frottement entre les bagues et les cylindres et aussi la vitesse de rotation des bagues sont proportionnés IL la tension dans le fil, consécutive à son allongement.
Les bagues peuvent, quand cela est nécessaire, s'arrêter et de cette manière éviter la rupture du fil pendant que les cylindres de transport continuent sans interruption leurmouvement