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" Régulateur automatique de tension du fil pour métiers à filer continus "
Dans les métiers à filer continus employés actuellement , on sait que la tension du fil dépend de certaines différences des vitesses linéaires, circonférentielles, et angulaires des or- ganes intéressés en mouvement et de certaines forces extérieures au système de certains couples et de certains moments.
On sait également que , systématiquement, levaleurs instan tanées d'équilibre sont variables comme découlant de données d'équilibre variables.elles-mêmes, et que sans rétablissement voulu d'équilibre , la tension du fil serait essentiellement va-
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riable depuis le commencement de l'enroulement , du fil for- mé , sur la bobine jusqu'à la fin ,soit au long du cours de la formation de la bobine. Il est donc nécessaire,pour mainte- nir cette tension toujours constante et égale à la valeur choisie, d'appliquer à la bobine un freinage mécanique sup- plémentaire dénommé en anglais "drag" mot bien connu des hom- mes de l'art français.
Lette résistance supplémentaire doit être calculée en fonction du diamètre instantané de renvidage pour obtenir la tension constante.
Dans la pratique actuelle, et spécialement dans la fla- ture de lin, l'ouvrière est astr inte L une surveillance incessante et à un travail très fatip-ant, car chaque in- stan elle doit déplacer les poids"drags" de manière à augmenter l'arc de contact de la bobine avec la ficelle de frein au fur et à mesure de l'enroulement. l'objet de la présente invention est un appareil compen- sateur automatique qui a pour but de donner au fil une 'tension- réglable pendant la formation de la bobine et de maintenir, automatiquement,cette tension constante pendant toute l'opéra- tion sans que l'ouvrier ait à intervenir pour toutes les broches comme pour chaque broche prise individuellement.
le principe de l'invention consiste à remplacer la crémaillère de monte et baisse, ou barre à "drags".ordi- nairement fixe dans les métiers à filer, par une barre à "drags" animée d'un mouvement intermittent et longitudinal au fur et à mesure des phases de formation des diverses couches de fil sur la bobine, augmentant le freinage à mesure que le diamètre de cette bobine augmente c'est à dire en fonction de l'épaisseur propre du fil terminé.
Sur les dessins annexés , on a représenté schématique- ment, et à titre d'exemple , une forme d'exécution de l'inven- tion appliquée à un métier continu à ailettes. la fig. 1 est une vue en élévation de face d'une portion
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du métier montrant le monte/et baisse supposé brisé et les liaisons avec l'appareil , caractéristique de l'invention.
La fig. 2 est -une vue correspondante en plan, la fig. 5 est une vue en coupe de la barre de monte et baisse et du montage des poids "drags" suivant l'axe x x de la fig.l.
La fig. 6 est une vue en coupe,suivant l'axe y y de la fig. 2 ces deux figures 5 et 6 étant à une échelle agrandie par rapport aux précédentes.
Enfin, les fig. 7 et 8 représentant , en coupe vertieale et en plan, un dispositif de montage spécial des bobines.
La crémaillère de monte et baisse ou barre à drags, sur les métiers exécutés suivant l'invention ,est remplacée par une barre continue et mobile 1 pouvant glisser,le long de la plaque de monte et baisse 0 , sur un chemin de galets 2 afin de diminuer les résistances de frottement. Sur cette barre 1 vient glisser une autre barre 3 avec interposition de galets ou non. Cette deuxième barre 3 est constamment solli- citée vers l'appareil de commande ,c'est à dire vers la gau- che , sur la fig.l au moyen d'un ressort 4 travaillant à la compression.
Des conduits représentés sur les fig.l et 5 , sous forme de galets 5 , sont montés par des supports à pivot 6 sur les pièces 7 (fig. 1 et 5) qui peuvent,' au moyen de cou - misses 8 , de vis de pression 9 , et de goujon de guidage 10 à tête 11 , être sujettes à un certain réglage longitudi- nal individuel.
Les organes 5 sont en nombre égal à celui des broches, et présentent dans le fonctionnement normal du métier un écarte- ment correspondant.
Au bord opposé de la plaque de monte et baisse 0 est fixée une autre barre 12 qui , dans certaines limites, peut être réglée en position longitudinale par rapport à la plaque de monte et baisse elle-même.
Cette barre supporte des blocs 13 percés d'un oeillet
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et pouvant pivoter librement sur elle autour des axes 14 .La corde de frein 15 est fixée par son extrémité libre à la pièce 13 , en passant au travers de l'oeillet, et au moyen d'un noeud 16 de la manière habituelle.
Les oeillets 13 peuvent être soit complètement fermés, soit fendus à leur extrémité! supérieure pour faciliter le montage de la corde. La corde 15 passe dans un plan horizon- tal , en s'appliquant sur une certaine partie de la circon- férence de la gorge du cul de bobine, puis sur le conduit
5 et se termine par un poids drag 17.
L'extrémité de la barre 1 , du côté de l'appareil de comman- de .c'est à dire vers la gauche de la fig.l est articulée en un point 18 sur un sabot 19 , capable de glisser sur le bord de la plaque de monte et baisse et portant un bossage 20 qui est relié , de manière réglable, par une pièce convenablement profilée 21 à une chape 22 oscillant librement autour d'un axe 23 solidaire d'une, pièce plate 24.
La pièce 24 est montée sur des barres rondes 25 , 25 qui peuvent glisser librement dans les douilles 26 ,26 a d'un support 27 invariablement fixé à , et rendu solidaire par tous moyens appropriés de la plaque de monte et baisse.
Les tiges 25 ,25a sont fixées à leurs extrémités opposées à une pièce 28 percée d'une fenêtre ou coulisse longitudinale 29 . La fenêtre29 reçoit un bouton de manivelle 30 qui peut être rendu solidaire , au moyen d'écrous 31 , d'un plateau 32, sur lequel le bouton 30 est réglable radialement au moyen d'une vis 33 munie d'écrou et contre-écrou , et de la coulisse 34.
Le plateau ou tambour 32 présente une autre coulisse radiale 35 préférablement dans le prolongement de la coulisse 24 et au moyen de laquelle il peut être animé d'un mouvement de rotation suivant une certaine loi de variation angulaire, au moyen du tourillon 37 celui-ci grâce au bouton de réglage et de fixation 3b .
Afin de permettre la libre rotation du tambour 32 par rap-
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port à la couronne 39 , ce tambour est monté sur des roulements à billes,on analogues 40.-
La couronne 39 , dont le corps est solidaire de la pla- que de monte et baisse 0 .supporte une couronne à denture intérieure 30a engrenant avec la denture du pignon satellite 36 , le rapport de transmission de ces deux engrenages étant préférablement de 1/2.
Par simple réglage du bouton 38 et du maneton 30 on peut obtenir toute une gamme de lois et d'amplitudes de déplace- ments de la barre 1 et conséquemment des conduits 5 de cor- des à freins.
Le pignon satellite 36 tourne fou sur un tourillon 41 , solidaire d'un plateau 42 , calé sur un axe 43 portant à son extrémité postérieure une roue d'engrenage 44 convenablement goupillée.
La roue 44 (fig.3 et 4 ). engrené avec un pignon 45 calé sur la douille d'une roue à vis sans fin 46 montée sur un axe 47 qui tourne dans une douille d'un support 48 également solidaire de la plaque de monte et baisse,support dont une chape supérieure reçoit les axes d'une vis sans fin 46.
Cette vis sans fin est solidaire d'une roue à rochet 50 , en prise avec des cliquets 51 , 51a constamment sollici- tés à l'engrènement avec le rochet au moyen de ressorts 52 ,52a.
Les cliquets 51 , 51a grâce aux axes 53 ,53a sont eux- mêmes solidaires d'un disque ou plateau 55 qui porte des pro- longements 56 et 57 de forme convenable. Les extrémités de ces prolongements sont munies de bossages 58 et 59.
Suivant les axes de chacun de ces bossages se trouvent. - des butées constituées par des tiges filetées 60 et 61 qui , au moyen de ressorts à boudin ou autres et d'écrous- et contre écrous .peuvent être réglées en position longitudinales dans des douilles respectives 62 et 63 percées de fenêtres graduées
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64 , un index tracé sur la 'tige permettant pour le réglage, de repérer exactement la position des butées d'après l'échel le graduée.
La butée formée de l'ensemble 61-62 est reliée à la bar- re de monte et baisse par un support convenable 65 ,représen- té brisé sur la fig. 3 tandis que l'ensemble de la butée 60-
63 est rendu solidaire du bâti' 66 du métier,c'est à dire dans l'espace , par rapport aux déplacements des organes en mouvement
Un ressort à boudin 67 travaillant constamment à la traction et réglable au moyen d'écrou et contre-écrou,relie d'une part le support 65 de la butée 61 et d'autre part le bras 56 du disque 55 au point 68. De la sorte , l'action du ressort 67 sollicite constamment l'un vers l'autre le bossage 56 et la butée 61.
La combinaison des organes mécaniques décrits fonctionne comme suit :
Si l'on suppose des bobines 69 vides et placées sur le métier, le monte et baisse étant en haut de sa course, on commencera par régler la barre postérieure 12 de façon à ce que les cordes 15 viennent au contact de la gorge du cul de bobine le long d'un développement correspondant à un angle ss voulu .
On amènera la barre 12 dans cette position au moyen du dispositif représenté en plan fig.2 et en coupe verticale fig.
6 et qui consiste en un arbre 70 sur lequel est calé un sec- teur denté 71 engrenant avec une crémaillère 72 fixée à la face inférieure de la barre 12.
Par le déplacement de cette barre on a amené des oeillets 13 au point correspondant à la valeur recherchée pour l'angle ss.On cale le secteur 71 en position en agissant sur l'écrou à poignée 75 qui , par l'intermédiaire d'une rondelle vient forcer la manivelle de manoeuvre 74 sur son embase (fig.6).
Au moment du départ du métier, ou de sa remise en marche on commence, en manoeuvrant le levier 75 dans le sens de la
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flèche 76 , par repousser dans le sens opposé à la commande du mouvement l'ensemble de la barre 1 de manière à faciliter le départ des bobines.
Des butées 77 ,78 sont respectivement fixées à l'extrémi- té de la barre 1 et à l'extrémité de la plaque de monte et baisse.
Le réglage de ces butées sera toujours effectué de maniè- re que l'angle 3 correspondant au développement de la partie restante de la corde de frein sur la gorge de la bobine soit sensiblement nul en début de levée. La butée 78 est montée à charnière de façon à permettre le cas échéant d'aug- menter encore la course de dégagement.
On règle alors la position des butées 60 et 61 suivant l'échelle graduée tracée sur les douilles 63 et 62 établie d'après certains calculs qui dépendent essentiellement des numéros des fils à exécuter sur le métier.
On met ensuite le métier en marche , c'est à dire que , si l'on est partie de la position supérieure du monte et baisse , celui- ci commence à s'abaisser, puis,par les organes mécaniques connus reprend une course ascendante. Lorsqu'il arrive à nouveau au haut de sa course,le bossage 59 qui , comme on le dit plus haut, par l'intermédiaire de divers organes est relié au monte et baisse 0 , vient frapper sur l'extrémité de la butée 60 .tendant à faire tourner l'ensemble des bras 57 et 56 dans le sens de la flèche 78.
Dans ces con- ditions,les cliquets 51 et 51a se trouvent en prise avec les dents du rochet 50 et font tourner celui-ci d'un certain nombre de dents, pendant une certaine partie de la course ascen- dante du monte et baisse grâce au réglage de la butée 60 , la butée 61 servant simplement à limiter la course du bras 56 à une valeur angulaire au moins égale à celle de la cour- se du bras 57.
Dès que le monte et baisse à commencé de redescendre, l'action du ressort 67 remet en accrochage les cliquets
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51 et 51a avec les dents du rocket , et l'app&reil de comman- de du déplacement des conduits des drags est prêt pour une opération suivante.
On remarquera que la rotation du rochet 50a entraîné celle de la vis sans fin 49 et de là , par l'intermédiaire des roues 46 , 45 ,44 de l'arbre 43 , du plateau 42 et du pignon satellite 36 ,a provoqué une rotation du tambour 32 transformée en mouvement linéaire de translation par les organes décrits.
Le sens du mouvement étant prévu à l'avance, il s'ensuit qu'au moment où le monte et baisse parti du haut de sa course revient au haut de sa course,la barre 1 et la barre 3 suppor- tées par lui,ainsi que les guide-fils 5, se sont déplacés vers la gauche de la fig.1 d'une eertaine quantité , de sorte que l'angle Ó de contact des cordes à frein avec les gorges des bobines a été augmenté automatiquement et de la quantité pré- vue et cela pour toutes les bobines à la fois.
Au fur et à mesure du. fonctionnement du métier, et cha- que fois que le monte et baisse revient au haut de sa course, le même changement se produit , de telle façon qu'à chaque oscillation complète du monte et baisse succède une nouvelle augmentation de l'angle de contact de freinage, augmentation qui est essentiellement intermittente et qui correspond exac- tement à la formation d'une nouvelle couche de fil.
Lorsque la bobine est terminée et qu'il s'agit de remet- tre le métier en marche pour une nouvelle levée, il suffira en agissant sur la manivelle 79 de faire tourner la vis sans fin 49 ,sur laquelle elle est calée, en sens inverse du mouvement précédent de manière à ramener l'ensemble des organes au point de départ ,et si le numéro du fil de la levée suivante est le même que précédemment on' remettra le métier en marche comme décrit ci-dessus,les mêmes phases se représentant jusqu'à la fin de l'opération de filage.
Les figs.7 et 8 donnent en coupe verticale et en plan
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un dispositif particulier/de bobine applicable à l'invention.
Dans ce cas, la bobine 69 présente une embase 69a unie, dans laquelle est pratiqué un logement 69b. Grâce à ce dispo- sitif on peut appliquer l'action des cordes de frein au moyen d'une rondelle métallique tournée et baguée 80 présentant une gorge 81 et une goupille d'esquive 82 qui la rend soli- daire de la bobine pour la rotation en s'introduisant dans le logement 69b.
L'avantage de ce dernier dispositif est que l'on est ainsi assuré de l'uniformité et de la régularité des gorges pour toutes les bobines.
Il restera bien entendu que tous changements de matières constitutives des organes décrits ou tous changements d'orienta- tion de ces arganes l'un par"rapport à l'autre ou tous chan- gements de détails d'exécution ne pourront être considérés com- me sortant du domaine de l'invention.
REVENDICATIONS.
1. Un régulateur automatique de tension du fil pour mé- tiers à filer continus, comprenant une barre à drags continue et mobile glissant sur un chemin de galets le long du bord an- térieur de la plaque de monte et baisse.
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"Automatic thread tension regulator for continuous spinning machines"
In the continuous spinning looms currently employed, it is known that the tension of the yarn depends on certain differences in the linear, circumferential and angular speeds of the moving organs concerned and on certain forces external to the system of certain torques and certain moments.
It is also known that, systematically, instantaneous equilibrium values are variable as arising from variable equilibrium data themselves, and that without the desired reestablishment of equilibrium the tension of the thread would be essentially variable.
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from the beginning of winding, of the formed wire, on the spool to the end, ie along the course of the formation of the spool. It is therefore necessary, in order to maintain this tension always constant and equal to the chosen value, to apply an additional mechanical braking to the coil, called in English "drag", a word well known to those skilled in the French art. .
This additional resistance must be calculated based on the instantaneous winding diameter to obtain constant tension.
In actual practice, and especially in flax flax, the worker is very involved in incessant surveillance and very tiring work, because at each instant she has to move the "drags" weights so as to increase the arc of contact of the coil with the brake string as it is wound. the object of the present invention is an automatic compensating apparatus the object of which is to give the yarn an adjustable tension during the formation of the spool and to maintain, automatically, this tension constant during the whole operation without that the worker has to intervene for all the pins as for each pin taken individually.
the principle of the invention consists in replacing the raising and lowering rack, or "drag" bar, usually fixed in spinning looms, by a "drag" bar animated by an intermittent and longitudinal movement. and as the various layers of wire are formed on the spool, increasing the braking as the diameter of this spool increases, that is to say as a function of the inherent thickness of the finished wire.
In the accompanying drawings, there is shown schematically, and by way of example, an embodiment of the invention applied to a continuous loom with fins. fig. 1 is a front elevational view of a portion
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of the trade showing the supposedly broken rise / fall and the connections with the device, characteristic of the invention.
Fig. 2 is a corresponding plan view, FIG. 5 is a sectional view of the raising and lowering bar and of the mounting of the "drags" weights along the axis x x of fig.l.
Fig. 6 is a sectional view, along the axis y y of FIG. 2 these two figures 5 and 6 being on an enlarged scale compared to the previous ones.
Finally, Figs. 7 and 8 showing, in vertical section and in plan, a special device for mounting the coils.
The raising and lowering rack or drag bar, on looms executed according to the invention, is replaced by a continuous and movable bar 1 which can slide, along the raising and lowering plate 0, on a roller path 2 in order to reduce friction resistance. On this bar 1 slides another bar 3 with interposition of rollers or not. This second bar 3 is constantly urged towards the control unit, that is to say to the left, in FIG. 1 by means of a spring 4 working in compression.
Ducts shown in fig. 1 and 5, in the form of rollers 5, are mounted by pivot supports 6 on the parts 7 (fig. 1 and 5) which can, by means of joints 8, with screws pressure 9, and guide pin 10 to head 11, be subject to some individual longitudinal adjustment.
The members 5 are equal in number to that of the pins, and in normal operation of the loom have a corresponding distance.
At the opposite edge of the raising and lowering plate 0 is fixed another bar 12 which, within certain limits, can be adjusted in a longitudinal position with respect to the raising and lowering plate itself.
This bar supports blocks 13 pierced with an eyelet
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and being able to pivot freely on it around the axes 14. The brake rope 15 is fixed by its free end to the part 13, passing through the eyelet, and by means of a knot 16 in the usual way.
The eyelets 13 can be either completely closed or slit at their end! upper to facilitate the assembly of the rope. The rope 15 passes in a horizontal plane, applying over a certain part of the circumference of the throat of the coil end, then on the conduit
5 and ends with a drag weight 17.
The end of the bar 1, on the side of the control device, that is to say towards the left of FIG. 1, is articulated at a point 18 on a shoe 19, capable of sliding on the edge of the up and down plate and carrying a boss 20 which is connected, in an adjustable manner, by a suitably profiled part 21 to a yoke 22 freely oscillating about an axis 23 integral with a flat part 24.
The part 24 is mounted on round bars 25, 25 which can slide freely in the sockets 26, 26 a of a support 27 invariably fixed to, and made integral by any suitable means with the raising and lowering plate.
The rods 25, 25a are fixed at their opposite ends to a part 28 pierced with a window or longitudinal slide 29. The window 29 receives a crank button 30 which can be made integral, by means of nuts 31, with a plate 32, on which the button 30 is radially adjustable by means of a screw 33 provided with a nut and locknut. , and slide 34.
The plate or drum 32 has another radial slide 35 preferably in the extension of the slide 24 and by means of which it can be driven in a rotational movement according to a certain law of angular variation, by means of the journal 37 thereof. thanks to the adjustment and fixing knob 3b.
In order to allow the free rotation of the drum 32 with respect to
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port to the crown 39, this drum is mounted on ball bearings, one analogues 40.-
The ring 39, the body of which is integral with the raising and lowering plate 0. Supports an internally toothed ring gear 30a meshing with the toothing of the satellite pinion 36, the transmission ratio of these two gears being preferably 1/2 .
By simply adjusting the knob 38 and the crankpin 30, a whole range of laws and amplitudes of movement of the bar 1 and consequently of the brake horn conduits 5 can be obtained.
The satellite pinion 36 turns idle on a journal 41, integral with a plate 42, wedged on a pin 43 carrying at its rear end a gear wheel 44 suitably pinned.
The wheel 44 (fig. 3 and 4). meshed with a pinion 45 wedged on the socket of a worm wheel 46 mounted on an axis 47 which rotates in a socket of a support 48 also integral with the raising and lowering plate, support of which an upper yoke receives the worm axles 46.
This endless screw is integral with a ratchet wheel 50, engaged with pawls 51, 51a constantly urged to engage with the ratchet by means of springs 52, 52a.
The pawls 51, 51a thanks to the axes 53, 53a are themselves integral with a disc or plate 55 which carries extensions 56 and 57 of suitable shape. The ends of these extensions are provided with bosses 58 and 59.
Along the axes of each of these bosses are located. - stops constituted by threaded rods 60 and 61 which, by means of coil springs or others and nuts and against nuts. can be adjusted in longitudinal position in respective sockets 62 and 63 pierced with graduated windows
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64, an index traced on the 'rod allowing for the adjustment, to mark the exact position of the stops according to the graduated scale.
The stop formed by the assembly 61-62 is connected to the raising bar and lowering by a suitable support 65, shown broken in FIG. 3 while the entire stopper 60-
63 is made integral with the frame '66 of the trade, that is to say in space, with respect to the displacements of the moving parts
A coil spring 67 constantly working in traction and adjustable by means of a nut and locknut, connects on the one hand the support 65 of the stop 61 and on the other hand the arm 56 of the disc 55 at point 68. From in this way, the action of the spring 67 constantly urges the boss 56 and the stop 61 towards each other.
The combination of the mechanical parts described works as follows:
If we assume the reels 69 empty and placed on the loom, the up and down being at the top of its course, we will begin by adjusting the rear bar 12 so that the strings 15 come into contact with the throat of the ass of coil along a development corresponding to a desired angle ss.
The bar 12 will be brought into this position by means of the device shown in plan fig.2 and in vertical section fig.
6 and which consists of a shaft 70 on which is wedged a toothed sector 71 meshing with a rack 72 fixed to the underside of the bar 12.
By moving this bar, eyelets 13 have been brought to the point corresponding to the desired value for the angle ss. The sector 71 is wedged in position by acting on the handle nut 75 which, by means of a washer forces the operating crank 74 on its base (fig.6).
At the time of the departure of the loom, or its restarting, we begin, by operating the lever 75 in the direction of the
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arrow 76, by pushing the entire bar 1 in the opposite direction to the movement control so as to facilitate the departure of the reels.
Stops 77, 78 are respectively fixed to the end of the bar 1 and to the end of the raising and lowering plate.
The adjustment of these stops will always be carried out so that the angle 3 corresponding to the development of the remaining part of the brake rope on the groove of the reel is substantially zero at the start of lifting. The stop 78 is hinged so as to make it possible, if necessary, to further increase the clearance stroke.
The position of the stops 60 and 61 is then adjusted according to the graduated scale drawn on the sockets 63 and 62 established according to certain calculations which depend essentially on the numbers of the threads to be executed on the loom.
We then start the loom, that is to say that, if we have started from the upper position of the rise and fall, it begins to lower, then, by known mechanical parts resumes an upward stroke . When it arrives again at the top of its travel, the boss 59 which, as stated above, by means of various organs is connected to the up and down 0, hits the end of the stop 60. tending to rotate the assembly of arms 57 and 56 in the direction of arrow 78.
Under these conditions, the pawls 51 and 51a are in engagement with the teeth of the ratchet 50 and cause the latter to rotate by a certain number of teeth, during a certain part of the upstroke of the up and down stroke. when adjusting the stop 60, the stop 61 serving simply to limit the stroke of the arm 56 to an angular value at least equal to that of the stroke of the arm 57.
As soon as it goes up and down has started to go down, the action of the spring 67 puts the pawls back into latching.
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51 and 51a with the rocket teeth, and the drag duct displacement control unit is ready for a next operation.
It will be noted that the rotation of the ratchet 50 has driven that of the worm 49 and from there, via the wheels 46, 45, 44 of the shaft 43, the plate 42 and the planet gear 36, caused a rotation of the drum 32 transformed into linear translational movement by the members described.
The direction of movement being planned in advance, it follows that when the up and down, starting from the top of its course, returns to the top of its course, bar 1 and bar 3 supported by it, as well as the thread guides 5, have moved to the left of fig. 1 by a certain amount, so that the contact angle Ó of the braked cords with the grooves of the spools has been automatically increased and planned quantity for all coils at the same time.
As and when. operation of the loom, and each time the rise and fall returns to the top of its stroke, the same change occurs, so that each complete oscillation of the rise and fall follows a further increase in the contact angle braking rate, an increase which is essentially intermittent and which corresponds exactly to the formation of a new layer of yarn.
When the reel is finished and it is a question of restarting the loom for a new lifting, it will suffice by acting on the crank 79 to turn the worm 49, on which it is wedged, in the direction reverse of the previous movement so as to bring all the components back to the starting point, and if the number of the thread of the next lift is the same as previously, the loom will be restarted as described above, the same phases will be followed. representing until the end of the spinning operation.
Figs. 7 and 8 give in vertical section and in plan
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a particular device / coil applicable to the invention.
In this case, the coil 69 has a plain base 69a, in which a housing 69b is made. Thanks to this device, the action of the brake ropes can be applied by means of a turned and ringed metal washer 80 having a groove 81 and a dodging pin 82 which makes it integral with the spool for rotation. by entering the housing 69b.
The advantage of the latter device is that it is thus ensured of the uniformity and the regularity of the grooves for all the coils.
It will be understood, of course, that any changes in the constituent materials of the organs described or any changes in orientation of these organs with respect to each other or any changes in the details of execution cannot be considered as complete. outside the scope of the invention.
CLAIMS.
1. An automatic thread tension regulator for continuous spinning looms, comprising a continuous and movable drag bar sliding on a roller path along the leading edge of the up and down plate.