BE1022263B1 - Batiment a ossature en bois - Google Patents

Batiment a ossature en bois Download PDF

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BE1022263B1 BE2014/0168A BE201400168A BE1022263B1 BE 1022263 B1 BE1022263 B1 BE 1022263B1 BE 2014/0168 A BE2014/0168 A BE 2014/0168A BE 201400168 A BE201400168 A BE 201400168A BE 1022263 B1 BE1022263 B1 BE 1022263B1
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    • E04—BUILDING
    • E04B—GENERAL BUILDING CONSTRUCTIONS; WALLS, e.g. PARTITIONS; ROOFS; FLOORS; CEILINGS; INSULATION OR OTHER PROTECTION OF BUILDINGS
    • E04B1/00—Constructions in general; Structures which are not restricted either to walls, e.g. partitions, or floors or ceilings or roofs
    • E04B1/348—Structures composed of units comprising at least considerable parts of two sides of a room, e.g. box-like or cell-like units closed or in skeleton form
    • E04B1/34815—Elements not integrated in a skeleton
    • E04B1/34838—Elements not integrated in a skeleton the supporting structure consisting of wood
    • E—FIXED CONSTRUCTIONS
    • E04—BUILDING
    • E04G—SCAFFOLDING; FORMS; SHUTTERING; BUILDING IMPLEMENTS OR AIDS, OR THEIR USE; HANDLING BUILDING MATERIALS ON THE SITE; REPAIRING, BREAKING-UP OR OTHER WORK ON EXISTING BUILDINGS
    • E04G21/00—Preparing, conveying, or working-up building materials or building elements in situ; Other devices or measures for constructional work
    • E04G21/14—Conveying or assembling building elements
    • E04G21/142—Means in or on the elements for connecting same to handling apparatus

Abstract

L'invention concerne un bâtiment (1) à ossature (10) en bois comportant des montants (20) et des traverses (30). Le bâtiment comporte en outre des moyens de fixation (50) qui sont attachés de manière à une partie inférieure (10a) de l'ossature. Des barres de levage (40) verticales attachées aux moyens de fixation. Lesdites barres de levage présentent des moyens d'accroché (60) à leur extrémité supérieure (40b). Lorsque le bâtiment est muni desdites barres de levage (40) et que celles-ci sont attachées à l'ossature par les moyens de fixation, il peut être facilement soulevé et redéposé par les moyens d'accroché, tout en limitant le risque d'endommager le bâtiment et/ou en réduisant les contraintes de traction sur le bâtiment.

Description

BATIMENT A OSSATURE EN BOIS Domaine de l’invention L’invention se rapporte au domaine des bâtiments à ossature en bois.
Plus particulièrement, l’invention se rapporte à un bâtiment à ossature en bois préfabriqué et transportable entre le lieu de sa fabrication et le lieu de son implantation. L’invention se rapporte aussi à une méthode de fabrication d’un tel bâtiment. État de la technique
La construction à ossature en bois est une technique de plus en plus utilisée pour la réalisation de bâtiments. Le système constructif de l'ossature bois consiste à ériger une structure formée par un assemblage de pièces verticales en bois (souvent appelées les montants), et de pièces horizontales en bois, (souvent appelées les traverses et/ou entretoises). Sur cette ossature, supportant généralement planchers et toiture, sont fixés des parements intérieurs et extérieurs assurant le contreventement et entre lesquels est généralement inséré un isolant thermique.
Vu son faible poids par rapport à d’autres types de construction, un tel bâtiment peut être préfabriqué en usine et puis transporté vers le lieu final de son implantation.
Dans ce cas, le bâtiment doit faire l’objet de transbordements, par exemple de l’usine de préfabrication vers un camion servant au transport du bâtiment, puis du camion vers le lieu final d’implantation du bâtiment, ce qui implique de devoir soulever et déposer le bâtiment un certain nombre de fois.
Il existe plusieurs techniques pour permettre le transbordement du bâtiment.
Une technique bien connue et actuellement largement utilisée, consiste à entourer le bâtiment de sangles passant par en dessous le bâtiment et de le soulever puis de le déposer au moyen d’une grue ou tout autre engin de levage, éventuellement en faisant appel à un ou plusieurs palonniers afin de réduire les contraintes sur le bâtiment. Cette technique présente entre-autres les désavantages que les sangles peuvent endommager le bâtiment, qu’elles peuvent glisser et ainsi représenter un sérieux risque de sécurité, et qu’il n’est pas toujours aisé ou même possible de faire passer les sangles par en dessous le bâtiment, voir de les retirer après dépose du bâtiment sur son lieu final d’implantation.
Une autre technique consiste à munir le bâtiment de barres horizontales traversant de part en part une partie supérieure du bâtiment et de soulever le bâtiment par les extrémités débordantes de ces barres. Cette technique présente entre-autres le désavantage que le bâtiment doit supporter la traction découlant de son propre poids.
Encore une autre technique consiste à faire reposer le bâtiment sur un support, par exemples des barres horizontales placées en dessous du bâtiment, et de soulever le support. Cette technique présente entre-autres le désavantage qu’elle nécessite la mise en place et le retrait dudit support, ce qui est fastidieux et pas toujours possible. De plus, si les supports sont mal placés, cela peut causer des dégâts au bâtiment, voir poser de sérieux problèmes de sécurité. Résumé de l’invention
Un but de l’invention est de fournir un bâtiment à ossature en bois qui puisse être facilement soulevé et redéposé tout en résolvant au moins partiellement les problèmes liés aux techniques de transbordement des bâtiments connus. L’invention est définie par les revendications indépendantes. Les revendications dépendantes définissent des modes de réalisation préférés de l’invention.
Selon l’invention il est fourni un bâtiment à ossature en bois, ladite ossature comprenant une pluralité de montants en bois et une pluralité de traverses en bois reliant lesdits montants entre eux, caractérisé en ce que le bâtiment comporte en outre une pluralité de barres de levage verticales, une extrémité inférieure de chaque barre de levage étant munie de moyens de fixation de la barre de levage à une partie inférieure de l’ossature, une extrémité supérieure de chaque barre de levage étant munie de moyens d’accroche.
Un tel bâtiment peut en effet être soulevé et redéposé facilement par les moyens d’accroche. Par ailleurs, le fait qu’une extrémité inférieure de chaque barre de levage est munie de moyens de fixation de la barre de levage à une partie inférieure de l’ossature permet de soulever la bâtiment par ladite partie inférieure de l’ossature, de sorte que seules les barres de levage seront mises en traction, alors que l’ossature en bois sera mise en compression de manière normale, comme lorsqu’elle est posée au sol.
De préférence, chaque moyen d’accroche dépasse par le haut d’une partie supérieure du bâtiment. Ceci permet d’accéder plus facilement aux moyens d’accroche, en particulier par le haut du bâtiment, comme cela est le cas lorsque le bâtiment est soulevé au moyen d’une grue par exemple. Cela permet aussi de réduire le risque que des câbles de levage viennent toucher le bâtiment lorsque ces câbles sont reliés aux moyens d’accroche.
De préférence, chaque moyen de fixation est relié de manière amovible à sa barre de levage. Ceci permet de retirer les barres de levage après dépose du bâtiment sur son lieu final d’implantation, et de réutiliser lesdites barres de levage pour un autre bâtiment.
Brève description des figures
Ces aspects ainsi que d’autres aspects de l’invention seront clarifiés dans la description détaillée de modes de réalisation particuliers de l’invention, référence étant faite aux dessins des figures, dans lesquelles :
Fig. 1 montre schématiquement une vue en coupe d’un mode de réalisation d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.2 montre schématiquement un mode de réalisation d’une barre de levage d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.3 montre une vue plus détaillée de la partie inférieure de la barre de levage de la Fig. 2;
Fig.4 montre une vue de la partie inférieure d’un mode de réalisation préféré d’une barre de levage d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.5 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’un mode de réalisation d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.6 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’un autre mode de réalisation d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.7 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’encore un autre mode de réalisation d’un bâtiment selon l’invention;
Fig.8 montre schématiquement une vue en coupe d’un mode de réalisation d’une construction comportant une pluralité de bâtiments selon l’invention.
Les dessins des figures ne sont ni à l’échelle, ni proportionnés. Généralement, des éléments semblables sont dénotés par des références semblables dans les figures.
Description détaillée de modes de réalisation de l’invention
La Fig. 1 montre schématiquement une vue en coupe d’un mode de réalisation d’un bâtiment (1) selon l’invention.
Il s’agit d’un bâtiment (1) à ossature (10) en bois, ladite ossature comprenant une pluralité de montants (20) en bois et une pluralité de traverses en bois reliant lesdits montants entre eux. Pour la clarté, la Fig. 1 montre une coupe d’un bâtiment (1) sous sa plus simple expression, par exemple un bâtiment ayant la forme d’un parallélépipède rectangle, mais il est évident que le bâtiment peut avoir des formes bien plus complexes. Toujours pour des raisons de clarté, la Fig. 1 ne montre que l’ossature (10) du bâtiment (1), mais il est évident que le bâtiment comporte d’autres parties telles que planchers, contreventements, toiture, etc... . En soi, de tels bâtiments sont bien connus de l’état de la technique et ne seront donc pas décrits plus en détail ici.
Selon l’invention, le bâtiment (1) comporte en outre une pluralité de barres de levage (40) verticales. Toujours pour des raisons de clarté, la Fig. 1 ne montre qu’une seule barre de levage (40), mais il est évident qu’il peut en comporter plusieurs. De préférence le bâtiment (1) comporte au moins trois barres de levage (40). De manière plus préférée, le bâtiment (1) comporte au moins quatre barres de levage (40), par exemple disposées aux quatre coins du bâtiment (1) lorsque la base du bâtiment a une forme rectangulaire.
Une extrémité inférieure (40a) de chaque barre de levage (40) est munie de moyens de fixation de la barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10). Une extrémité supérieure de chaque barre de levage (40) est munie de moyens d’accroche.
Lorsque le bâtiment (1) est muni de ses barres de levage (40) et que ces dernières sont attachées à la partie inférieure (10a) de l’ossature (10), il devient possible de soulever le bâtiment par les moyens d’accroche (60). A cette fin, et de préférence, chaque moyen d’accroche (60) dépasse par le haut d’une partie supérieure du bâtiment (1).
De préférence, les extrémités supérieures (40b) des barres de levage (40) passent au travers d’une traverse (30) supérieure de l’ossature (10) du bâtiment (1), comme illustré à la Fig.1. Alternativement ou complémentairement, les extrémités supérieures (40b) des barres de levage (40) sont reliées entre elles directement ou indirectement par des pièces horizontales maintenant lesdites extrémités à distance, ceci afin d’éviter que les barres de levage (40) ne plient lorsque leurs moyens d’accroche (60) sont reliés par un point central, comme cela pourrait être le cas lorsque le bâtiment (1) est soulevé par les moyens d’accroche (60) via des élingues obliques.
Chaque barre de levage (40) peut être en une seule pièce ou bien en plusieurs pièces pouvant être assemblées entre elles. La Fig.2 montre schématiquement un mode de réalisation d’une barre de levage (40) d’un bâtiment (1) selon l’invention. Dans cet exemple, la barre de levage (40) comporte trois pièces qui peuvent être assemblées pour n’en former qu’une : des moyens de fixation (50), une tige verticale (40c), et des moyens d’accroche (60).
Les moyens de fixation peuvent par exemple comporter une plaque (55) horizontale présentant un premier trou taraudé. L’extrémité inférieure (40a) de la tige (40c) comporte alors un premier filetage correspondant audit premier trou taraudé, de manière à pouvoir visser la tige (40c) dans le premier trou taraudé.
Les moyens d’accroche (60) peuvent par exemple comporter un anneau (65) ou un crochet. Les moyens d’accroche (60) peuvent être reliés de manière fixe ou amovible à la tige (40c). Dans ce dernier cas, tel qu’illustré à la Fig.2, les moyens d’accroche (60) peuvent par exemple comporter un deuxième trou taraudé. L’extrémité supérieure (40b) de la tige (40c) comporte alors un deuxième filetage correspondant audit deuxième trou taraudé, de manière à pouvoir visser les moyens d’accroche (60) sur l’extrémité supérieure (40b) de la tige (40c). De préférence, le premier filetage a le même diamètre et le même pas que le deuxième filetage et le premier trou taraudé a le même diamètre et le même pas que le deuxième trou taraudé.
Bien d’autres moyens de fixation amovible de la tige (40c) aux moyens d’accroche (60) et/ou de la tige (40c) aux moyens de fixation (50) peuvent être envisagés, tel que des mécanismes à baïonnette par exemple.
De préférence, chaque barre de levage (40) est métallique.
La Fig.3 montre une vue plus détaillée de la partie inférieure (40a) de la barre de levage (40) de la Fig. 2. On y voit le premier filetage à l’extrémité inférieure (40a) de la tige ainsi que le premier trou taraudé dans les moyens de fixation (50). Les moyens de fixation (50) peuvent par exemple comporter une plaque (55) horizontale sur la face supérieure de laquelle est fixé (par exemple soudé) un écrou.
De préférence, les moyens de fixation (50) comportent au moins un trou traversant (58), ce qui permet par exemple de visser ou de clouer les moyens de fixation (50) sur l’ossature (10).
De préférence, l’extrémité inférieure (40a) de chaque tige est fuselée, comme illustré à la Fig.4, ce qui permet de plus facilement engager la tige dans les moyens de fixation, en particulier si ces parties ne sont pas ou peu visibles lors de l’assemblage.
La Fig.5 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’un mode de réalisation d’un bâtiment (1) selon l’invention. Dans cet exemple, les moyens de fixation (50) sont insérés par le dessous, dans un trou traversant une traverse inférieure (30) de l’ossature. On peut alors attacher les moyens de fixation (50) à ladite traverse (30). La tige de la barre de levage (40) peut ensuite être insérée par le haut jusqu’à entrer en contact et être reliée aux moyens de fixation (50). De préférence, au moins une barre de levage (40) (et donc ses moyens de fixation) est située à proximité d’un montant (20) de l’ossature, ce qui permet de réduire les tensions dans la traverse (30) lorsque le bâtiment est soulevé.
La Fig.6 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’un autre mode de réalisation d’un bâtiment (1) selon l’invention. Dans cet exemple, au moins une barre de levage (40) est au moins partiellement entourée de plusieurs montants (20), ce qui permet de réduire encore plus les tensions dans la traverse (30) lorsque le bâtiment est soulevé.
La Fig.7 montre schématiquement une vue en coupe partielle de la partie inférieure d’encore un autre mode de réalisation d’un bâtiment (1) selon l’invention. Dans cet exemple, au moins une barre de levage (40) traverse au moins un montant (20), par exemple au travers d’un trou vertical ménagé dans ledit montant (20), ce qui permet de réduire encore plus les tensions dans la traverse (30) lorsque le bâtiment est soulevé, et ce qui permet aussi de cacher les moyens de fixation.
De tels bâtiments se prêtent bien à la construction par modules. On peut par exemple former une construction par l’assemblage d’une pluralité de bâtiments (1) tels que décrits ci-dessus. Chacun des bâtiments pourra par exemple être fabriqué en usine, ensuite être transporté individuellement vers le lieu final d’implantation, puis ils pourront être assemblés pour former une construction plus complexe. La Fig.8 montre par exemple une vue en coupe d’une construction comportant deux bâtiments (1) selon l’invention et assemblés par superposition sur le lieu final d’implantation. L’invention concerne donc également une construction comportant une pluralité de bâtiments (1) tels que décrits ci-dessus. L’invention concerne également une méthode de fabrication d’un bâtiment (1) à ossature (10) en bois comportant les étapes de : - assemblage de montants (20) et de traverses (30) pour former une ossature (10) en bois, - fourniture d’une pluralité de barres de levage (40), une extrémité inférieure (40a) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens de fixation (50) de la barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10), une extrémité supérieure (40b) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens d’accroche (60), - fixation des moyens de fixation (50) de chaque barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10).
La présente invention a été décrite en relation avec des modes de réalisations spécifiques, qui ont une valeur purement illustrative et ne doivent pas être considérés comme limitatifs. D’une manière générale, il apparaîtra évident pour l’homme du métier que la présente invention n’est pas limités aux exemples illustrés et/ou décrits ci-dessus. La présence de numéros de référence aux dessins ne peut être considérée comme limitative, y compris lorsque ces numéros sont indiqués dans les revendications. L’usage des verbes « comprendre », « inclure », « comporter », ou toute autre variante, ainsi que leurs conjugaisons, ne peut en aucune façon exclure la présence d’éléments autres que ceux mentionnés. L’usage de l’article indéfini « un », « une », ou de l’article défini « le », « la » ou « I’ », pour introduire un élément n’exclut pas la présence d’une pluralité de ces éléments. L’invention peut également être décrite comme suit : un bâtiment (1) à ossature (10) en bois comportant des montants (20) et des traverses (30) formant ladite ossature (10). Le bâtiment (1) comporte en outre des moyens de fixation (50) qui sont ou peuvent être attachés de manière fixe ou amovible à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10). Des barres de levage (40) verticales sont ou peuvent être attachées de manière fixe ou amovible aux moyens de fixation (50). Lesdites barres de levage (40) présentent des moyens d’accroche (60) à leur extrémité supérieure (40b). Lorsque la bâtiment (1) est muni desdites barres de levage (40) et que celles-ci sont attachées à l’ossature par les moyens de fixation, il peut être facilement soulevé et redéposé par les moyens d’accroche, tout en limitant le risque d’endommager le bâtiment et/ou en réduisant les contraintes de traction sur le bâtiment.

Claims (15)

  1. Revendications
    1. Bâtiment (1) à ossature (10) en bois, ladite ossature (10) comprenant une pluralité de montants (20) et une pluralité de traverses (30) reliant lesdits montants (20) entre eux, caractérisé en ce que le bâtiment (1) comporte en outre une pluralité de barres de levage (40) verticales, une extrémité inférieure (40a) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens de fixation (50) de la barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10), une extrémité supérieure (40b) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens d’accroche (60) ;
  2. 2. Bâtiment (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que chaque moyen d’accroche (60) dépasse par le haut d’une partie supérieure du bâtiment (1) ;
  3. 3. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque moyen de fixation (50) est relié de manière amovible à sa barre de levage (40);
  4. 4. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque moyen d’accroche (60) relié de manière amovible à sa barre de levage (40);
  5. 5. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque barre de levage (40) comporte une tige (40c) dont au moins les extrémités inférieure (40a) et supérieure (40b) sont filetées, en ce que chaque moyen de fixation (50) comporte un premier trou taraudé apte à coopérer avec l’extrémité inférieure filetée (40a) de ladite tige (40c), et en ce que chaque moyen d’accroche (60) comporte un deuxième trou taraudé apte à coopérer avec l’extrémité supérieure filetée (40b) de ladite tige (40c);
  6. 6. Bâtiment (1) selon la revendication 5, caractérisé en ce que l’extrémité inférieure (40a) de chaque tige (40c) est fuselée ;
  7. 7. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque moyen d’accroche (60) comporte un anneau (65) ;
  8. 8. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque moyen de fixation (50) comporte une plaque (55) ;
  9. 9. Bâtiment (1) selon la revendication 8, caractérisé en ce que chaque plaque (55) comporte au moins un trou traversant (58);
  10. 10. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que qu’au moins une barre de levage (40) est située à proximité d’un montant (20) ;
  11. 11. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’au moins une barre de levage (40) est au moins partiellement entourée de plusieurs montants (20) ;
  12. 12. Bâtiment (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’au moins une barre de levage (40) traverse au moins un montant (20) ;
  13. 13. Bâtiment (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque moyen de fixation (50) est fixé à au moins une des traverses (30);
  14. 14. Construction comportant une pluralité de bâtiments (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes ;
  15. 15. Méthode de fabrication d’un bâtiment (1) à ossature (10) en bois comportant les étapes de : - assemblage de montants (20) et de traverses pour former une ossature (10) en bois, - fourniture d'une pluralité de barres de levage (40), une extrémité inférieure (40a) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens de fixation (50) de la barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10), une extrémité supérieure (40b) de chaque barre de levage (40) étant munie de moyens d’accroche (60), - fixation des moyens de fixation (50) de chaque barre de levage (40) à une partie inférieure (10a) de l’ossature (10).
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