LU84538A1 - Utensile de cuisson avec indicateur de temperature - Google Patents

Description

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La présente invention concerne un ustensile de cuisson, par exemple/^poêle à frire ou casserole, etc* muni d’un moyen de préhension, notamment d’un moyen de préhension en matière isolante, par exemple un manche, sur le 5 côté supérieur duquel est disposé un indicateur réagissant à la température en changeant de couleur.

Dans le Modèle d'ïïtilité DE 80 00212 est décriifeune casserole munie d’un indicateur de température lisible de l’extérieur fixé sur un support consitué par une feuil-10 le ou une plaquette elle-eême fixée sur le moyen de préhension de cette casserole.

Des dispositifs de ce genre sont assez impropres à mesurer et indiquer des températures, parce que l’indicateur est disposé dans la matière synthétique, donc peu 15 conductrice de la chaleur, dont est fait le moyen de préhension, de sorte que las températures à mesurer ne le sont qu’avec un retard considérable dans le temps et avec une imprécision extrême, A partir de cet état de la technique le problème 20 auquel l’inventicn apporte une solution consistait donc à créer un ustensile de cuisson du genre décrit en préambule muni d’un indicateur de température assurant la mesure et l’affichage, de façon précise et avec le moins de temporisation possible, de la température du dit ustensile.

25 La solution conforme à l'invention consfete en ce que dans le moyen de préhension est disposé, juste au-dessous de l’indicateur, un insert en une matière bonne conductrice de la chaleur, cet insert dépassant du moyen de préhension en direction de l’ustensile de cuisson et se terminant dans 30 une cavité du dit moyen par laquelle les éléments de fixation de ce dernier peuvent être recouverts.

La présence d’un tel insert en une matière conduisant bien la chaleur fait que la température de l'ustensile de cuisson, qu’ai, s’agisse d’une poêle à frire ou d’une cas-35 serole, peut être reprise de la paroi de cet ustensile directement par un élément conducteur de la chaleur et être » - 2 - transmise sans retard à 1* indicateur. Etant donné que celui-ci repose directement sur l'insert en matière "bonne conductrice de la chaleur, un affichage très rapide et précis de la température mesurée peut être assuré.

5 II n'est d'ailleurs pas absolument nécessaire que l'insert en matière bonne conductrice de la chaleur s'étende sous la totalité de l'indicateur t il suffit en effet que ce dernier repose au moins partiellement sur l'insert, par exemple sur la moitié de celui-ci, 1° L'insert dépasse hors du moyen de préhension en se terminant dans une cavité de celui-ci qui, lorsque ce moyen est vissé à l'ustensile, est fermée par la paroi de ce dernier et par les parties du moyen de préhension qui la délimitent. On permet ainsi à la chaleur de s'accumuler i5 dans la dite cavité, ce dont on tire parti pour transmettre cette chaleur directement à l'insert en matière bonne conductrice.

On voit donc qu'il n'est pas absolument nécessaire que l'insert touche la paroi de l'ustensile de cuisson et/ 20 ou le moyen de fixation, généralement constitué par une vis, mais qu'il suffit, pour assurer la conduction thermique, qu'une surface suffisamment grande de cet insert se trouve libre dans la cavité du moyen de préhension.

Le moyen de préhension peut éventuellement aussi être 25 découplé de la paroi de l'ustensile par des moyens appropriés à exclure une conduction thermique directe de la dite paroi au moyen de préhension. Dans ce cas, il est tout à fait possible que le moyen de préhension soit lui-même en une matière bonne conductrice de la chaleur, par exemple 3° en métal, sans que cela nuise à la mesure <fe la température ou provoque un échauffement excessif du moyen de préhension.

Une conduction thermique particulièrement bonne est naturellement obtenue lorsque l'extrémité libre de l'insert prend appui directement contre la paroi de l'ustensile 33 de cuisson, ou sur le moyen de fixation en métal relié à cette paroi ; cette disposition permet en effet une conduction thermique directe entre les parties métalliques et - 3 -

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l'insert. Dane ce but, il est avantageux que, selon l’invention, l’ustensile de ouisson soit conçu de telle sorte que 1'extrémité libre de l’insert puisse être appliquée et s’appuyer contre des parties métalliques de la fixation 5 du moyen de préhension à l’ustensile de cuisson et/ou de la paroi de ce dernier. Cela ne veut pas dire qu’il suffit que le chant antérieur de l’insert touche la paroi de l’ustensile de cuisine, ce qui ne procurerait qu'une surface de transmission thermique minim«, mais plutôt 10 qu’une assez grande partie de l’extrémité de l’insert doit être au contact de la paroi de l’ustensile et/ôu du moyen de fixation.

De préférence, il est prévu que l'insert est constitué par une plaquette de tôle qui, au moins à son extrémité 15 libre, va en se rétrécissant. Dans le champ de l’indicateur cet insert a une surface aussi grande que possible, correspondant à celle de l’indicateur, de sorte qu'entre ces deux éléments la transmission calorifique est bonne et améliore la précision et la vitesse de l'affichage de la 20 température de l'ustensile de cuisson. Par contre, à son extrémité libre l’insert est considérablement moins large afin que l’effet d'application et d’appui mentionné plus haut soit assuré par déformation élastique et/ou permanente de cette extrémité libre lorsque l'on fixe le moyen de pré-25 hension à l’ustensile de cuisson.

Dans une forme d’exécution plus élaborée, l’invention prévoit que la matière de l’insert ait une conductibilité thermijie d'autant plus grande que le diamètre de l’ustensile de ouisson est plus grand. On connaît par exemple des poêles 30 à frire ayant un diamètre qui peut être de 20, 24, 28 ou 30 cm. Plus le diamètre est grand, plus la paroi extérieure de la poêle est éloignée du centre de celle-ci, donc du point le plus chaud. Par conséquent, il importe que pour les grands diamètres on utilise un insert en une matière 35 particulièrement bonne conductrice de la chaleur, alors que pour les ustensiles de petit diamètre une matière ayant une moins bonne capacité de conduction thermique peut suffire pour l'insert.

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Les matières entrant en ligne de compte pour cela sont par exemple, dans 1*ordre croissant de leur conductibilité thermique, le laiton et les alliages d'aluminium.

Daœ une forme d*exécution préférée de l'invention 5 l'indicateur est constitué par une étroite bande de matière qui s'étend le long du moyen de préhension en commençant par l'extrémité de celui-ci située du coté de l'ustensile de cuisson et dans laquelle est contenue une charge de cristaux liquides, l'insert s'étendant depuis la dite ex-10 trémité jusqu'à environ les deux tiers de la longueur de l'indicateur étant en contact superficiel avec ce dernier, tandis qu'à l'extrémité de l'indicateur située du côté de l'ustensile de cuisson l'insert est rétréci pour former une étroite languette de contact qui traverse un canal mé-15 nagé dans 1 ’embouchure du moyen de préhension, ouvert à ses deux extrémités et orienté dans le sens de la longueur de l'insat, l'extrémité de ce canal se trouvant à distance de l'alésage que traverse le moyen de fixation du moyen de préhension l'axe de cet alésage intersectant celui du 20 dit canal.

Grâce à cette disposition est assurée une bonne transmission calorifique entre l'insert et l'indicateur ; de plus, l'insert ne pourra eire déforme involontairement dans le champ de sa languette sans entrer en contact avec la ca-25 vite du moyen de préhension, avec le moyen de fixation ou avec la paroi de l'ustensile de cuisson. Le canal ouvert à ses deux extrémités sert donc de tube de protection de l'insert, lui assurant une position et une orientation correctes lors de l'assemblage.

30 Dès que, lors de l'assemblage, l'insert et l'indica teur ont été placés dans la rainure du moyen de préhension prévue pour les recevoir, on recourbe en direction de l'alésage que traversera le moyen de fixation la languette de l'insert qui sort de l'orifice antérieur du dit canal.

35 Lorsque l'on introduit la vis dans l'alésage du moyen de fixation, celle-ci repousse à nouveau la languette, un contact étant ainsi assuré entre l'extrémité de cette dernière et la vis.

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Lorsque* après cela, on visse le moyen de préhension à la paroi de l'ustensile de cuisson, la languette s'appuie superficiellement contre cette paroi, c^st-à-dire non pas par son chant antérieur, mais par sa surface supé-5 rieure, dès que la profondeur de vissage de Is^vis est au moins à peu près suffisante. Dans la position finale de 1'assemblage, la languette de contact est en tout cas appliquée par une surface contre la paroi de l'ustensile de cuisson, au sein de la cavité du moyen de préhension de 10 cet ustensile.

Afin de faciliter l'assemblage décrit ci-dessus, il est avantageux que, dans la position d’assemblage, la languette de contact puisse être incurvée jusque devant l'alésage de passage du moyen de fixation. Afin de donner 15 à cette languette la place nécessaire pour que son incurvation s'effectue autant que possible sans cassure il est prévu que le canal ait une hauteur égale à plusieurs fois l'épaisseur de cette languette. Grâce h ce jeu entre la languette et les parois du canal, l'incurvation de la lan-20 guette peut s'effectuer sans risque de cassure.

Pour faciliter encore plus l'opération d*incurvation de la languette de contact il est prévu que cell-ci soit précintrée dans le champ du dit canal, le sommet de l'arc de la courbure coïncidant sensiblement avec l'alésage des-25 tiné à recevoir le moyen de fix» -tion. Airei, la languette de contact présente dans le champ du canal, à partir de l'insert, un précintrage tout d'abord faible, dorctüla convexité est dirigée vers le haut, puis elle est recourbée de façon que son extrémité se trouve sensiblement dans le 30 prolongement de l'insert.

Il y a intérêt à ce que, selon une autre caractéristique de l'invention, l'indicateur soit, dans le moyen de préhension, notamment le manche de l'ustensile de cuisson, loge dans un renfoncement dont le fond est formé par l'in-35 sert sur lequel est posé l'indicateur, ce renfoncement étant comblé par un cache translucide formant loupe. Ce cache a me forme telle qu'il remplit complètement et le plus possible - 6 - sans solution de continuité l’espace laissé libre dans le renfoncement» afin d'empêcher que des salissures ou de l'eau ou autres corps étrangers ne s'infiltrent dans les fentes qui pourraient subsister entre le cache et les pa-5 rois du renfoncement. Le fait que le cache soit èn une matière qui forme loupe permet de bien voir, même d'assez loin, l'affichage de la température.

L'invention est décrite plus en détail ci-après en se référant au dessin annexé qui en illustre un exemple d'exé-10 cution j sur ce dessin - la figure 1 'est une vue en plan d'un manche selon l'invention, - la figure 2 est une vue en élévation latérale, avec coupe longitudinale, du manche selon la fig.l, 15 - la figure 3 montre un détail vu selon la fig.2, - la figure b montre un autre détail dans une vue analogue à la fig.3# - la figure 5 est me vue en coupe suivant la ligne I-I tracée sur la fig.*>, et 20 - la figure 5a est une vue en élévation d'un insert selon l'invention.

Dans cet exemple d'exécution, le manche 1 est en matière isolante, à savoir une matière synthétique résistante à la chaleur t vu par le dessus en position d'utilisa-25 tion, ce manche comporte un renfoncement constitué par une rainure 2 venue de moulage. Un insert 3 essentiellement constitué par une pièce de forme rectangulaire découpée dans une feuille de métal est logé à plat dans le renfoncement 2 de la poignée 1. Solidaire de cette pièce est, 30 venue de découpage, une languette de contact 4 moins large que la pièce 3· Cette languette traverse un canal 5 ouvert à ses deux extrémités et sort du manche i. L*insert 3 s’étend, dans le sens de la longueur, sur une distance sensiblement égale aux trois-quarts de la longueur du renfon-35 cernent 2, tandis que dans le sens de la largeur, il remplit complètement ce dernier.

Sur 1’insert 3 est posé un indicateur 6 qui répond à la - 7 - température en changeant de couleur et qui est en contact direct avec cet insert.

De façon connue en soi cet indicateur 6 est constitué par un cristal liquide en forme de bande. Il peut com-5 prendre plusieurs zones de mesure de niveaux de température différents, de sorte qu’avec une seule bande de mesure diverses indications de température sont possibles.

Pour retenir tant l'insert 3 <iue l'indicateur 6, un cache 7 est encastré par clipsage dans des alésages 8 ména-10 gés dans le manche. Ce cache remplit complètement et sans solution de continuité l'espace constitué par le renfoncement 2 j il est en une matière synthétique translucide ou transparente, par exemple en Makrolon (nom commercial), et a une forme telle qu'il constitue en meme temps une sorte 15 de loupe.

La languette de contact 4· de 1'insert 3 se termine dans une cavité 9 de la poignée qui, dans la position de service illustrée à la fig.4, est fermée par la paroi 10 de la casserole. Cette cavité 9 masque complètement l'en-20 droit de la fixation côté casserole. C'est généralement après que l'on a réalisé l'assemblage selon les fig.l et 2 que l'on incurve la languette de contact 4 en direction de la cavité 9 afin qu'elle soit disposée pratiquement devant l'orifice de l'alésage 11 destiné à être traversé par 25 le moyen de fixation. Afin que cette languette 4 s'incurve bien sans subir de pliage, elle présente déjà, dans le champ du oanal 5i une courbure convexe préalable dirigée vers le haut.

Si alors on veut fixer à la casserole le manche dont 30 la languette de contact 4 a ainsi été préalablement incurvée, et que dans ce but on fait d'abord passer la vis de fixation 12 par l'alésage 11, la tige de cette vis repousse la languette 4 en la cintrant, mais un contact direct subsiste entre elle et la tige de la vis 12 (voir à ce sujet la 35 fig.3).

Lorsque le manche 1 est alors fixé à la paroi 10 de la casserole (fig.4), la languette de contact se trouve

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- 8 - repoussée vers cette paroi, avec laquelle elle restera en contact après que l'on aura vissé à fond la vis de fixation 12, Ce contact assure une transmission calorifique tires favorable.

5 II est vrai qu'il suffirait aussi que la languette de contact ^ soit disposée dans la cavité 9 du manche sans être directement en contact avec la paroi 10 de la casserole ou avec la tige de la vis 12, car la température engendrée dans cette cavité par le chauffage de la casse-10 rôle serait transmise directement par la languette de contact ^ à l'insert 3 et donc à l'indicateur 6.‘ A mentionner en outre que sur la collerette de raccordement 13 du manche est enfilée une douile en aluminium 1^ qui, lorsque le manche est fixé, se trouve enserrée 15 entre la paroi 10 de la casserole et les épaulements de la collerette 13 i cette douille entoure en même temps la cavité 9 prévue à l'extrémité du manche.

L'invention peut faire l'objet de multiples variantes dans le cadre de ce qui a été décrit ci-dessus, en parti-20 eulier en ce qui concerne la forme du manche, ses dimensions et le choix des matériaux dont il est fait..

De même, il est évident qu'elle peut être appliquée à des casseroles dont la ou les poignées sont en forme d'étriers. Une telle poignée peut en effet être considérée comme étant 25 composée de deux manches plus ou moins parallèles réunis l'un à l'autre par un élément transversal pour former un ensemble de préhension sensiblement en forme de lettre U.

Claims (6)

1. Ustensile de cuisson» par exemple poêle à frire ou casserole, etc. muni d'un moyende préhension, notamment d'un moyen de préhension en matière isolante, par 5 exemple un manche, sur le coté supérieur duquel est disposé un indicateur réagissant à la température en changeant de couleur, cet ustensile étant remarquable en ce que dans le moyen de préhension (1) est disposé, juste au-dessous de l'indicateur (6), uninsert (3) en une matière bonne con-10 ductrice de la chaleur, cet insert dépassant du moyen de préhension (1) en direction de l'ustensile de cuisson et se terminant dans une cavité (9) du dit moyen par laquelle les éléments de fixation de ce dernier peuvent être recouverts .

2. Ustensile de cuisson selon la revendication 1, remarquable en ce que l'extrémité libre de l'insert (3) peut être appliquée contre des parties métalliques de la fixation du moyen de préhension (l) à l'ustensile (par exemple la vis 12) et/ou de la paroi (10) de l'ustensile 20 de cuisson.

3. Ustensile de cuisson selon la revendication 1 ou Zi remarquable en ce que 1'insert (3) est constitué par une plaquette de tôle qui, au moins à son extrémité libre, va en se rétrécissant.

25 Ustensile de cuisson selon l'une quelconque des revendications précédentes, remarquable en ce que la matière de 1'insert (3) a une conductibilité thermique d'autant plus grande que le diamètre de l'ustensile de cuisson est plus grand, 30 5· Ustensile de cuisson selon l’une quelconque des revendications précédentes, remarquable en ce que l'indicateur (6) est constitué par une étroite bande de matière qui s'étend le long du moyen de préhension en commençant par l'extrémité de celui-ci située du coté de l'ustensile 35 de cuisson et dans laquelle est contenue une charge de V - 10 - ·«* ► cristaux liquides, l'insert (3) s’étendant depuis la dite extrémité jasqu'à environ les deux tiers de la longueur de l’indicateur (6) étant en contact superficiel avec ce dernier, tandis qu'à l’extrémité de l’indicateur située 5 du coté de l’ustensile de cuisson l'insert (3) est :rétréci pour former une étroite languette de contact (*0 qui traverse un canal (5) ménàgé dans l'embouchure du moyen de préhension, ouvert à ses deux extrémités et orienté dans le sens de la longueur de l'insert, l'extrémité de ce canal 10 se trouvant à distance de l'alésage (11) que traverse le moyen de fixation (12) du moyen de préhension (1), l'axe de cet alésage intersectant celui du dit canal (5)· 6« Ustensile de cuisson selon la revendication 5t remarquable en ce que dans la position d'assemblage la lan-15 guette de contact (^) est incurvable jusque devant l'alésage (il) de passage du moyen de fixation (12).

7. Ustensile de cuisson selon la revendication 5 ou 6, remarquable en ce que le canal (5) a une hauteur égale à plusieurs fois l'épaisseur de la languette de contact (^). 20 8, Ustensile de cuisson selon la revendication 7i re marquable en ce que la languette de contact (b) est précintrée dans le champ du canal (5)» le sommet de l’arc de la courbure coïncidant sensiblement avec l'alésage (il) destiné à recevoir le moyen de fixation (12).

9. Ustensile de cuisson selon l'une quelconque des re vendications précédentes, remarquable en ce que l'indicateur · (6) est, dans le moyen de préhension (l), notamment le manche de l'ustensile de cuisson, logé dans un renfoncement (2) dont le fond est formé par l'insert (3) sur le-30 quel est posé l'indicateur (6), ce renfoncement étant comblé par un cache (7) translucide formant loupe.