LU80578A1 - Forme pour une chaussure et en particulier pour des chaussures de sport - Google Patents

Description

D. 50.224

_ λ - ÆRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG

Brevet N°_______________Q .....Q .. j Q

du .2.7.....novembre.....19.7.8 ¢1¾¾ Monsieur le Ministre __ , , IaSm de l’Économie Nationale et des Classes Moyennes

Titre délivré : ........................................ V&M

Service de la Propriété Industrielle

a. . n ûlf LUXEMBOURG

Demande de Brevet d’invention ^.rjfo « I. Requête .......La..........i...5loo................(1) .......MCHSâU.....Âlle^îa.gîiô„PMSmle^^ei>rjgs_6.ntëe„pjar_J::Qn$Mu^.....Jaçoues...........

.......de.. ,ag±saan.fc...eii aiia3.itë.....cLa....ir.anda.fca. iro.........................................................................(2> à...........15........... ... heures, au Ministère de l’Économie Nationale et des Classes Moyennes, à Luxembourg : 1. la présente requête pour l’obtention d’un brevet d’invention concernant : ........”.....royr^....patig....u:?.a...£ha^^^ pour, des..............................(4) .................sport"..·................................................................................................................................................................................

déclare, en assumant la responsabilité de cette déclaration, que l’{es) inventeurs) est (sont) : .....·\ι- ..........30Λ,......a. erco...........................(5) .....-3! ' .....ai 1 :ns£ïi£...JM 1a?J.-&.......................................................................................................... .........................

2. la délégation de pouvoir, datée de ... .x.mbrbbi..................................... )e .. oit ...cCUt.....L2.7.3...............

3. la description en langue.......*. l * . ;Or. ................................. de l’invention en ceux exemplaires ; 4...............2......... ... planches de dessin, en deux exemplaires ; 5. la quittance des taxes versées au Bureau de i'Em c-gistreinent à Luxembourg, le .........27.....xCEébXî ...1Ï.13................................................................................................................................................................................................

revesdlque pour la susdite demande de brevet la priorité d’une (des) demande(s) de (6) .........................-1.-.5 »' '-.t........................................... déposée(s) en (7) ........Àl .....3134.,.513....................

le .........2.3.....LSLiVs......19.7.7...........£l'o.-.....P....27.....53....222)............................................................................................(8) au nom de ! s- v..l.:. ' ·"' ù IkS...............................................................................................................................................................................(9) élit domicile pour lui (elle) et, si désigné, pour son i/.ixdatsîre, à Luxembourg ........................................

........l-.ld.......~1J>1............................................................................................................................................................................................... (10) smlirite la délivrance d'un brevet d'invention pour l’objet décrit et représenté dans les annexes susmentionnées, — avec ajournement de cette délivrance à ___________L.3..................... nuis.

» 1.0 .... ·..,.·· *.;·.··;.....‘........... t , ...’x .....\.......... ......... .....

IL P».· eès-vt-rba! de Di..· 51

La susdite demanda de brevet d'invention a été déposée au Ministère de l’Économie Nationale et des Classes Moyennes, Service de la Propriété Industrielle à Luxembourg, en date du : 7 —m: ':?3

Pr. le Ministre,- à ..........5,3...... heures /¾^ ^V\ de ----momie Nationale et ces Cltsses Moyennes, . “Λ P· ό· /' /ä:-mL /? g; ", Si .m, il ' V-ï ' / Α<"-:·π_ __ ___' l ^ ' ' ' 3 :___ fl y 'C'— -·*.,— JT- -, *··' .-’r.r- V;, Ά T'T· ... . ,- D. 50.224

REVENDICATION DE LA PRIORITE

de la demande de brevet / dti/VoÔétVdWlité/

En ALLEMAGNE FEDERALE Du 29 NOVEMBRE 1977 i

S

r Mémoire Descriptif déposé à l’appui d’une demande de

BREVET D’INVENTION

au

Luxembourg

au nom de: UNI ROYAL, GMBH

pcmr: "Forme pour une chaussure et en particulier pour des chaussures de sport".

/ î \ i 1 j La présente invention concerne une forme pour une | chaussure et en particulier pour des chaussures de sport comme | * des chaussures de tennis, des chaussures de jogging ou marche à petit trot, des chaussures pour excursions à pied 5 ou des chaussures d'escalade en montagne, des chaussures de , gymnastique ou pour sports en salle, des chaussures de | football ou analogues avec un bord de la semelle passant j tout autour sous forme d'un anneau fermé, et définissant la transition entre la partie de la semelle.et la partie de | 10 l’empeigne, et où deux points quelconques, orientés j ' 1 perpendiculairement à l'axe longitudinal de la forme, de la ligne droite reliant des zones opposées du bord de la semelle, définissent un plan de la semelle dans l'espace ! dont la direction s'écarte de la direction dans l'espace 15 de la zone de la semelle extérieure de la forme.

Pour aider, par une chaussure, à contrôler le pied j dans ure position naturelle de marche à une distribution ! optimale des charges et forces résultantes, avec un confort.

satisfaisant, on sait fabriquer une forme dont la zone do 20 la semelle est adaptée à la forme de la plante du pied, qui détermine la forme de la semelle intérieure de façon que la zone de la semelle soit courbée de façon asymétrique (se référer au brevet germanique No. 1 953 656). En représentant cette forme connue sur des diagrammes polaires au 25 moyen de plusieurs sections qui sont placées verticalement ; aux axes longitudinaux du pied ou de la forme, on peut voir î ’ que la forme,ou le plan de sa semelle*et la zone de la semelle sont en pente en supination pratiquement dans tous les plans des sections. Le terme "supination" iiidique, dans 30 le présent contexte, une pente ou torsion de la ligne droite ou plan se rapportant à un pied droit ou forme en regardant à partir du talon, par rapport à un plan horizontal dans le sens des aiguilles d'une montre. En conséquence, le terme " pronation" indique une pente ou torsion de la ligne 35 droite ou plan par rapport au plan horizcniâL dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.

Bans le cas d’une autre forme connue (se référer , à la publication du brevet germanique No. 1 VIO 534), les parties du pied antérieur et du pied postérieur sont tordues 2 l’une par rapport à l’autre. Dans la zone métatarsienne du pied, le plan de la semelle est horizontal tandis que dans la partie de talon il y a une pente en pronation et, dans la zone du pied antérieur, une pente en supination.

5 Dans le cas d’une charge appuyant sur le pied reposant sur le sol, les parties de pied antérieur et de pied postérieur se rétablissent dans des directions de rotation contraires à la charge respective de quantités correspondant®, La zone de la plante s’écartant du plan de la plante ou semelle 10 ‘ dans son parcours dans l’espace continue, dans la zone ’ du pied antérieur, à plat transversalement à l’axe longitudinal du pied, tandis qu’elle est courbée de façon convexe'dans la direction de la ligne de développement du pas.

Même si les formes connues dans la joratique impartissent 15 déjà, au pied, un meilleur support en courant par suite de la reproduction anatomiquement correcte de la chaussure, on a néanmoins trouvé, en particulier avec des chaussures de sport, que le contrôle du pied était fréquemment encore inapproprié.

20 C’est par conséquent un objet de l’invention d’étudier une forme de façon que, dans des activités sportives, le risque d’une foulure du pied vers 1’extérieur soit empêché à un rcint important, tandis que le pied doit en même temps être supporté de façon particulièrement sûre dans la zone 25 du point de poussée de la charge appuyant sur le pied.

Selon l’invention, cet objet est résolu parce que les lignes droites définissant le plan de la semelle sont orientées horizontalement dans la zone du talon et du pied antérieur et sont en pente en supination dans la zone 30 métatarsienne et parce que, dans la zone du pied antérieur, en particulier dans la zone de la grande éminence métatarsienne du pied et du gros orteil, le plan tangentiel à la zone de la semelle est en pente en pronation par rapport au plan pertinent de la semelle, 35 Dans le cas d’une chaussure fabriquée sur cette nouvelle forme, le plan de la semelle est orienté horizontalement dans la zone du talon. Il n’existe par conséquent donc aucun risque, même pas avec des activités sportives, d’une foulure du pied vers l’extérieur. La pente du plan de la i • 3 semelle en supination dans la zone métatarsienne produit un support particulièrement fiable pour la voûte longitudinale du pied. De ce point de vue, la forme est de préférence étudiée de façon que la transition de la direction horizontale du ( 5 plan de la semelle dans la zone du talon à la pente en supination dans la zone métatarsienne soit décalée loin dans 'la zone du talon et que le pcànt de pente maximum en supination 1 de la zone métatarsienne soit agencé au point de poussée de la charge portant sur le pied. Par conséquent, le sup]_ :>rt 10 pour la voûte longitudinale du pied est situé très loin ‘ dans la direction vers le talon. Le support pour la voûte i · longitudinale est développé à son maximum dans la zone du : point de poussée de la charge portant sur le pied, et ainsi sensiblement dans l’extension du tibia. Dans cette zone ; 15 du point de poussée, située à peu près à proximité du joint de Coparth, un affaissement de la voûte longitudinale par suite de la charge portant sur le pied peut ainsi être particulièrement efficacement empêché.

Dans cette zone font impact sur la structure des os, 20 les tendons pour déplacer les orteils, qui normalement parcourent, comme une corde, la voûte longitudinale du pied sans aucun contact direct avec l’os métatarsien. Du fait de ce nouveau type de support, les tendons restant cependant dépourvus de charge uransversale, ainsi lo pied se fatiguera 25 moine rapidement. En se basant sur la nouvelle énvde , en produit une configuration sensiblement sphérique de l’enveloppe de talon, ce qui permet un appui en douceur du ’ talon, accompagné d’un élargissement simultané ds la surface d’appui. Le support particulièrement bon de la i:ne ; 30 métatarsienne au point de poussée de la che:-ge çirtant sur : * le pied présente l’avantage supplémentaire que 1? pied rencontre une résistance fiable, en d’autres terres, il ne ' peut pratiquement pas glisser vers l’avant, ainsi la zone des orteils reste essentiellement éloignée d’un. : intact : ' 35 avec la pièce de renfort.

Dans le but de supporter la voûte trans· vrsale clu ! pied, on prévoit de préférence un support métal:.-.roien de forme correspondante ayant des contours réguliers. Les contours réguliers empêchent la douleur lorsqu’::: porte la 4 chaussure sans nuire à l’effet de support. Sur la forme, le support métatarsien peut être remarqué par un évidement de forme correspondante et clairement visible dans la zone métatarsienne de la surface de la semelle.·.

• 5 De préférence, la forme est étudiée de façon que , dans la zone du pied antérieur, la surface de la semelle soit en pente en pronation par rapport au plan de la semelle. Cela devient évident par une pente correspondante d’une tangente appliquée conjointement aux zones du gros orteil 10 et de l’éminence interne ainsi que de l’éminence externe, qui est en pente dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, en d’autres termes, en pronation, le gros orteil et les deux éminences du pied étant situés en dessous du plan de la semelle. La pente de la tangente se trouve avantageuse-15 ment à un angle compris entre environ 2° et environ 10° et qui est de préférence de 5°- Cette forme correspond à la torsion naturelle du pied. Par suite, le support de la voûte longitudinale et transversale débute déjà dans la zone de l’éminence. Par ailleurs, la pente en pronation du pied 2o antérieur aide au mouvement naturel de roulement du pied pendant son mouvement. En conséquence, le risque d’une foulure du pied peut être d’autant plus réduit. Par suite de la mise en pif:ce de la grande éminence du pied à un niveau plus bas, les os sésamoïdes situés en dessous de la jointure métatarse-25 phalangienne subissent un soulagement supplémentaire que l’on trouve particulièrement agréable dans le port de la chaussure.

Ainsi, le pied à l’intérieur de la chaussure fabriquée sur la nouvelle forme a une protection plus efficace contre la foulure. Le contrôle à l’intérieur de la chaussure est 50 amélioré de façon décisive par l’agrandissement et 1’adapta- tion de la zone d’appui de la plante du pied. On évite à un point important un espacement entre la semelle intérieure et la plante du pied. Par suite, on obtient en même temps une empeigne qui s’applique également très précisément et 35 uniformément sur le pied, ainsi le pied ne peut se tordre à 11 intérieur de la chaussure et il ne peut de même pas glisser hors de sa bonne position. Par suite de la chaussure s’appliquant très précisément mais néanmoins très confortablement, toutes les forces du pied peuvent être transmises au soi ; 5 pratiquement sans aucune perte, ce qui a une importance particulièrement grande précisément pour les chaussures de sport.

La présente invention concerne également une 5 chaussure fabriquée sur la nouvelle forme, en particulier une chaussure de sport présentant, en comparaison avec les chaussures de sport connues, tous les avantages décrits ci-dessus en détail en se référant à la forme.

L’invention sera mieux comprise, et d’autres buts, 1.0 caractéristiques, détails et avantages de celle-ci apparaîtront I ' plus clairement au cours de la description explicative qui î j va suivre faite en référence aux dessins schématiques annexés j . donnés uniquement à titre d’exemple illustrant un mode de ! . réalisation de l’invention et dans lesquels : 15 - la figure 1 est une vue en perspective de la forme : selon l’invention pour une chaussure droite, la vue étant dirigée du côté·de la forme correspondant côté interne du pied ; " la figure 2 montre, en vue de dessus, le contour 20 de la forme au niveau du plan de la semelle ; et ; - les figures 3, 4, 5 et 6 montrent respectivement des vues en coupe transversale faites à travers la forme de la figure 1 et orientées perpendiculairement à l’axe longitudinal de la forme, les sections étant placées le long 25 des plans 10, 11 des figures 1 et 2.

La forme 1 illustrée en perspective sur la figure 1 est destinée à la fabrication d’une chaussure pour le pied droit„ La pointe de la forme est désignée par le repère 2 et l’extrémité de la forme est désignée par le repère 3· 30 La forme a une zone supérieure 4 pour l’empeigne de la • ♦ chaussure ainsi qu’une zone inférieure définie par la surface 5 de la semelle. Les deux zones sont en aboutenent le long d’un bord distinct 6 de la forme qui correspond au bord de la semelle de la chaussure. Le bord 6 de la forme ou de 35 la semelle passant tout autour sous forme d’un anneau fermé définit le contour du plan 9 de la semelle illustré dans l’espace. Il est également défini par les lignes droites 10 orientées perpendiculairement à l’axe longitudinal 13 de la forme et reliant chacune deux points opposés du bord 6 6 de la semelle. Sur les figures 1 et 2 ont été tracées quatre de ces lignes droites 10 reliant de l’avant à l’arrière les paires de points 10a, 10b ; 10c, 10d ; 10e, 10f ; et * 10g, 10h du "bord 6 de la semelle.

5 On peut déjà voir sur la figure 1 que le plan 9 de la semelle orienté dans l’espace s’écarte de façon marquée du parcours dans l’espace de la zone 5 de la semelle. Avec la forme 1 illustrée sur la figure 1, qui reproduit la forme du pied, la zone 5 de la semelle de la forme est 10. identique à la zone de la semelle ou de la plante du pied correspondant.

Pour la coopération de la chaussure et du pied, en particulier dans le cas d’activités sportives, sont essentielles les pentes respectives des lignes droites 10 15 définissant le plan 9 de la semelle par rapport à un plan horizonirl, ainsi que la pente relative de la zone 5 de la semelle par rapport aro: zones en rapport du plan 9. Pour rendre oes relations claires aux zones décisives de la forme, les sections transversales de la forme résultante dans la 20 zone des lignes droites 10 tracées sur les figures 1 et 2, sont représentées sur les figures 3 à 6, les médianes perpendiculaires 11 sur les lignes droites en rapport, qui sont représentées sur la figure 1, étant destinées à indiquer la position verticale respective du plan de la section ou 25 coupe c

En considérant la figure 1 et la figure 5> en peut voir que le plan 9 de la semelle courbé dans l’espace a son niveau le plus élevé sensiblement dans la zone du plan en coupe transversale selon la figure 5, c’est-à-dire dans 30 la zone métatarsienne 16. La ligne droite 10 reliant les v points 10e, 10f a, par rapport au plan horizontal 25, suggéré par une ligne en pointillés sur les figures 3 à 6, une pente en direction de supination. La grandeur 24 de cette pente par rapport au plan horizontal 25 est à peu près ' 35' comprise entre 15° et environ 45° et atteint ce préférence environ 25°« Dans la zone de talon 8, ainsi que dans la zc -3 du pied antérieur, en particulier dans la zone du gros ortet, et de la grande éminence 7 du pied, les lignes droites 10 définissant le plan 9 de la semelle sont, seien les figures 3, 7 4 et 6, orientées au contraire parallèlement au plan horizontal 25.

A partir du point le plus élevé 10e de la zone métatarsienne 16 de la ligne droite 10 en pente en supination, 5 le "bord de la semelle 6 "baisse le long du pied vers l’intérieur j jusqu’à la zone de talon 8, jusqu’au point de transition de la zone métatarsienne du plan 9 de la semelle en pente en supination jusqu’à la zone orientée horizontalement du plan de la semelle au niveau de la partie de talon 8. La zone Ί-0 de la semelle entre la ligne droite 10 passant par le point 10e de la figure 1 et la ligne droite passant par le point 12 sur le "bord 6 de la semelle, passe à proximité du'joint de Coparth du pied. Dans cette zone correspondant sensiblement à l’extension du tibia, est placé le point de poussée de j. . Ί5 la charge portant sur le pied. Par suite du parcours dans ] l’espace de la zone entre les points des bords 10e et 12 j ' du plan de la semelle, la zone métatarsienne entre ces points ! est supportée en toute fiabilité et ainsi le pied est également efficacement maintenu, lors du freinage, contre un ] 20 glissement vers l’avant}vers la pointe de la chaussure..

3 \ j Du fait du parcours horizontal de la ligne droite 10 j entre les bords 10g et 1Ch de la semelle selon la figure ; 6, on obtient un support sensiblement vertical ue la zone I de talon 8.

! 25 II est vrai que les lignes droites lu du pim de la ’ semelle 9 passent de mime horizontalement dans la zone du 4 ; . pied antérieur comme on peut le voir sur les figures 3 et 4.

j On peut cependant voir sur ces figures que la grande éminence î 7 du pied, ainsi que la petite éminence 21 du pied et la 30 zone du gros orteil qui n’est pas représentée, sont situées ; · * clairement en dessois du plan horizontal 9 de la semelle.

: Dans ce cas, le gros orteil et la grande éminence 7 du pied sont situés clairement plus bas que la petite éminence î · 21 . Une tangente 20 appliquée contre la surface 5 de lasarnDe : ' 755 dans cette zone est en pente en pronation par rapport au plan horizontal 9 de la semelle. Cela est vrai pratiquement pour toute la zone de la surface de la semelle a pied antérieur. L’angle de pronation résultant 20a par rapport au plan horizontal 9 est compris entre environ 2° et environ 10° 8 et il atteint de préférence environ 5°.

Dans la zone de transition entre le pied antérieur . et le métatarse est prévu, dans la chaussure, un support métatarsien qui se fait remarquer dans la surface de la 5 semelle 5 de la forme 1, par une dépression prononcée 14.

Le plan en coupe, selon la figure 4, passe par le point 22 de profondeur maximum de l’évidement 14 dans la zone de la semelle 5. On peut voir sur la figure 4 que le point le plus bas 22 de l’évidement 14 est situé au-dessus du plan 10 * horizontal de la semelle reproduit par la ligne droite et horizontale entre les points 10c et 10d des "bords de la semelle sur la figure 4. Le niveau du point le plus bas 22 au-dessus du plan horizontal de la semelle atteint environ 1 à 2 mm.

15 Bien entendu, l’invention n’est nullement limitée au mode de réalisation décrit et représenté qui n’a été donné qu’à titre d’exemple,, bn particulier, elle comprend tous les moyens constituant des équivalents techniques des moyens décrits, ainsi que leurs combinaisons, si celles-ci sont 20 exécutées suivant son esprit et mises en oeuvre dans le

N

cadre des revendica.iions qui suivent.

/? V______ ♦

Claims (6)

9

1. Forme pour une chaussure, en particulier une chaussure de sport comme une chaussure de tennis, de jogging, d’excursions à pied ou d’escalade en montagne, de gymnastique ou de sports en salle, de football ou analogues, ayant un 5 bord de semelle passant tout autour en anneau fermé et définissant la transition entre la partie de la semelle . et la partie de l’empeigne, où toutes les lignes droites I * orientées perpendiculairement à l’axe longitudinal de la forme J ; et reliant deux points des bords opposés de la semelle 10 définissent un plan dans l’espace dont le parcours s’écarte - de celui de la semelle extérieure de la forme, caractérisée en ce que les lignes droites (10) définissait le plan (9) | de la semelle sont orientées horizontalement dans les zones j ! - du talon (8) et du pied antérieur (7) et sont en pente 15 en supination dans la zone du métatarse ("5), et en ce que dans la zone du pied antérieur, en particulier dans la zone de la grande éminence (7) et du gros orteil, le plan tangentiel (20) est en pente en pronation à la zone de la semelle (5) par rappiort au plan (9) de la semelle s’y rapportant.

2. Forme selon la revendication 1, caractérisée en ce eue la transition (12) entre le parcours horizontal ! du plan (9) de la semelle dans la zone di? talon à la pente en supination dans la zone métatarsienne (16), est décalé loin dans la zone de talon (8) et en ce que le point de 25 pente maximum en supination (10e, 10f) de la zone metatarsienne (16) est agencé au point de poussée de la charge portant sur le pied.

3. Forme selon l’une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que la zone de semelle (5) précitée 30 dans la zone métatarsienne (16) a un évidement métatarsien produit régulièrement et qui s’étend vers l’avant f. ensable ment jusqu'à la jointure métatarso-phalangienne du troisième os métatarsien.

4. Forme selon l’une quelconque des revendications 55 précédentes, caractérisée en ce que la pente (zOa)en direction de pronation du plan tangentiel (20) à la zone de la semelle (5 * 10 précitée dans la zone du pied antérieur (7) atteint de l’ordre de 2° à environ 10° et de préférence 5°.

5. Forme selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la pente (24) en direction * 5 en supination du plan de la semelle (9) dans la zone métatarsienne (16) atteint de l’ordre de 15° à environ 45°, et de préférence de l’ordre de 25°.

6. Chaussure, en particulier de sport, caractérisée en ce qu’elle est fabriquée sur une forme selon l’une 10 quelconque des revendications précédentes. L v λ·-