FR3088162A1 - Systeme d'installation d'appareillages electriques dans une cloison - Google Patents

Systeme d'installation d'appareillages electriques dans une cloison Download PDF

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Description

Description
Titre de l’invention : Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison [0001] Ça présente invention relève du domaine des installations électriques, plus précisément dans ce qu’il est convenu d’appeler le bâtiment, et elle concerne en particulier l’installation d’appareillages électriques dans les cloisons qui équipent des locaux de toute nature.
[0002] Dans de telles installations électriques, aussi bien dans le domaine des habitations personnelles que pour les locaux industriels, la distribution de l’énergie électrique est intégrée autant que possible dans les cloisons délimitant les différentes pièces, les câbles véhiculant cette énergie passant alors par des gaines électriques qui sont par conséquent invisibles. Des points particuliers, prévus à l’avance, permettent un accès à ces câbles pour différentes fonctions allant de l’alimentation à la commande en passant par l’interfaçage ou la détection, prévus in fine pour que l’installation soit pleinement fonctionnelle. A titre d’exemple, il est nécessaire que des points de commande des éclairages soient distribués dans chaque pièce, pour permettre à un utilisateur de contrôler, par exemple manuellement, un ou plusieurs dispositifs lumineux du système.
[0003] Cet exemple est bien entendu généralisable, le contrôle des attributs électriques de l’installation pouvant faire appel à de multiples dispositifs de commande, actifs ou passifs, combinés à des récepteurs et/ou à des actionneurs électriques remplissant des fonctions très diverses, dont les développements de la domotique donnent de multiples exemples.
[0004] Ces dispositifs sont placés au niveau des points d’accès précités et comprennent généralement un boîtier d’encastrement placé dans un mur, auquel arrivent des câbles électriques qui sont exploités en lien avec ces moyens de commande, ou simplement pour travailler sur le réseau électrique interne au bâtiment. Dans l’habitat actuel, les parties intérieures des cloisons murales comportent dans de nombreux cas un doublage en placo-plâtre qui a considérablement simplifié les travaux de revêtement interne des murs. Ces doublages constituent alors les supports de fixation des boîtiers encastrés. En leur absence, les boîtiers peuvent être scellés dans les murs, mais dans tous les cas, ce sont lesdits supports de fixation qui matérialisent la limite entre la partie encastrée de l’installation à cet endroit et la partie extérieure d’application de l’appareillage électrique proprement dit.
[0005] Lors d’un chantier, les corps de métier interviennent en succession les uns des autres, et les électriciens chargés de réaliser l’installation sont sollicités à au moins deux reprises, une première fois pour la fixation des boîtiers d’encastrement dans les supports muraux, et une seconde fois pour raccorder électriquement et fixer mécaniquement les appareillages externes de type, par exemple, interrupteurs ou prises 230 ou BT ou USB. Entre les deux opérations, des plaquistes, carreleurs, menuisiers, peintres etc. sont susceptibles d’intervenir pour réaliser leur partie. Ils interviennent donc sur un support mural présentant, à des endroits prédéterminés, des ouvertures béantes aux emplacements où les boîtiers d’encastrement débouchent dans les surfaces libres des cloisons. Il n’est pas rare, et c’est un euphémisme, que des produits utilisés par ces corps de métier ne polluent, voire n’endommagent, de diverses manières les boîtiers d’encastrement, notamment par introduction de quantités plus ou moins importantes d’enduit, de peinture, de plâtre etc. dans le volume dudit boîtier.
[0006] Dans ce cas, avant d’être à même d’effectuer les gestes propres à son métier, il devra s’astreindre à des opérations de nettoyage et d’élimination qui sont fastidieuses et, en tout état de cause, chronophages. C’est particulièrement vrai si le plâtre a séché, et/ou si cela a occasionné des saletés du type poussières de plâtre etc. C’est encore le cas si les reliefs de têtes de vis souvent prévues dans le boîtier pour la fixation des appareillages électriques ou, le cas échéant, de couvercles, sont bouchés.
[0007] Dans certains cas, les travaux précédant sa seconde intervention provoquent même des conséquences plus fâcheuses, relativement à ses tâches, parfois d’ailleurs en plus des dommages mentionnés ci-dessus. Cela peut par exemple être le cas s’il y a pose d’un revêtement additionnel, appliqué sur la surface libre de la paroi murale, comme par exemple un carrelage posé sur un support en placoplâtre. L’ajout d’une telle couche additionnelle nécessite évidemment d’y prévoir une zone non couverte, préservant l’accès à l’ouverture du boîtier dans la paroi initiale. Or, si le travail est mal fait, l’exécutant intervenu en amont peut soit malencontreusement obstruer partiellement ladite ouverture, soit au contraire laisser disponible un espace trop conséquent autour d’elle. Dans le premier cas, ce sera à l’électricien de redimensionner cette zone pour que la fixation de l’appareillage électrique prévu à cet endroit puisse s’effectuer dans de bonnes conditions. Dans la seconde hypothèse, le résultat peut être désastreux si l’appareillage peut ne plus bénéficier d’un appui surfacique correct sur ledit revêtement additionnel : il faut dans le pire des cas faire revenir le carreleur, ce qui n’est pas une sinécure en général, vu les emplois du temps chargés des artisans et l’exercice périlleux que représente, pour le maître d’œuvre, l’organisation et la gestion des passages et interventions. Si l’électricien décide de réparer les dégâts tout seul, la perte de temps peut être considérable pour lui, sans compter le risque de fendre ou casser le revêtement (carreau, vitre, crédence en bois ou vinyl, glace,...).
[0008] La présente invention apporte une solution pratique à ces insuffisances et inconvénients, au surplus simple à mettre en œuvre et universelle dans la mesure où elle trouve à s’appliquer même si elle n’a pas été planifiée au moment de la pose des boîtiers d’encastrement. Les configurations que peuvent prendre cette solution ne pèsent au surplus que d’un poids économique très raisonnable, qui n’est pas susceptible d’obérer sa diffusion dans le monde du bâtiment.
[0009] En pratique, l’invention, qui a trait comme indiqué auparavant à un système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison, comporte classiquement un boîtier d’encastrement électrique muni de moyens de couplage mécanique des appareillages électriques et fixé dans ladite cloison, ledit boîtier 1 comportant une enveloppe délimitant un volume intérieur débouchant via une ouverture dans la surface libre de la cloison au travers d’un orifice pratiqué dans ladite cloison, caractérisé en ce qu’il comporte un dispositif de protection 2 du volume intérieur présentant une paroi périphérique entourant l’ouverture, faisant saillie de ladite surface libre pendant l’installation, et au moins partiellement escamotable ou amovible en fin d’installation.
[0010] Dans la plupart des cas, cette paroi périphérique est d’allure parallèle à un axe perpendiculaire à la surface de l’ouverture.
[0011] Le principe à la base du système est de pouvoir disposer à la fois d’un repère et d'une barrière, d’une part pour dimensionner le cadre de l’intervention notamment lors de la pose d’un revêtement supplémentaire, et d’autre part pour faire écran aux produits susceptibles de franchir de manière indésirable et incontrôlée l’ouverture du boîtier fixé au support mural. Un exemple typique en est donné lorsque l’artisan parcourt l’ensemble de la surface avec la taloche à plâtre, tout passage vers le volume intérieur du boîtier devenant impossible avec la paroi périphérique saillante. La paroi matérialise en réalité la limite du volume devant être épargné, en créant une zone qui doit rester propre et libre.
[0012] Des moyens d’escamotage ou d’amovibilité au moins partiels sont prévus dans le dispositif de protection selon l’invention, de sorte qu’un réglage est possible pour ajuster ce dispositif au contexte de son utilisation, notamment en fin d'installation.
[0013] Selon une première configuration, le dispositif de protection est relié au boîtier et peut présenter des moyens de segmentation axiale de la paroi de la paroi dans la direction du dépassement de la surface libre de la cloison. Dans ce cas, le dispositif de l’invention s’ajoute au boîtier initial et est de dimension réglable. Ainsi, non seulement le débouché de l’ouverture du boîtier d’encastrement pourra être préservé par l’invention au cours des interventions successives des différents corps de métier, après le premier passage de l’électricien, mais il est aussi possible, en fin des opérations, de redimensionner ledit dispositif notamment s’il y a ajout d’une couche additionnelle sur la surface libre de la cloison murale.
[0014] Avantageusement, lesdits moyens de segmentation peuvent consister en des stries d’affaiblissement ou en des découpes en pointillé périphériques, d’allure parallèle entre elles, pratiquées dans la paroi du dispositif de protection entre son bord libre et sa jonction avec l’ouverture du boîtier. L’étanchéité au plâtre ou à la peinture doit être préservée mais la paroi périphérique doit pouvoir être coupée facilement, soit à l’aide du couteau d’électricien, soit au moyen d’une pince coupante spécifique. A l’extrême, selon l’épaisseur d’une couche additionnelle, la paroi peut rester intouchée. A l’inverse, elle peut le cas échéant être complètement enlevée.
[0015] Selon une possibilité, cette paroi périphérique du dispositif de protection peut être constituée d’un seul tenant avec l’enveloppe du boîtier, c’est-à-dire que l’ensemble est alors fabriqué en une seule pièce. Comme on l’a vu ci-dessus, pour autant, il est parfaitement possible de l’enlever, plus ou moins complètement, si le contexte s’y prête. Cette solution est avantageuse si la possibilité apportée par l’invention est envisagée dès la pose des boîtiers d’encastrement, c’est-à-dire en amont dans le processus de montage de l’installation électrique. Comme on le verra dans la suite, elle peut alors procurer un gain de temps.
[0016] Alternativement, la paroi périphérique du dispositif de protection est distincte du boîtier d’encastrement, ledit boîtier et la paroi périphérique comportant des moyens de fixation mutuels. Elle est donc attachable à / détachable des boîtiers fixés à leurs supports muraux. Cette configuration apporte les mêmes résultats sur un plan technique - que la précédente, mais elle présente l’avantage de lui conférer une souplesse intéressante dans la mesure où :
[0017] a. elle ne nécessite pas d’être prévue en amont, mais peut au contraire être mise en œuvre sur des chantiers dans lesquels des boîtiers qui en sont dépourvus sont déjà en place, dès lors qu’un changement est envisagé, par exemple la pose d’un carrelage non prévu initialement ;
[0018] b. elle est utilisable avec des boîtiers de divers fabricants ;
[0019] c. elle est le cas échéant réutilisable, dans une version réversible selon laquelle la paroi périphérique est amovible.
[0020] Ce dispositif de protection est alors conçu comme une pièce indépendante du boîtier, ce qui lui permet d’être attaché à toute forme de boîtier préexistant. Les moyens de fixation mutuels peuvent notamment être à enclenchement élastique, par exemple clipsable sur des vis de fixation propres auxdits boîtiers, comme on le verra plus en détail dans la suite. Ces moyens de fixation réalisent un ensemble solidaire, rigide, s’ajustant automatiquement par une étape d’assemblage qui fait intervenir des caractéristiques de souplesse et d’élasticité du matériau, en lien avec la forme donnée aux parties d’assemblage de la paroi périphérique et du boîtier.
[0021] Dans cette configuration, comme dans l’option d’un seul tenant avec le boîtier, la paroi périphérique doit être sécable au ras de la surface de revêtement rapportée. Dans ce cas, la pièce additionnelle est évidemment à usage unique.
[0022] Dans tous les cas, le dispositif de l’invention peut s’adapter à tous types de boîtiers d’encastrement, qu’ils soient standards, étanches etc. La présente invention peut par ailleurs constituer un incontestable bénéfice technique non seulement pour les corps de métiers déjà mentionnés, qui sont les praticiens intervenant dans le bâtiment en cours de construction, mais elle est également de nature à être utilisée ou prescrite par des professions situées plus en amont dans la chaîne, comme les maîtres d’œuvre de chantiers, les maîtres d’ouvrage, les architectes etc., ce qui lui confère, à travers ses caractéristiques d’adaptabilité à pratiquement tous les boîtiers existants, un caractère d’universalité.
[0023] Notamment lorsque le dispositif de protection est amovible, sa paroi périphérique peut être réalisée en plusieurs parties munies de moyens de solidarisation entre elles. Elle peut par exemple présenter deux parties d’environ la moitié de la périphérie, notamment clipsables entre elles.
[0024] Toujours dans le cas d’un dispositif de protection présentant une amovibilité par rapport au boîtier, les moyens de fixation amovibles au boîtier d’encastrement peuvent être constitués pour une part d’au moins une partie des moyens de couplage mécanique des appareillages électriques dans ledit boîtier. Ainsi, par exemple, le dispositif de protection peut comporter des moyens de clipsage à des vis du boîtier d’encastrement, puisqu’un des moyens les plus communs de couplage des appareillages électriques aux boîtiers d’encastrement s’effectue par vissage. Des vis périphériques, en général au nombre de deux, sont alors prévues à cet effet. Il suffit de les dévisser un peu pour que leur fût offre une possibilité de clipsage. Alternativement, des griffes de fixation peuvent être assemblées au dispositif de protection. En d'autres termes, ledit dispositif de protection comporte des moyens de solidarisation de griffes de fixation, lesquelles sont dès lors disponibles pourvues d’organes s’adaptant à ces moyens. Cette configuration est utile dans l’hypothèse où le boîtier est dépourvu de vis d’ancrage de l’appareillage électrique.
[0025] Selon une variante, dans laquelle le boîtier d’encastrement est fixé à la cloison au moyen d’une bague dans laquelle il est monté coulissant selon un axe d’allure perpendiculaire à l’ouverture, la paroi périphérique du dispositif de protection peut être constituée d’une portion axiale de l’enveloppe du boîtier. Le dispositif de protection de l’invention, s’il se présente alors sous la même forme que dans les autres configurations, ne nécessite cependant pas de paroi supplémentaire comme dans les cas précédents, la seule paroi de l’enveloppe du boîtier étant suffisante. En cours d’installation, il suffit de faire coulisser le boîtier de sorte qu’une portion du pourtour de son enveloppe dépasse de la surface libre de la cloison pour que la fonction du dispositif de protection de l’invention soit assurée. En fin d’installation, un coulissement inverse fait rentrer le boîtier dans l’orifice de la paroi, de sorte que l’ouverture du boîtier affleure ladite surface libre de la cloison. [0026] Par ailleurs, pour améliorer encore la protection de l’intérieur du volume du boîtier d’encastrement contre les dépôts, projections etc. parasites, la paroi périphérique du dispositif de protection peut aussi comporter des moyens de protection additionnels aptes à faire écran pour préserver les moyens de couplage mécanique des appareillages électriques situés dans le boîtier. IL peut notamment s’agir de caches dépassant vers l’intérieur de la paroi périphérique du dispositif de protection, qui protègent, dans l’exemple mentionné auparavant, les têtes de vis.
[0027] Pour parfaire encore cette protection additionnelle, le système de l’invention peut comporter un couvercle apte à obstruer le dispositif de protection de l’ouverture, s’adaptant au bord libre de la paroi périphérique et rendant ainsi tout passage de produits indésirables vers le volume intérieur des boîtiers d’encastrement impossible.
[0028] De préférence, le dispositif de protection de l’invention peut consister en une collerette périphérique, qui présente alors une ou plusieurs des caractéristiques mentionnées ci-dessus. Cette collerette peut se présenter sous de multiples formes, elle peut notamment être simple, double triple etc. Elle peut évidemment être circulaire, carrée, rectangulaire, etc. notamment selon la forme du boîtier d’encastrement. Elle peut être distincte du boîtier, d’une seule pièce avec celui-ci, une portion de la paroi périphérique de l’enveloppe du boîtier.
[0029] Il est à noter que la présente invention concerne préférentiellement les boîtiers dits de type « cloison sèche ». Elle ne concerne donc pas un prolongateur tel que ceux qui sont connus pour :
[0030] a. traiter l’épaisseur « importante » entre un mur brut et la surface suivante, qui sert de support et de surface d’appui aux boîtiers de cloisons sèches ;
[0031] b. traiter sous forme de rallonge un boîtier destiné à être noyé dans un mur en béton.
[0032] L’invention ne concerne en pratique que cette nouvelle surface d’appui, qui est transformée par les corps de métier en partant d’un premier état brut, pour arriver à un second état travaillé avec une nouvelle « peau de finition » qui réalise la surface finie (enduit de finition, carrelage, etc...).
[0033] Elle ne concerne donc pas non plus les murs extérieurs (ceux qui sont situés à l’extérieur du bâtiment), et n’est donc pas un prolongateur extérieur, tel qu’ils sont bien connus, qui englobent le cas échéant l’isolant et le crépi.
[0034] L'invention va à présent être décrite plus en détail en référence aux figures annexées, qui ne présentent que des exemples non limitatifs de l’invention, et pour lesquelles :
[0035] la figure 1 est une vue schématique en coupe d’un système selon l’invention d’installation d’appareillages électriques dans une cloison doté d’un boîtier d’encastrement fixé dans ladite cloison ;
[0036] la figure 2 représente une vue schématique en perspective de l’installation, montrant les effets du dispositif de protection lorsqu’il est installé ;
[0037] la figure 3 montre une vue schématique en perspective d’une collerette en deux portions séparées ;
[0038] la figure 4 est une vue en perspective d’une collerette en une pièce, figurant les moyens de clipsage dans les vis d’un boîtier d’encastrement standard ;
[0039] la figure 5 représente un exemple d’un boîtier d’un seul tenant avec la paroi périphérique d’un dispositif de protection selon l’invention ; et [0040] la figure 6 montre de manière schématique une solution à boîtier coulissant.
[0041] En référence à la figure 1, le dispositif de protection 2 selon l’invention prend la forme d’une paroi périphérique ou collerette 20, que l’on peut qualifier de collerette de « propreté », qui est attachée, par exemple par clipsage, à un boîtier d’encastrement 1 fixé à une cloison 3, par exemple une cloison 3 de doublage en placo-plâtre. Le boîtier 1 présente une enveloppe rigide ou semi-rigide 9 qui traverse la cloison 3 via un orifice 6 de passage pratiqué dans cette dernière, et repose sur la surface libre 8 de cette cloison 3 via un rebord annulaire 14. Le clipsage est en l’occurrence effectué sur les vis 4 de fixation normalement prévues pour la solidarisation d’un appareillage électrique traditionnel, par exemple un interrupteur. La collerette 20 est en saillie de ladite paroi 3, ce qui apparaît également très clairement en figure 2. Elle matérialise la limite de la zone qui ne devra pas être « touchée » par les corps de métier entre les première et deuxième interventions de l’électricien. Elle délimite la zone protégée, en particulier l’ouverture 5 du boîtier 1 affleurant la cloison 3, permettant de laisser intacte la région dans laquelle l’électricien sera amené à travailler au cours de son deuxième passage.
[0042] Selon un premier scénario, après les interventions des autres artisans, qui doivent procéder aux travaux de finition de la surface libre de la cloison, cette collerette 20 est enlevée, à tout le moins la partie qui dépasse de la dernière couche mise en place sur la cloison 3, comme on le verra ci-dessous, puis l’appareillage électrique adéquat est fixé au boîtier d’encastrement 1.
[0043] En réalité, par exemple si du carrelage est fixé entretemps sur ladite surface, seule une partie de la collerette 20 dépassant axialement de la cloison 3 pourra être enlevée, s'il y a lieu, en cassant la partie sécable qui dépasse. Ce qui est enlevé peut être prévu en un matériau jetable, ou en matière recyclable, selon la nature des matériaux choisis. En particulier, il est possible de prévoir une collerette 20 en matériau semi-rigide à mémoire de forme. Alternativement, on peut concevoir une collerette retirable par sublimation, ce qui nécessite de fournir un spray qui diffuse un produit faisant passer la partie soumise à projection d’un état solide à un état gazeux. La collerette 20 « s’évapore » en quelque sorte.
[0044] Si la collerette 20 fait partie intégrante du boîtier 1, ce qui représente une des configurations possibles de l’invention, désignée comme « native », une seule opération de pose est nécessaire pour le boîtier 1 à collerette 20 intégrée, ce qui est objectivement un gain de temps pour l’électricien. Les boîtiers 1 d’encastrement, dans la version de configuration de boîtier « natif », sont surmontés d’une paroi périphérique 20 de 20 mm d’une seule pièce avec le reste de l’enveloppe 9, permettant une découpe de ce qui reste saillant après revêtement d’une couche additionnelle.
[0045] L’ensemble peut être classiquement réalisé par injection dans un moule dédié.
[0046] Une collerette 20 seule, comme celle qui apparaît en figure 3, peut être mise en place sur un chantier dans lequel les cloisons sont déjà munies de leurs boîtiers d’encastrement, pratiquement quelle que soit la marque desdits boîtiers. Cette collerette 20 se présente, selon un exemple non limitatif propre à cette figure, en deux portions distinctes 20a, 20b, qui peuvent s’assembler, par exemple par clipsage, avant d’être attachées au boîtier 1, ou s’y attacher successivement. Comme on l’a déjà mentionné, et dans une configuration préférentielle qui sera montrée plus en détail dans la suite, la collerette 20 peut également se présenter en une seule et unique pièce.
[0047] La collerette 20 est également fabriquée de manière classique par exemple par injection, en utilisant de préférence une matière qui présente une certaine souplesse pour pouvoir être déformée, coiffer les vis 4 de fixation de l’appareillage électrique et se verrouiller sur ces deux vis 4 par exemple par un mouvement d’un quart de tour.
[0048] L'épaisseur de la collerette 20 peut varier, selon les applications pratiques auxquelles elle sera dévolue. Il est à noter que la collerette 20 qui se fixe en utilisant les vis 4 propres aux boîtiers 1 présente un avantage supplémentaire, en ce sens qu’elle ne dépend pas des variations éventuelles des diamètres des boîtiers 1, telles qu’elles se présentent sur les boîtiers 1 du marché, car les vis 4 de pratiquement tous les boîtiers 1 disponibles présentent le même écartement.
[0049] Il est également à noter que sont également concernés par l’application d’une telle collerette 20 des boîtiers d’appareillage à écartement plus large, et/ou des boîtiers de dérivation à dimensions multiples etc. Si un boîtier 1 est dépourvu de vis 4 d’ancrage d’appareillages électriques, l’existence de vis peut être prévu dans la collerette même, en sus des configurations précédemment décrites.
[0050] L’épaisseur de la paroi native ou de la collerette 20 est de l’ordre de 2 mm, soit une épaisseur qui avoisine celle du boîtier 1 d’encastrement traditionnel.
[0051] La couleur de la collerette 20 peut également jouer un rôle fonctionnel, en permettant d’identifier à distance les boîtiers 1 qui en sont munis. La couleur, qui doit trancher avec le reste du revêtement, est dès lors et de préférence choisie pour être distinctive et visible de loin, facilitant le repérage d’emblée, par l’électricien, des boîtiers 1 qui en sont équipés.
[0052] Une telle collerette 20 est plus précisément représentée en figure 4, qui comporte des lignes périphériques d’affaiblissement, en l’occurrence des stries 21, permettant une segmentation de la hauteur de ladite collerette 20 à des endroits discrets répartis sensiblement régulièrement le long de ladite hauteur, délimitant en fait des anneaux périphériques 22. Dans l’exemple représenté, des ailettes 23 superposées équipent la face intérieure 24 de la collerette 2, lesdites ailettes 23 présentant chacune une ouverture 25 débouchant vers l'intérieur du volume enclos par la collerette 2.
[0053] Les ouvertures 25 superposées constituent un logement axial pour les vis 4 des boîtiers 1 d’encastrement standards, qui viennent s’y clipser après guidage le long des rampes constituées par les parties desdites ailettes 23 situées à droite des ouvertures 25, lorsque l’utilisateur opère une rotation telle que lesdites vis 4 viennent progressivement prendre appui sur lesdites rampes avant clipsage. Les ailettes 23 sont en réalité disposées en saillie d’anneaux périphériques 22 superposés constituant la collerette 20, entre deux stries 21.
[0054] Des écrans de protection 26, permettant de préserver les têtes des vis 4 contre toute intrusion intempestive de matériaux/saletés susceptibles de boucher les reliefs desdites têtes, apparaissent sur le pourtour de la collerette 20 distal du boîtier 1 d’encastrement. Ces écrans 26 sont bien entendu orientés vers l’intérieur de la collerette 20, au droit des ouvertures 25 prévues pour loger les vis 4. Le sens de rotation à donner à la collerette 20 pour réaliser la fixation par clipsage des vis 4 dans les ailettes 23 est donné par une signalisation en forme de flèche, représentée sur les faces visibles des écrans 26 de protection.
[0055] Une version « native » à collerette 20 d’une seule pièce avec le boîtier standard 1 est illustrée en figure 5. Dans ce cas, nul besoin de moyens de fixation de la collerette 2, comme dans la configuration précédente. Il subsiste cependant des moyens d’ancrage 11 des vis de fixation des appareillages électriques à coupler à ces boîtiers 1, en l’occurrence des orifices 11 pratiqués dans des consoles 10 dépassant de la paroi intérieure 12 du boîtier 1. Des écrans 13 sont également prévus dans cette version, remplissant exactement la même fonction que les écrans 26 qui apparaissent dans la configuration à collerette 20 libre. Le boîtier d’encastrement 1 est positionné, relativement à la cloison à équiper, à l’aide d’une jupe 14 équivalente du rebord annulaire 14 de la version à collerette 20 distincte.
[0056] En référence à la figure 5, le boîtier 1 ne comporte pas une telle jupe ou rebord annulaire 14, mais est fixé à la cloison 3 via une bague 30 dans laquelle il peut coulisser axialement. Cette bague 30 comporte elle aussi un rebord périphérique d’appui 31 sur la surface libre 8 de la cloison 3. L’enveloppe 7 du boîtier est donc 5 visible de part et d’autre de ladite bague 30, et peut coulisser entre des positions dans lesquelles il est respectivement en saillie de la surface libre 8 et placé en affleurement de ladite surface 8. Comme dans la configuration de la figure 4, la paroi interne 12 du volume intérieur 7 comporte des consoles 10 permettant de loger des vis 4 de fixation des appareillages électriques.
[0057] Les exemples de mise en œuvre de l'invention en référence aux figures ne peuvent être tenus pour exhaustifs de celle-ci, qui englobe au contraire les variantes de formes et de configurations qui découlent de manière évidente des configurations présentées.

Claims (1)

  1. Revendications
    Système d’installation d’appareillages électriques dans [Revendication 1] une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique muni de moyens de couplage mécanique des appareillages électriques et fixé dans ladite cloison 3, ledit boîtier 1 comportant une enveloppe 9 délimitant un volume intérieur 7 débouchant via une ouverture 5 dans la surface libre 8 de la cloison 3 au travers d’un orifice 6 pratiqué dans ladite cloison 3, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif de protection 2 du volume intérieur 7 présentant une paroi périphérique 20 entourant l’ouverture, faisant saillie de ladite surface libre 8 pendant l’installation, et au moins partiellement escamotable ou amovible en fin d’installation.
    [Revendication 2] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le dispositif de protection 2 est relié au boîtier 1 et présente des moyens de segmentation 21 de la paroi dans la direction du dépassement de la surface libre de la cloison.
    [Revendication 3] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les moyens de segmentation consistent en des stries 21 d’affaiblissement ou en des découpes en pointillé périphériques, d’allure parallèle entre elles, pratiquées dans la paroi 20 du dispositif de protection 2 entre son bord libre et sa jonction avec l’ouverture 5 du boîtier 1.
    [Revendication 4] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la paroi périphérique 20 du dispositif de protection 2 est constitué d’un seul tenant avec l’enveloppe 9 du boîtier 1.
    [Revendication 5] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la paroi périphérique 20 du dispositif de protection 2 est distincte du boîtier 1 d’encastrement, ledit boîtier 1 et la paroi périphérique 20 comportant des moyens de fixation mutuels.
    [Revendication 6] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les moyens de fixation mutuels sont à enclenchement élastique.
    [Revendication 7] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des revendications 5 et 6, caractérisé en ce que la paroi périphérique 20 du dispositif de protection 2 est réalisée en plusieurs parties 20a, 20b munies de moyens de solidarisation entre elles.
    [Revendication 8] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des revendications 5 à 7, caractérisé en ce que les moyens de fixation mutuels sont constitués pour une part d’au moins une partie des moyens de couplage mécanique des appareillages électriques dans ledit boîtier 1.
    [Revendication 9] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le dispositif de protection 2 comporte des moyens de clipsage à des vis 4 du boîtier 1 d’encastrement.
    [Revendication 10] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication 8, caractérisé en ce que le dispositif de protection 2 comporte des moyens de solidarisation de griffes de fixation.
    [Revendication 11] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon la revendication 8, caractérisé en ce que le boîtier 1 d’encastrement est fixé à la cloison 3 au moyen d’une bague 30 dans laquelle il est monté coulissant selon un axe d’allure perpendiculaire à l’ouverture 5, la paroi périphérique 20 du dispositif de protection 2 étant constituée d’une portion axiale de l’enveloppe 9 du boîtier 1.
    [Revendication 12] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la paroi périphérique 20 du dispositif de protection 2 comporte des moyens de protection 13, 26 additionnels aptes à faire écran devant les moyens de couplage mécanique des appareillages électriques situés dans le boîtier 1.
    [Revendication 13] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des 5 revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il comporte un couvercle apte à obstruer le dispositif de protection 2 de l’ouverture 5, s’adaptant au bord libre de la paroi périphérique 20.
    [Revendication 14] Système d’installation d’appareillages électriques dans une cloison 3 à boîtier 1 d’encastrement électrique selon l’une des 10 revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif de protection 2 consiste en une collerette périphérique 20.
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