FR3080256A1 - Chariot pour le deplacement d'un operateur assis devant des rangs de plantations - Google Patents

Abstract

Chariot comprenant suivant une direction longitudinale des roues avant (10) fixes suivant cette direction longitudinale, et des roues arrière (14), et entre ces roues avant (10) et arrière (14) une assise (24) prévue pour recevoir un opérateur, l'assise (24) présentant une surface d'appui de l'opérateur qui s'étend en arrière du plan transversal (P) médian entre les axes des roues avant (8) et arrière (12), permettant à l'opérateur assis de positionner son centre de gravité en arrière de ce plan (P), le chariot comportant une poignée de traction (34) disposée à l'avant, accessible par l'opérateur assis suivant ce positionnement.

Description

CHARIOT POUR LE DEPLACEMENT D’UN OPERATEUR ASSIS DEVANT DES RANGS DE PLANTATIONS

La présente invention concerne un chariot équipé d’une assise permettant un déplacement latéral d’un opérateur devant des rangs de plantations.

Les cultures d’arbustes disposés suivant des rangs, comme des plants de vignes ou des arbres fruitiers, nécessitent chaque année des déplacements d’un opérateur le long des routes entre les rangs, en passant devant chaque pied pour effectuer différentes opérations de soins, comme la taille, le liage ou l’ébourgeonnage, ou pour les récoltes.

Dans le cas d’arbustes de petite taille, en particulier pour les vignes, l’opérateur peut travailler assis sur un chariot à la hauteur des opérations à effectuer, afin d’éviter une position penchée pouvant entraîner des troubles musculo-squelettiques.

Un type de chariot connu permettant d’effectuer ces opérations, présenté notamment par le document FR-A1-2783670, comporte suivant la direction longitudinale, dans une route entre deux rangs un siège disposé entre d’un côté une ou deux roues avant montées sur un pivot vertical assurant la direction, et de l’autre côté une roue arrière entraînée par une motorisation, et dans la route disposée en arrière de l’opérateur, une troisième roue assurant la stabilité du chariot.

Ce type de chariot comprenant un mécanisme de direction pour faire pivoter les roues avant, présente un encombrement important et une masse élevée ne permettant pas de le déplacer facilement pour le passer d’une route à l’autre. De plus il nécessite un véhicule utilitaire ou une remorque pour le transporter, et la complexité de la direction entraîne des coûts de fabrication élevés.

D’autres types de chariots connus comportant trois ou quatre roues, présentent une largeur suffisamment réduite pour rester dans la largeur d’une route entre deux rangs.

Les chariots peuvent être motorisés, en particulier avec une motorisation électrique, permettant une avance à petite vitesse pour placer l’opérateur devant chaque pied. En variante l’opérateur peut propulser le chariot avec ses pieds, grâce à un mouvement latéral des jambes pour une assise suivant la direction transversale, ou un mouvement longitudinal pour une assise suivant l’axe du chariot.

Ce type de chariots avec motorisation et système de direction pèse généralement entre 80 à 120kg.

D’autres types de chariots connus pour cet usage ne disposent d’aucun système de direction, ce qui oblige l’opérateur à se lever périodiquement pour soulever son avant, notamment en utilisant un manche fixé à l’avant de ce 15 chariot, pour le remettre suivant la bonne trajectoire.

On notera que de plus en plus d’exploitants effectuent une culture biologique sans désherbage chimique, ce qui nécessite un travail du sol avec des outils pour éliminer la flore non désirable et assurer leur respiration. On obtient une surface du sol fortement irrégulière qui ne favorise pas la conduite 20 en ligne droite d’un chariot.

La présente invention a notamment pour but d’éviter ces problèmes de l’art antérieur.

Elle propose à cet effet un chariot comprenant suivant une direction longitudinale des roues avant fixes suivant cette direction longitudinale, et des 25 roues arrière, et entre ces roues avant et arrière une assise prévue pour recevoir un opérateur, ce chariot étant remarquable en ce que l’assise présente une surface d’appui de l’opérateur qui s’étend en arrière du plan transversal médian entre les axes des roues avant et arrière, permettant à l’opérateur assis de positionner son centre de gravité en arrière de ce plan, et 30 en ce qu’il comporte une poignée de traction disposée à l’avant, accessible par l’opérateur assis suivant ce positionnement.

Un avantage de ce chariot et que sans se lever, pour rectifier une trajectoire en suivant une route entre deux rangs de la culture, l’opérateur s’assoit vers l’arrière du chariot grâce à l’assise permettant ce placement du sens de gravité. La masse totale du chariot étant plus élevée sur les roues arrière ce qui soulage les roues avant, l’opérateur se saisit alors de la poignée de traction restant accessible, pour effectuer par une traction brutale un petit soulèvement des roues avant avec un déport latéral qui les remet suivant la direction longitudinale souhaitée.

On obtient un chariot sans mécanisme pour la direction, qui présente une masse réduite ainsi qu’une simplicité permettant un coût limité. Arrivé au bout d’un rang l’opérateur se lève pour déplacer facilement le chariot qui est léger, en soulevant la roue avant pour le positionner sur la route suivante. En fin de travail le chariot compact et léger peut se placer simplement dans le coffre d’un véhicule de tourisme.

Le chariot selon l’invention peut de plus comporter une ou plusieurs des caractéristiques suivantes, qui peuvent être combinées entre elles.

Avantageusement, la poignée de traction présente une hauteur inférieure à celle de l’assise. Cette hauteur permet à un opérateur assis de développer une certaine force sur la poignée de traction.

Avantageusement, la poignée de traction est fixée autour d’un tube disposé transversalement. Cette disposition simple à réaliser permet de donner à l’opérateur une bonne prise sur la poignée.

Avantageusement, la poignée de traction est fixée sur des montants disposés à l’extrémité avant d’un châssis du chariot.

Avantageusement, le chariot comporte un manche de guidage fixé à son avant par un pivot disposé transversalement.

Avantageusement, le chariot comporte une unique roue à l’avant et deux roues à l’arrière.

Dans ce cas, avantageusement le chariot comporte un châssis comprenant deux longerons parallèles, la roue avant étant disposée entre ces longerons, les roues arrière étant disposées de chaque côté à l’extérieur des longerons.

Selon un mode de réalisation, le chariot comporte une motorisation électrique entraînant les deux roues arrière à la même vitesse.

Dans ce cas, avantageusement le chariot comporte une batterie d’alimentation de la machine électrique, qui est disposée entre deux roues arrière.

Le chariot étant équipé d’un manche de guidage, avantageusement ce manche de guidage comporte à son extrémité une commande du moteur électrique.

Dans ce cas, en particulier la commande peut comporter une poignée pivotant autour de l’axe du manche de guidage.

Avantageusement, le chariot comporte un levier de commande basculant disposé à proximité d’un genou d’un opérateur assis sur le chariot, formant une commande du moteur électrique.

Avantageusement, le chariot comporte un levier de freinage agissant sur un frein lié à des roues du chariot.

L’invention sera mieux comprise et d’autres caractéristiques et avantages apparaîtront plus clairement à la lecture de la description ci-après donnée à titre d’exemple et de manière non limitative, en référence aux dessins annexés dans lesquels :

la figure 1 est un schéma d’un chariot selon l’invention vu de côté ; et la figure 2 est un schéma de ce chariot vu de dessus.

Les figures 1 et 2 présentent un chariot comportant un châssis 2 formant un cadre rectangulaire, comprenant deux longerons latéraux 4 reliés entre eux par des traverses 6.

Dans la direction longitudinale, du côté avant indiqué par la flèche AV, un axe transversal avant 8 fixé sous les longerons 4 reçoit une roue avant 10 disposée entre ces deux longerons. Du côté arrière un axe transversal arrière 12 fixé sous les longerons 4, reçoit de chaque côté à l’extérieur du châssis 2 une roue arrière 14. On obtient de cette manière une disposition en triangle des trois roues 10, 14 qui assure la stabilité du chariot.

Chaque roue 10, 14 possède un pneumatique large du type agricole comprenant une basse pression, ce qui facilite le roulage sur des sols meubles et irréguliers. Le réglage de la pression des pneumatiques des roues 10, 14 permet de s’adapter à l’état des sols.

Un moteur électrique 16 fixé sur le châssis 2 entre les roues avant 10 et les roues arrière 14, comporte un arbre disposé transversalement, supportant un pignon recevant une chaîne 18 qui entraîne une couronne 20 fixée à l’axe arrière 12 entre les deux longerons 4.

Une batterie 22 fixée sur le châssis 2 entre les roues arrière 14, alimente le moteur électrique 16. Avantageusement on utilise une batterie 22 au lithium, présentant par exemple une tension de 48V, permettant de recevoir une quantité d’énergie importante par rapport à sa masse. En particulier on peut utiliser un moteur électrique 16 avec son unité de contrôle ainsi qu’une batterie produits en grande série pour les vélos électriques, ce qui permet de disposer de composants présentant des coûts très modérés.

On réalise de cette manière une motorisation du chariot comprenant un entraînement direct des deux roues arrière 14, sans différentiel, ce qui tend à pousser le chariot suivant sa direction longitudinale.

De plus la roue avant 10 présentant un axe fixe sur le chariot, son avance se fait en principe en ligne droite avec des perturbations de direction pouvant venir des irrégularités du sol ou d’une pente de la route.

Une selle 24 comprenant un rembourrage, fixée par des montants 26 au châssis 2, présente une direction allongée suivant la direction longitudinale, qui arrive presque au niveau des axes 8, 12 des roues avant 10 et arrière 14. Par rapport au sol le dessus de la selle 24 se trouve à une hauteur d’environ 50cm, cette hauteur étant réglable pour s’adapter à la taille des opérateurs.

De cette manière pour effectuer des opérations sur les cultures un opérateur peut s’asseoir dans la direction longitudinale à cheval sur la selle 24, en disposant d’un rang de culture de chaque côté, ou dans la direction transversale avec les deux pieds du même côté, en disposant d’un rang de culture face à lui.

La selle 24 comporte en particulier une longueur suffisante venant en arrière du plan médian transversal P passant à équidistance entre les axes des roues 8, 12, lui permettant de s’asseoir longitudinalement ou transversalement en disposant le centre de gravité de sa masse M en arrière de ce plan médian.

En additionnant la masse de la batterie 22 se trouvant au niveau des roues arrière 14, et la masse de l’opérateur M, l’essieu arrière est fortement chargé alors que l’essieu avant l’est faiblement. De cette manière la disposition des roues comprenant une seule roue à l’avant 10 et deux roues à l’arrière 14 permet d’obtenir une pression bien répartie sur chaque roue.

Deux montants 30 fixés chacun à un coin avant du châssis 2, présentent des extrémités supérieures reliées entre elles par un tube transversal 32 qui est disposé en dessous de la face supérieure de la selle 24, sensiblement à la hauteur de la base de cette selle.

Une poignée de traction 34 entourant le tube transversal 32, se trouve à une distance de l’opérateur assis suivant la direction longitudinale ou transversale, vers l’arrière de la selle 24, lui permettant de saisir facilement cette poignée.

Un levier de commande 46 fixé à sa base par un pivot transversal 48 sur le côté extérieur du longeron gauche 4 du châssis 2, comporte à son extrémité supérieure une poignée fixe 50 se trouvant à proximité d’un genou de l’opérateur assis suivant la direction longitudinale ou transversale.

De cette manière après chaque opération sur un plant, l’opérateur déplace légèrement un genou pour appuyer sur la poignée fixe 50 en faisant basculer le levier de commande 46 rappelé par un ressort, afin de commander par un câble un contrôleur électronique de pilotage du moteur électrique 16 pour régler sa vitesse de rotation, et l’avance du chariot jusqu’au plant suivant.

Un manche de guidage allongé 40 comporte une base fixée par un pivot transversal 42 sur le côté extérieur du montant avant gauche 30 du châssis 2, et une extrémité supérieure comprenant une poignée tournant 44 autour de l’axe du manche, commandant aussi par un câble le contrôleur électronique de pilotage du moteur électrique 16.

Un interrupteur électrique 52 disposé sur le manche de guidage 40 à côté de la poignée tournante 44, forme un inverseur permettant d’inverser le sens de rotation du moteur électrique 16 pour commander la marche avant ou la marche arrière.

Lors de l’arrivée au bout d’une route à la fin d’un rang, l’opérateur saisit la poignée tournante 44 en faisant basculer le manche de guidage 40 vers l’avant, pour à la fois tourner cette poignée en commandant l’avance du chariot, et guider ce chariot en soulevant légèrement la roue avant 10 si nécessaire pour la décaler latéralement afin de diriger le chariot en l’amenant sur la route suivante.

Le poids réduit du chariot portant sur la roue avant 10 facilite cette manœuvre de direction avec l’opérateur debout. De plus la longueur du manche de guidage 40 permet à l’opérateur d’avancer en guidant le chariot, sans risquer de cogner ses pieds sur l’avant de ce chariot.

Pour une correction de la direction du chariot avec l’opérateur assis dessus pendant le roulage sur une route, si la direction de ce chariot est perturbée, par exemple par la pente du sol en dévers ou par ses irrégularités, l’opérateur assis vers l’arrière de la selle 24 saisit la poignée de traction 34, puis exerce d’un même coup une traction sur cette poignée ainsi qu’un petit déplacement latéral pour soulever la roue avant 10 ou alléger sa charge au sol, et la remettre dans la bonne direction.

Le report de la masse totale du chariot sur les roues arrière 14 facilite le soulèvement de la roue avant 10 qui supporte une faible charge. L’opérateur peut réaliser de cette manière facilement et rapidement, sans se lever du chariot ce qui évite des mouvements inutiles, de manière fréquente si nécessaire, des corrections de trajectoire.

De plus le chariot ne comprenant pas de mécanisme de direction présente une masse limitée, et est simple à fabriquer ce qui permet d’obtenir des coûts modérés.

En particulier en utilisant des tubes en aluminium pour former le châssis 2, on peut réaliser un chariot équipé d’une motorisation électrique, présentant une masse inférieure à 30kg, et en particulier inférieur à 25kg. La longueur totale du chariot peut être inférieure à un 1m20, ce qui permet à un opérateur seul de le soulever facilement pour le disposer dans le coffre d’un véhicule de tourisme.

Un levier de freinage 64 fixé à sa base par un pivot transversal 66 sur le côté extérieur du longeron gauche 4 du châssis 2 près des roues arrière 14, comporte une extrémité supérieure disposée à proximité du genou ou du coude de l’opérateur assis suivant la direction transversale.

Le levier de freinage 64 est relié par une commande 68 à un étrier de freinage 62, qui vient sur un disque de frein 60 fixé sur l’axe des roues arrière 12, à côté de la couronne de chaîne 20. Le levier de freinage 64 permet à l’opérateur de freiner le chariot avec son genou ou son coude en restant assis sur la selle 24, en particulier dans les descentes, afin de s’arrêter facilement et sans effort face aux plants à travailler.

En particulier on peut utiliser un disque de frein 60 et un étrier 62 commandés par un câble ou une commande hydraulique, venant du système de freinage d’un vélo. On peut en variante utiliser tout autre type de frein, en particulier un frein freinant directement l’arbre du moteur électrique 16.

En complément le chariot peut recevoir tout type d’accessoires, comme des protections couvrant les roues 10, 14, des montants verticaux recevant une couverture pour protéger du soleil et de la pluie, ou à l’arrière un bac en plastique formant un coffre recevant des outils comme un sécateur ou des composants comme des liens pour les plantations. On peut aussi mettre un plateau sur la selle 24 ou à la place de cette selle, pour transporter des objets encombrants comme des piquets.

Suivant un autre mode de réalisation de l’invention, le chariot peut être réalisé sans motorisation électrique. Dans ce cas il avance uniquement par le travail de jambes de l’opérateur, avec des corrections de trajectoire qui s’opèrent de manière identique en utilisant la poignée de traction 34. On 5 réalise alors suivant le même principe des chariots très légers et économiques, qui peuvent présenter une masse inférieure à 20kg.

Le chariot suivant l’invention comprenant une faible largeur, d’environ 0,50m, convient en particulier pour le travail dans les vignes présentant un espacement entre deux rangs de pieds de vigne qui peut descendre à 1m. Il 10 peut convenir à tout autre type de culture nécessitant un travail assis.

Claims (14)

1. REVENDICATIONS

   1 - Chariot comprenant suivant une direction longitudinale des roues avant (10) fixes suivant cette direction longitudinale, et des roues arrière (14), et entre ces roues avant (10) et arrière (14) une assise (24) prévue pour recevoir un opérateur, caractérisé en ce que l’assise (24) présente une surface d’appui de l’opérateur qui s’étend en arrière du plan transversal (P) médian entre les axes des roues avant (8) et arrière (12), permettant à l’opérateur assis de positionner son centre de gravité en arrière de ce plan (P), et en ce qu’il comporte une poignée de traction (34) disposée à l’avant, accessible par l’opérateur assis suivant ce positionnement.
2. 2 - Chariot selon la revendication 1, caractérisé en ce que la poignée de traction (34) présente une hauteur inférieure à celle de l’assise (24).
3. 3 - Chariot selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la poignée de traction (34) est fixée autour d’un tube disposé transversalement (32).
4. 4 - Chariot selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la poignée de traction (34) est fixée sur des montants (30) disposés à l’extrémité avant d’un châssis du chariot (2).
5. 5 - Chariot selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il comporte un manche de guidage (40) fixé à l’avant du chariot (2) par un pivot (42) disposé transversalement.
6. 6 - Chariot selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il comporte une unique roue à l’avant (10) et deux roues à l’arrière (14).
7. 7 - Chariot selon la revendication 6, caractérisé en ce qu’il comporte un châssis (2) comprenant deux longerons parallèles (4), la roue avant (10) étant disposée entre ces longerons (4), les roues arrière (14) étant disposées de chaque côté à l’extérieur des longerons (4).
8. 8 - Chariot selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il comporte une motorisation électrique (16) entraînant les deux roues arrière (14) à la même vitesse.
9. 9 - Chariot selon la revendication 8, caractérisé en ce qu’il comporte une batterie (22) d’alimentation de la machine électrique (16), qui est disposée entre deux roues arrière (14).
10. 10 - Chariot selon la revendication 5, et la revendication 8 ou 9,

    5 caractérisé en ce que le manche de guidage (40) comporte à son extrémité une commande (44) du moteur électrique (16).
11. 11 - Chariot selon la revendication 10, caractérisé en ce que la commande (44) comporte une poignée pivotant autour de l’axe du manche de guidage (40).

    10
12. 12 - Chariot selon l’une quelconque des revendications 8 à 11, caractérisé en ce qu’il comporte un levier de commande basculant (46) disposé à proximité d’un genou d’un opérateur assis sur le chariot, formant une commande du moteur électrique (16).
13. 13 - Chariot selon l’une quelconque des revendications précédentes,
14. 15 caractérisé en ce qu’il comporte un levier de freinage (64) agissant sur un frein (60) lié à des roues du chariot (14).