FR2992283A1 - Cale pour le maintien en position d'un element a monter tel qu'un vitrage dans un encadrement d'un element de carrosserie - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une cale pour le maintien (1) en position d'un élément à monter tel qu'un vitrage dans un encadrement d'un élément de carrosserie, ladite cale (1) comportant une partie de fixation (11) destinée à se positionner sur la bordure de l'encadrement et une partie d'appui (12) destinée à recevoir en appui dessus le bord de l'élément à monter. L'invention consiste en ce que la partie d'appui (12) présente en outre un moyen de retenue (14) ménagé en saillie depuis ladite partie d'appui (12).

Description

9922 83 1 Cale pour le maintien en position d'un élément à monter tel qu'un vitrage dans un encadrement d'un élément de carrosserie La présente invention concerne une cale pour le maintien en position d'un vitrage en vue de son montage sur un élément de carrosserie tel qu'une porte. Plus particulièrement, l'invention vise une cale de maintien d'un vitrage du type vitre entrebaillante lors de sa pose sur une porte. Lorsque la porte est de type à ouverture classique, c'est-à-dire non coulissante, une telle vitre se trouve en interface à l'avant avec la porte avant et à l'arrière avec le côté d'habitacle arrière, par conséquent la précision de son positionnement sur l'encadrement de l'élément de carrosserie et le maintien de ce positionnement pendant toute la phase de montage est essentiel. Or, dans le cas où on utilise une vitre entrebaillante, il est nécessaire de procéder à la fixation des genouillères et charnières dudit vitrage sur la partie envers de la porte. On entraîne alors cette porte en rotation autour de l'axe Z de manière à accéder à son envers et ce, dans un but d'ergonomie pour l'opérateur. Lors de cette manipulation, le positionnement de la vitre entrebaillante peut être modifié. On connaît par FR 2 761 640, ou encore par US 5 339 501, des cales de maintien en position d'un pare-brise par rapport à son encadrement et permettant le maintien en position le temps du collage. De telles cales contre lesquelles sont en appui le bord du vitrage maintiennent bien en position ledit vitrage. Toutefois de telles cales ne permettent pas de maintenir la vitre en position plaquée contre l'encadrement d'un élément de carrosserie. Aussi dans le cas de la pose d'un vitrage sur un élément de carrosserie tel qu'une porte qui se tient dans un plan vertical, les cales ne permettent pas toujours de maintenir l'élément de vitrage dans la bonne position sur ledit élément, en particulier si l'on doit entrainer en pivotement ledit élément de carrosserie autour de son axe vertical lors de l'assemblage comme on l'a décrit ci-dessus pour une vitre entrebaillante.

En effet, lors des différentes opérations de retournement de la porte, la vitre est encore non plaquée contre la carrosserie et peut alors bouger provoquant une perte de la géométrie. Aussi, pour garantir la position correcte du vitrage lors du retournement de la porte, on utilise des moyens de type manipulateur qui maintiennent la vitre plaquée en position contre la carrosserie, ces moyens sont toutefois très encombrants, d'un prix élevé et d'une maintenance compliquée. La présente invention a donc pour but de proposer un dispositif permettant le positionnement correct d'un vitrage de type vitre sur un élément de carrosserie tel qu'une porte et ce, même en cas de manipulations lors de l'assemblage telles qu'un retournement de la porte pour permettre la fixation des genouillère et charnière dans le cas d'une vitre entrebaillante. A cet effet, l'invention propose une cale pour le maintien en position d'un élément à monter tel qu'un vitrage dans un encadrement d'un élément de carrosserie, ladite cale comportant une partie de fixation destinée à se positionner sur la bordure de l'encadrement et une partie d'appui, destinée à recevoir en appui dessus le bord de l'élément à monter, caractérisé en ce que la partie d'appui présente en outre un moyen de retenue ménagé en saillie depuis ladite partie d'appui. Ce moyen de retenue est destiné à venir se positionner contre le vitrage lorsque celui-ci est posé sur la partie d'appui. Ainsi de manière avantageuse, lorsqu'on monte un élément de vitrage sur une porte par exemple, au moins une cale est positionnée sur le bord de l'ouverture de la porte de sorte que la partie d'appui de la cale s'étende sensiblement perpendiculaire à la feuillure de l'encadrement. De cette manière, le moyen de retenue ménagé en saillie de la partie d'appui, définit avec la feuillure un espace dans lequel peut se loger le bord du vitrage à poser. Ainsi, lorsqu'on met en place le vitrage contre la feuillure, ledit vitrage se loge en appui sur la partie d'appui de la cale dans l'espace entre le moyen de retenue et la feuillure. De manière avantageuse, le moyen de retenue se positionne contre le vitrage et exerce un maintien dudit vitrage contre la feuillure.

La cale selon l'invention permet ainsi un positionnement dudit vitrage et maintient celui-ci contre la feuillure de l'encadrement de l'élément de carrosserie ce qui assure que le positionnement du vitrage est conservé durant les opérations de montage. Selon une première forme de réalisation de l'invention, la cale présente une section transversale en forme de U dont une branche constitue la partie de fixation destinée à se positionner sur la bordure de l'encadrement et l'autre branche constitue la partie d'appui sur la surface extérieure de laquelle est ménagé en saillie le moyen de retenue. Ainsi, une butée peut être ménagée sur la face extérieure de la branche d'appui contre laquelle s'appuiera l'élément à poser, pour former le moyen de retenue. De préférence, la cale est réalisée dans un matériau élastiquement déformable, la partie d'appui pouvant se rapprocher au moins au niveau du moyen de retenue de la partie de fixation maintenue fixe en utilisation de sorte que au moins le moyen de retenue est entraînable entre une position active de retenue écartée de la partie de fixation et une position d'effacement lorsque le moyen de retenue est rapproché de la partie de fixation. Selon une première variante, l'extrémité de la partie d'appui ou branche d'appui est recourbée sous forme d'un crochet s'étendant de manière oblique vers l'extérieur du U pour former le moyen de retenue.

Ce crochet formant butée ménagé sur la partie d'appui peut ainsi s'effacer pour laisser passer le vitrage à poser et se positionner contre le bord de l'élément de vitrage par retour élastique, une fois celui-ci mis en place dans l'encadrement de l'élément de carrosserie. Selon une seconde variante, la partie d'appui comporte une lumière à l'intérieur de laquelle s'étend une patte à l'extrémité de laquelle est ménagé le moyen de retenue qui est entraînable entre une position active de retenue lorsque la patte s'étend dans le plan de la partie d'appui, écartée de la partie de fixation maintenue fixe en utilisation et une position d'effacement lorsque la patte est rapprochée de la partie de fixation.

Ainsi, le moyen de retenue qui peut être un crochet ou une butée ménagé à l'extrémité de la patte de manière à être en saillie de la partie d'appui peut s'effacer pour laisser passer le vitrage à poser et se positionner contre le bord de l'élément de vitrage par retour élastique, une fois celui-ci mis en place dans l'encadrement.

Selon une deuxième forme de réalisation de l'invention, la cale présente une section transversale sensiblement en forme de Y, dont le pied présente une face de fixation sur l'élément de carrosserie se prolongeant par l'une des branches du Y et une face d'appui opposée à la première, se prolongeant par l'autre branche et sur laquelle est ménagée ledit moyen de retenue.

De préférence, une telle cale est réalisée d'une seule pièce par moulage en un matériau plastique rigide. Une cale de maintien selon l'invention permet avantageusement de respecter les exigences géométriques de positionnement d'un élément de vitrage à assembler sur une porte par exemple et ce, malgré les contraintes de montage, permettant d'éviter l'affaissement de l'élément de vitrage lors des manipulations de montage dudit élément de vitrage sur l'élément de carrosserie. On décrira maintenant l'invention plus en détail en référence au dessin dans lequel : La figure 1 représente une vue en coupe d'un premier mode de réalisation d'une cale selon l'invention avant sa fixation sur un élément de carrosserie ; La figure 2 représente une vue en coupe de la cale selon la figure 1 lors du positionnement du vitrage sur l'élément de carrosserie La figure 3 représente une vue en coupe de la cale selon la figure 1 une fois le vitrage positionné ; La figure 4 représente une vue en plan du dessus de la cale de la figure 1 ; La figure 5 représente une vue en coupe d'une cale selon un second mode de réalisation de l'invention ; La figure 6 représente une vue en perspective latérale d'une cale montée sur un élément de carrosserie ; et La figure 7 représente la cale de la figure 6 en perspective latérale du dessus. Comme on peut le voir à la figure 1, une cale 1 selon l'invention est destinée à maintenir en position un élément de vitrage 3 que l'on souhaite monter dans un encadrement d'un élément de carrosserie tel qu'une porte. Cet encadrement 2 présente une feuillure 21 contre laquelle est destinée à être poser une face de l'élément de vitrage 3 soit de manière fixe par collage soit de manière mobile sous forme d'une vitre entrebaillante, ledit élément de vitrage 3 étant alors fixé sur la porte à l'aide d'un ensemble genouillère/charnière. Pour permettre le montage et l'assemblage d'une vitre entrebaillante 3 dans l'exemple ci-après décrit, on utilise une ou plusieurs cales 1 selon l'invention. Une telle cale 1 présente une partie de fixation 11 positionnable sur la bordure de l'encadrement, et plus précisément sur la partie de l'encadrement 22 perpendiculaire à la feuillure 21, que l'on appelle ici feuillante 22. La cale 1 comporte en outre une partie d'appui 12 présentant au moins une face 13 s'étendant sensiblement parallèle à la partie de fixation 11 et à l'opposé de celle-ci et qui est destinée à recevoir en appui dessus l'arête 3a de la vitre 3. L'élément de carrosserie étant une porte, on met en place des cales 1 dans la partie inférieure de l'encadrement, sur les parties latérales dudit encadrement et éventuellement à l'opposé en partie supérieure, de sorte que la vitre 3 est posée en appui sur les cales 1 en partie inférieure et contre en parties latérales et supérieure de l'encadrement, selon l'axe vertical de la porte soit l'axe Z d'un véhicule. Ces cales 1 permettent donc de positionner correctement la vitre 3 dans l'encadrement par appui des arêtes 3a de la vitre 3 sur la surface d'appui 12 de chaque cale 1. Pour pouvoir maintenir en position la vitre 3 même en cas de manipulation, chaque cale 1 présente un moyen de retenue 14 ménagé en saillie de ladite face d'appui 13.

Ce moyen de retenue 14 est conformé sur la partie d'appui 12 de la cale 1 de manière à définir avec la feuillure 21 un espace E dimensionné de préférence pour permettre la mise en place dans ledit espace E du bord de la vitre 3. Ainsi dans l'exemple représenté, la vitre 3 comporte des butées d'entrefer 4 venant en appui sur la feuillure 21, la cale 1 est ainsi appropriée pour que le moyen de retenue 14 et la feuillure définissent ensemble un espace E de logement de la vitre 3 munie de ces butées d'entrefer 4. Une fois le bord de la vitre 3 logé en appui sur la partie d'appui 12 de cale 1, le moyen de retenue 14 exerce un maintien de la vitre 3 contre la feuillure 21 selon une direction sensiblement perpendiculaire à la direction d'appui de l'arête 3a sur la partie d'appui 12, la première direction correspondant à la direction Y du véhicule et la seconde à la direction Z. Ainsi, un opérateur assemble la vitre 3 sur la face extérieure d'une porte, ladite porte étant maintenue verticale selon l'axe Z, il peut ensuite faire pivoter cette porte selon l'axe Z pour réaliser la fixation de l'ensemble genouillère/charnière sur la face arrière de ladite porte sans risquer de perdre le bon positionnement de la vitre 3, celle-ci étant maintenue en position par les moyens de retenue 14 prévues sur les cales 1. De cette manière, l'élément de vitrage ou vitre 3 est maintenu en position durant toutes les opérations de montage même lors d'un passage par pivotement autour de l'axe Z de la partie avant à la partie arrière de la porte. Selon un premier exemple de réalisation de la cale 1 représenté aux figures 1 à 4, la cale 1 présente une section transversale en U dont une branche constitue la partie de fixation 11 et l'autre branche constitue la partie d'appui 12 sur la surface extérieure de laquelle est ménagé en saillie de la surface d'appui le moyen de retenue 14.

La cale 1 étant réalisée dans un matériau élastiquement déformable, une fois la partie de fixation positionnée contre la feuillante 22 (cf. figure 2), la partie d'appui 12 du U et plus particulièrement le moyen de retenue 14, peut être abaissée vers la partie de fixation 11 et ainsi s'effacer pour laisser passer le bord de la vitre 3 lors du positionnement de celle-ci dans l'encadrement. Puis une fois la vitre 3 posée contre la feuillure 21, soit directement soit à l'aide de butées d'entrefer 4 (cf. figure 3) le moyen de retenue 14 par retour élastique de la partie d'appui 12 se loge derrière la vitre 3 pour la maintenir contre la feuillure 21 (comme cela est symbolisé par la double flèche A sur la figure 2). Selon une première variante, l'extrémité de la branche 12 est recourbée sous forme d'un crochet s'étendant de manière oblique vers l'extérieur du U pour former le moyen de retenue 14. Selon une variante de réalisation préférée, la branche de la cale 1 formant la partie d'appui 12 comporte une lumière 12a à l'intérieur de laquelle s'étend une patte 12b à l'extrémité de laquelle est ménagé le crochet 14. On confère ainsi une souplesse encore plus grande permettant un effacement plus facile du crochet 14 lors de la mise en place de la vitre 3 tout en maintenant une surface d'appui sur la branche 12. Ainsi, comme on peut le voir sur la figure 1, la partie de fixation 11 est posée sur la feuillante 22 de l'encadrement et par exemple fixée dessus à l'aide d'un moyen de fixation 5 tel qu'un adhésif, un aimant tandis que le bord de la vitre 3 est posé sur la partie d'appui 12, logé entre la feuillure 21 et le crochet 14. De manière à favoriser le positionnement correct de la cale, la partie de fixation 11 propre à se positionner sur la feuillante 22 peut être prolongée d'une partie lla propre à épouser la forme de l'élément de carrosserie. Cette partie 11a peut également être pourvue d'un moyen de fixation 5 sur l'élément de carrosserie tel qu'un adhésif, un aimant. La partie de fixation 11 peut également être prolongée d'une partie de guidage 11b. Une telle cale 1 comporte désormais un crochet élastique 14 qui s'efface au passage de la vitre 3 et qui, après retour élastique derrière la vitre 3, exerce un effort de plaquage de la vitre 3 une fois cette dernière en place, et qui permet ainsi le maintien de la vitre 3 durant toutes les opérations de montage. Selon un deuxième exemple de réalisation représenté aux figures 5 et 6, une cale 10 selon l'invention présente une section transversale sensiblement en forme de Y, dont le pied 110 présente une face de fixation 111 sur le bord de l'encadrement ménagé dans l'élément de carrosserie, cette face 111 se prolongeant par l'une des branches 103 de la cale en Y et une face d'appui 112 opposée à la face de fixation 111, se prolongeant par l'autre branche 104 et sur laquelle est ménagée ledit moyen de retenue 114. Ce moyen de retenue 114 est ainsi constitué d'une nervure ménagée en saillie sur la face d'appui 112 qui se loge contre un élément de vitrage 3 mis en place dans l'encadrement de l'élément de carrosserie. Cette cale 10 peut en outre être intégrée à un gabarit de pose ou être positionnée directement sur la carrosserie par surface adhésive ou aimantée. De préférence, une telle cale 10 est réalisée d'une seule pièce par moulage en un matériau plastique rigide.

On utilise une cale 10 de ce type lorsque le bord de l'encadrement présente une forme moins classique que celle représentée à la figure 1. Les angles et dimensions entre les deux parties de fixation 111 et 112 d'appui sont déterminables et adaptables en fonction du modèle de carrosserie. Une cale de maintien 1, 10 selon l'invention permet avantageusement de respecter les exigences géométriques de positionnement d'un élément de vitrage à assembler sur une porte par exemple, en autorisant un gabaritage en Z de l'élément de vitrage, en particulier des vitres entrebaillantes, et ce, malgré les contraintes de montage, permettant d'éviter l'affaissement de l'élément de vitrage lors des manipulations de montage dudit élément de vitrage sur l'élément de carrosserie.20

Claims (9)

1. REVENDICATIONS1. Cale pour le maintien (1) en position d'un élément à monter tel qu'un vitrage dans un encadrement d'un élément de carrosserie, ladite cale (1) comportant une partie de fixation (11) destinée à se positionner sur la bordure de l'encadrement et une partie d'appui (12) destinée à recevoir en appui dessus le bord de l'élément à monter, caractérisé en ce que la partie d'appui (12) présente en outre un moyen de retenue (14) ménagé en saillie depuis ladite partie d'appui (12).
2. 2. Cale (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'elle présente une section transversale en U dont une branche constitue la partie de fixation (11) et l'autre branche constitue la partie d'appui (12) sur la surface extérieure de laquelle est ménagé en saillie le moyen de retenue (14).
3. 3. Cale (1) selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'elle est réalisée dans un matériau élastiquement déformable, la partie d'appui (12) pouvant se rapprocher au moins au niveau du moyen de retenue (14) de la partie de fixation (11) maintenue fixe en utilisation de sorte que au moins le moyen de retenue (14) est entraînable entre une position active de retenue écartée de la partie de fixation (11) et une position d'effacement lorsque le moyen de retenue (14) est rapproché de la partie de fixation (11).
4. 4. Cale (1) selon la revendication 3, caractérisée en ce que l'extrémité de la partie d'appui ou branche (12) est recourbée sous forme d'un crochet s'étendant de manière oblique vers l'extérieur du U pour former le moyen de retenue (14).
5. 5. Cale (1) selon la revendication 3, caractérisée en ce que la partie d'appui (12) comporte une lumière (12a) à l'intérieur de laquelle s'étend une patte (12b) à l'extrémité de laquelle est ménagé le moyen de retenue (14) qui est entraînable entre une position active de retenue lorsque la patte (12b) s'étend dans le plan de la partie d'appui (12) et est écartée de la partie de fixation (11)maintenue fixe en utilisation et une position d'effacement lorsque la patte (12b) est rapprochée de la partie de fixation (11).
6. 6. Cale (1) selon l'une des revendications 2 à 5, caractérisée en ce que la partie de fixation (11) est prolongée d'une partie (11a) propre à épouser la forme de l'élément de carrosserie.
7. 7. Cale (1) selon l'une des revendications 2 à 6, caractérisée en ce que la partie de fixation (11) est prolongée d'une partie de guidage (11b).
8. 8. Cale (10) selon la revendication 1, caractérisée en qu'elle présente une section transversale sensiblement en forme de Y, dont le pied (110) présente une face de fixation (111), se prolongeant par l'une des branches (103) du Y et une face d'appui (112) opposée à la première (111), se prolongeant par l'autre branche (104) et sur laquelle est ménagée ledit moyen de retenue (114).
9. 9. Cale (10) selon la revendication 8, caractérisée en ce qu'elle est réalisée d'une seule pièce par moulage en un matériau plastique rigide.15