DISPOSITIF ANTI SOUS-MARINAGE À POSITIONNEMENT RÉGLABLE, POUR UNE ASSISE DE SIÈGE DE VÉHICULE L'invention concerne les sièges de véhicule, éventuellement de type automobile. On entend ici par "siège" tout équipement comprenant une assise à anti sous-marinage et associée à un dossier, et destiné à recevoir (ou accueillir) en position assise au moins un passager. Par conséquent, il pourra s'agir d'un siège monoplace ou d'une banquette. Par ailleurs, on entend ici par "sous-marinage" l'enfoncement du corps d'un passager dans une assise, suivi d'un glissement de ce corps vers l'avant du véhicule en cas de choc frontal. Il est rappelé que cet enfoncement combiné à ce glissement induisent un déplacement relatif de la partie transversale de la sangle de la ceinture de sécurité du bassin vers le ventre, qui peut occasionner de graves lésions internes. Comme le sait l'homme de l'art, certaines assises de siège de véhicule sont équipées d'un, ou associées à un, dispositif destiné à empêcher le sous-marinage en cas de choc frontal. Ce dispositif peut être constitué d'une pièce destinée à être solidarisée au plancher du véhicule et présentant un bossage transversal (par rapport au véhicule) afin de définir une espèce de cuvette de retenue en cas d'enfoncement du corps du passager. De tels dispositifs sont par exemple décrits dans les documents brevet FR 2868997 et FR 2824798.
L'inconvénient principal de ce type de dispositif anti sous-marinage réside dans le fait qu'il est dédié à un unique modèle d'assise, lui-même dédié à une unique version (ou silhouette) d'un unique modèle de véhicule, et donc qu'il ne peut pas être utilisé pour différentes versions (ou silhouettes) d'un même modèle de véhicule, y compris lorsque ces versions ne diffèrent que très légèrement (comme c'est le cas d'une version classique et d'une version compacte). Cela résulte principalement du fait que les moyens de fixation actuels des dispositifs anti sous-marinage ne sont pas réglables et donc ne peuvent pas être adaptés à des versions différentes, et a fortiori des modèles différents. L'invention a pour but d'améliorer la situation, et notamment de permettre l'utilisation d'un même dispositif anti sous-marinage dans plusieurs versions d'un même modèle de véhicule, voire dans plusieurs modèles différents. L'invention propose notamment à cet effet un dispositif anti sous-marinage, dédié à une assise de siège de véhicule, et comprenant une pièce propre à être solidarisée au plancher du véhicule et comportant un bossage anti sous-marinage et deux logements distants et logeant chacun un insert conformé propre à être solidarisé dans au moins deux positions différentes, associées à des positions longitudinales différentes de la pièce par rapport au plancher, à des moyens de fixation propres à être solidarisés au plancher. Le dispositif selon l'invention peut comporter d'autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment : - chaque insert conformé peut comprendre des première et seconde extrémités opposées, et les moyens de fixation peuvent comprendre deux paires de première et seconde pattes de fixation agencées de manière à pouvoir être solidarisées, d'une part, respectivement auxdites première et seconde extrémités opposées d'un insert conformé dans au moins deux positions différentes, associées à des positions différentes de la pièce par rapport au plancher, et, d'autre part, au plancher; - chaque première patte de fixation d'une paire peut comprendre au moins un trou primaire et chaque première extrémité d'un insert conformé peut comprendre au moins deux trous distants, associés respectivement aux positions différentes et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou primaire de la première patte de fixation associée, afin de permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation. En variante, chaque première extrémité d'un insert conformé peut comprendre au moins un trou, et chaque première patte de fixation d'une paire peut comprendre au moins deux trous primaires distants, associés respectivement auxdites positions différentes et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou de la première extrémité associée, afin de permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation; - chaque trou d'une première extrémité d'un insert conformé peut être taraudé; - chaque première patte de fixation d'une paire peut comprendre un trou secondaire propre à permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation destiné à la solidariser au plancher; - chaque seconde patte de fixation d'une paire peut comprendre au moins un trou primaire, et chaque seconde extrémité d'un insert conformé peut comprendre au moins deux trous distants, associés respectivement aux positions différentes et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou primaire de la seconde patte de fixation associée, afin de permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation. En variante, chaque seconde extrémité d'un insert conformé peut comprendre au moins un trou, et chaque seconde patte de fixation d'une paire peut comprendre au moins deux trous primaires distants, associés respectivement aux positions différentes et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou de la seconde extrémité associée, afin de permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation; - chaque trou d'une seconde extrémité d'un insert conformé peut être taraudé; - chaque seconde patte de fixation d'une paire peut comprendre un trou secondaire propre à permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation destiné à la solidariser au plancher; - chaque trou secondaire peut être taraudé; - chaque première patte de fixation d'une paire peut être agencée sous la forme d'une cornière en L; - chaque insert conformé peut être réalisé en métal; - sa pièce peut être réalisée en polypropylène expansé (ou EPP). L'invention propose également une assise de siège de véhicule, comprenant au moins un dispositif anti sous-marinage du type de celui présenté ci-avant. On notera que cette assise peut également comprendre au moins une pièce d'accueil solidarisée à la pièce du dispositif anti sous-marinage. En variante, la pièce du dispositif anti sous-marinage peut faire partie intégrante d'une pièce d'accueil. L'invention propose également un siège de véhicule comprenant au moins une assise du type de celle présentée ci-avant. L'invention propose également un véhicule comprenant au moins un siège du type de celui présenté ci-avant.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés, sur lesquels : - la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue de dessus, un véhicule automobile muni d'un plancher et d'un exemple de réalisation de dispositif anti sous-marinage selon l'invention installé sur le plancher mais avant installation de la pièce d'accueil associée d'un siège, - la figure 2 illustre schématiquement, dans une vue en coupe dans un plan défini par des directions verticale et longitudinale, le dispositif anti sous- marinage de la figure 1 solidarisé au plancher, dans une première position, ainsi qu'à un siège, - la figure 3 illustre schématiquement, dans une vue en coupe dans le plan défini par les directions verticale et longitudinale, le dispositif anti sous- marinage de la figure 1 solidarisé au plancher, dans une seconde position, ainsi qu'à un siège, et - la figure 4 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, le dispositif anti sous-marinage des figures 1 à 3, avant solidarisation de l'une de ses deux paires de première et seconde pattes de fixation à l'un de ses deux inserts conformés. Les dessins annexés pourront non seulement servir à compléter l'invention, mais aussi contribuer à sa définition, le cas échéant. On a schématiquement et fonctionnellement représenté sur la figure 1 un exemple de véhicule automobile V à deux rangs, muni d'un plancher PL sur lequel sont implantés deux sièges avant ainsi qu'un dispositif anti sous-marinage D selon l'invention destiné à être solidarisé à une pièce d'accueil d'une assise AS de siège arrière SI (voir figures 2 et 3). On notera que l'invention n'est pas limitée à ce type de véhicule. Elle concerne en effet tout véhicule sur le plancher duquel peut être installé au moins un siège (ou banquette) comportant, ou associé à, au moins un dispositif anti sous-marinage D. Par conséquent, le véhicule pourra être également de type terrestre ou maritime (ou fluvial). Comme illustré sur les figures 2 et 3, on entend ici par "siège" tout équipement SI comprenant au moins une assise AS associée à un dossier DS, et destiné à recevoir (ou accueillir) en position assise au moins un passager. Par conséquent, il pourra s'agir d'un siège monoplace ou d'une banquette. L'assise AS comprend au moins une pièce d'accueil PA propre à recevoir au moins un passager et à être solidarisée à une partie surélevée du plancher PL (sans interposition de piètements). Cette pièce d'accueil PA peut être constituée d'une partie conformée en mousse, éventuellement associée à une coiffe d'habillage, en tissu, en matériau plastique ou synthétique, ou en cuir. Sur les figures, la direction X est la direction longitudinale du véhicule, laquelle est sensiblement parallèle aux côtés latéraux comportant les portières latérales, la direction Y est la direction transversale du véhicule, laquelle est sensiblement perpendiculaire aux côtés latéraux comportant les portières latérales, et la direction Z est la direction verticale du véhicule, laquelle est sensiblement perpendiculaire au plancher PL.
Comme illustré sur les figures 1 à 3, un dispositif anti sous-marinage D, selon l'invention comprend au moins une pièce PP, deux inserts conformés IC et des moyens de fixation PFj (j = 1 ou 2). La pièce PP est destinée à être solidarisée à une partie surélevée du plancher PL du véhicule, dans la zone où doit être solidarisée l'assise AS du siège SI considéré. Cette pièce PP comprend un bossage B agencé de manière à assurer une fonction d'anti sous-marinage. Ce bossage B est donc destiné à s'étendre suivant la direction transversale Y du véhicule V, une fois la pièce PP solidarisée au plancher PL. Par exemple, et comme illustré non limitativement, le bossage B constitue une partie centrale transversale qui est prolongée au niveau de ses deux extrémités opposées par deux parties sensiblement longitudinales de manière à présenter ensemble une forme générale en U.
Cette pièce PP comprend deux logements L distants et destinés chacun à loger l'un des deux inserts conformés IC. Dans l'exemple de réalisation illustré sur les figures 1 à 3, chaque logement L est défini dans une partie longitudinale et une extrémité de la partie centrale de la pièce PP. On notera que cette pièce PP peut être réalisée par moulage dans un matériau plastique ou synthétique, comme par exemple le polyéthylène expansé (ou EPP). Il est également important de noter que la pièce PP peut être rapportée sur une partie avant d'une face arrière de la pièce d'accueil PA d'une assise AS, ou bien faire partie intégrante d'une pièce d'accueil PA d'une assise AS. Chaque insert conformé IC est destiné à conférer de la rigidité à la pièce PP et à permettre sa solidarisation au plancher PL via les moyens de fixation PFj. Par conséquent, chaque insert conformé IC peut, par exemple, être réalisé dans un matériau métallique (comme par exemple l'acier, l'aluminium ou le magnésium) ou un matériau composite. Chaque insert conformé IC est destiné, une fois logé dans son logement L, à être solidarisé dans au moins deux positions différentes (illustrées sur les figures 2 et 3), associées à des positions longitudinales différentes de la pièce PP par rapport au plancher PL, aux moyens de fixation PFj, qui sont destinés à être solidarisés au plancher PL. Dans l'exemple de réalisation non limitatif illustré sur les figures 1 et 4, chaque insert IC est conformé de manière à présenter une partie centrale, définissant une boucle non fermée, déformée (tordue) vers l'intérieur (suivant l'axe transversal Y) et partiellement contenue dans un plan vertical défini à partir des directions longitudinale X et verticale Z, et prolongée par des première E1 et seconde E2 extrémités longitudinales opposées et décalées suivant la direction transversale Y.
Dans ce cas, et comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4, les moyens de fixation PFj peuvent avantageusement comprendre deux paires de première PF1 (j = 1) et seconde PF2 (j = 2) pattes de fixation. Chaque paire est associée à l'un des deux inserts conformés IC.
Plus précisément, les première PF1 et seconde PF2 pattes de fixation d'une paire sont agencées de manière à pouvoir être solidarisées, d'une part, respectivement aux première E1 et seconde E2 extrémités opposées d'un insert conformé IC dans au moins deux positions différentes qui sont associées aux deux positions différentes de la pièce PP par rapport au plancher PL, et, d'autre part, au plancher PL. La première position de la pièce PP par rapport au plancher PL est illustrée sur la figure 2. Elle est par exemple adaptée à la version compacte d'un modèle de véhicule V dans laquelle l'assise AS et donc la pièce PP doivent être rapprochées le plus possible du siège avant qui est situé devant, suivant la direction longitudinale X. La seconde position de la pièce PP par rapport au plancher PL est illustrée sur la figure 3 (et schématiquement sur la figure 4). Elle est par exemple adaptée à la version classique d'un modèle de véhicule V dans laquelle l'assise AS et donc la pièce PP peuvent être plus éloignées du siège avant qui est situé devant, suivant la direction longitudinale X, que dans la version compacte. Ce qui différencie ces deux positions s'est donc un décalage suivant la direction longitudinale X. La pièce d'accueil PA d'une assise AS étant solidarisée à la pièce PP du dispositif D, elle la suit dans ses déplacements longitudinaux. Par conséquent, la position idéale d'un passager assis sur l'assise AS demeure à une distance constante du bossage anti sous-marinage B quelle que soit la position relative de la pièce PP par rapport au plancher PL. Ainsi, le dispositif D peut être réutilisé non seulement dans différentes versions d'un même modèle de véhicule, mais également dans des modèles différents. On notera également, comme illustré non Iimitativement sur les figures 2 à 4, que chaque première patte de fixation PF1 d'une paire peut être agencée sous la forme d'une cornière en L. Mais, d'autres formes peuvent être envisagées. Par ailleurs, comme illustré non Iimitativement sur les figures 2 à 4, chaque première patte de fixation PF1 d'une paire peut comprendre au moins un trou primaire TP11, et chaque première extrémité (avant) E1 d'un insert conformé IC peut comprendre au moins deux trous T'1 i (ici i = 1 ou 2) distants, associés respectivement aux positions différentes précitées et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou primaire TP11 de la première patte de fixation PF1 associée. On comprendra qu'en superposant verticalement l'un des trous T'1 i de la première extrémité (avant) E1 d'un insert conformé IC et le trou primaire TP11 d'une première patte de fixation PF1 on permet le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS, comme par exemple un boulon ou une vis, qui peut également assurer la solidarisation au plancher PL (comme illustré). On comprendra également que dans la première position illustrée sur la figure 2 on superpose verticalement le premier trou T'11 de la première extrémité E1 et le trou primaire TP11, alors que dans la seconde position illustrée sur les figures 3 et 4 on superpose verticalement le second trou T'12 de la première extrémité E1 et le trou primaire TP11. Dans une variante non représentée, chaque première extrémité (avant) E1 d'un insert conformé IC peut comprendre au moins un trou T'1 i, et chaque première patte de fixation PF1 d'une paire peut comprendre au moins deux trous primaires TP1i distants, associés respectivement aux positions différentes précitées et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou T'1 i de la première extrémité E1 associée. On comprendra qu'en superposant verticalement l'un des trous primaires TP1 i d'une première patte de fixation PF1 et le trou T'1 i de la première extrémité (avant) E1 d'un insert conformé IC on permet le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS, comme par exemple un boulon ou une vis, qui peut également assurer la solidarisation au plancher PL (comme illustré). On comprendra également que dans la première position on devrait superposer verticalement le trou T'11 de la première extrémité E1 et le premier trou primaire TP11, alors que dans la seconde position on devrait superposer verticalement le trou T'11 de la première extrémité E1 et le second trou primaire TP12. On notera que dans les deux variantes précédentes la première patte de fixation PF1 d'une paire est solidarisée au plancher PL dans une unique position. A cet effet, la première patte de fixation PF1 d'une paire peut par exemple comporter au moins un trou secondaire TS, éventuellement taraudé, destiné à être placé en regard d'un trou correspondant du plancher PL de manière à permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS', comme par exemple un boulon ou une vis. On notera également que chaque trou T'1 i de la première extrémité E1 d'un insert conformé IC peut être taraudé. De même, chaque trou primaire TP11 de la première patte de fixation PF1 peut être taraudé.
Par ailleurs, et comme illustré non Iimitativement sur les figures 2 à 4, chaque seconde patte de fixation PF2 d'une paire peut comprendre au moins un trou primaire TP21, et chaque seconde extrémité (arrière) E2 d'un insert conformé IC peut comprendre au moins deux trous T'2i (ici i = 1 ou 2) distants, associés respectivement aux positions différentes précitées et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou primaire TP21 de la seconde patte de fixation PF2 associée. On comprendra qu'en superposant verticalement l'un des trous T'2i de la seconde extrémité (arrière) E2 d'un insert conformé IC et le trou primaire TP21 d'une seconde patte de fixation PF2 on permet le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS, comme par exemple un boulon ou une vis, qui peut également assurer la solidarisation au plancher PL (comme illustré). On comprendra également que dans la première position on doit superposer verticalement le premier trou T'21 de la première extrémité E1 et le trou primaire TP21, alors que dans la seconde position on doit superposer verticalement le second trou T'22 de la première extrémité E1 et le trou primaire TP21. Dans une variante non représentée, chaque seconde extrémité (arrière) E2 d'un insert conformé IC peut comprendre au moins un trou T'2i, et chaque seconde patte de fixation PF2 d'une paire peut comprendre au moins 3o deux trous primaires TP2i distants, associés respectivement aux positions différentes précitées et propres à être placés l'un ou l'autre, selon la position choisie, en regard du trou T'2i de la seconde extrémité E2 associée. On comprendra qu'en superposant verticalement l'un des trous primaires TP2i d'une seconde patte de fixation PF2 et le trou T'2i de la seconde extrémité (arrière) E2 d'un insert conformé IC on permet le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS, comme par exemple un boulon ou une vis, qui peut également assurer la solidarisation au plancher PL (comme illustré). On comprendra également que dans la première position on devrait superposer verticalement le trou T'21 de la seconde extrémité E2 et le premier trou primaire TP21, alors que dans la seconde position on devrait superposer verticalement le trou T'21 de la seconde extrémité E2 et le second trou primaire TP22. 1 o On notera que dans les deux variantes précédentes la seconde patte de fixation PF2 d'une paire est solidarisée au plancher PL dans une unique position. A cet effet, la seconde patte de fixation PF2 d'une paire peut par exemple comporter au moins un trou secondaire TS, éventuellement taraudé, destiné à être placé en regard d'un trou correspondant du plancher PL de 15 manière à permettre le passage d'un axe d'un moyen de solidarisation MS', comme par exemple un boulon ou une vis. On notera également que chaque trou T'2i de la seconde extrémité E2 d'un insert conformé IC peut être taraudé. De même, chaque trou primaire TP21 de la seconde patte de fixation PF2 peut être taraudé.
20 On notera également que dans ce qui précède on a présenté un exemple de réalisation de dispositif D permettant deux positionnements différents. Mais, un tel dispositif D peut permettre plus deux positionnements différents, par exemple trois ou quatre. Dans ce cas, les première E1 et seconde E2 extrémités des inserts conformés IC et/ou les première PF1 et 25 seconde PF2 pattes de fixation de chaque paire doivent comprendre plus de deux trous de solidarisation, par exemple trois ou quatre. L'invention ne se limite pas aux modes de réalisation de dispositif anti sous-marinage, d'assise de siège, de siège et de véhicule décrits ci-avant, seulement à titre d'exemple, mais elle englobe toutes les variantes que pourra 30 envisager l'homme de l'art dans le cadre des revendications ci-après.