DISPOSITIF DE SUPPORT À PLAQUE DE SUPPORT POUVANT ÊTRE TRANSLATÉE ET/OU ENTRAÎNÉE EN ROTATION, POUR UN DOSSIER RABATTABLE DE SIÈGE DE VÉHICULE L'invention concerne les dispositifs de support d'objet(s) qui équipent certains dossiers rabattables de sièges de véhicule (éventuellement de type automobile). Comme le sait l'homme de l'art, plusieurs dispositifs de support la d'objet(s), destinés à équiper la face arrière d'un dossier rabattable d'un siège de véhicule, ont déjà été proposés. Ces dispositifs de support comprennent généralement une plaque de support comprenant une première face destinée à supporter des objets une fois le dossier rabattu, et une seconde face qui est soit montée exclusivement à rotation sur une paroi définissant la face arrière 15 du dossier, soit munie d'un plot coulissant dans une rainure curviligne et définie dans une paroi définissant la face arrière du dossier. Le seul entraînement en rotation de la plaque de support ne peut permettre le déport de cette dernière sur un côté longitudinal du dossier rabattu, orienté vers un siège voisin, que dans certaines positions qui 20 contraignent l'usager (qui est assis sur ce siège voisin) à changer sa position sur son siège et/ou à réorienter fortement son tronc pour agir sur un objet placé sur la plaque de support, ce qui s'avère peu ergonomique. Le coulissement de la plaque de support par rapport à une rainure curviligne ne peut permettre son déport que sur un seul côté longitudinal du 25 dossier rabattu, orienté vers un siège voisin, ce qui empêche son utilisation par un usager assis sur un autre siège voisin situé à l'opposé du côté latéral de déport. En outre, cela ne permet pas un positionnement optimal en biais de la plaque de support. L'invention a notamment pour but d'améliorer la situation. 30 Elle propose notamment à cet effet un dispositif de support, destiné à équiper une face arrière d'un dossier rabattable d'un premier siège de véhicule, et comprenant : - une pièce de maintien propre à être solidarisée fixement à la face arrière du dossier et comportant deux rainures sensiblement parallèles à une direction longitudinale du véhicule, - une plaque (ou tablette) propre à supporter des objets une fois le dossier rabattu, et montée à rotation sur un axe, et - une traverse propre à coulisser dans les rainures et à laquelle est couplé l'axe, de manière à permettre un entraînement en rotation et/ou un coulissement suivant la direction longitudinale de la plaque, entre une position rangée, dans laquelle elle est placée intégralement sur la face arrière du dossier, et des positions déployées dans lesquelles elle déborde sur un côté longitudinal et/ou un côté transversal supérieur du dossier. Grâce à l'invention, la plaque (de support) peut être déployée dans de très nombreuses positions, y compris en biais vers un siège voisin, en fonction des besoins du moment du passager qui est assis sur ce siège voisin. Certaines de ces positions déployées sont ergonomiques pour éviter que le passager ait à changer sa position assise et/ou à réorienter fortement son tronc pour agir sur un objet placé sur la plaque (de support). Le dispositif selon l'invention peut comporter d'autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment : - sa traverse peut comprendre une ouverture transversale qui s'étend suivant une direction transversale sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale et dans laquelle est propre à coulisser transversalement une pièce de couplage à laquelle est solidarisé l'axe, de manière à permettre un déplacement de la plaque suivant la direction transversale ; - il peut comprendre des premiers moyens de blocage agencés pour maintenir la pièce de couplage dans une position transversale choisie par rapport à la traverse ; - les premiers moyens de blocage peuvent comprendre au moins trois logements définis dans la traverse à la périphérie de l'ouverture, et une lame flexible solidarisée fixement à la pièce de couplage et comportant au moins une partie incurvée propre à être logée dans l'un des logements de la traverse pour maintenir la pièce de couplage dans une position transversale choisie par rapport à cette traverse ; il peut comprendre des seconds moyens de blocage agencés pour maintenir la plaque dans une position angulaire choisie par rapport à la traverse ; - les seconds moyens de blocage peuvent comprendre une ouverture curviligne définie dans la pièce de couplage et comportant au moins trois zones rétrécies, et un pion solidarisé fixement à une face interne de la plaque et propre à coulisser dans l'ouverture curviligne et à être retenu dans l'une des zones rétrécies pour maintenir la plaque dans une position angulaire choisie par rapport à la traverse. L'invention propose également un dossier rabattable destiné à faire partie d'un siège de véhicule et comprenant une face arrière à laquelle est solidarisé un dispositif de support du type de celui présenté ci-avant. L'invention propose également un siège destiné à équiper un véhicule et comprenant un dossier rabattable du type de celui présenté ci-avant. L'invention propose également un véhicule, éventuellement de type automobile, et comprenant au moins un rang de sièges comportant au moins un siège du type de celui présenté ci-avant. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés (obtenus en CAO/DAO, d'où le caractère apparemment discontinu de certaines lignes), sur lesquels : la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, un exemple de siège de véhicule comprenant un dossier en position rabattue et équipé d'un exemple de réalisation de dispositif de support selon l'invention, avant déploiement de sa plaque de support, la figure 2 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, le siège de la figure 1, avec son dossier rabattu et au début d'une phase de déploiement de la plaque de support de son dispositif de support, la figure 3 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, le siège de la figure 1, avec son dossier rabattu et après un déploiement de la plaque de support de son dispositif de support adapté à un usager assis sur un siège situé à gauche, la figure 4 illustre schématiquement, dans une vue en perspective, le siège de la figure 1, avec son dossier rabattu et après un déploiement de la plaque de support de son dispositif de support adapté à un usager assis sur un siège situé à droite, la figure 5 illustre schématiquement, dans une vue du dessus, un exemple de réalisation d'une traverse de dispositif de support selon l'invention, équipée d'une pièce de couplage pas encore couplée à une plaque de support, la figure 6 illustre schématiquement, dans une vue en coupe dans un plan YZ médian, la traverse de la figure 5, équipée d'une pièce de couplage pas encore couplée à une plaque de support, la figure 7 illustre schématiquement, dans une vue en coupe dans le plan YZ médian, une partie d'une pièce de maintien d'un dispositif de support selon l'invention, couplée à la traverse de la figure 5, la figure 8 illustre schématiquement, dans une vue en perspective du dessus, la traverse de la figure 5, équipée d'une pièce de couplage pas encore couplée à une plaque de support, la figure 9 illustre schématiquement, dans une vue du dessous, la traverse de la figure 5, équipée d'une pièce de couplage, et la figure 10 illustre schématiquement, dans une vue du dessous, une partie de la traverse de la figure 9. L'invention a notamment pour but de proposer un dispositif de support D destiné à équiper la face arrière FR d'un dossier DS d'un siège S1 de véhicule. Dans ce qui suit, on considère, à titre d'exemple non limitatif, que le véhicule est de type automobile. Il s'agit par exemple d'un véhicule utilitaire qui ne comprend qu'un seul rang de sièges. Mais l'invention n'est pas limitée à ce type de véhicule. Elle concerne en effet tout type de véhicule comprenant au moins un rang de sièges comprenant au moins deux sièges voisins dont l'un au moins comprend un dossier rabattable. Par conséquent, elle concerne les véhicules terrestres, les véhicules fluviaux (ou maritimes) et les aéronefs.
Par ailleurs, on considère dans ce qui suit, à titre d'exemple non limitatif, que le siège S1 est de type monoplace et donc destiné à accueillir une unique personne en position assise. Mais dans une variante de réalisation il pourrait s'agir d'une banquette destinée à accueillir au moins deux personnes en position assise. On a schématiquement représenté sur les figures 1 à 4 un siège S1 de véhicule utilitaire comprenant une assise AS et un dossier DS rabattable et muni d'une face arrière FR à la laquelle est solidarisé un dispositif de support D selon l'invention. On notera que sur ces figures 1 à 4 le dossier DS est en position rabattue. On notera également que sur les figures 1 à 4, le dossier DS est monté à rotation sur des parties structurelles arrière de l'assise AS. Mais dans une variante il pourrait être monté à rotation sur une partie structurelle du véhicule ou bien sur une cloison solidarisée fixement (éventuellement de façon temporaire) à une partie structurelle du véhicule. Sur les figures la direction X est une direction dite longitudinale, parallèle aux côtés longitudinaux du véhicule V, la direction Y est une direction dite transversale, laquelle est perpendiculaire à la direction longitudinale X, et la direction Z est une direction dite verticale, laquelle est perpendiculaire aux directions longitudinale X et transversale Y. Par ailleurs, dans ce qui précède et ce qui suit, l'expression « avant » désigne un élément ou une partie d'élément qui est orientée vers l'avant du véhicule, tandis que l'expression « arrière » désigne un élément ou une partie d'élément qui est orientée vers l'arrière du véhicule.
Comme illustré sur les figures 3 et 4, un dispositif de support D, selon l'invention, comprend au moins une pièce (de maintien) PM, une traverse T et une plaque (de support) PS. La pièce de maintien PM comprend une face « interne », propre à être solidarisée fixement à la face arrière FR du dossier DS, et une face « externe », opposée à la face interne et comportant deux rainures R sensiblement parallèles à la direction longitudinale X du véhicule. On notera que dans l'exemple illustré non limitativement sur les figures 1 à 4 la pièce de maintien PM est une paroi réalisée par moulage ou injection dans une matière plastique ou synthétique, solidarisée fixement au dossier DS et dont la face interne définit la face arrière FR du dossier DS. Mais dans une variante de réalisation la face interne de la pièce de maintien PM pourrait être solidarisée fixement à une paroi définissant la face arrière FR du dossier DS. La plaque (ou tablette) de support PS comprend une face « externe », propre à supporter des objets une fois le dossier DS rabattu. Elle est montée à rotation sur un axe AX. La traverse T est propre à coulisser suivant la direction longitudinale X dans les rainures R de la pièce de maintien PM (voir figure 7). Elle comprend à cet effet deux extrémités longitudinales opposées logées respectivement dans les deux rainures R. On notera que l'on entend ici par « rainure » un logement (concave) défini suivant la direction longitudinale X dans la plaque de maintien PM et destiné à recevoir une extrémité (ou nervure) longitudinale de la traverse T. Par conséquent, il pourra également s'agir d'une coulisse ou d'une glissière. Lorsque la plaque (ou tablette) de support PS est définie par mise en oeuvre d'un procédé de moulage ou d'injection dans une matière plastique ou synthétique, les rainures (longitudinales) R sont avantageusement réalisées lors de cette mise en oeuvre. Afin de retenir la traverse T dans une position longitudinale choisie par l'usager, chaque rainure R peut être revêtue d'un matériau surmoulé très légèrement mou, tel que l'EPDM. L'axe AX (qui permet la rotation de la plaque (ou tablette) de support PS) est couplé à cette traverse T de manière à permettre un entraînement en rotation et/ou un coulissement suivant la direction longitudinale X de la plaque de support PS entre une position rangée et des positions déployées. On entend ici par « position rangée » une position illustrée sur la figure 1, et dans laquelle la plaque de support PS est placée intégralement sur la face arrière FR du dossier DS, et donc n'est pas déportée vers l'avant et/ou sur un côté longitudinal CLi (i = 1 ou 2) du dossier DS. Par ailleurs, on entend ici par « position déployée » une position illustrée sur la figure 2, 3 ou 4, adaptée à un usager qui est installé sur un siège situé à côté du premier siège S1 (à droite ou à gauche), et dans laquelle la plaque de support PS déborde (ou est déportée) vers l'avant et/ou sur l'un des deux côtés longitudinaux CLi du dossier DS. Dans une position déployée obtenue par au moins une translation et une rotation, la plaque de support PS est placée en biais par rapport au dossier DS, avec son coin avant gauche plus décalé vers la gauche que son coin arrière gauche lorsqu'elle est utilisée par un usager installé sur un deuxième siège placé à gauche du premier siège S1 (voir figure 3), ou avec son coin avant droit plus décalé vers la droite que son coin arrière droit lorsqu'elle est utilisée par un usager installé sur un troisième siège placé à droite du premier siège S1 (voir figure 4). Dans une position déployée obtenue par une translation vers l'avant (suivant la direction longitudinale X) la plaque de support PS ne déborde que sur le côté transversal supérieur CTS du dossier DS (voir figure 2).
Comme on le verra plus loin, dans un mode de réalisation particulièrement avantageux, il est également possible de translater transversalement la plaque de support PS (suivant la direction transversale Y) en combinaison avec une translation vers l'avant (suivant la direction longitudinale X) et/ou avec une rotation.
La plaque de support PS peut donc être déployée dans de très nombreuses positions, y compris en biais vers un siège qui est voisin du premier siège S1 (à gauche ou à droite), en fonction des besoins du moment du passager qui est assis sur ce siège voisin. Certaines de ces positions déployées, et notamment celles qui sont en biais, s'avèrent ergonomiques afin d'éviter que le passager ait à changer sa position assise et/ou à réorienter fortement son tronc pour agir sur un objet placé sur la plaque de support PS. Comme illustré non limitativement sur les figures 3 à 10, la traverse T peut comprendre une ouverture transversale OT s'étendant suivant la direction transversale Y (sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale X) et dans laquelle est propre à coulisser transversalement (suivant Y) une pièce de couplage PC à laquelle est solidarisé l'axe AX. Ainsi, la plaque de support PS peut être avantageusement déplacée suivant la direction transversale Y pour contribuer à la définition d'une position déployée, comme évoqué précédemment. Comme illustré non limitativement sur les figures 5, 6 et 8 à 10, la pièce de couplage PC est montée à coulissement sur la traverse T, au niveau de son ouverture transversale OT. Elle comporte par exemple à cet effet un disque supérieur et un disque inférieur couplés l'un à l'autre via une partie cylindrique définissant un passage PA pour l'axe AX (voir figure 8), et comprenant des bords périphériques entre lesquels est placée le bord de la traverse T qui délimite l'ouverture transversale OT. On notera que l'axe AX peut comprendre une première extrémité solidarisée fixement à la plaque de support PS, et une seconde extrémité opposée à sa première extrémité et montée à rotation dans le passage PA de la pièce de couplage PC, ou bien il peut comprendre une première extrémité sur laquelle est montée à rotation la plaque de support PS, et une seconde extrémité opposée à sa première extrémité et solidarisée fixement à la pièce de couplage PC dans son passage PA. De préférence, et comme illustré non limitativement sur les figures 9 et 10, le dispositif de support D peut comprendre des premiers moyens de blocage MB1 agencés pour maintenir la pièce de couplage PC dans une position transversale choisie par l'usager par rapport à la traverse T. Cette option avantageuse est destinée à éviter les déplacements transversaux de la plaque de support PS lorsque le véhicule se déplace, en particulier dans des virages. Par exemple, et comme illustré non limitativement sur les figures 9 et 10, les premiers moyens de blocage MB1 peuvent comprendre au moins trois logements LB coopérant avec une lame flexible LF. Ces logements LB sont définis dans la traverse T à la périphérie de l'ouverture transversale OT. La lame flexible LF est solidarisée fixement à la pièce de couplage PC, de préférence dans une partie inférieure qui n'est pas visible par l'usager, et comporte au moins une partie incurvée PI propre à être logée dans l'un des logements LB afin de maintenir la pièce de couplage PC dans une position transversale choisie par l'usager par rapport à la traverse T. On comprendra que lorsqu'une partie incurvée PI de la lame flexible LF est logée dans un logement LB, la pièce de couplage PC est immobilisée transversalement de façon temporaire. Dans l'exemple non limitatif illustré sur les figures 9 et 10, la lame flexible LF est munie de deux parties incurvées PI sensiblement alignées suivant la direction longitudinale X et destinées à coopérer simultanément avec deux logements LB définis sur deux sous-parties transversales de la partie inférieure de la traverse T qui comportent chacune trois logements LB. On dispose ainsi de trois paires de logements LB correspondant respectivement à une position transversale centrée, une position transversale décentrée au maximum vers la gauche, et une position transversale décentrée au maximum vers la droite. On notera que l'on pourrait prévoir plus de trois paires de logements LB afin de disposer de plus de trois positions transversales, et plus précisément de positions transversales intermédiaires entre les positions transversales décentrées au maximum et la position transversale centrée.
Mais tous autres moyens connus de l'homme de l'art et propres à assurer une fonction équivalente à celle assurée par les premiers moyens de blocage MB1 décrits ci-avant peuvent être utilisés. Egalement de préférence, et comme illustré non limitativement sur la figure 8, le dispositif de support D peut comprendre des seconds moyens de blocage MB2 agencés pour maintenir la plaque de support PS dans une position angulaire choisie par l'usager par rapport à la traverse T. Cette option avantageuse est destinée à éviter les désorientations angulaires (par rapport à l'axe AX) de la plaque de support PS lorsque le véhicule se déplace, en particulier dans des virages.
Par exemple, et comme illustré non limitativement sur la figure 8, les seconds moyens de blocage MB2 peuvent comprendre une ouverture curviligne OC et un pion PB coopérant ensemble. L'ouverture curviligne OC est définie dans la pièce de couplage PC et comporte au moins trois zones rétrécies ZR (c'est-à-dire de plus petite largeur que les zones non rétrécies qui les séparent). Le pion PB est solidarisé fixement à une face interne (non visible par l'usager) de la plaque de support PS et propre à coulisser dans l'ouverture curviligne OC et à être retenu dans l'une des zones rétrécies ZR pour maintenir la plaque de support PS dans une position angulaire choisie par l'usager par rapport à la traverse T. On comprendra que lorsque le pion PB se retrouve dans une zone non rétrécie son déplacement n'est pas entravé, mais qu'en revanche lorsque le pion PB se retrouve dans une zone rétrécie ZR son déplacement est entravé et donc la rotation de la plaque de support PS est empêchée temporairement. Par exemple, l'ouverture curviligne OC peut être délimitée par un bord de la pièce de couplage PC qui est surmoulé au moyen d'un matériau très légèrement mou, tel que l'EPDM. Dans l'exemple non limitatif illustré sur la figure 8, l'ouverture curviligne OC comprend trois zones rétrécies ZR correspondant respectivement à une position angulaire centrée dans laquelle les côtés longitudinaux de la plaque de support PS sont sensiblement parallèles aux côtés longitudinaux CLi du dossier DS, une première position angulaire maximale dans laquelle les côtés longitudinaux de la plaque de support PS sont désorientés d'un angle aigu maximal vers la gauche par rapport aux côtés longitudinaux CLi du dossier DS, et une seconde position angulaire maximale dans laquelle les côtés longitudinaux de la plaque de support PS sont désorientés d'un angle aigu maximal vers la droite par rapport aux côtés longitudinaux CLi du dossier DS. On notera que l'on pourrait prévoir plus de trois zones rétrécies ZR afin de disposer de plus de trois positions angulaires, et plus précisément de positions angulaires intermédiaires entre les positions angulaires maximales et la position angulaire centrée. Mais tous autres moyens connus de l'homme de l'art et propres à assurer une fonction équivalente à celle assurée par les seconds moyens de blocage MB2 décrits ci-avant peuvent être utilisés. On notera également, comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4, que la pièce de maintien PM peut éventuellement, mais avantageusement, comprendre un logement central LR1, situé entre une partie au moins des rainures R sous la zone de coulissement de la traverse T, et destiné à permettre le rangement temporaire d'objet(s) lorsque la traverse T a été déplacée vers l'avant. On notera également, comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4, que la pièce de maintien PM peut éventuellement, mais avantageusement, comprendre au moins un logement latéral LR2, LR3 situé entre une rainure R et l'un de ses bords longitudinaux, et destiné à permettre le rangement temporaire d'objet(s), notamment lorsque la plaque de support PS ne le recouvre pas. Dans l'exemple de réalisation illustré, la pièce de maintien PM comprend deux logements latéraux LR2 et LR3.