FR3058978A1

FR3058978A1 - Vehicule automobile a coffre muni d'une piece delimitant un espace pour une roue d'appoint ou servant d'appui pour une roue

Info

Publication number: FR3058978A1
Application number: FR1661262A
Authority: FR
Inventors: Serge Le Coquil; Bertrand Feriot
Original assignee: Peugeot Citroen Automobiles SA
Current assignee: Stellantis Auto Sas Fr
Priority date: 2016-11-21
Filing date: 2016-11-21
Publication date: 2018-05-25
Anticipated expiration: 2036-11-21
Also published as: FR3058978B1

Abstract

Un véhicule automobile (VA) comprend un coffre (CV) muni : - d'un élément (EP) définissant une surface de support (SS) comprenant des premiers moyens de fixation (MF1) pouvant maintenir dans un espace une première roue couchée présentant un premier diamètre, et un logement (LR) pouvant loger une partie (PR) d'une seconde roue (R2) présentant un second diamètre supérieur au premier diamètre, et - de moyens de délimitation (MD) installés sur la surface de support (SS) et délimitant cet espace, et comprenant une première pièce (P1) comportant une face d'appui (FA) et propre à être déplacée entre une première position dans laquelle elle délimite partiellement l'espace et une seconde position dans laquelle elle est bloquée sur la surface de support (SS) par les premiers moyens de fixation (MF1) et la seconde roue (R2) s'appuie contre la face d'appui (FA) lorsque sa partie (PR) est logée dans le logement (LR).

Description

Titulaire(s) : PEUGEOT CITROEN AUTOMOBILES SA Société anonyme.

Demande(s) d’extension

Mandataire(s) : PEUGEOT CITROEN AUTOMOBILES SA Société anonyme.

muni:

PIECE DELIMITANT UN ESPACE POUR UNE ROUE

FR 3 058 978 - A1

VEHICULE AUTOMOBILE A COFFRE MUNI D'UNE D'APPOINT OU SERVANT D'APPUI POUR UNE ROUE

Un véhicule automobile (VA) comprend un coffre (CV)

- d'un élément (EP) définissant une surface de support (SS) comprenant des premiers moyens de fixation (MF1) pouvant maintenir dans un espace une première roue couchée présentant un premier diamètre, et un logement (LR) pouvant loger une partie (PR) d'une seconde roue (R2) présentant un second diamètre supérieur au premier diamètre, et

- de moyens de délimitation (MD) installés sur la surface de support (SS) et délimitant cet espace, et comprenant une première pièce (P1 ) comportant une face d'appui (FA) et propre à être déplacée entre une première position dans laquelle elle délimite partiellement l'espace et une seconde position dans laquelle elle est bloquée sur la surface de support (SS) par les premiers moyens de fixation (MF1 ) et la seconde roue (R2) s'appuie contre la face d'appui (FA) lorsque sa partie (PR) est logée dans le logement (LR).

LR PR

i

VÉHICULE AUTOMOBILE À COFFRE MUNI D’UNE PIÈCE DÉLIMITANT UN ESPACE POUR UNE ROUE D’APPOINT OU SERVANT D’APPUI POUR UNE ROUE

L’invention concerne les véhicules automobiles, et plus précisément ceux qui comprennent un coffre logeant habituellement une roue d’appoint.

Certains véhicules automobiles comprennent un coffre (généralement situé à l’arrière) dans lequel des moyens de délimitation délimitent un espace îo qui est propre à loger une roue d’appoint (généralement appelée « galette ») destinée à remplacer temporairement une roue « classique >> venant de faire l’objet d’une crevaison.

Une telle roue d’appoint présente habituellement un diamètre qui est strictement inférieur à celui d’une roue classique. Par conséquent, lorsque le i5 diamètre de l’espace précité est inférieur à celui d’une roue classique, il ne peut pas loger cette dernière lorsque la roue d’appoint la remplace consécutivement à une crevaison. Lorsque le coffre est suffisamment grand, il peut temporairement loger la roue classique crevée en position couchée audessus de l’espace dédié à la roue d’appoint. Mais lorsque le coffre ne peut

0 pas loger la roue classique crevée en position couchée, elle doit être placée en position verticale ou légèrement inclinée au-dessus de l’espace dédié à la roue d’appoint. Or, un tel positionnement peut être rendu difficile, voire impossible, du fait de la présence d’une tablette délimitant et masquant la partie supérieure du coffre. En effet, une telle tablette peut être fixe ou difficilement démontable, ou bien être montée à rotation et réduisant au moins partiellement le champ d’observation du conducteur lorsqu’elle est en position redressée du fait de la présence en dessous d’elle d’un objet encombrant suivant la direction verticale.

Il a certes été proposé dans le document brevet JP 2006335096 de

0 définir dans une partie avant du plancher du coffre arrière, à faible distance de la banquette arrière, un logement propre à loger en position verticale une partie d’une roue classique crevée. Mais cette solution n’est applicable qu’à condition que la tablette ait été préalablement retirée ou bien que le véhicule soit dépourvu de tablette. De plus, une telle solution n’est pas applicable aux véhicules ayant un plancher de coffre placé au-dessus d’une batterie de stockage d’énergie électrique couplée à une machine motrice d’un groupe motopropulseur (ou GMP) du fait du positionnement du logement précité.

L’invention a donc notamment pour but d’améliorer la situation.

Elle propose à cet effet un véhicule automobile comprenant un coffre muni :

- d’un élément définissant, d’une part, une surface de support comprenant îo des premiers moyens de fixation propres à maintenir dans un espace, dans une position couchée, une première roue présentant un premier diamètre, et, d’autre part, un logement propre à loger une partie d’une seconde roue présentant un second diamètre supérieur au premier diamètre, et

- de moyens de délimitation installés sur la surface de support et délimitant 15 ensemble au moins partiellement l’espace (pour la première roue).

Ce véhicule se caractérise par le fait que ses moyens de délimitation comprennent une première pièce comportant une face d’appui et propre à être déplacée entre une première position dans laquelle elle délimite partiellement l’espace (pour la première roue) et une seconde position dans

0 laquelle elle est bloquée sur la surface de support par les premiers moyens de fixation et la seconde roue s’appuie contre cette face d’appui lorsque sa partie est logée dans le logement défini par l’élément.

Ainsi, la seconde roue peut être logée et maintenue dans le coffre sans que cela nuise à la sécurité et sans qu’elle n’induise une réduction du champ d’observation du conducteur, y compris en présence d’une tablette dans une partie supérieure du coffre.

Le véhicule selon l’invention peut comporter d’autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment :

- la face d’appui de la première pièce peut être munie de seconds moyens

0 de fixation. Dans ce cas, il peut également comprendre une vis propre à coopérer soit avec les premiers moyens de fixation pour immobiliser la première roue dans sa position couchée, soit avec les seconds moyens de fixation pour immobiliser la seconde roue contre la face d’appui (sur laquelle elle s’appuie) ;

- la première pièce peut comprendre une partie prolongeant la face d’appui (de la seconde roue) et propre à masquer le logement lorsqu’elle est placée dans la première position ;

- la première pièce peut comprendre une zone conformée de manière à coopérer avec les premiers moyens de fixation dans la seconde position pour permettre son blocage sur la surface de support ;

- ses moyens de délimitation peuvent comprendre des deuxième et îo troisième pièces latérales délimitant partiellement l’espace (pour la première roue) sur deux côtés latéraux du coffre ;

> les deuxième et troisième pièces latérales peuvent être propres à caler la partie de la première pièce suivant une direction transversale lorsque cette dernière est placée dans sa seconde position ;

i5 - chaque pièce (des moyens de délimitation) peut être réalisée dans un matériau synthétique au moins semi-rigide ;

- ses moyens de délimitation peuvent définir au moins deux zones de rangement ;

- la face d’appui peut être agencée de manière à permettre l’appui de la

0 seconde roue dans une position inclinée par rapport à un plan vertical ;

- son coffre peut être situé dans une partie arrière ;

- la surface de support de l’élément peut être placée au-dessus d’une batterie de stockage d’énergie électrique qui est couplée au moins à une machine motrice d’un groupe motopropulseur (ou GMP).

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront à l’examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés, sur lesquels :

- la figure 1 illustre schématiquement, dans une vue en perspective du dessus, une partie d’un exemple de coffre de véhicule automobile

0 comprenant des moyens de délimitation comportant une première pièce placée dans une première position, après le retrait d’une roue d’appoint,

- la figure 2 illustre schématiquement, dans une vue en perspective du dessus, la partie de coffre de la figure 1 avec la première pièce placée dans une seconde position propre à permettre l’accueil d’une roue classique,

- la figure 3 illustre schématiquement, dans une autre vue en perspective du 5 dessus, la partie de coffre de la figure 1 avec une roue classique appuyée dans une position inclinée contre une face d’appui de la première pièce placée dans sa seconde position, et

- la figure 4 illustre schématiquement, dans une vue en coupe dans un plan longitudinal, la partie de coffre de la figure 3 avec la roue classique îo solidarisée dans sa position inclinée à la face d’appui de la première pièce.

L’invention a notamment pour but de proposer un véhicule automobile VA comprenant un coffre CV propre à accueillir aussi bien une première roue d’appoint présentant un premier diamètre qu’une seconde roue présentant un second diamètre supérieur au premier diamètre.

Dans ce qui suit, on considère, à titre d’exemple non limitatif, que le coffre CV du véhicule automobile VA est situé dans une partie arrière de ce dernier (VA). Mais l’invention n’est pas limitée à cette implantation. En effet, le coffre pourrait être installé dans la partie avant du véhicule automobile, lorsque le groupe motopropulseur (ou GMP) est situé dans sa partie arrière.

0 Par ailleurs, on considère dans ce qui suit, à titre d’exemple non limitatif, que le GMP du véhicule automobile VA est de type tout électrique. Dans ce cas, le GMP comprend au moins une machine motrice électrique couplée à au moins une batterie de stockage d’énergie électrique. Mais le GMP pourrait être de type hybride (par exemple thermique et électrique) ou purement thermique.

On a schématiquement représenté sur la figure 1 une partie d’un exemple de coffre CV d’un véhicule automobile VA comprenant un élément EP définissant une surface de support SS et un logement LR (visible sur la figure 2).

0 La surface de support SS de l’élément EP comprend des premiers moyens de fixation MF1 qui sont propres à maintenir dans un espace ER, dans une position couchée, une première roue (non représentée) présentant un premier diamètre strictement inférieur au second diamètre d’une seconde roue R2 (voir figures 3 et 4). Cette première roue est une roue d’appoint (ou galette) qui est destinée à remplacer temporairement une seconde roue « classique >> qui équipe habituellement le véhicule (automobile) VA mais qui vient de faire l’objet d’une crevaison (ou dégradation).

Les premiers moyens de fixation MF1 peuvent être agencés sous la forme d’une platine solidarisée fixement à la surface de support SS de l’élément EP, par exemple par soudage ou vissage, au centre de l’espace ER, et comprenant une partie (de préférence métallique) destinée à permettre le maintien du moyeu qui est solidarisé fixement au voile de la jante de la îo première roue. L’immobilisation fixe en position couchée de cette première roue se fait au moyen d’une vis VF dont la tige traverse le moyeu afin de coopérer avec un trou fileté des premiers moyens de fixation MF1, et dont on reparlera plus loin en référence à la figure 4.

Comme on le verra plus loin, en référence aux figures 3 et 4, le logement LR, délimité par une partie de l’élément EP, est propre à loger une partie PR d’une seconde roue R2. Sa forme concave est donc adaptée à la réception d’une partie PR d’une seconde roue R2, de préférence, et comme illustré, dans une position inclinée par rapport à un plan vertical.

Par exemple, la surface de support SS de l’élément EP est placée au2 0 dessus d’une batterie de stockage d’énergie électrique qui est couplée au moins à une machine motrice du GMP du véhicule VA.

L’élément EP est par exemple réalisé à partir d’au moins une plaque (ou tôle) métallique rigide et résistante.

L’espace ER (pour la première roue) est délimité au moins partiellement par des moyens de délimitation MD qui coopèrent ensemble et sont installés sur la surface de support SS.

Ces moyens de délimitation MD comprennent une première pièce P1 qui comporte une face d’appui FA et est propre à être déplacée entre des première et seconde positions. Dans la première position, illustrée sur la

0 figure 1, la première pièce P1 délimite partiellement l’espace ER, ici dans une zone située dans la partie arrière gauche du coffre CV. Dans la seconde position, illustrée sur les figures 2 à 4, la première pièce P1 est bloquée sur la surface de support SS par les premiers moyens de fixation MF1, et la β

seconde roue R2 s’appuie contre la face d’appui FA lorsque l’une de ses parties PR est logée dans le logement LR (voir figures 3 et 4).

Grâce à l’invention, la seconde roue R2 peut désormais être facilement logée et maintenue dans le coffre CV sans que cela nuise à la sécurité et sans que cela n’induise une réduction du champ d’observation du conducteur.

Comme indiqué plus haut, la face d’appui FA est agencée de manière à permettre l’appui de la seconde roue R2 dans une position qui est préférentiellement inclinée par rapport à un plan vertical, comme illustré sur îo les figures 3 et 4. Cela permet en effet de faciliter le logement de la seconde roue R2 dans le coffre CV, lorsque la partie supérieure de ce dernier (CV) est délimitée par une tablette.

On comprendra que l’accueil d’une seconde roue R2 se fait après que la première pièce P1 ait été saisie par un usager du véhicule VA, alors i5 qu’elle était dans sa première position, puis déplacée dans l’espace ER afin d’être placée dans sa seconde position sur la surface de support SS de l’élément EP, ici à proximité immédiate d’une banquette B ou d’une paroi de protection.

Comme cela apparaît mieux sur la figure 4, la première pièce P1 peut

0 comprendre une zone inférieure ZI qui est conformée de manière à coopérer avec les premiers moyens de fixation MF1 dans la seconde position afin de permettre son blocage sur la surface de support SS. Par exemple, cette zone inférieure ZI peut être située à une extrémité inférieure de la face d’appui FA et peut comprendre un bord périphérique arrière, destiné à être logé entre deux sous-parties saillantes arrière et avant de la partie des premiers moyens de fixation MF1 qui est destinée à permettre le maintien du moyeu de la première roue, et précédé par un logement destiné à loger étroitement cette sous-partie saillante avant.

De préférence, et comme illustré non limitativement sur les figures 2 à

0 4, la face d’appui FA de la première pièce P1 est munie de seconds moyens de fixation MF2 qui sont propres à coopérer avec la vis VF (mentionnée plus haut) pour immobiliser fixement la seconde roue R2 contre la face d’appui FA. Cela permet avantageusement d’empêcher la seconde roue R2 de bouger dans le coffre CV, ce qui générerait du bruit et pourrait salir et/ou endommager des revêtements internes du coffre CV. On comprendra que cette immobilisation fixe en position inclinée de la seconde roue R2 se fait par traversée du moyeu, solidarisé fixement au voile de la jante JR de cette seconde roue R2, par la tige de la vis VF, puis coopération de cette tige avec, par exemple, un trou fileté constituant les seconds moyens de fixation MF2.

Ce trou fileté MF2 peut, par exemple, être défini dans une protubérance PF (rapportée ou non) de la face d’appui FA, comme illustré non limitativement sur les figures 2 à 4.

îo La vis VF est donc ici propre à coopérer soit avec les premiers moyens de fixation MF1 pour immobiliser la première roue dans sa position couchée lorsqu’elle n’est pas utilisée, soit avec les seconds moyens de fixation MF2 pour immobiliser la seconde roue R2 contre la face d’appui FA lorsqu’elle n’est pas utilisée et que la première roue a été retirée de l’espace

ER.

Par exemple, et comme illustré non limitativement sur les figures 1 à 4, la première pièce P1 peut comprendre une partie PM prolongeant (ici vers l’avant) la face d’appui FA et propre à masquer le logement LR lorsqu’elle est placée dans la première position. On notera que cette partie PM étant située

0 (dans la première position) dans le prolongement (ici vers l’arrière) de la surface de support SS, elle permet de compléter cette dernière (SS) et donc de supporter en partie la première roue lorsqu’elle est immobilisée dans l’espace ER en position couchée.

Egalement par exemple, et comme illustré non limitativement sur les 25 figures 1 à 3, les moyens de délimitation MD peuvent comprendre des deuxième P2 et troisième P3 pièces latérales qui délimitent partiellement l’espace ER, en complément de la première pièce P1 (lorsqu’elle est dans sa première position), sur deux côtés latéraux (respectivement gauche et droit) du coffre CV.

0 Dans ce cas, les deuxième P2 et troisième P3 pièces latérales peuvent être avantageusement propres à caler la partie PM (de masquage) de la première pièce P1 suivant une direction transversale lorsqu’elle est placée dans la seconde position. On entend ici par « direction transversale >>

une direction qui est perpendiculaire à la direction longitudinale du véhicule VA, laquelle est sensiblement parallèle aux portières. Ainsi, la première pièce P1 se retrouve bloquée non seulement suivant la direction longitudinale du fait de la coopération de sa zone inférieure Zl avec les premiers moyens de fixation MF1 et de la présence d’une banquette B ou d’une paroi de protection devant elle, mais également suivant la direction transversale du fait de la présence des deuxième P2 et troisième P3 pièces latérales.

On notera que chaque pièce Pj (j = 1 à 3) des moyens de délimitation MD peut, par exemple, être réalisée dans un matériau synthétique au moins ïo semi-rigide. Par exemple, ce matériau synthétique peut être une mousse telle que le PPE (polyphénylène éther) ou le polystyrène.

On notera également, comme illustré non limitativement sur la figure 1, que les moyens de délimitation MD (et donc les pièces Pj) peuvent éventuellement, mais avantageusement, définir au moins deux zones de rangement ZR du fait de la présence sur chacune d’entre elles (Pj) d’un bord périphérique saillant vers le haut du côté orienté vers l’espace ER. Par exemple, et comme illustré non limitativement sur la figure 1, les première P1 et deuxième P2 pièces peuvent définir une première zone de rangement ZR (ici du côté gauche du coffre CV), et la troisième pièce P3 peut définir une

0 seconde zone de rangement ZR (ici du côté droit du coffre CV). A titre d’exemple, la partie de la première zone de rangement ZR qui est définie par la première pièce P1 peut être dédiée au rangement d’un équipement de recharge de la batterie, ici située sous l’élément EP, l’autre partie de la première zone de rangement ZR qui est définie par la deuxième pièce latérale

P2 peut être dédiée au rangement de l’outillage de bord (cric, anneau de remorquage, manivelle, outils), et la seconde zone de rangement ZR qui est définie par la troisième pièce latérale P3 peut être dédiée au rangement d’un triangle de sécurité.

L’invention offre plusieurs avantages, parmi lesquels :

0 - le maintien de la seconde roue afin qu’elle ne nuise pas à la sécurité,

- une procédure de rangement de la seconde roue simple à mettre en œuvre par un usager du véhicule, et de surcroît ergonomique,

- une position de rangement de la seconde roue qui n’induit pas d’empilage défavorable lors d’une cinématique d’écrasement de l’unité arrière du véhicule en cas de choc.

ίο

Claims

REVENDICATIONS

1. Véhicule automobile (VA) comprenant un coffre (CV) muni i) d’un

5 élément (EP) définissant, d’une part, une surface de support (SS) comprenant des premiers moyens de fixation (MF1) propres à maintenir dans un espace (ER), dans une position couchée, une première roue présentant un premier diamètre, et, d’autre part, un logement (LR) propre à loger une partie (PR) d’une seconde roue (R2) présentant un second diamètre supérieur audit îo premier diamètre, et ii) de moyens de délimitation (MD) installés sur ladite surface de support (SS) et délimitant ensemble au moins partiellement ledit espace (ER), caractérisé en ce que lesdits moyens de délimitation (MD) comprennent une première pièce (P1) comportant une face d’appui (FA) et propre à être déplacée entre une première position dans laquelle elle délimite i5 partiellement ledit espace (ER) et une seconde position dans laquelle elle est bloquée sur ladite surface de support (SS) par lesdits premiers moyens de fixation (MF1) et ladite seconde roue (R2) s’appuie contre ladite face d’appui (FA) lorsque sa partie (PR) est logée dans ledit logement (LR).
2. Véhicule selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite face

2 0 d’appui (FA) est munie de seconds moyens de fixation (MF2), et en ce qu’il comprend une vis (VF) propre à coopérer soit avec lesdits premiers moyens de fixation (MF1) pour immobiliser ladite première roue dans sa position couchée, soit avec lesdits seconds moyens de fixation (MF2) pour immobiliser ladite seconde roue (R2) contre ladite face d’appui (FA).

25 3. Véhicule selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que ladite première pièce (P1) comprend une partie (PM) prolongeant ladite face d’appui (FA) et propre à masquer ledit logement (LR) lorsqu’elle est placée dans ladite première position.

4. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que
3 0 ladite première pièce (P1) comprend une zone inférieure (ZI) conformée de manière à coopérer avec lesdits premiers moyens de fixation (MF1) dans ladite seconde position pour permettre son blocage sur ladite surface de support (SS).
5. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que lesdits moyens de délimitation (MD) comprennent des deuxième (P2) et troisième (P3) pièces latérales délimitant partiellement ledit espace (ER) sur deux côtés latéraux dudit coffre (CV).

5
6. Véhicule selon la combinaison des revendications 3 et 5, caractérisé en ce que lesdites deuxième (P2) et troisième (P3) pièces latérales sont propres à caler ladite partie (PM) de la première pièce (P1) suivant une direction transversale lorsqu’elle est placée dans ladite seconde position.
7. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que îo chaque pièce (Pj) desdits moyens de délimitation (MD) est réalisée dans un matériau synthétique au moins semi-rigide.
8. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que lesdits moyens de délimitation (MD) définissent au moins deux zones de rangement.

15
9. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que ladite face d’appui (FA) est agencée de manière à permettre l’appui de ladite seconde roue (R2) dans une position inclinée par rapport à un plan vertical.
10. Véhicule selon l’une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que ladite surface de support (SS) de l’élément (EP) est placée au-dessus d’une

2 0 batterie de stockage d’énergie électrique couplée au moins à une machine motrice d’un groupe motopropulseur.

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