FR2790640A1 - Dispositif de piegeage pour animaux nuisibles notamment les taupes - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de piégeage (D) pour animaux nuisibles (T) du type de ceux creusant des galeries (G), remarquable en ce qu'il comprend un bâti (100) sur lequel coulisse verticalement un mécanisme (200) qui, comportant des moyens pour assommer ledit animal (T) dans la galerie (G) et déclenché par le passage de ce dernier dans ladite galerie, décrit une course d'un point de départ situé au-dessus de la galerie (G) à un point d'arrivée constitué par la surface inférieure de la galerie (G). Applications piégeage des taupes.

Description

DISPOSITIF DE PIÉGEAGE POUR ANIMAUX NUISIBLES

NOTAMMIENT LES TAUPES

La présente invention a trait au domaine des dispositifs de piégeage et notamment aux dispositifs permettant de piéger et d'assommer les taupes ou tout autre animal nuisible susceptible de se déplacer dans une galerie. Bien que le dispositif de l'invention puisse s'adapter au piégeage d'autres animaux nuisibles, l'exemple de la taupe et l'arrière plan technologique concernant plus particulièrement le piégeage de cet

animal, sera traité ci-dessous.

La taupe, mammifère insectivore a pour caractéristique de creuser des galeries dans lesquelles elle chasse les animaux dont elle se nourrit. Ces galeries sont souvent creusées dans les potagers dans lesquels la taupe réalise un véritable réseau jalonné de taupinières, ce qui n'est pas sans conséquences sur les légumes et

l'état général du potager.

Le milieu de vie de la taupe, c'est à dire sous terre, tend à protéger cette dernière. Aussi, la technique classique de piégeage de la taupe consiste à attendre sa sortie de terre au niveau de la taupinière pour la

capturer et/ou la tuer.

D'autres dispositifs automatisés de l'art antérieur ont pour caractéristiques principales d'utiliser le passage de la taupe dans sa galerie ou au niveau de sa taupinière pour déclencher l'explosion d'une cartouche orientée vers le lieu de déclenchement à des fins de tuer

ladite taupe.

Une telle solution, bien que pouvant se révéler efficace, a pour principal inconvénient de demander autant de précautions pour ce piège que pour une arme à feu. En outre, l'espace immédiat autour dudit dispositif doit être protégé pour éviter qu'un animal domestique ou un enfant ne vienne manipuler ledit dispositif. Un autre désavantage -2- de ce dispositif réside dans le fait que le dispositif déclencheur est situé au-dessous du dispositif de mise à mort. Cette disposition peut être à l'origine de ratés du fait que la taupe, notamment lorsque sa galerie a été effondrée par l'installation d'un piège, poussera devant elle un certain volume de terre, lequel volume est susceptible de déclencher le piège alors que le corps de la taupe ne se trouve pas dans le rayon d'action de la cartouche. Partant de cet état de fait, des recherches ont été menées orientées vers la conception d'un piège robuste et efficace ne nécessitant pas les précautions d'emploi

d'une arme à feu.

Ces recherches ont abouti à la conception et à la réalisation d'un dispositif de piégeage pour animaux nuisibles du type de ceux creusant des galeries, remarquable en ce qu'il comprend un bâti sur lequel coulisse verticalement un mécanisme qui, comportant des moyens pour assommer ledit animal et déclenché par le passage de ce dernier dans la galerie, décrit une course d'un point de départ situé au-dessus de la galerie à un point d'arrivée constitué par la surface inférieure de la galerie. Il a donc été imaginé un dispositif mécanique de type assommoir pouvant piéger les animaux creusant des galeries. La conception d'un dispositif mécanique autorise une manipulation dudit piège sans imposer toutes les précautions nécessaires à la manipulation des dispositifs

de l'art antérieur utilisant une cartouche.

Un dispositif mécanique a pour autre avantage d'éviter d'enclore ledit piège pour éviter tout déclenchement accidentel par un animal domestique ou un enfant. En outre, le passage d'une position au- dessus de la galerie à une position basse dans la galerie, du mécanisme évite tout espace accessible de l'extérieur entre les deux -3- positions ce qui garantit une sécurité totale du dispositif. Bien entendu, un dispositif mécanique a également pour avantage de proposer une fiabilité et une robustesse supérieures à un dispositif utilisant une cartouche. En effet, le mouvement de translation est un mouvement simple et le mécanisme n'est en mouvement que rarement à savoir

lors de l'armement et lors du déclenchement dudit piège.

Ce type de dispositif de piégeage sera en outre moins sensible aux contraintes de l'environnement extérieur tels

le vent, la pluie, l'humidité, etc...

Ce type de piège a pour autre avantage de proposer un piège positionnable au niveau de la galerie et non au niveau de la taupinière, ce qui augmente la probabilité

que la taupe ou l'animal déclenche le mécanisme.

Les concepts fondamentaux de l'invention venant d'être exposés ci-dessus dans leur forme la plus élémentaire, d'autres détails et caractéristiques ressortiront plus clairement à la lecture de la

description qui suit et en regard des dessins annexés,

donnant à titre d'exemple non limitatif, un mode de réalisation d'un dispositif de piégeage conforme à l'invention. La figure 1 est une vue en coupe de la situation du dispositif de piégeage installé au dessus d'une galerie, La figure 2 est une vue en coupe du dispositif en position armée, La figure 3 est une vue de gauche du dessin de la figure 2, La figure 4 est une vue en coupe du dispositif en

position basse une fois déclenché.

Tel qu'illustré sur le dessin de la figure 1, le dispositif de piégeage référencé D dans son ensemble est disposé au niveau d'une galerie G dans laquelle se déplace une taupe T. Conformément à l'invention, ledit dispositif D - 4 - comprend un bâti 100 sur lequel coulisse verticalement un mécanisme 200 qui, comportant des moyens pour assommer ladite taupe T dans la galerie G et déclenché par le passage de cette dernière dans ladite galerie G, décrit une course d'un point de départ situé au-dessus de la galerie G à un point d'arrivée constitué par la surface inférieure de la galerie G. Tel qu'illustré sur le dessin de la figure 1, le

mécanisme 200 est en position armée.

Tel qu'illustré plus précisément sur les dessins des figures 2 et 4, ledit bâti 100 comporte une première partie 110 de support et de guidage du mécanisme 200 dite partie supérieure et une deuxième partie dite partie inférieure 120, constituée de moyens assurant la liaison entre le sol creusé d'une galerie G et ladite première

partie 110.

Tel qu'illustré sur le dessin de la figure 3, ladite partie inférieure 120 assurant la liaison du bâti 100 au sol au niveau de la galerie est constituée de deux paires de tiges rigides 121. Selon un mode de réalisation préféré, lesdites tiges 121 sont écartées entre elles d'une largeur équivalente à la largeur classique d'une galerie G de façon à ce que lesdites tiges 121 une fois plantées en terre se trouvent de part et d'autre de ladite galerie G. En outre, selon un autre mode de réalisation préféré, les tiges 121 de chaque paire constituant la partie inférieure 120 du bâti 100 se rejoignent de façon à ce que leur élément de liaison se place dans le fond de la galerie G. Selon le mode de réalisation illustré en figure 3, les deux tiges rigides 121 se rejoignent en formant un arc. Cette caractéristique a pour avantage au niveau industrialisation d'éviter la jonction des tiges au moyen

d'une mécano-soudure augmentant le coût de fabrication.

Les tiges 121 sont en fait ici constituées par les -5- branches d'un U ce qui simplifie la fabrication et garantit une grande robustesse de cette pièce qui, non seulement assure la liaison entre le sol et la partie supérieure 110 du bâti 100 mais permet également de servir de support à la taupe T lorsque ledit moyen d'assommer ou de mise à mort de ladite taupe T, entraîné par le mécanisme 200, passe en position basse. En effet, la poussée exercée par ledit moyen sur le corps de la taupe T pourrait avoir pour conséquence l'enfoncement du corps de cette dernière dans la surface inférieure de la galerie G sans la tuer ou simplement en la blessant ce qui pourrait provoquer des souffrances inutiles. La liaison entre les deux tiges rigides 121 a donc pour avantage de créer un support rigide permettant de tuer la taupe T sans

souffrance inutile.

Ledit mécanisme 200 est avantageusement constitué d'une part, d'une fourchette mobile 210 comportant au moins deux branches 211 et 212 dont les extrémités ont pour fonction d'écraser la taupe T sur le fond de sa

galerie, d'un sous-ensemble d'armement 300 et d'un sous-

ensemble de déclenchement 400 présent dans la galerie, les branches 211 et 212 de la fourchette 210 étant situées de

part et d'autre du sous-ensemble de déclenchement 400.

Le choix de la situation du sous-ensemble de déclenchement 400 entre les deux branches 211 et 212 de la fourchette 210 est particulièrement judicieux. En effet, fort de mon expérience dans le domaine du piégeage, j'ai constaté que les taupes poussent souvent devant elles une certaine quantité de déblais à des fins de consolidation ou d'entretien de leurs galeries G. En outre, lors de l'installation d'un piège quel qu'il soit, au-dessus d'une taupinière ou d'une galerie, la galerie G est souvent endommagée comme illustrée en figure 1, c'est à dire que la disposition des tiges rigides de liaison constituant la partie inférieure 120 du bâti 100 de part et d'autre de la galerie G provoque l'effondrement de cette dernière au -6- moins au niveau desdites tiges. Cet effondrement est d'autant plus important lorsque lesdites tiges sont formées par les branches d'un U. L'effondrement de la galerie G a pour conséquence la création de monticules de terre M (cf figure 1) au niveau desdites tiges. La présence de ces monticules M obligent la taupe T à pousser ces derniers devant elle. Aussi, dans la plupart des cas, c'est le contact de la terre avec le sous-ensemble déclencheur 400 qui déclenche le piège et non la taupe T elle-même bien que cela soit possible et envisage. Ainsi, lorsque la taupe T pousse de la terre devant elle, la terre ou ses pattes avant entrent en contact avec le sous-ensemble déclencheur 400 alors que le corps de la taupe T se trouve sous une des branches 211 ou 212 de la fourchette 210 constituant le moyen d'assommer du dispositif de piégeage D. Selon le choix de conception particulièrement judicieux illustré, les tiges constituant les branches 211 et 212 de la fourchette 210, se rejoignent de façon à former un U. Comme illustré sur le dessin de la figure 3, l'écartement des branches de ce U ainsi que le rayon de raccord de ce dernier sont tels que les branches 211 et 212 de la fourchette 210 s'inscrivent entre les branches du U formé par chaque paire de tiges rigides formant la

partie inférieure 120 du bâti 100.

Toujours selon ce mode de réalisation, les branches desdits U sont des éléments du même plan vertical de part et d'autre du sous-ensemble déclencheur 400. Cette caractéristique a pour avantage de permettre un support au corps de la taupe T lorsque celui-ci est percuté par une

branche 211 et 212 de la fourchette 210.

Selon une caractéristique particulièrement avantageuse de l'invention, ledit sous-ensemble d'armement 300 est constitué d'une poignée 310 montée tournante par rapport à un arbre solidaire dudit bâti 100 et comprenant -7-

un moyen d'entraînement de ladite fourchette 210.

Comme illustré, la rotation de ladite poignée 310 assure l'armement du mécanisme 200 par tension d'au moins un ressort à boudin 320 dont une extrémité 321 est fixée au bâti 100 et l'autre extrémité 322 à ladite fourchette 320, le retour en position normale illustrée par le dessin de la figure 4, ressort qui, par action du sous-ensemble de déclenchement 400 assure la translation de la fourchette 210 d'une position haute (cf figures 1, 2, 3) à

une position basse (cf figure 4).

Afin d'assurer un intermédiaire entre la fourchette 210 et le ressort 320 ainsi qu'entre la fourchette 210 et le bâti 100, ladite fourchette 210 comprend un profilé

plat 220 en liaison glissière avec le bâti 100.

Pour réaliser dans de bonnes conditions cette liaison, ledit bâti 100 est avantageusement constitué par deux platines 130 et 140 liées entre elles et comprenant chacune, en vis-à-vis, un moyen de guidage sur lequel

coulisse ledit profilé plat 220.

Selon le mode de réalisation préféré illustré, ledit moyen de guidage est avantageusement constitué par deux paires de rails 150 entre lesquels coulisse ledit profilé plat 220. La réalisation d'une liaison glissière par l'association d'un profilé plat 220 avec deux paires de rails 150 constitue un moyen simple, robuste et efficace non sujet au grippage pour réaliser le guidage en

translation verticale de la fourchette 210.

Dans un effort de compacité, les deux platines 130 et constituant la partie supérieure 110 du bâti 100 du dispositif D, adoptent une forme trapézoïdale. De même, toujours dans un souci de compacité du dispositif D, les branches 211 et 212 de la fourchette 210, notamment au niveau de leur liaison avec le profilé plat 220, ont été pliées de façon à éviter une saillie trop importante,

comme illustrées sur le dessin des figures 1 et 2.

Comme illustrée, ladite poignée 310 comporte un moyen

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de liaison 311 en position armée avec une première extrémité 410 d'une détente montée pivotante par rapport au bâti 100 et constituant le susdit sous-ensemble de déclenchement 400 dont la deuxième extrémité 420 se trouve dans la galerie G à des fins d'actionnement de cette dernière par le passage de l'animal à savoir la taupe T dans l'exemple décrit, ledit actionnement provoquant le mouvement de ladite détente vers le haut de la deuxième extrémité 420 et donc le mouvement vers le bas de l'extrémité 410, la libération de la poignée 310 et un mouvement de translation verticale vers le bas de ladite

fourchette 210 provoquée par le ressort 320.

Selon le mode de réalisation préféré illustré mais non limitatif, ledit moyen d'entraînement liant la poignée 310 et la fourchette 210 tel qu'imaginé, est avantageusement constitué par un câble 330 dont une première extrémité 331 est liée au profilé plat 220 et une deuxième extrémité 332 s'enroule autour d'un cylindre formant poulie 340 dont

l'axe de rotation est identique à celui de la poignée.

L'agencement 330 du câble par rapport audit cylindre 340 est tel que le mouvement de rotation du sous-ensemble d'armement 300, c'est à dire le mouvement de rotation de la poignée 310 passant d'une position de repos illustrée sur le dessin de la figure 4, à une position armée o le moyen de liaison 311 de la poignée 310 vient en prise avec la première extrémité 410 du sous-ensemble de déclenchement 400, provoque l'enroulement du câble 330 autour du cylindre formant poulie 340 et donc un mouvement vertical en translation vers le haut dudit profilé plat 220 et de la fourchette 210 y associée, ledit mouvement provoquant, en l'étirant, la mise en tension du ressort 320 à boudin 320 qui permet de maintenir la liaison entre la poignée 310 et la première extrémité 410 du sous-ensemble de déclenchement 400. Selon le mode de réalisation préféré mais non limitatif illustré, ledit sous- ensemble déclencheur 400 est -9- situé entre les deux branches 211 et 212 de la fourchette 210 et adopte au niveau de sa deuxième extrémité 420 venant dans la galerie G une forme arrondie quasi-symétrique par rapport à l'axe de symétrie du dispositif D de sorte que le le sousensemble de déclenchement 400 ait la même sensibilité quel que soit le sens d'avancée de la taupe T. En effet, contrairement à beaucoup des pièges à taupe existants, le dispositif D ne se dispose pas au niveau d'une taupinière mais au niveau d'une galerie et assure le piégeage de la taupe T qu'elle vienne dans un sens ou dans l'autre de cette galerie G. Selon un mode de réalisation particulièrement judicieux, l'axe de rotation du sous-ensemble de déclenchement 400 se trouve entre ses deux extrémités 410 et 420 de façon à ce que la remontée de l'extrémité 420 assure un mouvement de dégagement vers le bas de

l'extrémité 410 libérant la poignée 310.

L'action de la taupe T sur le sous-ensemble de déclenchement 400 provoque la libération de la poignée 310 du sous-ensemble d'armement 300, libération autorisant le

ressort 320 à projeter ladite fourchette 210 vers le bas.

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Claims (10)

REVENDICATIONS

1. Dispositif de piégeage (D) pour animaux nuisibles (T) du type de ceux creusant des galeries (G), CARACTÉRISÉ PAR LE FAIT QU'il comprend un bâti (100) sur lequel coulisse verticalement un mécanisme (200) qui, comportant des moyens pour assommer ledit animal (T) dans la galerie (G) et déclenché par le passage de ce dernier dans ladite

galerie, décrit une course d'un point de départ situé au-

dessus de la galerie (G) à un point d'arrivée constitué par

la surface inférieure de la galerie (G).

2. Dispositif (D) selon la revendication 1, CARACTÉRISÉ PAR LE FAIT QUE ledit bâti (100) comporte une première partie (110) de support et de guidage dudit mécanisme (200) dite partie supérieure et une deuxième partie (120) dite partie inférieure, constituée de moyens assurant la liaison entre le sol creusé d'une galerie (G)

et ladite première partie (110).

3. Dispositif (D) selon la revendication 2, CARACTÉRISÉ PAR LE FAIT QUE ledit mécanisme (200) est constitué d'une fourchette mobile (210) comportant au moins deux branches (211 et 212) dont les extrémités ont pour fonction d'écraser l'animal (T) sur le fond de sa galerie

(G), d'un sous-ensemble d'armement (300) et d'un sous-

ensemble de déclenchement (400) présent dans la galerie (G), les branches (211 et 212) de la fourchette (210) étant situées de part et d'autre du sous-ensemble de

déclenchement (400).

4. Dispositif (D) selon la revendication 3, CARACTÉRISE PAR LE FAIT QUE ledit sous-ensemble d'armement (300) est constitué d'une poignée (310) montée tournante par rapport à un arbre solidaire dudit bâti (100) et comprenant un moyen d'entraînement de ladite fourchette

(210).

5. Dispositif (D) selon la revendication 4, CARACTÉRISÉ PAR LE FAIT QUE la rotation de ladite poignée (310) assure l'armement du mécanisme (200) par tension d'au

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moins un ressort à boudin (320) dont une extrémité (321) est fixée au bâti (100) et l'autre extrémité (322) à ladite fourchette (210), le retour en position normale du ressort (320) par action du sous-ensemble de déclenchement (400) assurant la translation de la fourchette (310) d'une

position haute à une position basse.

6. Dispositif (D) selon la revendication 5, CARACTÉRISE PAR LE FAIT QUE ladite fourchette (210) comprend un profilé plat (220) en liaison glissière avec

le bâti (100).

7. Dispositif (D) selon la revendication 6, CARACTÉRISÉ PAR LE FAIT QUE ledit bâti (100) est constitué par deux platines (130 et 140) liées entre elles et comprenant chacune en vis-à-vis un moyen de guidage sur

lequel coulisse ledit profilé plat (220).

8. Dispositif (D) selon la revendication 8, CARACTÉRISE PAR LE FAIT QUE ladite poignée (310) comporte un moyen de liaison (311) en position armée avec une première extrémité (410) d'une détente montée pivotante par rapport au bâti (100) et constituant le sous-ensemble de déclenchement (400) dont la deuxième extrémité (420) se trouve dans la galerie (G) à des fins d'actionnement de cette dernière par le passage de l'animal (T), ledit actionnement provoquant le mouvement de ladite détente (400), la libération de la poignée (310) et un mouvement de translation verticale vers le bas de ladite fourchette

(210) provoqué par le ressort (320).

9. Dispositif (D) selon la revendication 5, CARACTERISÉ PAR LE FAIT QUE ladite partie inférieure (120) assurant la liaison du bâti (100) au sol est constituée de deux paires de tiges rigides (121), lesdites tiges (121) étant écartées entre elles d'une largeur équivalente à la largeur d'une galerie (G) de façon à ce que lesdites tiges (121) une fois plantées en terre se trouvent de part et

d'autre de ladite galerie (G).

10. Dispositif (D) selon la revendication 9,

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CARACTERISÉ PAR LE FAIT chaque paire de tiges (121) se rejoint de façon à ce que leur élément de liaison se place

dans le fond de la galerie (G).