FR2628691A1 - Corps en matiere plastique, notamment pour sieges de vehicules - Google Patents

Abstract

Corps en matière plastique, notamment pour des sièges de véhicules, comportant au moins un élément réuni au siège de façon à former avec lui une unité de construction et constitué d'un matériau ayant d'autres propriétés physiques que celles de la matière plastique. L'élément 104, 105 est agencé sous la forme d'un élément d'amortissement 104, 105, constitué d'un métal plastiquement déformable et relié solidement au corps en matière plastique 101 et/ou d'un insert incorporé dans le corps en matière plastique 101, et entre lequel et la matière plastique est prévue une couche intermédiaire formée d'un matériau qui permet des mouvements relatifs entre la matière plastique et l'insert.

Description

La présente invention concerne un corps en matière plastique, notamment

pour des sièges de véhicules, comportant au moins un élément réuni au siège de façon à former avec lui une unité de construction et constitué d'un matériau ayant d'autres propriétés physiques que celles de la

matière plastique.

Dans les corps en matière plastique connus de ce type, dans lesquels uninsert est de préférence incorporé au moulage ou bien enrobé de la matière plastique, il peut se former dans une zone de contact, c'est-àdire dans une zone o la matière plastique et l'insert se touchent, des fissures dans une matière mécaniquement assez faible, qui est généralement la

matière plastique, ce qui peut provoquer une sépara-

tion de la liaison. Généralement, des influences

mécaniques et thermiques en sont la cause.

L'invention a pour but d'améliorer les propriétés et les possibilités d'utilisation d'un

corps en matière plastique du type défini ci-dessus.

Ce problème est résolu en ce que l'élément précité est agencé sous la forme d'un élément d'amortissement relié de façon fixe au corps en matière plastique et/ou sous la forme d'un insert placé dans le corps en matière plastique, et en ce qu'il est prévu entre ledit élément et la matière plastique une couche intermédiaire formée d'un matériau qui permet des mouvements

relatifs entre la matière plastique et l'insert.

La couche intermédiaire, qui établit une liaison solide d'une part avec la matière plastique et d'autre part avec l'insert, permet entre la matière plastique et l'insert des mouvements relatifs tels que

ceux se produisant lors de déformations, sans surchar-

ger mécaniquement la matière plastique ou le matériau de l'insert. On évite ainsi, également lors de fortes déformations, une formation de fissures dans la matière plastique ou dans l'insert et en conséquence la liaison indirecte entre les deux composants est intégralement maintenue. Naturellement la transmission de force ou de charge entre le corps en matière plastique et l'insert nécessite de choisir des formes et des contours de composants qui tiennent compte des impératifs précités. On ne rencontre cependant pas de difficultés à cet égard car ces impératifs peuvent être facilement satisfaits du point de vue de la construction. Avantageusement, la couche intermédiaire est constituée par une enveloppe de l'insert au moins

dans la zone d'enrobage.

Pour que la couche intermédiaire puisse remplir sa fonction, elle se compose d'un matériau qui a une meilleure aptitude de déformation que la matière plastique et l'insert. On est ainsi assuré d'une manière simple que la couche intermédiaire permette entre la matière plastique et l'insert les mouvements relatifs qui sont nécessaires pour

empêcher la formation de fissures dans ces composants.

A cet égard, il est également important que le matériau de la couche intermédiaire permette un mouvement relatif entre le corps en matière plastique et l'insert

par une déformation élastique, une déformation plasti-

que ou bien ne déformation aussi bien élastique que plastique. Selon une autre particularité de l'invention, la couche intermédiaire se compose d'une matière synthétique élastique-plastique, d'une matière à base de silicones, d'un caoutchouc thermiquement résistant

ou bien d'un matériau analogue au caoutchouc.

Le corps en matière plastique peut être par exemple une partie d'un siège de véhicule, avec laquelle peut être reliée, au moyen de l'insert, une autre partie du siège, par exemple le châssis d'assise ou un appui-tête. Dans les dossiers connus pour sièges de véhicules, notamment des sièges de véhicules automobiles dont le support de rembourrage est agencé, au moins dans la zone centrale située entre les deux bords latéraux, comme un support plat en forme de coquille et en matière plastique, il peut se produire en cas de collision, indépendamment de ce qu'il existe ou non des longerons latéraux en métal, que l'utilisateur du siège, après avoir été poussé avec une grande force contre le support plat, soit projeté vers l'avant à partir de celui-ci avec une grande accélération, ce qui peut provoquer des blessures importantes. Un élément d'amortissement, par exemple une barre profilée métallique, réunie avec le support plat en matière plastique sous forme d'une unité de construction et notamment noyée dans le support plat, peut amortir fortement les mouvements de la coquille, notamment lors d'un recul élastique, ce qui permet d'empêcher que l'utilisateur du siège soit projeté vers l'avant par le dossier. A cet égard, on n'a pas à craindre une suppression de la liaison entre la coquille et l'élément d'amortissement, pour autant qu'il existe entre les deux parties précitées

la couche intermédiaire conforme à l'invention.

Cependant il faut tenir compte du fait que dans le cas d'une très forte déformation du support plat, la liaison peut être détruite ou bien, lorsque pour des raisons de sécurité après un accident le dossier a été

remplacé, la couche intermédiaire peut être absente.

L'élément d'amortissement noyé dans la matière plastique n'a pas pour fonction d'empêcher la

déformation élastique de la coquille lors d'une solli-

citation correspondante par l'utilisateur du siège.

Il est au contraire avantageux qu'il ait une grande

course de déformation. En effet, l'élément d'amortis-

sement peut absorber au moins une grande partie de l'énergie emmagasinée dans le support plat en forme de coquille après sa déformation élastique et de convertir cette énergie en travail de déformation et également en chaleur, pour faire en sorte que la déformation élastique du support plat ne soit reprise que d'une manière relativement lente. Avec une telle lenteur de reprise de forme, il n'existe alors plus le risque que l'utilisateur du siège soit projeté vers

l'avant par le dossier.

Evidemment un élément d'amortissement peut

être disposé en tout endroit o se produit une défor-

mation élastique du support plat. Il est cependant avantageux que l'élément d'amortissement soit interposé dans la matière plastique audessus et/ou en dessous

de la zone soutenant les reins.

Il est particulièrement avantageux du point

de vue du coût d'utiliser des éléments d'amortisse-

ment en forme de barres. En ce qui concerne l'obtention d'un rapport aussi favorable que possible entre le poids et le travail de déformation, il est souvent avantageux de choisir une barre profilée. Une telle barre peut avoir par exemple un profil circulaire, un profil demi-circulaire, un profil en C ou un profil anguleux. En ce qui concerne le dimensionnement, il suffit de faire en sorte qu'une déformation plasti-, que se produise seulement lors d'une sollicitation de la coquille qui est supérieure à la charge s'exerçant

en marche. Cependant également il est approprié d'uti-

liser des éléments d'amortissement de profil plat, qui

peuvent être constitués par exemple de métal déployé.

Pour autant que le support plat comporte latéralement des zones marginales relevées, l'élément d'amortissement peut être disposé dans ces zones

marginales pour les renforcer.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mis en évidence dans la suite de

la description, donnée à titre d'exemple non limitatif,

en référence aux dessins annexés dans lesquels: la figure 1 est une vue en élévation latérale d'un dossier d'un siège de véhicule, comportant une coquille servant de support de rembourrage, la figure 2 est une vue en coupe à échelle agrandie, faite selon la ligne II-II de la figure 1, la figure 3 est une représentation schématique d'une partie de la figure 2, l'insert n'étant pas en charge, la figure 4 est une représentation conforme à la figure 3, l'insert étant en charge, la figure 5 est une vue en élévation de face d'une coquille d'un siège de véhicule servant de support de rembourrage pour le dossier, la figure 6 est une vue en coupe à échelle agrandie, faite selon la ligne VI-VI de la figure 5, la figure 7 est une vue en élévation de face d'un support de rembourrage d'un dossier, les figures 8 à 11 représentent chacune une vue en

coupe d'un élément d'amortissement en forme de barre.

Le dossier d'un siège de véhicule automobile comporte, comme support de rembourrage, une aquille 1 qui est formée d'une matière plastique renforcée par

des fibres de verre, des fibres de carbone ou analogue.

La coquille 1 peut être reliée rigidement, dans une zone de ses deux bords latéraux 1', faisant saillie vers l'avant, avec un longeron latéral 100 constitué de métal. L'extrémité inférieure des deux longerons latéraux 100 est reliée d'une manière connue, par l'intermédiaire d'une ferrure d'articulation respective,

avec la partie d'assise du siège de véhicule. - -

Pour la liaison de la coquille 1 avec les longerons latéraux 100, deux inserts 2, 3, agencés chacun comme une barre plate en acier, sont noyés ou encastrés dans les deux zones marginales latérales 1' et portent à leurs parties terminales respectives un écrou soudé 4, faisant saillie vers l'intérieur. Ces écrous soudés font saillie de la matière constituant la coquille 1 et reçoivent des vis d'assemblage à l'aide desquelles

les longerons latéraux sont reliés avec la coquille 1.

Les inserts 2 et 3 sont chacun placés dans

une enveloppe 5 formant une couche intermédiaire élas-

tique-plastique, qui est constituée de silicone dans l'exemple de réalisation considéré et qui a été déposée sur les inserts 2 et 3 avant que ceux-ci soient

encastrés dans les zones marginales latérales 1'.

L'enveloppe 5 établit une liaison solide aussi bien avec l'insert qu'avec la zone marginale latérale 1'. Lorsque par exemple l'insert 2 subit une déformation, par exemple un allongement dans sa

direction longitudinale, sous l'action d'une sollici-

tation mécanique, sa section est alors réduite, comme cela est représenté de façon fortement exagérée sur la figure 4. Si l'enveloppe 5 n'existait pas, il se produirait alors dans la région de contact entre l'insert et la zone marginale latérale, des fissures dans cette dernière, ce qui réduirait ou supprimerait complètement la liaison. L'enveloppe 5 permet par contre ce mouvement relatif entre l'insert 2 et la zone marginale latérale 1' sans qu'il se produise des fissures dans la matière de la zone marginale latérale 1. En outre la liaison entre l'enveloppe 5 et la zone marginale latérale d'une part et également l'enveloppe 5 et l'insert 2 d'autre part, est maintenue intégralement. Cela est possible par le fait que

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l'enveloppe se déforme élastiquement et/ou plastique-

ment au degré nécessaire.

La coquille 10 représentée sur la figure 5, qui sert également de support de rembourrage pour le dossier d'un siège de véhicule automobile, non représenté, se compose, comme la coquille 1, d'une matière plastique renforcée par des fibres de verre,

par des fibres de carbone, ou analogue.

Les zones marginales latérales 10', faisant saillie vers l'avant, de la coquille 10 sont chacune liées rigidement avec un longeron latéral métallique 11. Lors d'une sollicitation de la zone centrale de la coquille 10 par l'avant, comme cela peut se produire sous la poussée d'un utilisateur du siège, par exemple en cas d'accident, la coquille 10 subit une déformation élastique de telle sorte que la zone

centrale soit décalée vers l'arrière et qu'en corres-

pondance la courbure de la coquille dans la direction transversale soit augmentée, ce qui diminue également l'espacement mutuel des longerons latéraux 11. Dans les sièges de véhicules connus comportant des coquilles

en matière plastique servant de supports de rembourra-

ges de dossiers, l'énergie emmagasinée dans la coquille par cette déformation peut devenir suffisamment grande pour que l'utilisateur du siège soit soumis à une accélération excessivement grande lors du retour

ultérieur, se produisant en un temps extrêmement court,.

de la coquille jusque dans sa position initiale.

Pour la coquille 10, cela est empêché par un élémentd'amortissement 12 qui est noyé ou encastré dans la coquille 10, à savoir dans la zone des épaules dans

l'exemple de réalisation considéré. L'élément d'amor-

tissement 12 s'étend dans la direction transversale du dossier. Sa forme, sa grandeur et sa disposition n'ont cependant pas besoin d'être choisies comme cela est mis en évidence sur la figure 5 du fait qu'il est suffisant à cet égard que l'élément d'amortissement, ou bien dans le cas o il est prévu plusieurs éléments d'amortissement, les éléments

d'amortissement soient déformés, lors de la déforma-

tion de la coquille 10, et qu'ainsi l'énergie soit convertie d'une manière irréversible en travail de déformation. O10 Dans l'exemple de considération considéré, l'élément d'amortissement 12 est constitué par une barre plate formée d'acier, qui s'étend dans la direction transversale du dossier d'une zone latérale à l'autre. L'élément d'amortissement 12 subit pour cette raison une déformation plastique sous la forme d'une section, et notamment aussi bien lorsque la coquille 10 est déformée sous l'effet de la charge exercée par l'utilisateur du siège que lorsque la

coquille 10 peut revenir dans sa position initiale.

Pour cette raison, l'élément d'amortissement 12 diminue la flexion de la coquille 10, et surtout empêche ou tout au moins ralentit fortement le retour élastique

en direction de la position initiale.

Evidemment, on n'est pas limité à l'utilisa-

tion d'une barre plate comme élément d'amortissement 12. Il est possible d'utiliser également des barres profilées et des éléments plats, par exemple des éléments qui sont agencés sous la forme d'une nappe en

métal déployé.

Pour que, lors d'un mouvement relatif entre la coquille 10 et l'élément d'amortissement 12, il ne se produise pas de fissures dans la coquille 10, l'élément d'amortissement 12 est pourvu d'une enveloppe formant une couche intermédiaire qui se compose, dans l'exemple de réalisation considéré, d'une matière synthétique élastique-plastique ou de caoutchouc, qui établit une liaison solide aussi bien avec l'élément d'amortissement 12 qu'avec la coquille 10 et qui a une aptitude de déformation suffisante pour s'adapter aux mouvements relatifs engendrés. Dans l'exemple de réalisation représenté sur la figure 7, le dossier d'un siège de véhicule automobile comporte, comme support de rembourrage. urne coquille 101 formée de matière plastique et qui est

pourvue, dans la zone soutenant les épaules de l'uti-

lisateur du siège, de joues latérales 102 faisant saillie vers l'avant et augmentant la largeur. En dessous de ces joues latérales 102, le bord latéral de la coquille 101 est relevé vers l'avant. Ces bords

latéraux sont reliés à des longerons latéraux métalli-

ques, non représentés, qui sont chacun reliés de façon

pivotante, par l'intermédiaire d'une ferrure d'arti-

culation, également non représentée, avec le châssis

du siège.

Une ligne de délimitation, désignée par 103, entoure la zone de la coquille 101 dans laquelle est disposé un élément d'amortissement car c'est dans cette zone que la coquille peut être si fortement déformée élastiquement, dans le cas d'une sollicitation par l'utilisateur du siège au cours d'un accident, qu'à la suite de cette déformation l'utilisateur du siège puisse être projeté vers l'avant par le dossier, si

aucune mesure n'a été prise pour amortir cette déforma-

tion en retour. Cependant il est particulièrement avantageux de disposer un élément d'amortissement dans la zone soutenant les épaules de l'utilisateur du siège et/ou dans la zone qui est située en dessous de celle servant à soutenir les reins. La zone citée en dernier est située entre le niveau du bord supérieur

du bassin et la pointe de hanche.

Aussi bien dans la région marginale inférieure de la zone soutenant les épaules de l'utilisateur du siège que dans la zone située entre le niveau du bord sueieur de bassin et le niveau de la pointe de hanche, il est prévu, dans l'exemple de réalisation considéré, deux barres d'amortissement

104 et 105, formées d'acier, noyées ou encastrées par stratifi-

cation dans la coquille 101 et qui s'étendent, comme le montre la figure 7, dans une direction horizontale sur toute la largeur de la zone de coquille située entre les bords relevés vers l'avant. Les deux barres d'amortissement 104 et 105 ont une épaisseur d'environ 6 mm et une largeur de 20 à 30 mm, mesurée du haut

vers le bas.

Sous l'effet d'une charge normale se produisant en marche, les deux barres d'amortissement

104 et 105 ne subissent aucune déformation plastique.

Par contre en cas d'accident, la déformation élastique de la coquille 101 peut devenir si grande que les

barres d'amortissement 104 et 105 subissent une défor-

mation plastique. Ensuite la déformation en retour de

la coquille vers sa position initiale a pour conséquen-

ce que les barres d'amortissement 104 et 105 subissent

à nouveau une déformation plastique. Ainsi la déforma-

tion en retour de la coquille 101 est suffisamment fortement ralentie pour que la projection dangereuse de l'utilisateur du siège vers l'avant ne puisse pas se produire, d'autant plus que les barres d'amortisse-, ment 104 et 105 réduisent également considérablement

la course de déformation en retour.

Comme le montrent les figures 8 à 11, on peut prévoir, à la place des barres d'amortissement 104 et 105, également des barres profilées 106, 107, 108 et 109, qui ont un profil demi-circulaire, un profil en forme de C ou d'étrier, un profil circulaire ou un il

profil en dièdre.

Notamment dans le cas d'éléments d'amortis-

sement en forme de bande ou plate, il est possible que ces éléments s'étendent jusque dans la zone des bords relevés de la coquille, ce qui renforce lesdits bords. Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation ci-dessus décrits et représentés, à partir desquels on pourra prévoir d'autres modes et d'autres formes de réalisation sans

pour cela sortir du cadre de l'invention.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Corps en matière plastique, notamment pour des sièges de véhicules, comportant au moins un élément réuni au siège de façon à former avec lui une unité de construction et constitué d'un matériau ayant d'autres propriétés physiques que celles de la matière plastique, caractérisé en ce que l'élément (2, 3; 12; 104 à 109) est agencé sous la forme d'un élément d'amortissement (12; 104 à 109), constitué d'un métal plastiquement déformable et relié solidement au corps en matière plastique (10; 101) et/ou d'un insert (2; 12) incorporé dans le corps en matière plastique ( 1; 10), et entre lequel et la matière plastique est prévue une couche intermédiaire (5; 15) formée d'un matériau qui permet des mouvements relatifs entre la matière

plastique et l'insert ( 2; 12).

2. Corps en matière plastique selon la reven-

dication 1, caractérisé en ce que la couche intermé-

diaire (5; 15) est constituée par une enveloppe de l'insert (2, 3; 12) au moins dans sa zone d'encastrement.

3. Corps en matière plastique selon une des

revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que la couche

intermédiaire ( 5; 15) est formée d'un matériau qui a une meilleure aptitude de déformation que la

matière plastique et l'insert ( 2, 3; 12).

4. Corps en matière plastique selon la reven-

dication 3, caractérisé en ce que le matériau de la couche intermédiaire ( 5; 15) a une plus grande

élasticité et/ou une plus grande aptitude de déforma-

tion plastique que la matière plastique et l'insert

(2, 3; 12). -

5. Corps en matière plastique selon une

quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce

262869i que la couche intermédiaire ( 5; 15) est formée d'une matière synthétique élastique-plastique, d'une

matière à base de silicones, d'un caoutchouc résis-

tant thermiquement ou d'une matière analogue à du caoutchouc.

6. Corps en matière plastique selon une quelcon-

que des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que

l'insert (2, 3) est une partie de liaison ou bien

une partie d'un dispositif de liaison.

7. Corps en matière plastique selon une

quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce

qu'il est agencé comme un support de rembourrage de dossier, de préférence comme un support de rembourrage en forme de coquille pour un dossier d'un siège de véhicule et l'insert est agencé comme un élément d'amortissement (12; 104 à 109) se déformant plastiquement.

8. Corps en matière plastique selon la reven-

dication 7, caractérisé en ce que l'élément d'amortis-

sement (104 à 109) est encastré, de préférence par

stratification, dans le support (101).

9. Corps en matière plastique selon une des

revendications 7 ou 8, caractérisé en ce que l'élément

d'amortissement (104, 105) est disposé au-dessus et/ou

en dessous de la zone soutenant les reins.

10. Corps en matière plastique selon une des

revendications 7 à 9, caractérisé en ce que l'élément

d'amortissement (106 à 109) est une barre profilée.

11. Corps en matière plastique selon la reven-

dication 10, caractérisé en ce que la barre profilée

(106 à 109) a un profil circulaire, un profil demi-

circulaire, un profil en forme de C ou un profil

en dièdre.

12. Corps en matière plastique selon une

quelconque des revendications 7 à 11, caractérisé en

ce que l'élément d'amortissement s'étend jusque

dans la zone marginale latérale de la coquille (101).