FR2613742A1 - Regard de chaussee a charniere en t - Google Patents

Abstract

UN REGARD DE CHAUSSEE ROND COMPORTE UN CADRE 1 ET UN TAMPON OBTURATEUR 4 LIES AMOVIBLEMENT PAR UNE CHARNIERE EN T CONSTITUEE D'UN LOGEMENT 5 PREVU DANS LE CADRE ET D'UN PIVOT 16 SUPPORTE EN SAILLIE PAR LE TAMPON ET ABRITE DANS LE LOGEMENT, CELUI-CI COMPORTANT UNE PARTIE RADIALEMENT INTERIEURE 6 FORMANT COL ET UNE PARTIE RADIALEMENT EXTERIEURE 7 RECEVANT L'AXE 18 DU PIVOT ET AYANT UNE PROFONDEUR DECROISSANTE DE L'INTERIEUR VERS L'EXTERIEUR SUR LE FOND DUQUEL L'AXE 18 PEUT REPOSER PAR SES EXTREMITES, DES LEVRES DE RETENUES 9 SURPLOMBLANT UNE ZONE DE LA PARTIE 7 ET DELIMITANT UN ORIFICE D'EXTRACTION DE L'AXE 18.

Description

Renard de chaussee a charnière en T
La présente invention concerne des perfectionnements apportés aux regards de chaussee notamment de forme genérale sensiblement circulaire du type, comportant un cadre et un tampon obturateur-supporté par ledit cadre, le regard étant pourvu d'un dispositif à charnlere liant, de façon amovible, le tampon au cadre à la périphérie de ceux-ci et autorisant le soulèvement du tampon par rapport au cadre par pivotement autour du dispositif a charnière.

On connait des regards de chaussée à tampon basculant qui est monté sur charnières et qui présente a cet effet deux tétons saillant latéralement dont les axes sont confondus et s'engageant dans des logements respectifs prévus à cet effet dans le cadre ; les charnières ainsi constituées sont alors chacune complétées a l'aide d'une pièce faisant office de bouchon emprisonnant chaque téton dans son logement. L'inconvénient de ce type de regard réside dans le fait qu'il nécessite une pièce rapportée pour éviter que le tampon ne se soulève en cas de poussée internent ne quitte le cadre.

On connait également des regards du même type, dans lequel le tampon présente deux tétons comme precedemment et le cadre est muni de logements profilés, recevant ces tétons, de telle sorte que le tampon ne puisse quitter le cadre même en cas de poussée interne.

Ces regards connus présentent les inconvénients sulvants: - les logements ménagés dans le cadre pour le passage des tétons sont toujours ouverts même lorsque le tampon est en place ; des saletés peuvent alors y pénétrer (ces regards sont montés sur les chaussées) et s'entasser dans le fond des cavités dont sont munis les logements, en genant, voire en bloquant l'ouverture du tampon - du fait de la distance importante séparant les deux tétons du tampon, il est possible que, lors de l'ouverture, Si l'utilisateur exerce une force dirigée, non pas exactement dans l'axe d'ouverture, mais légèrement décalée vers la droite ou vers la gauche (ce qui arrive souvent lors des ouvertures effectuées a l'aide d'une barre å mine), le tampon se mette en travers et se coince ;Si ce coincement survient lors du soulèvement automatique du tampon sous l'action d'une poussée interne (débordement d'eau), le tampon ne peut plus se refermer sous l'effet de son propre poids, et il en resulte un danger pour les usagers de la chaussée.

On connait également un regard dont le tampon présente des surfaces d'appui arrondies. Un tel regard présente les inconvénients suivants - le tampon est mis en place par le dessous du cadre et il n'est donc plus démontable après scellement - les formes des logements d'appuis sont complexes et sont difficiles à mouler - étant donné les excentrations ménagées dans le cadre, il existe un risque de blocage en rotation du tampon a la suite d'un encrassement.

L'invention a donc essentiellement pour but de remédier aux inconvénients ci-dessus exposés des regards de chaussée a tampon basculant connus et de proposer un regard de chaussée perfectionné a charnière donnant mieux satisfaction, dans toute la mesure du possible, aux diverses exigences de la pratique, et notamment - sous l'effet d'éventuelles remontées d'eau, même si le tampon se souleve automatiquement, il ne doit pas quitter son logement - le tampon doit ensuite se refermer correctement sous l'effet uniquement de son propre poids - le tampon ne doit pas être déporté sur le côté lors de son ouverture, même lorsque l'effort exercé pour l'ouvrir n'est pas strictement perpendiculaire à son axe de pivotement - le tampon doit tenir tout seul en position ouverte - le tampon doit pouvoir être séparé du cadre de façon facile et a tout moment, sans pour autant que cette séparation puisse intervenir accidentellement et intempestivement lorsque le tampon repose en position de fermeture sur le cadre ou en position nettement entrouverte.

A ces fins, le regard de chaussée du type cité plus haut, agencé conformément à l'invention, se caractérise essentiellement - en ce que le dispositif à charnière comprend au moins une charnière ayant sensiblement la forme générale d'un
T qui comporte un logement ayant sensiblement la forme générale d'un T, pratiqué dans une région périphérique du cadre, et un pivot saillant, ayant sensiblement la forme générale d'un T, porté par une région périphérique du tampon et engagé dans ledit logement, - en ce que la partie radialement la plus intérieure du logement, correspondant a la jambe du T, constitue un col possédant une profondeur moindre que les parties du cadre qui l'encadrent radialement, - en ce que la partie radialement la plus extérieure du logement, correspondant a la barre transversale du T, présente, d'une part, une première portion située radialement vers l'intérieur et jouxtant le col précité, de profondeur supérieure à celle du col et ayant, en coupe radiale, sensiblement la forme d'un arc de cercle s'étendant sur 90. au plus dans sa zone médiane située en regard du susdit col et s'étendant sur environ 180 dans ses zones extrêmes, les parties d'extrémité longitudinale de cette première région étant surplombées par des lévres de retenue, et, d'autre part, une seconde portion située radialement vers l'extérieur ayant une profondeur inférieure à celle de la première portion précitée, le fond de cette seconde portion se raccordant par une surface en pente continue avec le fond de la première portion, et cette seconde portion étant ouverte vers le haut sur toute sa longueur, et - en ce que la barre transversale du pivot en T est sensiblement cylindrique, avec un diamètre sensiblement inférieure à celui de la première portion précitée du logement, mais sensiblement supérieur à la largeur de l'ouverture supérieure de la seconde portion suscitée, cette barre transversale du pivot présentant un plat approximativement parallèle aux faces principales du tampon et disposé de manière telle que la dimension de la barre transversale du pivot en T perpendiculairement au plat soit inférieure à la largeur de l'ouverture en question.

Grâce à cet agencement, le tampon est retenu sur le cadre et ne peut pas se désolidariser de celui-ci accidentellement et intempestivement lorsqu'il est en position de fermeture, par exemple sous l'action d'un phénomène d'aspiration dû au passage d'un véhicule ; par contre le tampon peut facilement être basculé pour l'ouverture du regard. En outre, le logement en T prévu dans le cadre et le pivot saillant T prévu sur le tampon présentent des formes géométriques assez simples et la fabrication du cadre et du tampon par moulage (notamment en fonte moulée) ne s'en trouve pas compliquée.

Avantageusement, le pivot saillant et le logement sont disposés respectivement sur le tampon et dans le cadre de manière telle que, lorsque le regard est fermé et que le tampon repose sur le cadre, le pivot ne présente aucun point de contact avec le logement. Ainsi, du fait que, par ailleurs, le tampon repose sur le cadre par l'intermédiaire d'un joint insonorisant en élastomère, il n'existe aucun contact entre les parties métalliques du cadre et du tampon et on évite la génération de cognements bruyants du tampon contre le cadre au cours du passage de véhicule sur le regard.

Dans un mode de réalisation préféré, la charnière est unique, la partie de celle-ci formant la jambe du T s'étendant sensiblement radialement et les faces latérales en regard, aux extrémités de la branche transversale du T, du pivot et du logement sont écartés l'une de l'autre d'un jeu minimal afin d'empêcher un coincement du tampon au cours de son mouvement par rapport au cadre. On simplifie ainsi la structure du tampon et du cadre, on simplifie au maximum la fabrication de ceux-ci, et surtout on évite les phénomènes de coincement lors des mouvements de basculement du tampon par rapport au cadre.

De façon intéressante, le logement en T est pratiqué dans l'épaisseur du cadre. Ainsi, le cadre ne présente aucune saillie aussi bien intérieure qu'extérieure, et le regard conforme à l'invention peut, sans difficultés, être substitué à un regard antérieur de mêmes dimensions.

Enfin, il est souhaitable que les dimensions respectives du logement et du pivot soient telles que le tampon soit retenu, par double appui du pivot dans le logement, dans une position d'ouverture formant un angle d'environ 105 à 110 par rapport à sa position de fermeture.

L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit d'un mode de réalisation préféré, donné uniquement a titre d'exemple non limitatif dans cette description on se réfère aux dessins annexés sur lesquels
- la fig. 1 est une vue de dessus d'une partie d'un cadre de regard de chaussée agencé selon l'invention
- la fig. 2 est une vue partielle en coupe radiale selon la ligne II-II de la fig. 1
- la fig. 3 est une vue partielle en coupe selon la ligne III-III des fig. 1 et 2
- la fig. 4 est une vue de dessus d'une partie d'un tampon de regard de chaussée agencé selon l'invention, la partie montrée du tampon étant destinée à coopérer avec ia partie du cadre montrée à la fig. 1
- la fig. 5 est une vue partielle en coupe radiale selon la ligne V-V de la fig. 4
- les fig. 6 à 8 sont des vues partielles en coupe radiale montrant respectivement trois positions fonctionnelles différentes de la charnière accouplant le tampon et le cadre du regard conforme à l'invention
- et la fig. 9 est une vue partielle de face montrant la charnière accouplant le tampon montré, partiellement, en position verticale et le cadre montré, partiellement.

En se référant tout d'abord aux fig. i à 3, le cadre 1 du regard conforme à l'invention présente toute forme (circulaire dans l'exemple représenté), dimension et configuration (notamment pour sa face supérieure) souhaitables. On notera en particulier que ce cadre, destiné à être encastré dans un sol approprié (chaussée par exemple), possède, d'une façon en soi connue, une saillie annulaire intérieure 2 coiffée par un joint insonorisant 3 en élastomère et destinée à soutenir un tampon 4 (montré en partie à la fig. 4) lorsque celui-ci est en position de fermeture (voir fig. 5).

Dans l'épaisseur du cadre est prévu, selon l'invention, un logement unique 5, en forme générale de T en vue de dessus, ouvert vers le haut dans la face supérieure du cadre et débouchant également vers l'intérieur du cadre. La partie 6 du logement 5 située vers l'intérieur constitue la jambe du T précité et s'étend sensiblement radialement en ayant une profondeur moindre que le reste du logement ; la partie intérieure 6 du logement 5 forme ainsi un col entre la zone intérieure du cadre et la partie 7 du logement située vers l'extérieur.

Cette partie 7 du logement située vers l'extérieur est allongée sensiblement transversalement à la partie 6 et forme la barre transversale du T précité sa profondeur est dans l'ensemble sensiblement supérieure à celle de la partie 6.

Cette partie 7 présente elle-même deux régions distinctes, savoir - une première région 8 située le plus vers l'intérieur et jouxtant la susdite partie 6, cette première région 8 ayant, en section radiale (ligne II-II) un contour sensiblement semi-circulaire et une profondeur sensiblement supérieure à celle de la partie 6 ; vers ses extrémités, la région 8 est surplombée par des lèvres 9 qui encadrent un espace libre prolongeant la partie 6 - une deuxième région 10 située le plus vers l'extérieur de même dimension longitudinale que la région 8 mais présentant une profondeur décroissant depuis la région 8 jusqu'à la paroi externe 11 ; autrement dit, la surface de fond 12 de la région 10 remonte de l'intérieur vers l'extérieur et se raccorde sans solution de continuité et avec des rayons de courbure importants d'un côté avec la surface semi-cylindrique 13 délimitant la région 8 et de l'autre côté avec la paroi externe il ; la seconde région 10 est ouverte vers le haut sur toute sa longueur.

En se référant maintenant aux fig. 4 et 5, le tampon 4 du regard conforme à l'invention présente toute forme (discoidale dans l'exemple représenté), dimension et configuration (notamment pour sa face supérieure) souhaitables, en conformité avec les forme, dimension et configuration du cadre auquel il est associé. On notera en particulier que ce tampon possède, d'une façon en soi connue, une surface d'appui annulaire périphérique 14 destinée à reposer sur la saillie annulaire 2 recouverte du point insonorisant 3 et qui possède également une jupe annulaire 15, faisant saillie sous sa face infé rieure, qui porte contre le joint annulaire 3 et empêche le tampon d'être déplacé radialement par rapport au cadre 1 lorsque le tampon est en position de fermeture (voir fig. 5).

Un pivot 16, ayant la configuration générale d'un T dimensionné pour coopérer avec le logement 5 du cadre 1, fait saillie radialement sur la périphérie du tampon 4. Le pivot 16 possède une partie de liaison 17 s'étendant. radialement et raccordée au tampon, correspondant à la jambe du T, et une partie d'arbre de pivotement 18 s'étendant transversalement à l'extrémité de la partie de liaison 17, et correspondant à la barre transversale du T.La partie d'arbre de pivotement 18 a une forme générale approximativement cylindrique avec un diamètre sensiblement inférieur au diamètre de la première région 8 de section semi-circulaire du logement 5 du cadre ; cependant, cet arbre présente un plat 19 formé longitudinalement et s'étendant sensiblement parallèlement aux faces principales du tampon, la dimension transversale de la partie d'arbre de pivotement 18, perpendiculairement au plat 19, étant inférieure à l'ouverture vers le haut de la région 10 du logement 5 du cadre. En outre, les longueurs respectives de la partie d'arbre de pivotement 18 et de la partie extérieure 7 du logement 5 sont telles que les faces extrêmes en regard présentent un jeu minimal autorisant le libre pivotement du tampon par rapport au cadre, mais empêchant le coincement du tampon lors du soulèvement de celui-ci.

Les fig. 6 à 9 montrent le pivot 16 engagé dans le logement 5 dans différentes positions fonctionnelles relatives du tampon 4 et du cadre 1.

La fig. 6 montre le tampon 4 en position de fermeture sur le cadre 1. On note que le pivot 16 est raccordé au tampon 4 de manière telle que, dans cette position de fermeture, le pivot 16 ne soit pas en contact avec les parois du logement 5, afin d'éviter les heurts bruyants du tampon contre le cadre lors du passage d'un vehicule. Dans cette position, la partie d'arbre de pivotement 18 s'étend, au moins en partie, sous les levures en surplomb 9, lesquelles s'opposent donc à la sortie du pivot 16 hors du logement 5.

Lorsque le tampon 4 est soulevé en étant saisi en son milieu, le pivot 16 s'abaisse dans le logement 5 jusqu'à ce que la partie d'arbre 18 vienne en contact avec la surface de fond 12 du logement 5. Le tampon pivote ensuite autour de la partie d'arbre 18 en appui sur la surface 13 en même temps que la partie d'arbre 18 est rappelée par gravité vers la zone la plus profonde (raccordement des surfaces 12 et 13) du logement en raison de l'inclinaison de la surface 12 comme représenté à la fig. 9 ; sur cette figure, on voit mieux que la partie 18 du pivot 16 est en appui uniquement par ses extrémités sur la surface de fond 13 du logement. Le tampon 4 reste en position ouverte avec une inclinaison de 15 à 20 par rapport à la verticale (rotation de 105 à 110-), en occupant la position représentée à la fig.

7, le pivot 16 reposant d'un côté par sa partie de liaison 17 contre le bord supérieur de la paroi il du cadre et de l'autre coté par sa partie d'arbre de liaison 18 contre la face inférieure des lèves en surplomb 9.

Pour séparer le tampon 4 du cadre 1, ou pour mettre en place le tampon sur le cadre, le tampon est disposé verticalement : la partie d'arbre 18 peut alors s'engager dans l'ouverture surplombant la seconde portion 10 de la partie extérieure 7 du logement 5, comme représenté à la fig. 8.

Comme il va de soi et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application et de réalisation qui ont été plus spécialement envisagés elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.

Claims (5)

REVENDICATIONS

1. Regard de chaussée, notamment de forme générale sensiblement circulaire, comportant un cadre (1) et un tampon obturateur (4) supporté par ledit cadre, le regard étant pourvu d'un dispositif à charnière (5, 16) liant, de façon amovible, le tampon au cadre à la périphérie de ceux-ci et autorisant le soulèvement du tampon par rapport au cadre par pivotement autour du dispositif à charnière, caractérisé en ce que le dispositif à charnière comprend au moins une charnière, ayant sensiblement la forme générale d'un T, comportant un logement (5) ayant sensiblement la forme générale d'un T, pratiqué dans une région périphérique du cadre et un pivot saillant (16), ayant sensiblement la forme générale d'un T, porté par une région périphérique du tampon et engagé dans ledit logement, en ce que la partie radialement la plus intérieure (6) du logement (5), correspondant à la jambe du T, constitue un col possédant une profondeur moindre que les parties du cadre qui l'encadrent radialement, en ce que la partie radialement la plus extérieure (7) du logement, correspondant à la barre transversale du T, présente, d'une part, une première portion (8) située radialement vers l'intérieur et jouxtant le col précité, de profondeur supérieure à celle du col et ayant, en coupe radiale, sensiblement la forme d'un arc de cercle s'étendant sur 90 au plus dans sa zone médiane située en regard du susdit col et s'étendant sur environ 180 dans ses zones extrêmes, les parties d'extrémité longitudinale de cette première région étant surplombées par des lèvres de retenue (9), et, d'autre part, une seconde portion (10) située radialement vers l'extérieur ayant une profondeur inférieure à celle de la première portion précitée, le fond (12) de cette seconde portion se raccordant par une surface en pente continue avec le fond (13) de la première portion, et cette seconde portion étant ouverte vers le haut sur toute sa longueur, et en ce que la barre transversale (18) du pivot (16) en T est sensiblement cylindrique, avec un diamètre sensiblement inférieur à celui de la première portion (8) précitée du logement, mais sensiblement supérieur à la largeur de l'ouverture supérieure de la seconde portion (10) suscitée, cette barre transversale du pivot présentant un plat (19) approximativement parallèle aux faces principales du tampon et disposé de manière telle que la dimension de la barre transversale du pivot en T perpendiculairement au plat (19) soit inférieure à la largeur de l'ouverture en question.

2. Regard de chaussée selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pivot saillant (16) et le logement (5) sont disposés respectivement sur le tampon et dans le cadre de manière telle que, lorsque le regard est fermé et que le tampon repose sur le cadre, le pivot ne présente aucun point de contact avec le logement et que, uniquement lorsque le tampon est soulevé, la partie d'arbre 18 du pivot 16 prenne appui par ses seules extrémités sur les surfaces de fond (12, 13) des seconde et première portions de la partie la plus radialement extérieure (8) du logement.

3. Regard de chaussée selon la revendication 1, caractérisé en ce que la charnière est unique, la partie de celle-ci formant la jambe du T s'étendant sensiblement radialement, et en ce que les faces latérales en regard, aux extrémités de la branche transversale du T, du pivot et du logement sont écartées l'une de l'autre d'un jeu minimal afin d'empêcher un coincement du tampon au cours de son mouvement par rapport au cadre.

4. Regard de chaussée selon la revendication 1, caractérisé en ce que le logement (5) en T est pratiqué dans l'épaisseur du cadre.

5. Regard de chaussée selon la revendication 1, caractérisé en ce que les dimensions respectives du logement (5) et du pivot (16) sont telles que le tampon (4) est retenu, par double appui du pivot dans le logement, dans une position d'ouverture formant un angle d'environ 105 à 110 par rapport à sa position de fermeture.