FR2608011A1

FR2608011A1 - Dispositif pour assurer l'alimentation regulee d'un milieu, en liquide, a partir d'une reserve

Info

Publication number: FR2608011A1
Application number: FR8617624A
Authority: FR
Inventors: Jean-Claude Veillat; Francois Veillat
Original assignee: VEILLAT JEAN CLAUDE
Current assignee: VEILLAT JEAN CLAUDE
Priority date: 1986-12-15
Filing date: 1986-12-15
Publication date: 1988-06-17
Also published as: FR2608011B1

Abstract

L'INVENTION CONCERNE LES INSTRUMENTS ALIMENTANT UN MILIEU " M " EN LIQUIDE, PAR EXEMPLE L'ARROSAGE DE PLANTES EN POT, COMPRENANT EVENTUELLEMENT UNE RESERVE DE LIQUIDE DANS LE POT OU DANS UN CACHE-POT. SI L'ON SE REFERE, PAR EXEMPLE A LA FIG. 1 DU BREVET, ELLE COMPREND UN " DIFFUSEUR " DE LIQUIDE 302, DONT ON REGLE LE DEBIT EN JOUANT, D'UNE PART SUR LES CARACTERISTIQUES D'UN ORGANE DE CAPILLARITE 301 ET (OU), D'AUTRE PART SUR LE " NIVEAU DE REFERENCE " DU LIQUIDE DU AUX CARACTERISTIQUES ET AU NIVEAU D'UNE RESERVE 11 APPLIQUANT LE PRINCIPE DE MARIOTTE, UNE TUYAUTERIE 601 RELIANT CES DEUX ORGANES. D'AUTRES TYPES DE DIFFUSEURS SONT POSSIBLES. EN CAS DE SURALIMENTATION EN LIQUIDE, UNE " SECURITE " 803, INFLUENCEE PAR LE LIQUIDE SUPERFLU, REDUIT OU ANNULE L'ARRIVEE D'AIR DANS LA RESERVE A LAQUELLE ELLE EST RELIEE PAR UNE TUYAUTERIE 801. UN ORGANE DE CAPILLARITE 802 ANIHILE, PROGRESSIVEMENT, L'ACTION DE LA SECURITE. D'AUTRES PRINCIPES DE " SECURITES " PEUVENT ETRE DISPOSES DIRECTEMENT DANS LE MILIEU " M ". CE PRINCIPE PEUT S'APPLIQUER A DES CACHE-POTS A RESERVE DE LIQUIDE.

Description

DISPOSITIF POUR ASSURER L'ALIMENTATION REGULEE D'UN MILIEU
EN LIQUIDE A PARTIR D'UNE RESERVE 1 GENERALITES
La présente invention concerne les instruments destinés à apporter à
un "milieu", de façon progressive, un liquide ou une solution de corps
quelconques, maintenu en réserve de façon séparée par rapport à ce
milieu. Par "milieu", nous désignons un substrat de nature quelconque
devant être humecté par un liquide (contenant éventuellement des corps
en solution) et pouvant assurer la propagation de ce liquide par
tous moyens physiques (capillarité, gravité, etc...)
Quelques exemples de ce type d'instrument peuvent être des dispositifs
d'arrosage occasionnels de plantes en pot, agissant par siphon, par
capillarité, ou par gravité freinée par filtration, à partir d'une
réserve annexe.Ce peut être , également, des pots ou une réserve de
liquide située à un niveau inférieur à celui du "milieu" du pot
alimente ce dernier par le jeu de la capillarité d'un organe adéquat.

I1 peut s'agir, également, de cache-pots à réserve de liquide située
dans les parois. Selon le principe présidant à leur réalisation:
. les dispositifs d'arrosage occasionnels et les pots à réserve de
liquide inférieure ont un débit de liquide qui décroît au fur et à
mesure que le niveau baisse dans la réserve. Ce débit n'est pas
règlable.

. les cache-pots à réserve de liquide dans les parois, et certains
dispositifs d'arrosage occasionnel, entretiennent une nappe de
liquide dans laquelle baigne le (ou les) fond(s) du (ou des)
pot(s), ce qui est néfaste aux planteset, en outre, provoque une
surconsommation de liquide.

. certains pots à réserve de liquide dans les parois entretiennent en
permanence une saturation de liquide dans la partie basse du milieu
qui y est contenu, ce qui est mauvais pour les plantes.

La présente invention, selon les réalisations auxquelles elle peut
donner lieu:
permet de règler le débit de liquide et le maintient à une valeur
régulière.

évite de maintenir la base des pots en permanence dans le liquide,
ou de saturer en permanence en liquide la partie basse du milieu.

permet d'assurer aux pots à réserve de liquide inférieure, un
accroissement d'autonomie conforme aux besoins.

évite tout débordement de liquide même si une erreur de mise en
oeuvre a été commise.

dans le cas d'un cache-pot à réserve de liquide dans la paroi,
cette réserve peut être dépourvue de tout orifice obturable pouvant
provoquer une fuite d'air. Un dispositif spécial de remplissage
permet d'évacuer l'air, prisonnier, sans avoir à retourner le
dispositif tout entier.

2 LES DIVERS ORGANES COMPOSANT LE DISPOSITIF ET LES DESIGNATIONS CODEES
DES COMBINAISONS POSSIBLES ENTRE LES DIVERS ORGANES
Le dispositif peut être constitué de tout ou partie de 5 organes
dont les principes et les vocations sont différents.

La désignation codée d'une combinaison comprend donc 5 emplacements:
Emplacement NO 1, correspondant à la "grande réserve" de liquide
Emplacement NO 2, correspondant au dispositif assurant
l'arrivée du liquide dans le milieu (diffuseur)
Emplacement NO 3, correspondant au dispositif de règlage du
niveau de liquide dans le (ou les)
diffuseur(s)
Emplacement NO 4, correspondant au dispositif d'alimentation
par conduits reliant la (ou les)grande(s)
réserve(s) au(x) diffuseur(s), une cuve à
niveau constant pouvant s'intercaler dans le
système (si la grande réserve n'est pas un vase de
Mariotte).

Emplacement NO 5, correspondant au dispositif de "sécurité". Ce
dispositif évite un écoulement intempestif du
liquide dans le milieu.

Si un organe n'existe pas dans une combinaison déterminée, le chiffre
indiqué à l'emplacement correspondant est 0.

Par exemple, la combinaison représentée par la Fig.1 ,est codée:
10-300-500-600-800, si nous prenons les NO des "types" d'organes ( NO
désignant l'organe dans sons ensemble, et non ses divers constituants
qui, eux, sont désignés par des NO intermédiaires: ex 301 pour
l'organe de capillarité faisant partie d'un diffuseur à capliiarité
dont le NO du type est 300) 10 : "Grande réserve" de liquide, externe au milieu ou à son
contenant et fonctionnant selon le principe du vase de Marotte.

300: Diffuseur à capillarité 500: Alimentation régulée par le principe du vase de Mariotte de la
grande réserve".

600: Conduit reliant la "grande réserve" au diffuseur, ayant sa
section libre (sans corps quelconque). Ecoulement par siphon.

800: Dispositif de sécurité extérieur au contenant du milieu.

3 DESCRIPTION DE DETAIL D'ORGANES OU D'ASSOCIATIONS D'ORGANES
CORRESPONDANT A DES CAS DETERMINES.

Les descriptions qui suivent ne constituent pas un examen exhaustif
des divers types d'organes ou d'associations d'organes. C'est, en
effet, le chapitre 2 qui est le répertoire des divers organes.

Nous n'examinerons,ci- dessous, que certaines variantes, peut-être
plus immédiatement réalisables.

Nous reprendrons la même classification et la même désignation de
paragraphes qu'au chapitre 2.

1 Réserves de liquide.

1.1 Externes au milieu.

1.1.1 Récipient de forme quelconque pouvant être fermé (par
exemple :bouteille, jerrycan, nourrice, etc...)
1.1.1.1 Fermeture non étanche ou même non apposition de
fermeture (Ex Fig.4 ).

Pour prendre un exemple, disons que l'écoulement à
partir de cette grande réserve peut se faire
. par gravité: ex: famille 70-300-550-700
. par siphon: ex: famille 50-300-550-680 (Ex:Fig 4)
1.1.1.2 Fermeture étanche ( Ex Fig.1, 2 ). Le récipient
11 (Fig.1) applique le principe de Mariotte.

L'écoulement à partir de cette grande réserve
peut se faire
. par gravité,ou plus exactement par siphon
autoamorçant par gravité au début de la vidange de
la grande Féserve: 621
par siphon à amorçer 601 dès le début de la
vidange de la grande réserve
1.1.2 Récipient, bassin, etc... demeurant à ciel ouvert, ou
même fermés mais restant en communication avec
l'atmosphère.

1.2 Comprise dans un dispositif contenant également le milieu:
cache-pot à reserve d'eau (Ex: Fig.12 ), etc...

Se reporter à la rubrique 3.2 2 Dispositif assurant l'arrivée du liquide dans le milieu à
alimenter.

2.1 Soit par l'écoulement normal d'un conduit. Par exemple:
alimentation d'un pot à réserve de liquide à partir d'une
réserve extérieure, tout en régulant le niveau dans la
réserve de liquide du pot ( Ex: 201 Fig.28 ).

2.2 Soit en exerçant un controle du débit de liquide par un
"diffuseur" placé directement dans le milieu (Ex: 301 Fig.1 ),
ou dans la petite réserve de liquide.

Dans le cas où ce diffuseur est placé directement dans le
milieu, son introduction peut être facilitée par plusieurs
méthodes, entre autres:
-forme pointue de la base du diffuseur, permettant de
l'enfoncer dans le milieu.

-réalisation préalable d'un puits dans le milieu au moyen
d'un accessoire, lui même pointu, du genre "plantoir, ou
cylindrique creux permettant d'enlever une "carotte", aux
dimensions appropriées. Introduction du diffuseur dans ce
puits.

D'autre part, le conduit d'alimentation en liquide (par
exemple 601 de la FIG.1) est représenté comme emboité sur
l'éxtrémité supérieure du tube du diffuseur 303 de la
Fig.1, par exemple). Si les diamètres respectifs de 601
et de 303 l'exigent, 601 peut descendre jusqu'au
niveau inférieur de 303, à l'intérieur de cette même
pièce.

Ce diffuseur peut jouer le rôle de controle de débit.

2.2.1 par un orifice calibré (Fig.5) : 269
L'orifice calibré est ménagé dans une pièce interchangeable
261. Une gamme de ces pièces, pourvues d'orifices de
diamètres divers constitue la gamme de règlages du
débit.L'insertion de cette pièce , vers la base du
diffuseur, s'effectue de façon étanche, ne laissant pas de
possibilité au liquide la surmontant de s'écouler autrement
que par l'orifice calibré.

Par exemple, une pièce 262, vissée ou enfonçée à force
ou par un système baillonnette sur l'extrémité du conduit
263 , écrase un joint 264, entre 261 et 263.

2.2.2 Par un organe de filtration ou de diffusion ( 281 )
(Fig.6)
Cet organe de filtration ou de diffusion, est réalisé
dans une matière assurant la filtration ou la
diffusion. (Exemples non limitatifs: Papiers filtres,
matériaux frités, tissus, mousses plastiques etc...). Cet
organe est amovible et peut être choisi dans une gamme dont
les variations de caractéristiques permettent de jouer sur
le débit du liquide (Exemples non limitatifs: gamme de
papiers filtres divers, etc...). L'insertion de cette
pièce, vers la base du diffuseur, s'effectue de façon
étanche, ne laissant pas la possibilité au liquide la
surmontant, de s'écouler autrement qu'au travers de la
dite pièce.Par exemple, une pièce 282, vissée ou
enfonçée à force ou par un système baillonnette sur
l'extrémité du conduit 283, écrase un joint 284 entre 281
et 283 2.2.3 Par un organe, éventuellement interchangeable,
assurant une fonction de capillarité, pouvant être,
choisi dans une gamme d'organes (par ex.: mèche,
tissus, etc...) dont les caractéristiques variées,
dans le domaine de la capillarité, constituent une
possibilité de règlage du débit de liquide. La possibilité
de faire varier le niveau de liquide dans le(s)
diffuseur(s) (par des procédés décrits par ailleurs ),
constitue un autre règlage du débit de liquide. Ces deux
règlages différents peuvent être utilisés simultanément.

Par Ex: Fig.1, 3, 4, 8, 9
Le liquide passe,donc,par capillarité du diffuseur vers le
milieu. L'organe de capillarité (par ex: 301 en Fig.8)
peut descendre jusqu'au fond de la cuve 302 contenant
la "petite réserve" de liquide, mais il peut être
préférable de ne pas le faire descendre à un niveau
inférieur à celui du conduit d'amenée du liquide 303 ainsi, si l'écoulement du liquide est freiné par le jeu d'un dispositif de "sécurité" quelconque (principe décrit en 1.5), la capillarité ne peut faire descendre le niveau du liquide en dessous du niveau inférieur du conduit d'amenée du liquide ( 303 ) et, ainsi, si l'alimentation en liquide s'opère par un siphon (quelle que soit la nature du conduit), ceci évite de désamorçer le dit siphon.

Les pièces 303 et 302 peuvent constituer une même pièce (obtenue par moulage, par exemple) ou bien être distinctes. Dans ce dernier cas, la cohésion entre ces deux pièces peut être obtenue par des moyens divers, fonction de leurs formes:
.emboitage à force, la (ou les) pièce(s) 301 constituant,
alors, une (ou des) cale(s) d'épaisseur
facilitant le coincement.

.vissage de 303 dans 302
.tout autre moyen d'assemblage.

La pièce 302 peut présenter la forme qu'on lui voit sur les
Fig. 8 et 9, mais cette forme n'est pas limitative. Sur les figures, 302 a une forme pointue vers le bas afin de mieux pénétrer dans le milieu. Une saignée 305 permet de glisser la pièce 301 ,si la forme de cette pièce est adéquate, assurant, ainsi, une sorte de coincement de cette pièce quand on enfonce le diffuseur dans le milieu. L'autre extrémité de la pièce 301 peut, facultativement , pénétrer dans la cuve constituée par
302 (ce cas n'est pas représenté sur la Fig.8) et se limiter au même niveau que la première extrémité.

La limitation de niveau de 301 dans 302 peut s'obtenir par plusieurs moyens employés séparément ou simultanément:
.mise en forme adéquate permanente de 301
.simples précautions quand on introduit 301 dans
302 et que, éventuellement, on coince avec 303
ou 306 (voir plus bas).

.par l'existence d'une pièce 307 (qui peut être
remplacée par un renflement de 302 ) dont les cotés
laissent un passage suffisant au liquide, en particulier
si ce dernier s 'écoule par des orifices analogues à
309
.par le positionnement de l'organe de capillarité lors de
la fabrication du diffuseur.

Le maintien de 301 peut, éventuellement, se parfaire
(Fig.15) par l'utilisation d'une pièce 306 assurant le
coincement de 301 entre elle-même et 302 . 306
coulisse le long de 303 sur laquelle il peut,
éventuellement, être bloqué par divers systèmes
(baillonnette, etc...).Une partie facultative 308 de
306 joue le rôle de couvercle vis à vis de 302
empêchant le milieu (par exemple de la terre du pot d'une
plante) de retomber dans la cavité de 302
Remarque: il est possible de se passer d'un organe de
capillarité en remplissant la cavité de 302 d'un corps
pulvérulent dont les propriétés de capillarité peuvent être
sélectionné ou étant, le cas échéant, le milieu lui même.

2.2.4 Par un orifice obturable progressivement par une aiguille
301 (Fig.7),ou 2 contre-plaques 401 et 409
(Fig.10).

Pour les divers genres de diffuseurs, le règlage, selon les
cas du niveau de liquide de la "petite réserve" ( 302 en
Fig.8), ou de la pression, à l'intérieur des diffuseurs,
constitue un autre moyen de règlage du débit de liquide,
utilisable simultanément avec l'un des principes décrits en
2.2.1, 2.2.2, 2.2.3, 2.2.4 2.2.6 Par une "petite réserve à débordement". Ce type de
diffuseur ne se conçoit que si une "sécurité" y est
associée.

2.2.6.1 Fig.31 Le liquide est amené par le tuyau(601,621,691)
par exemple) branché sur un tube 453 dont la base
comporte un ou plusieurs orifices 458 de passage
du liquide. Le niveau du liquide s'élève dans la cuve
452 jusqu'à atteindre le niveau supérieur de cette
dernière, et s'écoule dans le milieu, car on établit
un "niveau de référence sans action de la sécurité"
supérieur au niveau supérieur de la cuve (au phénomène
de capillarité près). Cet écoulement, qui pourrait
donc être continu, est arrêté par le jeu d'un
dispositif de sécurité (voir 1.5)800-849, 850-899. Le
résultat de l'association "diffuseur à cuve de
débordement+sécurité" est une succession de cycles
écoulement+arrêt.Le débit moyen de liquide pendant la
période d'un cycle complet est fonction de: la
position du "niveau de référence sans action de la
sécurité", des caractéristiques des organes
constituant le système de sécurité, de la position
dans le milieu du système de sécurité du type de la
Fig.16 ou 17 par rapport au diffuseur. Ce système de
sécurité doit être situé entre le diffuseur et le plus
proche des éventuels orifices ménagés à la base du
contenant du milieu pour permettre l'écoulement du
liquide superflu. Le couple diffuseur+sécurité peut
correspondre à la Fig.11, mais sans organe de
capillarité et avec un "niveau de référence" sans
action de la sécurité" supérieur au niveau supérieur
de la cuve constituant la "petite réserve". Les pièces
constituant le diffuseur ont été décrites comme des
pièces séparées, mais elles peuvent n'en faire qu'une
si la réalisation le permet (injection de matière
plastique, par exemple). La pièce 452 , ou la
partie de la pièce unique qui lui correspond, peut
avoir une forme pointue.

2.2.6.2 Fig.32 Un autre type de diffuseur à débordement
fonctionne comme celui vu en 1.2.2.6.1, mais la pièce
formant cuve 482 est d'une hauteur lui permettant
d'émerger hors du milieu. Le liquide s'écoule par un
ou plusieurs orifices 492 situés à un niveau
suffisant par rapport à l'orifice (ou aux orifices)
488 d'arrivée du liquide dans le diffuseur pour
éviter au siphon d'alimentation de risquer de se
désamorçer quand la sécurité joue son rôle. Le
diffuseur de la Fig.32 peut être réalisé en une seule
pièce.

3 Dispositif de règlage du niveau de liquide dans la "petite
réserve". (Cas 302 de la Fig.8, par ex.) ou de la pression
à l'intérieur des autres types de diffuseurs.

3.1 Par application du principe de Mariotte dans le récipient
contenant la "grande réserve" (Ex:Fig.1: 11)
Le dispositif est, alors, une pièce 502 de forme
quelconque obturant de façon étanche le seul orifice du
récipient 11 restant libre (ce qui laisse, cependant
la possibilité d'existence d'autres orifices que l'on
obture hermétiquement préalablement au moment où le
dispositif doit exerCer son action).

Nous nommerons cette pièce "obturateur".

La forme et le principe de l'obturateur peuvent être
variés: Bouchon enfonçé à force, bouchon à baillonnette, à vis
etc... Si, pour plus de simplicité nous nous limitons au cas
du genre "bouchon", on peut imaginer que sa section suivant
des plans parallèles successifs ( perpendiculaires à l'axe de
symétrie de l'obturateur), lui permet de s'adapter de façon
étanche à des orifices de dimensions variées. La variation
des dimensions des sections successives peut être:
régulière du haut en bas de l'axe de symétrie
(Fig.25 : 511 )
par paliers successifs, les dimensions des sections
successives pouvant être, alors
- identiques pour un même palier (Fig.26: 512 )
- varier de façon continue entre deux paliers
(Fig.27: 513 ).

Le matériau utilisé pour fabriquer tout ou partie de
l'obturateur correspond à tout matériau jouissant de
propriétés physiques lui permettant d'assurer une obturation
étanche de l'orifice concerné.

Selon les familles, l'obturateur peut se présenter
différemment 3.1.1 Vase de Mariotte vidangé par gravité (Fig.2)
Un tube 521 traverse l'obturateur de façon qu'il
ressorte de l'obturateur à un endroit quelconque de chacune
des deux sections extrèmes perpendiculaires à l'axe de
symétrie.Son raccordement à la pièce est étanche.Une de ses
extrémités plonge dans le récipient jusqu'à proximité du fond
de ce dernier.L'autre extrémité
soit reste à l'air libre
soit se voit adapter, de façon étanche, un
"dispositif de sécurité" (Fig.2)
Le récipient est, par ailleurs, pourvu d'un (ou de
plusieurs) orifices situés de préférence dans sa partie
basse, recevant des conduits assurant l'écoulement du
liquide par conduits formant siphon (par ex: 621, Fig.2);
ce (ou ces) conduit(s) est (sont) amorçé(s) par la gravité
au début de la vidange de la grande réserve.

Ce (ou ces) conduit(s) aboutit (aboutissent) à un (ou
plusieurs) diffuseur(s) (Fig.2). Le niveau du liquide, ou la
pression encore appelée "niveau de référence", dans le (les)
diffuseur(s) peut être règlé, en intégrant, si nécessaire,
les phénomènes de capillarité :
3.1.1.1 Par le règlage du niveau du récipient 21 lui
même par rapport au(x) diffuseur(s) mais, cependant, en
veillant à ce que le niveau de départ du liquide soit à
un niveau supérieur à celui de l'orifice par lequel
débouche le liquide dans le diffuseur. 620 peut ne pas
être siphon.

3.1.1.2 Par le règlage du niveau de la base du tube 521 par
rapport au(x) diffuseur(s).

soit en.raccourcissant le tube en le coupant au niveau
adéquat.

soit en dotant le tube 521 , qui est alors plus
court, d'un autre tube d'un diamètre intérieur juste
dimensionné pour que, coulissant longitudinalement le
long du premier tube, les positions respectives des
deux tubes demeurent inchangées après le règlage.du
niveau de la base du tube extérieur. Cette disposition
est représentée en Fig.27 mais n'est nullement associée
uniquement à la pièce représentée sur cette figure.

D'autres dispositifs assurant la stabilité de ces
positions respectives peuvent être réalisés. Le tube
529 peut, dans une autre version, être un tube
coulissant à l'intérieur du tube 521.

3.1.1.3 par l'application simultanée des principes vus en
3.1.1.1 et 3.1.1.2
3.1.2 Vase de Mariotte vidangé par siphon Ex: Fig.1
Le tube 521 décrit en 1.3.1.1 demeure identique. Un
tube 522 traverse également l'obturateur. Sa longueur
lui permet d'atteindre la proximité immédiate du niveau
inférieur du récipient 11. Sur l'autre extrémité
située à l'extérieur du récipient, s'adapte un conduit
assurant, par siphon, l'acheminement du liquide
jusqu'au(x) diffuseur(s).

Le règlage du niveau du liquide dans le(s) diffuseur(s)
s'effectue selon les mêmes principes que ceux vus en
3.1.1.1 ou 3.1.1.2 ou 3.1.1.3 3.1.3 Repérage du niveau de liquide ou de la pression dans le
diffuseur.

Le principe du vase de Mariotte (ex: Fig.1) a pour effet de
provoquer dans le récipient une dépression correspondant à
la différence du niveau réel de liquide et l'extrémité
inférieure du tube XX1XX.1 d'arrivée d'air. On peut dire
qu'il en résulte, aux phénomènes de capillarité près, un
niveau de référence" du liquide, correspondant au niveau
inférieur du tube 521. Selon le type de diffuseur, on
peut donc jouer sur:
soit le niveau de liquide (dans le cas du diffuseur à
capillarité décrit en 2.2.3) dans la pièce 302
(Ex: Fig.1, 8, 11).

soit la pression, assimilable au "niveau de référence",
dans les autres types de diffuseurs.

soit le niveau de liquide dans un dispositif à réserve
de liquide contenant également le milieu. Fig.28.

en modifiant le niveau de la base du tube 521
. soit en jouant sur le niveau du récipient constituant le
grande réserve (Ex: 11 Fig.1), tout en veillant
aux niveaux respectifs de la prise de liquide dans la
grande réserve et de l'orifice d'arrivée dans la petite
réserve (voir 1.3.1.1.1 à ce sujet).

. soit en jouant sur la longueur du tube 521 (ex:
Fig.1) ou en faisant coulisser 522 (Fig.27).

Il est nécessaire de pouvoir repèrer, compte tenu des phénomènes de capillarité, soit le niveau réel du liquide dans le diffuseur ( Type 300, ex Fig.1) ou de famille 311XX à partir d'une réserve extérieure ex:
Fig.28 , le "niveau de référence" dans le diffuseur (ex: types 260, 280, 360, 400 ).

Les dimensions respectives du diffuseur (ex:302+303+304 de la Fig.1) et de l'obturateur+tube d'arrivée d'air (ex:
502 + 521 de la Fig.1) étant telles que la distance "H" (Fig.1) corresponde à un niveau adéquat du liquide dans la pièce 302 (ou correspond à un "niveau de référence" correct dans les autres types de diffuseurs: Fig.5, 6, 7), un principe de repèrage consiste (Fig.1, par ex.) à vérifier l'identité de niveau horizontal entre un point repère de l'obturateur 502 (par exemple la partie supérieure) avec un point repère d'une pièce X4XXX.4 faisant partie du diffuseur Type 300 (repère sur une graduation de 30, ou extrémité de 304 ).

Il est possible que l'on soit obligé de jouer sur la longueur du tube . Dans ce cas, il est nécessaire de décaler le repère de 304 (éventuellement raccourcissement de 304 ) vers un niveau, inférieur d'une même valeur que le raccourcissement de 521, en utilisant, par exemple, comme repère de longueur, la partie retirée de 521 (ou encore, en emmanchant sur 304 la partie retirée à 521 )
Si l'on utilise un système analogue à celui présenté en
Fig.27(le tuyau d'écoulement du liquide n'étant pas représenté) ( 522 pouvant, dans une autre version, coulisser dans 521 ), il faut vérifier que la longueur "H"' correspond bien à la longueur adéquate pour obtenir un niveau de référence (ou même un niveau réel, selon les diffuseurs) correct (H' correspondant, par exemple à H dans le cas de la Fiv.1). Si nécessaire, prendre sur la partie du diffuseur (304, et ses homologues sur les autres types de diffuseurs) un repère tel qu'entre le niveau de ce point repère et le niveau de référence, il y ait la hauteur H'.

Un autre principe de repèrage consiste à vérifier à quel niveau arrive un repère du diffuseur par rapport à une graduation figurant sur la "grande réserve". Cette graduation peut être réalisée au moment de la fabrication de cette grande réserve, si cette dernière est fabriquée spécialement, ou bien être une graduation que l'on applique sur cette grande réserve, ou qui est solidaire de l'obturateur.

Le repèrage de niveau concerne également la (ou les) grande(s) réserve(s) supplémentaire(s) que l'on peut souhaiter adjoindre si l'autonomie de la première grande réserve est insuffisante.

Jusqu'alors, pour plus de simplicité, nous avons décrit l'obturateur comme n ayant que deux tubes 521 et
522 . On peut concevoir (Fig.29) de "chainer" plusieurs vases de Mariotte, à condition d'adapter des obturateurs particuliers. On peut:
soit définir 2 types d'obturateurs
- un type "A", correspondant à la "grande réserve la
plus proche du diffuseur, comprenant les tubes
décrits en 1.3.1, et que l'on désigne par 531.A et
532.A, plus un tube 535.A, relié au tube
correspondant 535.B de la réserve "B", par
l'intermédiaire d'un tuyau 536.A . Ces organes
supplémentaires ont pour rôle de réaliser l'équilibre
des pressions, donc des "niveaux de rérérence", entre
les diverses grandes réserves pour lesquelles il y a
intérêt à ce que les bases des tubes 532.A,
532.B, etc... soient situées approximativement
dans le même plan horizontal.

- un type d'obturateur pour les grandes réserves
supplémentaires présentant 2 tubes: Ex. 522.B,
assurant l'écoulement du liquide et 535.B, cité
plus haut.

Les tuyaux branchés sur 532.A, 532.B, etc...

sont reliés entre eux par un système quelconque et
selon un schéma quelconque. Il en est de même pour les
tuyaux branchés sur 535.A, 535.B, etc...

soit un seul type d'obturateur présentant 3 tubes,
comme dans le cas de la grande réserve "A" décrite ci
dessus. L'extrémité supérieure des tubes correspondant
à 531.A et 535.A ont leur extrémité
supérieure obturée. On débouche (par exemple en coupant
le tube) chaque tube qui le nécessite, pour réaliser un
assemblage de grandes réserves analogue à ce qui est
décrit plus haut.

Remarque : On peut également imaginer un type d'obturateur
pourvu de 4 tuyaux (Fig.30), dont 3 ont le même
rôle que décrit ci-dessus et le 4ème, 538
assure le transfert du liquide d'une grande
réserve donnée vers la grande réserve
immédiatement en "aval". Pour une grande
réserve d'ordre "N", par exemple: 531.N,
535.N, 538.N sont obturés et on
débouche (par exemple en coupant le tube)
chaque tube qui le nécessite, comme vu plus
haut.

3.2 Soit par interposition d'une cuve à niveau constant entre la
grande déserve et la petite réserve : (Fig.3, 4, par ex.),
que le liquide sorte de 51 par gravité ou par siphon.

Le règlage du niveau de liquide (ou du niveau de référence)
dans le(s) diffuseur(s) s'opère, aux phénomènes de capillarité
près, par règlage du niveau relatif de la cuve à niveau
constant 550 elle même par rapport au(x) diffuseur(s). Ce
règlage nécessite un repérage qui peut être obtenu (par
exemple Fig.3) par la mise au même niveau horizontal d'un
repère d'une pièce 571 et d'un repère R1 faisant partie de
la pièce 303 du diffuseur (type 300 et pièces comparables pour
d'autres types de diffuseurs).Le règlage peut, également, être
repèré (par ex; Fig.4) par la mise au même niveau d'un repère
de la pièce 571 et d'un repère R2 faisant partie de la
pièce 304 du diffuseur ( et des pièces comparables pour
d'autres types de diffuseurs).

Il existe la possibilité de chaîner plusieurs grandes réserves
mais, à la différence des Fig.29 et 30, seuls les tuyaux
concernant les siphons d'écoulement du liquide existent, les
grandes réserves étant, par ailleurs, à la pression
atmosphérique, sauf mise en jeu d'un système de "sécurité"
(voir 1.5).

5 Dispositif, facultatif de "sécurité".

Le principe général est le suivant: L'écoulement du liquide à
partir de la grande réserve nécessite l'entrée d'air dans la dite
grande réserve. Dans un certain nombre de cas, la grande réserve
est à "l'air libre". Par contre, dans un certain nombre d'autres
cas, un "obturateur" ne laisse entrer l'air que par l'intermédiaire
d'un tuyau 521 (Fig.1) ,(Fig.3).

Ce tuyau est relié par le conduit 801 (ex: Fig.1) ou (ex:
Fig3), à l'organe "de sécurité" (ex: 802 Fig.1, Fig.3).

Le principe de cet organe de sécurité est le suivant: Si
l'alimentation du milieu en liquide dépasse les besoins de ce
milieu, il se produit une accumulation de liquide dans la partie
basse du contenant du milieu (Ex: A Fig.1, B Fig.2, le contenant A,
pourvu d'un orifice à sa partie inférieure pouvant, du reste, être
utilisé avec l'ensemble des organes présentés en Fig.2, et
inversement). Un organe pouvant s'humecter par capillarité obture
partiellement ou totalement l'arrivée d'air dans le conduit amenant
l'air à la grande réserve. Cet organe de capillarité, réalisé au
moyen d'un matérieu aux propriétés adéquates, peut avoir plusieurs
aspects: mèche, étoffe tissée ou "intissée" à laquelle on donne la
disposition et la forme voulue.Par exemple (Fig.1), l'organe de
capillarite 802 obture l'orifice de 803 sur lequel le conduit
801 est fixé.Quand l'organe de capillarité (ici XXXX1.2)-est
suffisemment sec, de l'air peut le traverser et alimenter la grande réserve ( ici 11 ). Si un surplus de liquide humecte l'organe de capillarité, ce dernier peut perdre totalement sa perméabilité à l'air. Un nouveau niveau de référence" s'établit, par équilibre, entre l'écoulement (à débit décroissant jusqu'à devenir nul) du diffuseur, un surplus de dépression dans la grande réserve et, même éventuellement, une remontée du liquide dans le conduit d'amenée d'air. Le même résultat peut être obtenu au moyen d'un organe de capillarité n'obturant pas totalement le conduit 801, ou une pièce sur laquelle ce dernier est fixé.L'obturation de ce conduit est, alors, obtenue en partie par le liquide lui-même s'élevant dans 801 jusqu'à l'équilibre dû au fait que l'écoulement du liquide d'alimentation du milieu est ralenti ou arrêté.

Dans le cas d'un système de sécurité extérieur au milieu (ex:
Fig.1), une partie de 802 étant à l'air libre assure l'évaporation du liquide humectant cet organe (l'organe de capillarité doit être en contact, au moins partiel, avec l'extrémité de 801 ou de la pièce 804 ). La capillarité de 802 aidant, le liquide ayant remonté dans le conduit 801 redescend, s'évapore, et l'air peut à nouveau repasser, déclenchant un nouveau cycle d'écoulement du liquide.

Quelques particularités peuvent être signalées, selon les types de système de sécurité: 5.1 Extérieur au milieu (ex: Fig.1), décrit immédiatement
ci-dessus.

5.2 Intérieur au milieu, mais plus ou moins éloigné du (ou des)
diffuseur(s).

5.2.1 Ex: Fig 2, 17 . 851 , directement enfonçé dans le
milieu par un "puits" réalisé par un accessoire du genre
plantoir.

5.2.2 Ex: Fig.16 . 851 , intégré dans un tube 853 de plus
forte section, l'ensemble étant enfonçé dans un puits
réalisé avec un accessoire du genre plantoir.

Dans les deux cas, le puits atteint, préférentiellement, le
niveau le plus bas du contenant. L'organe de capillarité
852 a toujours une partie en contact avec le milieu qui,
selon le stade du cycle où l'on se trouve, l'humecte ou.le
sèche. De même, 852 doit toujours être en contact avec au
moins une partie de l'extrémité inférieure de 851
principalement pour capter, par capillatité lors de la phase
de séchage, le liquide ayant remonté dans 851 .Dans le cas
où 852 est une mêche, la base de 851 peut même être
échancrée sur une génératrice, ou deux génératrices se faisant
face, afin d'avoir une meilleur stabilité, ainsi qu'un
meilleur contact avec le liquide présent dans 851
Bien que la Fig.2 présente un contenant "B" dépourvu d'orifice
d'écoulement du liquide, ce type de sécurité décrite en 1.5.2
est utilisable également avec des contenants presentant un ou
plusieurs orifices d'écoulement du liquide.

5.3 Intérieur au milieu, mais solidaire du diffuseur (Fig.11). Le
diffuseur est du même principe que la famille décrite en
2.2.3.

Le liquide arrive par la pièce 903 (de même principe que
303 en 1.2.2.3), sur laquelle est adapté un conduit
provenant soit de la grande réserve, soit d'une cuve à niveau
constant. Le liquide se répartit dans la pièce 902 jusqu'à
atteindre un niveau, règlable; et s'écoule sous l'effet de la
capillarité de 901 . La fixation de 903 à 902
relève des mêmes principes que ce que nous avons vu en 2.2.3
pour, respectivement 303 et 302 . Un tube 914 , à
l'extrémité supérieure duquel est adapté le conduit amenant
l'air à la grande réserve, traverse, de façon étanche, la pièce
902 .L'extrémité inférieure de ce tube est coiffée par une
pièce 918 , dans laquelle est ménagée une saignée (analogue
à 305 en 2.2.3), de façon que l'organe de capillarité
901 soit en contact avec l'extrémité inférieure de 914
Le jeu de 901 , du liquide en surplus dans le milieu et de
la limitation du passage de l'air est identique à ce que nous
avons vu en 1.5.2 pour 852 et 851 , mais, dans ce cas,
901 et 851 sont le même organe. La pièce 918 peut
être accolée à la pièce 901 (ou même ne faire qu'une seule
et même pièce). Dans d'autres modes de réalisations, elle peut
être éloignée plus ou moins de 901 . Ce positionnement
règlable s'obtient, par exemple (ces cas n'étant pas
limitatifs):
soit par vissage ou dévissage de 918 sur 914 , dans
le cas où des pas de vis correspondant (et non réversibles)
sont ménagés sur chacune de ces pièces.

soit par coupure de 914 à la longueue voulue, et
emmanchement à force sur lui, de 918
Il peut exister, également, une pièce 916 , dont la forme et
le rôle sont identiques à ce que nous avons vu pour 306
(Fig.15).

5.4 Les différents systèmes de sécurité peuvent être appliqués au
cas de la Fig.28. Le tube de sécurité représenté sur cette
figure peut, lui-même, se voir doté d'une mêche dont une des
extrémités le pénètre et l'autre extrémité remonte le long de
sa paroi extérieure de façon à pouvoir assurer progressivement
l'évaporation du liquide qui pénètre dans le dit tube si le
niveau de référence s' élève trop. Le tube de sécurité peut
également être glissé dans un manchon fermé à la base et
réalisé dans une matière ayant des propriétés de capillarité,
afin de jouer le rôle décrit ci-dessus pour la mêche.

3.2 Cas particuliers ou la réserve de liquide est comprise dans un
dispositif comprennant également le milieu, par ex: cache pot à
réserve de liquide correspondant, par ex. aux Fig.12, 13, 14. Dans
ce type de cache pot, la réserve ne se situe pas à la partie
inférieure, mais sur les côtés. Son autre particularité est de
pouvoir recevoir une plante en pot et d'assurer, en l'état, son
approvisionnement en liquide (sans qu'il soit nécessaire de
procèder à un dépotage de la dite plante et à sa replantation,
comme c'est le cas pour les pots à réserve inférieure).

Le dispositif complet comprend:
une pièce 102 , formant cuve, et englobant l'ensemble.

une pièce 101 , jouant le rôle de réserve de liquide, et
fonctionnant selon le principe du vase de Mariotte. Une fois
que cette pièce est emplie de liquide, l'air ne peut y pénétrer
que par un (ou plusieurs) orifice(s) 103 , dont le niveau
supérieur se situe à un niveau relatif, par rapport au fond
111 ; adéquat pour que ce "niveau de référence" assure une
alimentation optimale en liquide de la plante en pot, par
l'intermédiaire du conduit 104 , du diffuseur 105
La partie 112 de 101 , sur laquelle 104 est
adaptée, descend jusqu'à proximité du niveau de la partie de
102 constituant le fond du dispositif global.

Dans une version particulière, le diffuseur 105 peut être
enchassé, de façon étanche, dans 311 , qu'il traverse,
assurant la diffusion du liquide dans le milieu.

La Fig.12 présente un diffuseur identique à celui qui est détaillé en Fig.19 ou 20, où un conduit 104 alimente un diffuseur dont la dénomination globale est 105 . Dans le cas où la section du conduit est partiellement ou totalement occupée par une mêche, cette dernière peut avoir une longueur supérieure au conduit et déboucher, sur une longueur quelconque, entre
101 et 102 . Le diffuseur peut être composé d'un tube (facultatif) 121 , d'une coupelle étanche (facultative) de forme adéquate 122 , d'un organe de capillarité 123 constitué d'une matière appropriée (bois, matière poreuse, etc...) et d'un cache 125 , facultatif (Fig.20).Ce type de diffuseur
105 peut, du reste, être remplacé par un des types de diffuseurs décrits en 1.2.2 (orienté de bas en haut au lieu de haut en bas, comme représenté sur les Fig.5, 6, 7, 10), où le liquide provient du bas, sur des réalisations s'inspirant des principes de capillarité (ex: Fig.9 et 11). Quel que soit son principe, le diffuseur pénètre à la base du pot "P" contenant la plante, par un des orifices (pas obligatoirement situé sur l'axe de symétrie de P) d'ordinaire ménagés pour assurer le ressuyage de la terre de P. Si nécessaire, cet orifice est élargi pour laisser une section suffisante pour le passage du diffuseur. Ce diffuseur est situé à l'extrémité du conduit 104 dont la longueur peut être suffisante pour, si nécessaire, mettre en place le diffuseur comme dit plus haut, alors que le pot est encore à l'extérieur du dispositif. On peut, également, dans le cas d'un pot P à orifice de ressuyage situé dans l'axe de symétrie, laisser le diffuseur au centre de 111 et positionner P de façon que le diffuseur pénètre dans l'orifice de P. Une ou plusieurs pièces 106 jouent le rôle de cale d'épaisseur permettant au conduit 104 d'acheminer le liquide à destination sans être, lui-même, écrasé par P. La (ou les) pièce(s) 106 a (ont) une forme adéquate (celle de la Fig.13 n'étant nullement limitative), permettant de disposer toute la longueur de 104 entre la partie 112 de
101 formant tube (et sur laquelle 104 est adapté) et
105 ex: Fig.13 . Cette pièce (ou ces pièces) peut faire partie de 111 (par moulage, par exemple). La distance "H" entre 111 et le fond de 102 peut être aussi faible que possible.Il peut, de façon facultative, exister une ou des pièces
113 (pouvant faire partie de 111 , par exemple par moulage) assurant le soutien de 111 . Il peut s'agir, également d'une pièce (ou de pièces) séparée(s).

L'opération de remplissage s'exécute comme suit
le tube coudé 107 est disposé en position verticale (ou
dans une position telle que celle de ses extrémités qui
évolue à l'intérieur de 101 se trouve à proximité du
niveau supérieur de la dite pièce). On peut relever ce tube
par des moyens divers dont, par exemple une cordelette
(Fig.14), chainette, etc...

on verse le liquide dans l'intervale séparant 101 et
102 (Ex: Fig.13). L'air emprisonné dans la partie de
101 supérieure au niveau réel de liquide, et dans
laquelle évolue l'autre branche du tube 107 , peut être
évacué vers l'extérieur par le tube 107 . Il se peut que
du liquide reste dans une partie de ce tube. La surpression
qui s'établit à l'intérieur de 101 repousse le liquide
vers l'extérieur et, passé un certain stade, s'échappe en
bulles au travers du liquide contenu dans la branche de
107 située entre 101 et 102 . Un (ou plusieurs)
orifices facultatifs du genre 117 peut (peuvent)
faciliter l'écoulement de tout ou partie de ce liquide.

le remplissage terminé, on refait pivoter le tube 107
pour amener ses extrémités en dessous du "niveau de
référence".

Une variante de ce modèle est dépourvue d'orifices 117 : le remplissage une fois terminé, on adapte un bouchon étanche (de quelque façon que ce soit) à l'extrémité de ce tube située à l'air libre. On immerge, ensuite, le tube comme vu plus haut.

Jusqu'ici, nous avons raisonné sur un modèle à section polygonale car le changement de position de 107 nécessite que, au moins le côté de 102 où évolue 107 , soit rectiligne. Il est possible d'imaginer un tel système présentant des côté courbes (Fig.23,24). Le principe de fonctionnement est identique à ce que nous avons décrit pour le système à section polygonale. Toutefois, le remplissage nécessite certaines différences : Le tube 107 est réalisé en 2 parties: une partie fixe coudée 133 , dont un des éléments remonte à l'intérieur de 101 et dont l'autre extrémité, évasée, est destinée à recevoir la partie 132 , qui peut être adaptée à 132 avec une étanchéité suffisante pour que l'air contenu dans 101 puisse s'échapper pendant le temps que dure le remplissage.Ce remplissage s'opère en versant le liquide dans un renflement 142 de 102 (renflement pouvant, lui-même le cas échéant, recevoir 132 et la partie dans laquelle il s'emboite). Un entonnoir, facultatif, adapté de façon adéquate, facilite le versement du liquide.

Cette variante 132 + 133 peut s'apliquer à tous les cas de la famille des cache-pots à réserve de liquide.

Jusqu'alors, les réalisations de cette même famille voyaient le niveau de référence règlé, de façon fixe, par les niveaux respectifs de 103 et 111 . Il est possible d'imaginer (ex: Fig.18) un tube 112 coulissant dans un autre tube
113 ménagé dans 101 . Les diamètres respectifs de ces tubes et le liquide qui peut s'immiscer entre eux par capillarité, ne permettent pas à l'air extérieur de pénétrer au niveau de la base de 113 . L'air ne peut pénétrer qu'au niveau de la base de 112 . Cette dernière pièce pouvant coulisser dans
113 , il en résulte la possibilité de règler le "niveau de référence", d'où un moyen de jouer sur le débit de liquide au travers du diffuseur. Cette variabte 112 + 113 peut s'appliquer à tous les cas de la famille de cache-pots. Une variante supplémentaire (Fig.21) comporte un siphon 141, amorçé par gravité, pour l'alimentation en liquide du diffuseur. Cet amorçage par gravité est obtenu par le fait que le niveau haut du siphon est à un niveau inférieur à celui que le liquide atteint en fin de remplissage. Il peut, en outre, être facilité par la légère surpression qui s'établit quand on adapte l'obturateur.

Dans les réalisations s'inspirant des Fig. 18, 21, il est
possible:
de repèrer le règlage du "niveau de référence" en repèrant la
position du tube 112 par rapport à un point de 101 . Par
exemple: déplacement d'une graduation pratiquée sur la
partie supérieure de 112 , par rapport au niveau
supérieur de 113 (Fig.18). Ou encore: reglette graduée
144 faisant partie de 101 (Fig.21, 22) sur laquelle
on repère le niveau du sommet de 112
de mettre en oeuvre un système,facultatif, de "sécurité" des
types vus en Fig. 1, 2, se branchant sur 112

Claims

être réunis dans un "cache-pot" à reserve de liquide dans les parois.

dehors du milieu ou de son contenant. Ces divers principes peuvent

milieu "M" a dépassé un stade maximum ou si du liquide s'écoule en

arrêtant ou réduisant l'écoulement du liquide si l'humectation du

possibilité d'adapter un dispositif de "sécurité" (Ex 803 Fig.1)

types de diffuseurs, dont certains sont règlables.Caractérisé par la

caractérisé également par la possibilité de choisir entre plusieurs

faisant partie d'un système dit "à réserve de liquide" (Ex.Fig.28);

règlable, dans une "petite réserve" présente dans un diffuseur ou

constante, bien que règlable, ou un niveau réel constant, bien que

ces diffuseurs un "niveau de référence" se traduisant par une pression

moyen de jouer sur le débit de liquide en créant et en repèrant dans

l'intermédiaire de tuyauteries (Ex 601 Fig.1); caractérisé par un

"diffuseurs" (Ex Type 300 Fig.1) du liquide dans ce milieu par

liquide extérieures à ce milieu, alimentant un ou plusieurs

comportant une ou plusieurs "grandes réserves" (Ex. 11 Fig.1) de

REVENDICATIONS 1 Système d'alimentation en liquide d'un "milieu" "M" à humecter,
2 Grande réserve externe au contenant du milieu (Ex. 11 Fig.1),

selon la revendication 1, appliquant le principe du "vase de

Mariotte", caractérisée par un "obturateur" (pouvant prendre des

formes diverses, Ex.Fig.25, 26) réalisé dans un matériau adéquat

obturant l'orifice (ou le dernier orifice par lequel la grande réserve

restait en communication avec l'atmosphère) (Ex. 502 Fig.1),

présentant un tube 522 de prise de liquide et un tube 521

d'arrivée d'air extérieur, dont la longueur est règlable par section

ou par coulissement respectif de deux éléments 522 et 523

(Fig.27).Cet obturateur peut présenter des tubes supplémentaires dans

le but de réunir plusieurs "grandes réserves" du type vase de Mariotte

entre elles: 535.A (et ses homologues sur les autres obturateurs,

réunis entre eux par 536.A et ses homologues) (Fig.29) pour

équilibrer les pressions des ciels gazeux des grandes réserves. Dans

ce cas, les homologues de 531.A n'existent pas ou restent obturés

(Ex.Fig.30), 538.A (et ses homologues sur les autres obturateurs)

(Ex. Fig.30) siphonant le liquide d'une grande réserve à une autre par

539.A et ses homologues. Dans le cas où ces derniers tubes

n'existent pas, les tubes de prise de liquide 532.A (et ses

homologues dans les diverses grandes réserves) (Fig.29) doivent être

réunis entre eux par 601.B et ses homologues.Les niveaux de

référence des diverses grandes réserves doivent coïncider

approximativement en jouant sur la longueur des tubes 531.A (et

homologues) et (ou) le niveau des grandes réserves.

par gravité, ou par siphon amorçable par gravité (Ex.Fig.2).

qu'il est possible de prélever le liquide par siphonage (Ex.Fig.1) ou

le tube 531.A d'arrivée d'air. Caractérisée également par-le fait

dispositif de "sécurité", selon la revendication 1, peut s'adapter sur

Caractérisée également par le fait qu'un tuyau faisant partie d'un
3 Grande réserve externe au contenant du milieu, selon la revendication

1, caractérisée par le fait qu'une cuve à niveau constant (Ex. 550

Fig.4) se situe entre la dite grande réserve et le milieu à alimenter.

liquide dans cette (ou ces) grande(s) réserve(s).

corrélativement, sur celui de la base du (ou des) tube(s) prélevant le

référence en jouant sur la niveau de la cuve à niveau constant et,

même type entre elles. Possibilité de jouer sur le "niveau de

supplémentaires dans le but de réunir plusieurs grandes réserves du

revendication 1. Cet obturateur peut présenter des tubes

sur lequel on peut brancher un dispositif de sécurité, selon la

l'éventuel tube de siphonage par le haut, un tube 503 (Ex.Fig.3)

Ex.Fig.25, 26) réalisé dans un matériau adéquat présentant, outre

d'adapter un obturateur (pouvant prendre des formes diverses

amorçable par gravité. Caractérisée également par la possibilité

siphonage par le haut (Ex.Fig.4) ou par gravité, ou par siphon

Caractérisée également par la possibilité de prélever le liquide par
4 Diffuseur, selon la revendication 1, à "niveau de référence" (ou

pression) règlable. Caractérisé par plusieurs principes d'organes que

le liquide doit traverser et qui en assurent le contrôle du débit:

soit pastilles interchangeables à orifices calibrés (Fig.5), soit

organes de filtration interchangeables choisis dans une gamme

d'organes aux propriétés variées (Fig.6), soit organes de diffusion

interchangeables choisis dans une gamme d'organes aux propriétés

variées (Fig.6, i9), soit par un orifice obturable de façon règlable

par une aiguille (Fig.7), soit une plaque et une contre plaque avec

des orifices en coïncidence règlable (Fig.10).Caractérisé également

par la possibilité de repèrer le "niveau de référence" par repérage du

niveau du diffuseur ou du tuyau d'amenée de liquide dans la "petite

réserve" (éventuellement constituée par la réserve d'un "pot à réserve

de liquide") par rapport soit au niveau de la (ou des) grande(s)

réserve(s) (c'est à dire du niveau inférieur du tube d'amenée d'air

dans le vase de Mariotte principal) soit par rapport au niveau de la

cuve à niveau constant.
5 Diffuseur, selon la revendication 1, à "organe de capillarité"

(Ex.Fig.8), caractérisé par une "petite réserve" de liquide à niveau

règlable, selon la revendication 2 ou la revendication 3. Caractérisé

également par un organe de capillarité (Ex 301 ) de types divers

(mèche, tissus, pulvérulent, milieu lui même) dont les propriétés sont

choisies dans une gamme caractéristique de chacun des types d'organes.

petite réserve et les caractéristique de l'organe de capillarité.

petite réserve et le milieu, règlable par le niveau de liquide dans la

Cet organe de capillarité assure un transfert de liquide entre la

rapport au niveau de la cuve à niveau constant.

tube d'amenée d'air dans le vase de Mariotte principal) soit par

la (ou des) grande(s) réserve(s) (c'est à dire du niveau inférieur du

réserve d'un "pot à réserve de liquide") par rapport soit au niveau de

liquide dans la "petite réserve (éventuellement constituée par la

référence" par repèrage du niveau du diffuseur ou du tuyau d'amenée de

Caractérisé également par la possibilité de repèrer le "niveau de
6 Cache pot à réserve de liquide, selon la revendication 1 (Ex.Fig.12),

caractérisé par une cuve (Ex. 102 ) englobant un système s'inspirant

des principes définis dans la revendication 1. Caractérisé également,

selon la revendication 1 par un organe (Ex. 101. ) contenant la grande

réserve de liquide appliquant le principe du vase de Mariotte

et dont la cavité principale, ouverte vers le haut, peut recevoir un

pot contenant une plante. Caractérisé, selon la revendication 1 par un

dispositif d'écoulement du liquide vers un diffuseur puisant

(éventuellement par siphonage :Ex.Fig.21 141 ) à proximité du fond

de 102 et l'acheminant sur la plus grande partie de son trajet par

un tuyau souple ayant une longueur suffisante pour qu'il soit possible

de disposer le diffuseur dans un des orifices de "ressuyage" du pot,

quand ce dernier est encore à l'extérieur du cache pot.Caractérisé

également par une pièce ( 106 ) jouant le rôle de socle (ou de cale

d'épaisseur) permettant de positionner le tuyau au fond du dispositif

sans qu'il soit écrasé par le pot. Caractérisé également par

l'application du principe de Mariotte par, soit une ou plusieurs

échancrures 103 de 101 dont le niveau supérieur définit un

"niveau de référence" adéquat par rapport au type de diffuseur

implanté dans le pot, soit par un tube dont la base atteint un niveau

éventuellement réglable (Ex.Fig18 112 ). Caractérisé également

par deux possibilités, lors du remplissage de la réserve de liquide

contenue dans 101 sans bouger tout ou partie du dispositif,

d'évacuer l'air qui y est entré.La premiere possibilité consiste en

un tube en "U" (Ex.Fig 12 107 ) positionné de telle façon qu'il

évacue l'air pendant le remplissage et repositionné ensuite de façon à

ne plus laisser passer l'air extérieur. La seconde possibilité

(Ex.Fig23) consiste à emmancher un tube amovible ( 132 ) dans un

tube fixe ( 133 ) pendant le remplissage et de le désemmancher

ensuite. Caractérisé également, conformément à la revendication 1, par

la possibilité d'adapter au tube d'entrée d'air (Ex 112 Fig.18),

et par l'intermédiaire d'un tuyau souple, un dispositif de sécurité.
7 Dispositif "de sécurié", selon la revendication 1, caractérisé par le

principe d'obturation du tuyau d'amenée d'air à la grande réserve,

selon les revendications 2 et 3, soit par un organe de capillarité

perdant sa perméabilité à l'air en s'humectant, soit par le liquide

lui-même. Caractérisé également par l'élimination ultérieure du

liquide ayant pénétré dans le dispositif de sécurité, élimination dûe

au transfert de liquide par désèchement au moins partiel d'un organe

de capillarité (Ex: Fig.2 , Fig.16 et 17 852 ) par

évaporation dans l'atmosphère ou humectation du milieu, qui s'est

lui-même partiellement déséché depuis l'arrêt de l'alimentation en

liquide, organe demeurant en permanence en contact avec le liquide,

soit qu'il pénètre suffisemment dans l'organe de sécurité, soit qu'il

soit appliqué étroitement sur l'extrémité du dit organe.Selon les

cas, le liquide provoquant le fonctionnement du dispositif de sécurité

est le liquide superflu situé soit au niveau bas du milieu lui même,

(Ex: Fig.2 803 et 802 ) soit à l'extérieur du contenant du

milieu d'où il s'est écoulé (Ex: Fig.1 803 et 802 ).
8 Tuyauteries d'alimentation en liquide du (ou des) diffuseur(s), selon

la revendication 1, ou d'alimentation en air de la grande réserve en

aval d'un dispositif de sécurité, selon la revendication 1,

tuyauteries caractérisées par le fait que leur section peut être soit

libre de tout corps, soit occupée en tout ou partie de leur section et

de leur longueur par une mêche,un tissus, une mousse, un pulvérulent,

etc... ayant un effet de capillarité. Caractérisées par le fait que

ces tuyauteries constituent soit des siphons (Ex.Fig.1) éventuellement

amorçables par gravité en fin de remplissage de la grande réserve

(Ex.Fig2) ou sont alimentés par pure gravité.