FR2589116A1 - Perfectionnement aux installations de telepherique du type va-et-vient equipe de deux cables ou jeux de cables porteurs pour chaque vehicule - Google Patents

Abstract

CETTE INSTALLATION EST DU TYPE EQUIPE, POUR CHAQUE VEHICULE, DE DEUX CABLES OU JEUX DE CABLES PORTEURS DISPOSES SYMETRIQUEMENT PAR RAPPORT AU PLAN VERTICAL CONTENANT NORMALEMENT LA TRAJECTOIRE DU CENTRE DE GRAVITE DU VEHICULE. CHAQUE CONTREPOIDS 4, 5 ASSOCIE A UN CABLE 2, 3 EST LIE A UN CONTREPOIDS 5, 4 ASSOCIE A L'AUTRE CABLE 3, 2 DE L'AUTRE JEU DE CABLES PAR DES MOYENS MECANIQUES LES SOLIDARISANT L'UN A L'AUTRE, DE MANIERE REGLABLE, POUR LEURS DEPLACEMENTS VERTICAUX EN VUE D'ASSURER LEUR ENTRAINEMENT RECIPROQUE CHAQUE FOIS QUE L'UN D'EUX SUBIT UN DEPLACEMENT VERTICAL DANS UN SENS OU DANS L'AUTRE ET DE PARTICIPER AINSI AUX DEPLACEMENTS IDENTIQUES DE L'AUTRE CONTREPOIDS EVENTUELLEMENT IMMOBILISE OU FREINE DANS SES DEPLACEMENTS VERTICAUX.

Description

"Perfectionnement aux installations de téléphérique du type
va-et-vient équipé de deux câbles ou jeux de câbles
porteurs pour chaque véhicule"
La présente invention concerne un perfectionnement aux installations de téléphérique du type va-et-vient équipé de deux câbles ou jeux de câbles porteurs pour chaque véhicule.

La présence de deux câbles ou jeux de câbles porteurs fixes sur chaque voie, c'est-à-dire pour chaque véhicule, a l'avantage évident d'améliorer la stabilité transversale des véhicules. On conçoit aisément que cette amélioration s'accroît avec l'écartement des deux câbles ou jeux de câbles avec, cependant, I'inconvénient d'introduire une plus grande exigence dans l'identité des positions des deux câbles ou jeux de câbles, et notamment de leurs flèches.

En effet, lorsque les deux câbles ou jeux de câbles sont très proches l'un de l'autre, et par conséquent très près de l'axe de la suspente du véhicule, si ce dernier est équipé d'une suspente centrale,
I'inégalité des flèches, même si elle n'est pas totalement compensée par la différence de charges sur les deux câbles ou jeux de câbles, est pratiquement sans effet sur la position du véhicule qui demeure vertical.

Ceci résulte du fait que la distance entre le câble le plus chargé et la verticale passant par le centre de gravité du véhicule est très faible.

Par contre, si les deux câbles ou jeux de câbles sont très écartés l'un de l'autre, la distance précitée n'est plus négligeable et une différence éventuelle entre les flèches des deux câbles ou jeux de câbles provoque inévitablement une inclinaison transversale du véhicule d'autant plus dangereuse que la différence entre les flèches est importante.

Or, non seulement il est intéressant de prévoir un écartement important des câbles ou jeux de câbles pour la stabilité des véhicules mais, en outre, il est avantageux que cet écartement soit supérieur à la largeur des véhicules puisqu'ainsi sont éliminés les risques de chocs entre les véhicules et les câbles porteurs lors des oscillations des véhicules autour de l'axe transversal de leur suspente.

Dans ces conditions, il est donc impératif que les flèches des deux câbles ou jeux de câbles soient toujours rigoureusement identiques.

Or, la tension de chaque câble est obtenue par un contrepoids indépendant, verticalement mobile dans son propre logement.

Le risque d'une action différente des contrepoids sur leur câble respectif existe donc, notamment si l'un des contrepoids est immobilisé par coincement dans son logement.

La présente invention vise à éliminer les risques de différence de flèches entre les deux câbles ou jeux de câbles de l'installation en imposant des courses identiques aux deux contrepoids qui leur sont associés. A cet effet, dans l'installation qu'elle concerne, chaque contrepoids associé à un câble est lié à un autre contrepoids, associé à l'autre câble ou à un câble de l'autre jeu de câbles, par des moyens mécaniques les solidarisant l'un à l'autre, de manière réglable, pour leurs déplacements verticaux en vue d'assurer leur entraînement réciproque chaque fois que l'un d'eux subit un deplacement vertical dans un sens ou dans l'autre, et de participer ainsi aux déplacements identiques de l'autre contrepoids éventuellement immobilisé ou freiné dans ses déplacements verticaux.

Ainsi, ou les deux contrepoids effectuent la même course verticale ou, tous deux, restent immobiles. On obtient de ce fait l'assurance d'une identité permanente des flèches des deux câbles ou jeux de câbles.

Suivant une forme d'exécution simple de l'invention, les moyens mécaniques liant deux à deux les contrepoids et les solidarisant l'un à l'autre pour leurs déplacements verticaux sont constitués par des liens souples tels que chaînes ou câbles auxiliaires, guidés par des poulies d'axes horizontaux. Par exemple, pour chaque paire de contrepoids liés l'un à l'autre, il est prévu deux liens souples auxiliaires dont les extrémités sont amarrées, respectivement, au sommet de l'un des contrepoids et à la base de l'autre.

De préférence, les moyens d'amarrage de chaque lien souple aux contrepoids sont agencés pour permettre de modifier la longueur utile du lien souple considéré et permettre, ainsi, de compenser les effets nuisibles de son allongement éventuel, ou des écarts éventuels de position des contrepoids provenant des différences éventuelles des allongements des câbles porteurs.

Par exemple, ces moyens sont constitués par une pince entre les mâchoires de laquelle sont serrées les extrémités d'une boucle formée à l'extrémité considérée du lien souple dont il s'agit.

Dans le cas où chaque voie ne comporte que deux câbles, c'està-dire où chaque véhicule n'est supporté que par deux câbles, il n'est évidemment prévu que deux contrepoids qui sont solidarisés l'un à l'autre de la manière précédemment décrite. Par contre, lorsque chaque voie comporte quatre câbles disposés symétriquement deux par deux de chaque côté du plan vertical contenant normalement la trajectoire du centre de gravité du véhicule, il est évidemment prévu quatre contrepoids indépendants et il ne servirait à rien que les contrepoids associés aux câbles d'une même paire latérale soient solidarisés l'un à l'autre puisqu'ainsi, on n'éviterait pas une inclinaison transversale du véhicule.

C'est la raison pour laquelle, comme indiqué précédemment, les contrepoids solidarisés l'un à l'autre sont situés de part et d'autre du plan vertical contenant normalement la trajectoire du centre de gravité du véhicule.

Dans une variante d'exécution de l'invention, pour chaque paire de contrepoids liés l'un à l'autre, il est prévu un seul lien souple auxiliaire sans fin, formant un 8 couché dont deux branches verticales traversent les contrepDids considérés et leur sont fixées par tout moyen approprié tel que par pinces ou similaires, dont chacune est solidaire de l'un des contrepoids.

Ainsi, pour compenser une différence éventuelle d'allongements des câbles porteurs, il suffira de desserrer la pince du contrepoids associé à ce câble porteur ou celle du contrepoids qui lui est lié pour que le contrepoids dont la course est contrariée par le câble auxiliaire puisse reprendre sa position normale, cette pince pouvant alors être resserrée aussitôt après.

De toute façon, I'invention sera bien comprise à l'aide de la description qui suit, en référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemples non limitatifs, deux formes d'exécution d'une installation de téléphérique munie de ce perfectionnement:
Figure 1 est une vue en perspective représentant les extrémités des câbles porteurs avec leurs contrepoids et les moyens les solidarisant l'un à l'autre, dans le cas d'une installation à deux câbles porteurs pour un véhicule, c'est-à-dire pour une voie
Figure 2 est une vue similaire à figure 1 montrant une installation comportant quatre câbles porteurs pour chaque véhicule, c'est-à-dire pour chaque voie, ces quatre câbles porteurs étant disposés par paires de part et d'autre de la trajectoire de la suspente du véhicule
Figure 3 montre, à échelle agrandie, le mode de liaison entre un contrepoids et le lien souple ou câble auxiliaire le solidarisant à un autre contrepoids.

Figure 4 est une vue similaire à figure 3 montrant une variante d'exécution du mode de liaison entre deux contrepoids liés l'un à l'autre dans leurs déplacements verticaux.

Dans l'exemple illustré sur la figure 1, chaque voie comprend seulement deux câbles porteurs 2 et 3, chacun étant tendu à l'une de ses extrémités (la seule visible sur le dessin) par un contrepoids, respectivement 4 et 5, mobile verticalement dans un logement, non représenté sur le dessin, l'extrémité du câble considéré 2 ou 3 étant guidée au-dessus du contrepoids associé 4,5 par une poulie, respectivement 6,7, d'axe horizontal.

La stabilité transversale du véhicule est d'autant meilleure que l'écartement des deux câbles 2 et 3 est important. En outre, si cet écartement est supérieur à la largeur des véhicules, le risque de voir ces derniers heurter les câbles lorsqu'ils oscillent d'avant en arrière, notamment en cas d'arrêt brutal, est alors éliminé.

Ces deux raisons rendent intéressant un écartement important entre les deux câbles porteurs 2 et 3.

On conçoit aisément qu'il est important que les deux câbles porteurs 2 et 3 présentent constamment la même flèche, c'est-à-dire que leurs points se correspondant en vis-à-vis soient situés à un même niveau pour ne pas risquer de transmettre au chariot du véhicule, symbolisé par un rectangle en traits mixtes 8, une inclinaison transversale qui serait communiquée à la suspente 9 du véhicule, également représentée en traits mixtes sur la figure 1.

Comme indiqué précédemment, cette exigence est d'autant plus importante que les deux câbles porteurs 2 et 3 sont distants l'un de l'autre. En effet, lorsque les deux câbles porteurs sont très proches l'un de l'autre, ils peuvent être considérés comme pratiquement compris dans le plan vertical contenant le centre de gravité du véhicule et contenant aussi l'axe de la suspente 9. Il en résulte que, si l'un des deux câbles présente une flèche plus importante que l'autre, le véhicule peut être entièrement supporté par le câble le plus tendu et qu'il n'en résulte aucun risque d'inclinaison de son chariot ou de sa suspente ; les consé- quences sont évidemment différentes lorsque les deux câbles ou deux paires de câbles porteurs sont distants l'un de l'autre.

Pour imposer aux deux câbles 2 et 3 de présenter en permanence une même flèche, selon l'invention, les contrepoids 4 et 5 des deux câbles porteurs 2 et 3 sont solidarisés l'un à l'autre par des moyens qui leur imposent une identité rigoureuse de déplacements verticaux.

Ainsi, si l'un des contrepoids 4 et 5 avait tendance à demeurer coincé dans son logement, les déplacements - verticaux de l'autre contrepoids contribueraient à le décoincer.

Dans l'exemple illustré sur le dessin, les moyens de solidarisation des contrepoids 4 et 5 sont constitués par des liens souples ou câbles auxiliaires 11 et 12 tendus entre l'extrémité supérieure de l'un des contrepoids 4 ou 5 et l'extrémité inférieure de l'autre contrepoids 5 ou 4, chacun de ces deux câbles auxiliaires 11 et 12 passant sur deux poulies de renvoi d'axes horizontaux, respectivement 13,14 et 15,16.

On conçoit aisément qu'en raison de la présence des câbles auxiliaires 11 et 12, aucun des contrepoids 4 et 5 ne peut être déplacé verticalement sans entraîner un déplacement vertical égal et de même sens de l'autre contrepoids.

Dans l'exemple illustré sur la figure 2, la voie sur laquelle se déplace le véhicule comprend non pas deux câbles mais quatre câbles associés par paires, à savoir deux câbles 17a et 17b formant une paire 17 et deux câbles 18a et 18b formant une paire 18, les paires de câbles 17 et 18 étant disposées de part et d'autre de la trajectoire de la suspente 9 du véhicule 8.

Dans ce cas, il est prévu quatre contrepoids 21,22g23,24 dont chacun est associé à l'un des câbles 17a,17b,18a,18b pour le maintenir sous tension constante.

Dans l'exemple précédent, chacun des câbles porteurs 17a,17b, 18a,18b est guidé au-dessus du contrepoids associé 21 à 24 par une poulie d'axe horizontal, respectivement 25,26,27,28.

Selon l'invention, chaque contrepoids associé à l'un des câbles de l'une des paires 17 ou 18 est solidarisé à un contrepoids associé à un câble de l'autre paire 18 ou 17, de manière à leur imposer à tous deux des déplacements verticaux de même sens et de même amplitude.

Comme dans l'exemple précédent, cette liaison est assurée par des liens souples ou câbles auxiliaires guidés par des poulies de renvoi d'axes horizontaux. C'est ainsi que le contrepoids 21 du câble porteur 1 7a est lié au contrepoids 23 du câble porteur 18a, disposé symétriquement au premier par rapport à la trajectoire de la suspente du véhicule, à l'aide de deux câbles auxiliaires 28 et 29 tendus entre ces deux contre poids et guidés par des poulies, respectivement 31 et 32. De la même façon, le contrepoids 22 est lié au contrepoids 24 par deux câbles auxiliaires 33 et 34 tendus entre les deux contrepoids 22 et 24 par des poulies, respectivement 35 et 36.

On conçoit aisément que si l'un des contrepoids 21 ou 24 était immobilisé par coincement dans son logement, le contrepoids qui lui est accouplé participerait inévitablement à son décoincement en lui imposant des déplacements verticaux identiques au sien.

Naturellement, dans les deux exemples décrits précédemment, il est nécessaire que le point d'amarrage des câbles auxiliaires Il et 12 ou 28, 29 ; 33,34 aux contrepoids associés 4,5 ou 21 à 24, puisse être décalé pour compenser les allongements éventuels différents des câbles porteurs qui leur sont associés 2 et 3 ou 17a,17b,18a,18b.

La figure 3 montre, à échelle agrandie, un mode d'amarrage d'un câble auxiliaire 11, par exemple au contrepoids 4 qui lui est associe.

Comme on le voit sur cette figure, le câble porteur 2 présente à son extrémité par laquelle il est accroché au contrepoids 4, un embout rigide 2a de section rectangulaire présentant un alésage transversal 2b pour le passage d'une broche 4a supportée par une chape 4b solidaire de la base supérieure du contrepoids 4.

Comme le montre cette figure, pour permettre l'accrochage du câble auxiliaire 11, l'une des ailes de la chape 4b présente un prolongement supérieur 4c dans la partie supérieure de laquelle est aménagée une lumière 4d mise à profit pour le passage d'une boucle 1 la aménagée à l'extrémité d'accrochage du câble auxiliaire 1 1 et maintenue fermée au moyen d'une bride 37 dont les mâchoires sont serrées sur les deux brins de câbles 11 constituant les extrémités de la boucle 1 la. On conçoit aisément qu'en cas de besoin, il est facile, en desserrant la bride 37, d'allonger ou raccourcir le câble auxiliaire 11.

La figure 4, sur laquelle seul le conirepoids 4 est représenté, illustre une variante d'exécution du mode de liaison entre deux contrepoids associés.

Dans cet exemple, la liaison entre ce contrepoids 4 et celui 5 qui lui est associé (et qui n'est pas visible sur cette figure) est réalisée au moyen d'un seul câble auxiliaire 38 sans fin ; ce câble auxiliaire ne présente donc aucune extrémité amarrée de manière réglable à l'un des contrepoids 4 et 5 mais traverse librement chacun d'eux grâce à un canal 39 prévu à cet effet dans chacun de ces contrepoids 4 et 5, le plus près possible du point d'amarrage du câble porteur correspondant 2 ou 3.

La liaison entre ce câble sans fin 38 et chacun des contrepoids 4 et 5 peut être réalisée de n'importe quelle manière appropriée telle que, par exemple, au moyen d'une pince 41 portée par l'une des ailes de la chape 4b supportant l'axe d'articulation 4a du câble porteur 2 correspondant.

Cette disposition présente l'avantage de faciliter considérablement les opérations de réglage nécessaires à la compensation d'une éventuelle différence d'allongements entre les câbles porteurs 2 et 3.

En effet, dans cette éventualité, il suffit de desserrer l'une des pinces 41 de l'un des deux contrepoids 4 ou 5 dont le câble porteur 2 ou 3 a subi un allongement différent de l'autre pour que le contrepoids, désolidarisé du câble auxiliaire 38, reprenne aussitôt automatiquement sa place. La pince 41 pourra alors être de nouveau resserrée.

On conçoit aisément que, dans cette forme d'exécution de l'invention, cette opération de réglage pour compenser les différences éventuelles d'allongements des câbles porteurs 2 et 3 est beaucoup plus rapide que dans le cas de l'exemple illustré par les figures 1 et 2 qui nécessite, chaque fois, le desserrage d'au moins deux pinces

Claims (4)

1. 1.- Perfectionnement aux installations de téléphérique du type va-et-vient équipé, pour chaque véhicule, de deux câbles ou jeux de câbles porteurs disposés symétriquement par rapport au plan vertical contenant normalement la trajectoire du centre de gravité du véhicule, caractérisé en ce que chaque contrepoids (4,5) ou (21 à 24) associé à un câble (2,3) ou (17a,17b,18a,18b) est lié à un contrepoids (5,4) ou (24 à 21) associé à l'autre câble (3,2) ou (18b,18a,17b,17a) de l'autre jeu de câbles par des moyens mécaniques les solidarisant l'un à l'autre, de manière réglable, pour leurs déplacements verticaux en vue d'assurer leur entraînement réciproque chaque fois que l'un d'eux subit un déplace ment vertical dans un sens ou dans l'autre et de participer ainsi aux déplacements identiques de l'autre contrepoids éventuellement immobilisé ou freiné dans ses déplacements verticaux

   - REVENDICATIONS
2. 2.- Perfectionnement selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens mécaniques liant deux à deux les contrepoids (4,5 - 21,23 - 22,24) et les solidarisant l'un à l'autre pour leurs déplacements verticaux sont constitués par des liens souples tels que chaînes ou câbles auxiliaires (11,12 - 28,29 - 33,34 - 38) commandés par des poulies d'axes horizontaux (13,16 - 14,15 - 31,32 - 35,36).
3. 3.- Perfectionnement selon la revendication 2, caractérisé en ce que, pour chaque paire de contrepoids liés l'un à l'autre (4,5 21,23 - 22,24), il est prévu deux liens souples auxiliaires (11,12 - 28,29 - 33,34) dont les extrémités sont amarrées, respectivement, au sommet de l'un des contrepoids et à la base de l'autre.
4. 4.- Perfectionnement selon la revendication 2, caractérisé en ce que, pour chaque paire de contrepoids liés l'un à l'autre (4,5 21,23 - 22,24), il est pévu un seul lien souple auxiliaire sans fin (38) formant un huit couché dont deux branches verticales traversent les contrepoids considérés et leur sont liées par tout moyen approprié tel que pinces (41) dont chacune est solidaire de l'un des contrepoids.